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Nominaciones a los Oscars de la academia. #Oscars Mejor película animada: #HowToTrainYourDragon: #TheHiddenWorld - #DeanDeblois, #BradfordLewis y #BonnieArnold, #ILostMyBody - #JeremyClapin y #MarcDuPontavice, #Klaus - #SergioPablos, #JinkoGotoh y #MarisaRoman, #MissingLink - #ChrisButler, #ArianneSutner y #TravisKnight, #ToyStory4 - #JoshCooley, #MarkNielsen y #JonasRivera. Mejor canción original: I Cant Let You Throw Yourself Away - Toy Story 4, I'm Gonna Love Me Again - #Rocketman, I'm Standing With You - #Breakthrough, Into The Unknown - #FrozenII, Stand Up - #Harriet. Mejor guión adaptado: The Irishman - #StevenZaillian, Jojo Rabbit - #TaikaWaititi, Joker - #ToddPhillips y #ScottSilver, Little Women - #GretaGerwig, The Two Popes - Anthony McCarten. @theacademy (en Panama City, Panama) https://www.instagram.com/p/B7RgotlH5uT/?igshid=dbm6y9f5qm13

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OGGY ET LES CAFARDS (2013)

Le chat bleu au nez de clown du studio XILAM méritait son film, et on retrouve comme toujours derrière les aventures frénétiques du félin le producteur Marc Du Pontavice, et le réalisateur Olivier Jean-Marie à la tête du projet: après 425 épidoses (!) de sept minutes, OGGY ET LES CAFARDS se présente donc sous la forme d’un long-métrage éponyme de 80 minutes. Forcément découpé en quatre segments historiques -le concept d’époque fait partie de cette adaptation-, OGGY se renouvelle en recontextualisant ses personnages au sein de son récit: une partie pour la “préhistoire fantaisiste” -LA GUERRE DU FEU (1981) une autre médiévale -parodie de CENDRILLON (1950), suivi par un chapitre placé en 1900 en mode Sherlock Holmes, pour s’achever sur un court final en CGI -hérésie ou non, on y reviendra- futuriste pastichant plusieurs épisodes de STAR WARS (1977-20??). OGGY reste donc dans sa tradition cartoonesque sans jamais dénaturer ses protagonistes débiles, nous offrant une 2D de qualité -l’image du blu-ray est impeccable-, parfois mêlée à cette 3D souvent triste, lorsqu’on la mélange avec l’animation classique: mais Olivier Jean-Marie connaît les tours de passe-passe du métier, et parvient à inclure la “maudite” CGI sans mal, donnant du relief aux perspectives -la course-poursuite dans un escalier en colimaçon, très réussie- pour dynamiser le rythme déjà effréné du film. Impossible, évidemment, de résumer la série originale en si peu de temps: restent les marques de fabrique de la licence, à base de bruitages, d’onomatopées vocales, demeurant une oeuvre sans dialogue. Un grand effort est fourni du côté musical, venant assembler les pièces du puzzle -la composition orchestrale est dictée par les images- avec un soin précis: curieusement, c’est cet aspect de la production qui fait la fierté de l’équipe du studio XILAM, au vu des courts bonus -en 540p qui lag, sérieux?- présents sur la galette. Un témoignage intéressant. Plus riche qu’il n’y paraît, OGGY ET LES CAFARDS se fait donc complément de la saga du grand enfant talentueux qu’est Olivier Jean-Marie, qui remercie ses spectateurs d’avoir attendu la fin du générique pour lire... ses remerciements. Sans devenir LA référence ultime du monde gigantesque de l’animation, on peut se féliciter d’avoir en France ce type de projet, humble et honnête, s’adressant aux fans de OGGY ET LES CAFARDS sans les trahir -et au reste du monde de par sa compréhensibilité universelle-: quant au dernier segment tout en 3D, qu’en dire? Et bien c’est très propre, fluide, et sans accroc: à voir comme un délire artistique alternatif amusant, qui on l’espère, ne deviendra pas la norme. La touche finale de l’oeuvre d’une vie. MEOW /20

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Floopaloo, ou es-tu? http://www.icflix.com/fra/tvseries/t2joz72q-floopaloo--ou-es-tu #Floopaloo #Floopalooouestu #icflix #MarcDuPontavice #DessinsAnimés #ProgrammePourEnfants #Cartoons #AnimationEnfants #SerieAnimation #SérieAnimationFrançaise

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