#pas de vacances pour les blues | Explore Tumblr Posts and Blogs

through-the-trees-rpg · 2 years

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aperçu • lieux de boring.

NORTH FORK ROAD.

THE SKATE PALACE, skating rink Lieu de rendez-vous de tou.te.s les amateur.ice.s de glisse, le Skate Palace n'est autre qu'une piste dédiée aux patins à roulettes. Occasionnellement occupé par les entraînements des Screaming Banshees, l’équipe locale de roller derby, le track est aussi accessible au grand public en après-midi et en soirée. Des événements y sont régulièrement organisés, et notamment des soirées "roller disco", où l'on peut patiner dans une ambiance musicale entraînante.

CRATER LAKE.

THE RED APPLE, bar A toute petite ville, son bar. Qui n'est pas déjà passé.e par ici pour une bière en soirée, au son d'un concert de blues, alors que plus loin, une partie de fléchettes bat son plein ? C'est dans l'atmosphère tamisée du Red Apple que nombreux.ses habitant.e.s de Boring viennent profiter d'un verre en fin de journée. Avec son nom emprunté aux contes les plus légendaires, le bar local est lui-même digne des meilleures histoires : murs recouverts de lambris de bois brut, tables en pin massif et tête de cerf en guise de trophée de chasse ornent l'endroit, qui semble ne pas avoir changé depuis des décennies.

FAIRMONT HEIGHTS.

THE SMOKEY SAPPHIRE, ancien speakeasy Originellement fondé dans les années 20, lorsque la prohibition était à son apogée, The Smokey Sapphire a depuis été transformé en un bar à l'ambiance feutrée où tou.te.s sont les bienvenu.e.s pour partager des cocktails enfumés entre ami.e.s, profiter de la musique langoureuse et des spectacles grandioses qui s'y déroulent. Tout cela dans un décor riche de velours couleur saphir et d'autres dorures qui donnent au lieu un caractère d'autant plus mystérieux. Le bruit courrait même que certaines activités illicites s'y passeraient à porte close. Mais ce ne sont que des ragots... n'est-ce pas ?

OUTSKIRTS.

BEAVER BASE SUMMER CAMP, camp de vacances Autrefois, chaque été, on pouvait retrouver des dizaines d'enfants profitant du Crater Lake ou se baladant dans le parc national. Hélas, depuis la disparition d'un campeur, le camp a fermé définitivement ses portes, laissant à l'abandon toute la base nautique et les différents pavillons existants. Plus aucun enfant n'y a mis les pieds depuis 1978 et peu se risquent à y retourner. En est née la légende morbide que le camp serait maudit et que l'esprit du disparu y errerait encore. Certain.e.s osent parfois s'y aventurer pour profiter des ruines ou pour relever un défi qu'on leur a donné.

#forum rpg #forum city #rpg francophone #projet rpg #rpg français #slice of life #rpg slice of life #Pacific Northwest Gothic

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freelance-informatique · 3 months

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Kevin De Bruyne à Al-Ittihad ? Des négociations sont en cours

L'avenir de Kevin De Bruyne à Manchester City est incertain après l'Euro 2024. Le milieu de terrain belge, pièce maîtresse des Citizens, pourrait quitter le club pour rejoindre Al-Ittihad en Arabie Saoudite. Cette perspective, bien que surprenante, semble de plus en plus probable. Kevin De Bruyne à Al-Ittihad ? Selon le journaliste Rudy Galetti, De Bruyne aurait été convaincu par une délégation saoudienne d'accepter une offre de contrat avec Al-Ittihad. Le départ de Kevin De Bruyne serait un grand événement tant pour le joueur que pour Manchester City. Le Belge est sous contrat avec le club anglais jusqu'en 2025, et son transfert représenterait une perte considérable pour les Sky Blues. Bien que la nouvelle puisse choquer les supporters, Manchester City serait ouvert à laisser partir Kevin De Bruyne. Depuis son arrivée en 2015 en provenance de Wolfsbourg, le Belge a été un élément clé du succès de l'équipe sous la houlette de Pep Guardiola. La décision de le laisser partir pourrait indiquer une nouvelle stratégie de l'équipe. Voir également : De Bruyne à Al-Nassr ? Kevin De Bruyne aspire au repos Interrogé sur son avenir après l'élimination de l'Euro, Kevin De Bruyne a exprimé son besoin de repos après une longue saison. Selon lui, il était trop tôt pour prendre une décision sur sa carrière internationale. Pour ce faire, il préfère attendre la fin de l'été pour se prononcer. Cette période de réflexion inclut également son avenir en club, bien qu'il ait affirmé ne pas prévoir de quitter Manchester City dans l'immédiat. Kevin De Bruyne prévoit de retourner à Manchester City après ses vacances estivales. Il prévoit des discussions avec les dirigeants du club dans les mois à venir pour décider de la suite de sa carrière. Pep Guardiola, le manager de Manchester City, sera sans doute fortement impacté par ce départ potentiel. Voir également : Manchester City risque de lourdes sanctions pour certaines infractions ! Le transfert de Kevin De Bruyne à Al-Ittihad est un tournant pour sa carrière. Après avoir marqué l'histoire de Manchester City par ses performances exceptionnelles, son départ représenterait une nouvelle étape pour lui, et une page se tournerait pour le club anglais. Read the full article

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jpbjazz · 8 months

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LÉGENDES DU JAZZ

EDDIE ‘’CLEANHEAD’’ VINSON, BEAUCOUP PLUS QU’UNE ‘’TETE BRULÉE...’’

Né le 18 décembre 1917 à Houston, au Texas, Edward L. Vinson Jr. est issu d’une famille de musiciens. Vinson, qui avait appris à jouer du saxophone alto durant son enfance, avait amorcé sa carrière comme chanteur de R & B en se produisant avec le groupe de tournée de Chester Boone durant les vacances scolaires. Après avoir obtenu son diplôme en 1935, Vinson s’était joint au groupe à plein temps.

À la fin des années 1930, Vinson était devenu membre du groupe de Milton Larkin. Durant son séjour de cinq ans avec le groupe de Larkin, Vinson avait eu l’occasion de jouer avec de grands noms du jazz et du blues comme T-Bone Walker, Arnett Cobb, Tom Archia, Cedric Haywood, Wild Bill Davis et Illinois Jacquet, qui faisaient également partie de la formation à l’époque.

Dans le cadre de ses tournées avec le groupe de Larkin, Vinson avait fait la connaissance du légendaire Big Bill Broonzy, qui lui avait appris à chanter du blues et l’avait engagé pour participer à une de ses tournées en 1941. À la même époque, Vinson avait aussi rencontré le pianiste Jay McShann. À l’époque, Charlie Parker faisait partie du groupe de McShann. Vinson l’avait même ‘’kidnappé’’ pendant quelques jours afin de pouvoir mieux étudier sa technique. À la même époque, Vinson avait également fait une tournée avec Lil Green.

Vinson avait été surnommé ‘’Cleanhead’’ après que la soude contenue dans un vaporisateur capilaire ait endommagé sa chevelure, ce qui l’avait obligé à se raser la tête complètement. Enthousiasmé par sa nouvelle apparence, Vinson avait continué de se raser la tête jusqu’à la fin de sa carrière. Le critique Robert Christgau avait par la suite ironisé en qualifiant Vinson de "one of the cleanest—and nastiest—blues voices you'll ever hear." Vinson lui-même ne s’était d’ailleurs pas privé pour plaisanter au sujet de l’incident, qu’il avait immortalisé dans sa chanson ''Cleanhead Blues.''

Après s’être joint au groupe du trompettiste Cootie Williams à la fin de 1941, Vinson avait obtenu un grand succès avec la pièce ''Cherry Red.'' En avril 1942, Vinson avait fait ses débuts sur disque en enregistrant la chanson "When My Baby Left Me’’ avec l’orchestre de Williams. Vinson avait quitté Willams à la fin de 1945 pour former son propre groupe, un ensemble de seize musiciens. Durant cette période, même si sa spécialité était toujours de chanter du blues dans le plus pur style du Texas, Vinson avait aussi enregistré avec un petit groupe de bebop, . Parmi les plus grands succès de Vinson à cette époque, on remarquait "Juice Head Baby", "Kidney Stew Blues" (qui était devenu sa chanson-thème), "Old Maid Boogie", "Some Women Do", ''Somebody's Got To Go'', "Oil Man Blues" et "Ever-Ready Blues", même si certaines de ses chansons étaient souvent trop osées pour jouer à la radio.

À la même époque, Vinson avait également joué avec les Ink Spots. Vinson avait probablement connu un des sommets de sa carrière en 1952-53 lorsqu’il avait dirigé un sextet qui comprenait de futurs grands noms du jazz comme John Coltrane.

Après être retourné à Houston en 1954 pour enseigner la musique, Vinson avait été redécouvert par le chef d’orchestre Johnny Otis qui l’avait incité à enregistrer et à se produire de nouveau dans les clubs. Parmi les albums que Vinson avait enregistrés au cours de cette période, on remarquait ''Kidney Stew is Fine,'' ''Cleanhead's Back in Town'' et ''You Can't Make Love Alone.''

Au début des années 1960, Vinson avait collaboré avec le saxophoniste alto Cannonball Adderley, ce qui avait contribué à le faire connaître d’un plus large public. À la fin de la même décennie, après avoir de nouveau collaboré avec Jay McShann, Vinson s’était installé à Los Angeles et avait commencé à travailler avec la revue de Johnny Otis. Avec Otis, Vinson avait d’ailleurs fait une apparition au Festival de Jazz de Monterey (1970). Durant les années 1970, Vinson avait également enregistré avec des sommités du jazz et du blues comme Count Basie, Johnny Otis, le groupe Roomful of Blues, Arnett Cobb et Buddy Tate. Vinson avait aussi continué de composer, enregistrant notamment "Tune Up" et "Four", deux pièces qui avaient été faussement attribuées à Miles Davis.

Durant les années 1970 et 1980, Vinson avait enregistré plusieurs albums qui avaient été salués par le public et la critique. Extrêmement populaire auprès des amateurs de jazz et de blues, Vinson s’était produit sur une base régulière lors de nombreux festivals de jazz européens et américains. Il avait aussi fait des apparitions avec l’orchestre de Count Basie.

Atteint d’un cancer de l’oesophage, Eddie ‘’Cleanhead’’ Vinson est mort au California Medical Center de Los Angeles le 2 juillet 1988 à la suite d’une crise cardiaque survenue pendant qu’il suivait des traitements de chimiothérapie. Il était âgé de soixante-dix ans. Au moment de sa mort, Vinson était considéré comme un des meilleurs saxophonistes du bebop. Ont survécu à Vinson son épouse Bernice, trois filles, cinq petits-enfants et un arrière-petit-enfant.

Une de ses dernières performances de Vinson était commanditée par la Southern California Blues Society. Une des membres de l’organisme, Betty Miller, avait commenté: ''As frail as he was at that last show when I talked to him backstage, when he got up to the stage his voice was very strong and his playing was wonderful. That showmanship always came through.''

SOURCES:

‘’Eddie ‘’Cleanhead’’ Vinson.’’ Wikipedia, 2024.

‘’Eddie ‘’Cleanhead’’ Vinson.’’ All About Jazz, 2024.

‘’Eddie (Cleanhead) Vinson, 70, Alto Saxophonist and Blues Singer.’’ New York Times, 4 juillet 1988.

#jazz

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meldagson · 8 months

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Il est l’Aninamteur des animateurs, l’unité de mesure, l’icône indéboulonnable, la légende qui s’étend de génération en génération. RFK. 35 ans après qu’est-ce qu’on peut dire de ce monstre sacré ? Qu’est-ce qu’on peut retenir de ce jeune animateur qui a réussie à emballer toute une génération l’ivoirien en seulement 12 années de carrière ?

Roger Fulgence Kassy était en réalité un don du ciel, un visionnaire qui était venu nous montrer la voie et la voix à suivre. Depuis son passage à la télévision ivoirienne plus rien n’a été comme avant. Toutes les races d’animateurs qui se sont succédé après lui ont tous été testé positif au virus RFK. L’enfant de Kokoumbo avait un immense talent qui n’a laissé personne indifférent. Il a révéler de grands artistes, il a guidée les premiers pas de grandes vedettes de la musique locales et internationale ( Alpha Blondy, Serge Kassy , Meiway, Youssou N’Dour, Brenda Fassie, Papa You etc…ne pourront pas dire le contraire). RFK était l’ami des artistes, l’oreille attentive qui savait dénicher de grands talents et qui savait leur offrir la chance de pouvoir d’exploser. Il était par dessus tout, l’idole des Nandjelets, de ces jeunes ivoiriens qui ont fait de lui UNE RÉFÉRENCE. RFK dès ses débuts avait décidé de se sacrifier pour la cause de la jeunesse. Ce public qu’il chérissait tant ,et pour qui, il lui arrivait de passer des nuits entières dans les studios de télévisions. La jeunesse, c’était sa vie ! Et Il fallait à tout prix « les branchés » sur toutes les nouveautés, ouvrir l’esprit de ces jeunes à toutes sortes de musique et de danses. C’est RFk qui va imposer le rap en Côte d’Ivoire, il va faire également la promotion du Break Dance à travers l’émission Nandjelet et même à Podium en 1984. C’est encore lui en 1985, qui va lancer l’ère du « Gnaman Gnama ». Il disait: « On a dansé au rythme du Break l’année dernière, on va danser cette année le Gnaman Gnaman de chez nous ». C’est encore RFK qui va en 1981 créé la première émission télé basé purement sur les clips vidéos internationales, Super Star Station: Sss ».

Ful voulait câbler la jeunesse ivoirienne. Autant, il était rattaché à notre culture ivoirienne, autant il permettait aux jeunes d’apprécier les hits internationaux. C’était la marque RFK !

On le trouvait aussi gonflé, Ful s’était bâti une carapace de fer au files des années à la télévision. Il était le plus jeune, il fallait bien qu’il se fasse respecté. Lui qu’on prenait pour un simple plaisantins qui faisait le boucan à la télévision, va finir par surclasser ses paires. Podium, la première émission de vacance télévisée de Côte d’ivoire a battu tous les records d’audimat en 1978 et 1979. C’est d’ailleurs cette émission qui va propulser RFK et lui donner une notoriété internationale.

RFK c’est aussi l’histoire d’une carrière ponctué par de nombreuses suspensions. Il n’avait pas la langue dans la poche, Ful était véritablement attaché à sa liberté. On ne pouvait pas l’obliger à faire ce qu’il ne voulait pas. C’est de là qu’est née l’appellation « L’enfant terrible de la télévision ivoirienne ». RFK est le premier présentateur qui s’est pointé à l’antenne avec un blue-jean, des sneaker et un t-shirt. Quand en 1983, au cours de l’émission Anti Portrait, animé par le téméraire Georges Coffie, des téléspectateurs avaient critiquer son style vestimentaire, il leur a répondu: que son soucis était d’être le plus naturel possible à l’écran. C’est l’image qui collait le mieux à sa personnalité…

On pourrait prendre toute une journée pour évoquer les différents aspects de la vie de RF.Kassy, tant elle a été riche en événement et en rebondissements. Une chose est certaine, RFK a vécu pleinement, il a croquis la vie à pleine dent, il a vécu surtout utile. Il a suscité des vocations et il a laissé un immense héritage.

Aujourd’hui 20 janvier 2024, nous célébrons la vie d’une icône qui ne disparaîtra jamais. Une véritable légende !

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omagazineparis · 1 year

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Top 5 des plus belles îles des Caraïbes pour un voyage de rêve

Qui n'a jamais rêvé d'un voyage paradisiaque, d'une évasion sur une île des Caraïbes où le sable est aussi doux que du sucre et l'eau aussi claire que le cristal ? Préparez-vous à embarquer pour un tour virtuel des cinq îles de rêve les plus époustouflantes des Caraïbes, où le soleil, la mer et la tranquillité ne sont que le début de ce que vous pouvez y découvrir. La Barbade : une explosion de couleurs et de culture La Barbade, avec ses plages dorées et son ambiance animée, est bien plus qu'un simple lieu de détente. L'île est riche en histoire et en culture, avec une abondance de sites du patrimoine mondial de l'UNESCO, comme la Maison de George Washington. Les amateurs de bonne cuisine seront également comblés avec la diversité des saveurs caribéennes à découvrir. La particularité de la Barbade La Barbade est la seule île des Caraïbes à avoir produit son propre vin, appelé "Falernum". À ne pas manquer pour une dégustation exotique. Sainte-Lucie : pour les amoureux de la nature Nichée entre les mers des Caraïbes et de l'Atlantique, Sainte-Lucie offre une diversité naturelle impressionnante. Des pitons majestueux, de magnifiques plages de sable noir, des sources d'eau chaude et une forêt tropicale luxuriante font de cette île une destination incontournable pour les amoureux de la nature. La particularité de Sainte-Lucie La particularité de Sainte-Lucie réside dans son volcan, le seul au monde où vous pouvez littéralement conduire ! Les Bahamas : le paradis des plongeurs Un archipel de plus de 700 îles, les Bahamas offrent une évasion unique. Avec des récifs coralliens éclatants, une faune marine riche et des grottes sous-marines, c'est une véritable aubaine pour les plongeurs et les amateurs de snorkeling. La particularité des Bahamas Ne manquez pas la chance de nager avec les cochons sur l'île de Big Major Cay, une expérience unique qui fait la réputation des Bahamas. A lire aussi : Voyage au Canada : ces activités incontournables à faire Aruba : L'île du bonheur Aruba est souvent surnommée l'île du bonheur, et pour cause. L'île offre une combinaison parfaite de plages magnifiques, d'activités aquatiques, d'une scène culinaire animée et d'une vie nocturne trépidante. La particularité d'Aruba Aruba possède des parcs nationaux impressionnants, comme le Parc National Arikok, offrant des panoramas saisissants sur des formations rocheuses et des grottes historiques. La Jamaïque : La terre du reggae et du café La Jamaïque est une explosion de culture, de musique et de goût. De la naissance du reggae aux plantations de café Blue Mountain, l'île offre une expérience caribéenne authentique. La particularité de la Jamaïque L'une des rares îles des Caraïbes à posséder des cascades, comme les célèbres chutes du fleuve Dunn, la Jamaïque offre des aventures inoubliables. Après cette découverte des plus belles îles des Caraïbes, votre envie d'évasion est certainement à son comble. N'hésitez pas à partager cet article avec vos amis et à nous dire dans les commentaires quelle serait votre île de rêve pour vos prochaines vacances. Read the full article

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theyearthedecadeexploded · 1 year

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La classe. Ouvrière.

Année foisonnante s’il en est, 1966 aura marqué l’émergence de disques qui font encore référence un demi-siècle plus tard.

1 – The Beatles, Revolver – EMI

Lorsque démarre 1966, les Beatles sont en vacances. Leur plus long break – trois mois – depuis presque quatre ans. Des congés que chacun va consacrer à voyager, décorer sa nouvelle maison, étrenner sa nouvelle voiture. Et surtout réfléchir à de nouvelles idées, développer de nouveaux intérêts qui auront des répercussions directes sur les prochains enregistrements calés au début avril. Ainsi George Harrison va-t-il peaufiner sa passion de plus en plus dévorante pour la musique indienne, marotte que l’on retrouvera sur “Love You To” (où il sera crédité à la sitar sans que personne ne soit réellement certain de sa réelle implication) ou sur quelque référence en filigrane des textes à la fin de “I Want to Tell You”. C’est à la musique classique que Paul McCartney va, de son côté, se consacrer – quand il ne fera pas la tournée des nouveaux clubs de Londres, une appétence que “Eleanor Rigby” symbolisera à merveille le moment venu, avec la bienveillance (bénédiction ?) de George Martin. Macca n’en oubliera pas pour autant son amour de la soul music américaine avec ce “Got to Get You Into My Life” presque pastiche des productions en rafale de la Motown d’alors. John Lennon, lui, est en plein trip depuis plusieurs mois. En plein trip LSD. Avec les lectures qui vont avec selon lui, comme les ouvrage de deux psychologues américains, Timothy Leary et Richard Alpert. Et si les connotations à ces trips vont sillonner des chansons comme “And Your Bird Can Sing” ou “She Said She Said” (voire “Rain”, future face B de “Paperback Writer”), Lennon n’a depuis le début qu’une seule idée en tête : illustrer musicalement une expérience LSD en trois minutes. Ce sera la raison d’être de “Tomorrow Never Knows”, définitivement le morceau le plus ambitieux de l’album – le dernier dans l’ordre mais le premier enregistré – où, par exemple, le solo de McCartney sur “Taxman” est ici joué à l’envers. Celui qui traduira au mieux sur Revolver la soif d’expérimentations de sons et d’arrangements d’un groupe qui ne semble désormais plus avoir de limites.

2 - the Beach Boys, Pet Sounds – Capitol

L’histoire est désormais connue, à force d’être rappelée, ici ou ailleurs : Brian Wilson découvre l’album Rubber Soul des Beatles et ne s’en remet pas. La découverte va surtout lui servir de grand détonateur pour tenter de mener à bien les orchestrations complexes et luxuriantes qui lui traversent l’esprit, et ainsi se libérer de cette (fausse ?) superficialité que les Beach Boys incarnent depuis leurs débuts et dont ile ne peut se contenter. Avec ses frères et cousin – et la “pièce rapportée” Al Jardine – en guise de pate à modeler vocale, il va concocter un kaléidoscope sonore et mélodique qui va ni plus ni moins s’établir comme mètre-étalon en matière d’arrangements et d’instrumentation pop. Les hits de la trempe de “Wouldn’t It Be Nice” et “Caroline No” – et surtout le chef d’œuvre absolu “God Only Knows” – feront le reste…

3 - Bob Dylan, Blonde on Blonde – Columbia

Un morceau excepté, (“One of Us Must Know (Sooner or Later)” fruit de sessions infructueuses quelques mois plus tôt), le premier double album rock de l’histoire est le fruit de sept petits jours d’enregistrements dans les studios Columbia de Nashville en mars 1966. Sept jours durant lesquels Dylan tire la sève de ses acolytes Al Kooper à l’orgue et Robbie Robertson à la guitare et de musiciens de studio locaux. Il va surtout montrer quel troubadour il demeure quel que soit la trame musicale de ses chansons – folk, blues ou rock – et combien l’urgence lui va bien au teint (une seule prise pour les onze minutes de “Sad Eyed Lady of the Lowlands”). Son meilleur album rock pour certains, des ballades immortelles (“Visions of Johanna”, “Just Like a Woman”, “I Want You”) : Dylan met – encore – tout le monde d’accord !

4 - The Byrds, Fifth Dimension – Columbia

Pour leur troisième album, les Byrds de Roger McGuinn, David Crosby et Gene Clark s’émancipent pour de bon ! Ils s’émancipent notamment du country-folk-rock qui les a mis sur la carte du monde un an plus tôt avec Mr. Tambourine Man, un folk-rock qui se retrouve ici sciemment “infusé” d’effluves psychédéliques, tant au niveau des textes pas vraiment… terre à terre que des sonorités de guitare – six ou douze cordes. Émancipation encore quant au choix des reprises : plus de Bob Dylan au programme – il est vrai qu’ils ont bien donné sur les deux premiers albums (huit fois !) et qu’ils y reviendront plus tard – mais deux de Joan Baez et une version “oubliable” malgré l’insistance de David Crosby d’un “Hey Joe” qu’un certain Jimi Hendrix va très vite et définitivement s’approprier. Un autre oyseau dans son genre…

5 - The Rolling Stones, Aftermath – Decca

Avec Aftermath, les Stones ont fini leurs devoirs. Fini de rendre hommage à ces anciens (Chuck Berry, Muddy Waters, Willie Dixon, Bo Diddley et consorts). Désormais, ce sera Jagger-Richards et rien d’autre entre parenthèses sous les titres des chansons. Sans rien oublier non plus, comme sur cet “Under My Thumb” plus R&B que nature ou ce “Doncha Bother Me” bluesy frondeur. Désormais, ce sera… mauvais garçons à la première occasion, provocateurs avec ces dames pour mieux les attirer dans leurs filets. Et désormais, si connotations musicales il doit encore y avoir, ce sera du côté d’un certain psychédélisme qu’on ira le chercher – pour ce qui est du jeu de sitar “à l’occidentale”, Brian Jones reste le meilleur à l’époque. De toute façon, c’est marqué à la fin : “Take It or Leave It”, c’est à prendre ou à laisser !

6 - The Kinks, Face to Face – Pye Records

Dans l’esprit de Ray Davies, Face to Face se concevait comme ce que l’on appellera plus tard un “concept-album”. L’une de ses envies premières était d’ailleurs que toutes les chansons – quatorze à l’arrivée – s’enchaînent sans le moindre répit (sinon celui de retourner le vinyle). Pye en décidera autrement. Façon pour Davies de faire passer le message : The Kinks ne peuvent être qu’un groupe à singles (même si “Sunday Afternoon” sera un hit). Dans ses textes, le message est aussi on ne peut plus clair : regarder l’Angleterre et ses différentes classes droit dans les yeux et les dépeindre sans concessions, sino avec une affection indéfectible pour la middle-class. Musicalement, le spectre s’élargit également, entre brit-rock racé et R&B bon teint, quitte à se montrer moins rêche dans les tonalités.

7 - John Mayall with Eric Clapton, Bluesbreakers – Deram

Un an plus tôt, il était encore dans les Yardbirds. Dans quelques semaines, il sera parti fonder Cream. Autant capter l’instant tant qu’il est encore là. Il ? Eric Clapton, talent prometteur devenu Dieu de la guitare après ce bref passage à… l’école John Mayall. Capter l’instant, graver la magie, c’est précisément ce que vont permettre ces sessions de mars 1966 aux studios Decca où, derrière la voix et l’orgue de Mayall ainsi que l’imperturbable section rythmique composée par John McVie (basse) et Huggie Flint (batterie), la guitare du futur Slowhand va s’en donner à cœur joie – il a toute liberté pour le faire – le temps de revisiter Otis Rush, Freddie King, Robert Johnson, Ray Charles (un “What I’d Say” agrémenté du motif phare du “Day Tripper” des Beatles). Le meilleur album de british blues de tous les temps, “indeed”.

8 - Cream, Fresh Cream – Reaction/Polydor

Premier super-groupe de l’histoire ou pas (le degré de notoriété des différents protagonistes au moment de la création du trio étant source de débats sans fins), et s’il s’affirmera définitivement sur Disraeli Gears l’année suivante, Cream va symboliser dès ce premier album la synthèse parfaite entre blues, pop et psychédélisme, quand il n’ira pas – sur scène – s’inspirer des “méthodes” du jazz cher à son batteur Ginger Baker en étirant ses morceaux le long de jams orgiaques. Le chant clair et la basse feutrée de Jack Bruce, les riffs et les solos lumineux d’Eric Clapton, la batterie tour à tour martiale et ouatée de Baker : le plus ambitieux des scénaristes n’aurait pas oser y songer, pas plus qu’il aurait pu imaginer les… séquelles de l’assemblage sur les musiques qui lui survivront dans les années 70, le heavy metal en tête.

9 - The Mothers of Invention, Freak Out! – Verve

“Mister America, try to hide the emptiness that’s you inside”. D’entrée de jeu, dès ce “Hungry Freaks, Daddy”, premier morceau de son premier album, Frank Zappa pose les débats : il va lui en mettre plein la tronche à cette Amérique ! Un “mojo” dont il ne s’écartera plus jusqu’à sa mort en 1993. Avec ses Mothers of Invention qu’il dirige à la baguette, il pose aussi les bases de ce que seront ses obsessions musicales par la suite, à savoir défricher sans cesse, ne jamais rien s’interdire. Une immense tambouille qui passe ici par le blues, le rhythm & blues, le doo-wop, le psychédélisme, l’avant-garde, avec en fil rouge permanent l’ironie, acerbe et cinglante. Suivez le guide, quitte à ce que, parfois, le périple paraisse un brin chaotique… Après tout, les voyages forment (et entretiennent ?) la jeunesse !

10 - Ike & Tina Turner, River Deep-Mountain High – Philles

River Deep-Mountain High est un peu l’histoire d’un mariage raté. Non, pas celui d’Ike et Tina Turner à qui on laisse le soin d’en juger – s’ils ne l’ont pas déjà fait. C’est bien sûr de l’union des époux et de Phil Spector qu’il est question ici, en tout cas de l’échec “public” de ladite union qui conduira Spector à sabrer son label Philles en 1967, déçu et vexé de l’accueil mitigé du titre-album, et à ne pas mener tout à fait à bien cet album (quatre morceaux seulement sont passés au tamis de son Wall of Sound démesuré, voire carrément “cathédrale” ailleurs). Ike Turner ira puiser dans quelques “vieux” titres du duo et dans une production personnelle plus classiquement R&B pour sauver les meubles. Comme imperturbable à toutes ces pérégrinations, Tina règne en maîtresse absolue au-dessus de la mêlée !

Xavier Bonnet - Rolling Stone

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surlapisteducentaure · 1 year

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4 avril : j’abandonne

De nouveau avec Blue Eyes et cette fois je l’ai préparée au box parce que Earl était sorti. Je me sentais pas super bien, j’avais du mal à respirer, mais je prends mon temps et j’essaie de me détendre. Jusqu’à ce qu’on me dise qu’il faut mettre des guêtres. Hop, ça y est, la panique est là. J’équipe Blue Eyes la mort dans l’âme.

Je commence à détendre, et rien que de trotter un peu, je suis pas bien. Je vois C. qui installe son parcours et qui commence à compter des obstacles. Déjà qu’en sauter un, pour moi, c’est pas envisageable, mais alors un parcours, c’est même pas possible.

Bon il a vu que j’allais pas bien, il m’a dit de marcher et trotter si je le sentais, et que j’allais faire autre chose. Je pensais que ça voulait dire qu’il allait me donner un autre exercice sur lequel travailler. En fait il m’a oublié·e toute l’heure pendant que j’essayais de trouver un bout de la carrière où je n’allais gêner personne.

Du coup j’ai fait un peu à ma sauce et j’ai travaillé sur des transitions, en essayant de faire le plus léger possible et le plus "rapide" possible. Sur un cercle, d’abord aux demi-cercles, puis sur des quarts de cercle, et quand les autres sont arrivés dans ce coin-là, je suis allé·e faire la même chose sur des lignes droites le long du grand côté, à descendre, à monter, en essayant les yeux fermés, et en faisant un genre de passade en essayant de tourner autour des postérieurs en emmenant les épaules pour tourner au bout de la ligne.

Je pense que j’aurais pu chercher à avoir encore plus léger, que ce soit dans mes transitions montantes comme descendantes. Pour les transitions descendantes, je constate que je me sers beaucoup trop de ma main, il faut que je pense à utiliser plus mon dos, rapprocher les omoplates, tout ça. Et souffler, ça j’oublie toujours, mais ça a vraiment l’air de jouer dans la réussite de la transition.

Fin du "cours", au moins j’ai pas passé l’heure à flipper et à attendre que ce soit fini, mais je suis un peu déçu·e d’avoir été abandonné·e dans mon coin. Mais je préfère toujours ça à un enchaînement d’obstacles avec des oxers et des palanques.

Je pensais que c’était le dernier cours avant les vacances, mais C. nous a demandé si on serait tous là la semaine suivante, apparemment on va faire voltige. Dire que pendant si longtemps, ça me rendait un peu triste que ce soit déjà les vacances, parce que ça voulait dire que j’étais privé·e de mon petit bonheur de la semaine, et là, j’étais juste stressé·e à l’idée d’une autre séance, parce que je flippe.

#cheval #blue eyes #obstacle #plat #cr #op #année 9

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patern29 · 1 year

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Jeanneau Sun Way 21, le petit voilier idéal pour s’amuser et apprendre la voile

L’intérêt de naviguer sur un petit voilier est de pouvoir faire de la voile, en toute simplicité et facilité, tout en se faisant plaisir. Le Sun Way 21, du chantier Jeanneau répond justement à ce programme, avec réussite. Nous sommes très nombreux à pratiquer la voile quelques week-ends de printemps et l’été, pendant les vacances estivales. Dans cette situation, l’intérêt de posséder un croiseur de 10 mètres n’est pas forcément le plus pertinent. Un petit voilier transportable offrira sans doute autant de plaisirs, et surtout plus facilement. Mais au-delà de l’aspect pratique, naviguer sur un petit dayboat ou voilier avec une petite cabine est aussi un état d’esprit. Parmi ces voiliers transportables, permettant aux plus nombreux d’accéder à la pratique de la voile, on retrouve le Sun Way 21 ; construit par le chantier Jeanneau.

Sun Way 21, ou quand Jeanneau redécouvre les petits voiliers

C’est en 1989 que le chantier Jeanneau présente le Sun Way 21. Et il faut bien reconnaître que le pari était risqué. En effet, à la fin des années 80, les grands chantiers abandonnent la construction de petits voiliers, trop chers et non rentables. Les gros acteurs du nautisme préfèrent délaisser ce marché. C’est comme cela que le marché des petits voiliers deviendra une niche dont profiteront des chantiers comme le CN Angloise, Etap Yachting ou encore B2 marine avec ses Blue Djinn. Pourtant, le chantier vendéen Jeanneau va faire appel au cabinet J&J design pour proposer un voilier de 6.50, simple et pratique, mais surtout au prix serré. Le résultat est une réussite. Le Sun Way 21 rencontre vite son public, ainsi que les honneurs, en étant élu bateau de l’année, en 1989. Le bateau va connaître le succès en répondant à plusieurs critères, parfois oubliés des chantiers navals : - Un voilier simple et fonctionnel, facile à mettre à l’eau - Un voilier amusant en mer - Un voilier familial - Un voilier économique ( à l’achat et en entretien) Force est de reconnaître que le Sun Way 21 répond à TOUS ces critères. Il a parfois une mauvaise réputation, mais ne croyez pas les mauvaises langues. Écoutez plutôt les propriétaires de ce petit voilier sympathique. De plus, le Sun way 21 est insubmersible. Le Sun Way 21 sera construit à plus de 500 exemplaires, jusqu’en 1994.

Un bateau simple et amusant

Photo Jeanneau Quand je dis que le Sun Way 21 est un voilier populaire, il l’est surtout car il est accessible. Tout d’abord, il est accessible financièrement. Il est, aujourd’hui, possible de trouver des Sun Way 21 pour des prix inférieurs à 5000€. Nous parlons quand même d'un bateau des années 90. Le poids et la taille du bateau lui permettent d'être transportable et de passer l’hiver, tranquillement, sur sa remorque, dans le jardin ou un garage. Ce qui limite grandement les frais d’entretien. Un petit moteur de 6ch sera suffisant pour le faire avancer, lors de séances de pêche ou quand le vent tombe. Pour la mise à l’eau, préférez la version dériveur, plus pratique que la quille à ailettes, en version standard, qui nécessitera un grutage. En navigation, le bateau est très amusant sur l’eau. C’est un voilier vivant et au comportement sain, à la barre. Si ce n’est pas un voilier de régate, il est capable d’offrir quelques sensations agréables. Dans le même temps, il est très facile à mener. Il permettra de se faire plaisir tout en naviguant en famille, sereinement.

Un voilier confortable pour du camping côtier

photo Jeanneau Enfin, ce Sun Way 21 est tout à fait capable d’emmener son équipage pour une petite croisière de quelques jours, autour des îles de Charente Maritime, des îles du Morbihan ou des rias et abers du Finistère. L’accès, par la plage arrière, est très facile. Si le bateau mouille sur bouée, le passage de l’annexe au bateau se fera facilement. L’accès à la plage arrière peut être fermé, en navigation, afin de sécuriser l’équipage. Le cockpit, lui, est assez spacieux pour accueillir 4 personnes sans aucun problème. Enfin, la cabine permettra de s’abriter par mauvais temps, et de coucher 4 personnes, tout en rangent les sacs et une glacière. Un petit lavabo et un réchaud complètent certaines unités.

caractéristiques Jeanneau Sun way 21

- Longueur de coque : 6,30m - Longueur de flottaison: 5,45m - Maître bau : 2,49m - Tirant d’eau : 0,75m ou 0,65/1,30m - Poids : 850kg - Lest : 230kg - Surface de voiles : 23m² - Moteur : 6ch HB Découvrez les meilleurs voiliers transportables et habitables Read the full article

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justmylifefr · 2 years

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Manque vital

/// Ce si est un texte personnel écrit comme exutoire

Il est libre actuellement à vous de vous en faire votre propre jugement

Ce soir monotone le mood, j’ai pas eu le complément vital à ma journée. Mais qu’est-ce que l’élément vital, un trajet pour réfléchir ? J’aime et je resterais à cette école dans le seul bienfait quel m’apporte, un rythme dans mes journées et semaines. Je profite des vacances pour élaborer mes shootings dans le sens du fil scolaire rythmer par ma vie continue. J’aime bien ça mais aujourd’hui nous sommes en vacances mais je garde la pression quotidienne du travail. Il me faudrait une alternance pour ne pas perdre ce rythme continuer tel un robot nouer d’émotion et d’un œil unique. Je souhaiterais vraiment cela, j’attends des nouvelles mais ça me met une notification en haut de ma vision qui me dit incertitude. Je déteste ça… Aujourd’hui j’ai appris ce qu’il me manquer à ma vie. Toujours plus de photo, Pierre me casse un peu dans ce rythme. Car je ne dois véhiculé d’émotions pour être cohérent dans ma démarche. J’ai besoin de solitude pour bien travailler. C’est ma vue que je ne partage pas avant éclosion du projet fini. Je pourrais faire des masterclass mais je sais qu’ils n’ont pas mon niveau. J’ai appris sur le tas ils n’ont pas ma vision j’aimerais qu’il l’ai. Mais je ne souhaite pas partager mes yeux à ce point. Je ne suis pas un sensei et ils ne sont pas mes disciples. Je suis seul c’est tout. J’ai peut-être des gens qui partagent mes journées et aventures avec moi. Mais ça ne changera rien au fait que je suis seul ici, seul à écrire ça, seul à lire ça, seul à comprendre, seul à vivre ça ils peuvent faire mine de comprendre mais il faut pas une discussion pour élaborer ma psychologie il faudrait une vie. Le docteur veut pas me lâcher car il est loin de me cerner. Comme chatGPT je fixerais mon débat sur la solitude comme le premier bouquin. Seul à le conserver jamais publier. J’aimerais une fille pour qui je gliche dans un nid, j’adorerais. Tant d’amour que je n’attendais pas. Mais dans ce livre aussi je resterais seul, promis dans le troisième livre l’amour sera arriver. Mais pour l’instant il me reste de longue ligne à écrire pour en arriver là. Mais qui sais ce que la vie nous réserve… Dieu merci j’ai compris comment tu m’aider j’aimerais plus le répercuter. Dites pas que je suis non croyant, j’ai mon monde, mes yeux, mes idées, votre dieu. C’est croyance ne devrait pas créer conflit au fond on vient tous du même endroit. Pourquoi ça devrait diviser et non pas rassembler. On est tout humain, je considère tout le monde pas pour autant que je les respecte ou estime. J’aimerais te parler comme si j’en attendais de toi mais tu as tes tords j’ai les miens et on partage pas pour l’instant la même ligne de vie. Bientôt je rencontrerais mon fil rouge et la vie reprendra de cette pose qui a terminer quand tu es partie. Toi, elle qui sait il finisse tous pareil… De vieux souvenirs qu’on aime ce remémorer et qui blesse pour autant. Infirmière ou infecté elle on toute leur chanson… Je veux voir ce qui nous attend mais pour l’instant je suis qu’une silhouette vagabonde. Solaire je reflète, triste blues j’écoute au quotidien. Des sons qui me détruisent comme me poussent a avancer. Des musiques significatives à tout type d’idée. Pourquoi j’écoute beaucoup parce que je pense beaucoup. L’anniversaire de ma mère… 50 ans un jour elle sera plus là et j’écrirais plus, j’aurais perdu mon pilier ma raison de vivre. Elle souffre et j’écris. J’ai conscience de ça, sceller en moi je ne peux pas en profiter à 100%. Faut que je vive pour ces sacrifices faut pas que je fasse le capricieux. Mais un jour j’aurais la maison que je vois, cette voiture pour me perdre dans son quartier, mes œuvres d’art, des pièces de collection et ma perle rare. De la lumière dans ma vie arrivera vite j’y crois. Les beaux jours arrivent et je serais les célébrer dignement. Je veux pas d’excès mon joint et mon verre de vin. Tout ces efforts ne finiront pas en vain.

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cathar6 · 2 years

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Virgin Blue de NIU Xiaoyu

Depuis que j'ai appris que la Chine avait l"une des plus grandes industries du cinéma qui se veut concurrencer Hollywood sur son territoire, je cherche désespérément à voir des films produit en là-bas. J'ai pu constater qu'il n'y avait depuis, mais avec quelques recherches, je suis tombée sur le festival Allers-Retours de cinéma d'auteur chinois qui se tient à Paris du 03 au 12 février à Paris.

Curieuse j'ai donc pris une place pour Virgin Blue (la seule séance qui était pratique dans mon emploie du temps) sans vraiment savoir à quoi m'attendre.

La caméra suit le personnage de Yeji, une étudiante fraichement diplômée, et sa grand-mère avec qui elle passe ses vacances d'été dans la maison familiale.

j'ai mis un certain temps à comprendre ce qu'il se passait devant moi. Je me laissais juste porté par les images et les dialogues ne sachant pas où le film allait m'emmener. "Bizarrement" cela ne m'a pas dérangé. En faite, cela m'a permis d'être beaucoup plus attentive. J'essayais d'analyser chaque plans, de capter les moindres indices qui allaient m'aider à comprendre cette oeuvre. La dénouement du film m'a touché en plein coeur : je me suis littéralement fait gifler par le sens qui avait fini d'éclore. Cela m'a prit par surprise, au moment où j'étais le plus vulnérable face à l'écran car hypnotisée et guidée par les images. Notamment par les passages de musiques joués par les esprits qui errent autour du lac. Des passages qui me font particulièrement pensé au Magicien d'OZ, notamment avec cet homme ours, cette petite fille qui a abandonné la vie que son père voulait pour elle.

Le plus déroutant pour le spectateur est cette confusion entre les rêves et les hallucinations de deux femmes qui se confondent avec leur réalité. Cette frontière ne nous a jamais explicité. Tout comme la frontière entre le film et notre réalité à nous se confondent. La vielle femme du film est jouée par la véritable grand-mère de ma réalisatrice et des passages de discussion entre les deux se mêlent &étrangement à la fiction.

Ce film a été un bouffée d'air frais dans ma quête de film. Une véritable œuvre artistique : confuse, qui nous emporte par les moyens artistiques propres au cinéma.

Bravo.

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beatlesonline-blog · 2 years

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playvodfilmsetseries · 3 years

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« Pas de vacances pour les Blues », une comédie à voir en ligne

Votre soirée ciné en famille est en approche ? Si oui, PlayVOD Sénégal vous recommande de voir « Pas de vacances pour les Blues » en streaming. C’est une comédie qui va certainement plaire à vos proches.

#Pas de vacances pour les Blues #famille #PlayVOD Sénégal #streaming

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omagazineparis · 1 year

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Top 5 des plus belles îles des Caraïbes pour un voyage de rêve

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