Tumgik
#quand je dis que j'ai pas de potes c'est pas tout à fait vrai
homomenhommes · 1 month
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saga : SOUMISSION / DOMINATION 123
Cela va faire un bon moment que je n'ai revu la mère de Jean.
Je sacrifie un matin avant les vacances. Jean m'ayant prévenu que ses ptits clients profitait de leurs propres vacances pour utiliser sa mère un mercredi, je me suis pointé vers 9h30.
Quand j'ai sonné, elle est venue ouvrir. Ça eu l'air de lui faire plaisir car elle m'a violé de suite ! A peine la porte passée, je me suis retrouvé torse nu, collé à elle qui me roulait un patin brûlant. Instinctivement, j'ai mis ma main entre ses cuisses. Sans culotte, j'ai pu tâter direct sa chatte. Mouillée en vrai salope qu'elle est. Je lui demande si elle voit quelqu'un ce matin (connaissant déjà la réponse). Elle me dit " oui, mais c'est pas un problème ". Je bande ! Je lui donne une kpote. Elle me la pose sur la bite avec sa bouche puis se tourne pour me présenter son cul. Elle sait que c'est ce trou que je préfère.
Sans précautions inutiles, je m'enfonce en elle. Ça passe tout seul. Du coup je lui demande si elle se fait enculer souvent. Là, elle me dit que Jean ne lui a laissé que 3 de ses amis mais deux d'entre eux sont copains et viennent ensemble. Au bout d'un moment ils ont trouvés tous seuls qu'ils pouvaient utiliser le même trou en même temps. Ce qui lui a assoupli l'anus !
Je l'encule sur les marches de l'escalier, nous n'avons pas eu le temps d'aller plus loin ! Elle gémit tout en me disant " merci d'être venu ". ;Je me penche et prend ses seins dans mes mains. Ses tétons sont tout raides. Je les pince facilement entre mes doigts. Elle serre son anus par réflexe, ça devient meilleur ! Je continu à les lui tordre. Elle spasme sur ma queue. Mes va et vient deviennent plus difficile, mais c'est encore meilleur d'avoir à forcer. Elle finit par me faire juter. Je lâche ses seins pour attraper ses hanches et me maintient tout au fond d'elle. Je suis en sueur ! je me retire et lui dis d'aller se préparer pour ses jeunes clients, moi je vais dans la chambre de Jean me laver.
J'ai juste le temps de me doucher et de mettre en route le PC de Jean que les ptits mecs arrivent. Le bourge et son copain. Ce dernier n'a pas l'air de lui en vouloir d'avoir été enculé la première fois (cf. SD 92). Elle va les chercher à la porte et je les vois apparaître dans la maison de la piscine. Elle devant, la jupe relevée derrière, avec la main du bourge entre les fesses. Il l'a pousse pour la faire tomber sur la pile de matelas de piscine. Elle se déshabille. Y'a pas grand chose à retirer, une jupe et un chemisier que le bourge lui arrache faisant jaillir ses gros seins. Les deux ptits mâles se mettent nus. Ils sont pas mal dans le genre pas épais. Du coup leurs bites font assez grosses. Je vois que le bourge se rase les couilles et taille le reste. L'autre est totalement rasé. Ils se jettent sur la meuf.... ; J'abrège, mais ils finissent en enfilade, Le rasé dans le cul de la meuf et le bourge dans le cul de son pote. A ce que j'ai pu voir, le rasé s'y est mis et apprécie la chose. J'ai bien l'impression que c'est ce qu'apprécie le plus le bourge ! D'enculer son pote. A croire que la mère de Jean n'est là que pour arriver à cette position.
Je rebande depuis déjà pas mal de temps. Sans réfléchir, je descends de la chambre et j'ouvre la porte. Je prends 3 photos du bourge entrain de sodomiser son pote. Ils n'ont pas le temps de réagir que je déclare " alors ma salope, tu as trouvé de la relève ". Ils se déboitent et debout devant moi s'excusent. Ce sont deux petits gabarits et en cuir noir j'impressionne ! ;J'ouvre ma combi et sort mon service trois pièces. Ils ne comprennent pas ! Je chope le bourge par la nuque et le pousse à genou devant moi. Il a un mouvement de recul que je jugule d'une main ferme. Je secoue mon portable dans l'autre main en disant " photos ". Je le vois réfléchir 2 secondes puis il ouvre grand la bouche pour que je m'y enfonce dedans. Il me tète, essaye de prendre toute ma longueur mais s'étrangle avec. Il se calme, tournant bien sa langue sur mon gland. Je le félicite, en faisant la constatation qu'il n'en est pas à sa première pipe. Il retire mon morceau de sa bouche et se récrie que non ! C'est sa première pipe. Normalement c'est lui qui se fait sucer par son copain. L'autre n'ayant pas bougé, je lui dis de s'agenouiller à coté de son pote. Je lui présente ma bite. Il ne se pose pas de question et m'avale pas complètement Mais plus que son pote. J'arrive sans le faire vomir à passer mon gland derrière sa glotte. Je reviens au bourge, lui remet ma queue dans sa bouche et enfonce. Quand je bute sur sa luette, je lui ordonne d'avaler. Il m'obéit et j'enfonce mon gland. Il tousse et me recrache. Je lui mets un claque. Il ne s'y attendait pas et j'en profite pour m'enfoncer une nouvelle fois au delà de sa bouche. Il me vomit de nouveau. J'appelle la mère de Jean qui me regardait faire. Je lui dis d'ouvrir la bouche et m'enfonce jusqu'aux couilles devant leurs yeux, en même temps j'explique. Je ressaye mon bourge, ça passe toujours pas ! Aux grands maux les grands moyens. Je le relève, le fais se coucher dos sur la table en tek et le tire sur le bord jusqu'à ce que sa tête dépasse. Là je la pousse en arrière alignant ainsi bouche et gorge. Je m'enfonce de nouveau et là je rentre entier. Il tousse encore un peu mais je lui bloque la tête et ça passe. Je lui ordonne d'avaler, c'est mieux ! Son copain à nous voir, se place au coté de son pote sur la table. Il en veut aussi. Je dis à la mère de Jean de les sucer, ils le méritent bien !
Je passe donc d'une bouche à l'autre jusqu'à ce que tous les deux me prennent facilement dans leurs gorges. Entre temps j'ai demandé à la meuf de bouffer le cul du bourge. Sa tête tenue ferme entre mes mains, mon gland dans sa gorge, il a juste eu un mouvement de recul (qui a fait enfoncer mon gland encore plus profond !) puis s'est laissé faire. Je sais comme elle sait bien bouffer un oignon, bientôt il sera à point ! Comme les deux ptits mecs ont l'air d'avoir bien compris, je m'écarte et leur dis de se mettre en 69. Je veux le bourge sur le dos, comme ça son cul sera à la bonne hauteur. C'est donc son pote qui vient à 4 pattes au dessus. Je leur dis de se bouffer la tige. Forts de leurs nouvelles expériences, ils se tètent à fond. Je me kpote et elle me graisse la tige. Je sors un flacon de poppers, me penche et fait sniffer ma prochaine victime. Je le vois rougir puis se jeter encore plus sur la queue de son pote. J'attends 1 mn et son trou palpite. Je pose mon gland dessus et m'enfonce inexorablement. Malgré le bâillon fait par la bite du copain, il gémit tout pendant la pénétration. Je ne cale pas et j'enfonce jusqu'aux couilles. Même sous poppers que c'est bon un petit trou vierge !!
Je me retire complètement. J'attends un peu que son trou se referme et recommence. Trop bon ! Je demande à la mère de Jean de prendre quelques photos de nous trois (en plus du film sur le PC de Jean) ça devrait me les mettre à ma disposition ces deux ptits cons ! Surtout le bourge. Très excité je finis par ne plus pouvoir me retenir, le plan, plus l'anus biens serré que je perfore ont raison de ma résistance et j'ai juste le temps de sortir et de dékpoter avant de juter sur les cheveux du pote. Ils sont dans le même état et alors que le bourge jute sur les joues de son copain, lui, bloqué dessous se fait gaver. Le jus déborde de sa bouche. J'ai juste le temps de récupérer mon portable pour immortaliser la chose ! Je renvois la mère de Jean, car nous devons discuter entre mec !
Ils sont anéanti mes nouvelles recrues (qui ne le savent pas encore). Je les laisse reprendre leurs esprits et tous les trois nous nous entassons sous la douche (ça va elle est quand même faite pour deux !). Le plus sonné est le bourge. Je le savonne et il ne se " réveille " vraiment que quand je rentre un doigt plein de savon dans l'anus.
Il attend que nous soyons sortis et secs pour venir vers moi et me dire que c'était pas son truc les mecs. Je prends mon portable et en lui faisant défiler les photos, je lui ai demandé si c'était les photos d'un mec qui détestait ça ? La dernière où on le voit la bite de son pote dans la bouche et avec du sperme qui coule au coin des lèvres l'achève. Il se prend la tête dans les mains et me demande ce que je veux. Il a vite compris.
Je lui dis que je ne veux que du plaisir partagé. J'aime ça, il aime ça et son copain aussi donc y'a pas de mal à se faire plaisir. Nous nous rhabillons. Je leur demande comment ils sont libres. Le bourge me répond qu'il part dans 3 jours à la montagne avec ses parents mais sera là tous le mois d'aout. J'ai envie de leur faire tâter du donjon et de la queue de Marc. Je leur ordonne de venir le vendredi avant leur départ.
IIs se pointent le jour dit vers 17h30. Cela me laisse le temps de les préparer avant l'arrivée de Marc. ;Dès qu'ils sont sortis de voiture, je les fais entrer au donjon. Ils sont émerveillés par le matériel et l'allure générale. Sans problème ils se dénudent (juste un short et un t-shirt ;) je fais de même et les entraine aux douches. Ils sont sciés par ce qu'ils voient. Douche normale puis à leur questionnement sur les flexibles supplémentaires à canules, je leur apprends les " lavements ". Nous ne cessons que quand l'eau ressort aussi pure de nos trois cul qu'elle est entrée. Le Sling est l'appareil qui me permet le plus facilement de les préparer. Je les pose donc chacun sur un sling et leur attache les membres. Appréhension du bourge. Je les calme et leur promet que du plaisir.
Je m'attaque à leurs rondelles. Juste ce qu'il faut. Je graisse, masse et ne fait pénétrer que deux doigts. Faut pas se gâcher le plaisir de bien les ouvrir avec la queue. J'ai juste le temps de vérifié qu'ils avaient bien retenu les leçons de pipe avant que Marc ne nous rejoigne. Le mot laissé sur la porte de la maison l'avait intrigué. Au premier bruit de porte je n'avais laissé que l'éclairage d'entrée, mettant le reste du donjon dans le noir, cachant ainsi les deux nouveaux avec interdiction de parler.
Je le cueillais dès la porte, me collant à lui et lui roulant un patin d'enfer. Puis j'ai glissé à son oreille " cadeaux ". Allumant le spot central tout en éteignant l'entrée, Du noir à surgit la vision de deux corps juvéniles en position de sacrifice.
Je déshabillais Marc et m'aperçu que l'effet voulu était bien là. Ses 22 raides lui collaient aux abdos. Nous nous sommes approchés, j'ai descendu l'éclairage pour les illuminer tout en nous laissant dans le noir. D'une main j'ai caressé la tête du bourge et de deux doigts lui ai ouvert la bouche. Instinctivement, il l'a refermée et ma tété les doigts.
Marc s'est avancé et lui a mis sa bite à la place. Bien élevé, il s'est mis à téter de plus belle. Comme Marc avançait encore, il l'a accepté dans sa gorge, rejetant la tête en arrière de lui même pour faciliter la chose. Marc a apprécié cette nouvelle gorge, presque vierge, qui serrait son gland. Il m'a fait signe de prendre en charge l'autre sling. Cote à cote nous avons bourré les jeunes bouches avides. ;Un échange pour que Marc puisse juger de l'autre corps a notre disposition puis retour au bourge. J'y tenais car il est plus intéressant que son pote. Quand nous leur avons bien fatigué leurs mâchoires, nous sommes passés à l'autre extrémité de leurs tubes digestifs. Kpoté, les glands posés sur leurs anus, Marc a donné le top. Nos mains accrochés à leurs hanches, nous les avons pénétrés en même temps. Ma préparation avait été juste suffisante et Marc comme moi, a bien senti la résistance d'un cul débutant. Même si pour moi c'était moins le cas (depuis des semaines, le miens se faisait enculer par la petite bite de son pote).
Nos ptits enculés non pas tenus longtemps, entre la préparation et l'action, ils se sont lâchés et leurs jus sont venus maculer leurs abdos naissants. Marc et moi avons alors continué jusqu'à notre propre plaisir. s'ils avaient espéré que nous cessions alors, ils s'étaient lourdement trompés. Ce qu'il y avait de bien c'est que leurs petits trous se sont serrés plus. Ils ont eu beau gueuler que c'était bon, que c'était fini, nous nous sommes achevés en eux, réservant nos dernier jets à leurs torses et même leurs visages.
Marc m'a remercié et je l'ai laissé partir avant de détacher les deux recrues et de les pousser sous les douches. J'essuyais quelques reproches notamment que nous ayons continué à les sodomiser alors qu'ils avaient jouit. Je leur disais qu'il fallait qu'ils prennent de la résistance, plus ont attend pour jouir et meilleur c'est. J'ai pris le n° du portable du bourge et le soir même lui envoyait quelques photos tirées de l'enregistrement du donjon. Sur celle ci, on voyait bien les deux enculés mais pas nos visages à Marc et moi. Avec un petit message leur demandant d'être dispo au mois d'août.
JARDINIER
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chifourmi · 5 months
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Parfois j'ai envie de réagir à des posts mais après je prends du recul et je me dis que les gens se diraient sûrement que je surréagis donc je ne commente pas.
Et même dans la vraie vie parfois je vois un énorme contraste entre les réactions des gens et mes réactions. Je déteeeeste ça mais c'est spontané quoi. J'arrête pas de penser qu'on me voit comme une meuf ridicule et bêbête parce que j'ai l'impression que c'est l'image que tout le monde donne aux personnes qui font ça. Ou en vrai c'est peut-être juste moi qui me vois comme ça.
Mais SURTOUT je sais que ça met mal à l'aise les gens. Genre une fois une pote m'a expliqué que son mec l'avait trompé et j'ai failli pleurer??? Mais je sais pas, j'étais tellement dans l'histoire et ça m'a fait trop de peine pour elle. Et forcément ça l'a mise mal à l'aise parce qu'on aurait dit que c'était moi qu'on avait trompé. Personne ne s'attend à cette réaction et c'est logique, même moi je m'y attends pas en fait.
C'est pour ça que j'ai toujours l'impression d'être une gosse, j'ai les émotions à vif comme si je n'avais rien vécu et que mon cœur ne s'était pas renforcé.
Par contre du coup quand je rencontre des gens super expressifs c'est presque un soulagement, j'ai l'impression de pouvoir me lâcher complètement. Mais je les trouve difficilement 🥲
(08/12/2023)
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hattrickprincess · 11 months
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lmaooo okay then please post this so she knows i am her friend, not lying.
r, je sais que t'es avec elle. dis-lui de pas pleurer pour ça, et je vois pas comment tu peux faire genre ça la dérangerait pas ce genre de réponses alors que tu sais comme moi qu'elle s'investit toujours à 100% dans ses relations et que c'est le cas avec cette personne dont elle nous parle tout le temps. juste pour que cette même personne aille dire qu'elle a pas de préféré, elle aime tout le monde ptdr. en fait c'est quand qu'elle sera le premier choix de quelqu'un???? et je vois pas en quoi ça fait de moi une connasse de la défendre en fait mais bref. je vais rester anonyme parce que je pense que ça vaut mieux qu'on s'embrouille pour les relations parasociales de notre pote alors qu'on est ses vraies amies.
alors si tu veux ce faire comme ça je peux te répondre en français aussi, pas de problème
elle EST mon premier choix. et je suis trop fatiguée de tout ça pour expliquer pourquoi j'ai pas dit la vérité. j'ai peur de faire du mal à mes amis et je déteste quand on doit se décider entre ses amis. j'ai pensé qu'elle sache combien d'amour j'ai pour elle. j'ai pensé que les histoires que j'ai écrit pour elle sont assez pour ce montrer. comme je commence à écrire seulement pour elle même si j'ai d'autres histoires à finir. j'ai pensé que ça suffit. mais, tu as raison, j'aurais dû dire qu'elle est ma préférée au lieu de dire que j'ai pas une personne préférée. tout le monde sait que pour moi, c'est elle. et j'ai pensé qu'elle en est consciente.
mais je suis tellement désolée, et j'ai pas les mots pour ce dire en manière suffisamment. je suis tellement désolée.
cette langue me fait mal à la tête parce que je ne le sais pas parler pour dire tour ce que je veux dire, alors j'éspère que parler en français peut te montrer que je suis désolée pour ne pas être une bonne amie.
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lalignedujour · 4 months
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Un soir, en sortant du cinéma (je sais pas si c'était juste ce cinéma ou si c'était comme ça en ex-RDA, de façon générale), j'ai discuté du film avec d'autres gens qui étaient là. Je ne sais plus qui a abordé qui, mais on considérait qu'aller voir le même film faisait de nous des gens qui avions de quoi échanger ensemble. Et c'était sans doute vrai.
Oui, parce qu'il y a eu une période, pendant mes études et même un peu après, où je pouvais aller regarder un film en Allemand. Je comprenais, et tout. Aujourd'hui, même sous-titré, je peux plus.
Et sur les marches du cinéma, un couple m'a invité à prendre un verre. La femme était cool. Le gars distant mais ça allait. Par contre, leur coloc était délire, limite flippant. Il avait pris de la drogue, je crois. Mais tout le monde se comportait normalement, comme si il était comme ça tout le temps. Comme si le bizarre était normal. Comme si c'était un enfant, en fait.
Il disait qu'il fallait pas faire attention aux murs car ils ont une quinzaine d'années maintenant, et ils commencent à avoir du duvet, c'est naturel. Pour nous rassurer, il disait qu'il allait les raser le lendemain matin. Et tout le monde était là genre ok, c'est une info banale. Ni à entrer dans son délire, ni à s'en inquiéter. Normal.
On a mangé des penne sauce tomate, ce soir là. Et la cuisson était nickel. J'ai rapé des zestes de citron. Je pensais que c'était juste pour me faire me sentir utile, par politesse. Mais après, j'ai capté que c'était vraiment meilleur avec ça.
Je me souviens avoir regardé l'appartement, les visages des gens, le plat sur la table, le renfoncement pour les fenêtres (particulièrement large, car les murs sont épais en ex-RDA) et je me suis dit "je suis là, je fais partie de ce tableau". Je sortais juste pour voir la séance de 16h50 et je suis là.
Et on s'est vraiment écouté.es, ce soir-là, je crois. J'ai eu cette impression. Je suis reparti avec le sentiment de m'être enrichi d'autres vies, et d'avoir donné un peu de la mienne. J'aime bien cette sensation, surtout quand je marche dans la ville la nuit avec. Surtout quand il fait froid. Surtout quand je suis seul. Surtout quand je fume (je fumais à l'époque, et seulement seul). Je mettais pas de mots comme ça, mais avec le recul, j'ai l'impression que ça circulait : je donne, je reçois, genre veines, artères, je traverse la route et hop je monte dans le S-Bahn.
Et maintenant, à Paris, quand le film est fini, on pousse une porte coupe feu dans une petite rue cachée. C'est sinistre, on dirait qu'on sort honteusement d'un sex-shop. On émerge juste du film et direct hop on est passant.e, c'est nul.
Ça fait 26 ans que j'habite ici, maintenant, alors ça manque d'exotisme. J'ai mes habitudes. J'ai mes ami.es, mes collègues, mes connaissances, mes cinémas. Je rencontre rarement de nouvelles personnes, alors quand je suis dans un appartement, je me dis pas que c'est fou. Non, je l'avais prévu, je l'ai noté dans mon agenda "Pascaline jeudi 19h", j'ai pris la ligne 6, j'ai fait le digicode, c'est pas une surprise de la vie, on pourrait pas dire ça, non.
Depuis que j'ai ma maladie, je sens que mes ami.es prennent une distance. J'en parle, et les gens écoutent pour dire qu'iels écoutent. C'est une écoute-performance : "je dois être un.e bon.ne pote, donc j'écoute". Mais je leur en veux pas, je fais pareil quand ça parle tarot, horoscope et lithothérapie (sociologie, mycologie, mythologie et théologie aussi, d'ailleurs - c'est à se demander ce qui m'intéresse dans les librairies, actuellement).
Je sens qu'il y a ce silence de qualité. Pour laisser la place à mes ressentis. Mais il y a aussi cette mise à distance. Ce "il me raconte son problème, et ça n'est pas moi". Le niveau juste en-dessous, ce serait pour moi de raconter ma vie dans le métro à des gens qui voudraient seulement scroller tranquillement et pas se sentir trop coupables.
C'est pas que c'était mieux avant, non. Y a eu des moments malheureux aussi à Leipzig. Mais disons que j'ai raté un truc pour que ce soit mieux maintenant.
Ce qui me manque est relié à l'absence de vie quotidienne. C'était parce qu'il n'y avait pas de trame que je vivais des trucs cools. Je faisais rarement des courses pour la semaine, là-bas. Je devrais essayer de vivre à Paris comme si je n'y vivais pas.
Une vie de vagabondage, ce qui me permettrait aussi d'avoir cette expérience : raconter ma vie dans le métro. Peut-être qu'une foule d'oreilles peu attentives remplaceraient efficacement une paire d'oreilles attentives.
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iamacolor · 10 months
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hey violette 💜
me revoilà pour te parler de run on maintenant que j'ai bien avancé dans ce drama (ep 13/16) :)
une des choses que j'ai remarquées au fur et à mesure des épisodes, c'est la forte présence de sororité entre les personnages féminins. peu importe si les femmes sont proches l'une de l'autre, il y a un esprit d'entraide et de compréhension. et je trouve que ça fait du bien de voir ça car, dans la plupart des dramas que j'ai pu regarder, j'ai remarqué que les relations entre femmes sont souvent définies par la jalousie, la haine ou l'indifférence. c'est bien dommage car on aurait bien besoin d'encore plus de dramas qui nous montrent cet esprit de sororité...
je viens de me rendre compte que j'ai utilisé le mot sororité plein de fois mais je ne suis pas sûre si ça veut bien dire ce que j'essaye d'expliquer. en fait, quand je le lis, je pense aux sororités d'église ou bien dans les universités (genre films américains)
bref, je ne sais plus si tu en avais parlé dans un de tes posts sur run on mais je voulais le partager avec toi :)
ps : j'espère que tu vas bien et que le processus de déménagement se passe le plus calmement possible 💜
mal désolée desolee désolée pour le retard de cette réponse, j'étais un peu noyée entre le déménagement, tout le rangement que ça demande (et qui n'est pas fini mdr heureusement que j'ai que 20m²) et une jolie petite tendinite qui s'est invité sur mon poignet (ça va mieux mais du coup je dois faire du kiné enfin bref c'est toujours tout en même temps ou rien hein)
Bon j'imagine que tu as dû finir run on depuis et j'espère que ça t'as plu et que tu es contente d'avoir cédé à ma recommandation ;)
Je trouve que sororité c'est le mot parfait pour ça ! C'est beaucoup utilisé dans les mouvements féministes pour le penchant féminin de la fraternité en tant que valeur et en tant que pratique alors ça s'applique bien et je le lis ps en tant que groupe universitaire 💜 c'est vraiment un truc que j'ai beaucoup aimé dans le show (surtout que comme tu le dis c'est assez rare dans les dramas puisque souvent les femmes sont réduites à des rôles prédéfinies et souvent en concurrence d'une manière ou d'une autre ou alors pas assez importantes pour créer de vraies relations avec d'autres femmes) En plus, ce que j'avais beaucoup aimé c'est que beaucoup de ces relations entre femmes se basent sur le travail et le milieu professionnel donc ça met aussi en avant la place qu'elles ont ou qu'elles se créent dans leur milieux et ce qu'elles tirent de leurs liens avec des femmes (danah qui doit mentir sur sa naissance parce que c'est une fille et qui veut montrer ce qu'elle est capable de faire, may qui a créé son entreprise où elle semble principalement faire travailler des femmes, mijoo qui est indépendante mais qui a avec may une relation quasi familiale et qui est super fan de la mère de seongyeom une actrice, et qui se fait embaucher sur un tournage parce qu'une autre fille a aimé travailler avec elle elles travaillent, vivent et évoluent ensemble, les générations se mélangent (ce que j'ai trouvé top, il y a cette scène où May, mijoo, et la jeune femme dont j'ai oublié le nom, boivent un verre après le tournage et parlent de leur travail et de leurs expériences et j'avais trop aimé parce que déjà c'est super rare que le travail des personnages soient autant pris au sérieux et que de voir des femmes partager leurs expériences sans concurrence mais juste comme on le fait toutes entre potes ou collègue c'était tellement rafraîchissant !) Et puis le conflit entre mijoo et la famille de seongyeom repose sur son père et non pas sa mère qui est trop peu impliquée, et assez réaliste sur son rôle de mère, sa relation avec son fils etc, pour devenir le cliché de la belle-mère horrible et sa sœur est une des premières à notre à quel point mijoo défend seongyeom et en retour ce que mijoo apprend à seongyeom en terme de soin et de respect de soi-même il s'en sert avec sa sœur dans une transmission indirecte de mijoo à sa sœur qui rend la dynamique familiale plus vertueuse. Il y a d'autres échanges comme ça à travers plusieurs femmes, tu vois que mijoo à trouvé famille et force en may et qu'elle peut donc maintenant être une adulte qui va protéger et encourager une autre jeune femme dans une situation similaire à la sienne. C'est pas qu'il n'y a jamais de tensions entre elles mais tu sens que le but de la scénariste n'était jamais d'utiliser une femme simplement pour être un obstacle à une autre. D'ailleurs il n'y a aucune d'entre elles qui est lié à seulement un seul autre personnage, elles sont jamais là simplement en tant que sœur de..., boss de... (la sœur de seongyeom dont j'ai oublié le nom est aussi la sportive que danah veut représenter et elle travaille avec seongyeom pour avoir sa sœur et non l'inverse ! la s��ur du copain de yonghwa à qui il donne des cours est aussi la fille de l'employée de danah et elle a sa propre ambition de boxer) elles ont de vraies vies qui se croisent et s'influencent
j'avais d'ailleurs fait un gifset sur les différentes relations que mijoo a avec les femmes de la série dans cet esprit
(j'écris tout ça dans le métro et en marchant il y a sûrement plein de fautes dsl !!)
le déménagement s'est bien passé même si ça prend toujours plus de temps que prévu ( j'ai encore toutes mes affaires de bureau à ranger + mes rideaux à coudre, un miroir à accrocher etc) mais ça y est je suis installée pour de bon depuis ce week-end et là je viens de faire l'état des lieux de sortie de mon logement précédent donc c'est tout finalisé ! je suis contente parce que même si mon apart est petit j'ai réussi à l'organiser à ma manière, pareil pour la déco entre ce qu'il me fallait pour être fonctionnel et quelques détails de style - et j'ai une vue sur un jardin arboisé de l'immeuble de l'autre côté de ma cour donc c'est vraiment sympa 💜 je t'enverrai des photos si tu veux quand ce sera rangé !
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e642 · 1 year
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Paradoxalement, le seul vrai moment où personne ne peut me voir c'est lorsque je suis en ""vacances"" chez mes parents. Je vis vraiment comme un ermite et ils sont désespérés mais c'est le seul moment où je suis loin de certaines personnes qui veulent me voir et proches de certaines personnes pour qui je ne fais pas d'effort. En fait, quand je suis chez eux, je vis pleinement mon anxiété sociale et j'essaie de recharger mes batteries sociales. Donc en fait, à moins qu'une sortie n'implique que moi d'un point A à un point B, je ne sors pas. Les gens en ont marre d'entendre que je suis trop angoissée pour sortir mais c'est la vérité. Je sors à peine de mon lit, là je révise depuis hier comme une malade mentale parce que j'ai été incapable de le faire avant, j'ai dormi toutes les aprem pour éviter les problèmes, j'ai soigneusement trouvé des excuses pour repousser chaque rencontre avec l'autre, je ne me suis pas maquillée une seule fois, je ne me suis quasiment pas habillée, j'ai affronté les remarques de mes parents et j'ai été solidement cramponnée dans mon silence. Et là par exemple, dans ma journée type (que j'ai aussi à mon appart) je me lève, je mange en vitesse et trois fois rien le midi, j'ouvre même pas les volets, je ne sors même pas dans le jardin, je ne touche à rien et je vois que mon père est exaspéré et qu'il imagine que ça doit être pareil à mon appart et que je suis un déchet. Oui je peux rester statique des heures, je peux dormir des heures la journée, je peux laisser aucune trace de mon passage ni de mon existence. Je sais que ça fait peur à mes parents parce qu'ils réalisent que je ne mens pas, quand je dis que je ne fais rien, je ne fais rien. Quand je dis que j'arrive pas à travailler c'est pas que je suis une feignasse. Quand je dis que je suis fatiguée c'est pas que j'exagère. Tout ça pour dire que j'ai vu personne en 1 semaine (sauf ma meilleure pote et je me suis fait violence et c'était nul en plus) et que je sais pas comment faire pour retourner à la vie réelle. Mes parents disent souvent que je n'ai pas une vie de jeune adulte, c'est sûrement vrai mais c'est ma zone de confort (pas chez eux hein, juste le fait d'être quasi inexistante).
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the-best-of-tatu · 9 months
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Chapitre 5  (Suite)
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                               « Les filles, j'ai entendu mes parents dire qu'ils allaient sortir se soir au restaurant puis en boîte quand nous serons couchées ! »
« Moi je sais pas si je dort ici... » dit tristement Yulia.
« T'inquiète Yul, ma mère demande toujours les invitées après le manger de dormir ici, c'est sur se soir tu dort là ! »
« Génial ! Bon alors c'est quoi ton plan ? » chuchota Lena.« Quand ils seront partis, on va invitées des amies, pas de gars que des filles, et ils y aura sûrement toutes les filles qui seront lesbienne, c'est des amies du lycée et des amies à Mina aussi, si vous voulait invitées des potes, mais de préférence pas des gars ils vont être choquées (mdr pove mecs) ! »
« Ben on vous laisse invités nous ont s'occupe de les accueillir ! » assurèrent Yulia et Lena.
« Ok. Alors c'est, dès qu'ils seront plus là, en avant la méga fête du siècle ! »
« Ouais !! » crièrent les trois filles à Ludmilla.
La fête du siècle oui, mais la raclée aussi du siècle si les parents ce la ramène avant que la fête ne soient finie... Un vrai carnage si cela arriverait, enfin bref, dans les histoires tout peut arriver... Pourvu que les amies lesbiennes seront parties avant que les parents ne rentrent, que au moins il n'y en est pas une qui dorme dans la baignoire...
« Les filles à table ! » cria la mère de Lena d'en bas.
Elles s'activèrent à la seconde même où la mère avais signaler l'heure de dîner, elles descendirent les escaliers en file indienne, pour enfin s'installer confortablement à table, Yulia à côté de Mina, Ludmilla à côté de sa sœur, et chacun des deux parents en bout de table, les quatre amoureuses étaient l'une en face de l'autre, se jetant des regards complices, car toutes avaient un plan en tête et était pressées que cette fête commence.
« Alors Yulia, j'espère que tu ne nous en veut plus trop d'avoir était si odieux avec toi ? »
« C'est déjà oublier m'sieur ! »
« Appelle moi Sergey. » assura-t-il.
« D'accord. »
Ils continuèrent à manger tranquillement, Yulia se sentait bien, comme si elle était chez elle, et puis elle adorer regardait sa chérie se battre avec sa viande qui lui résistait toujours et encore. Mina elle, faisait maintenant comme partis de la famille pour les Katina, elle venait souvent ici pour être avec Lu, et ses parents avaient fait depuis longtemps la connaissance de ceux de Lena. C'était une ambiance chaleureuse, tel une famille réunie après tant d'année de séparation.
« Dis moi Yulia, tu comptes rester dormir ici j'espère ? » questionna la maman tout a avalant un verre d'eau.
« Et bien, si ça ne vous dérange pas et si mais parents sont d'accord, je veux bien rester. »
« Fort bien. Vous avez tellement de temps à rattraper toi et Lena ! »
« Oui, maman beaucoup de temps ! » fit Lena tranquillement.
Le repas s'acheva enfin, Ludmilla tout en se levant de table demanda à ses parents :
« Vous sortez se soir ? »
« Bien sûr que non Lu, pourquoi cette question ? »
« Je sais pas, comme ça ! » s'exclama-t-elle.
Elles quittèrent la pièce dans des chuchotements mystérieux. Tout en essuyant la table, la mère de ma famille confia à son mari :
« J'ai l'impression qu'elles nous cachent quelque chose. »
« Ne t'inquiète pas, elles font toujours ça pour que l'ont s'inquiète, tu ne te souviens pas quand elles étaient petites nos deux filles ? »
« Il y en à trois Sergey, sauf que la troisième est partit... »
« Ne parlons plus de ça ma chérie. » rassura-t-il en lisant son journal.
« Allez, je vais me changer. »
Elle passa à côté de lui, lui embrassa longuement le front et partit sous le sourire affectueux de son mari. Dans la chambres des filles, ont se parler de tout et de rien, de nos rêves, nos vies, nos souvenirs d'enfance, Yulia au cotés de Lena et Mina au coté de Ludmilla, couchées confortement sur leurs lits.
« Tu crois qu'ils se doute de quelque chose ? » s'inquiéta Lena en regardant le plafond.
« Il ne faut pas que tu t'inquiète ma rousse. »
« Yulia, tu sais que quand on étaient petites, je l'appeler Rox ? » se rappela Lu.
« Oui, Lena m'as parler vaguement de se surnom qu'elle n'avait compris, et que lorsque vous avez regarder le dessin animée, elle avait enfin compris et elle a même pleurer. »
« Ben quoi, il était triste se dessin animés. Au fait pourquoi je l'ai pas gardé ce surnom ? »
« Heu, bonne question, oublier avec le temps ! Hum... »
« Mmh, alors Lena tu es ma petite Rox à moi... » chuchota Yulia en s'approchant de sa belle.
« Aucun problème. »
Elles s'embrassèrent toujours avec passion, toujours plusieurs baiser, chaque fois que leurs lèvres s'entrechoquaient cela devenait plus intense, plus fort.
« Hey ! Nous aussi ont peux faire ça ! » déclara Mina.
« Ben ouais ! »
« Allez viens là ! »
Ludmilla lui sauta dessus et l'embrassa, mais là c'était plus chaud que les deux plus jeunes, elles avaient introduit leurs langues dans un petit bisou. Tout en se caressant les cheveux, elles étaient lèvres contre lèvres, se qui était sur c'est que la langue faisait partie du show.
« Tcheu ! On peut aussi le faire avec la langue ! » frima Yulia pour rigoler.
« Bon hop c'est pas un concours, maintenant on va dire bonne nuit aux vieux et faire style de s'endormir ok ? » annonça Ludmilla prête à l'action.
« Ok ! » cria toute la troupe.
« Yulia, j'ai prévenu tes parents ils sont d'accord, tu dois juste prendre le pyjama de Lena, ça ne te gène pas ? » expliqua le père à Yulia qui était venu pour dire bonne nuit.
« Non pas du tout. Merci beaucoup. »
« De rien, allez bonne nuit ! »
« Bonne nuit papa ! » ajouta Lena.
« Bonne nuit m'sieur ! »
« Sergey ! » cria gentiment son père au bas de l'escaliers que les deux filles avaient déjà finit de monter.
Après s'être préparée pour dormir, les filles se couchèrent dans leurs lits respectifs, Yulia sur un lit de camp au bas du lit de Lena et Mina pareil sauf qu'elle était au bas de celui de sa chérie.
« Bonne nuit les filles. »
« Bonne nuit. »
La mère ferma la porte doucement, et descendit les escaliers assez rapidement pour rejoindre son mari qui c'était préparé pour la soirée. Ils firent alors semblant d'allez se coucher.
Lena tenait la main de sa chérie qui était plus bas, Yulia allait bientôt la rejoindre mais elle devait attendre.
Des pas rapide, des chuchotements que l'ont peut à peine entendre, une porte qui s'ouvre, une voiture qui démarre, ça y est, ils sont partis pour de bon. Dix heures et demi, il était temps d'appeler les amies. Yulia était monté sur le lit de la rousse, pour pouvoir profiter de l'instant de solitude qu'elles n'avaient pas encore eu depuis un bon bout de temps.
« Mina est avec ta sœur pour appeler leurs amies, nous voilà seules. »
« Enfin. » soupira Lena.
« Je t'aime ma Rox... »
« Je t'aime mon Rouky... »
« Je suis Rouki le chien et toi le renard c'est ça ? »
« Mouis. » marmonna la renarde en embrassant sa louve.
En même temps qu'un baiser, Yulia en profita pour le rendre plus fougueux, elle mit sa main sous le tee-shirt de sa petite amie et faufila sa langue dans la bouche de Lena, qui n'eu pas de réaction, qui se prêter aux jeux. Quand leurs langues se rencontrèrent un frisson les parcourut, Lena avait la chair de poule, Yulia la faisait tremblait avec sa main qui parcourait son corps essayant de la réchauffer, de la faire se sentir bien. Lena c'était mis sur la brune tout en se décollant de ses lèvres pour les reprendre plus avidement. Soif de désir Yulia lui enleva le tee-shirt, même si Lena avait pris le dessus, c'est la badgirl qui avait le contrôle, Lena se laissait faire, désirer, aimer.
Cette fois, de ses deux mains Yulia les posa sur les hanches de Lena, essayant de se relevais pour être corps à corps avec sa bien-aimée, celle-ci enleva alors le tee-shirt rapidement en embrassant chaudement le nombril de Yulia. Toutes les deux en soutif, elles s'embrassaient profitant du maximum de temps qu'elles passaient ensemble, décidant de ne pas allez plus loin, elles continuaient comme même à se rencontrais par des baisers, à se retrouver.
Quand Mina entra dans la chambre, Lena était sur Yulia la tête poser sur son épaule, la moitié de son corps reposer sur la fine silhouette de la brune. Des douces paroles, précieuses comme du cristal, Mina les regarde, elles n'ont pas encore remarqué sa présence, elle sourit et referme la porte sans bruit.
« Elles sortiront de la chambre quand elles auront envie. » songea-t-elle.
« Où était-tu mon amour ? »
« Dans ta chambre, j'ai vu ta sœur poser sur Yulia, les yeux fermer, ceux de Yulia aussi, elles sont vraiment mignonnes. »
« J'espère que ça va durer... » dit Lu en mettant une pizza dans le four.
« Oui moi aussi. Alors ses invités ? »
« Elles arrivent d'ici 10 à 15 minutes, le temps du trajet. »
« On à le temps, mmh... »
« Mmh ? »
Ludmilla avait compris mais elle aimer faire semblant de ne rien savoir, elle s'approcha de son amour et l'embrassa, dévorant ses lèvres chaque fois qu'elle pouvait les goûtés.
Yulia suivit de Lena descendirent au rez-de-chaussée, puis allèrent au salon, allumèrent la télé rapidement et tombèrent sur un pub assez chaude avec pour slogan « Gini la plus chaude des boissons froide.*» La pub consister à montrer un mec et une fille dans une voiture en sueur s'embrassant passionnément profitant du plaisir à deux. Yulia rigola et lança à Lena :
« On devrait faire ça, dans une voiture en été ! »
« Coquine va ! »
« Moi j'aurais aimée que se soi deux filles ! » fit Ludmilla en s'appuyant contre la porte qui servait d'entrer au salon.
« Ouais mais bon, ça en aurait choquée certain. »
« Pff, ouais de toute façon ça choque tout le monde que deux filles s'embrassent... »
Bouteille de bière à la main, Ludmilla en dégusta un peu, et laissa échapper un soupir, Mina la rejoignit embrassant tendrement son cou.
La sonnerie retentit, Lena éteignit la télé, et se précipita avec sa sœur à l'entrée, quand elle ouvrit la porte un groupe de filles entra toute excitée comme des puces. Parmi ses filles Yulia reconnu Klara avec effarement, celle-ci la regarda et fit un signe de la main, Yulia ne savait plus quoi faire... Figée sur place...
Elle regarda autour d'elle, Lena était avec sa sœur parlant à d'autre fille, Mina était occupée à mettre de la musique donc Yulia avait le temps d'allez chez Klara, elle l'as pris à part...
« Mais qu'est ce que tu fout là ? »
« Qu'est-ce qui te prend ? On m'as inviter, enfin c'est mon amie Mina qui m'as invitée, je n'allait surement pas refuser, et j'ignorais que tu était là ! »
« Bon ok, mais je ne veut pas que Lena me voit avec toi, alors on va faire comme si nous ne nous connaissions pas d'accord ? »
« Si ça peut te faire plaisir. Qui est cette Lena ? »
« La sœur de Ludmilla la petite amie a Mina. »
« Mais non ! Je veut dire pour toi ? »
« ...Ma petite amie... » fit d'un trait Yulia.
« C'était donc elle... Mmmh, charmante... »
« Je t'interdis de l'approcher, j'ai gagné son cœur et je ne le perdrais pas à cause de toi ! »
« C'est bon là, t'affoles pas petite, c'était une plaisenterie, tu sais se que c'est ? »
« Hum... Désolé, j'ai tellement peur de la perdre. »
« C'est normal. Bon je te laisse. »
« Ok, et n'oublie pas, tu ne me connais pas ! »
«  T'es qui déjà ? » plaisanta Klara.
Yulia lui fit un sourire amusée, et s'en alla, Klara prit un autre chemin et se dirigea vers la cuisine. La brune rejoignit la rousse qui était avec sa sœur sur le canapé.
« Bon, je vous laisse je vais voir se que fait mon bébé. » assura Lu en se levant.
« D'accord. »
Les deux filles restèrent un moment assise sans se dire un mot regardant les autres dansaient. Lena était bizarre, peut être qu'elle avait vu Yulia avec Klara, peut être qu'elle avait cru qu'elle draguait, elle eut alors une boule dans l'estomac.
« Tu veux... danser ? » proposa Yulia ne sachant quoi dire.
« C'était qui cette fille ? » demanda tristement Lena.
« Une amie sans plus. »
« Tu es sûre ? »
Yulia se leva la regarda droit dans les yeux et lui chuchota à l'oreille :
« Viens avec moi... »
Elle lui prit la main, et d'un pas rapide alla à l'escalier, puis arrivait dans sa chambre, elle referma la porte, se tourna vers Lena qui ne comprenez pas.
« Je t'aime Lena. »
Celle-ci voulut répondre mais les lèvres de Yulia l'avait déjà emporter dans un autre monde, Lena était si bien dans les bras de sa louve, elle l'embrassa comme si c'était le dernier jour de leur vie. Petit à petit Lena s'allongea sur le lit suivit de Yulia, celle-ci était sur sa belle brûlante de désir, même si elles avaient décidaient d'attendre, les baisers suffirait.
« Allons rejoindre les autres à la fête... » lui sussura Yulia entre quelques bisous.
« Mmh, je suis bien ici... »
« Moi aussi, mais profitons de la fiesta, ça serait égoïste de laisser Lu et Mina organiser la fête seule. »
« Oui... J'te suis ! »
« Votre fête est géniale les filles ! » cria une fille qui dansait.
« Merci ! » firent les quatres en dansant comme des folles.
Dans la cuisine, il y avait plusieurs bouteille de vodka, de l'alcool, de la smirnof, certaines fesait des coktails se croyant super pro mais elles finissaient toujours pas faire tomber la bouteille par terre ! Yulia était contre Lena, la main poser au bas de son dos, dansant avec ardeur, un regard plongeant dans le sien, et quelques fois des bisous torride. Parmi la fête il y avait encore Klara mais elle ne dansait pas, Yulia l'observa un moment et vie une fille assez mignonne se dirigea vers elle et s'en allait dans un coin.
« Je reviens. » dit Yulia.
« Reviens moi vite. »
« T'inquiète ! »
Elle l'embrassa pour lui assurais que son retour ne sera pas long et s'en va, curieuse de voir où menait cette mystérieuse fille qui envoutée Klara.
L'endroit fit le jardin, assise sur un banc elles discutaient, Klara se conduisait parfaitement bien et l'autre fille à côté paraissait un peu saoul. La brune les espionna à partir d'un buisson, après quelque minutes dans le froid assez supportable, elles s'embrassèrent enfin, et s'allongèrent sur le banc, Yulia décida de les laissait éspérant que cet amour d'un soir dur.
Elle savait que se qu'elles allaient faire sur se banc ou ailleurs ne serait pas un signe d'amour.
Yulia alias Rouky (lol), finit par rejoindre sa Rox, cette derrnière était dans la cuisine en train de boire d'une traite un verre de vodka, elle s'installa à côté d'elle et lui fit un bisou sur son front.
« Tiens Rouky, tu m'as manquer. Je suis en train de faire un concours. »
« Je vois ça. »
Mina contre Lena, toutes les deux déjà soul, mais Lena avala le dernier verre se tenant encore très bien debout, puis se fut au tour de Ludmilla d'être contre sa sœur, Mina était à côté, à chaque fois que Ludmilla avaler un verre elles s'embrassaient avec la langue, et oui parce que la langue se voyait. Yulia préférait faire des smacks à Lena pour qu'elle garde les pieds sur terre, même si elle commencer à voir double. La brunette c'était en même temps que le concours de sa chérie descendu quelques verres de smirnof. Puis quand elle voulut allait au toilette, elle se retrouva face à face avec deux filles en train de s'enlever les habits...
« Oh, pardon hips ! »
Elle referma la porte, et retourna encouragea sa nana. Après avoir fait un concours assez amusants les organisatrices décidèrent de s'occuper de la musique, Yulia eut la bonne idée de faire un karaoké, ça tomber bien les parents de Lena en ont un dans le placard murale.
Plusieurs filles chantaient à deux, ou en groupe,  des casseroles la plupart du temps. Lena voulut alors se lancais et forca Yulia a venir avec elle.
« De toute facon on ne peut rien te refuser à toi ! »
Elles se préparèent à la scène sous les encouragements de Mina et Lu.
« Heu, problème quand je suis ivre je chante pas bien. »
« Yulia on s'en fout c'est pour déliré ! »
« Okay ! »
Pour la chanson elle avait choisi une chanson russe accompagnée d'un piano, Yulia s'y installa avec joie. Quand Lena commenca à chanter, tout le monde écoutais, Yulia était sous le charme, mais elle aussi devait chanter, et quand se fut son tour, elle donna le meilleure d'elle-même. Une voix moins aigu que Lena mais tout de même magnifique, tout le public fut emportais quand elles chantèrent toutes les deux ensemble.
A la fin de la chanson c'était devenu des stars pour les filles de la fête.
« Une autre, une autre ! » crièrent la foule.
« On va s'arrêter là, parce que ont n'est crevée ! » rigola Lena.
« Mais ont vous aimes nos fans !! » plaisanta Yulia.
Tout le monde les applaudirent, et les encouragèrent criant qu'elles chantaient bien.
« Tu m'avais jamais dit que tu chantait aussi bien ! »
« Toi non plus ! »
Il était déjà 1 heure du matin, les invitées commencèrent à rentrés, certaines filles c'était endormi dans des endroits insolites, Mina les réveilla, jusqu'à que tout le monde rentra, elles étaient toutes les quatre affaler sur le canapé épuisaient. La tête de Lena sur les genoux de Yulia et Mina dans les bras de Lu.
« Quelle soirée ! » soupira Mina.
« Tu l'as dit ! »
« Je crois que y en à plus d'une qui ont fais des choses dans cette maison. »
« Ouais, et dire que nos parents n'aime pas les homosexuelles, y en à eu une cinquantaine dans la maison, trop fort ! » rigola Lena sans s'arrêter.
« C'était plus grande fête de lesbiennes au monde ! »
« J'avoue que oui ! »
« Bon, fit Yulia en se levant, on va devoir nettoyer... »
« Pff, pas maintenant ma Yuli... »
« Si tu me fais un bisou je me lançe pas. » taquina la brune.
« Pas de problème, viens là, mmmh... »
Yulia l'embrassa et s'allongea sur le canapé, les quatres fit s'installèrent,  l'une sur l'autre, elles étaient tellement fatigués que en quelques minutes, elles s'endormirent...
Deux heures du matin, les parents rentrent enfin à la maison, essayant de ne pas faire de bruit, le problème c'est que en rentrait isl faisaient un calin, ils décidèrent de s'installaient sur la canapé, la lumière n'est pas allumer, ils ne voient rien, s'oriente comme ils peuvent, puis quand la mère essaye de se coucher sur le canapé, et touche la main de Mina, cette dernière se réveille, la mère pousse un hurlement, le père s'affole, Mina crie a sont tour et reveille les trois autres, quand le père allume la lumière tout le monde se met à crier, croyant que ce sont des voleurs...
Il faisait les cents pas, les filles sur le canapé en rang d'oignons, la mère chercher un quelconque objet suspect, l'homme était fatigué, la sueur coulait sur son visage énervée, épuisé de cette soirée mouvementée.
« Comment avait vous pu faire une fête sans notre permission ? »
« Papa, on est jeunes et... » s'expliqua Lena.
« Non ! coupa-t-il, la jeunesse n'as rien a voir la dedans, vous vous rendez compte que les voisins aurez pu appelez les gendarmes ? »
Personne ne voulut répondre, elles baissaient la tête, elles n'étaient pas très fières de ce qu'elles avaient faits, mais elles étaient satisfaites de l'effet que cela avait pu faire.
« Chéri, c'est bon, je n'est pas trouvé de préservatifs, elles n'ont donc pas enfreints la règle de la maison, par contre, pour l'alcool elles ont abusées... » fit la mère en les regardant.
« D'où ramener vous toutes ses bouteilles ? » questionna le père.
« C'est nos amies qui l'ont ramener elles... »
Lena donna un coup de coude à Ludmilla pour ne pas franchir plus loin que le elles.
« Elles ? »
« Oui elles et ils nous l'ont proposer, hum. »
« Je vois, bon allez vous couchées ! » ordonna-t-il.
Elles s'exécutèrent très vites, en se couchant, elles se mirent à rire.
« Moi qui croyait à la raclée du siècle ! »
« Ouais, j'aime trop ta mère, 'je n'ai pas trouver de préservatifs', franchement, comme si deux filles avaient besoin de ça ! » s'exclama Mina.
« Ah, les parents... Bon c'est vrai, on a abusé sur la vodka !! » avoua Lu.
« VODKAAAAA ! »
« Chut Lena ! Hihihi ! » se marra Yulia.
Quand la maman entra dans la chambre, elle s'assura que les filles se couche au bon endroit, puis referma la porte calmement. Le silence prit place dans la chambre, un silence calme, apaisant, qui prit toute la dimension de la pièce, ont entendait seulement le respiration des filles, Yulia se décida à grimper dans le lit de Lena, essaya de trouver ses lèvres et quand elle le trouva elle ne les quitta pas.
« Hey les filles ! Faites pas trop de choses, ni de bruit d'ailleurs ! » chuchota Mina en s'amusant.
« Ouais t'as peur qu'on te batte hein ?! »
« Sûrement pas, bande d'amatrices ! » souffla Ludmilla.
« Ouais allez bonne nuit ! » essaya d'articuler Yulia en rigolant.
« Bonne nuit. »
Lena pris Yulia dans ses bras, la serrant de toutes ses forces, lui susurrant des « je t'aime », une nuit romantique jusqu'au petit matin, elles avaient dormit l'une contre l'autre, Mina et Lu pareil.
Une journée inoubliable, marquante à vie, le jour où un amour invincible avait était enfin réunies, le jour où de âmes n'avait fait plus qu'une, le jour où l'amitié fit place à l'amour, le jour où il y a eu dans un hôpital, une passion... un baiser...
*J'espère que tout le monde connaît cette pub.                                            
#Posté le vendredi 21 juillet 2006 12:35
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homomenhommes · 7 months
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story: JOURNAL D’UN CUL JOUISSIF / 13
13 | SODOMIE SURPRISE
Mon mec de l'époque faisait des travaux chez son pote Pierre, celui-là même qui fantasmait sans se cacher sur mon cul. Il était convenu que je le rejoigne chez Pierre après mes cours de fac ce vendredi là. Je n'étais pas très chaud car Pierre était lourd à toujours parler de mon cul et à la façon qu'il aurait de me défoncer. Mon mec insiste en m'assurant que Pierre ne sera pas là puisqu'il était parti pour le week-end.
Après mes cours, je le rejoins donc chez Pierre. Je sonne à la porte. Mon mec l'ouvre en arborant un large sourire et m'attire hâtivement à l'intérieur pour m'embrasser goulûment.
"Je n'ai pas arrêté de penser à ce moment depuis ce midi. Je bande comme un dingue." me dit mon mec.
"C'est vrai que tu as l'air très en forme." réponds je tout en tâtant son paquet.
"J'ai trop envie de te baiser. Faut vite que je te la mette." me presse-t-il.
"T'es sûr ?" demandes-je surpris. Mon mec n'était pas du genre à vouloir m'enculer spontanément. Je devais toujours en formuler la demande.
"Arrête de te faire prier et viens te foutre à quatre pattes sur le lit que je puisse me vider les couilles." grogne-t-il tout en m'attirant vers la chambre de Pierre. "Par contre, je t'interdis de te retourner tout le temps que je te baise." ajoute-t-il.
"Ok, ok." dis-je en me disant que ce côté directif me plaisait chez lui.
Je me déshabille et me fous à quatre pattes afin de lui présenter mon cul.
"Putain ! Génial ! Ne bouge plus, c'est moi qui m'occupe de tout." m'ordonne-t-il.
Je sens ses mains se poser sur mes fesses. Il me les tâte et me les caresses avec envie. Il passe son doigt le long de la raie des fesses pour finir par me titiller le trou. Il s'agenouille devant mon cul pour le couvrir de baisers tout en me le plotant. Il me fesse pour faire rebondir mes belles petites miches. Il écarte délicatement et dépose un baiser sur ma rondelle. Il la lèche avec sa langue.
"Putain, t'as pris des cours ou quoi ? Tu me fais quoi là, c'est nouveau ?" disais-je en gémissant.
La langue cessa net sa délectation.
"Pourquoi ? T'aime pas ? Tu veux arrêter là ?" répondait il.
Je m'apprêtais à me retourner pour lui répondre quand il me dit : "Qu'est-ce que je t'ai dit, ne me regarde pas." Je renfouis mon visage dans la couette et lui répondit de ne surtout pas arrêter car j'adorais ce qu'il me faisait.
Sur ces mots, ses mains se reposent sur mes fesses afin de les écarter à nouveau et sa langue reprit sa délicate caresse anale. Il me léche ainsi le trou pendant une bonne minute avant de devenir un peu plus impudent en forçant l'entrée de mon fondement.
"Putain que c'est bon. T'as intérêt de me le refaire souvent." dis je en totale lâchée prise.
Lui, continue son anulingus avec plus de frénésie. Je lui tends mon cul comme jamais je ne lui avait tendu avant ce jour. Il crache de gros mollards sur ma rondelle puis se redresse afin de présenter sa queue bien raide devant mon trou. Il crache à nous sur mon rondelle puis sur son gland qu'il frotte sur mon trou.
"Tu veux te faire défoncer la chatte ? T'es chaud ? me demande-t-il.
"Oui. J'ai le cul en feu. J'ai trop envie." Réponds je fébrile.
Comme s'il avait attendu ma réponse avant d'agir, il pousse sur ma rondelle dilatée pas son long anulingus afin de forcer le passage. Il écarte mes fesses et pousse à nouveau jusqu'à ce que son gland rentre entièrement. Il reste ainsi un moment en faisant de petits va-et-vient dans mon cul avec son gland. J'adorais ce qu'il me faisait et me demandais pourquoi en deux ans de fréquentation, il ne me l'avait jamais fait. Je gémis de plaisir. Puis, sans doute encouragé par mes gémissements, il me fout son énorme bite jusqu'à la garde et reste planté au fond de mon cul.
"Oh putain. T'as pris un truc, elle n'a jamais été aussi grosse." Dis je avec excitation.
"Ta gueule. T'aime ça non ?" me dit il sur un ton agacé.
Ce à quoi je réponds "Oui".
"Alors tend encore plus tout cul et apprécie le moment." répond il.
Je me suis exécuté et sa queue commença à glisser lentement dans mon cul. Il la faisait glisser lentement avant que le gland ne sorte entièrement puis me la remettait entièrement jusqu'à la garde. Il recommença cette action cinq à six fois toujours aussi lentement, puis accéléra le mouvement. Je gémis tellement je jouis du cul. Puis il sort et rentre longuement. J'aime qu'il prenne son pied en défonçant le cul. Il prend son temps et montre, par ce fait, qu'il adore mon boule. Il rentre à nouveau et reste au fond tout en faisant de légers mouvements de bassin. Il est devenu un pro de la sodomie. Jamais je n'avais jouit ainsi avec lui auparavant. Et, comme pour conclure cette défonce magistrale, dans un râle étouffé, il m'inonde le cul d'une quantité incroyable de foutre.
"Alors, t'as pris ton pied ?" me demande mon mec.
Je relève la tête et le vois tout sourire devant moi. Je réalise à cet instant précis que la bite qui m'avait défoncé le cul était encore en moi. Je tourne la tête et vois Pierre, tout sourire, toujours agrippé à mes hanches, la bite encore bien logée au fond de mon cul.
"Je t'avais dit que je t'éclaterai le cul beau gosse. Et putain, le pied. T'es un bon passif." me dit il en déculant.
J'étais encore sur le coup de l'excitation et, avoue en avoir eu encore envie juste après.
Jamais plus cette expérience ne s'est reproduite. Mon mec m'avait avoué n'avoir pas réalisé qu'il aurait été aussi jaloux. Il voulait simplement réaliser un de ses fantasmes qui consistait à me mater me faire défoncer et remplir par un autre. Il n'a plus jamais voulu revoir Pierre après cela. Ce qui m'arrangeait car je ne savais pas si j'aurais réussi à ne pas vouloir regoûter à sa queue.
LE CUL JOUISSIF
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chifourmi · 3 months
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Nan en vrai ce serait mentir si je disais que je ne m'étais pas du tout imaginée aller plus loin avec le Dieu Grec. Il est tellement doux, attentionné, ambitieux, curieux, ouvert d'esprit, beau,... Mais aujourd'hui on a fait un test avec ma meilleure pote. Je voulais savoir s'il était un minimum ouvert à l'idée d'être en couple. Je lui ai tendu une mini perche et on a attendu sa réponse. Finalement, on a interprété différemment sa réaction. Ma meilleure amie l'a interprétée de manière négative et a demandé l'avis de son frère qui l'a interprété de la même manière qu'elle. En gros pour eux c'est mort, il ne se voit pas aller plus loin. Moi je n'avais pas compris sa réaction de cette façon là mais j'ai préféré les suivre dans leur interprétation. Je ne veux pas avoir d'attentes et être blessée donc je préfère me dire que c'est mort. Et j'ai pas envie de gâcher ce qu'on a. Mais c'est quand-même frustrant parce que je n'arrive vraiment pas à le cerner. C'est quand-même lui qui m'avait proposé qu'on aille boire un verre. S'il pensait juste au cul, comme l'a dit ma meilleure pote, il ne m'aurait pas proposé ça? Si? Il faudrait qu'on discute de tout ça une fois pour toute mais j'ai pas envie que quelque chose change entre nous. Je veux pas mettre trop de sérieux dans une histoire si douce et légère. Je crois que j'ai envie que ça continue comme ça. Mais je sais pas pourquoi je me casse la tête. Je crois que c'est parce que je me dis qu'il vaut le coup d'essayer. De mettre mes peurs de côté et de me lancer. Mais je pourrai jamais faire le premier pas sans être sûre qu'il veut bien essayer aussi.
(09/02/2024)
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lalignedujour · 2 years
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Les autres enfants se sont trouvé une passion. La natation synchronisée. Le VTT de descente. L'équitation. Je vais voir mon grand frère au judo. Ça fait longtemps que je viens ici, mais cette année, c'est le plus grand et le plus lourd. Il y a des jeunes qui sont plus jeunes que moi.
Les autres ont des familles. Et moi, j'ai juste grandi. Je me demande quand.
Les autres ados sortent avec différents groupes. Moi, j'ai un groupe, et je les aime. Aucun ne se détache. Je raconte les mêmes histoires à tous les gars du groupe. On sort, on boit. De temps en temps, un gars ramène un grand cousin, un pote du taekwondo, ou de la Brigade Loire. Un plus vieux qui fume et parle de filles.
Les autres ont plusieurs masques. Et moi, je dis la vérité à mes parents. Je me demande pourquoi.
Les autres adultes ont différentes sphères. Les uns disent de la merde en l'absence des autres. Il y a le travail, le couple, la famille éloignée, le potes du kayak, les voisin·es de camping. Ils sont misogynes au barbecue et féministes à la maison - et parfois pire : l'inverse.
Les autres ont des duplicités, des complexités. Et moi, j'apprivoise la multiplicité des complicités. Je me demande comment.
Volo chante :
je suis l'heureux vaincu
l'aveu pas la faiblesse
je ne suis pas une vertu
le comble de la tendresse
je ne suis ni vrai ni faux
compris dans la question
"je t'aime" en un mot
je suis une affirmation
je suis le tout, pas la partie
l'impossible en partage
la réponse qui demande oui
je suis le maitre du chantage
je suis pour l'autre, sans apostrophe
et tout l'art de la catastrophe
l'étreinte dans le geste
je suis celui qui reste
je suis le moins habile
je suis le plus idiot
le moins chanceux
je suis le plus fragile
celui qui est de trop
l'amoureux
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semena--mertvykh · 1 year
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Vis ma vie d'étudiante
Simon et sa tête d'oiseau toujours mobile, curieuse, inquiète.
Simon est le seul de ma classe avec lequel j'ai socialisé sans contrainte. On s'est tout de suite trouvé des points communs et j'ai senti que je pouvais l'emmener sur le terrain de la rivalité, çà resterait bon enfant.
Il n'en revenait pas, de mes virées nocturnes sur la route, alors je lui ai proposé : "Mais quand tu veux on se retrouve sur le Périph la nuit ; mais je te préviens, je vais te mettre deux longueurs dans la vue direct". Il a eu l'air tout déconfit. Le lendemain, comme il frimait avec ses airs d'expert qualité dans la supérette spotify, je lui ai demandé si, en plus du hip-hop et du metal, il écoutait aussi de la musique. Là encore, c'était un régal de le voir démarrer au quart de tour, parce qu'en plus, je pensais ce que je disais. On a brisé la glace comme çà.
A condition que Thibaut, son Âme Damnée, ne soit pas dans les parages (un grand couillon hautain avec lequel les relations sont toujours restées polaires - et qui, lui, pour le coup, deviendrait facilement méchant à la perspective de se faire battre par une fille) ; dans le cas contraire, très élégamment, Simon m'ignore.
Si je dis que je conduis pour pouvoir écouter de la musique et que j'écoute de la musique pour pouvoir conduire, il comprendra tout de suite l'idée
on dit "un délire"
L'autre jour, on s'écharpait par sms sur JPEGmafia ; il plaçait "LP" parmi ses albums préférés de tous les temps, je lui disais que je n'avais jamais accroché mais que par principe, je restais toujours open avec la musique, la preuve : j'avais découvert Tyler, the Creator avec "Call Me If You Get Lost", et j'avais eu le sismographe plat, tout du long ; que "IGOR", avait été mon gros gros crush de 2021. Simon m'a écrit que c'était l'inverse et qu'il avait détesté "IGOR", trop yeezy pour lui. Je lui ai répondu : "C'est parce que "Call me" c'est un album de hip-hop, alors que "IGOR", c'est sa propre réinterprétation de Heartache Avenue à Las Vegas. Inrésumable".
Je ne sais plus comment on en est venus à parler de porno, mais ce qui a démarré comme une discussion entre potes a pris assez vite une tournure personnelle ; et puis, sans prévenir, Simon a commencé à se justifier, comme quoi les films pornos, çà faisait partie d'une réalité humaine incontournable et blablabla
Tu es en train d'essayer de m'expliquer à moi l'utilité des films pornos ? Moi, qui étais célibataire avant même que le mot n'existe ? C'est bien çà ?
Prise d'un doute d'un coup, j'ai demandé : "On discute bien entre potes, hein, pas de malentendu ?". Je me suis même sentie obligée d'ajouter : "Parce que mon kif, en vrai, c'est plutôt (ici, insérer le nom de Prof Sexy)".
Je savais que, dans une semaine, toute la classe allait être au courant de ma fixette, mais qu'est-ce que j'en avais à foutre, on partait tous en stage après-demain. Il m'a répondu : "Mais non pas de souci", et il m'a fait la gueule pendant des jours.
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Celui de gauche, c'est 2021.
Celui de droite, c'est 2022.
Je pense que ça explique la différence énorme entre les deux temps d'écoute. Je n'ai eu Spotify qu'à la fin d'année 2021.
Visiblement, Taylor règne toujours, je ne suis pas vraiment surprise.
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J'ai un truc avec cette artiste, c'est ouf. J'aime 98% de ses chansons, et je dis ça en ayant écouté tous ses albums. Alors que vraiment, je ne relate à pratiquement aucune (je n'ai vécu qu'une seule "relation" qui n'en était pas vraiment une donc... pas de brisage de cœur ou quoi)(après, il ne faut pas résumer ses chansons à celles d'une artiste qui ne fait qu'écrire sur son cœur brisé, elle fait bien plus que ça).
Ses chansons me servent de réveil, et elles comblent mes ennuis ou le silence de mes lectures. C'est même par son biais que je me suis liée d'amitié avec une de mes potes à l'université. Bref, c'est une artiste importante dans ma vie.
Pour ce qui est de Ed Sheeran, 0 surprise, je m'y attendais. Je l'ai vraiment découvert cette année, durant la période du bac. Je l'écoutais du matin au soir, c'était quelque chose. J'ai séché ÷, je connaissais par cœur l'ordre des chansons sur l'album, c'est pour vous dire (je connais rarement l'ordre des chansons, c'est pour ça que c'est significatif). En ce qui concerne sa discographie, j'aime surtout ÷, mais j'adore aussi de nombreuses chansons qui sont sur × et =. + a deux trois bops indéniables pour lui. Je n'ai pas écouté conscenscieusement tous ses albums comme je l'ai fait avec Taylor, et je suis sûre qu'il a d'autres très bonnes chansons. Je suis quand même juste déçue que How would you feel ne soit pas dans le top 5 !
Demi Lovato....... ça fait un moment que je ne l'ai pas écouté.e, mais je devais toujours être dans cette phase en début d'année 2022. C'est vrai que je l'écoutais h24 il fut un temps.
Dua Lipa, je suis étonnée mais pas surprise. J'ai eu une petite période avec elle aussi, surtout en écoutant Boys will be boys. Elle a une longue liste de bons titres, que tu as tous déjà entendu au moins une fois.
Conan Gray par contre ???? D'où il sort ? J'ai dû écouter deux chansons de lui à tout casser, dont People Watching, que j'ai séché comme pas possible, je l'avoue (son placement dans le classement le prouve bien). Je trouve quand même ça surprenant. Il est là uniquement à cause de People Watching. Et de Spotify, qui n'avait de cesse de foutre cette chanson dans mes playlists (mais contrairement à un certain titre n°1, je ne le skippais pas).
Doja Cat, Lady Gaga et Ariana ne sont plus là, ça ne me surprend pas du tout, je n'en ai écouté aucune cette année. J'ai seulement lancé Hold My Hand quelques fois.
Maintenant, passons aux titres....
J'EN AI RAS LE CUL DE When You're Gone !!!! OUI, j'ai eu une petite période où je l'écoutais beaucoup beaucoup beaucoup, mais ensuite elle a juste infiltré toutes mes playlists, et c'était trop chiant. Maintenant je la skippe 99,99999% du temps (le 0,00001 qui manque est dû au fait que je viens de remarquer que pendant que j'écris ça, elle est passée).
Je dois quand même reconnaître que j'ai des souvenirs qui sont liés à cette chanson, notamment quand mon "ex" a commencé à m'envoyer des messages après que je lui ai avoué être attirée par elle, et que je suis tombée dans cette spirale d'anxiété.
People Watching, well, je l'ai expliqué un peu, plus haut dans le post. J'écoutais cette chanson pour ses paroles, je m'identifiais juste un peu.
Bon, Mr.Peanuttbutters song, c'était mon réveil pendant une partie de l'année, donc ceci explique cela. Also, c'est désormais ma sonnerie de téléphone (même si celui-ci n'est jamais en plein son).
Je ne m'explique pas la place de Don't Blame Me ?? Je n'ai pas l'impression de l'avoir tant écoutée que ça. Mais bon, essayer de la chanter est toujours vraiment amusant. La production de cette chanson est incroyable.
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Castle On The Hill, pas surprise de le trouver là, mais je pense qu'il a eu pas mal de compétition quand même. J'adore cette chanson. Je rêve de pouvoir m'identifier à celle-ci, mais en étant réaliste, je ne peux pas. Le nombre de potes que j'ai se compte presque sur les doigts d'une main, je ne pourrais faire une grande réunion de potes en mode ""Qu'est-ce que vous devenez ? Racontez-moi tout, je vous aime trop"
Ce qui m'attriste de fou, c'est qu'en ce moment, j'écoute Halsey h24, je l'ai découverte en octobre et sa musique a été la bande-son de mon mois de novembre, mais je l'ai découverte trop tard pour qu'elle puisse se trouver dans la liste de mes top artistes 🥲 alors que c'est clairement une des seul.es dont je vais me rappeler.
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(GIF issu de la chanson dont je suis amoureuse en ce moment : 3am (Stripped) )(j'adore j'adore j'adore)(et il faut avouer qu'elle est magnifique dans cette vidéo) (je conclus ce post là-dessus)
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coeurencrise · 2 years
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Cowgirl chronique pt.2
À seize ans à peine, je croyais avoir déjà fait l'amour. Alors, quand c'est arrivé, je me suis dit que c'était pas si grave que ça parce qu'au moins, c'était pas ma première fois : j'avais connu l'amour avant que le plus profond de mon être se fasse violenter.
Mais, évidemment, c'est certainement pas à quinze ans que j'ai pu connaître ça. Comme plein d'autres, je confondais sensations avec sentiments. Rien qu'aujourd'hui, je saurais pas dire ce que c'est, faire l'amour. J'étais juste bête et curieuse, à quinze ans. J'étais une môme vicieuse, à quinze ans. J'avais soif de rébellion, à quinze ans.
Je sais pas si l'on est beaucoup à avoir jeté notre virginité dans le feu de nos hormones à cet âge-là, ni si l'on est nombreux à en quelque sorte le regretter. Lorsque je me dis que j'aurais peut-être dû me préserver davantage, je repense au soir où ma vie a dérapé. C'est con mais je pensais pas qu'on pourrait me fendre le cœur en passant par ma chatte. Qu'il suffirait de s'insérer dans cette partie de moi pour me briser l'âme. Comment est-ce qu'un endroit d'où peut venir la vie peut tuer quelqu'un de cette façon là ?
Même aujourd'hui, j'essaie d'en rire pour faire passer le mal-être. Ça me gêne. Je sais jamais comment aborder le sujet. En plus, je supporte pas que l'on ait pitié de moi – alors n'en éprouvez pas à mon égard, s'il vous plaît. Les regards évasifs me gênent, tout comme les silences compatissants. Merde, je perds mes mots. Pourquoi ça coince encore, presque quatre ans après ? Et pourquoi faut-il que j'y pense chaque foutue journée ? Que ça me traverse le crâne une ou dix fois, c'est la même. Ça reste.
Putain. Je veux pas qu'on me perçoive comme une victime.
Je déteste ce terme. C'est pas vrai, je suis pas une foutue victime. Je me suis démenée avec la vie pour en arriver là, gardant la tête haute en toutes circonstances. Ouais, j'ai tout fait pour être forte. J'ai jamais pleuré à cause de ça. OK, si, une ou deux fois. Parce que je me sentais trahie et que j'ai vu le monde se retourner contre moi. J'avais seize ans, merde. J'avais seize ans et j'espérais enfin pouvoir trouver ma place. J'avais tout pour moi, et ce que j'aurais voulu garder de cette époque, j'ai jamais pu en faire grand chose parce que tout m'a soudain été dérobé.
Tout ce dont j'avais besoin, c'était d'entendre quelqu'un me dire que j'étais forte. Ça va me faire chialer. J'ai toujours envie de crier, de prêter ma voix à la moi de seize ans décidée à donner de la résonance à ses propos. C'est aujourd'hui que je le fais. Pour de vrai, enfin. Flics de merde, proches de merde. Potes, mon œil. Justice, mon cul. Je me coltinais des crises d'angoisse tous les jours et essayais tant bien que mal de garder la face, entourée de gens qui faisaient semblant de ne rien voir. Les fils de putes.
J'ai tant souffert pour vous, bande de salauds. Dire que je culpabilisais afin de pouvoir vous pardonner, me disant que c'était le seul moyen de passer au-dessus. J'avais même pas la haine, préférant que ça tombe sur ma gueule plutôt que sur celle d'un.e plus fragile que moi, naïvement persuadée d'avoir les épaules assez solides pour tout endurer. J'étais prête à préserver la bonté de mon cœur coûte que coûte.
Laisser les ténèbres m'avaler, ça aurait été perdre. Mon âme n'est pas faite pour la défaite. L'acte en lui-même, passe encore. Le pire, c'est l'ampleur que ça prend avec le temps. Pendant des années, la moindre présence masculine m'a fait flipper. Un souffle sur mon cou, un regard baladeur et voilà qu'une alarme menaçant de tout faire péter se déclenchait. J'avais fini par tout craindre, de l'intimité à mon reflet. Je voulais cracher sur mon corps et l'abîmer histoire d'effacer tout ce qui l'avait déchiré de l'intérieur. Me laisser toucher était impensable alors que j'étais persuadée de pouvoir panser mes plaies en couchant avec d'autres mecs. Je me disais que ça me soignerait – il m'a fallu trois ans pour parvenir à le faire avec quelqu'un.
À l'heure actuelle, l'idée que ça puisse arriver de nouveau me tétanise tout de même un peu. Est-ce que je pourrais mieux m'en remettre, si jamais ? Ou est-ce que je m'effondrerais complètement et pour de bon ?
La gamine que j'étais a longtemps pensé qu'il fallait que je meure pour espérer renaître. Coupables ou complices, c'est la même. Voleurs de jeunesse. Crevards. J'ai même fait du vaginisme. Dans presque tous mes cauchemars, je finissais par me faire agresser ou violemment buter. Le côté positif, c'est que dans le monde onirique, je parvenais à me débattre en hurlant.
Jamais je ferai volontairement prendre une tournure poétique à cette horreur. Y a rien de beau dedans. Mes mots sont dégueulasses parce qu'un viol, ça l'est. Je vais pas l'édulcorer avec des formules délicates. Pas envie de faire de rimes ou de jouer avec les syllabes. Seules des insultes me viennent à la bouche et il faut qu'elles sortent.
J'avais seize ans, la putain de sa mère. Évidemment que le sexe ne serait plus que meurtre et violence après ça. J'ai dû tout réapprendre, comme un animal apeuré. Plus de temps me guérira définitivement, j'y crois. Des caresses et des baisers tendres aussi.
C'est peut-être pour ça que je crève d'envie de faire l'amour.
Enfin bon. Puisse le moi d'avant reposer en paix, maintenant.
Tout ira mieux. Le vent se lève et chasse les troubles passés. Il faut tenter de vivre.
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