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Lancia Pu+Ra Zéro

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Eldarya, A New Era - Episode 2

Originellement publié ici le 12 novembre 2020.

J’arrive pas à trouver une phrase d’intro accrocheuse, alors lançons-nous dans le bain directement !

J’ai dépensé 2584 maanas. Ça semble être dans la moyenne, et je vois tout le monde être globalement satisfait-e du montant dépensé. Mais en ce qui me concerne, non, ce n’est pas un prix correct. Vous réalisez qu’on n’est qu’à l’épisode 2, qu’on a eu quelques scènes de vie au QG, une scène d’action, une scène de fin, et c’est TOUT ? Qu’au bas mot un quart des maanas de cet épisode ont été dépensés dans des scènes INUTILEMENT looooongues dont on aurait parfaitement pu se passer ? Que 2500 maanas, c’est la moyenne à laquelle on arrivait aux épisodes, j’sais pas moi, 10 ou 15 ? Alors ouais 2500 maanas ça paraît correct quand les derniers épisodes de The Origins montaient à 3000-3500 maanas, mais c’étaient les épisodes finaux, alors que les premiers on commençait à râler quand on arrivait à 2000, quoi. Comprenez bien que le but là c’est probablement de nous habituer à payer 2500 au début, « ça va c’est moins qu’avant, » puis on va avancer, arriver à 3000, « ouais mais c’est normal, on avance dans l’intrigue, » puis à 4000 ou 5000, « ouais mais c’est normal on arrive sur la fin, c’est logique que ça augmente, » parce qu’à ce moment-là on aura oublié qu’à la S1, 4000 maanas dépensés c’est qu’on avait VRAIMENT merdé quelque part en jouant. Donc non moi je suis pas très contente d’avoir dépensé 2500 maanas dans un épisode aussi court en contenu (pertinent), quand avec la même somme on avait plus en S1. Je savais que j’aurais jamais dû me réjouir trop vite du dialogue à 2 maanas.

Alors Nevra qui nous envoie quasiment bouler, d’un côté je comprends qu’il ait fait son deuil et tout, puis bon techniquement il s’entendait pas avec mon perso avec mon L’o’M au ras des pâquerettes mdr. De l’autre c’est hardcore, limite une meuf dans le coma depuis 7 ans qui se réveille, il s’en fout, même quand on a été sa meuf, clairement je comprends que les CDC Nevra le prennent mal x) Et à propos de deuil… Dès la scène suivante, Erika admet que de son point de vue, Valkyon est mort l’avant-veille, ce qui me fait penser qu’elle n’a juste pas du tout ressenti les 7 années dans le Cristal… Genre déjà physiquement elle n’a pas vieilli, mais du coup pour elle, c’est comme si elle s’était endormie et réveillée quelques heures plus tard. C’est appuyé par le fait que Leiftan précise que lui il « a eu le temps de réfléchir un peu » mais rien n’est dit sur Erika là-dessus. Donc oui techniquement, pour elle, Valkyon est mort l’avant-veille… … Et elle s’en fout ?! Enfin non, elle s’en fout pas, elle dit juste : « maintenant il faut que j’aille de l’avant, même si c’est très douloureux, il sera toujours temps de songer à ma vie amoureuse plus tard, en tout cas si le cœur m’en dit [...] » … Mais et son DEUIL ?????!!!!??!

A la recherche du deuil d’Erika pour « l’amour de sa vie »

En fait chez vous le deuil c’est comme le pardon c’est expédié, ça y est elle a parlé avec le fantôme de son mec et elle l’a évoqué une fois à son réveil (et des fois ça picote un peu son kokoro quand elle pense à lui) c’est bon pas besoin d’en faire plus, elle peut commencer à passer à autre chose deux jours après ??? Bon ben ok, hein, allons-y gaiement, apparemment faut bien. Nous cherchons Hua pour lui demander de nous donner des trucs à faire, et Koori nous dirige vers la Salle du Conseil. Qui est magnifique, ça tout le monde sera d’accord pour le dire, mais est-ce que ça valait la peine de faire 10 dialogues dessus pour nous la décrire dans les moindres détails alors que : ON LA VOIT ??? On est littéralement le nez dessus en lisant le texte, je les vois les arbres qui poussent jusqu’au plafond, je la vois la grosse table ronde, j’ai pas besoin qu’on me la décrive… On découvre Huang Chù, dont les cheveux ne font aucun sens, ils sont coupés en trois ??? Comment sont reliées les décorations ??? Le premier point à l’ordre du jour consiste à faire 10 000 circonvolutions et supporter des réactions inutiles à une mauvaise blague de Chrome juste pour dire que des trucs de la Terre arrivent en masse sur Eldarya, et aussi… Que Memoria a disparu. JE SUIS PAS D’ACCORD, on avait toujours pas élucidé le mystère du Gouffre de Schrödinger !!! Ahem… Cela dit, Erika soulève un point intéressant quand elle parle de Valkyon. Franchement pauvre Valkyky, absolument personne le respecte : personne pense à lui ériger un statue, sa meuf fait son pseudo-deuil en trois coups de cuillère à pot et c’est marre, et maintenant son éventuel lieu de repos éternel s’est volatilisé dans une dimension parallèle. Est-ce qu’au moins son corps physique a été enterré quelque part ?? Genre est-ce qu’on a un lieu de recueillement, une tombe, un mausolée, un volcan ?? Le deuxième point, c’est la (ré)intégration de Leiftan et d’Erika dans la Garde Etincelante. Et contre toute attente, les deux ont une réaction parfaitement sensée : Erika sait qu’elle n’est pas à la hauteur, et Leiftan sait que ce serait parfaitement con de le réintégrer après ce qu’il a fait. Et il a raison. Vous imaginez, vous, je sais pas, moi… Un chanteur qui aurait assassiné sa femme de sang froid et on le laisse revenir sur le devant de la scène comme si de rien n’était ? Ou un acteur auteur de violences conjugales continuer de tourner dans de grosses productions ? Ou un réalisateur pédophile gagner de hautes distinctions de cinéma ? Mdr j’rigole, mais imaginez. Nan pour le coup Leiftan a parfaitement raison. J’dis pas que dans ce contexte de fiction c’est inimaginable qu’un criminel comme Leiftan finisse par revenir dans des trucs de haute fonction, mais pas une réinsertion directe comme ça pouf, surtout alors qu’on n’a PAS EU d’arc de rédemption. Ça pour le coup c’est pas possible. Du coup je comprends pas la réaction de Nevra et des autres. Pourquoi on applaudit Erika qui réalise que quitte à être dans la Garde, elle préfère recommencer à zéro, et Leiftan on l’accuse de juste « vouloir se la couler douce » alors que p’t’être la Garde d’Eel ça pourrait tout simplement ne plus être son délire et que ses nouvelles aspirations dans la vie c’est d’aller élever des chèvres à la campagne (eh maintenant il peut, y’a des chèvres) ? Regardez-moi ça, je déteste Leiftan et je me retrouve en train de le défendre…

On aura vraiment tout vu en 2020.

Enfin pas tout de suite, perdons d’abord trois jours à nous balader dans le QG sans but précis, parce que ça faisait longtemps. Il est temps de choisir une Garde, et perso je suis restée sur l’Absynthe parce que ça me convient bien, mais je suis contente que les joueurs/euses qui voulaient changer aient pu le faire, d’autant plus que c’était une option qui était promise depuis quasiment le lancement du jeu il y a six ans. Enfin j’imagine que maintenant s’il y a un déséquilibre dans le nombre de membres de chaque garde ça n’a plus d’importance, étant donné qu’il n’y a plus de classement, il n’y a donc plus de raison de faire des quotas pour rééquilibrer. On nous parle de notre première mission, et avant qu’on puisse aller vaquer à nos (non-)occupations, Jamon nous interrompt pour dire que notre arme est sur le point d’être finie. Et j’en profite pour parler d’un point qui m’a beaucoup agacée durant cet épisode et celui d’avant : la façon dont Erika prend Jamon pour un idiot illettré. Elle passe son temps à nous faire remarquer chaque fois que Jamon emploie un mot un tant soit peu nouveau ou compliqué, en mode « lol il s’est mis à la lecture dis donc » et je trouve ça gênant. Certes, il a toujours été montré comme un ogre qui parle pas très bien la langue commune, mais il n’a jamais été présenté comme un idiot sans vocabulaire. Et quand bien même, est-ce utile de nous le faire remarquer A CHAQUE FOIS qu’il sort un mot de plus de deux syllabes ?! Bien sûr que non, mais on sait dans quelle mécanique ça rentre… Bref, elle va avoir une mission, tout va bien ! « Les choses vont rentrer dans l’ordre ! » Et te demander ce qu’ils ont fait du corps de ton MEC et voir si tu peux pas te RECUEILLIR quelque part ?! Ou au moins y songer ?! J’sais pas, moi, j’imagine qu’après m’être réveillée d’un coma de sept ans qui m’a paru durer quelques heures (du coup les souvenirs de la mort de mon mec sont frais), j’aimerais bien savoir ce qu’ils ont fait pour, oh j’en sais rien, honorer un minimum sa mémoire ?! On sait qu’ils ont au moins des rites d’enterrement ou de crémation, on a assisté plusieurs fois à des funérailles, qu’est-ce qu’ils ont fait de notre Valkyky ?! Je sais pas si je suis la seule à m’inquiéter de ce genre de détails mais vraiment ça me turlupine :( Après un énième dialogue étiré sur trois kilomètres comme du beurre qu’on aurait étalé sur une tartine trop grande avec Karuto et sa juliette de légumes dopée, il est temps de nous rendre à la forge pour récupérer notre épée. Nous assistons à un moment très solennel. Jamon nous présente notre épée et nous somme de nous en servir uniquement pour une noble cause. Nous prêtons serment, fière, et en même temps intimidée par cette nouvelle responsabilité qui nous est donnée. Nous possédons à présent une arme, qui nous servira à remplir notre rôle au sein de la Garde d’Eel. Il est temps de nommer notre nouvelle alliée. Un nom a du sens. Il reflète ce que nous sommes. Ce nom que nous allons donner à notre épée est important, il sera le nom de notre engagement envers notre nouveau foyer, le nom de la protection que nous allons apporter aux peuples d’Eldarya, un nom qui résonnera peut-être autant que le nôtre dans les légendes, le nom de l’épée de l’Aengel Ressuscitée, de la sauveuse de ce monde. Choisissons… Avec soin…

Meilleur choix de ma vie sur ce jeu.

Écoutez vous savez très bien que statistiquement, je serai pas la seule à avoir fait une blague similaire, et ça me permet de faire une pause où je rigole comme une baleine pendant 10 minutes face à ma connerie entre deux moments de désespoir à cause des dialogues inutilement longs, j’en ai besoin. En vrai je voulais mettre MaZigounette pour que ça aille avec le fait qu’on dise « elle » pour l’épée mais c’était trop long, et le mot en B je craignais que ça passe pas et puis il sonne beaucoup moins rigolo. Spéciale dédicace aussi à l’épée JeanCastex dont la propriétaire se reconnaîtra. Bon, c’est pas tout ça, mais faut s’entraîner. Edelric et Karenn sont déjà sur place, et si jamais quelqu’un se posait la question, « Sterngeschenk » ça veut juste dire « cadeau des étoiles » en allemand, voilà x) Ce qui correspond bien à notre sylphe, vous en conviendrez. (Et arrêtez de bully l’allemand, c’est très bien l’allemand, dites-vous qu’ils ont sûrement autant de mal à prononcer le français que nous quand ils le parlent pas è_é) J’ai fait le QTE mais j’arrive pas à savoir si j’ai réussi parce que tout le monde agit comme si on avait été nulle alors que je me suis plantée qu’une seule fois mdr. Sinon aussi on repense à Caméria, et je suis déçue parce que j’avais oublié qu’elle était censée partir à l’aventure elle aussi. Je ne saurai donc peut-être jamais comment elle a failli devenir une Valkyrie.

Le lendemain, nous rejoignons nos coéquipiers, dont deux sont déjà en train de se chamailler, donnant le ton pour l’une des scènes les plus pénibles de l’épisode. Déjà, je confirme que le comportement de Koori ça commence déjà à devenir super lourd. Vous savez que « hihi j’aime jouer avec les gens c’est mon truc » c’est franchement un comportement débile et pas attachant pour deux sous ? Et commencez pas à venir justifier ça avec « c’est parce qu’elle a un passé konpliké » parce que les kitsune qui se comportent de façon parfaitement nulle parce qu’elles ont un passé triste, vous m’excuserez mais j’ai déjà donné. Une fois dehors, j’avais pas remarqué le dragon dans les nuages dont quelqu’un a posté le screen sur le forum, et effectivement c’est la silhouette de Valkyon, maintenant que je la vois j’ai encore plus le seum que mA GARDIENNE L’AIT OUBLIÉ. J’ai choisi de parler un peu avec Mathieu, et une fois que nous rejoignons Chrome et Koori, s’engage alors la discussion la plus barbante de l’univers sur les hordes de fans de Mathieu. Parce que Mathieu il a des hordes d’admirateurs vu que c’est un humain, et c’est rigolo de le taquiner sur le fait qu’il a des tonnes de fans. Koori aime bien le taquiner sur le fait qu’il a des fans, elle aime bien faire semblant d’être jalouse qu’il donne de l’attention à ses fans et pas à elle, parce qu’elle croyait qu’elle était spéciale pour lui, mais en fait il pense surtout à ses fans, et Chrome il aime bien le taquiner aussi, et attention, Mathieu a pas intérêt à parler en mal de lui à ses fans, et Koori qui nous parle de racisme envers les humains, lol heureusement Erika a été une héroïne et non une méchante, sinon les humains auraient été mal vus, mais en fait c’était le cas quand elle était arrivée, et là Erika fait un résumé de la saison 1, puis Koori rappelle à Mathieu qu’il parle même pas d’elle à sa horde de fans, vous vous rappelez qu’il a une horde de fans ? Koori aussi elle commençait à avoir des fans, mais elle les a repoussés, elle, puis Chrome rappelle qu’elle au moins elle est dans la garde qu’elle voulait, alors Mathieu le prend mal et décrète qu’il parlera en mal de Chrome à sa horde de fans, car oui il a une horde de fans au cas où vous sauriez pas, du coup on fait des vannes sur le test de garde un peu pourri, et enfin on se dit, « eh au fait on a une mission, et si on y allait au lieu de continuer à charrier Mathieu sur le fait qu’il soit pas dans la bonne garde et qu’il ait une horde de fans ? » Ce paragraphe vous a semblé profondément ennuyeux, trop long, répétitif et inutile ? Ça tombe bien, ça a été mon exact ressenti à la lecture de ce passage. Et là, KotoriNyan un peu plus haut a relevé un détail très pertinent : Erika désigne le cercle de champignons de la forêt comme étant l’endroit par lequel elle est arrivée à Eldarya, alors que… Non, en effet, après qu’elle a posé ses pieds dans le cercle de champignons terrien, la première chose qu’elle voit d’Eldarya est la Salle du Cristal. … On va dire que c’est à nouveau sa mémoire de poisson rouge qui lui fait défaut, ce serait quand même pas une grossière erreur de scénario, on n’a jamais vu ça ici :’)

Ça fait 6 mois que j’ai pas pu faire ce genre de blagues faut que je me rattrape ok ?

Après j’ai raté l’illu de Mathieu (bon en fait j’ai raté les 3 mdr je sais pas ce qui s’est passé), et 200 PO c’est bien trop, rappel que les illus d’event c’était 80 PO, et même à Halloween et Noël 2019 où c’était 2 fois plus cher, c’était « que » 150 PO, pour des illus exclusives aux events, alors qu’ici on peut tenter de les ravoir quand on veut (dans la théorie). Donc nan déso ptdr 200 PO c’est pas ok. L’inflation chez vous elle va aussi vite que le pardon et le deuil, je commence à voir un schéma qui se répète. Notons également que OH ! Comme par HASARD, on passe directement de l’arbre creux à la forêt profonde alors qu’avant, y’avait bien au moins trois écrans entre les deux ! D’ailleurs quand j’y pense, j’ai aucun mal à trouver les personnages que je dois chercher ! C’est presque comme si ça aurait été possible de proposer un système « neutre, voire avantageux » même avec le paiement au déplacement en réglant mieux certaines données ! Accélérons. On trouve le bébé Seifaun, la balle de fusil, on se fait mordre, retour à l’infirmerie, « ouin ouin je suis trop nulle j’ai été blessée » (mais ça va la blessure profonde est quasiment guérie au bout de 15 minutes), on se cogne dans Nevra en allant voir Leiftan. Alors comme je l’ai déjà dit j’ai jamais vraiment aimé Nevra donc je m’en fous un peu qu’il ait pas envie de nous parler, et je peux comprendre qu’il soit complètement passé à autre chose en 7 ans, mais wow quand même, il était censé être notre ami, quoi. Et par contre Erikonne qui insiste avec la subtilité d’un rouleau-compresseur ça aussi c’est vachement indélicat quand même. Mais mdr j’suis assez d’accord avec les « réticences » de Nevra vis-à-vis de Leiftan dans leur dispute. Pas sur le fait qu’il veuille pas être dans la Garde, mais là je crois que ça visait surtout le fait… Que Leiftan a été le gros méchant de la saison 1 ?? Et du coup j’suis d’accord ?? x) Nous retrouvons le Seifaun qui est à deux doigts de mourir, et seule une décoction de trèfles de Fortuna peut le sauver. Nous courons donc au labo afin d’en demander une à Chù de toute urgen– « Kikoo y’a urgence ! - Ah ok entre dsl pour le bordel - Mdr j’ai vu pire avec Koori - Mdr tu m’étonnes au fait t’es dans quelle garde ? - La Garde Absynthe on t’a pas dit ? - Non mais bienvenue du coup - Merki - Et écoute pas ce que dit Mathieu sur moi et écoute pas toujours ce que je dis - Mais meuf t’es ma cheffe - Ouais mais on sait jamais imagine j’suis ta cheffe - Mais t’es ma cheffe - Mais imagine quand même - Ok - Si j’suis malade ou sous pression ou en train de comploter faut pas m’écouter - Ok stu le dis - Tkt si ça arrive tu pigeras - Ok - Ah et au fait - Koi - Dis pas à Mathieu ce que je viens de te dire - Ok mébon le test - Ui mais c’est sur moi que ça retombe ça me saoule tu sais - Non jsp mais ça a l’air nul - Ui grave nul mais bon quand y’a une incompatibilité de caractère tu sais - Non jsp le scénar me force à aimer tout le monde - Bah t’aimais pas Lance - Ui mais lui il tuait des gens - Ben moi j’aime pas Mathieu il entre dans le labo sans frapper - Mais frr ça a rien à voir - Ouais mais voilà des fois les gens sont chiants - … - … - Au fait y’a urgence jsp si je te l’ai dit » Pendant ce temps-là, le Seifaun a probablement eu le temps de clamser 10 fois, mais par la magie de la décoction de trèfles, il revit, fin de l’épisode.

J’ai vu deux fôtes lol : « Je ne m’étais pas posée la question » -> posé, et « Il m’a regardé » -> regardée, c’est Erika qui parle. BON. J’espère avoir pu rendre compte de l’absurdité de certaines scènes parce que clairement, si on doit se taper ça à chaque épisode pour avoir plus de dialogues à décompter on est pas sorti-e-s des ronces, les enfants. Vous croyez franchement que ça se voit pas qu’il n’y a plus deux ou trois bulles sur un écran de dialogue comme ça arrivait régulièrement ? Que les boîtes de récit ne font plus que deux lignes quand elles en faisaient souvent quatre ou cinq avant ? Qu’on prend bieeeen son temps pour décrire des trucs qu’on est littéralement en train de voir à l’écran du coup ça sert à rien ? La scène à l’orée de la forêt et celle avec Huang Chù c’est rien de plus que l’équivalent des balades dans le QG pour demander son avis à tout le monde, et les heures de perdition dans la forêt et les grottes de Balenvia dans The Origins : un prétexte à peine dissimulé de nous faire dépenser des maanas inutilement. Quitte à ce qu’il y ait plus de dialogues, faites au moins semblant de faire un effort pour que ça apporte quelque chose au scénario ou aux relations entre les personnages. J’ai pas besoin de cinq minutes de chamailleries débiles entre Koori et Mathieu pour comprendre leur relation ou d’une interminable discussion au timing discutable pour comprendre que Chù aime pas Mathieu. Du coup oui cet avis est long alors que j’ai dit qu’il se passait pas grand-chose mais ça reste vrai, comme y’a beaucoup plus de dialogues que nécessaire ça veut dire plus de trucs à analyser donc voilà. Sinon trop hâte de voir la réaction d’Erika quand elle va apprendre que Lance est le chef de l’Obsidienne mdr Allez, je vous laisse x)

A bientôt pour les nouvelles aventures de l’épée légendaire MonZizi !

[efoueboush]

Toute bonne psychose a une fin

On est partis du zéro Chaque goutte fait un écho Il faut de la matière pour faire une école Pour apprendre à apprendre avant d'en avoir ras le bol

Commence par reconnaître chaque Pokémon par coeur Le reste viendra à l'aide d'un tuteur Trouve ton importance Deviens le maître de ta propre science

Je sors d'une quarantaine Mais la trentaine approche J'va reprendre de la cenne J'va me rattraper, pis ça va être su'a coche

J'ai le cosmos sur une disquette La main, sur la quéquette 'A-liche au pays des merveilles Pis la dernière pilule bleue d'la bouteille

Le fantôme d'un zombie Qui rêve, sans s'en rappeler Tout est dans le non-dit Comme pour la voisine, son entrée, pelleter

La princesse est dans un autre château Lâche le mush, pis dis-moi lequel À force de rentrer dans des tableaux L'odeur de peinture, m'a donné des séquelles

Être perdu, c'était mon auto-châtiment Une fenêtre de char, ça pète pas facilement Inventez-moi un procès, pis je plaide coupable De penser trouver des réponses à toutes ses questions, c'est ça la fable

Montrez-moi vos doigts d'honneur, vous êtes filmés J'arrête de sourire pour des machines J'ai écouté l'octogone rouge, j'ai compris mon signe Si je fais ce que je veux, ils se plieront à ma volonté

Trop pété pour mon cours de Cégep J'ai resté fixé su'l sept J'étais le brun ténébreux Dans la faille du système, j'étais pris bein creux

Bienvenue à "l'écule" Lieu de naissance de la virgule Toute cette théorie, ne rentre pas dans ma tête de mule C'est pas l'endroit pour ceux qui fabulent

S'endormir pendant un examen ou tricher pis quand même échouer Sur quelle planète j'me suis échoué? J'ai eu ma dose de manuels à acheter La moitié des pages inutilisées, avec lesquelles j'aurais pu me torcher

Sans organisation, pas moyen d'être tranquille Quelle édition me faut-il? La septième? Regarde donc ça Le seul prof intéressant, c'aurait été Mufasa

Appelle-moi Caillou, j'apprends à grandir et à m'amuser Je suis sérieusement imunisé Rire, est mon passe-temps favori Et c'est par moi-même que je l'ai acquis

Ma vie, est une grosse psychose De tout les jours, un combat Je dois simplement rentrer dans le tas Signez le contrat et suivez les flèches, reliez-vous à ma cause

Ce que j'te dis là, ne sera jamais vu sur un écriteau Il faut faire confiance à l'écoulement du temps C'est le début du déboulement Ce n'est pas la fin du fin finaud

[hoanvu-2016-us]

Nhân loại rúng động và xã hội sụp đổ vì một vật rất nhỏ

(truy cập từ https://danlambaovn.blogspot.com/2020/04/nhan-loai-rung-ong-va-xa-hoi-sup-o-vi.html)

Moustapha Dahleb

Đào Trường Phúc chuyển ngữ – Một vật nhỏ xíu mang tên coronavirus đang làm đảo lộn cả một hành tinh. Một vật mà mắt thường không nhìn thấy được, đã đến đây để áp đặt luật lệ của nó lên cuộc sống. Nó làm cho mọi chuyện đều bị đặt dấu hỏi và mọi trật tự hiện hữu bị đảo lộn. Tất cả đều phải sắp xếp lại theo những cung cách khác hẳn.

Điều mà các cường quốc Tây phương không thực hiện được ở Syrie, Lybie, Yemen… (như ngưng bắn, đình chiến…), vật nhỏ xíu kia đã làm được.

Điều mà quân đội Algérie không đạt được, vật nhỏ xíu kia đã làm được – phong trào “Hirak” biểu tình chống đối chính phủ đã chấm dứt.

Điều mà những nhà đối lập chính trị không làm được (như đòi hoãn thời hạn bầu cử), vật nhỏ xíu kia đã làm được.

Điều mà các xí nghiệp không đạt được (như xin giảm thuế, miễn thuế, vay nợ khỏi trả tiền lời, quỹ đầu tư, hạ giá nguyên liệu chiến lược…), vật nhỏ xíu kia đã làm được.

Điều mà phong trào biểu tình “áo vàng” và các nghiệp đoàn ở Pháp không đạt được (như đòi giảm giá xăng nhớt, gia tăng bảo hiểm xã hội…), vật nhỏ xíu kia đã làm được

Bỗng nhiên, ở các quốc gia Tây phương người ta thấy giá xăng nhớt rẻ hẳn đi, mức ô nhiễm hạ thấp xuống, mọi người bắt đầu có thì giờ rảnh rỗi, rảnh đến mức không biết làm gì cho hết giờ. Các bậc cha mẹ bắt đầu biết chú ý để hiểu về con cái, những đứa con bắt đầu biết sống trong gia đình nhiều hơn, công ăn việc làm không còn là chuyện ưu tiên, thú du lịch và những trò tiêu khiển không còn là tiêu chuẩn của một cuộc sống thành đạt.

Bỗng nhiên, chúng ta lặng lẽ quay trở về với chính mình và hiểu được giá trị của những chữ “đoàn kết” (solidarité/solidarity) và “dễ bị tấn công” (vulnérabilité/vulnerabilty).

Bỗng nhiên, chúng ta hiểu ra rằng, dù giàu hay nghèo, tất cả chúng ta đều ở chung một xuồng. Chúng ta thấy được là mình đã cùng nhau đi mua sạch hàng hóa trên kệ của những cửa hàng, và chúng ta đều nhận ra rằng các bệnh viện đang đầy ắp bệnh nhân và đồng tiền chẳng còn gì là quan trọng nữa. Rằng tất cả chúng ta đều là những con người giống nhau, đang đương đầu với đại dịch coronavirus.

Chúng ta nhận ra rằng trong các garage, những chiếc xe hơi đắt tiền vào bậc nhất cũng nằm yên vì không ai được ra khỏi nhà.

Chỉ cần vài ngày là đủ để nhân loại thiết lập được sự bình đẳng xã hội mà trước đây không ai có thể tưởng tượng nổi.

Nỗi sợ hãi đã xâm chiếm tất cả mọi người. Nó đã thay đổi chiến tuyến. Nó đã rời bỏ những người nghèo để qua sống với những người giàu tiền bạc và quyền lực. Nó đã nhắc cho những người ấy nhớ lại bản chất con người của họ và khai phóng chất nhân bản trong con người của họ.

Mong rằng điều này sẽ cho thấy sự yếu đuối và dễ bị tấn công của những con người đang tìm cách bay lên sống trên Hỏa tinh, những con người vẫn tưởng mình có đủ sức mạnh để cấy tế bào tạo ra bản sao của con người với hy vọng sẽ được trường sinh bất tử.

Mong rằng điều này sẽ cho thấy sự thông minh có giới hạn của con người khi đối đầu với sức mạnh của trời đất.

Chỉ cần vài ngày là đủ để sự nhất định trở thành bất định, để sức mạnh trở thành sự yếu đuối, để quyền lực trở thành sự đoàn kết và hành động chung.

Chỉ cần vài ngày để Phi châu trở thành một lục địa an toàn. Hãy để cho sự mơ mộng trở thành lời dối trá.

Chỉ cần vài ngày để nhân loại ý thức được rằng mình chỉ là hơi gió và bụi bặm.

Chúng ta là ai? Chúng ta đáng giá bao nhiêu? Chúng ta có khả năng gì để đối phó với loại coronavirus này?

Hãy nhìn vào sự thật ngay trước mắt trong khi chờ nghe ý Trời.

Hãy đặt câu hỏi về “bản chất con người” của chúng ta trong cuộc “toàn cầu hóa” đang bị thử thách bởi coronavirus.

Hãy ở yên trong nhà và suy ngẫm về trận đại dịch này.

Hãy yêu thương nhau, hỡi những người còn sống.

Moustapha Dahleb

Ghi chú của người dịch: Moustapha Dahleb là bút hiệu của Dr. Hassan Mahamat Idriss, một y sỹ kiêm văn sỹ của nước Cộng hòa Tchad (République du Tchad – Republic of Chad – quốc gia vùng trung bắc Phi châu, vốn là thuộc địa của Pháp, được trao trả độc lập từ năm 1960).

Ngày 23/3/2020, Moustapha Dahleb đăng bài viết (bằng tiếng Pháp, ngôn ngữ chính của Tchad) trên Facebook. Ngày hôm sau, bài này được nhật báo điện tử Le Nouvel Afrik đăng lại với lời giới thiệu của ban biên tập: “Bài viết tuyệt vời, vang vọng như một lời kêu gọi mỗi cá nhân và cả thế giới hãy nhận thức rõ rệt về những giá trị thực sự trong đời sống của chúng ta”. Sau đó, bài viết (trong nguyên tác và bản dịch Anh ngữ) được đăng trên nhiều trang mạng khác.

Một điểm cần ghi chú: Khi tác giả viết bài này, đại dịch Covid-19 chưa thực sự lan tới Phi châu. Tạp chí Science (www.sciencemag.org) ghi nhận là ngày 5 tháng 3 mới chỉ có một trường hợp lây nhiễm đầu tiên ở Cộng hòa Nam Phi. Nhưng chỉ hai tuần sau đó, lần lượt từ Cộng hòa Nam Phi đến các nước Rwanda, Equatorial Guinea, Namibia v.v… thông báo hàng loạt trường hợp nhiễm bệnh. Ngày 7 tháng 4, Tổ chức y tế thế giới cho biết tất cả 54 quốc gia trên lục địa Phi châu đều có bệnh nhân Covid-19, tổng cộng trên 10.000 người, và rất có thể sẽ lên tới cả triệu người, vì trang thiết bị và nhân sự điều hành hệ thống y tế tại đây rất hạn chế so với các châu lục khác.

Nguồn: www.afrik.com – http://lesoldatdupeuple.over-blog.com

Chuyển ngữ: Đào Trường Phúc

(danlambaovn.blogspot.com)

***

 * PHỤ ĐÍNH:

L’HUMANITÉ ÉBRANLÉE ET LA SOCIÉTÉ EFFONDRÉE PAR UN PETIT MACHIN

- par Moustapha Dahleb, écrivain tchadien

- https://www.afrik.com/l-humanite-ebranlee-et-la-societe-effondree-par-un-petit-machin

Un petit machin microscopique appelé coronavirus bouleverse la planète. Quelque chose d’invisible est venu pour faire sa loi. Il remet tout en question et chamboule l’ordre établi. Tout se remet en place, autrement, différemment.

Ce que les grandes puissances occidentales n’ont pu obtenir en Syrie, en Libye, au Yemen,…ce petit machin l’a obtenu (cessez-le-feu, trêve…).

Ce que l’armée algérienne n’a pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (le Hirak a pris fin).

Ce que les opposants politiques n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (report des échéances électorales…).

Ce que les entreprises n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (remise d’impôts, exonérations, crédits à taux zéro, fonds d’investissement, baisse des cours des matières premières stratégiques…).

Ce que les gilets jaunes et les syndicats n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (baisse de prix à la pompe, protection sociale renforcée…).

Soudain, on observe dans le monde occidental le carburant a baissé, la pollution a baissé, les gens ont commencé à avoir du temps, tellement de temps qu’ils ne savent même pas quoi en faire. Les parents apprennent à connaître leurs enfants, les enfants apprennent à rester en famille, le travail n’est plus une priorité, les voyages et les loisirs ne sont plus la norme d’une vie réussie.

Soudain, en silence, nous nous retournons en nous-mêmes et comprenons la valeur des mots solidarité et vulnérabilité.

Soudain, nous réalisons que nous sommes tous embarqués dans le même bateau, riches et pauvres. Nous réalisons que nous avions dévalisé ensemble les étagères des magasins et constatons ensemble que les hôpitaux sont pleins et que l’argent n’a aucune importance. Que nous avons tous la même identité humaine face au coronavirus.

Nous réalisons que dans les garages, les voitures haut de gamme sont arrêtées juste parce que personne ne peut sortir.

Quelques jours seulement ont suffi à l’univers pour établir l’égalité sociale qui était impossible à imaginer.

La peur a envahi tout le monde. Elle a changé de camp. Elle a quitté les pauvres pour aller habiter les riches et les puissants. Elle leur a rappelé leur humanité et leur a révélé leur humanisme.

Puisse cela servir à réaliser la vulnérabilité des êtres humains qui cherchent à aller habiter sur la planète mars et qui se croient forts pour cloner des êtres humains pour espérer vivre éternellement.

Puisse cela servir à réaliser la limite de l’intelligence humaine face à la force du ciel.

Il a suffi de quelques jours pour que la certitude devienne incertitude, que la force devienne faiblesse, que le pouvoir devienne solidarité et concertation.

Il a suffi de quelques jours pour que l’Afrique devienne un continent sûr. Que le songe devienne mensonge.

Il a suffi de quelques jours pour que l’humanité prenne conscience qu’elle n’est que souffle et poussière.

Qui sommes-nous? Que valons-nous? Que pouvons-nous face à ce coronavirus?

Rendons-nous à l’évidence en attendant la providence.

Interrogeons notre “humanité” dans cette “mondialité” à l’épreuve du coronavirus.

Restons chez nous et meditons sur cette pandémie.

Aimons-nous vivants!

HUMANITY SHAKEN AND SOCIETY COLLAPSED BY A SMALL THING

– by Moustapha Dahleb

– http://lesoldatdupeuple.over-blog.com

A small microscopic thing called coronavirus is upsetting the planet. Something invisible has come to make its law. It questions everything and upsets the established order. Everything is put back in place, otherwise, differently.

What the great Western powers could not get in Syria, Libya, Yemen… this little thing got it (cease-fire, truce…).

What the Algerian army could not obtain, this small thing obtained (the Hirak ended).

What political opposition could not obtain, this little thing obtained (postponement of the electoral deadlines…).

What companies could not obtain, this little thing obtained (tax rebate, exemptions, zero-rate credits, investment funds, fall in the prices of strategic raw materials…).

What the Yellow Vests and the unions could not obtain in France, this little thing obtained (price drop at the pump, reinforced social protection…).

Suddenly we see that in the western world the fuel prices have gone down, the pollution has gone down, people have started having time, so much time that they don’t even know what to do with it. Parents get to know their children, children learn to stay with their families, work is no longer a priority, travel and leisure are no longer the norm for a successful life.

Suddenly, in silence, we turn around in ourselves and understand the value of the words solidarity and vulnerability.

Suddenly we realize that we are all on the same boat, rich and poor. We realize that we have been robbing the store shelves together and together we find that the hospitals are full and that money doesn’t matter. That we all have the same human identity in the face of the coronavirus.

We realize that in garages, high-end cars are stopped just because no one can get out.

Only a few days were enough for the universe to establish social equality which was impossible to imagine.

Fear has invaded everyone. It has changed sides. It left the poor to go and live in the rich and powerful. It reminded them of their humanity and revealed their humanism to them.

May this serve to realize the vulnerability of human beings who seek to go and live on the planet Mars and who believe they are strong to clone human beings to hope to live forever.

May this serve to realize the limit of human intelligence in the face of the force of heaven.

It only took a few days for certainty to become uncertainty, for strength to become weakness, for power to become solidarity and concerted action.

It only took a few days for Africa to become a secure continent. Let the dream become a lie.

It only took a few days for humanity to realize that it is nothing but breath and dust.

Who are we? What are we worth? What can we do about this coronavirus?

Let us face the facts while waiting for providence.

Let us question our “humanity” in this “globality” tested by the coronavirus.

Let’s stay home and meditate on this pandemic.

Let us love each other while we are alive!

[lafaimdesmots]

L’IMPORTANCE DE MA ROUTINE

J’ai toujours aimé les règles.

Dans les jeux, indispensables. J’aimais lire le règlement intérieur en début d’année scolaire, sans comprendre pourquoi les autres trouvaient ca pénible.

J’adore cuisiner. Des instructions précises à suivre, avec la possibilité d’ajouter sa touche personnelle.

J’adore monter les meubles IKEA (bon ca, c’était avant ma prise de conscience zéro déchets). Aligner tous les éléments avant le montage, lire une fois les instructions en entier avant de se lancer puis tout suivre au pied de la lettre.

J’adorais prendre le même bus tous les matins, me mettre à la même place (« ma » place, sans quoi j’étais terriblement angoissée pour la journée), croiser les mêmes personnes, dont je n’ai jamais su ne serait-ce que le prénom d’ailleurs.

Au contraire, je redoute les sports où je connais mal le fonctionnement. Je ne sais pas comment agir, à moins d’avoir lu mille pages internet concernant le sujet, juste pour m’assurer si tel ou tel geste est permis. De ce fait, j’évite les sports d’équipe.

Aussi, je me souviens le nombre de fois où, paniquée face à une consigne peu détaillée à l’école, on me disait qu’il fallait que je prenne de l’autonomie et que j’apprenne à prendre mes propres initiatives. Tout ce que je demandais, c’était un peu plus de clarté.

Enfin, je manque de flexibilité quant aux horaires. Je culpabilise pendant des jours entiers si j’ai le malheur d’être ne serait-ce que cinq minutes de retard. Alors souvent, je prends dix minutes d’avance. Et pour plus de précaution, je prends dix minutes d’avance sur l’avance. Souvent, je pars plus tôt que mon avance, « pour être sûre ». C’est comme ca qu’une fois, je me suis retrouvée avec un heure d’avance à la sortie du métro, en attendant mes amies… qui ont souvent 15 minutes de retard ! Chose que je ne comprends pas et qui, souvent, me mets en colère. C’est bête, mais je n’arrive vraiment pas à me détendre là-dessus !

En grandissant, j’ai compris que la vie n’est pas faite de règles. Sortie du lycée, je l’ai vécu de manière très violente. Sans les repères des horaires classiques de lever, débuts et fin de cours, cantine, puis retour à la maison. Je comprends seulement aujourd’hui ce qui s’est passé.

J’ai besoin de règles pour vivre.

Alors je m’en suis créé. Maladroite et encore bien naïve, j’ai tout fait à l’envers : je me suis focalisée sur mon alimentation, mon sport et mon sommeil, les trois choses fondamentales sur lesquelles je pouvais avoir le contrôle. Dans un premier temps, il ne s’agissait pas de contrôle malsain, comme ca l’est devenu, alors en quête de punition perpétuelle pour des raisons qui me restent inconnues.

Non, j’avais juste besoin d’un cadre. Tout a commencé de manière inoffensive : j’ai commencé à écrire ce que je mangeais dans un beau carnet. Pas de chiffres, je ne savais pas encore ce qu’était une calorie et à quoi ca servait (un savoir que j’ai acquis par la suite, pour mon plus grand désespoir). J’étais focalisée sur les horaires d’abord. Sur la régularité du sport. Sur mes heures de coucher et de lever. Tout devait être bien rangé.

Et puis ca a dérapé. Lentement, sans que je m’en rende vraiment compte. Je ne sais plus dans quel ordre les choses ont évoluées : achat de deux pèse-personnes, entraînement avec rigueur militaire tous les jours, découverte de notions de « portions » alimentaires et ensuite des calories. Je me rappelle encore exactement le stress tous les soirs quand, penchée au-dessus de mon carnet, j’essayais d’estimer approximativement le nombre de calories ingérées. Sans parler par la suite de la pesée de chaque aliments pouvant potentiellement rentrer dans la catégorie “safe list”. Allant jusqu’à mesurer les litres (abusés) de liquide, que je me forcais à avaler tous les jours. Les règles se sont transformées en chiffres. Poids, calories consommées, calories dépensées, durée d’entraînement, performance en course à pieds, séries de lever de poids, litres de thé et café avalés, argent (pas) dépensé, etc.

Le plaisir gustatif n’était plus qu’un lointain souvenir. Après tout, j’en n’avais plus besoin. Les règles devaient être prioritaires.

Mon petit jeu aurait pu continuer longtemps comme ca, sans conséquences visibles. Je serais peut être tombée dans l’orthorexie sans le savoir et malgré les difficultés, je suis plutôt contente que ce soit l’anorexie qui ai pris le dessus, au moins pour me faire réagir – même si un peu beaucoup trop tard.

Car j’ai commencé à perdre du poids. Beaucoup de poids.

Alors mon petit cerveau tout mignon s’est dit « chouette ! En plus de suivre des règles strictes, tu arrives à perdre du poids ! Beaucoup de gens n’ont pas ta persévérance ! Tu vas être tellement intégrée et aimée maintenant ! ».

Plusieurs mois après, avec bien vingt kilos de moins et la peau sur les os, on m’a dit que j’étais « parfaite ». Parce que j’avais dit « non » à un biscuit. Parce que je ne mangeais plus de graisses. Parce que j’allais courir tous les jours, puis enchaînais avec du renforcement musculaire (sans m’étirer bien sûr…). Parce que je restais bien sage dans mon coin, en réalité submergée par tellement de règles que je m’infligeais que même respirer était devenu un acte soumis à une règlementation.

Et puis, j’ai inévitablement perdu le contrôle. Le manque de nutriments a vite impacté mon sommeil. Donc ma fatigue. Donc mon sport. Donc mon moral. Je n’avais plus la force de suivre mes règles. Comme à cette époque, j’étais très aimable avec moi-même, j’ai commencé à me punir pour ce manque de rigueur. Souvent je m’insultais intérieurement à longueur de journée et ca suffisait pour faire disparaître le peu de confiance en moi, dont il ne restait déjà plus que quelques traces.

Après de longues années de galère à réparer corps et esprit dans une traversée très sombre et ardue, je me suis réconciliée avec mon règlement intérieur (à croire que je suis une école…).

Un jour de ras-le-bol, j’ai laissé tomber mes routines oppressantes, persuadée que mon anorexie me les imposait, sans voir que ce sont mes routines qui m’ont imposé l’anorexie.

Car je le rappelle :

J’ai besoin de règles pour vivre.

Toujours à entendre « lâche prise, soit plus flexible » et « des journées planifiées et organisées vous feraient du bien ». Ne sachant pas, à l’époque, que les deux sont compatibles.

J’ai donc de nouveau recours à des petits rituels quotidiens. Mais j’ai appris de mon passé. Je sais quels sont mes points faibles, où je dois être vigilante. Mais aussi, à quel moment il est vital pour moi de me raccrocher à ces instants profondément intimes.

J’ai dû apprendre à être plus flexible, sur tous les pôles. Je ne le suis pas encore tout à fait mais j’y travaille sans relâche.

J’ai compris qu’il fallait que je m’écoute. Pour moi, une vie réglée n’est plus synonyme de flagellations.

J’ai besoin de ce cadre. J’ai besoin de cette soupape.

J’ai besoin de connaître les règles du jeu.

-M.

[alvdaz]

Sons of Gravity: Trade & Trépas

Episode 4.

Dans l’épisode précédent, je vous expliquais qu’un changement de braquet côté quantité de bicrave impliquait à un moment donné de prendre des cours accélérés de taekwondo spatial pour éviter de se faire victimiser.

J’étais en effet jusque là un fidèle disciple de l’école MPVA (Méditation Pacifiste à Vélocité Adaptive), qui indexe le niveau de méditation pacifiste sur la rapidité de la fuite. Le problème c’est qu’avec ma nouvelle acquisition, mon Anaconda à 146 batons, une application stricte de la MPVA se heurte à deux soucis:

Le vaisseau est trop imposant pour permettre une fuite à la Arsène Lupin.

Les malandrins arrivent avec des couteaux plus gros entre des dents bien plus pointues qu’avant.

Pour résumer: depuis que je vole avec ce truc, je me fais casser les plocs par tout ce que la Voie Lactée compte de golmons sous créatine. On dirait l’A1 à Porte de la Chapelle, direction Lille, un vendredi soir.

Fort de ces enseignements, j’ai donc installé entre autres sucreries un canon malicieusement qualifié de HUGE sur cet Anaconda fraîchement acquis.

“Say hello to my little friend!”

Je me sens depuis bien plus safe dans cet espace sidéral qui n’a décidément pas trop de temps pour les fragiles.

Fin de la fuite désespérée, donc, dès que je me fais arraisonner, je me soumets comme un lévrier afghan, puis je lance sur la cible Gonzalo Ramirez, mon pilote auxiliaire qui me coûte un bras et qui vole dans le petit vaisseau que j’ai également pris soin d’ajouter à mon arsenal:

Vas, Gonzalo, vole faire ton devoir !

Gonzalo me prend 9% de tout ce que je touche mais bon sang, pour un mexicain, il est diablement efficace.

Une fois lancé, Gonzalo va harceler le fdp à mes trousses, tel un témoin de jéhovah dans un immeuble sans digicode, me donnant alors l’opportunité de me défendre, voire, d’attaquer frontalement dans leur dos.

Voila donc grosso modo ma tactique, efficace contre les Fer de Lance, Pythons et autres Federal Gun/Drop/Assault Ships, mais pour l’instant j’évite de la tester sur plus imposant (genre un autre Anaconda ou, scénario catastrophe, un Imperial Cutter ou une Federal Corvette). Sombre histoire de chaîne alimentaire, de courbe d’apprentissage, tout ça tout ça.

Je la mettais donc à l’oeuvre en exploitant cette petite route commerciale pas dégueu à base de 2750 Cr de profit par tonne.

Tiens d’ailleurs, puisqu’on est là, j’en profite pour faire un petit rappel aux apprentis cosmopilotes:

J’étais en  séminaire avec d’autres VRPs la semaine dernière sur Fareal Prime 2 et j’ai pu croiser à plusieurs reprises le classique (mais totalement inconscient):

“Ouiiiii, à quoi bon vendre de la bière ou de l’électronique alors que bon, les esclaves Impériaux ça rapporte masse plus, sivouvoyéskeujveudire”

Fariboles que tout cela. Je me permets donc de réaffirmer avec vigueur ceci à tous les Jean-Michel et les Jean-Claude (deux prénoms très en vogue dans le commerce interstellaire en 3303) qui me lisent:

Evitez de vous focaliser sur des trucs qui rapportent certes beaucoup mais coûtent aussi très cher. La notion de profit seul peut abréger bien des carrières, allez voir sur Reddit, c’est éloquent.

Entre des Imperial Slaves que j’achète 15500 Cr/t et que je revends 18500 et des trucs électroniques médicaux que j’achète 2800 Cr/t et que je revends 5550, j’ai tendance à préférer la seconde marchandise même si le profit par tonne est moindre (2750 contre 3000).

Pourquoi ? Tout simplement parce que je ne trafique pas d’êtres humains, c’est un de mes principes de base.

Nan j’déconne, osef total, le slave trade, c’est d’abord du trade.

La vraie raison, c’est que l’investissement de départ est bien moins risqué. Une soute pleine (352t) d’Imperial Slaves c’est 5 456 000 Cr d’investis. La même soute avec des trucs médicaux, c’est 985 600 Cr. Et ça, ça attire bien moins la convoitise et les romanichels de tous bords. OK, je perds 250 Cr par tonne (88 000 Cr) mais je garde au chaud 4,47 millions dans l'opération et ça, c’est quand même pas rien dans un monde où la mort n’est pas prise en charge par le SAV du destin (et où le rebuy de ton vaisseau est > 10 M Cr).

Bon après moi je dis ça, mais si vous voulez mourir pauvre, vous faites comme voulvoul hein. D’un autre côté, des Jean-Michel et des Jean-Claude qui ont réussi dans les affaires, y en a quand même pas des masses, c’est vrai que ça serait dommage de changer cette tradition.

Bref, j’arpentais cette route commerciale profitable du côté d’AGARTHA et je voulais faire croquer les ptits frères. C’est à ce moment que Ghislain, le réal de QUALITER aka CMDR Harrobaz, s’est connecté. Il faisait dans le transport de passager mais il voulait tenter autre chose, donner un nouveau souffle à sa vie banale de hipster végan. Du coup, après m’avoir rejoint, il a décidé de troquer ses espaces cabines pour de la soute froide et brutale. Le cargo ça rapporte peut-être moins, mais le cargo il demande pas au commandant de bord de faire un wheeling en passant à proximité d’une étoile à neutrons, lui. Ghis se reconvertit dans le cargo mais en conservant son Beluga Liner d’esthète-barista-pro-Apple-qui-torréfie-lui-même-son-café-éco-responsable:

Un vaisseau typé touriste mais avec 280t de cargo et zéro touriste, c’est pas commun.

Ni une ni deux, on se met en wing histoire de simplifier la gestion de l’équipe et gogogo on part à la source du biz.

Si le trajet aller à vide se fait sans encombre, le retour chargé a, lui, donné lieu à un festival d’interdictions. A un moment donné, j’en ai subi 4 dans le même système, ce qui de mémoire ne m’était JAMAIS arrivé depuis mes débuts dans ce jeu, même chargé ras la gueule avec des esclaves fourrés au platine.

A la 3e interdiction, (après avoir vaporisé les auteurs des 2 premières), je lui dis:

OK c’est chaud, Ghis, lance ton fighter !

Je me suis un peu inquiété quand il m’a dit:

- Mon quoi ?

Je lui réponds:

- Ton fighter ! Normalement ton truc peut avoir 2 hangars, lance un des vaisseaux !

- Ah mais j’en ai pas pris !

- Comment ça t’en as pas pris ? T’as un Beluga Liner ! C’est un appeau à cailleras spatiales et t’as pas pris de fighter ??

- Bah nan ça prenait de la place !

La conversation a coupé court quand un second Federal Gunship est arrivé dans l’instance. Tout est allé très vite, mes boucliers chauffaient, je manœuvrais comme un beau diable pour rester vivant, tel Johnny Hallyday, et quand j’ai levé la tête, une explosion colorée et le message:

“CMDR Harrobaz has been destroyed”

… m’ont permis de prendre rapidement des nouvelles de mon compagnon d’infortune. Le fou. Aller au charbon en Beluga Liner reconverti en freighter; avec comme seule défense des lasers aussi utiles qu’un jambon à l’os dans un bar à chicha. L’inconscience dans sa forme la plus concentrée.

C’est donc seul que je me remis en chemin sur cette route toujours aussi profitable, quoiqu’un poil dangereuse, ‘faut bien avouer.

Chaque passage dans le système KAKIUTI est depuis pour moi l’occasion de verser une goutte de Lavian Brandy en mémoire de Ghislain, petit ange parti trop tôt, acteur malgré lui d’une transposition stellaire plutôt réussie d’une attaque de diligence.

Quel dommage qu’il fût la diligence en question.

[elviajedesimon]

Là-haut sur la montagne...1

Je sais, j’avais promis les Îles Galápagos. J’ai menti comme d’habitude. Franchute mentiroso.

11 décembre. Nous sommes arrivés la veille à Otavalo. Nous c’est Margo, une Belge flamande très cool. Jolie, boule à zéro (why? why!), avec cet anneau entre les deux narines (why? WHY!). Et Léandre, mon compagnon de voyage, français, 22 ans, très sympa et déterminé.

Déterminé mais pas du matin l’ami français. Sûrement dû au fait qu’il voyage depuis plus de 4 mois. Les marches avec les levés temprano, il en a un peu ras le bol. Une marche pour aller où? Vers la Laguna Cuicochoa. 3 heures pour en faire le tour. 

Il fait chaud ce matin. Petit déj au Cosecha Coffee. Petite parenthèse européenne. On se croirait au Danemark. Margo et moi apprécions, ça nous change des desayuno “continental’, pain avec Huevos Fritos...! On se retrouve avec Léandre à l’hostel, direction le terminal de bus. Vu la chaleur à Otavalo, Margo a opté pour une combi short, complétée par un cheich bleu klein. Quant à moi, short en jean, tee-shirt NYPD, LDS, et casquette Galápagos (ça viendra quand ça viendra!) vissée sur un crâne à la ligne impeccable. Je ne dirai pas comment Léandre était habillé. Je l’ai encore en travers de la gorge.

Dans le bus donc, qui monte, qui monte, qui monte...

Arrivée à destination, il pleut, vente, et fait froid. Voilà. Cela pourrait s’arrêter là, mais non, on s’engage dans la marche. Je suis vexé commet un pou. Comment ai-je pu partir sans prendre un coupe vent et un sweat. Pour couronner le tout, et confirmer l’humiliation, j’ai oublié de remplir ma gourde. Je suis parti sans eau. Non mais quelle buse. Alors que j’avais triomphé de la Rhune à mes 5 ans.

3 heures de marche, difficile, à 3.000 mètres, avec plusieurs montées et descentes. Je me passe de la crème solaire sur les bras pour éviter en plus d’être cramé par un soleil équatorien qui passe à travers les nuages et les gouttes.

 Je les croise autour du torse pour garder le maximum de chaleur pendant la marche.

Léandre et Margo (trempée elle aussi des pieds à la tête) font attention à leur vieux qui souffle comme un boeuf. 

On avance. L’endroit est magnifique. Mais je m’en contrefous parce que j’ai froid bordel!

Sur la fin, on décide de sortir du sentier et de rejoindre la route, en espérant pouvoir faire du stop. C’est peine perdue. On était à peu près protégés du vent et de la pluie par les arbres du sentier. A présent, on en prend plein la gueule en marchant sur le bitume. Pendant 30 à 45 minutes. Cela me parait des heures. Je suis presque insensible tellement j’ai froid. Je reviens sur la tenue de Léandre. Parfaitement équipé, pantalon long, tee shirt technique, surcouche polaire, et manteau de pluie. Il est trempé au-dessus mais il a chaud. 

Dieu nous a assez puni (comme s’il avait quelque chose à voir dans cette histoire...), un taxi collectif s’arrête enfin, et nous dépose à Otavalo. J’avais rêvé d’une douche bouillante depuis le début de la marche. J’en prends une un peu tiédasse, mais l’eau me paraît tellement chaude.

On ne m’y reprendra plus. Je préparerai toutes mes futures expéditions avec minutie!

https://photos.app.goo.gl/o1rLx7pUMHnoGUK39

[ettoiliste59]

Pogramme  divertissement RAMIWIN

Le gardien de but Farouk Ben Mustapha n’a pas pu sauver sa formation d’Al Shabab de la défaite lors de la 22e journée du championnat saoudien. Alors que le score dans le match qui a opposé Al Shabab à Al Hilal était d’un but partout, le portier tunisien a repoussé un penalty tiré par

Yasser Al Qahtani à la 58e minute. Mais il n’a rien pu faire, en revanche, sur le but d’Al Hilal à la 85e minute. Yoann Touzghar buteur avec Sochaux L’attaquant tunisien Yoann Touzghar a inscrit le second but de Sochaux lors de la rencontre de la 26e journée de Ligue 2. Les Sochaliens ont remporté leur match face au Havre sur le score de trois buts à deux. Touzghar a inscrit son but à la 60e minute. Cette réalisation est la cinquième pour l’attaquant tunisien cette saison en Ligue 2. Fakhreddine Ben Youssef enchaîne  A l’occasion de la 24e journée du championnat d’Arabie saoudite, l’équipe d’Al Itifaq était en déplacement chez Al Raed. Les camarades de Fakhreddine Ben Youssef se sont imposés (0-1) et prennent la onzième place du classement avec 21 points. L’ex-joueur de l’Espérance de Tunis a été titularisé et remplacé à deux minutes de la fin. Première de Larbi Pour le compte de la 26e journée de Ligue 2 française, Tours est aller arracher un match nul 2-2 face à Nîmes. Mohamed Larbi a participé à sa première rencontre avec son nouveau club. Il est entré à la 79e minute de la rencontre. Tours reste dernier du classement, quasiment assuré de descendre en nationale. Ben Amor titulaire Mohamed Amine Ben Amor a participé à la totalité de la rencontre qui a opposé Al Feiha à Al Ahli pour le compte de la 22e journée du championnat saoudien. Les deux clubs se sont neutralisés 1-1. Al Ahli garde sa deuxième place au classement. Aymen Mathlouthi bat Ferjani Sassi Le gardien de but international tunisien a remporté son premier succès avec la formation d’Al Batin en championnat saoudien. Cette victoire est d’autant plus belle qu’elle a été remportée sur le terrain du troisième du classement général, Al Nasr, où évolue Ferjani Sassi et qui a disputé la totalité de la rencontre. Les coéquipiers d’Aymen Mathlouthi se sont imposés sur le score de trois buts à zéro grâce à des réalisations de Schettine (9e), Jorge (36e et 92e). Doublé de Youssef Msakni avec Al Duhail Youssef Msakni a inscrit un doublé lors de la 17e journée du championnat qatari. L’attaquant tunisien a grandement ainsi contribué dans la large victoire d’Al Duhail face Umm Salal sur le score de cinq buts à zéro. Youssef Msakni a inscrit les troisième et cinquième buts de sa formation aux 13e et 59e minutes. Oussema Darragi était absent des rangs d’Umm Salal pour cause de suspension. Avec ce doublé, Youssef Msakni porte son total buts cette saison à 18 et se rapproche de Youssef El Arabi qui en est à 21 réalisations. Skhiri : «Mon engagement ne se résume pas au Mondial !» Quelques jours après l’annonce de la Fédération tunisienne (FTF), le binational Elyès Skhiri a confirmé son choix de défendre les couleurs des Aigles de Carthage : «J’ai déjà été appelé avec les U19, puis avec les Olympiques. Pour l’équipe nationale A, cela fait un certain temps que j’ai un contact régulier avec la FTF. Je souligne que mon engagement ne se résume pas au Mondial russe». Doublé de Hamdi Harbaoui  Hamdi Harbaoui a inscrit son premier doublé sous les couleurs de Zulte Waregem en Jupiler Pro League. La formation du tunisien a remporté cette rencontre de la 27e journée sur le score de trois buts à deux. Hamdi Harbaoui a inscrit ses deux buts aux 41e et 44e minutes. Il en est maintenant à huit réalisations en championnat de Belgique. Match nul pour la première d’Adel Sellimi Fraîchement débarqué sur le banc du club d’Al Markheya, le coach Adel Sellimi a obtenu le point du match nul face à Al Khour pour le compte de la 17e journée de la Qatar Stars League. Ce résultat n’améliore pas la situation de l’équipe qui reste lanterne rouge du classement avec seulement neuf points au compteur. Akaïchi manque un penalty !  A l’occasion de la 22e journée du championnat d’Arabie Saoudite, il n’y a pas eu de vainqueur entre Ittihad Djeddah d’Ahmed Akaïchi qui a manqué un penalty aux derniers instants, et Al Fatah d’Abdelkader Oueslati. Les deux équipes se sont neutralisées (0/0) et les deux joueurs tunisiens ont disputé le match entier.

Ajouté le : 19-02-2018

[karrdr]

Bulls de Chicago, une histoire en NBA

Une histoire en NBA : YPC vous raconte l'histoire récente des franchises NBA.

Episode 1: Les Bulls.

 Avant de commencer: tu connais Michael Jordan?

Oui, car tu sais qu'il fut des plus grands basketteurs, tu peux continuer.

Si c'est oui, car tu portes ses chaussures mais tu n'as jamais joué au basket, je te regarde...je te vois...je te juge et je crie en moi BOBO, mais tu peux quand même passer cette corde velvet pour rentrer dans le club l'histoire.

Tu ne connais pas Michael Jordan. Tu t'appelles Samuel Kramrr ou tu fais partie de sa famille et tu trolles. Donc comme je sais que tu trolles, tu rentres, mais tu n'as pas accès au carré VIP.

Il y a une exception à l'entrée du club, si ton nom c'est Noam C., là, tu rentres, puis quand tu passes dans le couloir, tu te prends des faciales de champagne (du moins chers au plus chers), de paillettes de musique électro et tout ce qu'on fait de mieux dans le divertissement capitaliste humain jusqu'à la porte de sortie et tu cliques maintenant sur un autre article de ===> KARRDR <===.

Qui est notre personnage principal?

[caption id="attachment_6215" align="alignleft" width="232"] Les onze bagues de Sauron avec mes pieds et mes chaussettes.[/caption] Le héros de l'histoire c'est Michael Jordan, non ce n'est pas Phil Zen Jackson. Mais je conçois que les autres héros peuvent être Jerry Krause ou Jerry Reinsdorf. Pour ma part je pense qu'ils sont plus à considérer comme le narrateur omniscient le fil directeur de cette tragédie chicago-NBAine. Il faut entendre le personnage de la Voix, sentir la main invisible et pour un court moment, invincible. Il faut que tu t'imagines de la fumée en CGI, il faut que tu t'imagines comment ça pue à New-York et que ça grouille et que c'est là que Michael Jeffrey Jordan naquit.

Introduction

Les héros se choisissent lors d'une cérémonie qui s'appelle la Draft. Les 30 cité-Etats ont l'occasion de recruter les meilleurs héros, parfois ils deviennent Dieu, souvent restent demi-dieu et très souvent redeviennent des mortels. C'est David Stern, le Moîra, qui appelle chaque héros sur l'estrade. Lors de cette cérémonie, il remet à chacun le fil de leur destinée lors d'une poignée de main qui a pour but de sceller leur futur. C'est la Cité-État de Chicago qui choisit le jeune Michael. "Houra, Michael sera un Bulls! Houra, Michael de la famille des Tar Heel qui nous rejoint!" a-t-on pu entendre dans les rues de Chi-Town.

De zéro à Héros, en buvant de la Gatorade.

Lors de sa formation pour atteindre le niveau de Dieu, MJ doit se battre contre plusieurs créatures monstrueuses : les Cavaliers de Cleveland, les Celtics de Boston. Et faire preuve de ruse contre les Pistons de Detroit pour contourner la très célèbre stratégie: Les Règles Jordan. Pour limiter les attaques parfaites de Michael, le chef de guerre Daly, a imaginé un plan simple mais efficace. Il fallait arrêter Jordan par tous les moyens : coups de coudes, "croche patte", Ippon-seoi-nage, coup de la corde à linge et j'en passe. Les Règles Jordan ou Jordan Rules: mettre celui au sol pour qu'il ne puisse plus jamais se relever. [caption id="" align="aligncenter" width="600"] Abattre les Cavaliers de Cleveland avec "The Shot" qui a célébré ses 28 ans cette année[/caption] Michael s’entraîne dur, chaque jour, chaque heure, chaque seconde, il se tue à la tache. Son travail acharné ne passe pas inaperçu et il récolte lors de ses déplacements, plusieurs offrandes. Une marque de chaussures décide de lui soulager les pieds en lui offrant des paires à son nom. Une chaîne de restauration lui propose des burgers pour le rassasier lors de ses déplacements. Une marque de voiture lui offre son soutien afin qu'il se rende plus facilement dans l'arène. Il y a même cette marque qui lui propose des sous-vêtements en coton. Les offrandes pleuvent et sa célébrité est au plus haut dans chaque village. Mais notre héros est toujours déçu. Il n'a jamais atteint l'Olympe et le temps passe, il en a conscience.

Les trois titres

[caption id="" align="aligncenter" width="615"] "See, in my inner circle, all we do is ball 'Til we all got triangles on our wall"- Jay Z[/caption] Il y a des épisodes décisifs dans la vie de chaque Héros: Phil Jackson et Scottie Pippen décident de se joindre à sa quête. Phil devient son guide spirituel, armé de sauge et de livres pour ses troupes. Il choisit les guerriers autour de Michael et cherche non pas les meilleurs joueurs, mais les meilleurs joueurs pour son système. Il y a eu Socrate, Platon et Aristote, il y aura désormais Tex Winter et Phil Jackson avec l'attaque en triangle. Afin de vaincre l'éblouissant spectacle des Lakers de Los Angeles, le jeune Michael décidera de porter les lunettes de soleil, une offrande de plus, pour lire la défense et mettre fin à l'attaque rapide. Lors de la campagne contre le Roi Planeur et son armée des Trail Blazers Portland,Le mouvement clé sera l'utilisation d'un combo "Haussement d'épaules et trois points" au dernier niveau pour vaincre cette légion venue de l'Ouest. La dernière des trois premières conquêtes magnifiques, ne se finira pas avec une action individuelle, mais plutôt avec l'aide d'un des disciples. Michael éclabousse le soleil de Phoenix et son Prince Charles en passant le ballon à John Paxon pour le tir de la victoire contre toute attente. C'est fait, seulement le troisième "Three-peat" de la Civilisation NBA-aine. Michael devient enfin, un demi-dieu.

RAF j'me tire (comme Maitre Gims)

Notre héros en avait ras le bol! Tu le comprends un peu, il n'y avait plus aucune compétition pour lui. Trois titres NBA, un titre à Barcelone pendant les Olympiades. En plus, les proprios ne voulaient pas encore mettre de la thune sur la table donc bon, il s'est essayé au Baseball. Le con! Enfin, plus nous les cons, car il était pas dégueu... et qu'au final ce sport était son premier amour. Malheureusement, qui héros qui mortels, quand tu es dans une case, tu y restes. La plèbe décide; et on n'avait même pas Twitter et Facebook à l'époque. Gros POUCE VERS LE BAS. Tu imagines, le mec, il  se barre au sommet de sa gloire, de la représentation de notre gloire et de notre réussite ultime. Un drame s'est aussi produit dans sa vie, la perte de son père; même s'il avait décidé bien avant de se retirer de la ligue et de quitter les Bulls de Chicago. Les mauvaises langues diront que c'était une suspension à cause de son addiction aux jeux d'argent, cependant notre héros Space Jam a vraiment montré qu'il lui fallait un challenge inter-galactique/animé/fictif. Un peu comme un demi-dieu, prenons Achille, il lui fallait bousiller un peu plus que le commun des mortels pour bouger sa couille gauche et pour retrouver son esprit de compétiteur.

Bah je reviens comme Jospin

Pendant son absence, le règne de Michael a été remplacé par une équipe texane. Les Rockets de Houston, après avoir eu beaucoup de problème dans les années 80 ont trouvé leur Héros : Olajuwon. Akeem devenu Hakeem avec la naturalisation américaine. L'équipe texane a enfin la solution pour dominer les familles NBA. Jordan décide de revenir au milieu de la campagne de Rockets et porte maintenant le numéro 45. Les cité-Etats à l'Est du Mississippi sont sous la domination d'une nouvelle garde, les Orlando Magics et cela s'avère compliqué. Les Bulls retrouvent leur héros. Cependant il porte ce numéro 45 (pour mes fans de numérologie => 4+5=9) qui va lui porter la poisse et sur une passe mal transmise, il perd l'opportunité de retrouver les Finales. Le Dieu n'est plus. Tout le monde doute. Tout le monde critique.  Et Pourtant...

Devenir Légende, surpasser les Dieux

[caption id="attachment_6279" align="alignright" width="195"] Chicago Bulls Scottie Pippen 1995[/caption] Après s'être fait décrier, les Bulls reviennent avec Michael qui a décidé de porter à nouveau ce cher numéro 23 (encore pour mes fans de numérologie =>2+3=5) que la Moire David Stern lui avait donné (déterminé) pour son ascension et accession à l'Olympe. Il retrouve Scottie, son bras droit et camarade toujours. Le seul qui ait pu faire avec ses demandes incessantes de perfection. L'homme à tout faire, le parfait co-pilote.

If a hater's caught slipping / Then my niggas stay tight / Got my back like Pippen The Morning de The Weeknd

[caption id="attachment_6212" align="alignright" width="263"] The worm - Le mec qu’on aime pas mais qui taffe[/caption] Il retrouve aussi un de ses anciens ennemis, qui lors de la phénoménale bataille que l'on nomme aujourd'hui Les Règles Jordan, avait massacré Scottie avec des coups de coudes bien placés. Denis "The Worm" Rodman est l’excentrique du groupe. Il est le poil à gratter qui servira trois fois à faire sortir les opposants de leur concentration et permettre à Chicago de s'imposer en tant que cité-Etat ultime à la fin de la décennie 90.

If Hov J then every Jordan need a Rodman - Feedback de Kanye West

Finale

Le dernier épisode des Bulls, SPOILER ALERT, se termine par la consécration. Michael utilise son combo préféré pour mettre fin aux espoirs des Jazz et achève une fois pour toute ses adversaires, ses détracteurs et toute la population venue regarder la bataille finale: le Fade away. Tous les observateurs s'accordent à dire que ce shoot n’est pas THE SHOT; néanmoins il restera gravé dans la mémoire comme le dernier coup d'épée, la dernière étape avant d'accéder à la légende et s’asseoir sur le trône de Bill "Zeus" Russell. Une lecture plus frivole décrit la scène en ces termes: "Le shoot était si parfait qu'il semblait dire aux mormons que la polygamie ou le polyamour ne sera pas célébré ce soir de Juin dans la cité-Etat de Salt Lake City". Michael Jordan part, dans la gloire. Homer Simpson, le célèbre philosophe et conteur dira un jour:

I've always been afraid I'd screw up our lives so bad that I've had to come up with a back-up plan. And that plan is right here!

Fin.

[norellenilia]

Bilan économique du replay et comparaison des systèmes de paiement

Je ferai le bilan “histoire” après, là faut que je parle des sousous.

Alors globalement, en suivant des soluces, j’ai gagné beaucoup de maanas, il n’y a qu’à l’épisode 27 où j’ai dépensé plus que la première fois. Dans mon premier playthrough, parfois j’avais pas compté exactement le nombre dépensé mais j’avais une estimation, et là j’ai fait les choses bien donc je sais exactement ce que j’ai dépensé (premier playthrough vs deuxième playthrough) :

- Episode 19 : 3000 vs 2410 (+300 pour jouer le replay et changer le gars embrassé à l’épisode 18) - Episode 20 : 2800 vs 2040 - Episode 21 : 3500+ vs 3280 - Episode 22 : 2700 vs 1760 - Episode 23 : 2560 (+800 de tenue) vs 2280 - Episode 24 : 2400 vs 2250 - Episode 25 : 4100 vs 3280 - Episode 26 : 3780 vs 2750 - Episode 27 : 3400 vs 3550 - Episode 28 : 4230 vs 3210 - Episode 29 : 3600 (+1200 de tenue) vs 3440 - Episode 30 : 3300 vs 1890

Ce qui nous fait donc un total d’environ 39 370 maanas dépensés en déplacements pour le premier playthough (+ 2000 maanas de tenues) et de 32 140 maanas pour le deuxième (+ 300 maanas de replay).

La première chose que je constate, c’est qu’heureusement que cette fois, j’ai pu suivre des soluces complètes, parce que j’étais partie avec à peu près 37 500 maanas dans ma réserve, et même en comptant ce que j’ai regagné depuis que j’ai recommencé j’aurais pas eu assez pour tout finir :’D Merci donc aux personnes qui prennent le temps de rédiger des soluces détaillées ! (Comme beaucoup d’entre vous je suppose j’ai suivi ce blog)

Venons-en maintenant aux comparaisons qui fâchent.

En plus de compter les boîtes de dialogues de l’épisode 27, j’ai aussi compté celles des épisodes 28, 29 et 30. Voici les résultats que j’ai obtenus :

- Episode 27 : 830 - Episode 28 : 982 - Episode 29 : 1039 - Episode 30 : 1206

Sachant qu’il suffit donc de rajouter un zéro derrière pour obtenir le prix que j’aurais dépensé en maanas si la boîte de dialogue reste au prix du déplacement, c’est à dire 10 maanas, on arrive à un total de 40 570 maanas dépensés, rien que pour ces 4 épisodes !!! C’est plus que la totalité de maanas dépensés pour 12 épisodes avec solutions partielles ! Pour comparer, le total en déplacements pour ces 4 épisodes m’est revenu à 12 090 maanas, soit un peu plus de 3 fois moins cher.

Avec mes 37 500 maanas j’ai pu faire 12 épisodes complets, et je peux en faire encore deux si je veux car il me reste environ 6500 maanas, avec cette somme je n’aurais même pas pu faire 4 épisodes avec le système d’Amour Sucré !

Un épisode coûte donc 3 à 6 fois plus cher en payant au dialogue plutôt qu’au déplacement. C’est énorme. Pour obtenir un système avantageux ou neutre, le prix d’un dialogue ne pourra donc pas excéder 2 ou 3 maanas.

Ce qui me fume c’est qu’on nous vend un système qui se veut “plus égalitaire pour tous les joueurs en éliminant la variable aléatoire des déplacements.“ En informatique, l’aléatoire total n’existe pas. Il est toujours basé sur une donnée contrôlable. L’aléatoire pourrait parfaitement être éliminé en faisant en sorte que les personnages apparaissent à un lieu fixe une fois les conditions débloquées (dialogue ou objectif déclenché), au lieu d’avoir une chance sur n d’apparaître à un endroit aléatoire de la map quand on y passe. C’est ce qui se passe (ou en tout cas se passait) sur l’otome Antic Love quand j’y jouais, on nous disait même à quel lieu exact il fallait se rendre, autant dire que l’aléatoire y’en avait pas, et on paie quand même au déplacement.

Ça permettrait le retour des objectifs secondaires apparus furtivement dans l’épisode 13, où dans les objectifs à la con où faut demander l’avis de tout le QG, on avait la liste des personnages à trouver : nous en objectifs, on aurait par exemple une liste avec “Trouve Kero, trouve Caméria, trouve Jamon” et en interne, les personnages seraient programmés genre, “une fois l’objectif débloqué, Kero sera au kiosque, Caméria à l’allée des arches, Jamon au refuge” et nous, dès qu’on passe au kiosque pour la première fois de l’objectif, bam on tombe sur Kero, pareil pour les deux autres.

Qu’on me fasse pas croire que c’est pas possible, pour les objectifs précis comme “Va voir Miikonne en Salle du Cristal”, l’apparition de Miiko se fait automatiquement, c’est bien qu’elle doit être réglée pour apparaître dès qu’on met les pieds dans la Salle une fois l’objectif débloqué...

Ça permettrait de virer l’aléatoire tout en nous faisant quand même chercher un minimum. On aurait toujours des trucs à la con à faire genre traverser la forêt maudite et se perdre dans les grottes infernales, mais bon à choisir, j’sais pas vous, mais moi je préfère largement traverser Eldarya de long en large en éliminant l’aléatoire de l’apparition des personnages plutôt que de payer pour chaque pensée de la gardienne. D’autant plus que le paiement au dialogue ne nous sauvera pas de ses réflexions au ras des pâquerettes, bien au contraire, on risque de s’en coltiner trois fois plus alors que la surenchère de dialogues inutiles pourrait passer dans le développement de l’histoire, des personnages et de leurs relations entre eux.

Chaque système peut avoir des avantages et des inconvénients. Le paiement au dialogue enlève l’aléatoire des déplacements, mais la quantité monstrueuse de dialogues fait qu’on se retrouve à payer un épisode 5 fois plus cher, et le paiement au déplacement coûte moins cher, mais y’a de l’aléatoire. Et encore, comme je l’ai dit, l’aléatoire peut être au moins fortement réduit. Moi ça m’énerve de traverser la forêt et les grottes, mais je m’y fais, surtout maintenant que je les connais presque par cœur ; c’est frustrant, mais beaucoup moins frustrant que quand un personnage refuse d’apparaître, alors que c’est une variable qui peut se contrôler.

BILAN TL;DR : Les soluces c’est cool. Y’a trop de dialogues pour un système de paiement au dialogue. Soit faut des dialogues à 2 ou 3 maanas, soit faut garder le paiement au déplacement et mieux programmer l’apparition des persos pour supprimer l’aléatoire.