Tumgik
#kramer contre kramer
playvodma-films · 6 months
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PlayVOD Maroc : des longs-métrages à voir en illimité
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carbone14 · 5 months
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Opération Chariot : le HMS Campbeltown encastré dans la porte de la forme Joubert du port et de la cale sèche de Saint-Nazaire et sabordé par les marins britanniques - Bataille de l’Atlantique - Saint-Nazaire - France - 28 mars 1942
Photo : Kramer
©Bundesarchiv - 101II-MW-3722-03
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Opération Chariot : le HMS Campbeltown encastré dans la porte de la forme Joubert du port de Saint-Nazaire avant son explosion - Bataille de l’Atlantique - 28 mars 1942
Photo : Schaaf
©Bundesarchiv - 101II-MW-3724-02
Dès 1939, la domination militaire de l'Atlantique est un enjeu stratégique déterminant du conflit mondial. Après la défaite de la France, la Grande-Bretagne est tributaire des convois de ravitaillement pour soutenir son économie et son effort de guerre. Quant à l'Allemagne elle impose un blocus maritime pour vaincre son dernier adversaire en Europe. Une stratégie d’attaque en meutes de sous-marins est alors mise en place par l’Amiral Dönitz complété par le déploiement de navires de surfaces lourdement armés et cuirassés.
Pour sa première sortie opérationnelle, le cuirassé Bismarck, a pour mission de déstabiliser la route des convois transatlantiques et coulera le croiseur de bataille HMS Hood, fleuron de la Royal Navy. La marine britannique a dû déployer d’énormes ressources navales et des efforts considérables pour venir à bout du Bismarck avant qu’il ne rejoigne le port de Brest pour réparations.
Dans ce contexte, le sister-ship du Bismarck, le cuirassé Tirpitz, plus grand cuirassée d’Europe à flot stationné en Norvège devient une menace incontournable pour la marine britannique et la sécurité des convois de ravitaillement.
La doctrine maritime de l'époque exigeant la présence d'un port pour effectuer les réparations à proximité des navires qui s’engagent en opération, le seul port de la façade atlantique capable de recevoir le cuirassé est celui de Saint-Nazaire avec sa forme Joubert (Porte-écluse pour accéder au port et cale sèche).
Cet ouvrage a une telle importance stratégique que Winston Churchill décide, au début de l’année 1942, d’en confier la neutralisation aux commandos britanniques sur la base de renseignements fournis par le réseau de résistance « La Confrérie Notre-Dame », commandé par le Colonel Rémy.
Le plan consiste à utiliser un navire-bélier bourré d’explosifs, le destroyer HMS Campbeltdown maquillé en destroyer allemand, contre les portes de l'écluse-caisson et de neutraliser 24 cibles techniques par des commandos à terre. Pour cela une opération de bombardement aérien a pour objectif de distraire les défenses allemandes tandis que le destroyer, 16 vedettes rapides, 1 vedette lance-torpilles et 1 canonnière foncent sur leurs objectifs profitant de l’effet de surprise.
Le destroyer encastré dans la porte de la forme Joubert à 1 h 34 du matin explose quelques heures plus tard à 10 h 30 avec à son bord de nombreux soldats allemands venus l’inspecter.
L’opération fut un succès et la forme Joubert resta inutilisable jusqu’à la fin de la guerre.
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beatlesonline-blog · 2 years
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{ Mes charmants souvenirs }
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boireuncoup · 6 years
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« Kramer contre Kramer » : une histoire culte sur nonstopvideos
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nonstopvideos regorge de réalisations inoubliables. Si tu as un faible pour le drame, « Kramer contre Kramer » te charmera par son intrigue et ses personnages.
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cequifutsanslumiere · 2 years
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Quand un adulte se retrouve avec un enfant sur les bras (au cinéma)
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Quand un adulte se retrouve avec un enfant sur les bras (au cinéma)
La génération des divorcés laisse sur son passage des enfants dont il faut s’occuper. 
Le cinéma a souvent filmé des pères (mais pas que) débordés du jour au lendemain d’avoir un enfant à leur charge, comme par exemple dans Kramer contre Kramer dans lequel on suit un Dustin Hoffman épuisé qui apprend visiblement son role parental sur le tas. Que ce soit quand Meryl Streep quitte le domicile familial ou Natasja Kinski dans Paris, Texas, qu’est-ce que l’on apprend de l’homme seul et de sa capacité à assurer l’éducation au cinéma ? 
Souvent c’est d’un enfant unique dont il s’agit : Billy (dans Kramer contre Kramer de Robert Benton, 1979), Hunter (dans Paris, Texas de Wim Wenders, 1984) ou Cléo (dans Somewhere de Sofia Coppola, 2010). Si l’enfant unique traduit la fragilité d’un couple qui n’a pas « fondé une grande famille » et qui s’est vite séparé après sa naissance, il permet aussi d’observer sa relation privilégiée et sa « rencontre » avec son père. Dans des schémas types mais datés du patriarcat, quand la mère et l’épouse part, le père a déjà du mal à se nourrir lui-même. Mais dans ces trois films on voit bien que c’est un rythme entier qu’il ne parvient pas à procurer à son enfant : l’école, le brossage de dents, la nourriture. Les mettant ainsi presque dans un rapport d’égalité avec leur père, flouttant aussi les limites de l’âge, et inversant presque la courbe de maturité. On peut voir que ces pères, dans leur désarroi apprennent de la sagesse de leur interlocuteur bien qu’il n'ait qu’entre 6 et 12 ans. Comme quand Billy prépare le petit-déjeuner pour son père et lui, du haut de ses huit ans. 
Se libérant du carcan familial « normal » qui est souvent aseptisé et protégé des notions de « la vraie vie » : la souffrance, la peine amoureuse, l’abandon; les pères se voient obligés de faire avec. Et d’inventer ainsi une nouvelle proximité, presque trop honnête, et de les emmener avec eux. Cela peut être dans la célébrité du parent, que Sofia Coppola ne comprend que trop bien, quand elle met en scène un acteur célèbre interprété par Stephen Dorff, qui enchaine les relations d’un soir et les after-party de festivals de cinéma où drogues et femmes sont au rendez-vous. Sa fille Cléo suit, bien qu’elle condamne l’attitude immature de son père. Un train de vie luxueux dans des hôtels italiens mais qui ne sont clairement pas de son âge. Un peu moins confortable, quand Harry Dean Stanton arpente les États Unis avec son fils à l’arrière d’un pick-up dans l’espoir de retrouver sa mère dans Paris, Texas. 
La jalousie et l’inquiétude que le père trouve quelqu’un d’autre est aussi un thème récurent, on peut voir que les mises en scène enfantines vont même jusque’à saboter le ou la prétendante en question. Cela n’empêche qu’ils finissent par créer de vraies relations complices de parent à enfant, mais surtout des relations humaines. Encore dans Kramer contre Kramer, Meryl Streep qui revient dans un procès pour gagner la garde de son fils, fait face à l’évidence. Ils ne s’entendent que trop bien. Elle abandonne le procès et juge elle même que son ex-mari est capable -et mieux qu’elle-  de s’occuper de leur enfant.
A l’écran, ce n’est pas toujours dans des liens de filiations évidents comme celle du père, qu’un adulte doit subitement prendre soin d’un enfant. Chez Wim Wenders encore, dans Alice dans les Villes (1974), Rüdiger Vogler s’occupe d’une petite fille, de New York à Francfort qui n’est pas la sienne mais la fille d’une amie à lui. Il joue au père et c’est un rôle que l’on retrouve aussi dans la filmographie de Joaquin Phoenix, plus récemment dans Nos Âmes d’enfants  de Mike Mills (2022). Il y joue un journaliste radio qui emmène partout son neveu dont la mère est occupée à soigner un mari dépressif. Cette situation interroge nos deux personnages sur leur envie d’avoir un enfant et de ce qu’ils peuvent apporter comme héritage à quelqu’un.  Dans un contexte plus sombre, dans le court métrage de Lucille Hadzihalilovic : La bouche de Jean-Pierre (1996), Mimi une petite fille se retrouve chez sa tante qui est extrêmement jalouse d’elle. En voulant s’en débarrasser et en la négligeant aussi bien physiquement que psychologiquement, la tante Solange l’expose à un danger : celui de son amant qui abuse de Mimi. 
Le cinéma montre bien qu’il n’y a ni instinct maternel ni paternel, mais plutôt une possibilité chez chacun d’improviser. 
Kramer contre Kramer, réalisateur Robert Benton, 1979, Columbia Pictures
Paris, Texas, réalisateur Wim Wenders, 1984, 20th Century Studios
Somewhere, réalisatrice Sofia Coppola, 2010, American Zoetrope et Pathé
Alice dans les villes, réalisateur Wim Wenders, 1974, Westdeutscher Rundfunk Produktion
La bouche de Jean-Pierre, réalisatrice Lucille Hadzihalilovic, 1996, Pathé
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miguelmarias · 4 years
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TOP 2020
25/12/2020
 A)    Great movies made since 2015 seen for the first time in 2020: 
Buoyancy(Freedom;Rodd Rathjen, 2019)
Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait(Emmanuel Mouret, 2020)
L’Île au trésor(Guillaume Brac, 2018)
Le Sel des larmes(Philippe Garrel, 2019/20)
Ghawre Bairey Aaj(Home and the World;Aparna Sen, 2019)
Undine(Christian Petzold, 2020)
Happī awā(Happy Hour;Hamaguchi Ryūsuke, 2015)
Netemo Sametemo(Asako I & II;Hamaguchi Ryūsuke, 2018)
Adolescentes(Sébastien Lifshitz, 2013-9/20)
Family Romance, LLC.(Werner Herzog, 2019)
Demain et tous les autres jours(Noémie Lvovsky, 2017)
Gamak Ghar(Achal Mishra, 2019)
Lunana:A Yak in the Classroom(Pawo Choyning Dorji, 2019)
Semina il vento(Sow the Wind;Danilo Caputo, 2020)
Objector(Molly Stuart, 2019)
La France contre les robots(Jean-Marie Straub, 2020)
Paris Calligrammes(Ulrike Ottinger, 2019/20)
Un film dramatique(Éric Baudelaire, 2019)
 B)    Great movies made before 2015 seen for the first time in 2020: 
Là-Haut, un Roi au-dessus des nuages(Pierre Schoendoerffer, 2003)
Pangarap ng Puso(Demons/Whispers of the Demon/Hope of the Heart;Mario O’Hara, 2000)
Les Films rêvés(Eric Pauwels, 2009)
La vida en rojo(Andrés Linares, 2007/8)
Come Next Spring(R.G. Springsteen, 1955/6)
Song of Surrender(Mitchell Leisen, 1948/9)
Adventure in Manhattan(Edward Ludwig, 1936)
Strannaia zhenshchina(A Strange Woman;Iuli Raízman, 1978)
Chastnaia zhízn(Private Life;Iuli Raízman, 1982)
Málva(Vladimir Braun, 1956/7)
Zhila-byla devochka(Once There Was a Girl;Viktor Eisimont, 1944)
The Unknown Man(Richard Thorpe, 1951)
Aisai Monogatari(Story of a Beloved Wife;Shindō Kaneto, 1951)
Practically Yours(Mitchell Leisen, 1944)
A Summer Storm(Robert Wise, 1999/2000)
Lettre d’un cinéaste à sa fille(Eric Pauwels, 2000)
Sombra verde(Untouched;Roberto Gavaldón, 1954)
Fantasma d’amore(Dino Risi, 1981)
Adieu, Mascotte(Das Modell vom Montparnasse;Wilhelm Thiele, 1929)
Mori no kajiya(The Blacksmith of the Forest;Shimizu Hiroshi, 1928/9;fragment)
Zwischen Gestern und Morgen(Between Yesterday and Tomorrow;Harald Braun, 1947)
Last Holiday(Henry Cass, 1950)
Dialogue d’ombres(Danièle Huillet & Jean-Marie Straub, 1954-2013)
Out-Takes from the Life of a Happy Man(Jonas Mekas, 2012)
Nice Time(Claude Goretta & Alain Tanner, 1957)
Aloma of the South Seas(Alfred Santell, 1941)
A Feather in Her Hat(Alfred Santell, 1935)
La Danseuse Orchidée(Léonce Perret, 1928)
Underground(Vincent Sherman, 1941)
Time Out(in Twilight Zone-The Movie)(John Landis, 1983)
Lackawanna Blues(George C. Wolfe, 2005)
Janie(Michael Curtiz, 1944)
Dernier Amour(Léonce Perret, 2016)
Jeunes Filles en détresse(Georg Wilhelm Pabst, 1939)
Kisapmata(Blink of an Eye;Mike De Leon, 1981)
La Dernière Lettre(Frederick Wiseman, 2002)
The Lady of the Dig-Out(W.S. Van Dyke II, 1918)
Their Own Desire(E.Mason Hopper, 1929)
 C)    Very good movies made since 2015 seen for the first time in 2020: 
Zumiriki(Oskar Alegria, 2019)
Atlantique(Mati Diop, 2019)
J’accuse(An Officier and A Spy;Roman Polanski, 2019)
Richard Jewell(Clint Eastwood, 2019)
Alice et le Maire(Nicolas Pariser, 2019)
Contes de Juillet(July Tales;Guillaume Brac, 2017)
Dark Waters(Todd Haynes, 2019)
Ofrenda a la tormenta(Fernando González Molina, 2020)
Nomad:In the Footsteps of Bruce Chatwin(Werner Herzog, 2019)
Into the Inferno(Werner Herzog, 2016)
The Zookeeper’s Wife(Niki Caro, 2017)
Journal de septembre(Eric Pauwels, 2019)
La Deuxième Nuit(Eric Pauwels, 2016)
Kaze no denwa(Voices in the Wind;Suwa Nobuhiro, 2019/20)
Da 5 Bloods(Spike Lee, 2020)
Izaokas(Isaac;Jurgis Matulevičius, 2019)
A Metamorfose dos Pássaros(Catarina Vasconcelos, 2020)
Tabi no Owari Sekai no Hajimari(To the Ends of the Earth;Kurosawa Kiyoshi, 2019)
La Nuit d’avant(Pablo García Canga, 2019)
My Mexican Bretzel(Nuria Giménez, 2018-9)
Domangchin yeoja(The Woman Who Ran;Hong Sang-soo, 2019/20)
Öndög(Wang Quanan, 2019)
Hatsukoi(First Love;Miike Takashi, 1959)
Million raz pogivaet odin Cheloviek(One man dies a million times;Jessica Oreck, 2018/9)
The Two Popes(Fernando Meirelles, 2019)
Félicité(Alain Gomis, 2016/7)
Salt and Fire(Werner Herzog, 2016)
Ni de lian(Your Face;Tsai Ming-liang, 2018)
Qi qiu(Balloon;Pema Tseden, 2019)
River Silence(Rogério Soares, 2019)
Charlie’s Angels(Elizabeth Banks, 2019)
La boda de Rosa(Iciar Bollain, 2020)
Guerra(War;José Oliveira & Marta Ramos, 2020)
My Thoughts Are Silent/Moyi dumky tykhi(Antonio Lukich, 2019)
Namo(The Alien;Nader Saeivar;co-script-Jafar Panahi, 2020)
Los silencios(The Silences;Beatriz Seigner, 2018)
Terminal Sud(Rabah Ameur-Zaïmeche, 2019)
Tu mérites un amour(You Deserve a Lover;Hafsia Herzi, 2019)
Les Misérables(Ladj Ly, 2019)
Padre no hay más que uno(Santiago Segura, 2019)
Honeyland(Tamara Kotovska & Ljubomir Stefanov, 2019)
Izbrisana(Erased;Miha Mazzini & Dusan Joksimovic, 2018)
This Is Not A Burial, It’s A Resurrection(Lemohang Jeremiah Mosese, 2019)
Primero Enero(Darío Mascambroni, 2016)
Lahi, Hayop(Pan, Genus/Genus Pan;Lav Diaz, 2020)
 D)    Very good movies made before 2015 seen for the first time in 2020: 
Topaze(Marcel Pagnol, 1936)
The SIGN OF THE RAM(John Sturges, 1947/8)
Abandoned(Joseph M. Newman, 1949)
Bewitched(Arch Oboler, 1944/5)
La Femme du Bout du Monde((Jean Epstein, 1937)
The Outcast(William Witney, 1954)
Saadia(Albert Lewin, 1953)
Un monde sans femmes(Guillaume Brac, 2011)
Dishonored Lady(Robert Stevenson, 1947)
Always Goodbye(Signey Lanfield, 1938)
A Blueprint for Murder(Andrew L. Stone, 1953)
Bedevilled(Mitchell Leisen, 1955)
That Forsyte Woman(Compton Bennett, 1949)
The Miracle(Irving Rapper, 1959)
The Madonna’s Secret(Wilhelm Thiele, 1946)
The Town That Dreaded Sundown(Charles B. Pierce, 1976)
Grayeagle(Charles B. Pierce, 1977)
Barricade(Peter Godfrey, 1949/50)
Tomorrow is Forever(Irving Pichel, 1945/6)
David Harum(James Cruze, 1934)
The Vanquished(Edward Ludwig, 1953)
Keisatsukan(Uchida Tomu, 1933)
...Enfants des courants d’air(Édouard Luntz, 1959, short)
The Winds of Autumn(Charles B. Pierce, 1976)
Suddenly It’s Spring(Mitchell Leisen, 1946)
Uchūjin Tōkyō ni arawaru(Warning from Space;Shima Kōji, 1956)
Swiss Family Robinson(Edward Ludwig, 1940)
Ludwig der Zweite, König von Bayern(Wilhelm Dieterle, 1930)
Faithless(Harry Beaumont, 1932)
Botan-dorō(Peony Lanterns;Yamamoto Satsuo, 1968)
Ginza 24 chou(Tales of Ginza;Kawashima Yūzō, 1955)
Goodbye Again(Michael Curtiz, 1933)
Lines of White on a Sullen Sea(D.W. Griffith, 1909)
You Gotta Stay Happy(H.C. Potter, 1948)
Cave of Forgotten Dreams(Werner Herzog, 2010)
Riff-Raff(Ted Tetzlaff, 1947)
The Moon is Down(Irving Pichel, 1943)
The Bride Wore Boots(Irving Pichel, 1946)
Adventures in Silverado(Phil Karlson, 1948)
The Stolen Ranch(William Wyler, 1926)
Congo Maisie(H.C. Potter, 1940)
Marcides(Mercedes;Yousry Nasrallah, 1993)
Hell’s Five Hours(Jack L. Copeland, 1958)
Daniel(in Stimulantia;Ingmar Bergman, 1967)
Diên Biên Phú(Pierre Schoendoerffer, 1992)
Canyon River(Cattle King;Harmon Jones, 1956)
Dos Basuras(Kurt Land, 1958)
Smart Girls Don’t Talk(Richard L. Bare, 1948)
The Big Shakedown(John Francis Dillon, 1933/4)
Corvette K-225(Richard Rosson;p.,collab.Howard Hawks, 1943)
The Gay Deception(William Wyler, 1935)
The Invisible Woman(A.Edward Sutherland, 1940)
Rage in Heaven(W.S. Van Dyke II;collab.Robert B. Sinclair,Richard Thorpe, 1941)
Wild Side(Sébastien Lifshitz, 2004)
I bambini e noi(Luigi Comencini, 1970//7)
The House Across The Street(Richard L. Bare, 1948/9)
The Doughgirls(James V. Kern, 1944)
The Love Trap(William Wyler, 1929)
Torch Song(Charles Walters, 1953)
The Meanest Man in the World(Sidney Lanfield, 1942/3)
Cole Younger, Gunfighter(R.G. Springsteen, 1958)
Ballerine(Gustav Machatý, 1936)
Via Mala(Josef von Báky, 1945//8)
Sky Giant(Lew Landers, 1938)
Les Invisibles(Sébastien Lifshitz, 2012)
Promène toi donc tout nu(Emmanuel Mouret, 1998)
A Story for the Modlins(Una historia para los Modlin;Sergio Oksman, 2012)
Something in the Wind(Irving Pichel, 1947)
Spoveď(Confession;Pavol Skýkova, 1968)
Guilty Hands(W.S. Van Dyke II;collab.Lionel Barrymore, 1931)
Atto di accusa(Giacomo Gentilomo, 1950)
Suspense(Frank Tuttle, 1956)
This Is The Night(Frank Tuttle, 1932)
Escape in the Fog(Oscar ‘Budd’ Boetticher,Jr., 1945)
The Price of Fear(Abner Biberman, 1956)
Happy People:A Year in the Taiga(Werner Herzog, 2010)
Urok(The Lesson;Kristina Grozeva & Petar Valchanov, 2014)
Le Naufragé(Guillaume Brac, 2009)
Lili Marlen(Peter Mihálik;script.Dušan Hanák, 1970;short)
Deseo(Antonio Zavala Kugler, 2013)
  E)     Great movies that improved by new watchings: 
Shanghai Express(Josef von Sternberg, 1932)
The Best Years of Our Lives(William Wyler, 1946)
Till We Meet Again(Frank Borzage, 1944)
Man’s Favorite Sport?(Howard Hawks, 1963/4)
Along The Great Divide(Raoul Walsh, 1951)
Hondo(John V. Farrow, 1953)
Where The Sidewalk Ends(Otto Preminger, 1950)
Mrs. Miniver(William Wyler, 1942)
Driftwood(Allan Dwan, 1947)
‘Good-bye, My Lady’(William A. Wellman, 1956)
Touch of Evil(Preview version, 1975;not later ‘improvements’)(Orson Welles, 1958)
Le Crabe-Tambour(Pierre Schoendoerffer, 1977)
Unfinished Business(Gregory LaCava, 1941)
Madigan(Don Siegel, 1968)
Big Business(James Wesley Horne;s.Leo McCarey, 1929)
Putting Pants on Philip(Clyde A. Bruckman;s.Leo McCarey, 1927)
The Runner Stumbles(Stanley Kramer, 1979)
Yushima no Shiraume(Romance at Yushima;Kinugasa Teinosukē, 1955)
David Harum(Allan Dwan, 1915)
The Virginian(Cecil B. DeMille, 1914)
Island in the Sky(William A. Wellman, 1953)
All About Eve(Joseph L. Mankiewicz, 1950)
L’Eclisse(Michelangelo Antonioni, 1962)
The Roaring Twenties(Raoul Walsh, 1939)
The Plainsman(Cecil B. DeMille, 1936)
JLG/JLG-Autoportrait de décembre(Jean-Luc Godard, 1994)
‘Je vous salue, Marie’(Hail Mary;Jean-Luc Godard, 1984)
La Roue(Abel Gance, 1923)
They All Laughed(Peter Bogdanovich, 1981)
Innocent Blood(John Landis, 1992)
An American Werewolf in London(John Landis, 1981)
The Thing Called Love(Peter Bogdanovich, 1993)
Into the Night(John Landis, 1985)
The File On Thelma Jordon(Thelma Jordon;Robert Siodmak, 1949)
The Little American(Cecil B. DeMille, 1917)
In Our Time(Vincent Sherman, 1944)
The Hunters(Dick Powell, 1958)
Phase IV(Saul Bass, 1974)
L’Honneur d’un Capitaine(Pierre Schoendoerffer, 1982)
Backfire(Vincent Sherman, 1948//50)
Five(Arch Oboler, 1951)
Somewhere in the Night(Joseph L. Mankiewiz, 1946)
A Man Alone(Ray Milland, 1955)
Die Geiger von Florez(Paul Czinner, 1926)
Living on Velvet(Frank Borzage, 1934/5)
La Recta provincia(Raúl Ruiz, 2007//15)
La Noche de enfrente(Raúl Ruiz, 2012)
Carrie(Sister Carrie;William Wyler, 1951/2)
The Spiral Staircase(Robert Siodmak, 1945/6)
The Paradine Case(Alfred Hitchcock, 1947)
L’Amore(Una voce umana+Il Miracolo)(Roberto Rossellini, 1947/8)
The Heiress(William Wyler, 1949)
 F)     Very good movies watched again 
Bluebeard’s 10 Honeymoons(W.Lee Wilder, 1960)
The Five Pennies(Melville Shavelson, 1958)
Take a Letter, Darling(Mitchell Leisen, 1942)
Escape(Joseph L. Mankiewicz, 1948)
Appassionatamente(Giacomo Gentilomo, 1954)
Así como habían sido(Trío)(Andrés Linares, 1986/7)
San Antone(Joseph Kane, 1953)
The High and the Mighty(William A. Wellman, 1954)
Taki no Shiraito(The Water Magician;Mizoguchi Kenji, 1933)
The Web(Michael Gordon, 1947)
The Buccaneer(Anthony Quinn;s.Cecil B. DeMille, 1958)
The Buccaneer(Cecil B. DeMille, 1938)
Desire Me(uncredited:George Cukor/Jack Conway/Mervyn LeRoy/Victor Saville, 1946)
Flaxy Martin(Richard L. Bare, 1948/9)
Swing High, Swing Low(Mitchell Leien, 1937)
Death Takes A Holiday(Mitchell Leisen, 1934)
Irene(Herbert Wilcox, 1940)
Beloved Enemy(H.C. Potter, 1936)
The Cowboy and the Lady(H.C. Potter, 1938)
Der Golem, wie er in die Welt kam(Paul Wegener, 1920)
Mia madre(Nanni Moretti, 2015)
Hell On Frisco Bay(Frank Tuttle, 1955)
Stormy Weather(Andrew L. Stone, 1943)
The Milky Way(Leo McCarey;w.Harold Lloyd, 1936)
Pietà per chi cade(Mario Costa, 1954)
Repeat Performance(Alfred L. Werker, 1947)
Das indische Grabmal:1.Die Sendung des Yoghi,2.Der Tiger von Eschnapur(Joe May, 1921)
Julie(Andrew L. Stone, 1956)
The Member of the Wedding(Fred Zinnemann, 1953)
Winterset(Alfred Santell, 1936)
The Right to Romance(Alfred Santell, 1933)
As Young as You Feel(Harmon Jones, 1951)
You’ll Never Get Rich(Sidney Lanfield, 1941)
The Woman Accused(Paul Sloane, 1933)
Foma Gordeiev(Mark Donskoí, 1959)
The Parent Trap(David Swift, 1961)
High Wall(Curtis Bernhardt, 1947)
Mr. Lucky(H.C. Potter, 1943)
Un Marido de Ida y Vuelta(Luis Lucia, 1957)
The Safecracker(Ray Milland, 1957/8)
She’s Funny That Way(Peter Bogdanovich, 2014)
Oh...Rosalinda!!(Michael Powell & Emeric Pressburger, 1955)
Caribbean(Edward Ludwig, 1952)
Harper(The Moving Target;Jack Smight, 1966)
For You I Die(John Reinhardt, 1947)
Crashing Hollywood(Lew Landers, 1937/8)
Le Souvenir d’un avenir(Chris. Marker & Yannick Bellon, 2001)
Susan Slept Here(Frank Tashlin, 1954)
Bishkanyar Deshot(In the Land of Poison Women;Manju Borah, 2019)
Pollyanna(David Swift, 1960)
A Tale of Two Cities(Jack Conway;collab.Val Lewton & Jacques Tourneur, 1935)
Café Society(Woody Allen, 2016)
Shadow on the Wall(Patrick Jackson, 1949/50)
Tonnerre(Guillaume Brac, 2013)
Le Jouet criminel(Adolfo G. Arrieta, 1969)
‘Once more, with feeling!’(Stanley Donen, 1959)
The Shopworn Angel(H.C. Potter, 1938)
The Absent Minded Professor(Robert Stevenson, 1961)
Gavaznha(The Deer;Masud Kimiai, 1974)
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playvodma-films · 9 months
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Cinéma : une multitude de films à voir sur le site PlayVOD Maroc
Vous n’êtes pas encore abonné au site PlayVOD Maroc ? Si vous aimez le cinéma, ne manquez pas de vous y rendre afin de trouver une longue liste de films en tout genre pour vous divertir à tout moment. Les rubriques de cette plateforme sont renouvelées régulièrement afin de vous proposer des titres récents. Toutefois, vous y trouverez aussi des classiques intemporels que vous pourrez apprécier en…
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carbone14 · 3 years
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Opération Chariot : le HMS Campbeltown encastré dans la porte de la forme Joubert du port et de la cale sèche de Saint-Nazaire et sabordé par les marins britanniques - Bataille de l’Atlantique - Saint-Nazaire - France - 28 mars 1942
Photo : Kramer
©Bundesarchiv - 101II-MW-3722-03
Dès 1939, la domination militaire de l'Atlantique est un enjeu stratégique déterminant du conflit mondial. Après la défaite de la France, la Grande-Bretagne est tributaire des convois de ravitaillement pour soutenir son économie et son effort de guerre. Quant à l'Allemagne elle impose un blocus maritime pour vaincre son dernier adversaire en Europe. Une stratégie d’attaque en meutes de sous-marins est alors mise en place par l’Amiral Dönitz complété par le déploiement de navires de surfaces lourdement armés et cuirassés.
Pour sa première sortie opérationnelle, le cuirassé Bismarck, a pour mission de déstabiliser la route des convois transatlantiques et coulera le croiseur de bataille HMS Hood, fleuron de la Royal Navy. La marine britannique a dû déployer d’énormes ressources navales et des efforts considérables pour venir à bout du Bismarck avant qu’il ne rejoigne le port de Brest pour réparations.
Dans ce contexte, le sister-ship du Bismarck, le cuirassé Tirpitz, plus grand cuirassée d’Europe à flot stationné en Norvège devient une menace incontournable pour la marine britannique et la sécurité des convois de ravitaillement.
La doctrine maritime de l'époque exigeant la présence d'un port pour effectuer les réparations à proximité des navires qui s’engagent en opération, le seul port de la façade atlantique capable de recevoir le cuirassé est celui de Saint-Nazaire avec sa forme Joubert (Porte-écluse pour accéder au port et cale sèche).
Cet ouvrage a une telle importance stratégique que Winston Churchill décide, au début de l’année 1942, d’en confier la neutralisation aux commandos britanniques sur la base de renseignements fournis par le réseau de résistance « La Confrérie Notre-Dame », commandé par le Colonel Rémy.
Le plan consiste à utiliser un navire-bélier bourré d’explosifs, le destroyer HMS Campbeltdown maquillé en destroyer allemand, contre les portes de l'écluse-caisson et de neutraliser 24 cibles techniques par des commandos à terre. Pour cela une opération de bombardement aérien a pour objectif de distraire les défenses allemandes tandis que le destroyer, 16 vedettes rapides, 1 vedette lance-torpilles et 1 canonnière foncent sur leurs objectifs profitant de l’effet de surprise.
Le destroyer encastré dans la porte de la forme Joubert à 1 h 34 du matin explose quelques heures plus tard à 10 h 30 avec à son bord de nombreux soldats allemands venus l’inspecter.
L’opération fut un succès et la forme Joubert resta inutilisable jusqu’à la fin de la guerre.
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beatlesonline-blog · 2 years
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aragarna · 3 years
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Trois raisons de (re)lire les aventures marines du “Capitaine Hornblower”, géant des mers
That moment when your cultural magazine, out of nowhere, recommands the Hornblower saga, while you are actually reading Hornblower...
Full article (in French) copied under the cut. Horatio will be proud of you for being able to read French.
Embarqué dans les guerres napoléoniennes, le capitaine Horatio Hornblower est devenu l’un des héros les plus populaires de la littérature britannique. La saga, riche de dix romans, du romancier Cecil Scott Forester est réédité par Folio.
« Hissez les voiles et larguez les amarres ! » L’une des plus célèbres sagas d’aventures marines est de retour ! Créée par le romancier britannique Cecil Scott Forester, la saga « Horatio Hornblower » est, en dix romans, devenue un « classique » et son personnage principal l’un des héros les plus populaires du Royaume-Uni. Trois raisons de (re)découvrir ce commodore pas comme les autres.
1. Parce qu’il est presque un mythe outre-Manche, bien que peu taillé pour...
Cecil Scott Forester n’est pas un inconnu, loin de là, quand il lance, en 1937, sur les eaux bleues mais pas si tranquilles de la Méditerranée Horatio Hornblower, un capitaine de frégate embarqué dans les guerres napoléoniennes. Romancier, il a déjà publié entre autres gros succès The Gun (1933, qui inspirera en 1957, Orgueil et passion, un film de Stanley Kramer avec Cary Grant et Sophia Loren) et L’Odyssée de l’African Queen (1935) qui servit de point de départ à John Huston pour le légendaire film (1951) qui réunissait Humphrey Bogart et Katharine Hepburn.
Qui est Hornblower, dont son auteur ne pensait sans doute pas qu’il l’emmènerait aussi loin ? Le futur commodore paraît a priori peu taillé pour l’héroïsme : à 17 ans, ce fils d’un simple médecin se retrouve embarqué comme aspirant sur un bateau alors qu’il a le mal de mer et peu de goût pour la navigation. Dix livres plus tard, il est pair du royaume. Pourquoi ? Sans doute parce que, sachant être courageux quand il le faut malgré sa peur, malin plus qu’agressif, chevaleresque mais capable de faiblesses, Hornblower, qui a le même prénom que Nelson, a un côté très « british ». Il y a de l’antihéros dans ce héros-là. Adopté d’emblée par un lectorat grandissant, le premier livre de la série, Retour à bon port, où notre jeune héros s’acquitte après Trafalgar d’une mission secrète au Nicaragua, fut un énorme succès. En 1951, Gregory Peck l’incarna dans Capitaine sans peur, de Raoul Walsh. On dit que pendant la guerre, quand les Japonais avançaient vers l’océan Indien, un amiral anglais demanda à son état-major : « Messieurs, une seule question : que ferait Hornblower à notre place ? »…
2. Parce que le roman de mer n’est jamais seulement un roman de mer
Les plus beaux combats sont les combats intérieurs. Hornblower, s’il lutte avec ardeur contre l’infâme « Bony » – Bonaparte – (et sans doute cet acharnement rendra-t-il le succès de la série plus tardif en France qu’ailleurs...), lutte aussi contre ses démons intérieurs : la lassitude de la guerre, l’amour pour deux femmes, le sens à donner à l’action.... Dans sa préface à la précédente réédition (Omnibus 1995), Michel Le Bris soulignait à juste titre le poids de la religion sur le roman d’aventures anglais : Daniel Defoe était un dissident radical, auteur de violents pamphlets, et Mayne Reid comme Robert Louis Stevenson étaient fils de pasteurs presbytériens. S’il ne relève d’aucune tradition marquée, Forester évolue lui aussi dans l’entre-deux métaphysico-aventurier qu’avaient ouvert ses prédecesseurs. On sait depuis Joseph Conrad que la mer est la métaphore idéale de l’acharnement humain et de sa capacité à triompher des obstacles. Si la référence à Conrad, comme celle à Stevenson, souvent évoqués en ce qui le concerne, reste écrasante pour Forester, cette saga qui se dévore avec passion demeure un des chefs-d’œuvre de la littérature d’aventures.           
3. Parce que Hornblower a fait école
Il est, comme pour la saga sentimentale Jalna, deux façons de lire les Hornblower : par ordre d’écriture (c’est celui choisi par Folio), et en ce cas le cycle débute avec Retour à bon port (1937), où Hormblower est déjà capitaine de frégate, ou par ordre chronologique, et en commençant alors par Aspirant de marine (1950). Le succès contraignit en effet Forester, qui pensait abandonner son héros au sommet de la gloire dans Lord Hornblower (1948), à replonger et raconter ses années de formation. Il reviendra ensuite aux vieux jours de son héros dans Mission aux Antilles (1958) puis dans Au cœur de la mêlée, qui paraîtra à titre posthume, en 1968. Il faudra aussi savoir gré à Hornblower d’avoir engendré une descendance féconde. On en retiendra deux autres grands cycles marins : celui des aventures du capitaine Bolitho, signé Alexander Kent (pseudonyme de l’écrivain Douglas Reeman), et surtout celui signé Patrick O’Brian, qui écrase tous les autres par la richesse de sa langue et la subtilité de ses personnages, et dont le capitaine Jack Aubrey et l’ornithologue Stephen Maturin – portés à l’écran en 2003 par Peter Weir, dans Master and Commander – sont les héros. C’est aussi à ses fruits qu’on reconnaît l’arbre.
Hubert Prolongeau - Publié le 11/07/21
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mmepastel · 5 years
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https://youtu.be/ijdviBzonFk
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Pour poursuivre au sujet de chef d’œuvre, on a vu Marriage Story.
J’ai toujours aimé les films de Noah Baumbach (je crois qu’il n’y en a qu’un que j’ai loupé).
J’avais peur au début, et j’avais raison, j’ai pleuré comme une fontaine, ce fut une catastrophe. Le film est pourtant très juste, dans sa version de Kramer contre Kramer de 2019, et le divorce, même s’il s’articule forcément autour de l’enfant, à le bon goût de ne pas trop appuyer sur le tire-larmes facile qu’il pouvait constituer. Pas de pathos excesssif j’ai trouvé, mais une dissection des rouages des démarches légales pour mener un divorce, avec les coups bas inhérents à ce qui s’apparente à une transaction. C’est totalement injuste ce qui se produit alors, on assiste à ça, navrés, car les deux aspirants au divorce étaient tellement plus malins et généreux que ce que la justice leur réserve. Le couple, usé à la base (ils veulent se quitter !), en sort donc broyé, et chaque membre est amoché. C’est une des horreurs engendrées par le divorce, est cela donne des scènes poignantes et d’autres complètement hilarantes (la visite de l’expert chez Charlie est un grand moment).
Mais en lisant les critiques par ci par là, je me suis rendue compte que je n’avais pas tout à fait la même lecture du film. Pour être honnête, je crois qu’au fond, je n’ai pas compris pourquoi ils divorçaient tant il m’a paru évident, du début à la fin, que ces deux-là s’aimaient. Oui j’ai bien compris les conflits, mais non, je n’ai pas trouvé que Nicole s’émancipait par cette rupture (ce qui était pourtant l’objectif visé). Et les concessions post divorce (de Charlie) m’ont au contraire convaincue que leurs problèmes étaient solubles. Juste une question de timing. Raté. Et c’est sans doute ça qui m’a déchiré le cœur. Mais c’est peut-être le moi enfantin qui parle ici, j’en ai conscience. C’est avant tout une affaire de vigilance vis à vis de l’autre, qui ne vous pardonnera pas toujours vos petites lâchetés. C’est finalement ce que je retiens.
Adam Driver est absolument fantastique de sobriété et d’ironie intériorisée. Je l’ai beaucoup admiré. Scarlett Johansson est également bouleversante. Mais je crois que, comme le réalisateur parlait de sa propre séparation d’avec Jennifer Jason Leigh, il n’a pas pu s’empêcher de pencher du côté masculin, et a fait que l’on s’attache insensiblement davantage au personnage de loser d’Adam Driver. Enfin, ce fut mon cas, je l’avoue. Personnage magnifique, à la fois solaire et ombrageux, drôle mais désespéré. J’ai comme dans l’idée que c’est un autoportrait qu’a ici esquissé Noah Baumbach...
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« Kramer contre Kramer » disponible sur le site
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Pour passer du rire aux larmes, rien de tel que la réalisation de Robert Benton ! Grâce aux fonctionnalités de nonstopvideos, télécharge « Kramer contre Kramer » légalement sur cette plateforme.
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playvod-cameroun · 4 years
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Kramer contre Kramer : un drame avec Meryl Streep
Si vous êtes un fan de Meryl Streep, vous devez absolument regarder le drame Kramer contre Kramer sur PlayVOD Cameroun. Au casting, vous aurez aussi l’occasion de voir le talent de Dustin Hoffman.
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axel-sgd · 6 years
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26 février
La vie cette plaie qui ne guérit pas. Paye tes hallux sous Z-Drugs. Comme une odeur de cramer de l’air. Ça finit mal comme dans Kramer contre Kramer. Benzo sans ordonnances, planer loin de l’aéroport de Denver. 
Xanax en buvard monopoly, dessein étrange. Les voix des autres, l’enfer toujours. Dernier Risperdal avant la fin du monde. R1. Société sécable, qui viendra me sauver?  À faire pâlir le monde de Dante. 
Antoine, c’est pas beau la folie. 
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