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#médiathèque edmond rostand
rostanoide · 4 years
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Dublin Trilogie par Eamonn Doyle (Textes Kevin Barry, design et dessins Niall Sweney). Editions Textuel
Cote : PHOTO 2 DOYL
Eamonn Doyle photographie dans un périmètre de 800 m autour de chez lui. Plongées et contre-plongées, couleurs chatoyantes et noir profond, Doyle colle aux basques de ses dublinois et signe un livre de "street photography” qui bouscule le genre et passionne. 
D.
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britishchick09 · 3 years
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i was looking up libraries around palais garnier and i found one called médiathèque edmond rostand. the guy it’s named after looked pretty old-fashioned so i looked him up and found something quite familiar... ;)
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edmonddisco · 4 years
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Originaires d' Hernando, le groupe américain 'North Mississippi Allstars' se fonde en 1996 autour des deux frères Dickinson: Luther (guitare, voix, Lowebow-genre de guitar box) et Cody (batterie, claviers, washboard).
Dès leur premier opus ('Shake hands with Shorty') sorti en 2000, le groupe est nominé pour un Grammy Award du "meilleur album de blues contemporain". Puis couronné en 2001 d'un Blues Music Award en tant que 'meilleur nouvel artiste'. Depuis, le groupe sort un album quasiment chaque année, et collabore tous azimuts. Notamment avec Duwayne Burnside, fils de R.L.  Ouvrant en première partie de Robert Plant et de son groupe 'Band of Joy', ils acquièrent à partir de 2011 une plus large audience.
Et c'est en 2019 qu'ils publient ce très beau 'Up and Rolling'. Enregistré dans les fameux Zebra Ranch Studios crées par leur illustre producteur de père Jim Dickinson, c'est un disque électrique, classieux et boueux aussi parfois, où les guitares et le slide de Luther Dickinson font merveille; ainsi que le chant relax et suave de la grande Mavis Staple sur le très soul 'What you gonna do ?' ou encore le fifre et la voix de Sharde Thomas qui confèrent au splendide 'Call that gone' des airs de fanfare sauvage et oubliée...
Gage de suprême reconnaissance, le disque est chroniqué dès sa sortie dans la revue SoulBag.
Empruntable très bientôt à la médiathèque Edmond Rostand à la cote 1.1 NOR !
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collectifneuf · 5 years
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Le collectif neuf a le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition photographique Tram)(es, le 14 septembre à partir de 17h, à la Médiathèque Edmond Rostand (11 rue Nicolas Chuquet, 75017 Paris, métro ligne 3 - Pereire ou Wagram).L'exposition sera visible jusqu'au 6 octobre 2019. instagram facebook
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mactanne · 7 years
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une nouvelle page dédiée à la photo, la mienne, mais pas que. De courtes chroniques  de livres de photographie que j’aime (tous présents dans le fonds de livres photo dont je m’occupe à la médiathèque Edmond Rostand à Paris 17) et des liens vers des pages de photographes que j’admire. Enjoy !
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usomohoben-blog1 · 7 years
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Laurent Patart a parcouru le Grand Paris pendant un an pour en rapporter des centaines d'assemblages photographiques, des panoramiques puissants et beaux. Cette cartographie de l'habitat populaire collectif de la 2eme moitié du 20e siècle figure la grande diversité visuelle des "cités".
Exposition du Fonds photo de la médiathèque Edmond Rostand du  5  au 30 septembre 2017. 11 rue Nicolas Chuquet 75017 Paris.
© Laurent Patart
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ioopix · 6 years
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Café Images du samedi 6 avril 2019 : FemmesPHOTOgraphes
Ce Café Images sera consacré à l’association et à la revue FemmesPHOTOgraphes et animé par David Tanné.
Elles sont les invitées de la Médiathèque Edmond Rostand qui leur a donné carte blanche pour investir leur fonds de livres sur la photographie. À l’occasion de la parution des numéros 4 et 5 de leur revue, sont organisés une exposition et de nombreux évènements.
FemmesPHOTOgraphes a vu le jour…
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alainhugo · 7 years
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Conférence sur là colorimètrie et les correspondances entre les périphériques et l'impression en photographie avec Gens d' Images (à Médiathèque Edmond Rostand)
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rostanoide · 4 years
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Les libertés intérieures - Photographie Est-Allemande 1980 - 1989
Sous la direction de Sonia Voss - Editions Xavier Barral.
Cote PHOTO 4 E
Un véritable coup de cœur pour ce livre présentant 16 photographes de République Démocratique Allemande dans la dernière décennie de son existence. L’intimité des corps, la culture Punk, l’hybridation artistique face à l’étouffoir stalinien : remarquable !
D.
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rostanoide · 4 years
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La photographie depuis chez soi
Depuis le week-end du 14/15 mars dernier, et encore plus depuis l'instauration du confinement de la population, afin de lutter contre la propagation de l'épidémie de Covid-19, les galeries, les centres, les musées et autres Maisons, tous les lieux dédiés à la photographie - idem concernant les autres disciplines artistiques - ont fermé leurs portes. Plus aucune exposition physique, plus de festivals in situ, plus de séries tirées sur papier et accrochées à de véritables murs. À moins de détenir une bibliothèque privée remplie de livres photos ou de se satisfaire de l'onglet "Images" de son navigateur Internet habituel, il est désormais difficile, dans la vie extérieure, d'aller assouvir sa passion.
Néanmoins, grâce aux initiatives de certains acteurs de la diffusion culturelle en ce domaine, la photographie n'a pas disparu des yeux des spectateurs. Depuis chez soi, en demeurant confiné, et connecté à Internet, il est encore possible de regarder des photographies. Mais aussi, pour varier les plaisirs, de lire sur la photographie, et, encore plus fort, d'entendre parler de photographie - “écouter le visuel”.
L'équipe du Fonds photo de la médiathèque Edmond Rostand a rassemblé quelques-unes de ces initiatives, déjà existantes avant l'épidémie - ou de circonstances.
Voir la photographie
Voir (quand même) les expositions du moment :
- Claudia Andujar, La Lutte Yanomami 
- Les expos de la Maison Européenne de la photographie 
- Zingaro, la capsule de Mars 
- Fragments d'un Paradis 
Voir d'autres expositions, d'autres séries, de tous temps, par tous les temps
- Paris en Images 
- Les collections photographiques de la BNF 
- David Goldblatt au centre Pompidou 
- Dora Maar au centre Pompidou 
- Perles des archives de la Fondation Henri Cartier-Bresson
- Les collections numérisées du Musée français de la photographie 
- Portfolios du Centre photographique d'île de France 
- Galerie des membres du Photo-Club de Paris-Val-de-Bièvre 
- Les archives de James Barnor (en partenariat avec la galerie Clémentine de la Féronnière)
- L’Open musée Niépce
- Les membres de l'agence Hans Lucas
- Ressources de The United Nations of Photography 
- Les photos des invités de Paris Photo 
- Pictures of the week du Leica Fotographie International
- Les Portfolios de Réponses photo
- Quelques bons photographes de rue actuels
- Des archives du Jeu de Paume
- Les expositions virtuelles de Corridor Elephant 
- Les portfolios du quotidien Libération
- Les newsletters de la galerie A.galerie ici et là
Lire la photographie
- La revue La Documentation française
- La revue Études photographiques
- Le magazine du Jeu de paume
- La plateforme Observer-Voir 
- Les articles sur la production éditoriale des livres photo
- Les chroniques de Laurence Vecten dans The Eyes
- Les articles du Centre de Recherche Art & Image de l'ENSP d'Arles
- Et bien sûr, les magazines spécialisés : Polka, Fisheye, 9 lives, The Eyes, Openeye, L'Oeil de la photographie ou Paris Art
Entendre parler de photographie
- Les archives de l'émission de France Inter, Regarder voir
- Archives de France Culture sur la photographie
- Les vidéos du Musée de l'Elysée de Lausanne
- Les rencontres filmées des Rencontres d'Arles (2008/2019)
- Les rencontres filmées de la librairie La Comète
- L'interview de Simon Baker, directeur de la MEP
- Colloque filmé du centre Pompidou (2015) : Où en sont les théories de la photographie ?
- Le documentaire Sabine Weiss : un regard sur le temps (2018)
- Le documentaire ARTE Dorothea Lange, photographe humaniste (2019)
Nous ne pouvons que recommander à tous les amateurs de photographie de s'inscrire aux lettres d'information des acteurs de la photographie à Paris, en France, et même dans le monde entier (ça marche aussi).
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rostanoide · 5 years
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Exposition du 19 octobre au 17 novembre 2019 dans le Fonds photo des bibliothèques de Paris
Plexus est une exposition dont le nerf central est l'expérimentation qu'elle soit à la prise de vue ou directement sur un photogramme.
Rejetant le réalisme et l'académisme, j'explore les potentialités créatives du médium, privilégiant l'expérimentation, en scarifiant, en grattant, en modifiant la chimie, en surexposant, en vitesse longue ou lente, en numérique, en argentique, toujours en quête d'une autre vérité, d'un autre regard ou d'un questionnement.
Cette exposition relate une certaine diversité de ma création à travers un ensemble de photographie réalisées ces deux dernière années ainsi que mon engagement presque politique, obsessionnel à vouloir changer le réel, « l’enténébrer » afin d'y révéler le « rêve ».
Sophie BOULOUX autrement appelée Sophie.B, pratique la photographie et le cinéma expérimental, mais également l'écriture plus précisément la poésie concrète qu'elle autoédite et réalise également des créations sonores pour ses films. Son travail photographique et cinématographique est autonome et sans règle et tisse un lien étroit entre expérimentation et poésie créant une véritable dialectique de mondes intimistes et insolites.
Elle expose ses photographies et projète ses films en France et à l'international lors d'exposition et festivals comme les rencontres Internationales Paris/Berlin, L'oeil d'Oodaaq (Rennes), Ibrida*Pluri (Montréal), OFNI (Poitiers). Elle est l'invitée d'honneur en 2007 du festival Resistenza Analogica (Italie) et en 2016 lors du festival OFNI (France).
Dans le cadre de cette exposition Sophie B. dirigera deux workshops autour de la pratique du sténopé et de l'expérimentation photographique les samedis 2 et 9 novembre (de 14 à 18h, sur inscription uniquement). Ecrire à  : [email protected]
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rostanoide · 5 years
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Timothy Egan : L’attrapeur d’ombres : La vie épique d’Edward S. Curtis. Albin Michel © 2012
Le travail de Curtis n’a peut-être pas d’équivalent dans l’histoire de la photographie par son ampleur, sa profondeur et son extraordinaire beauté.
Personnellement son portrait de la nation Hopi me fascine depuis des années.
Curtis a travaillé plus de 30 années, parcourant l’Amérique d’Est en Ouest et du Sud au Nord, finissant son oeuvre en Alaska. 
La famille Morgan sera son principal mécène sans jamais lui verser le moindre salaire et lui soutirant jusqu’au copyright de ses photos, Curtis, ami de Roosevelt, mourra dans la misère et l’oubli. La famille Morgan vendra le contenu des vingt volumes créés par Curtis, d’une portée anthropologique inouïe, pour 1000 $.
Curtis l’autodidacte a recueilli d’innombrables dialectes, chants, récits. Il a sauvé la mémoire indienne, refusant au passage de peindre la terrible acculturation imposée par les vainqueurs pour mieux témoigner de l’importance d’une culture et d’une population qui ont quasiment disparues sous ses yeux. 
D.
Les Indiens d'Amérique du Nord  : les portfolios complets  :  PHOTO 2 CURT
L'indien d'Amérique du Nord :  PHOTO 2 CURT 
L'attrapeur d'ombres  : la vie épique d'Edward S. Curtis, Timothy Egan :  PHOTO 2 CURT 
In the land of the head hunters, Edward S. Curtis : PHOTOGRAPHIE (DVD)  
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rostanoide · 6 years
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Luigi Ghirri, Cartes et territoires, jusqu’au 02 juin 2019. Musée du Jeu de Paume, Paris.
Après avoir séjourné à Essen et à Madrid, la première rétrospective des œuvres de Luigi Ghirri produites dans les années 70 s’expose à Paris depuis le 12 février.
Géomètre de formation et originaire de l’Émilie-Romagne, qu’il a abondamment photographiée, Luigi Ghirri (1943 - 1992) est un photographe majeur, enfin montré hors de son Italie natale.
Ghirri prenait ses photos en couleur et donnait ses pellicules Kodachrome au développeur du coin, sans plus de manière. Ses photographies frontales et poétiques révèlent l'omniprésence des images dans le paysage quotidien. Ghirri va à l’essentiel de l’acte photographique : une leçon magnifique de simplicité et d’élégance artistiques.
Le Fonds photo de la Médiathèque Edmond Rostand possède une excellente compilation des écrits de L. Ghirri. Ils nous permettent de mieux appréhender son œuvre, avec ses propres mots :
J’ai toujours pensé que la photographie était un langage pour voir et non pour transformer, occulter, modifier la réalité. Je préfère que la photographie révèle un autre regard sur les espaces, les objets, les paysages que je veux représenter. Je suis convaincu qu’un regard libre de toute acrobatie formelle ou d’élucubration réussit mieux à trouver un équilibre, entre le savoir et la simplicité.Trouver ainsi à l’intérieur de la géométrie et la fixité de l’espace de la chambre obscure, la mesure pour le représentation de l’extérieur. Aucune violence, ni choc émotionnel ou effet forcé, mais le silence, la légèreté, la rigueur afin de pouvoir entrer dans le rapport avec les choses, les objets, les lieux.
Pour toutes ces choses, Walker Evans m’a été d’un grand secours. Je dois dire que c’est l’auteur que j’aime le plus et celui dont je me sens le plus proche. Je ne me suis jamais bien entendu avec le monde de la photographie.
Trop souvent la photographie décline sa propre potentialité pour se réfugier dans les émotions de la couleur, dans la répétition obsessionnelle, dans l’usage répété et écœurant d’un style, dans la récapitulation et les exaspérations formelles. Cet aspect maniaque me semble dangereux : la photographie s’appauvrit et devient l’antichambre anesthésiée du regard. (”l’œuvre photographique”, in Luigi Ghirri : Voyage dans les images, p.44. En Vues, 1997)
David
Deux ouvrages disponibles dans notre collection (commande en cours du catalogue de cette exposition) :
       - Luigi Ghirri : Voyage dans les images (PHOTO 2 GHIR)
       - Luigi Ghirri : Kodachrome (PHOTO 2 GHIR)
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rostanoide · 5 years
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Le collectif et la revue Femmes PHOTOgraphes s’installent pour une carte blanche dans le Fonds photo de la médiathèque Edmond Rostand (75017) du 6 avril au 5 mai 2019.
Samedi 6 avril à partir de 18h00, soirée de lancement, projection et vernissage.
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rostanoide · 6 years
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DAIDO MORIYAMA SUR NIEPCE
“Le mythe de la lumière
Lorsque je plonge au plus profond de ma mémoire visuelle, le paysage d’un jour d’été lointain ressuscite et me revient. Est-ce une arrière-cour vue depuis la fenêtre ? Des formes indistinctes d’arbres et de maisons sont fixées sur la plaque enduite d’asphalte. leurs contours sont presque effacés, la lumière et l’ombre voltigent et se confondent dans une atmosphère granuleuse, l’image a l’air fossilisée. Ce paysage d’un jour d’été date d’il y a exactement cent cinquante-sept ans, il est apparu sous les yeux d’un chimiste du nom de Nicéphore Niépce, qui habitait à Saint-Loup, un village retiré de France. C’est la première “photographie” au monde. Bien évidemment, je n’ai pas été témoin de cette scène. J’ai découvert cette image dans un album photo, il y a une dizaine d’année. Ce tableau filtré par la lumière, ces arabesques de clair-obscur, ont pénétré jusqu’au plus profond de ma mémoire, comme si je les avais vus de mes propres yeux, un jour d’été. Ce paysage exposé au soleil, qui a bien existé à cet endroit-là et à ce moment-là, ressuscite pourtant subitement, éveillant en moi de nombreux souvenirs à chaque fois que je pose mon doigt sur le déclencheur.
Cette image fossilisée n’est pour moi rien d’autre que la mémoire de la lumière. Et la mémoire que porte cette première photographie n’est absolument pas celle de Niépce, ni la mienne, moi qui la regarde. Ce cliché est, en quelque sorte, la mémoire du monde et la mémoire de la photographie. Un homme, Niépce, a photographié un paysage rural français par un jour d’été et y a mis toute son ambition. L’ironie de l’histoire, c’est que cette image a fini par devenir à la fois la première photographie au monde  et la première mémoire de la lumière du monde. Selon moi, elle est donc aussi le mythe de la lumière.”
L’article se poursuit et Moriyama conclut :
“La photographie est la mémoire de la lumière, son fossile. Et la photographie est l’histoire de la mémoire.
pour le moment, cette conclusion, même provisoire, me satisfait.”
Extrait de : Daido Moriyama, Mémoires d’un chien, Delpire, 2016
Rangement dans le Fonds photo : PHOTO 2 MORI
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rostanoide · 6 years
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Deux petites expositions dans deux galeries parisiennes...
Le grand Gavin Watson pour la première fois à Paris et seulement jusqu’au 19 octobre avec l’arrivée de la scène House et techno à Londres : Raving 89. à la galerie Iconoclastes
Des sérigraphies de photographies d’Antoine d’Agata prises au Mexique chez In Between 
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