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#l’Afrique centrale
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Perspectives économiques en Afrique centrale 2023 : l’Afrique Centrale a enregistré la meilleure performance économique en termes de croissance, d’inflation et déficit budgétaire, en 2022 par rapport aux autres régions d’Afrique
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iweb-rdc001 · 1 year
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Situation à l'est de la RDC : les chefs d’état-major des armées de la quadripartite CEEAC-EAC-CIRGL-SADC en réunion sur le renforcement de la coordination des forces déployées dans l’Est de la RDC.
Les chefs d’état-major des armées de la quadripartite sur le cadre conjoint de coordination et d’harmonisation des initiatives régionales de paix dans l’Est de la République démocratique du Congo, en collaboration avec le gouvernement congolais, se réuniront au siège de la Commission de l’Union africaine, vendredi 6 octobre 2023, à Addis-Abeba en Ethiopie. Cette réunion extraordinaire réunira des…
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savoir-entreprendre · 14 days
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Comparativement au premier semestre 2023, le franc CFA (FCFA) dans la zone de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) a vu sa valeur augmenter par rapport à celle des cinq autres monnaies de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Cette observation est basée sur une compilation des données publiées par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Voici les points clés du rapport : Renforcement du FCFA : En moyenne, le FCFA s’est renforcé de 114,1 % par rapport aux autres monnaies d’Afrique de l’Ouest au cours des six premiers mois de 2024, par rapport à la même période de l’année précédente. Performances par rapport aux monnaies du Nigeria et du Ghana : Le FCFA a particulièrement bien performé par rapport aux monnaies du Nigeria et du Ghana, qui sont respectivement les première et troisième plus grandes économies de la CEDEAO en termes de PIB. Face au naira, le FCFA a enregistré une progression moyenne de 221,8 %, tandis que face au cedi, cette hausse s’est affichée à 20,8 %. Contexte économique : Les économies nigériane et ghanéenne traversent une crise depuis plusieurs années, ce qui a contribué à la forte appréciation du FCFA par rapport à leurs monnaies respectives. Malgré cette appréciation constatée en glissement annuel, il est important de noter que les six premiers mois de 2024 ont également été marqués par des épisodes de dépréciation du FCFA, notamment face au naira, en glissement mensuel. Cette situation a des implications sur les échanges commerciaux entre les pays de la CEDEAO. En somme, le FCFA, porté notamment par une croissance solide des économies de l’UEMOA et sa parité fixe avec l’euro, continue de jouer un rôle essentiel dans la région. https://savoirentreprendre.net/?p=15882&feed_id=12570
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gaboninfoslive · 2 months
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Réunion à Libreville du Comité National Économique et Financier de la BEAC
Le mercredi 24 juillet 2024, le Ministre de l’Économie et des Participations, Mays MOUISSI, a dirigé les travaux de la réunion ordinaire du Comité National Économique et Financier (CNEF) en qualité de Président de cette instance de la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC). La rencontre qui s’est tenue au siège de la Direction Nationale de la BEAC à Libreville, a réuni autour d’une table…
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bikekokin24 · 3 months
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Félix Tshisekedi Honoré au Tchad : Une Avenue Rebaptisée en Son Nom à N’Djamena
Le Président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a été honoré ce jour à N’Djamena, capitale du Tchad, où une avenue a été rebaptisée en son nom. Cette distinction est une reconnaissance de son rôle crucial en tant que Facilitateur de la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC) dans la résolution pacifique de la crise politique tchadienne. La cérémonie…
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espacetutos · 3 months
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Lancement de la phase pilote du système de paiement instantané interopérable de l'Union Économique et Monétaire Ouest Africaine
Lancement de la phase pilote du système de paiement instantané interopérable de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine La Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a le plaisir d’informer le public du lancement de la phase pilote du système de paiement instantané interopérable de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), prévu pour le lundi 22 juillet…
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devenirmilliardaire · 4 months
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Minerais critiques : le cuivre et lithium au cœur des nouveaux investissements en Afrique. Une étude menée par Africa Business+ et EY, « Critical minerals: The Pivotal Outlook », vient confirmer l’engouement autour de ces deux minerais critiques sur le continent. L’Afrique centrale et australe concentre les nouveaux projets d’exploration. Site de la mine de cuivre Frontier d’Eurasian Ressources Group, à Sakania, dans le sud-est de la RDC, près de la frontière avec la Zambie. Cuivre et lithium au cœur des nouveaux investissements en Afrique Les techniciens du centre WEEE démontent des appareils électroniques. Le fer et le cuivre peuvent être récupérés au Kenya, mais les métaux précieux doivent être traités hors d'Afrique Avec 40 projets d’exploration dénombrés pour le cuivre et 19 pour le lithium, la mise à jour publiée, le mois dernier, de « Critical Minerals: The Pivotal Outlook », l’étude menée par EY et notre confrère Africa Business+, est sans appel : ces deux minerais critiques sont les véritables stars africaines du moment. Ils sont suivis par le platine (14 projets), le nickel (13) et le graphite (11), qui complètent le Top5. Ainsi désormais, d’après les données que nous avons pu consulter, toutes phases de développement confondues (exploration, développement, production, en suspens), le cuivre regroupe à lui seul 187 projets, soit près de 40 % de l’ensemble des projets minerais critiques tel que définis par les auteurs de l’étude en Afrique. Loin devant le platine (66) et le cobalt (60). Ivanhoe, Kobold, ERG… Kinshasa accuse Apple d’utiliser des minerais illégaux en provenance de RDC L’attrait actuel pour le cuivre et le lithium s’explique par la conjoncture très favorable, avec notamment un prix du cuivre frôlant les 10 000 dollars la tonne, se rapprochant ainsi du record historique de mars 2022 de 10 845 dollars. Mais aussi par une tendance structurelle : métal conducteur, le cuivre est essentiel à la transition énergétique, les économies se détournant des énergies fossiles pour aller vers une électricité décarbonée. →A lire  Face aux autres géants, Rio Tinto redouble d’appétit pour le cuivre angolais Et l’Afrique est au cœur de cette course au métal rouge. Dernièrement, Ivanhoe Mines, société fondée par Robert Friedland, s’est lancée dans son exploration en Angola, alors que Kobold Metals, start-up soutenue par Bill Gates avec d’autres milliardaires, a annoncé une importante découverte de cuivre en Zambie. En parallèle, Eurasian Resources Group a promis 800 millions de dollars pour relancer la mine de Comide en RDC, et le groupe MMG, 1,9 milliard, pour racheter le site botswanais de Khoemacau. Le soutien américain au corridor de Lobito, chemin de fer reliant la RDC à la côte angolaise, s’explique pour sa part notamment par la nécessité de convoyer plus rapidement le cuivre vers les États-Unis. La RDC concurrencée Masque capillaire au café avec des vitamines La RDC n’est donc plus le seul pays du continent ciblé pour le cuivre. La Zambie et le Botswana le sont aussi, tout comme la « nouvelle frontière » qu’est l’Angola. La Namibie, considérée comme un pays stable, est celui avec le plus de projets d’exploration sur le continent, tous minerais critiques confondus. Toutefois, à l’image de la tendance actuelle, le cuivre et le lithium sont au cœur des recherches en cours dans cet État d’Afrique australe. Le Zimbabwe possède l’une des plus grandes réserves mondiales de lithium ((ici une usine de traitement à Goromonzi, au nord-est du pays). →A lire  [Classement] RDC, Gabon, Maroc… Sur le marché des minerais critiques, qui a le plus grand potentiel ? Est-ce également la stabilité dont jouit le Rwanda qui attire ? Une brigade mixte pour sécuriser la Falémé ( Haut-Ccommissaire OMVS) Alors que les tensions entre Kigali et Kinshasa sont au plus fort, sur fond d’accusations de pillage des ressources (principalement l’étain, le tantale, le tungstène et l’or, mais pas les minerais dits « critiques » ciblés par l’étude Africa Business+ – EY), le Rwanda a su suscité l’intérêt.
Rio Tinto a conclu un accord pour explorer le potentiel en lithium du pays des mille collines, et l’Union européenne va collaborer avec Kigali dans les minerais critiques. Mais, à l’heure où la recherche de nouveaux gisements majeurs de cuivre, lithium et autres minerais critiques bat son plein partout en Afrique, la compétition ne devrait pas se cantonner, dans les prochains mois, à Kigali et Kinshasa… Une étude mise à jour tous les six mois cuivre et lithium au cœur des nouveaux investissements en Afrique Fruit d’un travail conjoint entre Africa Business+ et EY, « Critical minerals: The Pivotal Outlook » est un tableau de bord inédit permettant de découvrir les projets majeurs du continent dans huit minerais essentiels à la transition énergétique : bauxite, cobalt, cuivre, graphite, lithium, manganèse, nickel et platine. Constitué d’une carte interactive, d’un tableau et de graphiques dynamiques, cet outil détaille des éléments stratégiques sur ces projets : le statut actuel, l’actionnariat, le volume de ressources, de réserves et de production annuelle, ou encore la recherche ou non d’investissements par l’opérateur… La mise à jour de « Critical minerals: The Pivotal Outlook » – exercice répété tous les six mois – donne un aperçu des tendances fortes dans les minerais critiques africains.
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esidwaya · 4 months
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Politique monétaire :La BCEAO maintient son principal taux directeur à 3,50%
Le Comité de Politique Monétaire (CPM) de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a tenu sa deuxième réunion annuelle le mardi 4 juin 2024, à Dakar, au Sénégal. A l’issue de cette rencontre, il a décidé de maintenir le principal taux directeur à 3,50%, ainsi que le taux d’intérêt sur le guichet de prêt marginal à 5,50%. Le taux directeur, qui est le taux auquel la Banque…
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BAZ'ART au Musée du Nouveau Monde
BAZ'ART au Musée du Nouveau Monde
Le musée du Nouveau Monde de La Rochelle présente l’exposition temporaire Baz’Art ! Art et commerce chez les Kongo du 18 mai au 18 novembre 2024, en partenariat avec le Musée royal de l’Afrique centrale de Tervuren en Belgique.  Au 19e siècle, des sociétés commerciales occidentales privées s’implantent en divers endroits du continent africain. En Afrique centrale, la zone comprise entre le…
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1962-2022 : Célébration du soixantième anniversaire de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest.
1962-2022 : Célébration du soixantième anniversaire de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest.
La Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) célèbre son soixantième anniversaire. La commémoration sera marquée par l’organisation d’un symposium international portant sur le thème “Les Banques Centrales dans un monde en mutation”. Ce symposium sera suivi de la cérémonie d’installation officielle du Gouverneur de la BCEAO, Monsieur Jean-Claude Kassi BROU. Ces manifestations, qui…
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iweb-rdc001 · 1 year
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Situation à l'est de la RDC : les chefs d’état-major des armées de la quadripartite CEEAC-EAC-CIRGL-SADC en réunion sur le renforcement de la coordination des forces déployées dans l’Est de la RDC.
Les chefs d’état-major des armées de la quadripartite sur le cadre conjoint de coordination et d’harmonisation des initiatives régionales de paix dans l’Est de la République démocratique du Congo, en collaboration avec le gouvernement congolais, se réuniront au siège de la Commission de l’Union africaine, vendredi 6 octobre 2023, à Addis-Abeba en Ethiopie. Cette réunion extraordinaire réunira des…
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savoir-entreprendre · 4 months
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En 2022, seulement 34 % de la population en Afrique de l'Ouest et centrale avait accès à une connexion haut débit, selon la Banque mondiale. Pour remédier à cette situation, des initiatives régionales sont en cours pour augmenter le taux de connectivité dans ces régions. Parmi ces initiatives, la mise en œuvre du câble sous-marin de télécommunications Amilcar Cabral se distingue comme un projet phare. Destiné à relier le Cap-Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia et la Sierra Leone, ce projet progresse à grands pas. Une délégation de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), conduite par M. Sediko Douka, commissaire aux infrastructures, à l'énergie et à la digitalisation, a rencontré M. Nouha Traoré, secrétaire général du ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Économie numérique de la Guinée, le lundi 3 juin, pour discuter du développement de ce projet stratégique. Selon un communiqué du ministère guinéen chargé du numérique, « Les discussions ont porté sur plusieurs points clés du projet, notamment son caractère régional et son importance pour l’intégration de la CEDEAO, les étapes techniques clés à mettre en œuvre, l’obtention des permis nécessaires au déploiement du câble, ainsi que les aspects financiers du projet ». Ce projet s'inscrit dans la continuité de la signature d’un protocole d’accord avec la Commission de la CEDEAO, intervenu plus d’un an auparavant, pour le développement de cette infrastructure stratégique. Les six États concernés ont ainsi accepté de s’engager dans le processus d’évaluation de la faisabilité technique, économique, financière, sociale et environnementale du projet, tout en mobilisant les ressources nécessaires à sa réalisation. La Commission de la CEDEAO se chargera de coordonner l'exécution du projet en lien avec les pays bénéficiaires, les bailleurs de fonds et autres parties prenantes. La Guinée et la Gambie, à travers le Programme régional d’intégration numérique en Afrique de l’Ouest (WARDIP), ont obtenu un financement de la Banque mondiale pour la mise en œuvre du projet. Estimé à plus de 90 millions de dollars, ce projet est crucial pour la région. Une fois réalisé, le câble sous-marin Amilcar Cabral devrait augmenter la capacité des télécommunications internationales, améliorer l'accès aux services numériques et offrir une redondance essentielle pour garantir la résilience de l’Internet à haut débit dans les pays concernés. Ce projet vise également à améliorer l'infrastructure numérique nécessaire pour attirer des investissements étrangers, créer des emplois et soutenir le développement de l’économie numérique dans la région. Avec le soutien de la CEDEAO et de la Banque mondiale, l’Afrique de l'Ouest fait un pas significatif vers une connectivité accrue, ouvrant ainsi la voie à un futur numérique plus intégré et prospère. https://savoirentreprendre.net/?p=13598&feed_id=7783
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gaboninfoslive · 2 months
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Réunion du Conseil d'administration de la BEAC à Libreville
Le lundi 22 juillet 2024 à Libreville, le Ministre de l’Économie et des Participations, Mays MOUISSI, a présidé la réunion ordinaire du Conseil d’Administration de la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC). Cette session a été l’occasion de discuter des politiques économiques régionales, de passer en revue les performances financières récentes et d’aborder les défis économiques actuels…
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wiwsport · 5 months
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espacetutos · 3 months
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La BCEAO lance un système de paiement instantané révolutionnaire en UEMOA
La Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) s’apprête à transformer le paysage financier de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) avec le lancement imminent de son système de paiement instantané interopérable. Dès le 22 juillet 2024, les transactions financières au sein de l’UEMOA pourraient connaître une révolution. Ce nouveau système, accessible 24h/24 et…
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kaymiteconsultingfr · 7 months
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Libérer le potentiel de croissance : le paysage des services de conseil en Afrique de l’Ouest
Ces dernières années, l’Afrique de l’Ouest est devenue une plaque tournante de l’activité économique, attirant l’attention des investisseurs et des entreprises cherchant à exploiter son vaste potentiel. Dans cet environnement dynamique, la demande de services de conseil a augmenté à mesure que les organisations recherchent des conseils stratégiques pour faire face aux complexités et débloquer des opportunités de croissance. Cet essai explore le paysage des services de conseil en Afrique de l’Ouest, en examinant les principales tendances, défis et opportunités qui façonnent le secteur.
La trajectoire de croissance :
Le paysage économique de l'Afrique de l'Ouest a subi une transformation significative, motivée par des facteurs tels que l'urbanisation, les changements démographiques et les progrès technologiques. Alors que les entreprises cherchent à tirer profit de ces opportunités, la demande de services de conseil a explosé. Du conseil en gestion aux services de conseil spécialisés, les entreprises jouent un rôle central en aidant leurs clients à améliorer leur efficacité, à stimuler l'innovation et à élargir leur portée sur le marché.
Tendances clés:
Plusieurs tendances remodèlent le paysage du conseil en Afrique de l’Ouest. Une tendance notable est l’accent croissant mis sur la transformation numérique. Alors que les organisations reconnaissent l’importance de tirer parti de la technologie pour obtenir un avantage concurrentiel, les sociétés de conseil proposent des solutions sur mesure pour permettre la numérisation dans divers secteurs.
De plus, l’accent est de plus en plus mis sur la durabilité et les facteurs ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance). Les cabinets de conseil aident leurs clients à intégrer des pratiques de développement durable dans leurs stratégies commerciales, en s'alignant sur les tendances mondiales en faveur d'une conduite commerciale responsable et éthique.
En outre, la montée en puissance des cabinets de conseil de niche est une autre tendance à noter. Ces sociétés spécialisées offrent une expertise approfondie dans des secteurs industriels ou des domaines fonctionnels spécifiques, répondant aux besoins uniques des clients des divers marchés d'Afrique de l'Ouest.
Défis:
Malgré des perspectives de croissance prometteuses, le secteur du conseil en Afrique de l’Ouest est confronté à plusieurs défis. L’un des défis majeurs est la rétention et le développement des talents. Le marché du conseil de la région est extrêmement compétitif, ce qui entraîne un braconnage de talents et une pénurie de compétences. Les entreprises doivent investir dans des programmes de formation et de développement pour développer les talents locaux et combler efficacement les déficits de compétences.
De plus, l’instabilité géopolitique et les incertitudes réglementaires présentent des risques pour les sociétés de conseil opérant en Afrique de l’Ouest. Les fluctuations des environnements politiques et des cadres réglementaires peuvent avoir un impact sur les délais des projets, les décisions d'investissement et les opérations commerciales globales, nécessitant une stratégie solide de gestion des risques.
Opportunités:
Malgré les défis, le secteur du conseil en Afrique de l’Ouest regorge d’opportunités. La classe moyenne en plein essor, l'urbanisation rapide et les marchés de consommation en expansion de la région offrent un immense potentiel aux sociétés de conseil pour stimuler la croissance et l'innovation. En s'associant avec des parties prenantes locales et en tirant parti de leur expertise mondiale, les sociétés de conseil peuvent ouvrir de nouvelles voies d'expansion commerciale et de pénétration du marché.
En outre, la demande croissante de développement d’infrastructures offre des opportunités lucratives aux cabinets de conseil. Des transports et de l'énergie aux soins de santé et à l'éducation, il existe un besoin croissant de services de conseil stratégique pour faciliter les projets d'infrastructure et favoriser le développement durable dans toute l'Afrique de l'Ouest.
Conclusion:
En conclusion, le secteur du conseil en Afrique de l’Ouest connaît une croissance et une transformation rapides, portées par l’évolution de la dynamique du marché et les opportunités émergentes. Alors que des défis tels que la rétention des talents et les risques géopolitiques persistent, les cabinets de conseil sont bien placés pour capitaliser sur le potentiel économique de la région en proposant des solutions innovantes et des informations stratégiques. En adoptant la numérisation, la durabilité et la spécialisation, les cabinets de conseil peuvent jouer un rôle central dans l’élaboration de l’avenir des affaires en Afrique de l’Ouest et dans la promotion du développement durable dans la région.
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