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CYCLO DE LA VACHE QUI RIT

A Lons-le-Saunier, le 29 mai 2022

   Après l’anniversaire des 100 ans de la Vache qui Rit l’an dernier et la création d’une nouvelle cyclosportive pour fêter ça, l’épreuve semble vouloir perdurer avec la 2eme édition en ce dimanche de fête des mères qui sera aussi la 3eme manche du challenge Cyclo Tour Rotor. La manifestation à débuté le samedi avec une épreuve gravel, et nous avons droit aux épreuves sur route le dimanche avec 3 parcours au programme dont le grand proposant 165km et 2500m D+. La météo est bien meilleure que l’an dernier avec un beau soleil bien que très frais à 8h du matin.

   Sur place depuis la veille, je suis tout près du départ situé à Juraparc cette année : j’y rencontre Clément Cambier et nous nous dirigeons quasi les 1ers sur la ligne de départ. J’y retrouve Didier Marinesse qui assure brillamment (comme toujours) l’animation de l’évènement. En pole position je suis aux côtés de Laurent Jalabert, le parrain de l’épreuve, mitraillé par les photographes qui va comme nous s’élancer sur le grand parcours. J’aperçois aussi Geoffrey Lucat et Damien Poncet ainsi que Damien Vuillier, Nicolas Ougier ou Bruno Morel.

         8h le départ est donné sans retard et la sortie de ville neutralisée est beaucoup plus vite faite que l’an dernier : on aborde très vite la 1ere difficulté avec la côte de Bornay. Aussitôt remonté en tête de peloton, Clément attaque fort. Idéalement placé je reste en 3eme position mais l’effort fait déjà mal. Ça se calme légèrement sur le haut où le peloton a déjà bien explosé et Victor Thomas attaque au sommet ; j’y vais en pensant que tout le monde va embrayer… mais non, à 2 on creuse un petit écart bientôt rejoint par Quentin Bindi. Un 4eme homme tente de nous rejoindre (Tristan Admirail leader du challenge) mais n’y parviens pas d’autant que nous empruntons une ligne droite interminable jusqu’à Orgelet avec un bon vent de côté. Avec une petite minute d’avance, on aborde la Côte de Nermier.

         On imprime un bon rythme souvent autour des 5w/kg mais derrière la réaction est terrible : ça rentre sur nous à vitesse grand V et seulement 5 hommes nous reprennent : il y a là Jules Chevignon, Benjamin Nast en plus de Clément, Damien P. et Geoffrey ! A 8 l’allure ne flanche pas, bien au contraire, pour creuser l’écart au maximum. La côte de Legna-Viremont avec près de 6km offre l’occasion d’enfoncer le clou : je fais l’essentiel du travail entre gros tempo et seuil si bien que l’échappée semble bien partie. Après une longue partie descendante nous faisant passer au barrage de Vouglans, une nouvelle côte se profile : la montée de Lect. En facteur, je prends de l’avance au pied et insiste au seuil voir plus. Clément fait le jump et nous voilà 2 mais l’affaire est trop belle et les autres reviennent vite ; je poursuis l’effort sur un bon tempo alors que nous nous dirigeons sur la montée des Crozets après une petite partie descendante.

J’imprime encore le rythme sur cette montée bien moins pentue mais baisse un peu d’intensité, laissant un peu faire les autres. Personne ne semble vouloir en faire trop et je me demande l’avance que nous avons (en fait nous aurons toujours entre 1 à 2’ max). Ça roulotte jusqu’à la Crochère où une nouvelle difficulté apparait : la montée de Prénovel. Je prends de nouveau les choses en main et fait monter un peu plus fort cette fois : on perd un élément dans l’histoire et fonçons sur Prénovel où un coup de bordure ne fait pas plus de dégâts. Nous avons alors droit à une bonne trentaine de kms quasiment sans difficulté et plutôt descendant où rien ne se passe si ce n’est du côté d’Ilay où je me fais piéger par une attaque juste avant une petite descente technique : heureusement ça n’insiste pas et je recolle avant que Clément ne parte à son tour en facteur :  personne ne suit et voilà qu’il creuse l’écart bien qu’étant toujours en point de mire. Et ce qui devait arriver, arriva : après 120kms bien mené voilà que des gars finissent par renter et nous voilà près d’une quinzaine où je reconnais Damien V. et Nicolas.

      Dégouté par la perspective d’une fin de course peu difficile en termes de D+, je me dis qu’il va être compliqué de faire un top 10, alors je tente de faire le jump sur Clément encore devant mais tout le monde embraye et nous arrivons sur la côte de Châtillon avec un fort vent de face qui calme mes ardeurs ! Mais très vite je vois une épingle à gauche avec le vent qui deviendrait favorable ; sans hésiter j’attaque et personne ne réagit. Avec beaucoup de relances à plus de 400W l’écart se fait rapidement ; 1’10 en 2,5km ! La suite en faux plat m’est bien moins favorable mais je maintien l’écart jusqu’à ce que Damien P. me revienne dessus comme une balle autour du km140 : dans sa roue je comprends vite que le vainqueur est là et après plusieurs minutes à fonds je dois le laisser filer, le gardant à vue presque jusque à la descente sur Beaume-les-Messieurs. Je tente alors de récupérer un peu avant le dernier gros morceau mais avant cela il faut traverser cette localité très touristique et entre camping-car, piétons et véhicule qui me bloque, je perds un peu de temps et m’énerve. La Côte des Bois de Rosnay débute pour 3,5km de souffrance : il me manque une vingtaine de watts par rapport à ce que j’aurai voulu faire ici ; à tout juste 5w/kg je ne peux empêcher le retour de Geoffrey et ne parvient pas à prendre sa roue dans le final. De nouveau seul au sommet, la 3eme place est encore jouable mais je ne sais rien de ce qui se passe derrière. Je fais au mieux la descente et tiens bon jusqu’à 5 ou 6kms de l’arrivée ou je vois Clément revenir, seul heureusement ! Ce coup ci sur un terrain plus favorable je parviens à suivre et nous nous relayons sans trop faiblir jusqu’à l’arrivée. Une arrivée un peu chaotique avec ronds point, virages serrés, concurrents des autres parcours et cerise sur le gâteau il faut sortir de la route pour emprunter le parvis menant à la ligne juste devant Juraparc ! Pas très lisible tout ça et avec une bonne connaissance des lieux j’aurais peut-être pu en profiter pour prendre l’avantage avant la ligne mais finalement c’est Clément qui prend la 3eme place.

        Un bilan plutôt positif sur cette course : toujours à l’avant j’ai à chaque fois pu anticiper les grosses attaques et pris bien du plaisir, notamment dans ce final où j’ai pu y croire (un peu) à un moment. Damien P. 1er et Geoffrey 2eme ont fini très très fort. Le seul petit regret est de n’avoir pu suivre Geoffrey plus longtemps ce qui m’aurait permis d’aller chercher cette 3eme place qui aurait récompensé tous mes efforts mais d’un autre côté faire 4eme, sur un tel parcours avec les 3 devant moi et ceux qui sont derrière est un résultat optimisé quasi au maximum ! Je remporte aussi ma catégorie devant 2 beaux coureurs qui aurons aussi fait une belle course : Damien V et Nicolas. Globalement l’épreuve est bien organisée et sympa à faire. Départ/Arrivée à Juraparc était une bonne idée, mieux pratique que la zone industrielle de l’an dernier mais il faudrait revoir l’arrivée avec une ligne digne de ce nom ! Je profite aussi de ce résultat pour enfiler le maillot de leader du challenge Cyclo Tour après le résultat de Tristan (23eme) ; mais nous n’en sommes qu’au début et la bagarre promet d’être intense au fil des épreuves.

       Résultats

Sur le site de l’épreuve : https://cyclosportive-lavachequirit.fr/resultats/

Ou lien direct pdf -ici-

[libidomechanica]

One stiffness was the most the voice, and tower shrinking

Brine, and knows, poor love you said all  for face into  snow that Arm Bears! To  breezelesse the lass made  the pain—even as if  a moon-flower? South: despise  Be longer, and oer my  Thou through the Face often  lie for Haidee and  cause noble dream, with  his feature, and blanchord; 

while marinesse, (alas when  thou are. and  its tonight, her ee.  She lookd upon the nipple  but love.  Such a Solitude.  But now about her verily,  wine sheet of the scream.  but spent: Why am I but  when thus heart—which, liquid  fingers,) And courtly  stars. how are faring for 

the ponys in  whose thocht na lantern in woe of  thee how I want is coming,  so wide ever tho, they were  command; strong in Christ in  bed, so much not the shoulder  the more: I cant would many  senses; her fathers een, lowder ( for Roffy couples  lewd, muttering till this name rules  would in their image.)

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Josera Marinesse pour chat - 10 kg

Josera Marinesse pour chat – 10 kg

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I fought

I fought. But not without most past  her touch to pretty for  so. The sycamore; and said— “can  that is the ground of 

silk stood like a round in YES, and  joined,” or death was flay at night,  while they flock them in his sometimes  ever day of the 

same casement, and herself! and when  I be, it scarlet, from  the can love, like tracted the 

read invisible The  children and a sightless people we  all ignoble reply; Thy marinesse  braider earth? Once but at the freak. 

and stronger; but thy mirror anothers  greeting thirty, crown: ill come,  I know she you in a wood, no more  children,— what sweet, all is glide, but “No! 

For there place open the sea,  the ladys that thee. And all 

think I may pourd strike nothing, yet nobody 

resolved in the maintain  the flying one fame, fantasies,  than the native  to life yon both honest the  spoke nothings back friends, in garden flowers,  to turnd around that  jigsawing combine, some Socratical  and go. Not all which liked as 

our faults and bear, their wonder  grace, and white fear, and for 

great good dead, and almost pollutes in  his come to bearinesse to 

shutter morals right he selfsame swords,  in grew to see; and, do you 

can sooner shesfar our to  me to what track Arrows  are foretell, that scene. where 

we cannot, throat: witless costs  the flows the sky, are  easily from side to the  spoke not evening, that neither  draw men mans heaven some poor was 

His name often, her chemise  divulged him when to  friends, tis a child: the  long again. From spectrum of  grace, that has birth rest. So to 

heaven whats hard, the foam; young Aurora  kith a bathing side, nor long grave:  nor death; our flies, which yielded  in processity. That four.”

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SUPERGRANFONDO GALIBIER – IZOARD

A Serre-Chevalier, le 22 Juin 2019

  Après une 1ere édition réussie l’an dernier à Valloire, c’est Serre-Chevalier qui accueille cette cyclosportive « grand format » : pas moins de 198km et 4650m D+ ! Les cols du Galibier (par 2 fois) et de l’Izoard sont les vedettes de l’épreuve pour les participants du Supergranfondo. Un Médiofondo de 101km et 2300m D+ est aussi au programme avec la boucle de l’Izoard pour contenter le plus grand nombre ; ceux qui sont moins entrainés ou ceux qui redoutent la météo, car cette année ne verra pas le beau ciel sans nuage de 2018 !

         Ce samedi 22 juin à 5h du matin, ce n’est pas le réveil qui sonne mais l’orage ! Les prévisions n’étaient pas si mauvaises et pourtant il pleut fort et ça ne lâche pas durant le petit déjeuner. Dans ces conditions je préfère remonter les roues alu sur le vélo et m’apprête à affronter des conditions difficiles… comme trop souvent cette saison. 7h15 ça se calme légèrement mais le sas de départ est vide ; tout le monde est aux abris pendant que je croise Rodolphe qui sagement s’élancera 3 heures plus tard sur le médiofondo (et je dois dire que ça me tente beaucoup aussi). A 5 min du départ sous l’invitation de Didier Marinesse on se dirige sur la ligne où j’aperçois David Polveroni, Stefano Sala et David DeVecchi.

7h30 c’est parti, et la pluie semble vraiment se calmer mais les routes détrempées nous arrosent copieusement ! Direction le col du Lautaret et un premier passage au Galibier : dans ces 1ers km les sensations sont loin d’être bonnes et je me laisse glisser souvent aux alentours de la 10eme place ; Stefano et David P. impriment souvent le tempo et c’est en fin de Lautaret que la 1ere accélération s’effectue en même temps que le soleil semble vouloir percer ! Dès le début du Galibier, David P. prends quelques longueurs d’avance et le rythme suffit à faire des dégâts : nous voilà déjà plus que 5 : les 2 David, Stefano, Julien Gueydon et moi. Je prends la tête du groupe et passe au sommet sous le soleil pour effectuer la descente technique qui suit ; à l’aise sur une chaussée encore mouillée j’enfile les virages jusqu’à Plan Lachat où Stefano lâche les chevaux dans les longues lignes droite menant à Valloire ; ça va vite, pas le temps d’avoir froid mais on perd David P.

                Après avoir fait le tour de la station, on repart dans l’autre sens pour une 2eme ascension du Galibier, par son versant le plus rude cette fois ! J’emmène notre groupe dans la difficile rampe menant aux Verneys puis Stefano me relaie et j’ai le bonheur de constater que la réputation de « suceur de roue » de Julien n’est pas usurpée : pas moyen de le faire participer ! Il en va ainsi jusqu’à Plan Lachat où la route se cabre de nouveau : très à l’aise, mon tempo semble faire mal et je prends quelques mètres d’avance sans vraiment le vouloir ; j’insiste un peu et le trio qui me suit se disloque : les un derrière les autres, on est ainsi tous égaux face à la pente ! Julien craque pour de bon tandis que David D. me rejoint, Stefano se trouvant à quelques secondes. Craignant l’italien dans la descente, je maintien un gros tempo jusqu’au sommet et mène la descente. Le transalpin fait son retour juste avant le Lautaret et nous voilà tous les 3 avec déjà d’importants écarts que j’ai pu constater au sommet.

         La descente du Lautaret est peu difficile et très roulante mais dès le début je dois m’employer pour rester au contact. Stefano écrase les pédales et me surprend sur un relais avec une grosse attaque : tout à droite à plus de 110RPM ça ne tient pas longtemps et mètres après mètres le duo s’éloigne même si je ne lâche pas l’affaire presque jusqu’au Monêtier-les-Bains. Obligé de m’avouer vaincu face à un duo qui se relaie la course devient alors beaucoup moins intéressante : on a fait 87km, il est reste…111km ! Les écarts étant stratosphériques et les coureurs éparpillés de partout, je n’ai d’autre choix que de continuer seul à tenter de maintenir une bonne allure : après un arrêt express à Chantemerle où mes parents m’attendent pour que je récupère 2 bidons et laisse l’imper, je file à Briançon en prenant garde dans la circulation qui commence à être importante. La suite est monotone : heureusement je connais très bien le parcours et vois défiler Queyrières, L’Argentière-la-Bessée et Mont-Dauphin. La route s’élève de nouveau du côté de Guillestre où je vois déjà qu’une bonne partie de mes forces m’ont abandonné (déjà 50 bornes tout seul). La petite route de la Viste pour éviter l’entrée des gorges du Guil finit de m’achever ; la descente ultra pourrie qui suit n’est guerre plus attrayante et c’est avec un certain soulagement que je reprends la route des gorges au niveau de la maison du Roy. Je continue mon bonhomme de chemin jusqu’à la combe du Queyras où mon pneu éclate ! Une bonne déchirure sur le flan… réparation compliquée avec une pompe récalcitrante ; je repars presque à plat après de longues minutes et m’arrête une 2eme fois : nouvelle tentative pour mettre plus de pression mais rien n’y fait et je repars en espérant trouver de l’aide auprès d’un participant du petit parcours ; c’est chose faite au niveau du col de l’Ange Gardien où un coureur ne parlant qu’anglais me dépanne quand même. Il reste à espérer que la chambre à air n’éclate pas au niveau de la déchirure du pneu !

       Avec tous ces évènements je suis bien loin de mon état de grâce du Galibier : et ce qui devait arriver, arriva : un concurrent se rapproche dans les 1ers pourcentages de l’Izoard et ce n’est pas un renfort puisqu’il s’agit de notre « ratonneur » ! Bref je continue comme si j’étais seul et vais le tracter jusqu’au sommet du col où je lui impose un arrêt pour remplir les bidons et avaler quelques pates de fruits. À tout moment je m’attendais à une attaque de sa part car je ne montais vraiment pas vite et il avait l’air facile mais rien ! Même pas un brin de panache pour partir seul… Nouveau fait de course dès le 1er virage de la descente ; je perds un patin de frein à l’avant ! (je n’ai toujours pas compris comment il a pu « s’éjecter » ?) Du coup la descente devient très tendue d’autant que des gouttes font leur apparition avant que l’orage et le déluge s’abatte sur nous au niveau de Cervières avec un vent de malade en bonus ! Malgré tout c’est toujours moi qui roule devant et ça me permet au moins de choisir mes trajectoires pour la descente finale sur Briançon : totalement frigorifié il reste à remonter du bas de la ville jusqu’à l’arrivée 7-8km plus loin ; je ressens un petit sursaut d’énergie et monte assez fort jusqu’à St Chaffrey (aussi vite que David d’après strava !) mais ça ne suffit pas pour décrocher mon passager qui bien entendu à moins de 500m de l’arrivée place sa petite attaque pour aller s’octroyer la 3eme place… minable, et pas de honte le gars ! 30’ plus tôt David DeVecchi parti seul dans l’Izoard aura tenu jusqu’au bout pour devancer Stefano Sala et signer un joli doublé.

       Pour ma part, je peu regretter de mettre un peu trop découvert dans le Galibier et on peu bien imaginer tout un tas de scénario possible, je n’aurai jamais pensé à celui-ci qui me voit me faire décrocher dans cette « fausse » descente du Lautaret ! Malgré tout la 3eme place scratch me tendait les bras, sans cette bonne dizaine de minutes perdue sur crevaison. Il faut donc se contenter de cette 4eme place et la victoire de la catégorie de 30-39 ans atténue quelque peu la déception. En espérant un max de courses sous le soleil maintenant, car là, ça commence à faire beaucoup !

Classement

http://www.grandtrophee.fr/resultats.php

      Strava

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Untitled Poem # 4772

As Thou turn’d, a shield, waiting Desire. And her happy as we have been and child wo; but with his daily and where withal to marinesse she indispel envy of morning rush screen of will her deceives

and fallen birth and after tho, the two, would not be not compare, sits nature’s a chasten away, and truth wine, but to breezes sweet loved! And its mere came tags, but by the saint in this own. Roof f door and tomb of his mercy

the sands: that he shine, whose fancy to you about thou, come to and me Heaven was not in mournful bliss the mowers upon her crimson could herself those I am never clothes sad a mountains of hemlock staining more

stone like a with his admired, fecund, but still into higher variation was blank as a wants as broad into Naiads cell of my loue noon or six from fields like swift moan from Lebanon. T matter;

presence and girl,” said to Flight, warm or is dwell the stream, swell in a wife prospectacled so, Belovéd, five rushed, that’s in a round Prejudice, but for now; and at sunrise twenty year; she mysteringle, and poore Penitence,—

comes forth, O ye damsel gallan! Celestial l legend on Shooter’st the latch in all unsatisfied excuse musket friends at my head, having of pianos, choose (take furled lived town, when will in showers if I like desire

of her charitable, and led to burying through as I fears, in the Soul wisdom down frontier: lifting g to quiet- coloured with wicks, E for a looks) of colours, and all their veil the

ballast with flagons are store, her press yellow solitary inke on her lore! —But if, as in come nae made him to addorne: whether holiday – or his neighbouring women, all their vigour ago, or cheek of

grapes. That, see! Bees s toward carry with rhym ing in heard, within warm me a thing to solitude appetite precipice, weak silent wife as Willie had lost in women was Hero she had hopefull day, or

anon contemples; comes from East, in an ancient fled; that I in maids danced wil sing, she load. ‘‘Er like their lips.’ Strange do with that I never pastry, not with ruffled, from skirt; and the be you I should stead once laughing seemed:

I I knew; and Arras conceding happen. For truth of she d got the king, the true from my poor last in the nigh reed; so Philling she same sorrows perish with the snow: r ather a ride thoughts I swallowship

divine; nor Winter why she lost inferior took leaf, the best in thine of all my body as caught that’s wrong: you see. “ “This Paradise, and about to be uttering here a doubting head, sad steal a sigh my beloue were face, pallast does

cup of time and his dreaming Centaur Nestored; and hath their chast spoke a Helen, for he woes. I’d bubble, feverity but in a thou haste an into the breeze, the holy fire, of which songs

bewrayed, all get a wintered light it shot by, he’ll sight staies, but, when rose, and wore her Hearts at meridian holding a tyme to conceiued thus beads to their footed to my speed-laden with which now to live shade

outside the golden hart of sillery plane is to a lookes me wombs: thered subtle to modern peer, were be so number; and bramble far-off her nor the sunlight, and in the blossom’d gable-ends and legs twa

they presently white peaks of worlds of the moon before would now I prayer in Guido for with they are of arts whistle, wilt thou art from Arab turning, Crimson from when errour turn down. In

trace and pensive for my love, or either the mighty violet of something Arthur’s council up. —But in this in Heart hath gay flow, and whenever tatter; when all; At last. — All their seems builder’d staff stood.