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#paolofreire
hopeisreal42 · 5 years
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The first workshop at the Alternatives Conference. I need to reread Paolo Friere’s Pedagogy of the Oppressed. It was the start of a huge paradigm shift for me. If you haven’t read it, Go read that book now! #booklover #paolofreire #pedagogyoftheoppressed #alternatives #mentalhealthwarrior #mentalhealthrecovery #schizoawesome #alifeworthliving #hopeisreal #paradigmshift https://www.instagram.com/p/BzvFRrpFaKr/?igshid=17nwffs3cr19a
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"What, indeed, is the deeper motive which moves people to become revolutionaries, but the dehumanization of people?" #pedagogyoftheoppressed #cheguevara #paolofreire
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 Laurence De Cock défend les savoirs comme « leviers d’émancipation collective » et l’école comme « expérience de la solidarité et de la délibération, ... propédeutique de la vie en démocratie ». En redéfinissant l’école, Laurence De Cock interroge sa place et son rôle dans la société. Son texte éclaire les enjeux des débats (et des réformes) actuels, au-delà des polémiques souvent caricaturales.
#LaurenceDeCock dénonce une crise démocratique, l’inscrivant dans l’histoire de l’institution, réformes après réformes, postulant « que l’#école a pour mission non pas de préparer au monde déjà là mais d’accompagner celui qui vient, et partant de contribuer à le transformer ». Plaidoyer « contre la vision politique responsable du brouillage actuel des repères pour penser l’école comme espace de démocratisation, de justice sociale et de partage des connaissances. » L’idéologie #néolibérale semble avoir installé ses évidences jusque dans les écoles et recoupe désormais « la fameuse #méritocratie républicaine : amener les individus à sortir de leurs zones de confort et à se surpasser, jouer de la concurrence, classer, hiérarchiser, récompenser et sanctionner. La méritocratie relève du mythe de l’égalité des chances offerte aux enfants. Elle « instaure des inégalités perçues comme justes par les enfants en échec. » La note, « outil de base », instrument de classement : « monnaie de l’école et sa valeur n’est fonction que de l’organisation de l’économie scolaire. La note est donc la valeur attribuée à un travail fourni en contexte concurrentiel. » Les élèves qui s’en sortent, sont « ceux qui se conforment le plus aux attendus d’un système », et transmettant une « perpétuation d’un système scolaire qui assigne à résidence sociale ses participants ». L’école n’est pas la source unique de la reproduction des #inégalitéssociales. Les gouvernements successifs, depuis 30 ans, n’ont su trancher entre accompagnement individuel et compensation collective.
#CélineAlvarez, couplant #Montessori et les #neurosciences, illustre une « dérive patente de ces pédagogies alternatives devenues les adjuvants d’un système #néolibéral, où tout pousse à la performance et passe par la croyance en les vertus magiques des objets et de la techniques ». « La pédagogie de #Freinet est conçue pour l’école publique, centrée sur le travail et la coopération. Rien à voir avec le simple épanouissement individuel par la réussite prôné par des pédagogies plus individualistes et technicistes. »
L’émancipation, selon la définition « réjouissante » de #PaoloFreire, passe par « la conscientisation des rapports de domination dans le cadre des interactions sociales » et par « le dépassement de ce rapport de domination pour l’abolir, condition première de l’égalité et de la démocratie ». Ce terme est actuellement dévoyé, mot prétexte de l’entreprenariat. « Émanciper reviendrait donc à favoriser la libre entreprise de soi-même, se dépasser, chercher (et jouir de) l’espace de liberté construit dans l’émulation par la concurrence. S’émanciper serait donc un projet individuel visant à quitter sa condition préalable pour rejoindre le cercle des puissants.» Pour Freire, l’émancipation ne peut être que collective et « ne vise aucunement à s’élever dans la hiérarchie puisqu’il s’agit d’en abolir l’existence ». Une école émancipatrice est publique, gratuite, obligatoire et laïque, c’est une « responsabilité collective de garantir le droit à l’école sans condition ». La laïcité doit « redevenir un principe d’ouverture à l’altérité et d’accueil généreux et bienveillant de la différence #culturelle » et non pas « un blanc-seing donné à un traitement #discriminatoire des élèves ». Un « racisme structurel » prive d’école des enfants rendus « invisibles » par un système complexe de rejet par l’administration française. Un enfant rom sur deux, par exemple, n’est pas scolarisé. La catégorisation culturelle essentialise, autour du postulat de la perpétuation de la « culture d’origine », et a remplacé le prisme social et fait disparaître la priorité donnée à une politique sociale destinée à compenser les #inégalités. Depuis #Bourdieu, la sociologie éclaire l’origine des inégalités : un enfant socialisé tout petit dans un contexte saturé d’apprentissages maîtrisera parfaitement les codes scolaires, comprendra d’emblée les consignes d’exercice et l’implicite de ses professeurs avec qui s’instaurera une connivence culturelle. L’enfant dont les apprentissages en milieu familial ne recoupent pas les codes scolaires n’arrive pas avec moins de « capacités » ou d’ « aptitudes » mais il aura besoin d’une explication des attentes de l’école. « ... [ne pas] réduire l’école à son rôle de transmission des savoirs, [mais plutôt] comme espace de socialisation politique ; mais à trop surinvestir l’école comme une antichambre de la société, on oublie la puissance émancipatrice des savoirs. »
Les réformes néolibérales des deux derniers quinquennats ont creusé les inégalités. Les gouvernements successifs se sont accommodés de l’échec de milliers d’élèves. Ils  ont  fait  de  l’éducation  un  marché,  de  l’élève  un  client,  des  enseignants des exécutants, portant atteinte aux principes républicains d’égalité, gratuité et laïcité. Vision minimaliste et utilitariste des « compétences  »,  les  directives  européennes  organisent  la  subordination  de  notre système éducatif à « l’économie de la connaissance ». Les finalités de l’école ont  été  inversées.  Alors  qu’elle  doit  éduquer  des  consciences  libres  et  auto-nomes, elle s’est vue assigner l’objectif de formater des individus employables et adaptés au marché.
Condorcet : « former des citoyens qui ne s’en laissent pas conter mais qui entendent qu’on leur rende des comptes [...] La société doit au peuple une instruction publique : comme moyen de rendre réelle l'égalité des droits...  est  un  devoir  de  la  société  à  l'égard  des  citoyens... L'état social diminue nécessairement l'inégalité naturelle, en faisant concourir  les  forces  communes  au  bien-être  des  individus.  Mais  ce  bien-être devient en même temps plus dépendant des rapports de chaque  homme  avec  ses  semblables,  et  les  effets  de  l'inégalité  s'accroîtraient à proportion, si l'on ne rendait plus faible et presque nulle, relativement au bonheur et à l'exercice des droits communs, celle qui naît de la différence des esprits. »
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Pour diminuer l'inégalité qui naît de la différence des sentiments moraux.
Il est encore une autre inégalité dont une instruction générale également  répandue  peut  être  le  seul  remède.  Quand  la  loi  a  rendu  tous  les  hommes  égaux,  la  seule  distinction  qui  les  partage  en  plusieurs  classes est celle qui naît de leur éducation ; elle ne tient pas seulement à la différence des lumières, mais à celle des opinions, des goûts, des sentiments,  qui  en  est  la  conséquence  inévitable.  Le  fils  du  riche  ne  sera  point  de  la  même  classe  que  le  fils  du  pauvre,  si  aucune  institution publique ne les rapproche par l'instruction...  Il  existera donc une distinction réelle, qu'il ne sera point au pouvoir des lois de détruire, et qui, établissant une séparation véritable entre ceux qui ont des lumières et ceux qui en sont privés, en fera nécessairement un  instrument  de  pouvoir  pour  les  uns,  et  non  un  moyen  de  bonheur  pour tous. Le devoir de la société, relativement à l'obligation d'étendre dans le fait,  autant  qu'il  est  possible,  l'égalité  des  droits,  consiste  donc  à  procurer  à  chaque  homme  l'instruction  nécessaire  pour  exercer  les  fonctions  communes  d'homme,  de  père  de  famille  et  de  citoyen,  pour  en  sentir, pour en connaître tous les devoirs.
Pour augmenter dans la société la masse des lumières utiles.
Plus  les  hommes  sont  disposés  par  éducation  à  raisonner  juste,  à  saisir les vérités qu'on leur présente, à rejeter les erreurs dont on veut les rendre victimes, plus aussi une nation qui verrait ainsi les lumières s'accroître  de  plus  en  plus,  et  se  répandre  sur  un  plus  grand  nombre  d'individus, doit espérer d'obtenir et de conserver de bonnes lois, une administration sage et une constitution vraiment libre. C'est  donc  encore  un  devoir  de  la  société  que  d'offrir  à  tous  les  moyens d'acquérir les connaissances auxquelles la force de leur intelligence  et  le  temps  qu'ils  peuvent  employer  à  s'instruire  leur  permettent  d'atteindre.  Il  en  résultera  sans  doute  une  différence  plus  grande  en  faveur  de  ceux  qui  ont  plus  de  talent  naturel,  et  à  qui  une  fortune  indépendante  laisse  la  liberté  de  consacrer  plus  d'années  à  l'étude  ;  mais si cette inégalité ne soumet pas un homme à un autre, si elle offre un appui au plus faible, sans lui donner un maître, elle n'est ni un mal,  ni  une  injustice  ;  et,  certes,  ce  serait  un  amour  de  l'égalité  bien  funeste que celui qui craindrait d'étendre la classe des hommes éclairés et d'y augmenter les lumières.
La société doit encore l'instruction publique comme moyen de perfectionner l'espèce humaine
C'est  par  la  découverte  successive  des  vérités  de  tous  les  ordres,  que les nations civilisées ont échappé à la barbarie et à tous les maux qui suivent l'ignorance et les préjugés. C'est par la découverte des vérités  nouvelles  que  l'espèce  humaine  continuera  de  se  perfectionner.  Comme  il  n'est  aucune  d'elles  qui  ne  donne  un  moyen  de  s'élever  à  une  autre  ;  comme  chaque  pas,  en  nous  plaçant  devant  des  obstacles  plus difficiles à vaincre, nous communique en même temps une force nouvelle,  il  est  impossible  d'assigner  aucun  terme  à  ce  perfectionnement. C'est  donc  encore  un  véritable  devoir  de  favoriser  la  découverte  des  vérités  spéculatives,  comme  l'unique  moyen  de  porter  successivement  l'espèce  humaine  aux  divers  degrés  de  perfection,  et  par  conséquent de bonheur, où la nature lui permet d'aspirer ; devoir d'au-tant plus important, que le bien ne peut être durable, si l'on ne fait des progrès  vers  le  mieux,  et  qu'il  faut,  ou  marcher  vers  la  perfection,  ou  s'exposer  à  être  entraîné  en  arrière  par  le  choc  continuel  et  inévitable  des passions, des erreurs et des événements ...  l'instruction peut devenir un bienfait public ; elles n'étaient qu'une espèce de  loterie,  offrant  à  quelques  êtres  privilégiés  l'avantage  incertain  de  s'élever  à  une  classe  supérieure  ;  elles  faisaient  très  peu  pour  le  bon-heur de ceux qu'elles favorisaient, et rien pour l'utilité commune. En voyant ce que le génie a su exécuter malgré tous les obstacles, on peut juger des progrès qu'aurait faits l'esprit humain, si une instruction mieux dirigée avait au moins centuplé le nombre des inventeurs ... les véritables progrès des sciences ne se bornent pas à se porter en avant ; ils consistent  aussi  à  s'étendre  davantage  autour  du  même  point,  à  ras-sembler un plus grand nombre de vérités trouvées par les mêmes méthodes   et   conséquences   des   mêmes   principes.   Souvent   ce   n'est   qu'après les avoir épuisées qu'il est possible d'aller au-delà ; et, sous ce point  de  vue,  le  nombre  de  ces  découvertes  secondaires  amène  un  progrès réel. Il faut observer encore qu'en multipliant les hommes occupés d'une même classe de vérités, on augmente l'espérance d'en trouver de nouvelles, parce que la différence de leurs esprits peut correspondre plus aisément à celle des difficultés, et que le hasard qui influe si souvent sur  le  choix  des  objets  de  nos  recherches,  et  même  sur  celui  des  méthodes,  doit  produire  alors  plus  de  combinaisons  favorables.  De  plus,  le  nombre  des  génies  destinés  à  créer  des  méthodes,  à  s'ouvrir  une  nouvelle carrière, est beaucoup plus petit que celui des talents, dont on peut attendre des découvertes de détail ; et la succession des premiers, au  lieu  d'être  souvent  interrompue,  deviendra  d'autant  plus  rapide  qu'on  aura  donné  à  plus  de  jeunes  esprits  les  moyens  de  remplir  leur  destinée. Enfin, ces découvertes de détail sont utiles, surtout par leurs applications  ;  et  entre  le  génie  qui  invente  et  le  praticien  qui  en  fait  servir  les  productions  à  l'utilité  commune,  il  reste  toujours  un  intervalle à parcourir, que souvent on ne peut franchir sans ces découvertes d'un ordre inférieur ... Les  révolutions  amenées  par  le  perfectionnement  général  de  l'espèce humaine doivent sans doute la conduire à la raison et au bonheur. Mais par combien de malheurs passagers ne faudrait-il pas l'acheter ? Combien l'époque n'en serait-elle pas reculée, si une instruction générale ne rapprochait pas les hommes entre eux, si le progrès des lumières  toujours  inégalement  répandues  devenait  l'aliment  d'une  guerre  éternelle d'avarice et de ruse entre les nations, comme entre les diverses  classes  d'un  même  peuple,  au  lieu  de  les  lier  par  cette  réciprocité  fraternelle  de  besoins  et  de  services,  fondement  d'une  félicité  commune ?
Motifs d'établir plus de degrés dans l'instruction commune
1 ̊ Pour rendre les citoyens capables de remplir les fonctions publiques, afin qu'elles ne deviennent pas une profession.
Je trouve trois motifs principaux pour multiplier le nombre des degrés de l'instruction commune.
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titution  se  détruirait  d'elle-même  après  quelques  orages,  et  dégénérerait  en  une  de  ces  formes  de  gouvernement  qui  ne  peuvent  conserver  la paix au milieu d'un peuple ignorant et corrompu. Nécessité d'examiner à part chaque division et chaque degré de l'instruction. Pour  chacune  des  nombreuses  divisions  qui  viennent  d'être  établies,  il  est  nécessaire  d'examiner, 
1 ̊  quels  doivent  être  les  objets  de  l'instruction,  et  à  quel  terme  il  convient  de  s'arrêter  ; 
2 ̊  quels  livres  doivent  servir  à  chaque  enseignement,  et  quels  autres  moyens  il  peut  être  utile  d'y  ajouter  ; 
3 ̊  quelles  doivent  être  les  méthodes  d'enseigner ;
4 ̊ quels maîtres on doit choisir, par qui et comment il faut qu'ils soient choisis. En  effet,  ces  diverses  questions  ne  doivent  pas  être  résolues  de  la  même manière pour chacune des divisions qui viennent d'être établies. Le  véritable  esprit  systématique  ne  consiste  pas  à  étendre  au  hasard  les applications d'une même maxime, mais à faire dériver des mêmes principes  les  règles  propres  à  chaque  objet.  Il  est  le  talent  de  comparer, sous toutes leurs faces, toutes les idées justes et vraies qui s'offrent à la méditation, d'en faire sortir les combinaisons neuves ou profondes qui  y  sont  cachées,  et  non  l'art  de  généraliser  des  combinaisons  formées  au  hasard  du  petit  nombre  d'idées  qui  se  présentent  les  premières.  Ainsi,  dans  le  système  du  monde,  les  astres  soumis  par  une  loi  commune  à  une  dépendance  réciproque  se  meuvent  chacun  dans  une  orbite différente, suivent des directions diverses, et, entraînés avec des vitesses qui changent à chaque instant, présentent, dans le résultat d'un même  principe,  une  inépuisable  variété  d'apparences  et  de  mouvements.
Cinq mémoires sur l’instruction publique (1791) suite p 33 : http://classiques.uqac.ca/classiques/condorcet/cinq_memoires_instruction/Cinq_memoires_instr_pub.pdf
http://classiques.uqac.ca/classiques/condorcet/cinq_memoires_instruction/Cinq_memoires_instr_pub.pdf#%5B%7B%22num%22%3A401%2C%22gen%22%3A0%7D%2C%7B%22name%22%3A%22XYZ%22%7D%2C0%2C792%2Cnull%5D
http://classiques.uqac.ca/classiques/condorcet/cinq_memoires_instruction/Cinq_memoires_instr_pub.pdf#%5B%7B%22num%22%3A445%2C%22gen%22%3A0%7D%2C%7B%22name%22%3A%22XYZ%22%7D%2C0%2C792%2Cnull%5D
http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/7ed.asp
À ces arts il faut joindre la musique. Lorsque les sons se succèdent par intervalles mesurés, lorsque ceux qui se suivent ou qui s'entendent à  la  fois  sans  se  confondre,  répondent  dans  le  corps  sonore  à  un  système  de  mouvements  simples  et  réguliers,  ils  excitent  naturellement  sur l'organe de l'ouïe un sentiment de plaisir qui paraît influer sur l'ensemble de nos organes, et qui peut-être, de même que cette influence, a pour cause première cette régularité de vibration à laquelle tous nos mouvements  tendent  alors  à  se  conformer  en  vertu  des  lois  générales  de la nature. Il y a plus : les sons, et par leur nature et par leur distribution ou l'ordre de leur succession, excitent et réveillent en nous des sentiments et des passions. Si la musique ne nous entraîne pas, si elle n'imprime  pas  à  notre  âme  les  mouvements  qu'elle  doit  exciter,  elle  nous  distrait,  nous  sépare  de  nous-mêmes  pour  nous  porter  vers  de  douces  rêveries.  Enfin,  son  influence  est  plus  forte  sur  les  hommes  rassemblés ; elle les oblige à sentir de la même manière, à partager les mêmes  impressions.  Elle  est  donc  au  nombre  des  arts  sur  lesquels  la  puissance publique doit étendre l'instruction, et il ne faut pas négliger ce  moyen  d'adoucir  les  mœurs,  de  tempérer  les  passions  sombres  et  haineuses,  de  rapprocher  les  hommes  en  les  réunissant  dans  des  plaisirs communs. 
1792 :
Sur la nécessité de l’union entre les citoyens
1792 :
De la nature des pouvoirs politiques dans une nation libre
1793 :
Ce que les citoyens ont droit d’attendre de leurs représentants
1793 :
Que toutes les classes de la société n’ont qu’un même intérêt
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