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#pure race espagnole
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Pure race espagnole - C'est l'une des plus anciennes races équines au monde. Les auteurs romains lui louaient déjà des qualités de cheval de bataille inégalable. Sa réputation atteignit son apogée au XVII et XVIIIème siècle, époque à laquelle aucune cour d'Europe ne pouvait se passer de cette monture. On lui trouvait tant de qualité qu'on l'employa pour améliorer toutes les races.
Lieu : Pairi Daiza
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mlle-nietzsche · 5 years
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How beautiful 🔥
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aucoeurdeschevaux · 5 years
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Le Pure race espagnol par Ekaterina Druz
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albad · 3 years
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Une vieille lecture qui retrouve (malheureusement) beaucoup de son actualité pour celles et ceux qui se demandent pourquoi le peuple, maltraité par le libéralisme économique, tend si souvent à se tourner vers l'extrême droite plutôt que vers la gauche bien que ce choix semble irrationnel...
Wilhelm Reich, Psychologie de masse du fascisme, 1933
Extrait de la préface de 1946
Le fascisme n’est pas, comme on a tendance à le croire, un mouvement purement réactionnaire, mais il se présente comme un amalgame d’émotions révolutionnaires et de concepts sociaux réactionnaires.
Si l’on entend par « esprit révolutionnaire » une révolte rationnelle contre les abus insoutenables de la société humaine, la volonté rationnelle « d’aller partout au fond des choses » (« radical » =« radix » = « racine ») afin de les améliorer, le fascisme n’est jamais révolutionnaire. Il est vrai qu’il peut se présenter sous le déguisement d’émotions révolutionnaires. Mais on ne qualifiera pas de « révolutionnaire » un médecin qui lance une bordée d’injures contre une maladie au lieu d’explorer et de combattre avec courage et conviction ses causes. Nous assistons toujours à des révoltes fascistes quand une émotion révolutionnaire se transforme en illusion parce qu’elle a peur de regarder la vérité en face.
Dans sa forme pure le fascisme est la somme de toutes les réactions caractérielles irrationnelles de l’homme moyen. Aux yeux du sociologue borné, qui n’a pas le courage de reconnaître le rôle primordial de l’irrationnel dans l’histoire de l’humanité, la théorie raciste fasciste n’est que l’expression d’intérêts impérialistes ou, dans une formule plus modérée encore, d’un « préjugé ». C’est là aussi l’avis des politicards irresponsables et phraseurs. L’impact et la vaste diffusion des « préjugés raciaux » attestent leur source, à savoir la partie irrationnelle du caractère humain. La théorie des races n’est pas une invention du fascisme ; bien au contraire : c’est la haine raciale qui a donné naissance au fascisme, dont il est l’expression politique. Il existe donc un fascisme allemand, italien, espagnol, anglo-saxon, juif, arabe. L’idéologie raciste est l’expression caractérielle biopathique de l’homme frappé d’impuissance orgastique.
La mentalité fasciste est la mentalité du « simple d’esprit » opprimé, avide d’autorité et en même temps séditieux. Ce n’est pas le fait du hasard si tous les dictateurs fascistes se sont toujours recrutés dans la petite bourgeoisie médiocre et réactionnaire. Le gros industriel et le militariste féodal tirent avantage de ce fait social, issu de l’oppression universelle de la vie. La civilisation autoritaire et mécaniste ne récolte chez le citoyen asservi, sous forme de fascisme, que le mysticisme, le militarisme et l’automatisme qu’elle n’a cessé de répandre parmi la foule des petites gens opprimées. Le petit bourgeois a simplement copié l’attitude des « grands » et en a fourni une version caricaturale et exagérée. Le fasciste est l’adjudant-chef dans l’armée gigantesque de notre civilisation industrielle et malade. Pour bien comprendre ce qui se passe derrière la façade, sur quelles forces s’appuie le fascisme, il faut avoir étudié pendant des années le caractère du petit bourgeois brimé.
La rébellion des foules d’animaux humains maltraités contre la politesse creuse du faux libéralisme (je ne m’élève pas contre le vrai libéralisme et la vraie tolérance) a fait apparaître la couche caractérielle des pulsions secondaires. Il est impossible de neutraliser le forcené fasciste si on le traque, selon la conjoncture politique, uniquement parmi les Allemands et les Italiens et non parmi les Américains et les Chinois, si on s’exclut soi-même, si on ne connaît pas les institutions sociales d’où il éclot chaque jour.
Le seul moyen de combattre efficacement le fascisme consiste à lui opposer une connaissance objective et pratique des processus de la vie. Personne ne lui damera jamais le pion sur le terrain du bavardage politique, des détours diplomatiques, des parades. Mais il n’a pas de réponses aux problèmes pratiques de l’existence, car il voit tout dans le miroir de l’idéologie ou sous les apparences de l’uniforme d’État.
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Chers foutriquets psychonautes allumés du zizi spatial et tordu.
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Aujourd'hui moi le grand rois grandiose ascendant Taureau Martien Immaculé et Céleste Dieu ! Grand prêtre sexy aux bourrelets d'or et de jaspe .
Grand génie doté de 300 de QI doté d'une centaine de kilos dans mes belles fesses rondes et dorées qui viennent l'agrandir de leur belles formes grasses ,aussi somptueuses et dodus qu'un concerto de prêtres en pleine orgie luxueuse et extraordinaires
  Mon gros et grand ventre d'une spendeur extatique est tel un tonneau mirobolant de richesse
Ma beauté est si grande qu'elle humilie le ciel et ses nuages au point où celui ci se cache de honte et de vergogne tel un poupon hideux ayant remplie sa petite culotte moisie devant les hautes autorités divines.
 .Les mères du peuple avortent leur grotesques futurs enfants car elles savent bien évidemment qu'ils ne seront jamais aussi beau qu'une infime partie de mon plus petit doigt de pied .
 Même les plus belles roses de l'univers des bois noble de Franche Comté bourgeoise s'en donnent la mort.
Je suis le plus beau,le plus divin au point où les aigles majestueux si petits devant l'odeur boisé de mes pieds sacrés deviennent psychotiques de jalousie et se suicident devant mon absolue grandeur .
Vous l'avez bien compris .
Je vais vous flanquer des banques sur les petits bijoux  bande de saltimbanques ,vous éliminer ! Car dans mon royaume aussi spectaculaire qu'un orgasme de nombril royal ,il n'y a pas de gueux,de misérables qui dansent comme des égouts analphabètes ,pas de bestioles détraquées du zizillon,pas d'oisillons aux fions puant la drogue des petits peuples .
Vos odeurs ont la prestance méprisable d'un poil de dindon décadent se noyant dans le ventre d'un roquefort bassoniste.
Sur ce je vais désormais vous décapiter la tête ,la noyer dans un parfum au musc de girafe de noble race  et vous empailler ,avec de l'émaillage Napoléonien et des fresques luxueuses et virginales.
Sur ce,je vais de ce pas avec immense pudeur respectable et grâce cosmique sur mon trône , chanter par les fesses des pralines framboisés plus délicieuses que celles du meilleur  chocolatier de France ,là où  les plus belles dames se prosternent devant mon art couleur ocre terre exposé au Louvre  .
Signé 
Le Grand Rois
Le prêtre de l'Univers
Le Maître des Culottes ,de l'Or,de mon Royaume et de l'Éternité qui elle même me jalouse 
Amen
Réponse d'un sale gueux
Salut petite péniche tordue en forme de cornes,de crottes et de tétons . Ça plouf ?
Je fume du javelot hallucino en me foutant de ta gueule dans une java spatiale entre rigolos .
Tu sais mon coco !  
Les gros personnages ubuesques et grotesques de ton genre finissent toujours en ratatouille éclatée avec la tête décapitée et le slip qui pu plus qu'un sanglier toxicomane shooté aux énergies nucléaires.
J'ai bien envie de jouer à la pétanque avec ta petite gueule en forme d'aubergine pétomane et ton ventre qui marmonne comme un fan de catch allemand climato sceptique en agonie pendant la journée du climat .
La dernière fois je suis passé dans tes toilettes pour me secouer le mammouth.
Ça sentait l'égout gauchiste et ses allocations 
Visiblement toi et ton cul avez enfaites bel et bien le QI d'un feu d'artifice qui pète dans tout les sens où comme un pétard espagnol et épileptique
Sale rois de merde .
J'emmerde la monarchie qui est dictature terrestre .
Je méprise ton indécence envers les anciennes tribus spirituelles qui ont ramenée l'essence de la spiritualité et l'air pur non oppressif ,hypocrite et arbitraire.
Je haie ton haleine bouillante car même le soleil est d'une fraîcheur divine douce et pure devant la laideur infinie de ton être .
Tu vénére Dieu en le croyant comme toi et en osant affirmer subtilement mais avec prétention ignoble et infiniment ridicule que l'être le plus poétique ,libre et incompris du Cosmos te ressemble et qu'il serait nazi,coloniserait et tuerait tout ce qui ne serait pas comme toi et lui  selon de fausses lois divines ,cri du mensonge de l'humanité .
Sale déchet gris et rabougris..
.
Le Cosmos est la salle de shoot des Artistes en manque de poudre de rêves qu'est la poésie !
Si tu savais comme Dieu est en vérité une petite gauchiasse éternelle et sacrée avec ses pétards de coquelicots multicolores et ses paysages de fleurs Jaune au gazon vert  ressemblant à une frite bien dorée  et trempée de THC dans une FAC d'art contemporain pour jeunes rebelles écolo-décadents 
Tes vierges se tripotent régulièrement  la grotte pleine de lait de coco .
Les aigles ont fait semblant de se suicider par peur de ta violence mais se foutent de toi derrière ton dos .
Les fleurs se cachent également de toi pour mourir non pas de honte mais de rire moqueurs .
Osons un jour rependre la liberté qui nous à été volée .
Osons danser dans les rues et pousser des cris d'animaux en se deguisant sans avoir peur d'être enfermés.
Aujourd'hui offrons un ciel sextoy arc en ciel  aux pauvres pour leur permettre de devenir riche en pénétrant l'éternité et la liberté .
Aujourd'hui nous les femmes ,ne nous rasons plus si nous ne le voulons pas .
Soyons grasses ou maigres,nu ou vêtues !
Abolissons ensemble les barrières amer et osons être barrées dans l'éther !
A mort le rois!
Vive les dingues et les oiseaux !
Signé
Un petit gueux Jaune 
Tout petit et pleins de pustules Oranges magiques
Mais semeur d'un immense chaos Arc en ciel
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Nébuleuse M
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kn1dognose · 2 years
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Dressage chiens Chihuahua à la Seyne sur mer dans le Var 83
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10 leçons pour éduquer et dresser son Chihuahua nain facilement à Toulon, La Ciotat, Bandol, Sanary sur mer. Educateur canin, dresseur de chiens & comportementaliste canin à Saint-Cyr sur mer. Tarifs dressage chiens à Toulon
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 Tout savoir sur le Chihuahua. Comportement, éducation, histoire.
Histoire du Chihuahua
Le nom de la race a été donné par l'État mexicain de Chihuahua. C'est à partir de là que les chiens de compagnie ont commencé leur marche triomphale, d'abord à travers le continent américain, puis dans le monde entier. Les ancêtres des Chihuahuas d'aujourd'hui sont considérés comme les anciens chiens Techichi, qui ont été élevés par les Indiens toltèques au IXe siècle. Des animaux de petite taille et absolument stupides étaient élevés par la population indigène dans un but purement pratique : ils étaient mangés, et parfois sacrifiés aux divinités locales. Lorsque la civilisation toltèque est tombée en déclin, ses terres sont passées aux Aztèques, qui ont continué à élever des "chiens délicieux" et se sont livrés à ce commerce jusqu'à l'arrivée des conquistadors de Cortes.
Avec la chute de l'empire aztèque, les Techichi, comme leurs « éleveurs », connurent des moments difficiles. Les animaux ont été presque complètement exterminés par les Espagnols, et seuls quelques survivants se sont réfugiés dans les forêts. Pendant près d'un siècle, on n'a rien entendu sur les Techichi, et ce n'est qu'à partir du milieu du XIXe siècle que l'on a commencé à retrouver les traces de leurs descendants. Au cours de cette période, les touristes américains visitaient de plus en plus le Mexique, à qui les commerçants locaux proposaient un produit vivant exclusif - de minuscules chiens qui tenaient dans la poche. Dans le même temps, la couleur des animaux pouvait être la plus diversifiée, mais une chose est restée inchangée - leur taille miniature.
Au début, les chiens portaient le nom des endroits où ils étaient achetés, comme « Arizona » ou « Mexicain ». Mais progressivement, le nom de l'État du nord du Mexique a été attribué à la race. Les descendants de l'Aztec Techichi sont entrés dans le livre des origines américain en 1904, et trois ans plus tard, les mini-chiens ont traversé l'Atlantique et se sont installés chez des éleveurs britanniques. Le premier standard de race pour le Chihuahua a été signé en 1923 en Amérique et, au début, l'association des éleveurs ne reconnaissait que les chiens à poils courts comme de race pure. Les individus aux poils longs n'ont été inclus dans la norme FCI qu'en 1954.
Apparences du Chihuahua
L'apparition des Chihuahuas modernes est en partie un héritage de l'ancien Techichi, en partie le produit de nombreuses années d'expériences d'accouplement d'animaux avec des représentants d'autres races. Ainsi, par exemple, dans le sang des chihuahuas d'aujourd'hui, on trouve des gènes de toy terriers , spitz , chiens papillons et pinschers .
Tête et crâne
Le crâne est arrondi, en forme de pomme. Les individus sans fontanelle sont considérés comme référence, une petite zone non ossifiée du crâne est autorisée. Le museau est large et court, se rétrécissant progressivement vers le nez. La transition du front au museau est assez large, distinctement exprimée. Les joues sont plates et sèches, bien ajustées au crâne.
Mâchoires et dents
La morsure du Chihuahua est droite et en forme de ciseaux. Le nombre optimal de dents est de 4 canines, 12 incisives, 10 molaires et 16 prémolaires.
Nez
La couleur peut être noire ou dans le ton de la couleur principale de l'animal, bien que dans le cas des individus de la classe d'exposition, la préférence soit donnée à la première option.
Yeux
Rond, grand, mais sans renflement. La teinte idéale de l'iris est sombre. Les yeux clairs ne sont pas une raison pour disqualifier un Chihuahua, bien qu'ils soient indésirables.
Oreilles
Érigé, large à la base, avec une pointe légèrement arrondie. Chez un chien calme, elles se situent dans différentes directions et pendent à un angle de 45 °.
Queue
La queue du Chihuahua est de taille moyenne, attachée haut, épaissie à la base et se rétrécissant progressivement vers la pointe. Chez les individus de race pure, le coude de la queue a la forme d'un croissant et sa pointe «regarde» dans la région lombaire.
Le pelage
Selon le type de pelage, les Chihuahuas sont divisés en poils longs et poils courts. Les premiers ont un pelage doux et soyeux d'une texture lisse ou légèrement ondulée avec une petite quantité de sous-poil. Les poils extérieurs les plus longs poussent dans le cou, les oreilles, les pattes, ainsi qu'à l'arrière des membres.
Chez les individus à poil court, l'arête est lisse et courte, près du corps. Poils plus longs dans les zones du cou et de la queue, les plus courts - sur la tête et les oreilles.
Caractère du Chihuahua
Le Chihuahua est un petit chien qui a absorbé la sagesse de ses ancêtres, qui a appris à comprendre et à accepter la vie dans toutes ses manifestations. Des autres races naines, ces bébés se distinguent par leur calme et leur équilibre: ils ne seront pas hystériques pour une raison insignifiante et ne trembleront pas d'un excès d'émotions dans un "frisson" fébrile. Les adultes restent sérieux et un peu arrogants, ce qui ne correspond pas du tout à leurs dimensions "de poche". En général, les chihuahuas ressemblent beaucoup aux humains : chaque animal possède tout un ensemble de traits de caractère uniques qui le différencient des autres membres de sa propre espèce.
Les représentants de cette race sont très fiers, par conséquent, ils répondent à une attitude irrespectueuse avec un mépris froid. Ces "amigos mexicains" adorent leurs propriétaires jusqu'à la folie. Quoi que le chien fasse en présence du propriétaire, il le fait dans un seul but : obtenir son approbation.
Les chihuahuas sont  intelligents. Ils apprennent également rapidement la nature de leurs propres propriétaires, ce qui aide les animaux à "se frotter" activement à la confiance et parfois à manipuler ouvertement leur ami à deux pattes. Et ils sont aussi extrêmement curieux, alors ils aiment "scanner" toutes les actions d'une personne. Si vous êtes occupé dans la cuisine, il y a presque certainement un Chihuahua emmêlé quelque part au niveau de vos pantoufles.
La plupart des individus ont un besoin urgent de créer leur propre abri. En particulier, les chihuahuas sont capables de se construire un repaire en quelques secondes à partir d'une couverture de canapé ou d'un t-shirt accidentellement oublié. Habituellement, le chien y aménage une sorte de trou, dans lequel il grimpe pour se cacher du monde extérieur.
Il existe une opinion parmi les éleveurs selon laquelle les Chihuahuas à poil long ont un caractère pacifique, tandis que leurs homologues à poil court sont plus actifs et obstinés. Il y a aussi beaucoup d'exceptions à cette règle,  c'est l'un de ces cas fréquents où la loi n'a pas fonctionné.
Malgré leur taille plus que modeste, les descendants de Techichi sont considérés comme des tyrans notoires. Selon les éleveurs, il est beaucoup plus facile de mettre un chihuahua en colère qu'un pit-bull. Le Chihuahua n'aura pas peur de la supériorité physique et numérique de l'ennemi, car en cas de menace, il perd complètement le sens des réalités, révélant un héroïsme incroyable pour son physique. Les animaux n'aiment pas ouvertement les étrangers, donc, pour chaque invité qui apparaît sur le pas de la porte, ils ont une bonne part de mécontentement en réserve, exprimé en aboiements, et parfois en mordant les jambes de «l'extraterrestre».
Caractéristiques du Chihuahua
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Éducation et formation
Les chihuahuas  veulent constamment être caresser et dorloter, mais certainement pas s'entraîner. Et pourtant, refuser d'éduquer un animal est une grave erreur. L'âge optimal pour commencer l'entraînement est de 2 à 3 mois. À ce stade, les chiots sont déjà capables de maîtriser un ensemble de commandes simples. En général, la formation de Chihuahua vise à socialiser rapidement le chien et à lui inculquer les normes de comportement, et non à enseigner des tours de cirque complexes. Une exception concerne les programmes destinés aux particuliers, futurs habitués des expositions. Ici, le chiot devra apprendre à se tenir calmement, à percevoir correctement l'environnement et à montrer ses dents. Si vous voulez vraiment vous vanter auprès de vos amis avec un numéro acrobatique exécuté par un Chihuahua, vous pouvez entraîner votre animal à faire des sauts périlleux sur le dos et à sauter par-dessus des barrières basses.
Les chihuahuas sont des élèves capables. Bien sûr, les choses ne se passeront pas sans la manifestation d'entêtement de la part de l'animal, vous devrez donc faire le plein de patience et de friandises préférées de votre chiot à l'avance. Pour les erreurs commises lors de la formation, le bébé ne doit pas être réprimandé. Les cris et la violence physique sont strictement inacceptables. Le premier provoque une forte sensation de stress chez l'animal, c'est pourquoi les représentants de cette race font souvent des «flaques d'eau» au mauvais endroit, et le second est complètement lourd de blessures graves.
Malgré le fait que les descendants de Techichi sont considérés comme des chiens d'un seul propriétaire, un animal correctement éduqué doit obéir à chaque membre de la famille. Eh bien, pour que le chiot apprenne cette leçon, faites-lui comprendre que pour la non-exécution de la commande - peu importe à qui elle a été donnée - il ne sera pas félicité.
Chihuahua et enfants
L'apparence mignonne d'un chihuahua forme une fausse idée chez les enfants d'un chien comme jouet vivant. En effet, un animal de compagnie ne supportera pas les caprices de quelqu'un, et encore moins la violence. Un animal répond à une attitude irrespectueuse par le ressentiment, et parfois par l'agressivité, donc laisser un chien comme nounou avec un bébé est une mauvaise idée. Il faut expliquer aux enfants plus âgés que les chihuahuas sont des créatures très fragiles, vous ne pouvez donc pas commencer une bagarre de jeu avec eux ou organiser des compétitions de saut de lit.
Santé et maladie du chihuahua
Les chihuahuas peuvent vivre jusqu'à 20 ans, bien que l'espérance de vie moyenne soit de 12 à 15 ans.
Maladies les plus courantes chez les Chihuahuas :
allergie;
hydrocéphalie;
problèmes dentaires (caries, parodontites, pulpites, kystes de rétention);
hypoglycémie;
maladie de la lithiase urinaire;
démodécie;
épilepsie;
dysplasie de la valve cardiaque mitrale;
sténose du tronc pulmonaire.
Eleveurs de Chihuahua :
http://www.domaine-de-mazieres.fr
https://duclosdedianiaturba.chiens-de-france.com/chihuahua.html
Standard du Chihuahua fiche FCI N° 218
Trouver un éducateur pour votre Chihuahua dans votre région 
Nos Tarifs  :
Tarifs éducation canine
Tarifs école du chiot 
Tarifs pension canine
Tarifs Taxi Animalier 
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La nouvelle est tombée - Les apparences sont trompeuses
La nouvelle est tombée – Les apparences sont trompeuses
Bonjour à tous ! Aujourd’hui, je vous présente un recueil de nouvelles très intéressant, aux chutes inattendues et bien construites ! L’auteur Depuis 2001, Cédric Morel élève des chevaux de pure race espagnole “Marin Garcia”. En 2003, il construit de grandes écuries. En parallèle, il assouvit sa passion de l’écriture et des tournures endiablées. En bref Genre : Recueil de nouvelles Sortie :…
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mirloolrim · 3 years
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VISAGES BRULES
Avant propos
Prendre le visage de l’autre
En de nombreuses circonstances, je ne m’identifie pas aux stéréotypes et aux
conditionnements prescrits par le référentiel occidental contemporain.
La notion d’identification m’est souvent étrangère.
Le visage de l’autre m’est un appui plus sûr pour partager un moment.
Le visage de l’autre découvre la familiarité étrange d’un écho.
Cet autre se fait le semblable, le même, le différent : l’autre versant,
la part d’inconnue que je tente de saisir en la vêtissant de mots visages.
Le mouvement se fait dans l’espace de la page,
à la surface du papier,
quelque chose apparaît.
Le temps de l’écriture, cet autre devient le masque qui me saisit.
Le temps d’un voyage, il me projette dans des pays lointains,
des espaces connus
d’autres inconnus.
Les univers agrègent les segments du réels : rêves,
fantasmagories, échanges et sensations.
Le tout unit
des parcours-récits,
lieu d’apprentissage
lieu d’initiation
d’aller et de retour,
bruissement des alentours possibles
et de voies fermées.
Madre
de
Ana
.......................................................................................................................................................
4
Joachim
del
Sur
..................................................................................................................................................
13
Don
Imperissable
.............................................................................................................................................
26
Sigismond
............................................................................................................................................................
32
Tolède
....................................................................................................................................................................
44
Demesia
................................................................................................................................................................
52
Nouvelle
Aube
....................................................................................................................................................
59
Madre de Ana
Mousseline de nuages.
Lune d’automne.
Nuit bleue.
Le pied droit enfoui dans le creux d’un banc de sable moite, la jeune fille au regard de sel
s’éveille.
Mosaïques brutales de peurs graves en devenir maigres.
Coquilles de couteaux.
Tessons de flacons de verre brun.
Carcasse de cylindres d’aluminium.
Senteur de rouille.
Elle pose ses doigts à la surface de son visage.
Elle ouvre sa besace, sort une boîte d’allumettes.
Elle craque un morceau de bois.
La flamme feule et s’assoupit.
La seconde aussi.
La troisième s’échappe.
A la quatrième tentative, le crépitement préserve le soufre et brûle les dernières
inscriptions.
Elles disparaissent au gré de sa danse.
5
Elle se lève, met sa pèlerine.
Elle jette un coup d’oeil à l’étendue, suit la contre allée et prend la direction du centre de la
ville.
Arrivée à hauteur du café du port, elle s’arrête et s’assoit à terre.
Elle se couche.
Son corps se détend.
D’une azalée jaillit une nymphe.
Sa chevelure noire tombe en cascade au creux de ses reins.
Une mélopée sort de ses clavicules.
Ses lèvres couvertes d’une poussière sont fermées.
L’écho de sa pensée soupire par ses doigts.
6
« Ne pars pas avec ceux que tu n’aimes pas. Ils seront toujours mauvais compagnons,
pleurant à tes côtés quand tes peines te broient le coeur, plongeant dans les abysses de ces
tristes enfers où tu demeures prisonnière. »
Un serpent attaché à ses côtés crache des épines et des queues fourchues.
Ana s’éloigne.
Elle s’abrite derrière un feuillage.
Elle se met à courir.
Sa course s’arrête au bord d’un ruisseau.
7
Une jument dort.
« Pourquoi passer ton temps à t’égarer ? Par quel étrange maléfice garnis-tu tes oreilles de
paille ? Sourde à la grâce de cette Vénus auréolée de pourpre, tu fuis dans la bauge d’un
rire dédaigneux rencontrant d’autres démons gras qui dévorent leurs enfants. Dis-moi quel
étrange souci est le tien pour que tu retiennes si bien le parfum des Danaïdes, et que tu
demeures dans l’alcôve de ces clameurs violentes qui s’abandonnent aux golems de glaise ?
Petite fille du soleil, Saturne te prend en son sein. Tète. Tète avidement. Le puits sans fond
derrière toi est le secret. Regarde-toi en la flaque, regarde au plus profond et ne laisse nul
autre te faire le récit funeste de tes errements et les contrées de ces méduses. Les cris
jaillissent. Langue de feu. Crache regret.»
8
La nymphe cache son front.
Elle couvre ses joues.
Elle disparaît sous la terre.
Ana ouvre les yeux.
Une vieille dame frotte sa manche.
« - Vous allez prendre froid mademoiselle, levez-vous. »
Les deux femmes entrent dans le café.
Le percolateur vrombit.
« - Un peu de paix ?
- C’est pas pour moi.
- Tu t’habitueras. On s’habitue à tout. Même au meilleur. Ca prend un peu de temps. Après
y a plus que ça qui compte. »
9
Elle dépose sa cuillère sur la soucoupe.
« - La peur c’est pas de la compagnie.
- Germain s’est tué. Je sais plus faire.
- C’est qui ?
- Mon homme.
Il s’est jeté. »
Une boule de flipper est lancée.
« - Je fais que coucher avec d’autres gars.
- Et ?
- C’est mal »
La vieille dame sourit.
10
« - Je connais les hommes. J’ai tout pris ce qui leur faisait mal. Dans mon corps à moi. »
La vieille dame décrit les bruits.
Râle rocailleux.
Spasme de veines.
Clapotis de peau.
Elle décrit des parties.
Encolure des reins.
Pubis.
Fesses.
Sexe.
«-T’avais besoin de chaleur dans ton coeur. Et puis, si y a du plaisir ça réchauffe mieux. »
11
La vieille se lève et part en direction du comptoir.
Ana regarde sa montre.
Elle se lève.
Elle va vers le cimetière.
Sur une dalle de marbre, elle couche son visage.
Sa grand-mère lui apparaît.
Ses mâchoires, ses yeux, ses mains, son anneau doré.
« Vis ma loupiote.»
Elle reste au pied de la tombe de Germain.
12
Elle va vers le café.
Le serveur lui sourit.
« - Un autre café ?
- Non merci, je cherche une vieille dame.
- Personne, désolé. »
13
Joachim del Sur
A cette heure du jour le soleil brûlait la peau et la clameur de femmes en gésine soufflait
les fétus de paille laissés par les célébrations de la veille.
Les hommes encore alourdis par l’alcool peinaient à déplier leurs paupières, tandis que
les animaux remuaient sous les tôles déjà brûlantes.
Joachim del Sur entra par la porte ouest de la ville. Son cheval assoiffé par le pénible
voyage marqua l’arrêt. La bosselure de sa cheville ne cessait de s’infecter et le contact de la
poussière le préservait de tout soulagement.
Il attacha la bête, étreignit son museau, arma son revolver et lui glissa une balle de
plomb par la cavité de l’oreille. Le coup de feu résonna dans la cité encore endormie.
Seuls les oiseaux s’échappèrent.
Un homme appuyé sur un bâton à la tête de bélier lui fit signe d’entrer dans l’église.
14
La porte poussée, il sentit la fraîcheur.
Il retira son chapeau, s’agenouilla, et posa son regard sur la statue nichée au pied de
l’autel.
Le bloc d’albâtre façonné par un sculpteur émut le vagabond.
Encore immobile quelques instants plus tôt, la statue se pencha sur celui qui avait voulu
oublier toutes ses années passées loin de son village natal.
Elle lui murmura de se diriger vers le côté droit du transept.
Il approcha.
Un seau d’ébène.
Une eau visqueuse à la senteur de rose.
15
« Ce sont là toutes les larmes que les mères ont pleuré. »
Elle enfila un doigt dans sa narine, y glissa une poudre.
Joachim s’endormit.
La cloche sonna de nouveau.
Deux hommes secouèrent sa maigre carcasse.
Depuis vingt ans, Joachim n’avait plus été appelé. Depuis vingt ans, il avait oublié les trois
syllabes.
« Pars.
- Je veux voir ma mère.
- Elle est morte.»
Le deuxième saisit Joachim par l’épaule.
« Crève. »
Veines du cou apparentes.
Convulsion spasmodique.
La rage bavait visqueuse aux bords des bouches.
16
Joachim quitta l’église.
Il partit en direction d’une bâtisse blanche.
La maison de son enfance.
Le fourneau, les chaises et la petite table en bois de thuya n’avaient pas changé de place.
Le portrait de son père.
La porte du cellier.
Une cruche de terre cuite.
Une chaleur prit place dans sa poitrine.
La chambre où son père était mort.
17
Il s’allongea sur le matelas et ferma les yeux.
Un dais de lumière. L’espace du lit. Les murs tapissés de mauve.
L’ armoire en face du lit attira son attention.
Il se leva et tourna la clé dans la serrure.
La pêne se retira.
Les robes à fleurs d’organza.
Il les respira toutes.
Aucun parfum, aucune fragrance.
Un carré d’ambre entre les couvertures.
Relâchant le bloc, sa main effleura un crêpe noir.
18
Lui revinrent en mémoire des paroles que sa mère avait sarmouré au cours de sa dixième
année.
« Nous sommes peu de choses et le temps passe vite. Servir le bon, cultiver le jour.
Dieu en chaque visage et en toute chose. »
Il retourna dans la pièce principale, ouvrit le tiroir de la commode et saisit des feuillets.
19
« Servir la caodïo. Lui seul connaît la grandeur de l’Espagne. Tous ces pantins dupés par ces idéaux
moribonds de fraternité inféodés aux froids sibériens de ces barbares russes n’ont rien compris à
l’alliance pure d’une race qui se joint pour s’extraire de la fange boueuse d’une égalité vouée à la
débauche. La seule ligne d’une direction nette, née de la légitimité du Très Saint est le seul
commandement qu’il nous faut suivre. Le Caodïo nous y mènera.
Cette putain débraillée nourrie et aimée par cet homme si grand. Aux bras du premier venu, elle s’est
jetée.
Les travaux des champs terminés, il la trouva grosse de quatre mois.
Impavide devant ce ventre fécondé par la semence de satan, il endossa la honte.
Jour après jour, il subit le dédain qui se pose sur les maris trompés.
Préservé de ce récit funeste jusqu’à mon départ pour la Phalange je continuais à regarder sa grâce et
sa beauté jusqu’à la servitude tendre et aimante qu’elle avait toujours su fécondée. La flétrissure de son
âme m’était encore voilée.
Dans les maquis ombragés, je devins cette machine ensanglantée. Les anarchistes brûlèrent et
dépecèrent une à une les soeurs du carmel. Ils leurs arrachèrent leur innocence comme d’autres sarclent
un champ de blé au coeur de l’été asturien. Ils brûlèrent tout, ne laissant rien derrière eux.
Il nous fallut peu de temps pour organiser la riposte et châtier ces crimes. Un à un nous les
trouvâmes. Certains avaient trouvé refuge chez les meilleurs espagnols dupés par l’ombre de leur discours
promettant le progrès comme les cartomanciennes d’un village préfigurent l’avenir en croyant déceler un
chemin dans les paumes de main.
Conduire de nouveau le regard vers le Saint et le Beau prendrait le temps qu’il nous serait donné.
La gloire nous couronnait chaque jour. La certitude de nos coups lancés par le feu de la poudre
confortait nos élans. Notre course ralentie par les vents nous menait grâce aux forces nées de l’autre côté
des Alpes, aux portes de la vérité de Dieu, témoin vénéré de nos exploits. Nos corps investis de l’ alacrité
angélique nous conviaient aux chants. En ces moments où nos mains dégageaient les chaires rendues au
créateur, nos poitrines entamaient les chants divins.
Au – dessus des dépouilles perforées par le plomb, nous prenions le temps de prier. »
20
Sa lecture terminée, lui revint en mémoire ce jour d’octobre maudit.
Sa mère trouvée nue sur le lit. Cet homme inconnu.
« - Reste Joachim.
- Reste ? Tu me demandes de rester. Ciel pourquoi m’avez vous donné cette mère couverte
d’infamie. Mon père est mort sous le poids de la honte. Mon père est mort et elle me
demande de rester … Comprendre ? Oublier peut-être. Retire de ma mémoire toutes les
douleurs que ce coeur qui loge encore ici puisse encore être désigné par le mot coeur. »
Le vieil homme frappa à la porte. Joachim tourna le menton.
Il se leva et il marcha.
Il n’alla pas plus loin que le perron.
Les ronces piquaient la terre asséchée.
21
« - Pars. »
Il marcha en direction du hameau.
Il visita chaque maison et ordonna à chacun de sortir.
Les uns après les autres, ils furent menés au pied de l’autel.
« Le nino de dona Esperanza. Je suis revenu. Elle est partie sans que je ne la vois morte.
Joachim tira sur l’assemblée.
Impact de plomb.
22
Les crânes ouverts en corolle.
Quelques râles entre les pierres de grès.
Trois femmes et un nouveau né avaient été épargnés.
« Vous marcherez avec moi. »
Les yeux rivés sur le sol les femmes avancèrent.
23
Elles tombèrent.
A de multiples reprises.
Leurs forces diminuaient.
A l’orée du bois de sycomores ils s’arrêtèrent.
Joachim regarda l’une des femmes.
Ses chevilles étaient ensanglantées.
Elle posa le genou à terre.
Une plaine s’ouvrait devant eux.
« Rien ne pourra nous sauver. »
24
Joachim saisit sa gorge.
Entre ses deux mains, il serra.
Jusqu’au craquement.
Placées de part en part de l’épouvantail de chaire, les deux femmes le tiraient en arrière.
De nouveau, il tira.
Il prit le nouveau-né et la nacelle.
Il se mit à courir.
Bosquets de genêt.
25
Aux bords d’un ruisseau, il respira.
La statue apparut.
Elle déposa un rameau de laurier dans sa main.
Buena Suerte mi nino. Buena Suerte.
26
Don Imperissable
Un tintement de clochette murmura à une lune gauche de se plier à la lourdeur de sa
charge.
Elle se faufila si bien que la dame aux rondeurs blondes prit son envol pour laisser place au
jour nouveau.
A l’aide d’une plume biseautée, Jacques achevait de griffonner la surface d’un papier.
27
Gris d’une nuit aux nuages lourds, il se leva, s’étira et se dirigea vers la fenêtre.
Les rangées rectilignes des vignes familiales s’ouvraient en tapis secrets de nectars à venir,
s’arrêtant pour border une forêt aux accents de murmures indiscrets.
Il huma le spiritueux versé dans une amphore glacée et s’assit avec précaution, révérant de
la main le cuir d’une méridienne au velours côtelé de rouge.
Son carnet de notes était encore ouvert.
Il s’y replongea quelques instants quand son attention fut attirée par le tableau ceint d’un
encadrement à la dorure craquelée.
La mâchoire crispée d’un aïeul capitaine d’industrie sucrière l’appelait dans le silence moite
du petit matin.
Il plaqua son oreille tout contre la toile et entendit un murmure. Le son se distinguait
toujours plus nettement et il lui sembla entendre le récit d’une femme.
28
« … Et elle me regarde et je sens déjà ce regard omniprésent, au-dessus de toi au-dessus de
nous. Elle nous regarde mon amour, elle nous regarde et me juge. Elle m’a réveillée ce
matin. Son regard, sa peau, ses ongles. J’ai tout de suite su que c’était elle, je l’ai tout de
suite reconnue. Elle nous regarde mon amour, elle nous regarde attentivement. Elle est
calme et paisible, elle nous sourit par instant. C’est le moment disent ses mains aux doigts
repliés, c’est le moment. Il n’y pas plus de place pour moi. Il est temps de partir me dit-elle,
il est temps, je m’en vais. Je vous quitte me dit-elle, vous laisse savourer votre amour
retrouvé. Je suis triste et pâle. Votre joie m’appelle déjà et je sais que je ne suis que la
misère de la résignation. Plus votre joie grandit, plus je m’affaiblis … Je crois que je meure,
tranquille.. Mes bagages sont faits. Je ne vous regarde plus. Je sais que vous m’aimez. Moi
seule me blesse en restant. Vous me regardiez, souffrante, immobile. Vous avez su, vous
avez pu. Aimez-vous sans moi. Aimez-vous. Vous avez franchi la porte. »
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Jacques regarda de nouveau la toile. Une lionne affamée lui sauta au visage et s’affaissa de
tout son poids sur son corps.
« Cette odeur de manque cette envie de toi sur ma peau. »
La bête quitta Jacques et se faufila à travers la forêt.
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Une vestale à la lourde poitrine au cou paré d’un collier de perles d’ébène, le visage
surmonté d’un diadème de lapis-lazuli prit Jacques par la main et lui tendit une chemise de
satin.
Il l’enfila, reprit son souffle et écouta la Vénus noire.
« - Les hommes ont besoin de nous. Nous déposons la tendresse d’une juste direction.
- Quelle étrange danse millénaire agit nos mouvements ?
- Apprends la nuit, apprends le temps.
- J’ai été abusé trop de fois. »
Saveurs entêtées de murmures mensongers.
Parfum de regret.
Servile impuissance.
Les bras ne consolent pas. »
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Jacques sentit de nouveau le whisky et revint à lui.
« - Assez pour ce matin. »
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Sigismond
Désert nu.
Plaines mouillées.
Les frères veillaient.
Le volcan.
Dans l’attente d’une éruption prochaine le plus jeune s’agenouilla.
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Sa voix parée de roches et de voyelles suspendues entre deux courants de calcaire unissait
les vents.
Sous l’amas des particules rouges sa main saisit une poignée de terre.
Il souffla chaque grain.
La terre en courbes d’air.
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Un général romain adossé à sa monture apparut.
Il se dirigea vers l’enfant.
« - Tu es arrivé. »
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« Quelle injure ai-je fait à la face du monde pour qu’ainsi je me livre en pâture aux forces
de la mort. Les hommes n’ont rien compris au pouvoir, l’esclavage en lequel il nous place et
les forces prodigieuses qui dispersent celui qui le convoite.
Celui qui en moi l’admirait a tout fait, tout donné pour le conquérir. Et voilà qu’après tant
d’efforts, cé désir me quitte.
Tous ces combats menés, tous ces coups donnés par vanité, orgueil et rage.
Tout cela m’est bien fade aujourd’hui.
L’attente en laquelle je suis demeuré a forgé ce monstre belliqueux.
Mes plans machiavéliques et les dessins de conquête, l’ombre d’une gloire portée par le
glaive.
Je n’ai pas compté le nombre des corps laissés sur les champs de bataille. Je ne me
souviens plus des visages encore moins des regards, le bruit seulement, celui de la peau
trouée par la lame, une silhouette apparaissant derrière mon épaule et ce besoin
intarissable, chasser la peur.
En chaque instant, elle reparaissait.
O fille du malheur tu auras été mon épouse la plus fidèle.
Jamais tu ne m’as quittée moi qui ai tant cherché à te lâcher.
Les plans préparés dans ce palais aux courtisans souffreteux sans vision pour la gloire de
l’empire. Je les ai laissés mourir du saccage de maudire, s’entretuer net à la saillis d’un
discours tranchant. Ils n’ont rien compris au fer, à son alliage, la caresse de la mort et le
crâne d’un enfant perforé sous les coups des sabots.
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C’est encore se donner une place inutile que de plier au songe de pouvoir sauver ceux qui
demandent secours.
Revenant du désert, j’ai rencontré celle qui semblait me dire que je n’étais responsable de
rien.
« Laisse-leur le chemin et pleure leur destin quand ton coeur se serre mais laisse les libre de
choisir.
Là réside le mystère de l’homme.
Une liberté totale.»
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A travers elle, je revivais chacun de mes amours et retrouvais le point.
L’équilibre.
La possibilité d’une île.
Chaque larme déposée disparaissait auprès de sa présence plongée dans ce matin calme au
parfum net.
La passion de soumettre par le verbe et la force de mes muscles brandis contre le temps
s’engouffraient dans le taffetas de sa robe.
Moi qui l’avais pris pour une courtisane, je vis enfin qu’elle était reine.
Cette nuit j’entrais au temple.
Chacune de ses portes me proposaient d’ouvrir le livre de mes gestes assénés sans jour.
Une nuit encore passée à ses côtés, je m’ouvrais à l’enchantement de ses doigts dorés
repassant le cuir de mon front brûlé.
Je n’eus d’autre choix que de me laisser faire par le dessin de ses hanches où me
maudissaient tous ces hommes qui n’avaient jamais étanché leur soif. Ruisseau d’ébène,
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arbre de vie, tu m’as laissé connaître les forces de l’interdit et la folie de ceux qui resteront
au-dehors.
Mes généraux me susurrèrent la faiblesse en laquelle cette union me plaçait. Hicaton me
dit sans ambages un soir que j’allais rejoindre le service des lois :
« Choisir ce chemin t’inflige l’extase d’un moment qui viendra mourir dans une aigre larme.
Il n’y a pas assez de place dans ce coeur. Ce calme apparent précipitera la fin tes services
auprès de l’empire. »
Le soir venu, j’entrais de nouveau sous la tente.
Elle m’accueillit d’un visage aux traits noués par l’attente de ma venue tardive.
Je retirai les peaux, la ceinture et défis le mousqueton
Elle me fit allonger sur un tapis de copeaux de liège, m’invita à m’étendre.
Une après l’autre, elle appliqua des pommades sur des entailles mal fermées.
J’inspirai profondément.
Ces larmes enfouies au plus profond jaillissaient, déferlaient en torrent.
Ses mains cueillirent les gouttes une à une. Elle les déposa dans un flacon d’ivoire et les
déposa au pied du feu. Les flammes dansèrent l’hymne de mes victoires.
Les cris des généraux transperçaient mes tympans.
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La crête des montagnes s’ouvrait.
Envol d’étournaux.
Les hurlements arrêtaient nos glaives, les muscles tonnaient de plus belle.
Les chants des esclaves capturés durant la traversée Lybienne m’accrochaient le visage.
Je tombai dans la brûlure de ma chaire. Chaque parcelle de peau tombait. Les uns après les
autres, mes os se détachaient.
Une hyène un loup un vautour hurlaient.
Le spectacle de mes saccages transfigurés terminé, elle déposa mes mains le long de mon
corps.
Je sentis de nouveau mon souffle et entrai dans un second temple.
Je m’approchais d’une étrange gravure.
Sur le front d’une femme apparut une méduse.
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Elle me cracha au visage.
Je ne distinguai plus la lumière du jour.
Je m’abritai derrière une fenêtre, poursuivis sur le côté et me concentrai sur l’air alentour.
Elle reparut quelques instants dépliant le mouvement de ses bras.
« -Quel étrange maléfice m’as-tu jeté ?
- Aucun sort, c’est toi qui me donne vie. »
J’ouvris de nouveau mes paupières.
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Ma douce me fit revenir au son d’une berceuse.
D’un battement de cils, elle m’apaisa.
« Dépose cette épée. Tu as suffisamment combattu. Le temps de te connaître celui que tu
portes est venu. Rome t’a façonné dans le marbre de Mars. »
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L’accrétion de cette terre tourbeuse et la majesté de cette femme ouvraient le chemin d’une
aube nouvelle profilant cette contrée où l’alchimiste noie la visqueuse dame en ange
éclatant.
Une guerre intérieure à mener et s’élever au-dessus de mes mains encrassées.
Elle me demanda si je préférais placer mes plaies sur le trône de ma gloire.
Cette lourde couronne de clous.
Le souffle du vent.
Je sortis de la tente et scrutai le levé du jour.
« - Cette couronne que tu vois là, cet Esprit, c’est toi. Quand les hommes te feront le récit
de leurs surfaces : leur vanité, leur orgueil, et leur rage, elle te guidera.
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Le volcan préserva l’aurore.
Les étoiles nues tapissaient ses dédales.
Diurne tendu en passable sage.
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Tolède
Nymphes écheveaux, séraphins noués, mèches tressées.
En volée feinte
La douceur des couleurs et la caresse des traits vigoureux enivraient les journées de Pedro
Sanchez, peintre à la solde de l’Eglise et du royaume de Castille.
Les formes qui, sous sa brosse graissée se délivraient, tapissaient la toile de ses journées.
La dernière peinture confectionnée par l’artisan le plus doué de la cité attendait son dernier
dépôt afin que de fêter le retour de don Blasco Ramirez de Guzman.
En remerciement de sa dévotion, l’archidiacre se voyait distinguer par les alcaldes et les
regidores de la ville.
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Les façades des modestes bâtisses s’étaient parées des étendards de la maison de Castille et
des armoiries de la maison de Habsbourg pour accueillir le meilleur questionneur d’âmes
et inventorier que cette terre ait porté.
Encore plongé dans les vapeurs du raisin, l’archidiacre s’endormait à mesure que l’aube
naissait. Les nuages encore gorgés de chaleurs ralentissaient les quelques habitants chargés
de nettoyer les ruelles.
De stature moyenne, l’archidiacre arborait une moustache drue surmontant des lèvres
violacées tandis que son nez s’avançait comme un roc domine menaçant la nappe calme
d’un étang.
La modestie chez lui n’était qu’un fard, derrière lequel, calme et non moins affamée, se
terrait la convoitise d'être adulé.
Si par quelque hasard un interlocuteur le contredisait, il se faisait un plaisir de le railler
passant à la louche toute parole sensée.
Le malheureux encerclé prenait alors les atours monstrueux d’un scélérat dépourvu d’âme,
ou, selon l’humeur meurtrière chevillée au colt langagier du jour, d’un pense creux à la
solde des catalans.
La cour à l’échine courbée qui auprès de lui s’agitait, n’osait faire état de ses erreurs de
distinction élémentaire. Quand un jour, confondant un dimanche de palmes avec celui de
Pâques, il avait pris soin de venir avec des rameaux, tout le monde s’était tu.
Lui indiquer sa confusion aurait exposé l’impétrant contradicteur à de vives rabrouements.
Marqué du sceau de la traîtrise la plus abjecte, il aurait creusé le sillon de son
excommunication.
Sous son administration spirituelle, faux dévots et avides courtisans avaient trouvé leur
paradis et leur gardien dévoué.
Réveillé par le vicaire de la cité, Don Guzman concéda à se lever. Il se rendit sur la place
d’armes. Une estrade sertie de fleurs encadraient le promontoire.
Un siège de velours rouge carmin avait été déposé au centre. Des reliques d’une sainte
supposée avaient pris place à la droite. Les hauts fonctionnaires de la ville attendaient
patiemment l’arrivée du notable ecclésiastique ainsi que celle du Prince.
A l’heure de le célébrer donc, Pedro Sanchez arriva au pied de la scène.
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Le regard perdu dans les nuages, le petit artisan s’approcha des notables
Arrivé à la hauteur du Prince et de Don Blasco, il dévoila la toile.
Un retable d’à peine quinze centimètres de long et de trente centimètres de large fut
présenté aux yeux des convives.
« - Est-ce ici une farce ?
Nous t’avions demandé un tableau pour honorer notre invité et voilà que tu nous montres
cette …
- J’y ai mis tous les élans que mes pinceaux m’ont donnés Prince.
Toutefois, j’ai besoin de temps encore.
J’aimerais arrondir certains angles, épaissir certains traits.
- Qu’importe le temps. La grandeur est absente du bavardage de tes crayons.
Le Prince se tourna vers Don Blasco et se courba.
Pour s’excuser de l’affront il organisa une fête.
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La danseuse la plus douée du pays danserait pour lui et effacerait ce souvenir détestable.
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Le lendemain, une jeune femme arriva dans la cours du palais et se mit à danser.
La psalmodie de ses mouvements achevés, elle salua.
« - Avant de partir, fais-nous le récit de cette étrange danse. »
La danseuse le regarda sans répondre.
A demi, elle écarta ses lèvres.
Les tonalités ombragées de souvenirs dissouts se baladaient.
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Ce que la langue une a uni
Nul ne peut le diviser
Il fit quelques pas vers la jeune femme et révéra son visage.
« - Quel est ton nom ? »
Sa gorge déplia de nouveaux vers.
C’était un temps où les hommes
La couleur ébène autour des coeurs
Conversaient avec les femmes
Parés de sourire et de perles
En force s’écoulait
« - Poétesse aux pieds nus donne-moi ton secret. »
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Aux confins du rivage
Là où les terres se gardent
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Le Prince se mit à danser.
Ses hanches fouettaient l’air et circonscrivaient l’espace de l’instant.
De nouveau, il regarda la toile.
Il regarda une fois.
Il regarda deux fois.
Et il tomba.
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Demesia
« Diriger sans attendre en retour.
Atteindre la gloire.
Fardeaux lourds sans promesse.
Un venin qui ne laisse aucune autre trace, sinon celle du désarroi, convoiter.
La fortune a déposé à mes pieds la bassesse qu’accompagne l’exercice d’un pouvoir cru.
J’ai pourtant toujours su.
La force est le seul guide.
Dignité d’un regard.
Soeur de justesse.
Tapie derrière le fiel fécondé par le parjure, elle se dérobait.
Une peine inutile est longtemps restée accrochée à cette vanité de l’endeuillée après
qu’Hacatar t’ait suivi.
La servilité à nos douleurs est l’une de nos plus étranges passions.
Ce veuvage interminable, je l’ai expié dans les bras de ces tendres fétus de peau. Ils ont
accueilli les perles de mes gênes et fécondé la blanche candeur que j’abandonnai pour cette
armure que tu vois gire ici.
Chaque besoin accueilli dans la couleur vivifiante d’un plaisir nu, abandonné à sa rêverie,
vécu enchanté sous la pulpe de doigts aux alliances mûres.
Une audience pour chacun, renouvelée, un cycle de lune durant.
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La caresse du regard d’Emran, sa main donnée avec douceur m’enroba un soir d’un
croissant blond tendu par deux servitudes de nuages lourds d’un orage à venir.
Les cérémonies organisées pour louer ma divinité ne ressemblaient en rien à ce que mon
corps avait reçu jusqu’alors. Il veilla la nuit durant, prépara chaque motif, dissimula chaque
détail.
Dessiner à même la terre le lit de l’étrangère.
Rehausser la beauté de mon visage.
Révéler la délicatesse de chaque trait, un à un, souligné d’un rai de jour ombragé par une
toile de soie maintenue entre deux piquets de bois sec.
Il n’eut d’autre choix.
Se mettre au service de ma force endolorie.
Servir un peuple désorienté par la disparition de l’empereur.
Les convives repus, je l’accueillis dans les appartements impériaux.
J’avais réveillé en lui le feu d’un amour sincère.
Le souffle.
Ses lèvres.
Sa poitrine en son centre.
Frappé.
Tout se livrait à la mince cascade de ses volontés suaves et murmurées.
Ses élans déliés enchantaient la mélodie de mes doigts déposés sur un visage à la mâchoire
creusée par le jeûne de ce mois lourd de chaque parole délivrée aux pieds des dieux.
Les harmoniques chauds du feutre de nos peaux l’un contre l’autre ânonnés, j’entrais dans
une conscience à demie, opâline démesure où les ombres s’accrochent en danses cascades.
Je m’engouffrais.
Supplices de nymphes et de sirènes.
Les premières léchant une main lourde de pailles souillées, les secondes cassant les os d’un
oiseau tout juste mort, une odeur lourde de chaire, la narine frémissante sous la pulsation
d’un coeur battant sa dernière mesure.
Les lèvres entr’ouvertes, une salve d’air.
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Je vis de nouveau son visage.
L’expression.
Plissée à l’union de l’accent de ses yeux.
Un trouble tout juste survenu.
« Parle.
Ces femmes qui t’ont mordu au visage, ces soeurs avides d’étancher leur peur dans la bauge
infecte où leurs mots se déversent dans les jarres souillées de leurs conventions stériles.
Dis-moi les replis de leurs blessures qu’elles ont cadenassées, livrées en pâture à leur vanité
suffocante. »
-°©‐ Tout est pardonné .
Je regardai le feu, me réchauffai les mains.
« Dis-moi la maîtrise en laquelle elles étouffent les hommes, les mouvements de leurs
hanches pour les garder autour de leurs ventres, la force du chantage et les ensorcellements
qu’elles intriguent dans l’alcôve de leurs ressentiments.»
Il prit ma main et embrassa le revers de la main.
La majesté et la grâce qui paraît ces dépôts n’avaient d’autre pareil que la beauté des chants
qu’il entama. Les harmoniques graves enchantaient chacune de ces notes tandis que sa
bouche caressait les syllabes.
Jusqu’au levé du jour.
La nuit mourut au petit matin.
Une horde de soldats fomentant une conspiration l’arrachèrent à mes voiles.
Assurer le règne du sang et des larmes.
55
Encore et toujours.
Du sourire d’Helior, je reçus la déflagration portée par la plume.
Son corps tuméfié par l’arrogance de ses précédents maîtres.
A même le dos, ils avaient incrusté la cruauté sourde de ce rituel où le sang danse avec
l’inconstance des éclats sauvages.
Les pages ont ceci de commun avec les poètes qu’ils laissent les anges leur souffler la
beauté cachée des mondes.
Ils ne se courbent pas devant la brutalité.
Au coeur du Connu, se laisse respirer.
Portée par la clameur de Philon, je reçus le don des prêtresses qui tissent leur force de
l’accueil des tirs et des cris libérés.
Cette nuit passée à ses côtés, l’opium ne sut accompagner l’onde du sommeil.
Cette nuit-ci, je demeurai aux portes des mondes.
Son lobe effleuré, l’océan s’ouvrit en mon bassin.
Des monstres marins affublés de tête de chiens fuyaient à travers un ban d’hippocampes
tandis que ma main s’engouffrait dans la moisissure d’un corail.
C’est au chant de ces mouvements souffreteux que je repris l’air.
Son étrange danse susurrait le bruit d’une annonce engoncée dans un fourreau de doutes.
« Es-tu déjà allée au pays de la folie où la sagesse millénaire se révèle à celles qui ont
l’audace échevelée de franchir leurs caps. »
Projetée dans les flots déchaînés.
Roches ombragées.
Il était temps pour moi.
Reconnaître.
56
Ce dernier m’apprit l’illusion des premiers temps de l’amour, sa nécessaire présence, la
sensation vibrante et éternelle qu’elle fécondait au jour d’amitié.
Devant le coffre de ma vie.
Les uns après les autres, chaque fard quittait ce front lourd.
La plus âgées des soeurs Ombrons m’accueillit, pointa une jarre, me demanda d’y déposer
bague et collier.
Elle retira mes sandales et me fit asseoir auprès d’une pierre affutée qu’elle me demanda de
caresser.
A mesure que mes doigts passaient et repassaient, mes mains se recouvraient de
grésillements.
Elle me convia à me lever.
Elle me montra le spectacle des cris des courtisans, la douleur, leur attente.
A travers ma peau, l’impératrice.
Leurs cris mués en gémissements.
La soeur me désigna une poupée dansant au gré de ces bruits martelés par les gorges
serrées.
« Telle est ta danse depuis les premières années de ton règne. Il est temps pour toi
d’apprendre la justesse. »
Elle me montra de nouveau les flaques et les brûlures d’un fantôme édenté, les crevasses
des jambes sous les corps de vieilles villageoises d’un pays inconnu.
« Telles sont les mouvements que tes hanches engendrent dans la cécité de leur berceau.
- Hacatar mort j’avais besoin d’écorces. »
Les épaules dévêtues de leurs noeuds.
Le mouvement de l’eau.
La poudre d’ambre.
57
Une libellule encerclée de taureaux vint se posa.
Sur mon front.
Je reçus quelques coups de sabots et rejoignis l’insecte volant.
« Chaque jour tu dresses tes geôles.»
Au visage, il me souffla la poudre.
« Calme toi douce impératrice, quand tu te retournes avec peur, c’est elle qui devient le
centre du mouvement. »
58
Revenue dans le premier cercle, la soeur m’enseigna les mouvements de l’humilité.
« - Est-il temps le temps du départ ? »
59
Nouvelle Aube
Treize heures venait de sonner. Il était temps pour Marc. Il était temps d'aller.
Il gara sa voiture le long d'une chaussée abritée du vent, défit sa ceinture et coupa le
contact.
Descendu de l’Autobianchi, il se dirigea vers le temple de la ville.
Une porte de métal.
Il entra dans l’édifice.
« Puis-je vous aide ?
- Oui, je cherche le pasteur.
- Vous l'avez trouvé. »
60
Table en formica.
Deux mazagrans, du sucre et de la chicorée.
« Je ne sais pas pourquoi je suis né.
Peut-être, simplement, ai-je été aimé trop fort et trop tôt ?
On a tort de croire que l’amour est une chance, c’est une condamnation lourde.
Ce que l’âge apporte à l’expérience, c’est la nécessité d’une conscience, la possibilité d’un
regard.
Ecorce batônnée.
Plus rien ne peut m’atteindre si ce n’est un amour sincère, détaché de toute convoitise, de
toute urgence, un amour qui s’offre sans réfléchir.
Un amour qui se donne sans mesure ni raison.
Un amour prêt à sourire. »
La pasteur l’invita à retirer sa veste.
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« Quelle étrange difficulté à voir ce commencement qui ne débute jamais.
Rien ne commence jamais.
Je me couche dans les ombres, je me laisse happer par des bras qui ne me cherchent pas.
Je finis par me croire coupable. Je m’accuse des troubles qu’elles ressentent. C’est moi,
c’est elles, je sais plus.
Je n’ai jamais su au fond.
- Peut-être ne faut-il pas savoir… »
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« - Notre pays me navre, notre continent me navre. Ses attitudes, ses prétentions de
conquêtes, ses vues qu’elles imposent. Hier au soir, j’ai quelque peu abusé d’une bière
blanche bien trop lourde pour mes espérances. Et le soir, au moment du coucher, voici ce
que j’ai pu voir à demi endormi. Une lyre m’invitait à danser dans le silence de sa vibration.
J’ai bougé l’épaule gauche l’épaule droite.Je me suis bercée dans les creux des
mouvements. A la fin, je ne voyais plus mes mains. Elles avaient été emmurées. Un
mamelon dodu m’est apparu. Je m’y suis engouffré. Il me susurra la cruauté de chacun.
Des visages aux joues enflées. Des crépitements de feux glauques. Des mots assénés par
une serpe rouillée.
Je tentais de dissimuler mon tourment en me cachant les yeux.
- D’où vous vient cette tristesse ?
- La vie est un miracle et elles ne le savent pas. Elles restent aux portes de leur vie et ne
cessent de s’aventurer vers le noeud de voeux prématurés.
- Que faites-vous dans la vie ?
- Je suis écrivain. Du moins, c’est ce que je crois. J’écris des histoires avec des mots.
- Quelle chance.
- Vous croyez ?
- Oui, c’est un beau métier que d’offrir des perspectives sur la vie.
- C’est que mes livres n’en proposent pas. Ils sont le réceptacle de mes doutes. J’y dépose
chaque souci. Tous, ils sont là. Je suis las. Et pourtant …
- Et pourtant ?
- J’aime une femme, une jeune femme. Mais …
- Mais …
- Je n’arrive pas à m’approcher. Cet amour me met au supplice. Moi qui ai coupé tout
espoir couchant dans mon premier écrit les âffres de l’amour, son vertige, ses simulacres de
présence et le renouvellement perpétuel de ces narcissismes creux et sans esprit … Tenez,
regardez ce que j’écris. »
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Cette vie amère est que noce de sang. Je suis un martyr. J’en construis le mythe brusque et bruyant. Mes
roues de voiture sont faites pour cet asphalte brun qui perce les monticules de terre. Je franchis les lignes
et attends qu’on m’arrête.
La pasteur éclata d’un rire généreux.
« - J’aimerai vous offrir l’espace de mes bras pour que vous puissiez pleurer. »
Il s’exécuta en se blottissant contre elle.
« - Je n’ai plus une minute à moi. Je sais qu’un jour, il faudra me confronter à autre chose
que cette fuite. J ‘ai du mal à vivre. Dites-moi simplement comment faire et quel regard
poser sur ce qui nous unit pour réunir tous ces morceaux qui nous découpent et me
manquent. J’ai du mal à vivre. J’ai peur d’aimer. J’ai peur de promettre.
Elle m’a envoyé une lettre, regardez. »
64
Chaque je t’aime que - - tu découpes en mon coeur.
Ma vie durant, j’ai attendu cet amour.
Tu entres dans ma vie comme la promesse d’une aube nouvelle.
Tous ces autres m’ont mené à toi.
Il y a quelques chose d’une volupté triste de l’attente chez l’amoureux qui, non encore assuré du retour de
sa vibration, tisse le motif d’espérer son retour et annule dans le même temps son possible don.
Ce doute inquiet s’instille à la manière d’un filet d’eau ou bien encore il est opération de fermentation de
levures qui donnent le goût et le parfum du breuvage que l’amoureux prépare au coeur de l’ attente.
Tu n’as pas compris, je le crois.
Ce n'est pas mon envie de toi encore moins l'attente de former un monceau de parentalité qui m'a fait me
frayer un chemin à travers la peur, mais, plus certainement la demande que tu prennes ma main et que
tu déposes ta paume sur ma joue, que tu te laisses aller à ta tendresse et que tu loges depuis le velours de
tes lèvres un baiser.
Laissons mûrir l'absence de l'attente .
Il n'y a plus une seule illusion qui en mon coeur ne puisse trouver refuge.
Ce soir d'été m'appelle à vouloir te combler, à m'occuper du plus petit détail pour que ton confort soit
serviteur de quiétude.
65
« - Voici ce que j’ai répondu. Je n’ose pas lui envoyer. »
Après tant de délices couchés devant mes yeux, je te demanderai de garder le silence, de ne pas t’approcher.
Simplement de garder. Chercher encore et enfin rester sans ombres. Celles qui s’abattent sur moi depuis
si longtemps me jurent que je ne suis pas celui que je prétends être, que ma vie reste couchée au pied de cet
autel où j’ai sacrifié tant de perles. Les bêtises, leurs turpitudes et la confusion de mes blocages ingénus,
je dois les accueillir pour laisser place à autre chose dans ma vie. Je la partagerai avec toi dès que j’y
verrai plus clair. Sois assurée que je t’aime. Je t’aime petite fée aux doigts jolis. A bientôt, je l’espère.
« - Rentrez chez vous et prenez un bain. Déposez quelques clous de girofle, une pincée de
sel et une cuillère de miel. Faufilez-vous dans ce bain et laissez vos pensées aller. Vous
joindrez vos deux doigts l’un à l’autre en les posant à l’endroit de votre coeur. »
Il quitta la pasteur et le temple.
66
Arrivé dans sa chambre d’hôtel, il quitta chacun de ses vêtements, ouvrit le robinet.
Il s’allongea dans l’eau et déplia ses jambes. Il inspira profondément et sentit la chaleur
fumer de ses narines. Ses paupières se fermèrent et il laissa les images vagabondées.
Celle qui habitait l’espace de ses pensées les plus amoureuses lui apparut.
« - J’ai besoin de vous, je veux connaître le monde, je veux connaître les mondes.
- C’est par ici mademoiselle, je vous ouvre la voie lactée. Pouvez vous prendre un peu de
temps pour m’aimer ?
- Avec plaisir. »
Dans le même temps qu’il ouvrait le rideau pour distinguer les étoiles, son ancienne
compagne lui apparut sous la forme d’un chat apeuré :
« - C’est donc elle que tu as choisi.
- Oui, elle a besoin de moi, et moi, je l’aime, ça me suffit.
- Fonce, tu as trouvé ton étoile. »
La jeune femme revint à lui.
« - J’ai envie de partir loin avec vous : au pays de l’enfance où mes joueurs préférés
inscrivaient trois buts par match : le tarif maison ; quand mon grand-père me fourrait les
poches de bonbon m’empêchant d’avoir faim le soir venu. Il y a cet élan qui me donne envie
de tirer la langue à la voisine et de mettre un pétard dans la gamelle du chat pour voir si
c’est drôle. Et demain ça recommencerai encore, des croûtes plein les bras, les genoux
écorchés. Il n’y aurait plus de place pour la nuit.
Les super héros seraient toujours sur la route et nous avec. Il n’y aurait plus de frontière,
plus de limite, juste vous et moi à la tombée du jour et jusqu’au bout de la nuit. Ca ne
s’arrêterait jamais. Tous les jours, ça recommencerait et l’espace serait découpé par la
vibration du moment, la réverbération de l’instant et jamais, jamais, jamais plus il n’y aurait
de distance entre l’espace et le temps, jamais plus que l’instant et aussi … »
Il revint à lui, s’aspergea d’eau et sortit du bain.
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Ses muscles noués s’étaient détendus, son souffle se déployait.
Il regarda son visage dans le miroir.
Le visage d’Eden.
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noespensaressentir · 4 years
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Y que se puede hacer un lunes por la tarde en Abidjan?
Esa es la pregunta que de repente, aparece en nuestra cabeza ,tras esa mañana ajetreada con un abogado preguntándole por el primer paso. Estamos seguros que a vosotros os hubiera pasado igual!! Después de una nueva comida (que afortunados somos de poder comer tres veces al día!!) decidimos que íbamos a disfrutar de otra forma, era un día un tanto especial, como para seguir acumulando más sensaciones de alta intensidad que nos dispersaran la atención y aprovechando la tormenta que cayó a primera hora de la tarde y la notificación de que no teníamos entrenamiento, pudimos quedarnos en el apartamento, compartiendo momentos mágicos con ese maestro de la vida, que había aparecido en nuestro camino. Todo se alineó para que pudiéramos disfrutar de una forma recíproca de nuestras energías y de todo lo que eso nos hacía sentir a los tres. Estábamos comenzando a crear un vínculo invisible, del cual nadie hablaba, pero los tres sentimos... comenzamos a comunicarnos con el auténtico lenguaje del ser humano, en el que  las palabras sobran y los malos entendidos no existen donde el abrazo y las miradas se escriben  con mayúscula, el lenguaje que te permite ver con tus ojos, el color real de las almas de las personas.
Porque claro!! Es complejo  intentar entender en inglés, francés y castellano, pero cuando se habla, con el lenguaje ancestral de la energía... no hay nada que se ponga por delante. Solo las cosas sin importancia, como chaqueta, pan, frío, coche, necesitan eso, convertirse en “palabra” para ser entendido. A nosotros nos sobraban todas! Jajaja!!! Eso fue lo que nos pasó a los tres, porque intentámos hablar todo el tiempo desde el corazón y ese lenguaje es universal, da igual el país, el color de la piel, las distancias…
Que gran rato compartir con alguien que no ha tenido nada y a la vez te lo da todo. Qué gran aprendizaje!! Esas horas de diálogo con miradas, dándonos las manos,  gestos nacidos desde lo más profundo del ser,con un agradecimiento intenso, que sientes que emerge desde lo más hondo y puro...La magia de ese pequeño...él no había tenido tiempo de olvidar lo auténtico del ser humano, lo que nos hace verdaderamente grandes... él conservaba intactas sus vibraciones primordiales y así se comunicó con nosotros... de verdad... pura magia!!Nos estremecimos compartiendo sensaciones y emociones... sencillamente inexplicable!!
Pero… la tarde era larga, la lluvia cesó tras una gran tormenta y nos encontramos con un ejemplo más de ilusión y pasión!!!
Cuando vamos a entrenar….? En cuanto terminó esa frase el pequeño, ya nos habíamos cambiado de ropa para emprender uno de esos días donde estás entre nervioso y con una sonrisa eterna, porque vas a vivir una experiencia más  de las inolvidables, que llevábamos acumuladas. Nunca podremos olvidar su cara de felicidad durante ese entrenamiento y esa satisfacción de compartir algo tan simple como una carrera o unos ejercicios. Que fácil es poder hacer feliz a las personas cuando realmente lo que se quiere es ser feliz.
Como todo entrenamiento, tiene su calentamiento, parte principal y su vuelta a la calma. Y este entrenamiento no fue menos en ese sentido. Nuestra carrera continua un ratito, nuestros ejercicios como parte principal y la vuelta a la calma en un medio no natural para un pequeño de Abidjan. Terminamos en la piscina? Si, podemos terminar en la piscina.
Os podéis imaginar nuestra cara de alegría cuando íbamos camino de la pequeña piscina que tenía el apartahotel. Pero lo mejor estaba por llegar. Ducha antes de entrar al agua, bajar por las escaleras para evitar el contraste por si acaso y esperar a que ese pequeño hiciera lo mismo. Evidentemente ese pequeño hizo lo mismo, pero nunca nos dijo que no sabía nadar!!😅😅Él, nos quería agradar en todo y su ilusión era mayor que su miedo, así que apartó el miedo a un lado y saltó como un león al agua!!
Lógicamente era la primera vez que se bañaba en una piscina, no sabía nadar!!! pero como un campeón terminó cruzando la piscina con nosotros para cumplir con su ilusión. Dónde está el limite? Que es el miedo?… Una nueva lección de ese pequeño que hizo que esa lluviosa tarde de lunes que nos suspenden el entrenamiento del equipo, fuese mágica.
Gracias pequeño.
Namaste.🌸🙏🏻
Eli y Antonio.
And what can be done on a Monday afternoon in Abidjan?
That is the question that suddenly appears in our heads, after that busy morning with a lawyer asking about the first step. We are sure that the same would have happened to you !! After a new meal (how lucky we are to be able to eat three times a day !!) we decided that we were going to enjoy it in another way, it was a somewhat special day, so as to continue accumulating more high intensity sensations that would disperse our attention Taking advantage of the storm that fell in the early afternoon and the notification that we had no training, we were able to stay in the apartment, sharing magical moments with that master of life, who had appeared on our way. Everything was aligned so that we could reciprocally enjoy our energies and everything that made all three of us feel. We were beginning to create an invisible bond, of which no one spoke, but the three of us felt ... we began to communicate with the authentic language of the human being, in which words are not enough and misunderstandings do not exist where hug and gaze meet capitalized, the language that allows you to see with your eyes, the real color of people's souls.
Because of course! It is complex to try to understand in English, French and Spanish, but when you speak, with the ancient language of energy ... there is nothing that stands before you. Only unimportant things, like a jacket, bread, cold, car, need that, to become a "word" to be understood. We all had plenty! Hahaha!!! That was what happened to the three of us, because we tried to speak all the time from the heart and that language is universal, no matter the country, the color of the skin, the distances ...
What a great time to share with someone who has had nothing and at the same time gives you everything. What a great learning !! Those hours of dialogue with glances, giving us hands, gestures born from the depths of being, with intense gratitude, that you feel emerges from the depths and purest ... The magic of that little one ... he had not had time to forget the authenticity of the human being, which makes us truly great ... he kept his primordial vibrations intact and thus communicated with us ... really ... pure magic !! We shuddered sharing sensations and emotions .. simply inexplicable !!
But ... the afternoon was long, the rain stopped after a great storm and we found another example of enthusiasm and passion !!!
When are we going to train…? As soon as the little one finished that sentence, we had already changed our clothes to start one of those days where you are nervous and with an eternal smile, because you are going to live one more unforgettable experience, which we had accumulated. We can never forget his happy face during that training and that satisfaction of sharing something as simple as a race or some exercises. How easy it is to be able to make people happy when what you really want is to be happy.
Like all training, it has its warm-up, main part and its return to calm. And this training was no less in that sense. Our career continues for a little while, our exercises as the main part and the return to calm in an unnatural environment for a child from Abidjan. We ended up in the pool? Yes, we can end up in the pool.
You can imagine our happy face when we were on our way to the small pool that the aparthotel had. But the best was yet to come. Shower before entering the water, go down the stairs to avoid the contrast just in case and wait for that little one to do the same. Obviously that little boy did the same, but he never told us that he didn't know how to swim !! He wanted us to please us in everything and his illusion was greater than his fear, so he put fear aside and jumped like a lion into the water !!
Logically it was the first time that he bathed in a pool, he did not know how to swim !!! but like a champion he ended up crossing the pool with us to fulfill his illusion. Where is the limit? What is fear? ... A new lesson from that little one that made that rainy Monday afternoon that we suspended the team training, be magical.
Thank you little one.
Namaste.🌸🙏🏻
Eli and Antonio.
Et que peut-on faire un lundi après-midi à Abidjan?
Telle est la question qui surgit soudainement dans nos têtes, après cette matinée bien remplie avec un avocat qui pose des questions sur la première étape. Nous sommes sûrs que la même chose vous serait arrivée !! Après un nouveau repas (quelle chance nous avons de pouvoir manger trois fois par jour !!) nous avons décidé que nous allions l'apprécier d'une autre manière, c'était une journée un peu spéciale, afin de continuer à accumuler des sensations plus intenses qui disperseraient notre attention et Profitant de la tempête qui est tombée en début d'après-midi et de la notification que nous n'avions pas de formation, nous avons pu rester dans l'appartement, partageant des moments magiques avec ce maître de la vie, apparu sur notre chemin. Tout était aligné pour que nous puissions profiter réciproquement de nos énergies et de tout ce qui nous faisait ressentir tous les trois. Nous commençons à créer un lien invisible, dont personne ne parle, mais que nous ressentons tous les trois ... nous avons commencé à communiquer avec le langage authentique de l'être humain, dans lequel les mots ne suffisent pas et les malentendus n'existent pas là où se rencontrent étreinte et regards. en majuscules, la langue qui vous permet de voir avec vos yeux, la vraie couleur de l'âme des gens.
Parce que bien sûr! C'est complexe d'essayer de comprendre en anglais, en français et en espagnol, mais quand on parle, avec l'ancienne langue de l'énergie ... il n'y a rien qui se tient devant vous. Seules des choses sans importance, comme une veste, du pain, du froid, une voiture, en ont besoin pour devenir un «mot» à comprendre. Nous en avons tous eu plein! Hahaha!!! C'est ce qui est arrivé à nous trois, car nous avons essayé de parler tout le temps avec le cœur et cette langue est universelle, peu importe le pays, la couleur de la peau, les distances ...
Quel bon moment à partager avec quelqu'un qui n'a rien eu et en même temps vous donne tout. Quel bel apprentissage !! Ces heures de dialogue avec des regards, nous donnant des mains, des gestes nés des profondeurs de l'être, avec une profonde gratitude, que l'on ressent émerge des profondeurs et des plus purs ... La magie de ce petit ... il n'avait pas eu le temps d'oublier l'authenticité de l'être humain, ce qui nous rend vraiment grands ... il a gardé intactes ses vibrations primordiales et ainsi il a communiqué avec nous ... vraiment ... de la magie pure !! Nous avons frissonné de partage de sensations et d'émotions .. tout simplement inexplicable !!
Mais ... l'après-midi a été long, la pluie s'est arrêtée après une grosse tempête et nous avons trouvé un autre exemple d'enthousiasme et de passion !!!
Quand allons-nous nous entraîner…? Dès que le petit a terminé cette phrase, nous avions déjà changé nos vêtements pour commencer un de ces jours où vous êtes nerveux et avec un sourire éternel, car vous allez vivre une expérience de plus des inoubliables, que nous avions accumulées. On n'oubliera jamais son visage joyeux lors de cet entraînement et cette satisfaction de partager quelque chose d'aussi simple qu'une course ou des exercices. Comme il est facile de rendre les gens heureux alors que vous voulez vraiment être heureux.
Comme tout entraînement, il a son échauffement, sa partie principale et son retour au calme. Et cette formation n'était pas moins dans ce sens. Notre carrière continue pendant un petit moment, nos exercices comme partie principale et le retour au calme dans un environnement contre nature pour un enfant d'Abidjan. Nous nous sommes retrouvés dans la piscine? Oui, on peut se retrouver dans la piscine.
Vous pouvez imaginer notre visage heureux lorsque nous étions sur le chemin de la petite piscine de l'appart'hôtel. Mais le meilleur reste à venir. Prenez une douche avant d'entrer dans l'eau, descendez les escaliers pour éviter le contraste au cas où et attendez que ce petit fasse de même. Évidemment, ce petit garçon a fait la même chose, mais il ne nous a jamais dit qu'il ne savait pas nager !! Il voulait que nous nous plaisions en tout et son illusion était plus grande que sa peur, alors il a mis la peur de côté et a sauté comme un lion dans l'eau !!
Logiquement c'était la première fois qu'il se baignait dans une piscine, il ne savait pas nager !!! mais comme un champion, il a fini par traverser la piscine avec nous pour réaliser son illusion. Où est la limite? Qu'est-ce que la peur? ... Une nouvelle leçon de ce petit qui a rendu ce lundi après-midi pluvieux où nous avons suspendu l'entraînement en équipe, soit magique.
Merci petit.
Namaste.🌸🙏🏻
Eli et Antonio.
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franckdoutrery · 5 years
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Quand les mots se figent
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En Inde trouve-t-on des cochons d’Inde ? En Allemagne tous les bergers sont-ils des bergers allemands ? En Angleterre les clés sont-elles toutes des clés anglaises ? Difficiles questions, que le linguiste traite au chapitre des composés idiomatiques ou des expressions figées. Il s’agit là de groupes de mots dont le sens total ne se laisse pas (ou difficilement) déduire des parties qui les composent. C’est ainsi que, sans autre explication, on ne saurait aller de l’expression avoir maille à partir à « avoir un désaccord, un différend ». Il y faut toute une recherche historique pour identifier cette maille, non comme un point de tricot, mais comme une petite pièce de monnaie médiévale, une mitraille, qu’il était impossible de partir (au sens de départir, partager, morceler), si bien qu’il restait toujours un trop peu, une dette ou une trace de litige entre les deux parties.
Mais revenons à nos moutons ! Ou plutôt à nos cochons ! Ceux appelés cochons d’Inde ont ceci de particulier, que ce ne sont ni des cochons ni une variété indienne de la race porcine. Leur nom est indirectement dû à une erreur de Christophe Colomb. On sait qu’en accostant en Amérique, le navigateur génois pensait découvrir l’Inde. Les conquistadors espagnols, qui voguèrent dans son sillage, ramenèrent en Europe un petit rongeur qu’ils appelèrent conejilo de indias, littéralement petit cochon (ou porcelet, cochonnet) des Indes. On voit par là que prendre à la lettre une expression figée peut vous mettre en flagrante contradiction avec le classement zoologique le mieux établi.
Mais le vrai cochon, me direz-vous, le porc bien de chez nous, en trouve-t-on en Inde ? Sachant que l’Hindou est végétarien depuis cinq mille ans et que, depuis l’introduction de l’islam par la dynastie moghole (1526), la consommation de porc est vue comme l’abomination des abominations, on aura compris que la cochonnaille n’y est pas en odeur de sainteté. Par contre, la vache l’est. C’est l’incarnation de la déesse mère Dévi. Elle est non seulement protégée de l’abattage, mais elle se promène en toute liberté. Elle court les rues. Elle tient même le haut du pavé. Avec une nonchalance de déesse mère.
Un animal dont le nom n’est peut-être pas une expression figée, c’est le tigre de Bengale. Encore que, d’une part, cette province très étendue se trouve de nos jours à cheval sur l’Inde et le Bengladesh. Et de l’autre, son tigre est un vrai tigre, pas un tigre de papier, comme Mao appelait l’impérialisme américain. Mais il est d’une espèce menacée. Et comme il est menacé, il se fait menaçant. Carnivore invétéré, il se nourrit de singes, de buffles d’eau et de sangliers. Parfois il jette son dévolu sur une vache sacrée. Ce qui prouve que son éducation religieuse laisse à désirer. D’autres fois, il arrondit son ordinaire avec un morceau d’Hindou en méditation ou d’un fakir couché sur son lit à clous. On comprend donc pourquoi le Bengali ne déborde pas d’affection pour son tigre. Ce dernier le lui rend bien. Car il n’a peur de rien. Sauf du feu. En particulier du feu de Bengale. Voilà un autre composé idiomatique qui mérite une explication. Car ce genre de feu se produit aussi ailleurs que dans cette contrée reculée. Des sources anciennes indiquent que la poudre, inventée par les Chinois, a transité par là et que les Bengalis s’en sont servis, non pour fêter le 14 juillet ou le Nouvel an, mais pour effaroucher et faire déguerpir leurs ennemis. Et le tigre faisant partie de ces derniers, on devine que le contentieux entre l’animal au pelage strié et les Bengalis n’est pas près de s’apaiser.
Pour se rendre compte qu’une expression idiomatique a été forgée – conçue et imaginée – dans l’idiome spécifique dont elle relève, il suffit parfois de chercher à en exprimer le sens dans une autre langue. On constate alors que la traduction mot à mot échoue la plupart du temps. Ainsi une clé anglaise (la fameuse clé à molette) ne devient pas en anglais une English key mais un adjustable wrench ou spanner. Et par un curieux retour des choses, l’expression filer à l’anglaise se dit en anglais to take French leave (prendre congé à la française), preuve s’il en fallait que nombre d’expressions figées portent en creux les traces d’un stéréotype. 
Enfants, nous allions à la messe de sept heures, et même quand en hiver elle avait lieu à sept heures et demie, voire à huit heures, on maintenait l’expression telle quelle. De même, on emportait à l’école notre quatre-heures, en fait le goûter qu’on avalait à la récré ou plus tard. Ainsi encore, le tableau noir de la classe était d’un vert foncé, le pain français était de pure origine belge et quand on mangeait du fromage de tête, on savait bien que ce n’était pas du Brie ou du Camembert. On s’en coupait une bonne tranche, on se régalait, mais on n’en faisait pas tout un fromage.
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pigfarts23 · 7 years
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Probably sound like a madman, but hear me out
Each character’s song represents them, through and through. (I’m just doing the 6 from the GPF because know most about them (except maybe Otabek but like ... we don’t know much about him #littlescreentime)
How? Well  (TIME FOR SOME PROOOOOF)
This got hella long.  TL;DR: the YOI creators knew where they were going with their characterizations and managed to convey this through each of the program’s music
Details under the cut.
Viktor’s First skate: Stammi Vicino
We first are introduced to this character with a self assured “Commemorative photo?” after he comments on Yuri’s program at the GPF. But his first skate we see actually gives us a deeper insight into who he was at the beginning of the series.
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I mean, this doesn’t scream “I’M SO PUMPED BECAUSE I KNOW I’M GONNA WIN” this is like “wow i’m all alone this kinda sucks”.
At this point, we have concluded he was lonely, what with all the meta on how empty and cold his apartment looks; there’s no personal effects, and it was noted that he was able to pack up everything in about a week. 
Yuuri’s SP: On Love: Eros
Now I know all of you are like: wtf?
But hear me out. After the events of ep 10, we know that Yuuri has this locked up personality that he lets loose for people he’s close to, when he’s on the ice, or when he’s incredibly drunk (Kids don’t drink 16 glasses of champagne. The outcome is bad; if you don’t have alcohol tolerance you’ll barf your guts out before passing out or if you do you’ll end up pole dancing and not remember the night at all THIS HAS BEEN A PSA). 
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(side note: DAYYYUM SON)
Celestino, as a coach, has picked songs he feels like Yuuri would skate to, which means they were probably very much like Yuuri himself; reserved, quiet, witty, determined, etc. All of this eros is held back by an incredibly vulnerable Yuuri who wants to get through life while rocking the boat as little as possible. So the fact that Viktor comes along and says “Ah yes you’re skating to this.” he was like wtf. But this is truly him and everything he wishes he could be - confident, sexy, someone who is equal to Viktor in every way.  
(That’s my theory on why he was insistent he make Yuri on Ice equal difficulty to Viktor’s program)
Yuri’s FP -  Yuri On Ice 
OK 
So.
As said by the commentators, this song was used by Yuuri to express the different types of loves he feels. As you watch, he mentions all the feelings etc. etc.
But - Love. 
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Yuuri has finally gotten love. It’s why the FP was record breaking. He’s gone and he’s fallen in all sorts of love with everyone. Don’t get me wrong - I’m not saying he’s just discovered love. He’s loved his family and friends and we get to see that in all the interactions he has with them, which is wonderful. But he finally realises that they love him as much as he loves them. Which makes him fill with more love and determination.
Not only that, but this piece is kinda.... a walk down memory lane. He’s gotten someone to capture his career, and if you listen to the music, it tells you exactly where he was dragged down and how he was able to rebuild himself and become even stronger. This song is Yuuri summed up in 3 minutes. You listen to that, and you know exactly who he is.
Yuri’s SP - On Love: Agape
Yuri is innocent and pure and for some reason, his Russian team (and the Hero of Kazakhstan along with Japan’s top figure skater) all love him.
Ahem. 
There’s no other way to put this. Yea ok he’s angry and yells and likes to threaten people (I mean.. same), but he’s very much like a kitten - he can really do no harm. 
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(He’s got nicer hair than I do (also look at how innocent he looks)).
But Yuri is very innocent. He’s only 15 years old, and sure, he’s travelled the world. But he hasn’t seen much of the real world. His entire life is figure skating. He eats, breathes, and sleeps it. So he lives in what essentially can be considered a bubble. 
To the real world - he’s an innocent bean (it’s probably why they call him the Russian Fairy). And I think that he knows this, which is why he postures so much; all that anger and aggression keeps people away, like it kept Yuuri away at first, so that no one knows how young he really is (even though they say his age at every skating event).
Yuri’s FS - Allegro Appassionato in B Minor (RIP pianist)
To start, I’m going to translate this name (I don’t speak Italian, but I have studied music for the last 16 years AND I did ballet for 10 years, so I do know what these terms mean). 
Allegro - the musical definition is bright, quickly, lively. However! In ballet, the term is the same, but it is applied to airborne movements (side note I just rewatched his ep 12 skate trying to get a good photo and he actually adds in a quad! So he’s airborne! ish!)
Appassionato - passionately; play with passion.
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(if this doesn’t scream PASSION i don’t know what does)
But Yuri is passionate. He’ll fight for what he believes in, as commented on by Otabek’s monologue (”Yuri Plisetsky had the eyes of a soldier”) and, I’ll bet someone dinner at a place of my choosing, he’ll fight for anyone he accepts into his family. This boy just has so much passion for figure skating (and cats. Definitely loves cats.) that it’s absolutely incredible - it’s something that can’t be contained and yes, he has to work for it, but with that passion, drive and determination he has, this song is essentially all him. 
Phichit’s SP - Shall We Skate?
This pure bean.
Honestly, just listening to the music, you get a sense of who Phichit as a person really is. He’s upbeat, enthusiastic, (JUST LIKE THE MUSIC!!) and overall he just seems like the type of person who can just make you smile purely by existing.
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He’s encouraging and supportive and I think he was skating as the Skater, because the lyrics tell us the King was trying to learn to skate. The skater, much like Phichit, is showing the King how to skate, and basically being the best cheerleader in the world as the King skates.
Yuuri and him were roommates in Detroit; Phichit would have been incredibly supportive and encouraging because he’s the Purest Cinnamon Roll Ever.
He’s just so fucking supportive idk what else to say ok.
Phichit’s FS - Terra Incognita
So this piece is also upbeat and features a relatively happy overall mood. It’s somewhat inspired by South East Asian music (I’m not sure what part of South East Asia, but I feel that Indian vibe to it) which I really enjoyed.
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But again, this just summarises the picture we’re given of Phichit. Granted this is all painted from Yuuri’s POV, who is literally the most unreliable narrator. But that one bit we got from Viktor regarding Phichit shows that Viktor actually is in agreement with Yuuri’s ideas.
So from that, we can conclude that Phichit is incredibly supportive and loving, not just to his friends, but to people who his friends love as well.
Chris’ SP- Intoxicated
So the first opening bit reminded me of Marvin Gaye’s Let’s Get It On. But once I got over that, this song is sexy, and sauve, just as we all know (and love) Chris to be.
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This piece kinda .. flows, for lack of a better word. To be honest, listening to this song when I’m not looking at this dork’s face (or butt) makes me think of those scenes where the dude emerges from the water, and we get a slow close up of a drop of sweat falling down his chest or smth.
This song, at the very essence, is exactly who Chris is. He’s confident, mature, and just oozing sexual pleasure. It’s a nice contrast to Yuuri’s Eros, which wasn’t as sophisticated as this one is. This is essentially pleasure after pleasure, all done so well and controlled, all to ensure that the partner (in this case, the audience) is getting as much pleasure out of it as possible.
And not only that - we know Chris actually wears glasses, but it doesn’t appear he wears them in public, which means there’s a vulnerable part of him that he doesn’t want the world to know, so he shows his sexual appealing side and keeps his vulnerable side for his super close friends and fam.
Chris’ FS - Rapsodie Espagnole 
So as anyone can tell you, Spanish songs are full of passion. This one is no different.
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As is this man. God the passion this man has... incredible.
Chris is a man extremely comfortable with his sexuality, and he’s very comfortable and confident with who he is.
That’s all I can add on for him because we don’t get much of Yuuri’s thoughts re: Chris to be able to see another side of him apart from the super comfortable with his sexuality version.
AND FINALLY: (I’m not doing Otabek I can’t do him justice if someone else wants to analyse his music (he was the only one who didn’t get original music (BEETHOVEN ASSHOLES) for both his free skates)) 
JJ’s SP - Theme of King JJ  (his song is hella freaking catchy)
Right of the bat, in both the song and the anime, we’re introduced to JJ as a man who’s exceptionally arrogant. He sees himself as someone who essentially rules figure skating.
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And it’s interesting that we get a bit of that feeling as well from Yuuri.
This song and JJ are both incredibly arrogant - his song (presumably sung and written by him) talks about how amazing he is, and how no one can catch them. He taunts people, saying “Catch me if you can” and that’s exactly what he does to Yuri at the Skate Canada medal ceremony. “I look forward to climbing the podium again with you in Russia.”
He’s loud, brash, and an incredible show off, which is exactly what this song shows.
(I didn’t have to look up any of these quotes o hm ygod why am I JJ trash it must be Canada Pride)
JJ’s FS - Partizan Hope
So this piece is completely different from the last one. It starts off differently slowly and with just a piano.
The feel is completely different. To be honest, I get the shot of a person triumphantly crossing the finish line of a race in slow mo while this plays in the background.
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The feeling of how he skates is completely different as well. It’s more triumphant, less arrogant.
Confident. JJ is a confident person, something the music reflects earnestly. And he knows he’s going to win, so he just skates for the fun of it. He’s not taken no for an answer, and because of that, he’s built up quite the character of fighting for he wants just by being loud, brash and opinionated (something that will get you strange looks on a Canadian bus, fun fact).
This confidence is hidden behind his outgoing self, which you can hear very clearly in this piece (probably why they put it second, because the ISU regulations RE: times would make sense for them to reverse this order of pieces).
“Ok, so I read all that. You’re right. What’s your point?”
Wow thanks for asking that! 
This is my point. 
Viktor’s second skate: Duet - Stay Close to Me
This is an absolutely incredible transformation - we know the songs of the characters represent who they really are. As a result, not really seeing Viktor skate competitions and then suddenly see him skate this, a song filled with so much hope and love (I was actually crying when this aired because the emotions were too much in this piece); the loneliness of the violins has been replaced with happiness, hopefulness and love.
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All because of our dear Yuuri.
And I think that this is one of my favourite character growths in a tv series - Viktor, growing and changing not for love.
Instead, he changes because of it.
And I think that’s beautiful.
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universallyladybear · 4 years
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mlle-nietzsche · 4 years
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I managed to lost an eye since he unintentionally kicked me in the head and the first month together was quite rough but hell, we are going to rock that 🤘🏻
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aucoeurdeschevaux · 5 years
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Le Calabrais, un cheval aux caractéristiques orientales
Le Calabrais, habituellement désignée par son nom italien « Calabrese », est originaire du sud de l'Italie dans la région de la Calabre . Son histoire remonte aux Aryens qui ont été parmi les premiers peuples à domestiquer le cheval et qui sont venus avec leur monture, dans ce qui est maintenant l'Italie, sans doute quelques milliers d'années avant notre ère.
Lorsque les Gaulois celtes envahirent l'Italie, le nord du pays était peuplé d'énergiques et robustes chevaux de type nordique, tandis que dans le sud du pays on y voyait des chevaux plus petits, plus élégants et plus rapides. La Calabre  en particulier était le lieu de naissance d'un cheval aux caractéristiques orientales.
Les événements historiques de la Calabre  au cours des siècles suivants ont influencé la reproduction des chevaux de diverses manières. Le Calabrais a été croisé avec des chevaux des provinces occupées par les Romains, notamment ceux de la Gaule et de l'Allemagne, mais le résultat, même s'il fut plus robuste, fut moins rapide. Sous le règne de l'empire romain, le système d'élevage s'est effondré, y compris celui de Calabre . La cause de la décadence était la négligence de l'agriculture par les Romains, car ils étaient déjà passés à l'étape la plus importante du pouvoir militaire et de la domination mondiale. Dans le même temps, il leur était facile de fournir et d'augmenter le nombre de chevaux dans les diverses régions de leur immense territoire afin de répondre aux besoins tant publics que privés.
Après la chute de l'empire romain, qui a eu lieu en 476, l'élevage de chevaux en Italie a connu une période de prospérité. Avec l'invasion des Lombards, des chevaux germaniques sont arrivés dans le pays et ont trouvé leur chemin en Calabre , s'adaptant bien à la population de chevaux qui existait déjà dans la région. C'est avec l'invasion des Sarrazins, vers 900, qui l'on donna la priorité à la production de chevaux en Calabre , revitalisé par l'afflux de sang d'Arabe.
Avec le déclin de la féodalité, des communes ont été établies et l'élevage de chevaux a continué de prospérer en raison de l'importance des cavaleries militaires. Vers 1200 de nouveaux chevaux orientaux arrivèrent en Calabre  et dans le sud de l'Italie. Pendant ce temps, au nord, l'importation du Pure Race Espagnol (Andalou) a commencé et a été emmené en Calabre  pour produire des chevaux plus gros et plus forts capables de porter la nouvelle armure, qui était plus lourde, des chevaliers de l'époque. L'importation en Italie d'étalons Andalous a continué de la fin du XIIIème siècle au milieu du XVème siècle.
Mais au début des années 1700, il y eu une diminution de l'élevage de chevaux en Calabre , à qui ont préféra les mules qui étaient mieux adaptées aux régions montagneuses et aux conditions de voyage qui étaient particulièrement difficiles.
En 1742, un lieu d'élevage de chevaux fut créé dans la province de Salerne , entre les rivières Sele et Calore, où des chevaux ont recommencé à être produit au moyen de croisements entre le Pure Race Espagnol et l'Arabe. Dans les années 1900, il est à nouveau croisé, mais cette fois-ci avec le Pur Sang Anglais, l'Arabe, le Pure Race Espagnol et le Hackney, ce qui a eu pour résultat d'augmenter sa taille et de lui donner un type oriental.
Autrefois très populaire, le Calabrais, même si il est de nos jours plus « confidentiel », reste très apprécié des connaisseurs.
Calabria, a horse with oriental characteristics
Calabria, usually referred to by its Italian name « Calabrese », is native to southern Italy in the region of Calabria. Its history goes back to the Aryans who were among the first peoples to domesticate the horse and who came with their horses, in what is now Italy, probably a few thousand years before our era.
When the Celtic Gauls invaded Italy, the north of the country was full of energetic and robust Nordic-style horses, while in the south of the country there were smaller, more elegant and faster horses. Calabria in particular was the birthplace of a horse with oriental characteristics.
The historical events of Calabria over the following centuries influenced the breeding of horses in various ways. The Calabrian was crossed with horses of the provinces occupied by the Romans, notably those of Gaul and Germany, but the result, even if it was more robust, was slower. Under the reign of the Roman Empire, the farming system collapsed, including that of Calabria. The cause of the decadence was the neglect of agriculture by the Romans, as they had already passed the most important stage of military power and world domination. At the same time, it was easy for them to provide and increase the number of horses in the various regions of their vast territory to meet both public and private needs.
After the fall of the Roman Empire, which took place in 476, horse breeding in Italy experienced a period of prosperity. With the invasion of the Lombards, Germanic horses arrived in the country and found their way to Calabria, adapting well to the horse population that already existed in the region. It was with the invasion of Sarrazins, around 900, that it gave priority to the production of horses in Calabria, revitalized by the influx of Arab blood.
With the decline of feudalism, townships were established and horse breeding continued to flourish due to the importance of military cavalry. Around 1200 new oriental horses arrived in Calabria and southern Italy. Meanwhile, to the north, the import of the Spanish Purebred (Andalusian) began and was taken to Calabria to produce larger and stronger horses capable of wearing the new, heavier armor of the Knights of Ireland. 'time. The importation of Andalusian stallions into Italy continued from the end of the 13th century to the middle of the 15th century.
But in the early 1700s, there was a decrease in horse breeding in Calabria, which preferred the mules that were better suited to mountainous regions and to the conditions of travel that were particularly difficult.
In 1742, a horse breeding site was created in the province of Salerno, between the rivers Sele and Calore, where horses were again produced by crossbreeding between the Spanish Purebred and the Arabian. In the 1900s, he was crossed again, but this time with the English Thoroughbred, the Arabian, the Spanish Purebred and the Hackney, which resulted in increasing his size and giving him a oriental type.
Once very popular, the Calabrese, even if it is nowadays more « confidential », remains very appreciated by connoisseurs.
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wlsannuaires-blog · 6 years
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La Fiesta Española 2018 sur les 10.000 m² du parking du stade C. Vanden Stock !
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Trois jours de « fiesta » durant lesquels le public appréciera la gastronomie 100/100 espagnole parmi une centaine de casetas, découvrira les danses de flamenco présentées sur un podium, admirera le dressage et la prouesse des attelages de superbes chevaux andalous de pure race espagnole qui évolueront sur une vraie piste de concours de dressage…
Trois jours pendant lesquels une petite kermesse…
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axdancer-blog · 7 years
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Pure race espagnol 🐴 [17/09/2017] ~ 4pictures
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