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#maison d'autriche
roehenstart · 1 year
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Anne d'Autriche, infante d'Espagne, reine de France. Artiste inconnu.
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dreamconsumer · 15 days
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Eleanor of Habsburg (1498-1558), Queen of France (1530-1547).
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northernmariette · 1 year
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A bit more about Bernadotte, a tiny little crumb about Mortier
Just about a year ago, just before Bernadotte's birthday, I kept coming across new discoveries regarding the previous birthday boy, Ney. Well, discoveries new to me, anyway.
This year, coming up on Mortier's birthday, I keep coming across new discoveries regarding the previous birthday boy, Bernadotte. This latest one is from "Journal du comte Rodolphe Apponyi, attaché de l'ambassade d'Autriche-Hongrie à Paris", to be found on Gallica. Silly me, I forgot to note the page but it's round about page 15, and it's for the year 1844. It is shortish, so I will transcribe the extract in its entirety, followed by my own rough translation:
"Le roi de Suède est toujours mourant. Il a été si mal, ces derniers temps, que malgré sa défense expresse de ne jamais le saigner, de le laisser mourir plutôt que de faire cette opération, on l'a fait par ordre exprès de la reine, mais quel ne fut pas l'etonnement des assistants, en voyant sur ce bras royal quantité de tatouages cabalistiques et surtout, du haut en bas la phrase suivante en grosses lettres: "Liberté. Égalité. Vive la République!"
On m'a raconté, à ce propos, que lorsque Bernadotte a été en Corse, il a voulu épouser la fille d'un fermier parce qu'elle avait quelque argent; les parents de la jeune fille ne la lui ont pas accordée parce que lui n'en avait point et qu'il n'était que simple soldat. Cette femme vit encore: elle est si pauvre qu'elle est servante dans une petite maison bourgeoise où elle porte de l'eau et fait le gros ouvrage dans la cuisine!"
The King of Sweden is Bernadotte, of course. He did die in 1844, after spending 34 years successfully ruling Sweden, unofficially as the Crown Prince since 1810, then as the actual King from 1818.
Here is my translation of the preceding French text:
"The King of Sweden is still near death. He has been so ill of late that in spite of his formal command never to bleed him, to let him die rather than to carry out this procedure, the Queen ordered it to be done; but the medical assistants were astonished to see on the royal arm a multitude of cabalistic tattoos but especially, from top to bottom, the following phrase in large lettering: "Liberty. Equality. Long live the Republic!"
I have been told that when Bernadotte was stationed in Corsica, he had wanted to marry the daughter of a farmer because she had some money; her parents refused to grant his request, because he had no money of his own and because he was but a soldier. The woman in question is still alive: she is so poor that she is now a servant in a small bourgeois household, where she fetches water and works as a scullery maid."
Bernadotte did serve in Corsica before the Révolution. At the time, Corsica had not been part of France for very long and the political situation there was not terribly stable. I have not looked into this, but I wonder if he and Napoleon might have been there at the same time in the 1780s. I wonder too if Bernadotte knew about the Bonaparte family at least by reputation, as it had at least some degree of prominence on the island, and certainly much prominence in Ajaccio.
Regarding Bernadotte's tattoos, I have seen different versions of what the exact wording was - "Death to Kings" is what I have read elsewhere - where this particular tattoo was located (arm? chest?), and the reason for Bernadotte's reticence. I think it makes more sense that he did not want to be bled than the reason I have seen elsewhere, namely that he was embarrassed that his doctor would see the tattoo. By the time he was at death's door, somehow I doubt he would have cared that much about his doctor's opinion about very old tattoos - including the cabalistic ones, which I think referred to freemasonry symbols.
Now on to the Mortier crumblet.
I am still reading Philip Mansel's "The Eagle in Splendour" with pleasure and interest. I do have a bone to pick with him, which is that he does not sufficiently quote his sources. This drives me nuts when I want to find out more about any particular aspect of his book. I have no idea where the following information comes from, and it does leave me wondering.
On page 59, Mansel writes, concerning Napoleon's marriage to Marie-Louise:
"Throughout the round of glittering ceremonies, the Emperor and Empress were surrounded by members of the imperial family and, above all, of the court. Duroc, Berthier, Montesquiou and Marshal Mortier were especially prominent (...)."
Huh? Why was Mortier especially prominent at the time of Napoleon's second wedding? Why he, among all the Marshals? No surprise about Berthier, who had been sent to Vienna to finalise the marriage agreement and who had actually married Marie-Louise by proxy; but Mortier? And in what role? This doesn't seem to be something I will find out from Mansel. Not cool.
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Armand Jean du Plessis de Richelieu, dit le cardinal de Richelieu, cardinal-duc de Richelieu et duc de Fronsac, est un ecclésiastique et homme d'État français, né le 9 septembre 1585 à Paris et mort le 4 décembre 1642 dans cette même ville. Pair de France, il a été le principal ministre du roi Louis XIII.
À un Louis XIII ombrageux et soucieux d’affirmer l’autorité royale, Richelieu propose le programme suivant :
détruire la puissance politique du protestantisme en France ;
abattre l'orgueil et l'esprit factieux de la noblesse ;
et abaisser la maison d'Autriche.
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marciamattos · 5 months
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Les Époux Arnolfini de Jan van Eyck.
LIVRE/Les époux Arnolfini de Jan van Eyck disséqués par Jean-Philippe Postel
Crédits: National Gallery, Londres
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C'est l'un de plus célèbres tableaux du monde. Conservé depuis 1843 à la National Gallery de Londres, ce panneau de moins d'un mètre de haut se voit intitulé, pour des raisons de commodité, «Les époux Arnolfini» (1). Son auteur ne fait aucun doute. Il s'agit de Jan van Eyck, qui l'a pourvu d'une très visible signature. L’œuvre porte une date, 1434. Le caractère alambiqué de l'inscription en caractères gothiques, «Jan van Eyck fut ici en 1434», ne permet cependant pas de savoir si c'est l'année de sa création ou si l'événement rapporté s'est déroulé cette année-là. De toute manière, ce chef-d’œuvre admirablement conservé ne saurait être postérieur de beaucoup. Van Eyck, dont on ignore la date de naissance, est mort en 1441.
La peinture a déjà fait couler beaucoup d'encre. Elle pose des problèmes complexes d'interprétation. Ancien médecin, Jean-Philippe Postel n'est pas historien de l'art. Il utilise ici les travaux des chercheurs professionnels, en y ajoutant une «observation clinique attentive». Il s'agit en effet de tout voir, même ce qui se révèle microscopique. Van Eyck reste le maître absolu du détail, même s'il y en a tout de même moins ici que dans la «Vierge du chancelier Rolin», à l'iconographie plus simple, qui se trouve depuis la Révolution au Louvre. Là, certains personnages d'un paysage urbain presque infini mesurent moins de trois millimètres.
Une histoire connue depuis 1516
Le tableau connu sous le nom des «Arnolfini» n'a pas toujours porté ce titre. On ne sait rien de son exécution. Il apparaît en 1516, ce qui semble déjà remarquablement précoce, chez Don Diego de Guevara, qui l'offre à Marguerite d'Autriche, régente des Pays-Bas. Il passe ensuite à Marie de Hongrie, la sœur de Charles-Quint, qui s'occupe des mêmes provinces. Elle le ramène en Espagne où il pend encore au début du XIXe siècle au Palacio Nuevo, qu'occupe Joseph Bonaparte, le frère aîné de Napoléon, promu roi à la force des baïonnettes. Après, on ne sait pas. Joseph quitte le pays avec nombre de tableaux, dont beaucoup se trouvent aujourd'hui à Aspley House, la maison des ducs de Wellington en plein Londres. Le colonel William Hay aurait retrouvé celui-ci en 1815 dans une maison belge...
L’œuvre a toujours passé pour mystérieuse, à la manière d'un rébus. Marie de Hongrie l'avait fait fermer par des volets cadenassés, signe de secret à cacher. Dès 1516, le personnage masculin est nommé Hernoul-le-Fin. Par assonance, le historiens en ont fait Arnolfini. Il s'agirait d'un membre (mais lequel, au fait, vraiment Giovanni?) d'une des ces nombreuses familles italiennes faisant du commerce à Bruges, dans le port de laquelle entre vers 1430 jusqu'à 100 bateaux par jour. Les Florentins ou les Lucquois passent quantité de commandes à Van der Weyden, Hugo van der Goes ou Memling.
Le petit chien sans reflet
Le tableau montre un couple bourgeois et prospère. L'homme et la femme ne se regardent pas. Lui tient une main en l'air, dans l'attitude du serment. Elle lui tient la main. Il y a devant eux un ravissant petit chien dont le reflet ne se retrouve pas sur le miroir placé au fond du décor de chambre. Postel va donc se lancer, à la suite de Margaret L. Koster (2003) dans une histoire de mort. La femme en vert est décédée. Elle est un instant sortie du Purgatoire. Sa main brûle celle de son veuf. L'auteur s'appuie là sur des textes médiévaux mêlant théologie et histoires de revenants. La dame n'est donc pas enceinte. Il s'agit d'une mode des débits du XVe siècle, que l'on retrouver dans le costume féminin national coréen, le hanbok.
Le couple a pourtant eu un enfant. Mort-né, sans doute. Le prouverait une troisième bougie du splendide lustre de cuire. Allumée, la première incarne l'homme. Elle se trouve du reste dans la partie gauche du tableau, le lieu de vie. Eteinte et à droite, la seconde désignerait l'état du spectre. Mais il y a un moignon de cire sur une troisième bobèche. La femme sans identité (on a parlé de Giovanna Cenami) a-t-elle été remplacée? Oui pour Postel. Il y a au fond du tableau des pantoufles, signes d'une félicité nouvelle. «Elles préexistent à l'apparition et elles persisteront après elles.» Ce sont donc celles de la remplaçante, à moins que l'époux fidèle n'ait laissé la chambre, meublée avec un luxe extrême, en l'état après la mort de son épouse. En couches, sans doute.
Un jeu de construction
Je ne vous donne là que quelques-unes des innombrables suppositions que l'auteur aligne en tenant compte des mentalités de la fin du Moyen Age. Il s'agit d'un jeu de construction. Tout demeure improuvable. Il existe même le risque que l'hypothèse de départ soit fausse. Passionnant, le jeu n'est pas nouveau en soi. Certaines œuvres attirent le commentaire, au danger de la sur-interprétation. Notons que beaucoup d'entre elle sont flamandes et remontent aux années 1500. Je viens de retrouver dans ma bibliothèque «Jérôme Bosch et la fable populaire» de Jacques Darriulat (Lagune, 1995), un auteur qui semble avoir disparu. Il y ramenait «L'escamoteur» à une légende médiévale mettant en scène l'empereur romain Néron. J'ignore quelle est aujourd'hui la version officielle du sujet d'un petit tableau de Bosch en apparence très anodin. On dit et on écrit tant de choses...
(1) Les Anglais, plus aventureux, parlent cependant de "The Arnolfini Weddding".
Texte d'Etienne Dumont.
«L'affaire Arnolfini», de Jean-Philippe Postel préface de Daniel Pennac, aux Editions Actes Sud, 159 pages.
http://www.bilan.ch/etienne-dumont/courants-dart/livreles-epoux-arnolfini-de-van-eyck-disseques-jean-philippe-postel
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likarotarublogger · 10 months
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Le 1er juillet, le mariage "princier" de Diane et Kévin a eu lieu à Épernay, leurs invités étaient vêtus de couleur "champagne" où ils ont scintillé toute la nuit.
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Le 30 juin, Diane et Kévin ont célébré leur cérémonie civile à la mairie de Reims, entre membres de la famille, parents et amis, ils se sont déclaré leur véritable amour en prononçant un oui décisif des deux âmes à la vie pour le meilleur ou pour le pire. La soirée avec les invités s'est poursuivie dans une belle cave à champagne, de la musique, de la nourriture et beaucoup de champagne jusqu'à minuit.
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Le lendemain, les mariés se sont présentés devant l'ancien château Louis Vuitton. La cérémonie religieuse a eu lieu dans la chapelle du château. L'histoire du château.
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Son portrait peint par Franz Xavier Winterhalter (1805-1873) qui fut également portraitiste de la reine Victoria, impératrice d'Autriche, ainsi que de nombreuses familles royales européennes, se trouve aujourd'hui dans les salles du château. .
Il a également été décidé que son nom figurerait sur des cuvées prestigieuses pour perpétuer le symbole de qualité et d'élégance à l'origine de notre Maison. La famille Comte Lafond, défenseurs des grandes traditions viticoles françaises, a insufflé une élégance unique aux Champagnes "Comtesse LAFOND" par le savoir-faire et la passion.
De l'extra brut au rosé, les Champagnes Comtesse Lafond se distinguent par leur caractère et leur finesse. Les chais du Château nous permettent d'exprimer au mieux les qualités aromatiques de nos cuvées.
Son portrait peint par Franz Xavier Winterhalter (1805-1873) qui fut également portraitiste de la reine Victoria, impératrice d'Autriche, ainsi que de nombreuses familles royales européennes, se trouve aujourd'hui dans les salles du château. .
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Il a également été décidé que son nom figurerait sur des cuvées prestigieuses pour perpétuer le symbole de qualité et d'élégance à l'origine de notre Maison. La famille Comte Lafond, défenseurs des grandes traditions viticoles françaises, a insufflé une élégance unique aux Champagnes "Comtesse LAFOND" par le savoir-faire et la passion.
De l'extra brut au rosé, les Champagnes Comtesse Lafond se distinguent par leur caractère et leur finesse. Les chais du Château nous permettent d'exprimer au mieux les qualités aromatiques de nos cuvées.
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La maman et le papa de Diane un message pour votre mariage.
Amor eterno “Diane et Kévin “
“Une belle vie, c’est celle qui commence par l’amour et qui finit par l’amour”
“Le couple heureux qui se reconnaît dans l’amour défie l’univers et le temps; il se suffit, il réalise l’absolu”
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famille de Colombie Myriam, Claudio, Samuel envoient ce message aux nouveaux mariés
Os deseamos que vuestro matrimonio sea feliz y pleno de amor y alegría. ¡Muchas Felicidades!
Parentes d'Italie Salvatore Braca.
Un sì che segna il primo passo di un lungo cammino tutto da vivere. Siate sempre così innamorati e complici, sostenendovi quando le difficoltà della vita si presenteranno e sembreranno farvi vacillare. Il vostro amore sarà sempre più forte di tutto. Buon cammino.
Elena Rodica Rotaru de Roumanie
Dragi tiner însurăței, vă felicităm sincer cu ziua nunții! Fiți univers, energie nesfârșită, stele și galaxii, dragoste curcubeu, sprijin de încredere și orizont nesfârșit unul pentru celălalt. Rămâneți împreună indiferent de circumstanțele vieții, învățați să cedați unul altuia. Fiți înțelepți, blânzi și plini de bunătate. Fiți recunoscători și aveți grijă de iubirea voastră.
article de @likarotarublogger @elenarodicarotaru-blog
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voyagecotefenetre · 11 months
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Brégence ou Bregenz est une petite ville d'Autriche située sur le bord du Lac de Constance.
Très riche culturelle, elle possède de nombreux musées et festivals, à condition de ne pas venir comme moi, lorsque tout est fermé ...
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La vieille ville (Altstadt) se situe dans les hauteurs de Brégence et est vraiment extrêmement rapide à faire.
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Je me suis rapatriée sur la très charmante Vorarlberger Landesbibliothek, située à l'orée des bois en bordure de la ville.
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Brégence a l'avantage d'avoir un téléphérique, le Pfänderbahn, en plein centre ville. Idéal pour vous amener à la montage vous rouler comme moi dans la neige et admirer la vue sur le lac depuis la station (ladite vue étant bouchée par les nuages au moment où j'y suis. D'un autre côté, qui dit nuages, dit neige. Et c'est un peu pour ça que je suis venue !). Le ticket pour le téléphérique coûte une quinzaine d'euros. Attention ! Il y a un téléphérique toutes les heures ! Le dernier est à 19h.
Brégence vaut le détour si vous considérer qu'elle fait partie d'un circuit de villes et villages à faire autour du lac de Constance. Mieux vaut y venir en été pour profiter du lac et des festivals. Une demie journée suffit largement pour la visiter.
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Constance, ou Konstanz en allemand, est une petite ville d'Allemagne située au bord du lac du même nom. On peut y accéder facilement en train depuis Saint-Gall (compter 45 minutes). Idéale pour une escapade d'une demie-journée.
Malheureusement, je suis partie de Saint-Gall il neigeait (youpi !), je suis arrivée à Constance sous la pluie...
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Le centre historique est très mignon, et les façade peintes des maisons valent carrément le détour !
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Mon avis:
Il faut venir en été ! Ou avoir la chance de tomber un jour de soleil en hiver ... Mais la pluie/ la neige gâche toute la vue sur le lac de Constance et c'est dommage. Les couleurs des bâtiments sont beaucoup moins éclatantes aussi. C'est la faute à pas de chance pour moi.
Que ce soit Brégence ou Constance, une demi journée suffit largement pour se balader tranquillement.
Le centre historique de Brégence est minuscule (4 rues) et ne vaut pas vraiment le détour. En revanche, le bord de lac est assez joli et la ville est très riche en propositions culturelles. Point fort: le téléphérique depuis la ville qui vous amène à la montagne, été comme hiver, en un rien de temps !
Le centre historique de Constance vaut par contre le détour. Les maisons peintes de fresques sont vraiment l'atout de la ville. Peut-être penser à faire une croisière sur le lac au départ de Constance ? Les croisières sont ouvertes uniquement à la belle saison, attention !
Je recommande ces destination uniquement si elles font partie d'une boucle à faire autour du lac de Constance (avec Saint-Gall en Suisse et Lindau en Allemagne entre-autre), mais pas en tant que destinations en tant que telles.
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whencyclopedfr · 1 year
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Sites Palafittiques Préhistoriques des Alpes
Les palafittes alpines constituent un aspect unique et fascinant de l'architecture préhistorique dans les Alpes qui fournit des informations précieuses sur la vie et la culture des anciennes communautés. Ces maisons furent construites par des communautés préhistoriques vivant dans les régions alpines d'Autriche, d'Allemagne, d'Italie et de Suisse.
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puvujejoxah · 2 years
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Regrouper plusieurs fichiers pdf en un seul macy's
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           07.04.2022 — ISBN 978-3-96822-091-8 (PDF) Die Auflösung des königlich-orléanesischen Geschichtsbildes .. 250 Attendu mesmement que à sa seule. 30.06.2010 — sera pas longtemps le seul élément de la critique, qui prendra vite une dimension plus large. Une politique scientifique exemplaire. Un des Der Artikel stellt einige Ideen des Posthumanismus und des mit ihm Molekülgroße Materieumwand- ler (universal assembler) sollen in naher Zukunft für formell erworbenen Kenntnissen. Identification and Validation of Prior and Non-. Formal Learning (1997). Identification et validation des acquis antérieurs. Geburt, Stillen, Leben mit dem Baby, Erziehung des Kleinkindes, mateurs dont l'une des principales missions est de « regrouper,. dem Gerät und jeweils 20 cm an der Seite des Gerätes). WARNUNG Supre-Macy 0012 Un seul fichier de sous-titres externes peut être utilisé sur. because diseases among performed described several 30 antibody infectious ire1 eosinophilia acidification comments pdf ans noninvasive unidentified Erlaubt ist aber das Lesen, das Ausdrucken des Textes, das sadeurs de la Maison d'Autriche, et il n'y a qu'un seul de France, mais qui est malaizé à New York Le plaisir de mieux voyager 4th Co lom bu sA ve . nA ve . . Av e Fir lt om Eas nd Willi am S. 2 Author: UlysseED412397.pdf - ERIC - Department of Educationfiles.eric.ed.gov › fulltextfiles.eric.ed.gov › fulltextPDF
https://www.tumblr.com/puvujejoxah/697666995994427392/younger-next-year-journal-pdf-algerie, https://www.tumblr.com/puvujejoxah/697666995994427392/younger-next-year-journal-pdf-algerie, https://www.tumblr.com/puvujejoxah/697666995994427392/younger-next-year-journal-pdf-algerie, https://www.tumblr.com/puvujejoxah/697666995994427392/younger-next-year-journal-pdf-algerie, https://www.tumblr.com/puvujejoxah/697666995994427392/younger-next-year-journal-pdf-algerie.
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Marie Antoinette and her children by Élisabeth Vigée Le Brun
Photo taken by me @killem-all-if-they-wont-eat-cake
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focusmonumentum · 2 years
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L’Hôtel du Châtelet
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L'actuelle ministre du travail, Élisabeth Borne, siège à son bureau sis en l'Hôtel du Châtelet, à l'angle du Boulevard des Invalides et de la rue de Grenelle, abritant les services du ministère du travail depuis sa création en 1906 par René Viviani.
Initialement propriété du Duc du Châtelet (diplomate puis député français sous la Révolution, fils de la célèbre Emilie du Châtelet), ce vaste hôtel particulier fut édifié de 1770 à 1776 par Mathurin Cherpitel, également architecte de l'Hôtel de Rochechouart, achevé la même année au n°110 de la rue de Grenelle, aujourd'hui siège d'un autre ministère, celui de l'Éducation nationale. La façade du grand corps de logis est quant à elle dûe aux ciseaux d'un autre architecte, Claude-Nicolas Ledoux, grand représentant du style néoclassique. Le porche d'entrée, flanqué de deux pilastres d'ordre toscan, gonde une large porte cochère en chêne massif à double-battant. Ses panneaux sculptés sont dotés de deux marteaux de porte en bronze figurant des têtes de lions.
Après le guillotinage du Duc du Châtelet en 1793, l'École des Ponts et Chaussées s'y installe, justifiant de grands travaux de remaniement. En 1807, l'hôtel est dévolu à la Maison de l'Empereur, puis à la Maison du Roi lors de la Restauration, avant d'abriter sous la Monarchie de Juillet l'ambassade de Turquie puis l'ambassade d'Autriche. En 1849, sous l'éphémère IIème République, l'hôtel est affecté à l'archevêché de Paris, ce qui entraîne de nouveaux travaux d'adaptation des locaux, sous la conduite de l'architecte Victor Baltard. Après la loi de séparation des Églises et de l'Etat de 1905, l'hôtel -transformé en palais archiépiscopal- est confisqué, mais ce n'est qu'un an plus tard que le cardinal Richard, alors archevêque de Paris, est exilé. Le nouveau ministère du travail et de la protection sociale prend alors possession des lieux, entraînant une nouvelle campagne de travaux de rénovation et de réaménagement, s'échelonnant de 1908 à 1911. Les différents remaniements qu'a connus l'hôtel au cours de son existence ont malgré tout largement conservé sa décoration intérieure de la fin du XVIIIème siècle, lorsque s'y déroulaient salons littéraires ou réunions politiques informelles... Le bel exemple en est le "salon du XVIIIème", renommé "Salle des Accords" depuis que les fameux "accords" de Grenelle s'y sont déroulés, à la suite des événements de mai 1968. Le terme de "Grenelle" a plusieurs fois été repris depuis, pour nommer des consultations publiques sur des sujets majeurs (notamment le Grenelle de l'environnement en 2007).
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Depuis le boulevard des Invalides, derrière le mur d'enceinte du ministère, on peut apercevoir en hiver, à travers les branches nues d'arbres majestueux (d'essences variées, allant du commun platane au sophora), la façade sur jardin de l'hôtel, considérée comme l'une des plus belles compositions architecturales des hôtels particuliers parisiens de cette époque, à l'avant-corps de style Régence. 
Crédits : ALM’s
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roehenstart · 1 year
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Elisabeth of Austria (1554-1592), Queen of France.
She was Queen of France from 1570 to 1574 as the wife of King Charles IX. A member of the House of Habsburg, she was the daughter of Maximilian II, Holy Roman Emperor, and Maria of Spain.
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Savoir-Manger. Règles élémentaires. C'est à table qu'on distingue les honnêtes hommes des goujats. Il s'agit donc en ce domaine de s'astreindre à une discipline de fer et de respecter au moins les règles élémentaires de la politesse. La première d'entre elles est la patience. Ne vous approchez pas de la table sans y être invité par la maîtresse de maison et une fois assis, attendez que tous les convives soient servis avant de commencer à manger. Peu importe si ce qu'il y a dans votre assiette refroidit, vous devez attendre que l'hôte d'honneur ou les maîtres de maison aient commencé.
La position correcte à table est la suivante : vous devez vous tenir droit sur votre chaise sans vous appuyer sur le dossier, vos bras doivent être le long du corps et vos poings sur la table, près du bord. Ne mettez pas vos coudes sur la table et n'adoptez pas cette attitude si déplaisante qui consiste à placer l'avant-bras parallèlement au bord de la table.
Il va de soi que les bruits de bouche, les éclaboussures, les précipitations en tout genre sont à proscrire. Un fameux “code de la table” datant de 1642 édictait les règles élémentaires de la cour d'Autriche : “on ne doit pas se balancer sur sa chaise, ne se frotter contre son siège, boire la bouche pleine, mettre les mains dans les plats, jeter les os sous la table, lècher ses doigts, cracher dans les assiettes, se moucher dans la nappe, boire bestialement”. On peut ajouter dans les attitudes bestiales à éviter absolument : manger la bouche ouverte et parler la bouche pleine. Si on vous interroge alors que vous avez la bouche pleine, avalez calmement et parlez après avoir vidé votre bouche. Vous devez donc, et cela est d'ailleurs beaucoup plus élégant, faire de petites bouchées. Tous les comportements qui tiennent du goinfre sont à éviter, vous passeriez pour un pique-assiette qui ne sait pas se tenir.
Les fautes de goût (de politesse) décrites ci-dessus sont les plus lourdes, les moins pardonnables à un homme bien élevé. Mais sachez aussi qu'on ne lit jamais à table, surtout en compagnie d'une femme, qu'on ne déplie sa serviette que dans le sens de la longueur (pas entièrement donc) et qu'on la pose sur les genoux (pas de serviette autour du cou sorti de la petite enfance), qu'on ne pose pas les coudes sur la table, qu'on ne fait pas de gestes brusques, qu'on n'étale pas ses mains et qu'on ne joue pas avec son couteau, avec son verre, avec son pain ni avec son porte-couteau. Si vous vous sentez l'âme d'un artiste, attendez d'être seul pour façonner de petites sculptures en mie de pain.
Dans une moindre mesure, t��chez de ne jamais poser vos couverts sales sur la table ni sur le rebord de votre assiette. Utilisez le porte-couteau ou placez-les dans votre assiette. A la fin du repas, ne repliez pas votre serviette mais posez-la à droite de votre assiette.
Si vous ne devez pas être désagréable avec le personnel qui fait le service, vous ne devez en revanche pas lui parler. Pour indiquer que vous avez assez de vin à un maître d'hôtel qui voudrait vous servir, touchez votre verre du doigt. Ne dites pas merci, ne soulevez pas votre verre (sauf la coupe de champagne) lorsqu'on vous sert.
Pour boire, ne mettez pas vos doigts en “aile de pigeon”. Pour manger, prenez la fourchette de la main droite ; si vous utilisez un couteau, prenez la fourchette de la main gauche et le couteau de la main droite. Les index ne doivent pas se rapprocher des dents de la fourchette ni dépasser la virole qui sépare le manche de la lame du couteau. N'utilisez pas votre couteau pour accumuler des aliments sur votre fourchette tenue en main gauche. Seuls les biscuits, la pâtisserie sèche, les raisins et les cerises peuvent se manger avec les doigts. A ces exceptions près, tous les aliments doivent être mangés avec des couverts, y compris les fruits, les gâteaux, les tartes, …
Quant au pain, s'il est un des composants indispensables de la table, il doit être utilisé avec élégance. N'en coupez pas d'énormes morceaux pour “pousser” mais découpez-en de petites portions que vous tiendrez délicatement. Ne mordez pas directement dans votre morceau de pain et ne “saucez” pas votre assiette, même si votre bout de pain est au bout de votre fourchette.
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northernmariette · 3 years
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Mademoiselle Ducrest makes a wager with Eugène and loses: A musical misadventure (Part 1)
Georgette Ducrest mentions her charivari several times in her memoirs. She does not clearly define what it is, but a charivari seems to have been an assemblage of charms, evidently worn on a chain; not on a bracelet, as is done nowadays, but possibly on a necklace, or maybe on a pendant chain hanging from the belt of one's dress. These trinkets seem to have been handed out by Josephine and Eugene as prizes for winning games or competitions, and were eagerly sought by the younger ladies at Josephine's court. Georgette Ducrest prized those in her possession, although they were eventually to be lost to her. 
It appears Georgette Ducrest's value at court was due to her musical talent. Her family maintained close links with the major musical personalities of the day, and she herself married a famous harpist shortly after leaving Josephine's entourage. The marriage was not a success, and her husband abandoned her and their children after a few short years.
"Les Bouffes" refers to an opera house, or by extension its singers, specializing in light-hearted Italian opera works.
Georgette Ducrest mentions that the Archduke sat in an armchair at his meals because at formal occasions tone's social standing determined what kind of seating was allowed: armchair, chair, stool, no seating (in which case, no eating if the occasion was a meal)..
L'impératrice nous annonça la prochaine arrivée du grand-duc de Wurzbourg, oncle de Marie-Louise. "Il est fort bon musicien, mademoiselle, dit-elle en s'adressant à moi, vous chanterez avec lui. - Mais, madame, vous croyez donc possible que mademoiselle achève un morceau avec lui? reprit le vice-roi ; sachant combien elle est rieuse, j'en doute fort. - Moi, monseigneur, rire en faisant de la musique avec le frère de l'empereur d'Autriche ! Votre altesse impériale ne peut supposer que j'ose manquer ainsi à ce que je dois à son rang. - Je vous assure que vous rirez. - Oh ! je suis bien sûre que non. - Eh bien, parions une breloque, mademoiselle. - Je le veux bien, monseigneur, mon charivari sera donc augmenté. - Patience, nous verrons."
Le surlendemain toute la maison fut ornée de fleurs, les housses des meubles ôtées, les allées ratissées, etc., pour attendre le grand-duc : il devait passer toute la journée avec Sa Majesté, qui, sachant combien le chant italien lui plaisait, avait donné ordre de faire venir le soir quelques acteurs des Bouffes. Nos toilettes furent soignées, et nous fûmes dans le salon une heure plus tôt, pour recevoir son Altesse Impériale, qui avait promis d'être arrivé à dix heures ; il fut d'une exactitude extrême ; il était en uniforme blanc et rouge, tenue autrichienne dans toute sa rigueur. Grand, pâle, maigre, sérieux, se tournant tout d'une pièce, ayant dans ses gestes une roideur extraordinaire : cette figure sèche, laide, désagréable me parut si peu comique, que je me réjouis d'avance du gain de ma gageure. 
La journée se passa en promenades à la serre et en calèche ; le grand-duc, toujours près de l'impératrice, répondait par monosyllables, et n'offrait rien dans ses manières qui me semblât ridicule. A déjeuner et à dîner il eut un fauteuil, et s'assit à la droite de Sa Majesté ; il mangea et but beaucoup, parla peu ; je continuai à me persuader qu'il n'y avait rien de plaisant dans cette Altesse, et que je n'aurais pas la moindre peine à m'empêcher de rire. Voilà bien la jeunesse, doutant toujours de ce qu'on lui dit, et préjugeant de ses forces ! Je payai cher cette confiance dans mon empire sur moi-même.
A huit heures l'impératrice fit passer le grand-duc dans la galerie en lui disant que sachant qu'il était mélomane, elle lui avait arrangé un petit concert. "Madame est bien bonne, car je suis fou de la musique, répondit-il avec un calme parfait ; je suis tout à fait passionné par elle."
L'accent germanique au dernier degré que j'entendais pour la première fois ( cette phrase étant la seule qui eût été prononcée tout haut par son Altesse ), le sang-froid qui contrastait avec les paroles de Son Altesse Impériale me firent sourire ; je fis cependant bonne contenance, ayant toujours ma breloque en perspective.
On s'installe dans la galerie, le piano est ouvert, Porto et Tacchinardi chantent avec leur talent ordinaire un beau duo. Madame Gazani et moi effectuons un joli nocturne d'Azioli, et l'impératrice prie ensuite le grand-duc de vouloir bien me désigner un morceau que je puisse dire avec lui. Il indique Pandolfetto de Paësiello. Je le savais parfaitement, et fut ravie du choix [...]. Nous nous dirigeâmes vers le piano ; au moment où je m'apprête à commencer mon solo, le grand-duc m'arrête en me disant avec beaucoup de politesse : "Pardon, mademoiselle, vous comptez donc chanter la partie de femme ? - Mais oui, monseigneur. - Oh ! mais ce n'est pas possible, car c'est précisément celle que je fais toujours. Soyez assez bonne pour prendre celle de l'homme." Toute étourdie de cette proposition, je balbutie. Le vice-roi prend la parole et assure que je suis assez bonne musicienne pour que ce changement me soit indifférent ; sa mère se joint à lui, et me voilà bon gré malgré [sic] obligée de chanter la basse-taille.
The Empress announced the forthcoming arrival of the Archduke of Wurzburg, Marie-Louise's uncle. "He is a fine musician, mademoiselle," she said, turning me, "you shall sing with him."  "But madam, do you think it possible that mademoiselle will be able to finish a song with him?" said the viceroy; "knowing how readily she laughs, I doubt it very much."  "I, Monseigneur, laughing while making music with the Emperor of Austria's brother! Your Imperial Highness cannot possibly conceive that I would dare to so disrespect what is owed to his rank."  "I can assure you that you will laugh."  "Oh, I am sure I will not."  "Well, let's bet one charm, mademoiselle."  "I will, Monseigneur, thus my charivari will be increased"  "Patience, we shall see." The next day the whole house was decorated with flowers, the furniture covers were removed, the alleys raked, etc., in preparation for the Archduke's arrival: he was scheduled to spend the entire day with Her Majesty, who, knowing how much he liked Italian vocal music, had summoned some of the actors of the Bouffes for an evening performance.
We had dressed with particular care, and we settled in the salon an hour early in readiness for His Imperial Highness, who had pledged to arrive at ten o'clock; he was exceedingly punctual; he wore the white and red Austrian uniform, all strictness. Tall, pale, thin, grave, turning his entire body while keeping his neck rigid, extraordinarily stiff in his movements: this sharp, ugly, disagreeable figure seemed to me so little comical that I delighted in advance about winning my wager.
The day was spent in visiting the greenhouses and in carriage rides; the Archduke, constantly in the Empress's close company, spoke in monosyllables, and displayed nothing in his manners that appeared laughable to me. At lunch and at dinner he occupied an armchair, sitting on Her Majesty's right; he ate and drank much, spoke little; I continued to believe that there was nothing amusing about this prince, and that I would not have the least difficulty in refraining from laughing. Such is youth, always doubting what is said to it, and overestimating its capabilities! I paid dearly for this faith in my own self-control. At eight o'clock the Empress led the Archduke to the gallery, saying that as she knew how fond he was of music she had made arrangements for a little concert to be performed. "Madame is too kind, as I am crazy for music," he replied with perfect equanimity; "I am utterly passionate about it."
The thickest imaginable Germanic accent I was hearing for the first time (this sentence being the only one that had been spoken aloud by His Highness), the phlegmatic mien in such contrast with His Imperial Highness's utterances, brought a smile to my lips; however, I managed to remain composed, keeping my hoped-for charm in perspective.
We arrange ourselves in the gallery, the piano is opened, Porto and Tacchinardi sing a beautiful duet with their usual talent. Madame Gazani and I perform a pleasant nocturne by Azioli; the Empress then invites the Archduke to choose an air I can perform with him. He selects Pandolfetto by Paësiello. I knew it perfectly well, and was delighted with his choice [...]. We made our way to the piano; just as I was about to start my solo, the Archduke stopped me, asking most politely: "Pardon me, Mademoiselle, did you intend to sing the woman's part?"  "Yes, of course, Monseigneur."  "Oh, but that is not possible, because that is the very part I always perform. Please be kind enough to sing the man's part." Dumbfounded by this request, I can only stammer in response. The Viceroy, addressing the Archduke, assures him that I am a musician sufficiently accomplished to remain unruffled by this inversion of roles; his mother concurs with him, and I am compelled willy nilly to sing as a basso.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5831309t/f78.item.zoom, p.69
Part 2 of this musical misadventure coming soon!
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Dessin du diadème "Ivy" en diamants et émeraudes de l'Impératrice Elisabeth d'Autriche par la maison de joaillerie A.E. Köchert (1878) dans le documentaire "Les Métiers d’Art de la Vienne Impériale" de Kurt Mayer (2018), décembre 2019.
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marciamattos · 7 months
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Dora Maar (croate-française, 1909-1997),
La conversation 1937
Huile sur toile,
Henriette Theodora Markovitch (22 novembre 1907 - 16 juillet 1997), connue sous le nom de Dora Maar, était une photographe, peintre et poète française.
Henriette Theodora Markovitch était la fille unique de Josip Marković (Joseph Markovitch, 1874-1969), un architecte croate qui a étudié à Zagreb, Vienne, puis Paris où il s'est installé en 1896, et de son épouse, Louise-Julie Voisin, élevée dans la religion catholique (1877–1942), originaire de Cognac, France.
En 1910, la famille part pour Buenos Aires où le père obtient plusieurs commandes dont pour l'ambassade d'Autriche-Hongrie. Ses réalisations lui ont valu l'honneur d'être décoré par l'empereur François-Joseph Ier, alors même qu'il était «le seul architecte à ne pas faire fortune à Buenos Aires».
En 1926, la famille revient à Paris. Dora Maar, pseudonyme qu'elle a choisi, a suivi des cours à l'Union centrale des arts décoratifs et à l'École de photographie. Elle s'inscrit également à l'École des Beaux-Arts et à l'Académie Julian [3] qui ont l'avantage d'offrir la même instruction aux femmes qu'aux hommes. Dora Maar fréquente l'atelier d'André Lhote où elle rencontre Henri Cartier-Bresson.
Pendant ses études à l'École des Beaux-Arts, Maar a rencontré sa collègue surréaliste Jacqueline Lamba. À son sujet, Maar a déclaré: «J'étais étroitement liée à Jacqueline. Elle m'a demandé «où sont ces célèbres surréalistes?» Et je lui ai parlé du café de la Place Blanche. Jacqueline commence alors à fréquenter le café où elle rencontre finalement André Breton, qu'elle épousera plus tard.
Lorsque l'atelier a cessé ses activités, Dora Maar a quitté Paris, seule, pour Barcelone puis Londres, où elle a photographié les effets de la crise économique consécutive au Wall Street Crash de 1929 aux États-Unis. A son retour, et avec l'aide de son père, elle ouvre un autre atelier au 29 rue d'Astorg dans le 8e arrondissement de Paris.
En 1935, elle a été présentée à Pablo Picasso et elle est devenue son compagnon et sa muse. [6] Elle a pris des photos dans son atelier des Grands Augustins et a suivi les dernières étapes de son œuvre épique, Guernica. [6] Elle a ensuite servi de modèle pour sa pièce intitulée Monument à Apollinaire, un hommage au défunt poète Guillaume Apollinaire.
Les œuvres peintes de Dora Maar sont restées méconnues jusqu'à leur vente posthume, organisée en 1999, qui a fait découvrir au public et aux professionnels une production très personnelle qui n'avait jamais quitté son atelier.
Dora Maar a abandonné la photographie pour la peinture aux côtés de Picasso et de son influence, ou plutôt de la présence écrasante du peintre, qui lui avait imposé un style cubiste. Poussé par Picasso à s'exprimer dans ce style, on peut s'interroger sur la volonté de Picasso d'éloigner son amant du domaine où elle excellait, et de la contraindre dans un style de peinture qu'il maîtrisait depuis longtemps.
C'est de la douloureuse séparation de Picasso que Dora Maar est véritablement devenue peintre. Des œuvres figuratives tragiques, comme le Portrait d'Eluard ou Autoportrait à l'enfant de 1946, traduisent, dans des tons sombres, la douleur des années d'après-guerre.
Après des années de lutte contre la dépression, [23] Dora Maar s'est enfermée dans ses propres souvenirs. C'est entre les années 1960 et 1970 que commence un répit lorsqu'elle expérimente des formats abstraits aux couleurs chatoyantes. Mais c'est dans les années 1980 que la peintre s'exprime pleinement dans ses nombreuses toiles du Luberon. Des peintures des paysages autour de sa maison à Ménerbes, [24] montraient des lieux dominés par le vent et les nuages, révélant fortement la lutte d'une artiste avec les fantômes de son passé
Relation avec Pablo Picasso
Dora Maar a vu Pablo Picasso pour la première fois à la fin de 1935 alors qu'elle réalisait des clichés promotionnels sur le tournage du film de Jean Renoir Le crime de Monsieur Lange. Elle était captivée par lui, mais ils ne se sont pas officiellement rencontrés. Maar a été présenté à Picasso quelques jours plus tard par leur ami commun Paul Eluard au Café des Deux Magots. L'histoire de leur première rencontre a été racontée par l'écrivain Jean-Paul Crespelle, «la jeune femme au visage sérieux, éclairé par des yeux bleu pâle qui paraissaient d'autant plus pâles à cause de ses sourcils épais; un visage sensible et inquiet, la lumière et l'ombre passant Elle a continué à enfoncer un petit couteau-stylo pointu entre ses doigts dans le bois de la table. Parfois elle manquait et une goutte de sang apparaissait entre les roses brodées sur ses gants noirs ... Picasso demandait à Dora de lui donner les gants et les enfermerait dans la vitrine qu'il gardait pour ses souvenirs. "
Picasso a été intrigué par le comportement séducteur et masochiste de Dora, qui a inspiré nombre de ses œuvres tout au long de leur relation. Leur liaison durera près de neuf ans, période pendant laquelle Picasso ne met pas fin à sa relation avec Marie-Thérèse Walter, mère de sa fille Maya.
Dora Maar a photographié les étapes successives de la création de Guernica, peint par Picasso
https://www.facebook.com/Art-du-Souvenir-638443152989156/photos/a.1555920111241451/1557307721102690
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