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#matériel resto concept
materielhoreca · 10 months
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theoppositeofadults · 3 years
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En même temps, elle et sa mère ont voulu s'incruster dans un voyage en Espagne fin octobre dans un village touristique en hors saison pour se dorer la pilule sur un transat. Je pense pas qu'elle comprenne le concept de saison pour commencer. (A part si elle a une cervelle de linotte et pense qu'elle doit commencer sa migration d'hiver comme les cigognes)
en vrai ça me soûle un peu parce que mon père et moi avions prévu d'aller dans la grande ville d'à côté pour faire les magasins et aller dans notre resto préféré (si tout le monde n'avait pas été là)
mais là on part sur la vibe "c'est un voyage utilitaire, pas de divertissements"
on emmène quand même notre matériel (réduit) de plongée, donc ça sera cool (pour nous deux) (à part pour les 5 minutes qu'il me faut pour rentrer dans ma combinaison parce que c'est une vieille de ma soeur et je dois prendre du paic citron pour me faufiler dedans)
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julieplouvier · 3 years
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Restaurants virtuels pour profits bien réels
par Sabrina El Mosselli, Sacha Tisic, Julie Plouvier 04.12.2020
La crise sanitaire est un accélérateur de repas livrés à domicile ou au travail, un marché de plus de 3 milliard d’euros. Les champions de la livraison Deliveroo et Uber Eats en profitent pour développer des restaurants virtuels, sans table ni chaise.
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Il est midi, c’est le coup de feu des livreurs franciliens à vélo. L’emblématique sac carré sur le dos, le smartphone vissé au guidon, ils pédalent comme des fous pour livrer au plus vite des plats divers et variés. Et notamment, sushis et pokés boll de chez Yoobi, restaurant londonien installé en France début 2019. Installé ? Pas vraiment. Dans l’hexagone, il est possible de déguster les mets japonais de ce restaurant uniquement en livraison. Yoobi est domicilié au 13 rue Latérale à Courbevoie (Hauts-de-Seine). Or derrière cette adresse se cache le géant britannique Deliveroo qui ne se contente plus de livrer des repas mais a créé de toutes pièces des restaurants virtuels.
Les dark kitchen, également appelées cloud kitchen (cuisine virtuelle) ou ghost kitchen (cuisine fantôme), sont des restaurants sans table ni chaise mais dotés d’une grande cuisine et sont conçus uniquement pour la livraison. Du pain béni pour Deliveroo et Uber Eats qui peuvent ainsi asseoir un peu plus leur hégémonie sur le marché de la livraison de repas. “Aujourd’hui, 6% des restaurants référencés sur Uber Eats sont des restaurants virtuels”, indique Manon Guignard, porte-parole de Uber Eats France. Un pari pour l’entreprise américaine dont la filiale française finissait 2019 dans le rouge, avec un déficit de près de 35 000 €. Du côté de Deliveroo France et ses 2,7 millions d’euros de bénéfice, environ 200 restaurants sur les 15 000 partenaires entrent dans cette catégorie.
Un concept, plusieurs réalités
Imaginez, un restaurateur désireux de créer de nouveaux plats. Il peut les ajouter à la  carte de son restaurant ou bien lancer une marque virtuelle, présente uniquement sur les plateformes de livraison. “En 2019, on a reçu un mail de Uber Eats nous incitant à développer ce genre d’initiatives”, raconte Quentin Lacointa, co-gérant de La Manufacture, chaîne de pizzerias toulousaines. Séduit, il lance alors L’Ora della Pizza, Pasta Madre et Salads and the city. Le consommateur trouve ainsi trois marques distinctes sur l’application mais les produits sont tous confectionnés dans les mêmes cuisines. “Ça permet d’amortir les coûts fixes, ce n’est que du bonus”, assure-t-il. Depuis 2019, lui et son associé ont lancé cinq marques virtuelles et deux sont dans les tuyaux.
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Autre cas de figure. Un restaurateur veut étendre son rayon de livraison, limité par la situation physique de son établissement. Il souhaite donc fidéliser une nouvelle clientèle. Pour cela, il peut avoir recours à une dark kitchen. À l’image de la trattoria Tripletta, désormais incontournable à Paris et sa petite couronne grâce à Deliveroo. L’enseigne a pris ses quartiers au sein des sites Editions de Saint-Ouen et Courbevoie. “Ça nous permet de couvrir des zones de livraison plus larges, tout en bénéficiant de la notoriété de notre restaurant physique”, atteste Ines Laygoni, responsable d’établissement chez Tripletta. Une enseigne qui s'apprête à ouvrir une nouvelle dark kitchen à Vincennes. “On réduit les coûts, pas de personnel à payer en salle, on fait des économies d’échelle”, fanfaronne Ines Laygoni. Et la qualité dans tout ça ? La responsable est claire, les produits sont similaires. Que ce soit en virtuel ou dans leurs restaurants physiques.
La recette dark kitchen
Une seule cuisine, un seul staff, plusieurs marques virtuelles. Voici l’histoire de l’entreprise sobrement dénommée Dark Kitchen. Jean Valfort, Charles Drouhaut et Jean-François Monfort, les fondateurs sont propriétaires de quatre adresses parisiennes en 2015. Ils veulent alors se lancer dans la livraison. “Nous sommes alors le troisième restaurant à Paris à nouer un partenariat Uber Eats”, précise Charles Drouhaut. Mais l’expérience n’est pas concluante : les plats et le packaging ne sont pas adaptés et l’arrivée des livreurs avec le k-way trempé gêne les clients en salle. Néanmoins les trois entrepreneurs ne veulent pas rater l’eldorado naissant de la livraison : ils achètent alors un local dans le XVème arrondissement et lancent une marque de burgers. Ça fonctionne ! Avec les mêmes ingrédients, quelques ajustements mais toujours dans la même cuisine, ils mettent au point des tacos, puis encore des burgers, du poulet braisé et même des poutines, ce plat québécois à base de frites et fromage. Dark Kitchen prospère et s’installe dans cinq locaux à Paris, Bordeaux et Nice. Après seulement une année d’activité, chaque cuisine envoie en moyenne plus de 100 repas par jour. Mais pour connaître ce succès, il faut s’associer à Deliveroo et Uber Eats. Et les deux champions de la restauration livrée prennent une commission d’environ 30% sur chaque commande. “Un pourcentage énorme”, constate Charles, lucide.
Des taux de commission prohibitifs
“Dans la restauration, l'argent doit circuler autour du restaurateur : vers les producteurs et les salariés. Si on paye des commissions énormes aux plateformes, on est dans l’incapacité de le faire et c’est elles qui s’enrichissent”, dénonce Arnaud Lallement, chef triplement étoilé de L’Assiette Champenoise et signataire d’une tribune parue dans le Journal du dimanche le 28 novembre. Celle-ci est signée par 109 acteurs de la restauration qui réclament une réglementation du marché de la livraison, notamment des commissions. Le taux moyen pour une course Deliveroo comme Uber Eats est de 30%. Ainsi, sur un panier moyen de 25€, 7,5€ vont directement dans la poche des plateformes de livraison. Mais la négociation est possible. « Plus tu es performant, plus tu es en position de négocier », assure Arthur Arlet, responsable développement du Kiosque, restaurant toulousain de nourriture vietnamienne. Cet établissement a rejoint l’aventure de la livraison dès son apparition en France en 2018 et possède désormais sa propre dark kitchen.
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“Le fait d’arriver avec ce concept nous donne une force de négociation”, assure Arthur Arlet. En effet, pensée et optimisée pour la livraison, une dark kitchen est une promesse de performance. “À Courbevoie et Saint-Ouen, les commissions y sont cependant plus élevées car le restaurant ne paye ni loyer, ni capitaux”, justifie Damien Stéffan, porte-parole de Deliveroo France. Mais alors pourquoi les restaurateurs continuent-ils à s’associer à Deliveroo et Uber Eats ? Parce qu’elles combinent une puissance marketing énorme et des compétences logistiques que seules elles possèdent. “Avant, Deliveroo cherchait à nous séduire, maintenant c’est l’inverse”, analyse Inès Laygoni, responsable d’établissement chez Tripletta. Des propos confirmés par Chloé Bouilloux, cheffe de projet sur la plateforme Resto.Paris : “Deliveroo et Uber Eats entretiennent des rapports de force disproportionnés avec les restaurateurs”. Resto.Paris propose une alternative plus éthique dans la restauration livrée. Ils ne prennent en effet qu’une commission de 1% sur les commandes. Bien loin des 30% des géants du secteur.
La quantité plus que la qualité
Raffaele Targusi possède six restaurants Forno Gusto : trois adresses toulousaines, deux parisiennes et une bordelaise. Il y propose de la street food italienne traditionnelle et artisanale. En 2018, il tente l’aventure dark kitchen et s’installe sur le site Deliveroo Editions à Courbevoie. “Je voulais tester une nouvelle zone. Ça m'a permis d’ouvrir mon premier restaurant parisien à Puteaux”, partage Raffaele. “On a beaucoup appris notamment sur les cadences”. Mais son ton change rapidement. “On m’a déjà piqué des idées. Ce sont des cuisines ouvertes donc le concurrent peut voir notre organisation. C’est aussi pour ça que j’ai décidé de partir”, avoue-t-il.
Les marges perçues sont plus faibles que dans la restauration classique. Il faut donc faire des économies sur d’autres postes de dépenses. Pour autant, Raffaele Targusi refuse de se séparer de son pétrin lorsque Deliveroo lui demande d’utiliser de la pâte à pizza congelée. S’ajoute à cela, la pression du volume : “Il fallait toujours produire plus, je n’arrivais même plus à dormir la nuit”, se remémore le chef.
Les dark kitchen ne connaissent pas la crise
Des jeunes qui livrent des repas mais sont contraints de se nourrir aux Restos du Coeur ? C’est le constat fait par Patrice Blanc, président de l’association sur France Inter en novembre. "Ça m'a tellement choqué”, confie Stéphane Méjanès, journaliste gastronomique indépendant, auteur de la tribune parue dans le JDD.
“Avant, ce job payait bien. Aujourd’hui, je ne pense plus pouvoir en vivre”, témoigne Yvan Bourrut, 32 ans, livreur chez Deliveroo depuis 2016. Sous le statut d’auto-entrepreneur, les livreurs doivent financer eux-mêmes leur matériel et ne bénéficient pas de protection sociale. Yvan a mis huit mois à amortir le vélo électrique dans lequel il a investi. “Les plateformes dévalorisent le métier de livreur, le précarise en les rémunérant à la course sans compter le temps d’attente”, déplore Chloé Bouilloux, cheffe de projet sur la plateforme Resto.Paris.
A l’image des GAFA, ces plateformes ne payent pas d’impôts en France. Et elles bénéficient régulièrement de levées de fonds de plusieurs millions d’euros. En 2019, Amazon a investi 575 millions de dollars dans Deliveroo. “Les plateformes jouent de manière déloyale. Elles reçoivent des millions et les livreurs sont sous-payés”, dénonce Stéphane Méjanès. “Je pense que ces sociétés profitent du fait que personne n'ait le choix, tout particulièrement à l'heure actuelle”, renchérit le chef étoilé Arnaud Lallement. Néanmoins, il se montre confiant quant à l’avenir des restaurants classiques : “Je pense que cette vie de plaisir n'est pas menacée par les plateformes. Une grande occasion se célèbre difficilement devant des plats à emporter”. Il comprend cependant que les dark kitchen puissent séduire les restaurateurs : “Aujourd'hui c'est si compliqué pour un jeune de s'installer. C'est une bonne façon de se tester”.
Après avoir ubérisé les déplacements en ville et l’hôtellerie, les géants de l’internet s’attaquent désormais à la restauration. Leur recette ne change pas. À eux les profits. Leurs sous-traitants devront se contenter de la précarité.
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tendance-news · 6 years
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Le sexe SM ou BDSM (Bondage, Discipline, Sado-masochisme) vous tente mais vous fait un peu peur ? Comme on vous comprend. Pourtant, pratiqué en connaissance de cause, il peut se transformer en acte de liberté, voire conduire à l’extase. Voilà comment vous initier à cette pratique sans finir traumatisée à vie ou pire, aux urgences.
On avoue que depuis Fifty Shades of Grey on a tenté des trucs. Se bander les yeux ? Zéro plus-value. La fessée ? On a ripé. Fail. Car le sexe SM ne s’improvise pas totalement et lorsqu’on est débutant, mieux vaut s’informer en amont. Et face à notre indéniable et pathétique ignorance sur le sujet, on a demandé une petite leçon particulière à Octavie Delvaux, romancière et auteure de“ Osez 50 scénarios SM“, éd. La Musardine.
#1 Préparer le terrain
Comment savoir si votre mec est intéressé ? Parsemez des indices pour prendre la température. Le meilleur moyen pour se renseigner l’air de rien sur les envies de l’autre ? Visionner un film évocateur comme La Secrétaire, Angélique et le sultan, où n’importe quel film contenant une scène où le héros (ou l’héroïne) est attaché à un lit. Et voyez la réaction. “Si vous vous heurtez à une réaction horrifiée de type ‘Non mais quelle bande de tarés’, clairement passez à autre chose, il y a peu de chance qu’il change d’avis ensuite“ prévient Octavie Delvaux. Si par chance il est partant, prenez soin de parler très précisément de ce qui vous fait fantasmer, pour ne pas que l’autre parte dans des directions trop éloignées. “Il peut penser que vous voulez des coups alors que vous cherchez plutôt des humiliations psychologiques. La pratique n’inclut pas forcément de la violence physique. Beaucoup d’adeptes du sexe SM n’aiment pas la douleur“ continue Octavie Delvaux.
#2 Les jeux de “service“
N’impliquant aucune difficulté particulière et aucune violence physique, ils sont un bon moyen de s’initier au sexe SM facilement. Le principe ? Le même que les jeux de rôles mais en introduisant un rituel, voire un règlement écrit. “Cela va du fait de servir le thé au service sexuel précise Octavie Delvaux. Le jeu peut commencer par SMS. Le dominant peut demander au soumis de l’attendre dans une position règlementaire (à genou les mains tendues en avant, à quatre pattes, à genou le front sur le sol), de porter tel ou tel vêtement. Ensuite, on maintient le concept de rituel et on brode avec un langage dominant/dominé : ‘Est-ce que le soumis a bien révisé ses positions ?’, ‘Est-ce que le soumis va baisser les yeux maintenant ?’, ‘La maîtresse voudrait qu’on l’accueille mieux que ça’“.  Une fois que vous avez intégré le principe de ritualisation, inventez-vous l’univers qui vous fera fantasmer !
Crédit : Universal International Pictures
#3 La privation de liberté
Encore une fois, rien de bien compliqué. Mains ou pieds liés, yeux bandés, “bâillonage“ avec une chaussette dans la bouche, et surtout rien qui ne nécessite du matériel spécialisé (qui risque, en plus de vous faire mal, de vous coûter un demi-rein). Toutefois, Octavie Delvaux conseille de prendre quelques précautions : “Une règle importante pour débuter, c’est d’utiliser des liens que l’on peut couper au ciseau rapidement en cas de panique. Les menottes, même celles provenant de sex shops ne sont pas à recommander aux débutants, on peut perdre la clé facilement. Les bas et collants sont une bonne option. Ils sont extensibles et peu douloureux.  Et pour ceux qui veulent s’armer un peu plus sans acheter des cordes de Shibari difficilement trouvables, de la cordelette Sergé de coton pas trop fine (plus c’est fin plus ça coupe la peau) fera parfaitement l’affaire et se trouve facilement en mercerie en différents calibres.“
#4 La fameuse fessée
Là vous vous dites TROP easy. Eh bien pas tant que ça. Avec une fessée mal placée et donnée au mauvais moment, le flop est vite arrivé. “L’élément de surprise est important, mais au début, mieux vaut prévenir et garder la fessée dans la chambre. Ensuite on pourra commencer à la répartir sur d’autres pièces et à des moments différents de la journée, dans un lieu public, un resto“ explique Octavie Delvaux. Et on tape où ? “Le but est de trouver le point qui va procurer le maximum de vibrations au niveau du sexe. Chez la femme, on vise donc au dessus du pli de la fesse, par en dessous et plutôt vers le centre que sur les côtés. Et on se méfie de sa force, on y va progressivement“. Et une fois que vous serez devenus un pro de la petite tape entre deux postions sexuelles, libre à vous d’aller plus loin. “On peut ajouter des propos inquisiteurs et punitifs pour tester la résistance de l’autre et éviter d’aller trop loin, poursuit Octavie Delvaux. Le maître ou la maitresse va ajouter des mots ’Je vais commencer de manière indulgente’, ‘Penses-tu en avoir eu assez ?’. En revanche un ‘Ça va chéri, je ne te fais pas mal ?’ peut casser l’ambiance“.
#5 Utiliser des instruments
Pour certains, c’est l’étape la plus effrayante, pour d’autres c’est tout l’objet du fantasme. Mieux vaut en discuter préalablement à deux et les choisir ensemble, dans des sex-shops rassurants et softs comme Le passage du désir à Paris. “Ce qui fait le moins mal, ce sont les martinets à lanières en nubuck, il en existe même en velours. Ils ne sont pas dangereux et faciles à utiliser“ conseille Octavie Delvaux. Là encore, vous pouvez faire avec ce que vous avez sous la main. Votre vieille cravache Decathlon ? “Pas de problème“, nous dit Octavie. Et pour ajouter une dose de douleur, le paddle en cuir ou en bois (une petite tapette de la largeur d’une ceinture qui peut être assez douloureuse si utilisée avec force) peut être une seconde étape. “Là encore vous pouvez vous servir de ce que vous avez sous la main : une brosse à cheveux en bois de préférence, à utiliser du côté où il n’y a pas de poils, une brosse de douche pour le dos, même un pommeau de douche, une ceinture aussi mais cela peut être très douloureux“avertit Octavie. Attention en revanche à ne pas la jouer trop DIY. Les pinces à linge utilisées comme pinces à tétons (dont l’intensité est réglable), c’est non.
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eckodeath · 7 years
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Interview Friends #40 : Clément Dietz
Voilà presque 6 mois que je n’ai pas eu l’occasion de faire vivre cette rubrique mais ça c’était avant et en plus aujourd’hui on se retrouve pour un « Friends Interview » un peu spécial puisque il s’agit de laisser à la parole à un ami qui n’est pas seulement photographe mais également gérant, mais je n’en dit pas plus c’est à lui de se présenter.
Je laisse donc la parole (ou la plume) à mon ami Clément Dietz pour l’interview n°40 du blog.
| Qui es-tu ?
Salut !
Je m’appelle Clément, j’habite à Bordeaux, très jolie ville où j’ai établi mon QG il y a moins d’un an.
| Que fais tu dans la vie ?
Quand je ne réponds pas à des questions sur internet, je photographie le monde qui m’entoure et il m’arrive également de servir du café à mes clients, dans mon joli petit coffee shop !
| Quels sont tes loisirs ou passions ?
Mes journées sont en fin de compte rythmées par mes passions. J’aime les choses simples, et si je devais résumer une journée parfaite, je dirais que ce serait ristretto/photo/expo/resto. Je suis également un amoureux de musique, j’en écoute quasiment 4/5h chaque jour.
| Quel matériel hightech utilise-tu au quotidien ?
Je ne vais pas être très original, mais mes essentiels sont un Macbook Pro 15 full options, un iPhone 6s Plus, et un Bang & Olufsen H6. Après avoir testé toute la gamme Apple, je me suis finalement recentré sur ce setup !
| Quels sont les applications que tu utilises sur ton smartphone ?
J’utilise beaucoup Instagram, qui me sert de plateforme de partage pour mes photos, et Spotify qui est selon moi la meilleure app de streaming musical de part son interface et sa fluidité. Pour les mails, Spark est mon app favorite depuis longtemps maintenant (la version pour macOS est d’ailleurs sorti il y a peu, fin décembre si je ne me trompe pas). Pour le reste, rien de bien fou, même si j’ai une forte appétence pour Uber et Deliveroo.
| Tu es plutôt Facebook, Twitter, Google+, 500px, Flickr ou autres pour partager ?
Comme dis juste au dessus, je partage mes photos sur Instagram (@clementdietz) uniquement. J’ai également un compte 500px et un compte Flickr, mais le manque d’engagement de la communauté m’a un peu (beaucoup) éloigné de ces plateformes. On peut également me retrouver sur Twitter (@clementdietz), où je lis plus que je n’écris. C’est cela dit un endroit où j’aime passer du temps !
| Quand t’es tu lancé dans la photographie ?
La photographie m’a toujours attiré, j’ai longtemps volé le reflex de mon père pendant mon adolescence pour passer des après-midi à photographier tout et (surtout) n’importe quoi. Je me suis lancé sérieusement là dedans depuis 4/5 ans maintenant.
| Que représente pour toi la photographie ?
Une bonne excuse pour se bouger le cul et sortir ! Blague à part, la photo m’a permis de rencontrer énormément de personnes géniales, qui pour certaines sont désormais des ami(e)s. Elle aiguise également mon oeil d’un point de vue critique et me permet de voir du fascinant ou tout simplement du « beau » dans des choses anodines pour d’autres.
| Quel matériel photo utilise tu lors de tes sessions shooting ?
Mon fidèle boitier est un Sony Nex-7 ! Il me suit depuis plusieurs années maintenant, mais l’arrivée d’un nouveau jouet plein format est imminente (ça commence par Canon et ça fini par 5D Mk IV). Mon objectif de prédilection est un SEL50F18, assez polyvalent, qui m’a beaucoup appris et qui ne me déçoit jamais en portrait.
| Dans quelles circonstances sort tu ton appareil photo ?
Partout, tout le temps. À vrai dire, je ne sors jamais sans ! Il est toujours dans la poche avant de mon sac, prêt à déclencher.
| Quel est le type de clichés que tu favorise ?
Je travaille principalement avec des blogueuses mode, je suis donc amené à shooter des looks, des portraits, et parfois des évènements. Je m’intéresse aussi beaucoup à la photographie de rue, à l’architecture ainsi qu’à la macrophotographie.
| Comment se déroule une session shooting ?
Avec les blogueuses, la séance se prépare en général en amont (choix des tenues, du lieu), et comme nous nous connaissons bien, la séance se déroule toute seule, sans accroc ! Quand ce sont de nouveaux modèles, je prends le temps de discuter avec eux autour d’un verre, histoire de les cerner davantage et d’instaurer une relation de confiance. Pour les autres photos, je laisse mon oeil me guider !
| Comment fais tu pour prendre les gens dans la rue en photo ? Comment les abordes tu ?
Je ne photographie que très peu d’inconnus, mais il m’est déjà arrivé de croiser une personne et de me dire « il faut que je la photographie absolument ». Dans ces cas là, j’aborde gentiment la personne, je laisse un carte de visite en expliquant rapidement ma démarche, et je m’en vais.
| J’aimerai revenir sur ton CoffeeShop, peux tu nous en dire plus sur cet endroit et sur son concept ?
Avec grand plaisir ! C’est un endroit que mes associés et moi avons imaginé comme une « seconde maison », un lieu chaleureux et accueillant. La plupart de mes clients viennent y travailler (des iMac, iPad et iPad Pro sont d’ailleurs à leur disposition) car l’atmosphère est vraiment propice à la concentration. Nos cafés sont soigneusement sélectionnés, et nous nous efforçons de proposer des produits de grande qualité. Notre petit plus : les thés floraux et les prises secteur à chaque place !
| Comment en as tu eu l’idée ?
Après avoir arpenté plusieurs zones de coworking sur Paris, j’ai eu envie de proposer un endroit similaire ici, à Bordeaux, en y ajoutant l’ambiance cosy d’un coffee shop. Au delà de ça, je suis un fan absolu de café.
| Quels sont tes projets et ton ambition futur pour développer ce CoffeeShop ?
À court terme, j’aimerais proposer la location du lieu à des entreprises sur des créneaux horaires non-exploités pour le moment (7/9 et 19/21). Sur le long terme, je projette l’ouverture d’un second établissement dans une autre ville dynamique (Nantes/Lille ou Lyon).
| Suis tu des blogs régulièrement, quels sont tes favoris ?
Je suis quelques blogs oui, notamment Nowtech.tv, qui propose du contenu extrêmement qualitatif, et des tests plein de justesse. Sinon, je suis un gros consommateur de vidéos YouTube : MKBHD, Unbox Therapy, Kai Wong et Jared Polin (pour la photo), ainsi que l’excellent Nicolas Mérieux.
| Une personne dont tu voudrais lire l’interview ici ?
Absolument : Souleymane Bâ du compte Instagram @tchoupomoting dont j’adore le travail !
Clément D.
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Voilà l’interview s’arrête ici, j’espère que vous appréciez de retrouver ce genre d’article. N’hésitez pas à le commenter pour dire ce que vous en pensez et bien entendu n’hésitez pas à suivre mon ami @clementdietz.
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materielhoreca · 10 months
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Exploration d'équipements spécialisés pour divers besoins culinaires
La diversité est embrassée dans le monde culinaire. L’équipement spécialisé joue un rôle essentiel pour répondre à des besoins uniques. Cet article explore le monde fascinant du matériel asiatique, des gaufriers, du libre-service, du buffet, des installations, de l’équipement pour crêpes, de la glace, du matériel, de la nourriture, des camions, des produits de première nécessité et de l’équipement de restauration.
Dévoiler la diversité du matériel asiatique
Dans l’industrie hôtelière, le matériel asiatique revêt une immense importance culturelle. Des broyeurs en bambou, à vapeur et en pierre à la vaisselle et aux ustensiles traditionnels, ces outils permettent l’établissement d’une cuisine asiatique authentiquement présente et servante. Le matériel asiatique améliore non seulement l’expérience culinaire, mais reflète également les traditions de la gastronomie asiatique et son riche patrimoine.
Équipement de gaufrier et de crêpes pour des délices irrésistibles et des friandises délicieuses
L’équipement à crêpes en gaufrier apporte de la joie aux menus du petit-déjeuner et des desserts. Ces outils spécialisés permettent aux chefs de créer des gaufres et des crêpes parfaitement cuites. Cela aide également à ajouter une variété de saveurs, en essayant des formes et des textures. Cet équipement est un élément de lumière pour toute offre culinaire, qu’il s’agisse de crêpes au babeurre classiques ou de créations de gaufres innovantes.
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Équipement de buffet libre-service pour un repas sans effort avec commodité et variété
Lorsqu’il s’agit d’offrir commodité et variété aux convives, les buffets en libre-service sont devenus de plus en plus populaires. Équipements de buffet tels que des présentoirs chauffants, des réchauds, des éternuements, des gardes et des stations de boissons en libre-service, garantissant la sécurité alimentaire et le contrôle de la température. Il ajoute également une présentation attrayante à l’ensemble de la configuration. Ce type de configuration permet aux clients de personnaliser l’expérience culinaire tout en optimisant l’efficacité opérationnelle des établissements.
Équipement essentiel pour les food trucks proposant des aventures culinaires sur le pouce
Les food trucks ont révolutionné la scène culinaire. Ils apportent une expérience gastronomique dans la rue. Pour les food trucks, les équipements essentiels tels que les grils compacts, les friteuses, les unités de réfrigération et les solutions de stockage des aliments sont très populaires. Ces cuisines mobiles sont conçues pour maximiser l’utilisation de l’espace, assurer la sécurité alimentaire et fournir aux chefs les outils nécessaires pour créer des plats appétissants en déplacement. Avec ces équipements de camion de nourriture nécessaires, l’expérience est livrée avec facilité et sans beaucoup de temps.
Matériau de glace pour les solutions de rafraîchissement et de refroidissement et ajout du facteur de refroidissement
Dans l’industrie hôtelière, la glace est un élément crucial servant à diverses fins. Des broyeurs de glace aux machines à glacer en passant par les seaux à glace et les moules à glace, ces outils garantissent des solutions de refroidissement efficaces pour les boissons, les préparations de cocktails et les présentoirs alimentaires. Le matériau de glace garantit également que les boissons sont rafraîchissantes et que les aliments restent frais, de sorte que vous ne pouvez pas créer de boissons visuellement attrayantes. Cela comprend également l’équipement de concept de resto qui ajoute à l’efficacité de la fabrication de cocktails.
Renforcer le succès culinaire dans n’importe quel événement avec l’équipement de restauration
Lorsqu’il s’agit de la réussite d’un événement, ou d’un rassemblement, le matériel de restauration joue un rôle primordial. Les équipements de restauration tels que les fours portables, les stations de buffet, les réchauds, les distributeurs de boissons, les équipements GGM-gastro et les ustensiles de service permettent une alimentation, une préparation, une présentation et un service sans faille. Ces outils sont polyvalents et permettent à la restauration de proposer des expériences culinaires exceptionnelles, quels que soient la taille et le lieu de l’événement.
Dans l’ensemble, l’équipement spécialisé améliore le paysage culinaire en répondant à divers besoins culinaires. Indépendamment du fait que son matériel asiatique reflète le patrimoine culturel ou le gaufrier et l’équipement de crêpes, ajoutant du plaisir aux menus du petit-déjeuner, au buffet en libre-service, mis en place, offrant commodité et variété d’essentiels pour les food trucks, permettant des aventures culinaires sur le pouce Et du matériel de glace pour une solution de poisson et de refroidissement ou un équipement de restauration polyvalent, tout cela permet un succès culinaire dans tous les événements. Ces outils contribuent à la créativité, l’efficacité et la satisfaction au sein de l’industrie hôtelière.
URL : https://www.materielhoreca.com/
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