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#onresteouvert
masdecoulet · 4 years
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Magnifiques couleurs automnales au Mas de Coulet. Nous restons ouvert pour acceillir les personnes dans l'obligation de se deplacer. Nous espérons pouvoir de nouveau acceuillir tout le monde rapidement, toujours dans des conditions sanitaires exemplaires. En attendant prenez soin de vous et restez zen ! #automne #couleursdautomne #confinement2020 #confinementchallenge #reconfinement #zenattitude #coolattitude #onestensemble #onestbien #onresteouvert #onrestealamaison #onrestecheznous #tousanticovid #masdecoulet #chambresdecharme #gitesdecharme #chambresdhotesdecharme #occitanietourisme #montpellier #occitanie #languedocroussillon #gorgesdelhérault #heraulttourisme #montpellier #suddefrance #cevennes #cevennestourisme #grandpicsaintloup #sudcevennes #cevennesmediterrannée #madeinpicsaintloup (à Mas de Coulet) https://www.instagram.com/p/CG-F04wlqZ1/?igshid=1kq63tpv5xwrq
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lepetitlugourmand · 4 years
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@lacavedestephane : Stéphane est pour moi le meilleur caviste de Nice avec une sélection pointue et très abordable, ancien chef de cuisine, il vous écoute, vous conseille avec passion et vous parle de ses vins avec une simplicité professionnelle et chaleureuse. Pendant cette période difficile, les plaisirs gourmands sont ceux qui nous offrent l’espoir du retour des « Beaux Jours ». « La Cave est ouverte du mardi au dimanche de 9h30 à 13h00. J’organise des livraisons gratuites les après-midi sur Nice et alentours pour un montant de 40€ minimum. Prenez soin. de vous! #onresteouvert » #stayathome #restezchezvous #lacavedestephane #lepetitlugourmand #cavistedenice #chef #VilledeNice #confinement #chefetoile #frenchriviera #cotedazurfrance #caveavin #lepetitlugourmand #bestwine #meilleurcaviste #gastronomie #vigneron (à La cave de Stéphane) https://www.instagram.com/p/B-olSr8p60N/?igshid=nuqlk80mnh0u
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pharmabestarras · 5 years
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[Information] Nous aurons le plaisir de vous accueillir du 5 au 24/8 de 9h à 19h non-stop du lundi au samedi. Et toujours 24/24 7/7 sur www.para-discount.com #horairesdete #onresteouvert #arras #PharmaBest #pharmacie (à Arras, France) https://www.instagram.com/p/B00NVY-B2OH/?igshid=da5vbkrs1hx8
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revuedepresse30 · 4 years
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Marie Darrieussecq : “Changer l’image que nous nous faisions du futur, voilà l’espoir”
#OnResteOuvert : Fermons nos portes, pas nos esprits !
>> Retrouvez notre épisode précédent : Philippe Quesne : “Il va falloir entrer en résistance”
La dernière fois que je t’ai interviewée, pour ton roman La Mer à l’envers, tu me disais que le monde deviendrait un mélange de La Soif de JG Ballard, et de 1984 d’Orwell, entre catastrophes liées à l’urgence climatique et une nouvelle forme de surveillance - comme la Chine. Aurait-on pu prévoir cette pandémie ?
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Marie Darrieussecq - Tout ce que je peux dire c’est que le principe de précaution des années 2000-2010, appliqué à la santé, n’était pas une si mauvaise idée. La fiction a toujours annoncé les désastres, je me souviens d’avoir lu ado Stephen King et son Fléau, pas son meilleur roman sans doute, mais une fiction très réaliste.
D’après toi, est-ce que ce virus est un moment nécessaire pour réfléchir à comment changer le monde ? A agir pour le transformer ?
Comme l’a dit Christophe Honoré, avec d’autres, le sida a été un entraînement terrible pour notre génération. Nous avons eu à penser notre finitude très tôt, et nous avons élaboré des stratégies d’évitement, et pour certain.es de survie. Nous avons appris très jeunes que nous sommes faits de cellules, de sang, et finalement d’atomes. Mais nous n’avions pas perçu la dimension “écologique” du sida. Le fait qu’il nous venait probablement des singes semblait une plaisanterie à la Kundera, ça restait impensé, on ne faisait pas le lien avec la forêt, la forêt réelle, la déforestation, avec notre attitude envers les autres vivants. On ne voulait pas savoir que nos atomes nous sont seulement prêtés par cette planète. C’est cela qu’il faudra changer, et qui change je crois.
Quel monde vois-tu se profiler après ?
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revuedepresse30 · 4 years
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Léonora Miano : “Le monde d'après pourrait être pire”
#OnResteOuvert : Fermons nos portes, pas nos esprits !
Retrouvez les précédents épisodes de la série :
>> Episode 24 : Le monde de demain, selon Félix Tréguier
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>> Episode 25 : Le monde de demain, selon Glenn Albrecht
>> Episode 26 : Le monde de demain, selon Thomas Porcher
>> Episode 27 : Thomas Ostermeier : “Je crains que le capitalisme reprenne des forces”
Avez-vous l’impression de vivre un moment tout à fait inédit ?
Léonora Miano - Absolument. Non seulement inédit car il ne me semble pas que les pandémies du passé aient à ce point paralysé l’activité à travers la planète, mais aussi extrêmement brutal sur le plan social. Il va y avoir de la casse, et tout le monde ne s’en remettra pas. Nous voyons combien les régions du monde dépendent les unes des autres dans bien des domaines, que la puissance n’abolit pas l’extrême vulnérabilité, que nos habitudes relationnelles risquent d’être durablement ébranlées, et qu’il va falloir se hâter de changer de paradigme si l’on espère affronter plus sereinement les éventuelles rechutes ou surprises de même nature.
Etes-vous confiante quant à la façon dont les pouvoirs publics gèrent la crise ?
Dans ce type de situation, on voudrait faire entièrement confiance aux gouvernants, prendre en considération l’épineux problème de la communication en temps de crise et des décisions à prendre dans l’incertitude. Cependant, on garde en mémoire l’arrogance et la légèreté des débuts, la question des masques prétendument inutiles, la tenue du premier tour des municipales en dépit de l’épidémie, la sortie aussi incompréhensible qu’inopportune de l’ancienne ministre de la Santé, etc.
>> A lire aussi : Rencontre avec Léonora Miano : “Comment pacifier à l’intérieur de soi la relation avec l’ancien colon ?”
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revuedepresse30 · 4 years
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Will Self : "La notion de pathétique me semble toujours planer autour de la classe politique britannique"
#OnResteOuvert : Fermons nos portes, pas nos esprits !
Retrouvez les précédents épisodes de la série :
>> Episode 20 : Le monde de demain, selon Etienne Balibar
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>> Episode 21 : Le monde de demain, selon Rone
>> Episode 22 : Le monde de demain, selon Eloi Laurent
Est-ce que tu arrives à écrire en ce moment ou est-ce que l’actualité de la pandémie occupe tout le champ de ton esprit et t’en empêche ?
Will Self - J’ai écrit une nouvelle inspirée - si c’est le bon mot - par la pandémie. Elle s’intitule Tous les acteurs sont morts - je crois que vous pouvez saisir de quoi il s’agit dès le titre lui-même - et va être publiée dans l’édition anglaise de Esquire le mois prochain. A la fin de l’année dernière, j’ai commencé à réfléchir à un nouveau roman mais je m’en suis détourné, en partie à cause de l’urgence climatique (dont l’épidémie est, je pense, une manifestation). Ecrire de la fiction à un tel moment me paraissait un peu frivole, comme jouer du violon pendant que Rome brûle, et la pandémie n’a fait qu’augmenter ce sentiment. Mon mentor, JG Ballard, a dit il y a des années que le monde était devenu tellement fictionnel que la tâche de l’auteur était d’inventer la réalité qui lui correspondait. C’était aussi un critique sans pitié du roman de mœurs de la classe moyenne - si cette crise a des conséquences bénignes, l’une d’entre elles sera sûrement de nous débarrasser de ce type de fictions toc.
Est-ce que cette crise sanitaire pourrait t’inspirer un jour un récit, un roman ?
Tout ce qui arrive à un écrivain l’inspire d’une certaine façon - mais, en tant qu’écrivain de fictions déjà spéculatives depuis de nombreuses années, j’ai déjà visité cette situation - au moins schématiquement. Il y a une nouvelle dans mon recueil Liver (2009) - malheureusement pas encore traduit en France -, dans laquelle j’imagine la vie du point de vue d’un virus. Et il y a une nouvelle dans mon recueil de 1996, Grey Area, dans laquelle je décris un futur proche, dystopique, dans lequel tout le monde est affecté d’une maladie des poumons, et les familles se battent entre elles pour utiliser le ventilateur. Ballard disait que l’écrivain devrait utiliser sa propre psyché comme une sorte de laboratoire ou s’autoriser les spéculations les plus folles… Je crois que c’est ce que j’ai fait. Un peu.
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revuedepresse30 · 4 years
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Jakuta Alikavazovic : “Le monde d'avant était convulsif et agonisant”
#OnResteOuvert : Fermons nos portes, pas nos esprits !
As-tu l’impression de vivre un moment tout à fait inédit ?
Jakuta Alikavazovic — Absolument – un jamais-vécu avec un petit air de déjà-vu nous venant de la fiction qui, elle, se frotte à la dystopie depuis longtemps. Là on y est, non ? Du coup le réel semble à la fois outrancier, grotesque même, et par moments bizarrement décevant. La ruée sur les parcs, puis la ruée sur le papier toilette, quel panache. Et l'autre, avec ses drones, on dirait moi en 2013 quand je m'étais mis en tête de prendre un selfie vu du ciel.
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Retrouvez les précédents épisodes de la série :
>> Episode 1 : Le monde de demain, selon Stanislas Nordey
>> Episode 2 : Le monde de demain, selon Daniel Cohen
>> Episode 3 : Le monde de demain, selon Aurélien Bellanger
>> Episode 4 : Le monde de demain, selon Corine Pelluchon
>> Episode 5 : Le monde de demain, selon Vincent Macaigne
>> Episode 6 : Le monde de demain, selon Miossec
>> Episode 7 : Le monde de demain, selon Capucine et Simon Johannin
>> Episode 8 : Le monde de demain, selon Arlette Farge
>> Episode 9 : Le monde de demain, selon Simon Liberati
>> Episode 10 : Le monde de demain, selon Bernard Lahire
Es-tu confiante quant à la façon dont les pouvoirs publics gèrent la crise ?
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revuedepresse30 · 4 years
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Journal du confinement: jour 2
#OnResteOuvert : Fermons nos portes, pas nos esprits !
Ce matin je suis sortie promener mon petit Jack Russell et les gens allaient et venaient tranquillement dans la rue ; l’épicerie italienne en face était ouverte et deux vieux fumaient leur clope sur le trottoir en devisant ; les arbres sont déjà en fleurs, et en voyant les magnifiques magnolias rose pâle, je me disais que ce serait bien d’aller faire un tour au parc cet après-midi.
Non, je ne suis pas en train de décrire mon jour d’avant ni celui d’après : il s’agit bien d’aujourd’hui, deuxième jour de confinement pour les Français, sauf que l’on est à Londres. Et avant-hier, au début de mes vacances à Londres, je pouvais encore boire un verre de vin blanc en terrasse ; hier, je pouvais aller dans trois supermarchés différents - plusieurs rayons de divers Sainsbury’s (la chaîne de supermarchés) étaient complètement vides. Aucune patrouille pour me contrôler. J’ai essayé Tesco dans l’espoir d’y trouver ce que je cherchais, et c’est fou comme les gens continuaient à se parler de près, à faire la queue à la caisse les uns collés aux autres. Depuis trois jours, j’ai envie de leur hurler de garder leurs distances, un mètre ou deux au moins, mais ils me prendraient pour une folle.
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L’impression de vivre dans The Truman Show
Or, je ne suis pas folle, je suis française, j’écoute les infos françaises, j’ai suivi l’allocution du président français sur mon portable lundi soir, et j’ai des nouvelles tous les jours de mes ami·es confiné·es chez eux à Paris. Depuis quelques jours, être française en Grande-Bretagne, c’est être coincée dans une méta-réalité, un décalage bizarre. L’impression de vivre dans The Truman Show, dans un décor où des acteurs continuent à faire semblant d’être désinvoltes alors que le reste du monde s’enferme, et s’installe dans un divan pour nous regarder à la télé.
J’ai le sentiment de vivre entre deux mondes parallèles, l’un reflète l’autre, fait écho à l’autre, mais en décalé. Ici, Boris Johnson déclare ce qu’a déclaré Macron, mais avec 24 heures, ou 48 heures, ou 72 heures de retard. Quand Macron répétait "nous sommes en guerre" lundi soir, c’est mardi soir, hier donc, que Boris Johnson martelait "il faut se battre contre l’ennemi". Sauf qu’affronter un ennemi ou une guerre avec lui aux manettes et pas Churchill, ce n’est pas vraiment rassurant. Johnson, dans un premier temps, a refusé d’exiger que les magasins non nécessaires, les restaurants, les pubs, ferment leur portes, car pas question pour l’Etat anglais d’aider ses entreprises, donc de payer ; au moins le président français aura été cohérent là-dessus : si l’Etat interdit tout ouverture de lieux et de commerces, alors l’Etat dédommage. Il a fallu attendre jusqu’à hier soir que le ministre des Finances déclare sur la BBC que l’Etat était prêt à dédommager les entreprises forcées de fermer.
Un être de petite taille à l’horizon
Et la reine dans tout ça ? Rien, pas un signe ? La femme la plus riche du monde ne penserait pas mettre la main à la poche pour aider son peuple - ils ne le font jamais, m’assure un proche. Les aristocrates ou la grande bourgeoisie anglaises sont déjà partis se planquer dans leurs propriétés des Cotswolds. Pendant ce temps, les écoles restent ouvertes. Jeudi dernier, Macron disait que c’est parmi les enfants et les étudiants que le virus se propage le plus vite. Alors depuis trois jours, je change de trottoir dès que j’aperçois un être de petite taille à l’horizon. Hier, alors que j’emmenais mon Jack Russell au parc, une petite fille a arrêté sa trottinette rose pour le toucher. Je me suis mise à courir. Personne n’avait dû lui faire ce coup-là car elle s’est mise à hurler, rouge de rage : "But I want to play with the puppy !"
J’attends avec impatience les news de ce soir sur la BBC : le gouvernement britannique va-t-il enfin annoncer des mesures de confinement strict comme en France ? Heureusement que le livre que j’ai emporté avec moi pour les vacances - même si maintenant ce mot n’a plus de sens… - c’est Un lieu à soi de Virginia Woolf, dans la traduction de Marie Darrieussecq, en Folio. Un pressentiment ? C’est sans doute le livre à lire et à relire dans cette période de confinement, où nombre d’entre nous vont se retrouver coincés en famille, et 7 jours sur 7, dans des appartements de taille modeste, voire exiguë. Bien sûr, Woolf n’écrivait pas en pensant à un virus mais au sort des femmes au début du XXe siècle, confinées dans le foyer, dans leur famille, dans leur couple, dans la société, dans le monde entier. C’est un essai féministe écrit par une pionnière de la question. Tiens, à propos, c’est marrant, avez-vous remarqué qu’en quelques jours plus personne ne parle de Polanski ? Bon, allez, je vais sortir le petit Jack Russel avant de reprendre ma lecture. Et avant qu’il ne soit trop tard…
La suite au prochain épisode - d’ici-là, prenez soin de vous et de ceux autour de vous. Et bon courage à tous.
Je vous embrasse (de loin).
Nelly Kaprièlian
A lire aussi : Journal du confinement : jour 1
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