Tumgik
#je suis juste tombée de fatigue vers 5h30
rusticpotatoes · 2 years
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hier soir j'ai fait une crise d'angoisse parce que j'étais PERSUADÉE qu'il y avait quelqu'un dans ma maison et j'avais si peur, j'étais tétanisée.
vers 3h30 j'ai entendu un bruit de vaisselle brisée, j'étais en larmes, j'ai fermé ma porte de chambre à clé, je suis montée sur le toit et j'ai appelé le 17 et y a une patrouille qu'est arrivée.
les mecs ont dû me prendre pour une zinzinos de catégorie premium, j'étais en pyj sur le toit, tremblante, je voulais pas rerentrer et je pouvais pas leur ouvrir. ils ont dû escalader le toit mdr.
bref plus de peur qu'autre chose, après leur checking ils m'ont rappelée pour visiter les pièces une à une pour me rassurer.
coeur sur vous les messieurs que j'ai embêtés tard dans la nuit.
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3moisauboutdumonde · 6 years
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You say goodbye, and I say hello
3 mois plus tard nous y voilà ! Il est l’heure de dire au revoir à la Nouvelle-Zélande et de regagner le bercail. Au programme :
Départ : 5/01, 18h heure locale, soit 6h heure française
Arrivée : 6/01, 20h heure locale, soit 8h en Nouvelle Zélande… le 7/01
Donc, pour résumer, et les matheux pourront me corriger au besoin…. On a 38h de voyage devant nous. Cool. Cool cool cool. Cool cool cool cool cool cool. Cool.
MAIS ON EN EST PAS ENCORE LA.
Tout d’abord, réveil fraîcheur à The Attic Backpackers. La nuit a porté conseil et on s’est dit que si on rentrait les mains vides notre entourage allait nous déshériter, donc on reprend la route des boutiques souvenirs après avoir fait un emprunt à la banque. Une razzia sur les portes-clés et les t-shirts de rugby plus tard, nous retournons à l’auberge pour essayer de faire rentrer tout ça dans nos valises. L’avion n’est qu’à 18h, ce qui nous laisse le temps de profiter une dernière fois d’un resto de la ville. On boucle donc nos valises avant de les stocker à l’auberge et de se rendre dans un délicieux petit restaurant : le Chawla’s Indian Restaurant.
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Comme le veut la tradition on se fait péter le bide (sans prendre une seule minute en considération le fait que l’on va être confiné dans un espace restreint avec des dizaines d’autres passagers qui n’ont rien demandé et seulement 4 toilettes publics. muhehe, ça va être bin l’fun !). On profite de ce temps un peu calme pour faire les plus et les moins de cette splendide aventure entre soeurs. Et donc...
Les moins : cette foutue sortie kayak à Abel Tasman où nos liens ont été mis à rude épreuve, la madame qui ne savait pas conduire à Fox Glacier, le moment où le bus est tombé en panne et où on a cru qu’on allait mourir à Milford Sound (bon après on a eu de la bouffe gratuite donc c’est un tout petit moins), Star Wars épisode XVIII (parce que honnêtement ils auraient pu faire bieeeen mieux), la traversée à vomir (littéralement) entre l’île du Nord et l’île du Sud
Les plus : S’être baignées mi-décembre à Hahei, Bob - son bob et ses oeufs à Cap Farewell, Noël au sommet de la montagne au milieu de nulle part (et accessoirement s’être bien dépassée avant)(et le petit-foie-gras-accompagné-de-sa-petite-bouteille-de-sauvignon surprise), le massage et les sources chaudes du nouvel an à Hanmer Springs, les câlins à Roxy, pouvoir dire qu’on est allé à Hobbiton !, avoir chanté “Aux champs Elysées” dans une grotte avec des glowworms, les sources chaudes et le ciel orageux de Taupo, cette soirée d’hystérie à l’Observatoire de Wellington, la beauté des paysages vers Tekapo, et puis surtout… avoir pu faire tout ça ensemble. ………… BON OK, ça on l’a peut-être pas dit, il n’empêche que c’est vrai. Quelle chance d’avoir pu partager ces aventures - mauvaises comme bonnes - entre soeurs !
Mais l’aventure touche déjà à sa fin (quoiqu’on a encore une aventure de 38h qui nous attend), et il est temps de rentrer. Plusieurs personnes m’ont déjà demandées si j’étais triste de quitter la Nouvelle-Zélande, mais la Nouvelle-Zélande ne me quittera vraiment jamais… ça va j’déconne ! La réponse c’est que oui, forcément un peu, parce que je sais que ce que j’ai vécu ici je ne suis pas prête de le revivre de sitôt, et en même temps non, parce que justement, tout ce que j’ai vécu ici m’a donné la force et l’envie de voir les choses différemment et de me bouger les fesses en France.*
* Edit : Oui alors quand je suis rentrée j’ai quand même fait 4 moins de dépression post retour, en PLS sur le canapé, sans savoir comment reprendre ma vie en mains HAHA
QUOI QU’IL EN SOIT, on en est pas encore là. Pour le moment on récupère nos sacs à l’auberge et on part en direction de l’aéroport. Dernier selfie sous la pluie
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et c'est parti, bye bye Auckland ! Enregistrement des bagages, traditionnelles bêtises et séances photos des soeurs Debiez dans l'aéroport, embarquement, derniers bisous par le hublot à ce doux pays qui m’a accueilli pendant 3 mois, décollage… Au revoir la Nouvelle-Zélande.
J’ai 20 h pour pleurer devant moi.
Oui oui, 20 h.
Fort heureusement, après 3h30 de vol on fait un stop à Brisbane avant de repartir pour Dubai. L’occasion de se dégourdir les jambes en cherchant les toilettes de l’aéroport, de prendre des nouvelles du monde avec le wifi (oui papa on est sur le retour ! Allume l’appareil à raclette !), et de faire ami-ami avec les autres passagers de l’avion dans l’espoir de pouvoir changer de sièges et s’assoir à côté avec Oriane. Bon cette dernière partie marche très moyennement… En même temps qui veut lâcher une place avec hublot ou couloir pour la place de la sardine, au milieu de la rangée ? Certainement pas cette dame, qui lorsque l’on remonte dans l’avion me dit “J’aurais bien échangé avec vous, mais j’ai besoin du hublot, je suis malade en avion” juste avant de fermer le-dit hublot, de sortir son coussin gonflable, ses gâteaux apéros, son casque et de plonger dans la sélection de films proposée par Emirates. Not such luck de mon côté, les 15h de vol qui nous séparent de Dubai s’étendent et s’étendent, et même les quelques films et la pluie de nourriture ne parviennent pas à faire passer le temps. Au bout d’une dizaine d’heures, alors que la plupart des passagers dorment, je décide d’aller me dégourdir les jambes. Quand, entre deux classes, je tombe sur un point ravitaillement j’en profite pour taxer un kit kat à un stewart. On en vient à échanger sur nos vies, et il doit lui aussi sacrément se faire chier, car il me propose alors de me faire visiter la 1ère classe, A L’ETAGE.
Je vous laisse imaginer le tableau : un jeune stewart, vêtu de sa tenu Emirates (donc en mode BG quoi), fait visiter le niveau des riches à une petite paysanne, pauvrement vêtue de son jogging, son pull IUT Nancy Charlemagne qui a subit le passage du temps. Ses yeux injectés de sang sont soulignés de charmantes cernes naissantes et ses cheveux gras luisent sous chaque lampe projetant leur faible lumière. Eh oui, parce que marraine la bonne fée qui te crée un costume en moins de deux pour aller fréquenter la fame ça n’arrive qu’à Cendrillon. Je vous explique même pas les regards interrogateurs des autres stewarts et hôtesses de l’air en me voyant arriver fraîche et pimpante au 2è étage.
Mon poto de voyage ne se démonte pas et me fait donc visiter le mini bar, puis la business class (vous saviez qu’on pouvait s’y allonger ??), puis la first class (vous saviez qu’on pouvait s’y allonger ET avoir des petits box pour ne pas être dérangé ????), PUIS LA DOUCHE AU BOUT DE LA FIRST CLASS. Y’a même un sèche-cheveux putain. On repasse dans l’autre sens sans un bruit pour ne pas réveiller les 10 premières fortunes du monde. De nouveau au mini-bar il me propose un cocktail, et il me faut bien tout ça pour me remettre de ce que je viens de voir. On continue de parler, et avant de descendre rejoindre ma place parmi le petit peuple, mon ami d’Emirates m’invite à me mettre derrière le mini-bar pour une photo souvenir.
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I shit you not.
Grand prince, il m’offre même des réserves de bouffe à partager avec Oriane quand elle sera réveillée. Monsieur le Stewart je ne vous oublierai jamais (ou juste votre nom alors). Merci d’avoir rendu ce trajet un peu plus supportable et beaucoup plus improbable, c’était un joli plot-twist !
Après de looooongues heures, on finit par atterrir à Dubai. Il est 5h30, mais honnêtement je n’ai plus vraiment de notions de temps. Après tout, je suis en train de vivre 3 jours en 2 et mon cerveau a bien du mal à appréhender ce bordel. J’aurais du regarder plus d’épisode de doctor who. Il est donc 5h30 quelque part dans ce monde, et tout ce que je sais c’est qu’on à 9h devant nous avant le dernier vol qui nous ramènera à Lyon, et que je suis bien fatiguée. On cherche donc le spot le plus adéquat à la sieste et l’on finit par trouver des “chaises longues”, mais rien n’y fait c’est moins confo qu’à la plage.
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En PLS, en S, en PL, en boule, sur le ventre, sur le dos… J’essaie toutes les positions mais rien n’y fait, toutes les particules de mon corps ne réclament qu’une seule et unique chose : un matelas. En me voyant mon agitation, un gars à ma droite essaie d’engager la conversation. Pas de chance, il est australien et mon cerveau est frit. On arrive à échanger deux trois phrases bateau avant qu’il lâche l’affaire et se rendorme. A l’aube, les hauts-parleurs de l’aéroport se déclenchent pour délivrer la prière du matin, et c’est à peu près le moment où j’arrive à voler un peu de sommeil. On tue le reste du temps en se baladant dans les halls immenses de l’aéroport de Dubai (c’est tellement grand qu’on ne repasse même pas par là où j’étais à l’aller), puis en squattant le wifi et un pilier avec des prises. Quelques heures plus tard, on se tape une balade de santé de 30min rien que pour rejoindre la zone où se trouve notre porte d’embarquement. Amassée, les traits tirés, et aussi pressée que nous de rentrer, se trouve la moitié de la région Rhône-Alpes.
Nos neurones sont en train de se dissoudre lentement dans un jus de cerveau coupé au Mountain Dew quand on embarque enfin. La 3e et dernière étape de notre trajet peut commencer. Et sans surprise, ces 7 h sont un pur calvaire. Mon corps fait un rejet de greffe de fauteuil du milieu de rangé, et après avoir joué à faire coucou à Oriane de l’autre côté de l’avion, je me retrouve à nouveau à faire les cent pas dans les allées de l’avion. Ma soeur me rejoint et on essaie de passer le temps comme on peut. A mis chemin, alors que je suis en PLS dans le couloir et que j’en viens à me demander où se trouve les parachutes dans cet avion, un jeune homme tente sous nos yeux ébahis l’incroyable tour de draguer une hôtesse tout en demandant de l’alcool. A son accent on comprend qu’il est français, à sa démarche et son haleine qu’il est bourré. Lucky us, il capte qu’on est française aussi et malgré les vagues de haine déferlant de mon petit corps tremblant de fatigue, il décide de venir nous parler. Et comme le ferait tout bon con bourré et français au milieu d’un couloir d’avion, s’adressant à deux jeunes femmes déjà passablement au bout de leur vie, il décide de nous parler de bitcoin. DE BITCOIN PUTAIN. Est-ce que c’est le moment ? Est-ce que c’est vraiment le moment ever d’ailleurs ? Avant qu’on ne puisse ouvrir la porte de secours et l’évacuer comme il se doit, un stewart intervient et nous demande de dégager le couloir et de regagner nos places. Ah ! Serait-ce l’heure du goûter ?
A ma grande surprise cet interminable vol touche néanmoins à sa fin quand nous arrivons à St Exupéry, et j’aurais presque envie d’embrasser le.la pilote tellement je suis soulagée ! Dernier petit coup de speed quand le sac d’Oriane n’arrive pas à l’endroit où l’on récupère les bagages. Ce qui ne me perturbe pas plus que ça étant donné que je dors à moitié sur mon propre sac.
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Mais tout est bien qui finit bien, Oriane récupère son sac, on passe le nouveau contrôle des douanes totalement automatisé - à peu près aussi intense que Fort Boyard -, puis on retrouve les deux meilleures taxi de la planète : Joanna et sa mère. Encore un petit effort et nous voilà à Chassieu. Same old town, same old house, and more importantly same old bed…
Feels good to be home.
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