Tumgik
#qui m'a clairement émerveillée
clementine-circaetis · 5 months
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13 janvier 2024. Souvenirs.
©Clémentine Circaetis
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christophe76460 · 6 months
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LA VILLE DE LA MISÉRICORDE ( SUITE EST FIN) Par Aston Mbaya du Congo
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Quand nous sommes arrivées au bout de cette avenue du Paradis, nous sommes arrivés devant la brillante Gloire du mur de jaspe. Le mur de la ville est en Jaspe et la ville est en or pur, comme du verre transparent. La ville avait une grande et haute muraille avec douze portes inscrites avec les noms des douze tributs d'Israël, et douze anges aux portes. Devant le mur majestueux qui entoure la ville, J'ai vu une myriade et une myriade d'anges. Il y avait d'innombrables orchestres du Ciel jouant de la musique dans cet endroit. Nous sommes entrés dans ses portes avec reconnaissance et dans ses parvis avec louange. Nous sommes entrés dans le portail du Paradis en chantant un chant d'adoration. Nous étions émerveillés et très étonnés. J'ai ensuite été présenté aux 47.009 Villes du monde céleste. Chacune des villes du Paradis était entouré d'un mur et gardée par des anges, et elles portaient des noms spécifiques. J'ai d'abord visité la cité des abandonnées, puis j'ai été emmené dans la cité de la Miséricorde. Quand nous sommes entrés dans la porte de la cité de la Miséricorde, J'ai vu d'innombrables Anges jouer une mélodie céleste devant le mur de la ville. J'ai remarqué qu'ils chantaient des chansons tristes. Le chant céleste concernait les croyants apostats, qui ont abandonné le Seigneur Jésus pour le plaisir de ce monde. L'ange a chanté pour les croyants apostats qui devraient revenir au Seigneur. Bien que c'étaient des chansons tristes, les anges n'étaient pas tristes mais Joyeux car il n'y a pas de tristesse au Ciel. Ils chantaient au Seigneur pour récupérer les apostats qui sont leurs frères, amis et familles, qui ont abandonné le chemin du Seigneur.
Frère, Quand la porte de la cité de la miséricorde a été ouverte, J'ai vu d'innombrables demeures du ciel à perte de vue. Il n'y avait aucun résident dans ces demeures de lumière. J'ai vu qu'ils étaient des anges de Dieu à l'intérieur de ces demeures de lumière. Puis j'ai vu que les maisons de la cité de la Miséricorde n'étaient pas terminées, il y avait des maisons dans la fondation. Il y avait des maisons à mi-chemin et c'étaient des maisons presque inachevées. J'ai vu que les briques qui sont utilisées pour la construction de ces demeures de lumière étaient dorées et qu'elles portent les noms des Saints qui possédaient ces propriétés. La 1è maison que J'ai vu sur ma gauche était un manoir. C'était comme un immeuble ou un appartement de plusieurs niveaux. C'était un appartement d'environ 25 niveaux. J'ai vu clairement que le bâtiment n'était pas terminé. Les noms des propriétaires étaient inscrits sur chaque brique de ce manoir. La construction était censée continuer, mais elle a été arrêtée. Puis j'ai vu le nom du propriétaire sur le bâtiment écrit sur un tableau. J'ai alors vu les anges bâtisseurs de ce palais debout devant ce manoir de lumière.
Quand j'ai regardé, j'ai vu qu'ils répétaient les mêmes choses encore et encore. Ils disaient :<< Seigneur, aide notre frère qui a dévié à retourner sur le chemin. Seigneur, aide notre frère qui a dévié à revenir sur le chemin.>> J'ai vu que les bâtisseurs des anges étaient aussi des intercesseurs car ils intercédaient tous pour les déviants qui étaient revenus dans le monde. Puis je remarqué devant ce manoir inachevé, il y avait un autel et du Sang coulait de l'autel.
J'ai entendu une voix émanant du Sang qui coulait de l'autel. La voix intercédait et plaidait pour l'âme du propriétaire de cet appartement de lumière qui a dévié et est revenu au monde. Je ne pouvais pas comprendre ce qui se passait ici. J'ai dit :<< Pourquoi le Seigneur m'a-t-il amené ici ?>> J'étais avec l'ange de Dieu quand soudain nous avons été rejoints par le Seigneur Jésus Christ.
Quand le Seigneur est venu, il a dit :<< Aston, cette cité de la Miséricorde et ces maisons appartiennent à des chrétiens. Ils étaient Mes enfants, et ils marchaient dans Ma Parole et Mes Principes et ils m'ont servi, mais aujourd'hui ils sont apostats et ils sont revenus dans le monde. D'autres ont eu recours à l'occultisme.>> Le Seigneur a dit :<< Le Sang dans l'autel est le Sang que J'ai versé sur la croix et la voix qui parle dans le Sang est Mon Intercession. J'intercéde, Je supplie et Je pleure chaque jour pour que ces âmes qui ont dévié reviennent sur le chemin. Je fais Tout ce qui est possible pour que ces Chrétiens rétrogrades reviennent à Moi. J'essaie d'innombrables façons de les faire revenir, même ceux qui sont entrés dans la magie et l'occultisme.>>
Quand J'ai entendu cela, je n'étais pas content. J'ai dit :<< Pourquoi le Seigneur prend-il soin de ceux qui ont recours à l'occultisme pour avoir des églises et de l'argent ? Dans le monde, nous critiquons et condamnons les pasteurs qui ont recouru à l'occultisme, mais le Seigneur Jésus se soucie toujours d'eux. J'ai vu les chrétiens de la terre ont des attitudes différentes envers les hommes de Dieu déviants qui ont recouru à l'occultisme pour la gloire. Je pensais que le Seigneur était en colère contre eux et pourtant le Seigneur Jésus intercédait et pleurait pour eux afin qu'ils reviennent vers lui, mais mon instinct était que ces Pasteurs travaillant pour le diable devraient payer pour leur action en Enfer. Le Seigneur qui a lu ma pensée a dit :<< Au Ciel, il n'y a ni rancune, cependant, lorsque Mes enfants dans le monde ont appris que l'un d'eux est tombé, à dévié et a recouru à l'occultisme, cela est devenu un sujet des ragots et l'âme perdu sera rejetée à cause de ses lacunes et de ses péchés, mais Je pleure et Je fait Tout ce qui est possible. Afin que ces âmes qui ont construit ces maisons rejoignent leurs maisons. Ces gens sont revenus dans le monde et ils ont rétrogradé Mais Mon désir est qu'ils reviennent sur le chemin.>> Le Seigneur a dit :<< Dans ce royaume, il n'y a pas de haine. Il n'y a ni méchanceté ni rancune,on ne combats pas son frère.>>
Jésus a dit :<< Ces frères dont vous pensez qu'ils devraient aller en Enfer ont trébuché et sont tombés le matin, vous ne savez pas si vous tomberez le soir. De nombreux Saints de la terre ne savent pas s'il tomberont demain. Vous devez suivre Mon chemin aujourd'hui. J'intercéde pour mon peuple et Je vous demande d'intercèder pour vos frères qui sont tomber dans le péché et l'occultisme. Vous devriez Prier pour qu'ils reviennent sur le chemin. Dites à l'église de ne pas les rejeter mais de toujours intercéder. Voici, ce sont leurs manoirs et leurs bâtiments qui remplissent la cité de la Miséricorde.>>
Le Seigneur a dit :<< Ce bâtiment ici appartient à Ma servante Maria d'Espagne. Elle a dévié, mais sa maison à atteint ce niveau. C'est presque terminé, car elle me servait de tout son cœur. Elle soutenait les orphelins,sa famille et mon travail.
Le Seigneur a dit :<< Dites à l'Eglise de soutenir d'abord les orphelins, deuxièmement les veuves et troisièmement leurs familles et ensuite Mon travail.>>
Le Seigneur a dit :<< Chaque fois que vous voyez un croyant vivre dans le péché, puisque vous l'avez remarqué, vous devez Prier et intercéder pourqu'il revienne sur le chemin. Cette dame me servait fidèlement et elle faisait beaucoup de bien à son mari Jusqu'au jour où elle a surpris son mari en flagrant délit d'adultère. Elle a été blessé. Elle a dit dans son cœur :<< J'ai servi le Seigneur de tout mon cœur et J'ai pris soin de mon mari, mais c'est ainsi qu'il me paie.>> C'est alors qu'elle a abandonné et a blâmé Dieu pour ce qui s'était passé, et elle est revenue dans le monde. Je lui ai envoyé ma servante pour qu'elle puisse revenir sur le chemin, mais elle a endurci son cœur, et elle est maintenant dans la prostitution. C'est pourquoi ces Anges se tiennent ici, intercédant et demandant à Dieu de ramener leur sœur en chemin. Il est écrit dans Ézéchiel 33:11, Je ne prends aucun plaisir à la mort des méchants.>>
Frère, Nous devons Intercéder pour les apostats car ils ont des maisons dans le Ciel qui sont vacantes et Inachevées.
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eirunnsworld · 5 years
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Mon accouchement de rêve ❤️
Parce que je veux garder une trace écrite de ce souvenir, et aussi parce qu'on voit bien trop de témoignages d'accouchements catastrophiques, longs, laborieux, je tiens à faire le récit de ce qui fait partie d'un des plus beaux souvenirs et des meilleurs jours de ma vie.
Mardi 1er Octobre 18h, Alex s'en va au sport, j'ai une douleurs qui me prend dans le bas du dos et du ventre, mais je ne me rends pas compte de suite que ce sont des contractions, je le laisse partir, 18h15, j'envoie un message à ma mère "je crois que le travail a commencé", j'étais occupée à préparer le repas, les contractions me donnent l'impression de ne jamais s'arrêter du coups j'abandonne les légumes farcis à leur sort et vais m'allonger sur le canapé, elle m'appelle, et me dit qu'au vu des contractions que j'ai il me faut partir pour la maternité. Mince et Alex qui n'est pas là... Ma pauvre maman s'inquiète de me savoir seule à la maison avec des contractions aussi rapprochée. (En fait je ne suis pas seule, Gandalf notre chien vient me coller sa truffe humide contre ma joue à chaque contractions pour m'apporter son soutien).
J'appelle Alex, il est 18h49 il vient d'arriver au sport "en fait tu peux revenir", ni une ni deux le voilà à nouveau au volant, je sais que dans 36 minutes il sera à la maison, je reste sur mon canapé à attendre tranquillement.
Ça y est, il vient d'arriver, un petit message pour rassurer maman, je ne suis plus toute seule, on décide de me faire couler un bain chaud comme nous l'avait conseillé notre sage-femme, on appelle quand-même la tante d'Alex (sage-femme également) pour qu'elle nous rassure et nous conseille, elle nous dit que le bain c'est bien et qu'on a encore du temps, allez zou à l'eau !
Je ne resterai pas longtemps immergée, une contraction aura raison de la poche des eaux qui se rompt d'un coups, je lance un "mon loup j'ai perdu les eaux" à un Alex occupé à donner un semblant d'ordre à la cuisine et aux légumes farcis qui attendent toujours qu'on s'occupe d'eux, bon ils ne sont pas à plaindre il ne restait qu'à les enfourner...
Je me sèche et m'habille et nous voilà dans la voiture avec 45 minutes de route devant nous pour atteindre la maternité. Je dois reconnaître que supporter un trajet aussi long avec des contractions on a déjà vu plus agréable... Mais qu'à cela ne tienne, nous voici devant les portes de la maternité.
On nous installe dans une petite pièce pour le monitoring, on me dit que je suis à 4cm (ô joie les contractions sont efficaces !) le monitoring est installé et me voilà partie pour 30 minutes, les plus horribles moments de mon accouchement, j'avais pour projet d'accoucher sans péridurale, le doute s'insinue en moi, on m'a expliqué que la douleur augmente au fur et à mesure, je me demande si j'arriverai vraiment à gérer une douleur plus forte que celle que je ressens... La sage-femme revient, elle me dit qu'elle a lu mon projet de naissance, souhaite savoir si je veux toujours faire sans péridurale, je lui fais part de mes doutes, mais je lui dis que j'aimerais vraiment réussir à faire comme je l'avais prévu, elle me rassure en me disant que c'est possible et qu'on va tout faire pour. Elle m'enlève le monitoring, elle m'a préparé un bain chaud dans la salle d'accouchement physiologique qui sera la mienne pour le reste de l'aventure, je me mets debout et la miracle, j'ai l'impression de ne plus avoir mal, je marche sans problème, les contractions sont toujours là mais elle ne me dérangent absolument pas, totalement rassurée je suis confortée dans mon choix d'un accouchement naturel.
Me voici dans la salle physiologique, c'est avec une grande joie que je m'immerge dans la baignoire d'eau chaude, la j'ai carrément l'impression de ne plus avoir mal du tout, j'y reste 2h environ à accompagner chaque contractions.
Au bout de ces 2h la sage-femme me fait sortir pour m'examiner, mon col est à 8cm (hourra!) Un nouveau monitoring s'impose, mais cette fois je ne reste pas couchée, je fais un peu de ballon le temps qu'il soit posé, c'est plus facile à supporter. bébé va toujours très bien.
Une fois le monitoring enlevé je retourne patauger un peu avec pour consigne d'appeler si l'envie de pousser se fait trop forte.
Je reste immergée environ 1h, et avec un sens du timing incroyable la sage-femme arrive au moment où je dis à Alex qu'il faut l'appeler parce que la clairement quelques chose à changer et je commence à pousser.
C'est tout de même avec une certaine surprise que je constate que plus le travail avance, moins j'ai l'impression d'avoir mal, moi qui m'attendait à souffrir le martyre, je n'aurais eu vraiment mal que le temps du premier monitoring couchées sur le lit.
Je m'installe sur la table d'accouchement, nouvel examen, on est à 9-10 cm bébé a commencé à s'engager mais n'est pas totalement descendu, deux choix s'offrent à moi, soit on attend un peu qu'elle descende, soit on se lance de suite et on pousse. Je choisi la deuxième option, après tout je pousse déjà à chaque contractions.
Et nous voilà lancés dans la dernière ligne droite, pas encore parents mais plus proche que jamais de le devenir. Je me rends compte que je ne fais que mentionner Alex, alors qu'il a tenu un rôle capital dans mon accouchement, c'est grâce à lui si tout s'est aussi bien passé, il m'a tenu la main tout le long, a mis en pratique nos cours d'haptonomie pour faire bouger bébé pendant les contractions, m'a massé le dos pendant que j'étais sur le ballon, a envoyé des messages à ma mère pour la rassurer, m'a parlé pour me changer les idées, a prit ma douleur pour la canaliser, et surtout il m'a aimé, de cet amour si fort qu'il ne cesse de grandir depuis 5 ans et demi, cet amour qui me donne la force de soulever des montagnes, ou en l'occurrence, d'accoucher sereinement.
Et donc nous voilà installés pour accoucher, je suis allongée sur le côté, jusqu'à cet instant je n'avais aucune idée de la position dans laquelle j'aimerais accoucher, et finalement c'est comme ça que je me sens le mieux.
Alex est mit à contribution, d'une part pour se faire broyer le pouce pendant que je pousse (rime riche...) D'autre part pour tenir le capteur qui permet d'entendre le coeur de bébé.
Je ne sais pas combien de temps aura duré cette partie, la tête de bébé sort sans trop de soucis "on ne dirait même pas que vous êtes en train d'accoucher" me dit la sage-femme.
Ensuite nous avons eu une petite frayeur, de très courte durée, l'épaule de bébé est bloquée, la sage-femme et sa collègue (nous sommes en comité réduit) me retournent telle une crêpe pour me passer sur le dos afin de débloquer bébé, la manœuvre ne dure que quelques secondes, je pousse une dernière fois, et la, le premier cri.
1h23.
Ça y est. C'est officiel, tu n'es plus dans mon ventre, mais après un examen visuel sommaire, au dessus, et mes bras se referment autour de toi, mon bébé.
Alex un peu sonné vient se coller à nous de façon à pouvoir admirer bébé. Freya, Notre Valkyrie, notre déesse, ça aura duré 7h30 environ, et te voilà.
Nous admirons notre œuvre, tellement émerveillés, elle est parfaite, c'est comme si nous l'a connaissions déjà, et ses petits pieds contre mes côtes ne sont pas sans me rappeler ces mêmes petits coups que je ressentais de l'intérieur encore quelques heures avant.
Les soins nous sont prodigués avant de nous laisser tout les trois faire plus ample connaissance. Nous voilà installées en peau à peau pour une première tétées.
Je me sens bien, je n'ai pas mal, je suis juste ravie, tout s'est passé à merveille, et je tiens contre moi la plus belle création de ma vie.
Je garde un excellent souvenir de mon accouchement. Il ne ressemblait pas vraiment à ce qu'on m'avait apprit, il ne ressemblait surtout pas à ce qu'on voit dans les films, j'ai vraiment eu un accouchement super (et étonnamment rapide pour un premier aux dire de l'équipe de la maternité), mais je trouve important que les futures mamans sachent qu'un accouchement n'est pas forcément une torture, que ça fait mal certes, mais qu'avec une bonne préparation, et de la détermination il peut être vécue comme une expérience magique et laisser un souvenir positif.
Aujourd'hui ça fait 23 jours que Freya est parmi nous, et c'est avec énormément de plaisir que je me replonge dans le souvenir de son arrivée.
Freya, 1h23 le 2 Octobre 2019
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arianblodeuwedd · 6 years
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Familie
Première fois
Cinq mois. Le temps passe sans que l'on s'aperçoit et avec lui, la vie grandit. Déjà cinq mois que la grossesse a débuté et Thomas arborait clairement une bosse facilement perceptible, prouvant l'existence d'un bébé en bonne santé. Mais cela voulait aussi signifier que le jeune homme pouvait faire moins de choses avec l'accumulation du poids en plus sur son corps, le petit souffrait de chevilles et pieds enflés, maux de dos et de fatigue. Alors l'une des rares activités que Thomas pouvait continuer sans trop se fatiguer était les jeux. 
C'est justement ce que les deux hommes étaient entrain de faire. Damien avait la pose typique du gamer concentré et Thomas s'était installé plus confortablement dans le canapé, les pieds sur la table basse, un grand verre de jus de fruit et un paquet de pâtes crues ouvert à côté de lui dans lequel il se servait allègrement. Cela faisait une ou deux heures que les deux hommes jouaient à Battleblocks theater mais quelque chose continuait de perturber le plus petit.
"Putain j'ai pas l'écharpe. J'me sens pas bien."
"C'est juste une écharpe, stresse pas non plus."
"Je sais mais j'me sens nul sans mon écharpe!"
"Il n'y a pas que sans ton écharpe que tu es nu."
Thomas s'arrêta et regarda le plus grand qui le fixait avec une pathétique représentation de Lenny face. Ils ne se dirent rien puis le bouclé éclata de rire, lançant un coussin à Damien qui le rattrapa et sourit.
"T'es con! Pourquoi j'reste avec toi?"
"Parce que tu ne peux pas te passer de moi et de Mini Damien!"
"Connard! J'vais m'venger!"
Pour accompagner ses mots, Thomas frappa le personnage de Damien qui tomba dans l'eau, se noyant. Un sourire narquois naquit sur ses lèvres au grommellement du plus grand qui pesta.
"Tu vas voir si ce sera toujours drôle après!"
Tout au long de la partie, les deux ne firent que s'entre-tuer, n'essayant même plus d'avancer dans l'aventure et de terminer le niveau. Mais pendant le "combat", Thomas eut un petit sursaut et cri de surprise qui le fit lâcher la manette et tomber son personnage dans l'électricité. A l'entente du petit cri, Damien se tourna vers lui, un sourire narquois sur son visage.
"Pourquoi t'as crié? Est-ce à cause de mes fabuleux skills? Je sais que je te fais de l'effet et que mes grandes capacités t'éblouissent mais n'ais crainte!"
"C'est pas toi! C-ça a bougé!"
"De quoi? Qu'est-ce qu'y  a bougé? Ton perso? C'est normal ducon!"
"Mais non abruti! Pas le perso! Le bébé! Tu sais, celui que tu m'a foutu dans l'ventre!"
A ces mots, Damien se figea et se rapprocha rapidement de son amant, regardant son ventre arrondi comme hypnotisé. Il poussa une de ses mains et colla une oreille et attendit. Pendant quelques minutes il ne se passa rien mais ses yeux s'écarquillèrent quand un coup se fit sentir. Il releva la tête vers Thomas, le visage choqué avant de prendre une expression de joie pure. Le bouclé se sentit attendri en voyant son compagnon aussi heureux pour quelque chose de "banale". Ce sourire de bonheur et ce regard d'enfant émerveillé lui donnait un aspect adorable. Il se doutait bien que Damien serait ce qu'on pourrait qualifier de "papa poule", qu'il gâterait leur enfant sans relâche. Avant qu'il ne put comprendre, Thomas se sentit soulever et tourné dans les airs, le rire de son amant résonnant dans ses oreilles, son regard bleuté plongé dans le sien, le bonheur toujours présent. Le bouclé fut ensuite plaqué contre le corps plus grand tout en étant porté en position nuptial.
"Je suis si heureux! J'savais même pas qu'on pouvait être aussi heureux par ce genre de truc! Notre bébé a bougé! Mini pousse a bougé! Et dans quelques mois il sera là! J'lui apprendrai à jouer au foot!"
"Je te jure que si tu lui apprends ce sport, je t'étripe et ce sera abstinence à vie!"
Il n'eut comme seule réponse un rire plus bruyant et se sentit être dirigé hors du salon. Son regard se fit inquisiteur, fixant Damien qui n'avait qu'un sourire sur son visage.
"Où est-ce que tu m'emmène?!"
"Dans la chambre, faut bien fêter ça!"
"T'es con! En plus on dirait un beauf!"
"Peut-être mais dans quelques mois on pourra le faire moins souvent alors autant en profiter et fêter le premier mouvement de bébé Laguionie!"
Damien n'avait pas tord, autant en profiter avant que le fameux paquet arrive. Et puis, ça fait un moment qu'il n'a pas vu Mini Damien.
Bonus:
Damien essayait vainement de dormir mais c'était sans compter la mère  de son enfant qui l'en empêchait
"Putain Damien, je te jure que dès que le petit sort, je te castre!"
"Je suis désolé mais je tiens à mes bijoux de famille."
"Tu n'avais qu'à y réfléchir avant de me faire un gosse!"
"Chéri, pardonne moi bébé! Mais je peux dormir? S'il te plais! Je ferais ce que tu veux!"
"Crève! Si je peux pas dormir à cause du bébé, tu dormiras pas non plus!"
Damien ne répondit que par un gémissement plaintif, tentant de cacher sa tête sous l'oreiller dans une faible tentative de dormir, sachant que ça ne servirait à rien.
A partir de maintenant, il s'assurera qu'il porte une capote avant de s'amuser avec Thomas.
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leroyaumedesmots · 6 years
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Prompt : “Are you upset with me?” (Marichat)
— Tu es en colère après moi ?
Les oreilles de Chat Noir s’aplatirent tristement sur sa tête alors qu'un silence froid répondait à sa question.
Cela faisait déjà dix minutes qu'il était arrivé chez Marinette, souriant et heureux de la retrouver, mais celle-ci ne lui avait même pas accordé un regard, l'ignorant ostensiblement. Installée à son bureau, elle prétendait être absorbée par la confection d'un quelconque vêtement et n'avait répondu à aucune de ses questions.
Clairement, elle était en colère.
— Je peux au moins savoir pourquoi ? demanda-t-il en s'approchant d'elle, sincèrement confus.
La dernière fois qu'ils s'étaient vus, tout s'était bien passé. Ils avaient regardé un film en se câlinant et en riant doucement pour ne pas réveiller les parents de la jeune fille. Ça avait été une bonne soirée. Alors pourquoi semblait-elle tout à coup contrariée ?
— J'ai fait quelque chose de mal ?
Les yeux rivés sur son travail, Marinette ne répondit rien, mais il aperçut la contraction de sa mâchoire et il déglutit, mal à l'aise. C'était leur première dispute. Et il n'en connaissait même pas la raison.
Dans un élan qu'il espérait romantique et convaincant, il se laissa tomber à genoux juste à côté d’elle, joignant les mains dans une supplique désespérée.
— Princesse, s'il-te-plait, parle-moi !
D'un mouvement sec du pied, Marinette fit pivoter sa chaise, lui tournant le dos. Dépité face à ce nouveau rejet, le garçon s'assit sur le sol.
— Je suis désolé d'accord ? Je n'ai aucune idée de pourquoi, mais je t'assure que je suis vraiment désolé.
Ces excuses, plutôt que de résoudre le problème comme il l'avait espéré, eurent au moins le mérite de libérer la colère de son amie. Faisant à nouveau pivoter sa chaise, elle s'arrêta pile en face de lui, ses yeux bleus le fusillant sur place.
— Tu n'as aucune idée de pourquoi ? siffla-t-elle d'un ton qui n'augurait rien de bon pour ce pauvre Chat Noir, paralysé de terreur.
— J-Je t'assure que non...
— Tu as raconté à quelqu'un qu'on sortait ensemble ! s'exclama Marinette, excédée.
Les yeux du garçon s'écarquillèrent de surprise. C'était juste pour ça ?
— Mais on sort ensemble !
— Et je ne connais même pas ton prénom ! Tes visites ici étaient supposées rester secrètes ! Qu'est-ce qui t'as pris d'aller le raconter au premier venu ?
— Mais Marinette, je n'ai pas...
— Ah non pardon, le coupa-t-elle, lancée dans sa tirade de colère. Pas au premier venu. A Adrien Agreste. ADRIEN. Comment tu as pu faire ça ? Tu sais très bien que c'est mon ami ! Est-ce que c'est parce que tu étais jaloux du crush que j'ai eu sur lui avant de tomber amoureuse de toi ?
— Ce n'est pas....
— Et maintenant Adrien sait que j'ai un petit copain. Et il m'a fait la remarque ce matin à l'école. Devant toute la classe ! Tous mes amis me harcèlent pour savoir qui est mon mystérieux amoureux. Qu'est-ce que je suis supposée leur répondre ?
Chat Noir ne répondit pas, renonçant à ses tentatives d'explications. Il voyait le problème maintenant. Il avait effectivement fait quelque chose de mal, mais pas comme Marinette le pensait.
Bon sang, pourquoi avait-il fallu qu'il la taquine ce matin ? Sur le moment, ça avait été trop tentant, mais avec le recul, il réalisait à quel point c'était stupide.
— Je suis vraiment désolé, Marinette.
Cette fois, les excuses eurent l'effet désirée. Libérée de sa colère, la jeune fille expira doucement avant de tendre la main pour la passer dans les cheveux blonds de son super-héros de petit-ami.
— Pardon de m'être emportée, s'excusa-t-elle à son tour en lui grattant la tête. Mais tu m'as vraiment mise dans le pétrin, stupide chaton.
Sous l'effet de ses caresses et soulagé que leur dispute soit tassée, Chat Noir se mit à ronronner doucement, heureux de retrouver sa princesse. Celle-ci resta silencieuse un moment, songeuse, avant de formuler ses pensées à voix haute.
— Ce serait tellement plus simple si je savais qui tu étais. Je sais que ton identité doit rester secrète mais... parfois ça me manque de ne pas pouvoir avoir de vrai rendez-vous avec toi. De ne pas pouvoir te présenter à mes amis, à mes parents. J'adore nos tête-à-tête secrets mais...j'aimerais pouvoir officialiser notre relation.
Réalisant ses paroles, elle rougit légèrement et tourna son regard vers Chat Noir, dont le ronronnement s'était brusquement stoppé. Elle se retrouva face à deux grands verts qui la contemplaient, émerveillés et définitivement amoureux.
— C'est vraiment ce que tu veux, Princesse ? chuchota-t-il.
Marinette se sentit rougir encore plus fort.
— Ce ne sont que des divagations. Je sais que c'est impossible, et dangereux. Et puis, Ladybug t'en voudrait certainement à mort, ajouta-t-elle avec un petit rire nerveux. Oublions ça et essayons de profiter de notre soirée, d'accord ?
Chat Noir acquiesça, visiblement pensif.
— Tu as probablement raison.
* * *
Le lendemain à l'école, Marinette passait une très mauvaise matinée. Les questions sur son petit-ami secret fusaient de tous les côtés et elle s'était résignée à devoir les éluder jusqu'à ce que les choses se tassent. Malheureusement, pour l'instant, elle n'avait droit à aucun répit, principalement parce que la plus curieuse de tous les élèves de l'école se trouvait être sa meilleure amie.
— Allez Marinette, comment tu peux me cacher ça ? insista Alya pour la quinzième fois de la journée. Donne-moi au moins son nom ? Ou la première lettre de son prénom ?
— Alya, soupira la jeune fille. Est-ce qu'on peut parler d'autre chose ?
— Pas tant que tu ne m'auras pas donné au moins un indice. La couleur de ses yeux ?
Marinette sourit malgré elle. Cette information, elle la connaissait, mais elle n'avait pas envie de la partager.
— Hé Marinette, je peux te parler ?
Surprise, l'adolescente tourna la tête pour découvrir Adrien qui lui souriait timidement. Elle accepta d'un léger signe de tête, et le suivit jusqu'à un coin reculé de la cour de l'école.
— Je voulais m'excuser pour hier, commença le garçon en se frottant l'arrière de la tête. Je n'aurais pas dû dévoiler une information sur ta vie privée sans ton consentement.
— Ce n'est pas grave, assura Marinette. Tout le monde peut faire des erreurs.
Son ami lui adressa un grand sourire.
— Je suis heureux que tu le prennes comme ça ! Mais...je voulais aussi préciser...Ce n'est pas Chat Noir qui m'a dit que vous sortiez ensemble.
L'adolescente fronça les sourcils, ne s'attendant absolument pas à ça.
— Qui alors ?
— Toi.
— Moi ?
Cette fois, elle était définitivement perdue. De quoi parlait-il ?
— Enfin, tu ne me l'as pas vraiment dit. Tu me l'as plutôt...montré. En m'embrassant.
— Que...
Alors que les informations s'assemblaient dans sa tête, Marinette écarquilla les yeux de stupeur. Face à elle, Adrien lui souriait narquoisement. D'un sourire qui ne lui appartenait absolument pas puisque c'était celui de...
— Chat Noir ???
— Je pense qu'il est temps d'officialiser notre relation, Princesse.
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ouestori · 7 years
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Aujourd'hui, 12 Décembre 2017, était une des meilleures journées de ma vie.
Hier soir nous étions dans la medina de Chefchaouen. Max, Karoline et SophieMarie se moquent souvent d'une erreure de prononciation que je pratique régulièrement dans mon anglais, hier soir tandis que Max remettait cela sur le tapis, d'un magnifique frenglais je dis "maintenant je vais parler avec l'accent de mon pays, et bon courage pour me comprendre." Sur notre fou-rire débarque un couple de Français qui s'adressent à moi, et nous annoncent être à la recherche de compagnon de route pour leur excursion au cascades d'Akchour. Tout contents, nous acceptons les filles et moi l'invitation (Max devant partir le lendemain/ce matin).
Et ainsi commença notre propre excursion. Ce matin Sophie' était malade, et nous sommes donc aller à Akchour avec Karoline. Arrivées sur places, aventurières assurées nous partons devant. Au croisement, les gens qui nous accompagnent décident de descendre la vallée et nous décidons de grimper sur la montagne.
Joyeusement nous crapahutons, sur un chemin étroit mais agréable, jusqu'au fameaux Pont de Dieu : pont placé sur une impressionnante arche naturelle. Pleines d'énergie, nous décidons qu'ayant monté par la droite à l'aller, nous allons descendre "la vallée" sur la gauche et "rentrer en longeant la rivière.
Dès le début, nous sentons que le sentier ne sera pas aussi prêt à nous recevoir que le précédent, mais décidons à chaque nouvel obstacle de continuer. Sans en prendre pleine conscience, un peu d'escalade se mêle à notre escapade. (Le moment pour moi d'annoncer que Karoline est instrutrice d'escalade). Avec un sentiment de sécurité, dans une température agréable et désireuse d'aventure, nous avançons à travers un chemin qui très vite disparaît. Arrivé au près de la rivière, nous remarquons qu'aucun sentier n'est prêt à nous accueillir, et nous distinguons un presque-chemin en face. Alors que nous avons le choix de continuer de crapahuter ou de traverser la rivière, nous eliminons vite l'option de traverser car le courant semble mortel et - même si nous sommes au Maroc- c'est l'hiver et la température de l'eau ne nous inspire pas confiance. Nous crapahutons de haut en bas, notre balade est transformée en crapahute complète, et nous nous retrouvons à nouveau face au même choix : traverser ou grimper. La, nous eliminons l'option grimper car la montagne est très humide, et la végétation ne semble pas assez solide pour se la jouer à la Avatar.
Ni une ni deux, chaussures dans les mains, nous plongeons les pieds dans l'eau froide et traversons un courant plus calme que celui rencontré quelques mètres plus haut. Arrivées de l'autre côté, notre fierté d'aventurière est à son comble. Sans l'avoir exprimé jusqu'ici, nous avons toutes les deux conscience que nous étions très mal parties, mais avoir traversé nous donne une force et un espoir nouveau. Fières et joyeuses, nous enfilons nos chaussures, nous auto-felicitons de cette aventure, et choisissons de crapahuter vers le haut pour rejoindre le sentier.
Comme tout le monde s'en doute arrivé à ce stade de mes écrit, nous n'avons pas rejoins le sentier qui était bien bien bien plus haut que nous ne pouvions allés. Après avoir escaladé un peu plus, traverser des plantes trempés, glissé dans la boue, nous en étions au point ou toutes nos options étaient à traité de sorte à ce que nous ne choisissons plus la meilleure, mais eliminons la pire. Arrivées à un certain point où toutes les options étaient les "pires", et nous savions que continuer était aller à la rencontre de pire obstacle, nous exprimons finalement notre stupidité, et décidons d'agir intelligemment et en sécurité. Arrêtés au milieu de nulpart, le soleil commençait à disparaître derrière la montagne (nous avions encore quelques heures de jour devant nous, mais pas tant de luminosité nécessaire pour crapahuté comme nous le faisions), notre optimisme est toujours là mais le sourire qui l'accompagne souvent n'est plus vraiment en notre compagnie. Face à trois options, nous décidons de faire demi-tour et d'aviser de retour à l'endroit où nous avons traversé.
Désormais honnête quand au fait que nous nous sentons toujours en sécurité et apprécions toujours autant le moment, nous décidons de finir en sécurité notre journée et d'escalader jusqu'au sentier que nous suivions au début. Ici, je l'avoue, je m'inquiète. Munie de doc marteens et d'un sac en bandoulière remplie, et sans la condition physique reconnue comme nécessaire à escalader, je me sens loin d'être prête à monter ce qui m'avais déjà semblait compliqué à descendre par endroit.
Nous traversons à nouveau cette rivière qui frappe melodieusement les rochers quelques mètres plus loin, puis Karoline me speech rapidement sur le fait que nous devons avancer car le sentier peu se parcourir sans luminosité, mais pas tant ce que nous nous appretons à grimper.
Grimper. Grimper était tellement intéressant. Pas d'imagination en folie, ce n'était pas une pente incroyablement verticale, ce n'était pas une montagne impossible à grimper. Je n'avais juste jamais fait ca de ma vie. Grimper était tellement fascinant. Tellement rapide. Tellement frustrant. Plusieurs fois je tangue et m'impressionne des réflexes dont nous sommes muni. Plusieurs fois je fais preuve d'une antique souplesse que je pensais rouillée. Ahhhh. Grimper. C'était la vie!
Nous finissons par croisé une famille finlandaise qui, déjà pas mal descendu, s'apprête à descendre par le même chemin que nous venons de grimper avec deux jeunes filles d'une dizaines d'années. Nous les arrêtons à temps, même s'ils avaient quand même pas mal avancer les cochons ! (Je suis toujours admirative plusieurs heures plus tard!)
Arrivées sur le sentier, Karoline et moi usons enfin de la parole pour nous félicité de la rapidité dont nous avons fait preuve pour monter, de notre optimisme et très clairement de cette inégalable stupidité qui nous a mené jusque là. Avec un sentiment complet de sécurité, de liberté et de joie, nous parcourons le sentier en le parsement de rires et de regards émerveillés.
Maintenant j'annonce que Karoline est instructice d'escalade en intérieure*, et elle était plutôt impressionnée de ma bravoure.
En attendant les autres pour répartir, nous buvons un café, et l'émotion me gagne. Cette journée était une preuve d'immaturité complète, mais c'était tellement TELLEMENT génial.
Enfin bref. Je vais très bien. J'ai aimé chaque instant de notre aventure, (l'eau froide m'a - je confesse- fait proféré intérieurement quelques insultes, mais DIOS MIO ) c'est grâce à ce genre de journée que prendre une douche chaude, boire un thé, et rejoindre son lit prend tellement de valeur et de sens.
J'imagine qu'on en passe tous par là.
Tout ça pour dire : j'ai eu le meilleur baptême d'escalade que j'aurais pu imaginé.
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annabelle2k · 7 years
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Les Mots à St-Tropez
Ma première approche à l’existentialisme ou plutôt à une ébauche de ce qu’allait devenir l’existentialisme conçu par Sartre a été à travers son roman autobiographique Les Mots publié en 1963. Les circonstances dans lesquelles j’ai découvert Les Mots n’a fait qu’amplifier ma curiosité pour Sartre.
St Tropez
Je l’ai trouvé sur une étagère de la dépendance de la magnifique maison dans laquelle j’étais jeune fille au pair à Saint-Tropez. C’était au cours de l’été 2014, j’avais alors 17 ans et j’allais travailler pendant plus de deux semaines dans la villa La Hune, ancienne demeure du neo-impressioniste Paul Signac. Signac a découvert le port de Saint-Tropez en 1892 duquel il sera immédiatement charmé. Il y amarre son voilier « L’Olympia » et écrit à sa mère :
“Un vent singulier m'a poussé vers la huitième merveille de l'univers ! Venez voir ! L'ocre des murs fait pâlir celui des villas romaines. Et le ciel donc ! J'en prends plein les yeux. J'ai là de quoi travailler pendant toute mon existence.”
C’est dans ce lieu pittoresque hors du temps, loin du Saint-Tropez clinquant et pourtant à quelques mètres seulement, que j’ai découvert Sartre. Autour de moi flottait cet air chaud d’histoire, d’intelligence, d’élégance. On me confia peu après mon arrivée que Mette, la dame danoise qui vivait justement dans cette dépendance avait été maîtresse d’Albert Camus, au cours de ses dernières années avant sa mort tragique. L’identité de cette femme restait inconnue aux médias et aux tabloïds. J’étais bluffée, émerveillée de côtoyer temporairement ces gens et longer ces murs empreints d’histoire. Cette liaison amoureuse était d’autant plus excitante dans le cadre de ma découverte considérant la relation tumultueuse et rivale que Camus et Sartre avaient entretenue. Je n’avais évidemment pas une connaissance claire de ce lien alors mais j’avais une intuition néanmoins d’une certaine synchronie qui avait amenés, Sartre, Camus, son amante et moi dans ce lieu magique. En bref, les conditions étaient bonnes, favorables à une immersion dans Sartre. Tout semblait se mêler, se réunir pour que j’en aie une expérience spéciale.
J’eus le sentiment que ce qui m’arrivait, cet endroit et ce livre, devait non seulement inéluctablement arriver, mais était arrivé un bienheureux jour. 
Dans la pensée jungienne, la synchronicité des choses se produit à des moments particuliers de la vie, à des tournants pourrait-on dire. Lors d’une transformation psychique et matérielle, une synchronicité œuvre et amène le sujet « à changer radicalement sa vie » (oui bon...peut être pas), ou du moins à changer sa vision des choses. La synchronicité endosse alors un rôle de guide, comme quelqu’un qui vous prendrait délicatement par la main pour vous amener dans un endroit dans lequel vous auriez, de toutes les manières, atterri.
Les Mots
Les Mots n’est pas exactement un livre sur la philosophie existentialiste mais il en contient d’importantes traces, d’importants symptômes. Les Mots est un roman, une autobiographie, pas un essai philosophique. Commencer par Les Mots me paraît maintenant avoir été une approche involontairement logique : commencer par l’enfance de celui qui sera reconnu comme le grand représentant de l’existentialisme, bien qu’il ne fût ni le premier ni le seul. Cependant Sartre écrivit Les Mots sur le tard ; son ton incisif, critique et ironique au sujet de son « lui » jeune et de son entourage sont délectants. 
Les Mots n’est pas une autobiographie classique. Le narrateur prend une distance vertigineuse du jeune Sartre. Je dirais une distance qui va au-delà d’une simple distance qui se forme avec l’âge et le temps ; il s’agit d’une distance presque scientifique, scrutant avec une grande ironie les faits et gestes du jeune Sartre et de sa famille. Le narrateur est sévère. Il dit durement : « J'étais un enfant, ce monstre [que les adultes] fabriquent avec leurs regrets. »
Le narrateur raille complètement l’attendrissement que les adultes portent généralement aux enfants. Cet attendrissement bêta, il le trouve ridicule, déplacé. Sartre est et se sent déjà entier, et on a presque l’impression que le Sartre enfant n’est qu’une version physiquement réduite du Sartre adulte. Corps mis à part, c’est phénoménal, mais Sartre semble être le même.
Enfant Simone
C’est d’ailleurs interpellant que Simone De Beauvoir, intellectuelle, féministe et légendaire compagne de Sartre se fasse ces exactes mêmes réflexions. Les adultes qui amoindrissent, qui « chosifient » les enfants. Dans Mémoires d’une jeune fille rangée, elle revient également sur son « soi enfant ».
“Non seulement les adultes brimaient ma volonté, mais je me sentais la proie de leurs consciences. Celles-ci jouaient parfois le rôle d’un aimable miroir ; elles avaient aussi le pouvoir de me jeter des sorts ; elles me changeaient en bête, en chose. « Comme elle a de beaux mollets, cette petite ! » dit une dame qui se pencha pour me palper” (21)
“La proie de leurs consciences” : on voit bien la caractéristique très sartrienne de la conscience. La conscience est toujours entièrement projetée vers l’extérieur et est toujours conscience de quelque chose d’autre. La conscience n’existe pas en dedans, mais “attrape” un objet extérieur, ici, Simone, “la proie”, donc la chose...
La manière infantile voire objectifiante avec laquelle les adultes la traitaient l’horripilait et l’offensait. Petite, elle se considérait déjà entière, sujet pensant, et elle se promet d’ailleurs de ne pas oublier « lorsqu’[elle serait] grande, qu’on est à cinq ans un individu complet » (21).
La mauvaise foi
Une autre dynamique clé de la théorie existentialiste apparait clairement dans l’attitude du jeune Sartre dans Les Mots. Sartre quasiment tout au long du roman joue un rôle, un « faux lui » qui sera théorisée en philosophie existentialiste en tant que « mauvaise foi ». Le garçon de café est une illustration très personnelle, et l’illustration la plus connue de la mauvaise foi sartrienne. Mais dans Les Mots on a déjà clairement ce comportement de mauvaise foi adopté par Sartre lui-même. Finalement, en plus de l’objectification extérieure, Sartre s’objectifie lui-même. Il joue constamment un rôle devant les adultes ; il se réduit à un simple enfant qu’il n’est pas. Le lecteur témoigne de sa grande maturité intérieure, maturité que les protagonistes du roman ne voient que partiellement car Sartre est comédien et « joue à être sage »... Il joue l’Enfant.
Ancrage de la philosophie de Sartre
À l’instar du garçon de café, Sartre adopte une attitude de mauvaise foi, qui est aux antipodes de la liberté. C’est un refus de la liberté; liberté qui est pourtant constituante de l’homme. Elle est organique. Sartre joue un rôle d’enfant, il se transforme en « être-en-soi » alors qu’en tant que personne existante, il est un « être-pour-soi », c’est-à-dire une conscience. Or, la conscience est une entité purement libre : sans forme, ni contenu ni fonction. La conscience n’est que néant et mouvement, et c’est pourquoi l’homme n’a pas d’essence ou de stabilité. Ce qui rend sa liberté effrayante, vertigineuse. C’est pourquoi toute conscience et a fortiori tout homme tend à vouloir se transformer en « être-en-soi », ou autrement dit, en chose, en objet, pour tenter de se consoler face au néant de la liberté.
De Beauvoir réalise petite avec anxiété qu’elle serait plurielle tout au long de sa vie…
“Soudain l’avenir existait ; il me changerait en une autre qui dirait moi et ne serait plus moi. J’ai pressenti tous les sevrages, les reniements, les abandons et la succession de mes morts” (Mémoires d’une jeune fille rangée, 14)
Y-a-t’il vraiment aucune constante chez un être humain tout au long de sa vie? Ces phrases semblent balayer la possibilité qu’on puisse trouver des traits fondamentaux et permanents chez quelqu’un. Plus simplement, De Beauvoir nie la notion d’identité. Passer sa vie à mourrir et à se changer en autres semble éreintant voire invivable. Sans le moindre socle, on se retrouve alors enfermé dans un cercle vicieux de construction et de déconstruction, qui ne permet pas d’amélioration de soi ... Peut-être Simone de Beauvoir se situe sur un autre niveau d’analyse qui parlerait de “petites morts” ou de “morts partielles”? 
Point sur l’existentialisme
L’existentialisme est une philosophie qui place l’existence de l’homme au cœur de sa réflexion. Elle regarde le réel, « les phénomènes » à l’échelle individuelle par opposition à une philosophie conceptuelle et essentielle. L’existentialiste adopte donc toujours la subjectivité comme point de référence, qu’il utilise évidemment pour expliquer d’autres concepts extérieurs à lui.
Sartre postule que chaque individu choisit pleinement son projet, et ainsi, crée le sens et l’essence de sa vie. Comme l’homme choisit son projet et à peu près tout ce qui constitue sa vie, il est tenu responsable non seulement des valeurs, doctrines qu’il décide d’adopter mais aussi de tous ses actes, ses moindres faits et gestes.
L’existentialisme selon Sartre se caractérise par une liberté radicale, abyssale de l’homme et donc une responsabilité terrifiante. Chacun, basiquement, décide de tout. De sa vie, de son existence, de son essence, de ses opinions, de ses valeurs. Et l’’Homme se créé incessamment.
Interview : impuissance, indifférence et perte de liberté
En 1947 Sartre donne une interview sur France Culture durant laquelle il lit à voix haute des lettres d’injure plutôt violentes l’accusant notamment d’une aliénation intellectuelle dû à des supposés paiements du parti communiste, de Staline ou bien du président Truman ou plus fou encore du défunt Hitler. Il explique qu’il est attaqué à cause de la pensée ambiante fataliste de l’époque d’après-guerre. La fin de la Seconde Guerre mondiale et le commencement de la Guerre Froide semble avoir fomenté l’idée de toute pensée indépendante perdue. La hantise de l’Allemagne nazie perdure. Après tout, la France n’aurait jamais pu s’en sortir seule, il a fallu l’aide des alliés. Cet évènement traumatisant aurait-il développé l’idée que notre propre destin dépend des autres ?
En clair, Sartre affirme que l’impuissance dévalorise la pensée et d’autant plus une pensée telle que celle de Sartre : une pensée qui prône une liberté et une indépendance absolues et totales. On pourrait faire un lien direct entre impuissance et indifférence… au sujet de laquelle Descartes avait déclaré en 1641 « cette indifférence que je sens est le plus bas degré de la liberté » (Méditations métaphysiques)
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eloisaintbris · 7 years
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tu es complètement taré, en fait
Après la quatrième lecture, une amie a dit : tu es complètement taré, en fait. 
« Quelques minutes après mon arrivée, je croise Eloi, il m'embrasse avec son sourire toujours aussi accueillant et concerné et pourtant je le sens moins présent que d'habitude. Il est déjà dans sa performance, en pleine concentration. Avant cet instant je n'avais pas réalisé...
à quel point ce qu'il s'apprêtait à faire était courageux. Je trouvais l'idée sympa, originale, ce qui ne m'étonnait d'ailleurs pas tellement de lui. Mais en le voyant entrer en lui-même pendant l'arrivée des invités, en regardant ses yeux brillants se posant sur chacun pendant les applaudissements finaux, et même en y repensant souvent dans les semaines qui suivent, je réalise l'ampleur de ce qu'il a entrepris, tout seul, sans y être forcé. Créer une scénographie qui le portera, choisir les chapitres, inviter des amis, inviter des quasi inconnus aussi, s'asseoir seul au milieu de l'arène et leur offrir le fruit d'une année de travail sans aucun filet de secours. Ce type serait-il fou ?
Pour moi, l'indice qu'on s'apprête à vivre un moment à part, c'est quand cet inconnu qui entre me répond "Ah ouais ? Oh c'est trop bien" à ma question si je peux lui échanger son portable contre une pierre. Ici les gens semblent déterminés à "retrouver de l'enchantement dans une ville qui n'a rien perdu de sa magie pour qui veut bien s'y rendre disponible".
Le groupe prend le parti d’être bien sage, pieds nus, pendant qu’Eloi fait sa lecture. L’inconnu s’appelle Antoine, il est venu seul parce qu'il a passé une sale journée au boulot et n’a donc rien à perdre. Il apprécie cette bonne volonté collective. Ça l'aide à se détendre. La verrière et sa lumière qui faiblit tout au long de la lecture aussi.
La voix sort des enceintes, elle résonne sur un fond de musique, c'est une introduction à la soirée que nous allons vivre. Très vite, j'ai un syndrome de peur de manque : je ne veux en rater aucun passage et en même temps j'aimerais me souvenir de mes préférés. Déjà j'élabore dans ma tête des stratégies pour me les procurer. Finalement, je n'arrive à me souvenir clairement que de cette idée, puisée chez St-Exupéry, que si nous ne comprenons plus le monde autour de nous, c'est peut-être la faute à un langage obsolète.
Eloi lit des passages où il raconte une des choses qui m'a le plus marquée ces dernières années  : notre expérience collective de groupe de théâtre, la Nicham. Dans la salle il y a mon copain, une amie d'enfance, une collègue, autant de gens à qui je n'ai jamais vraiment réussi à expliquer de manière satisfaisante ce que cette année avec la Nicham avait pu être. Eloi a trouvé les mots, les images qui expliquent tout. C'est très personnel, mais en même temps je sens que ça parle à tout le monde. Un ami me dira après la lecture qu'il a aimé cette navigation entre les exemples bien spécifiques à la Nicham et les considérations générales sur la puissance des expériences collectives. Ça mettait aussi des mots sur des choses qu'il avait vécu lui.
Quand il prononçait nos noms, Eloi levait les yeux et nous fixait. À regarder Jean-Baptiste regarder Eloi lui dire qu'il y a quelque chose du grand blessé en lui, j'en avais les larmes aux yeux. Tous, nous n'avions plus été aussi proches depuis 2 ans. Dans la salle il y avait Johann. Pour avoir lu le manuscrit je savais que ces chapitres parlaient beaucoup de lui. Je n'avais pas d'appréhension car je savais qu'il y relatait ses sentiments de manière très délicate et respectueuse. N'empêche, quand Eloi a fait une pause pour proposer à ceux qui se sentaient proches de son écriture de venir s'asseoir près de lui, et que Johann s'est rapproché, ça m'a fait un électrochoc d'émotion. Je pouvais plus m'arrêter de sourire après. Mais quand j'ai réalisé, 5 bons jours plus tard, que pendant tout ce temps, Eloi ne devait pas seulement résister au poids du regard de Johann mais aussi de son amoureux présent dans la salle, ça m'a court-circuitée. Oui ce type est fou.
J'avais remarqué qu'il y avait dans le public un ami que j'avais perdu de vue depuis quelques années. De ce que je connaissais de lui, je me demandais bien ce qu'il pouvait avoir pensé de la soirée qu'il venait de passer. Je m'attendais à ce qu'il ait un regard assez critique et plutôt sceptique sur ce qu'il venait de vivre. Quand je lui ai demandé timidement ce qu'il avait pensé, il ne s'est plus arrêté de parler. Il avait ressenti tellement de choses pendant deux heures, que tout sortait pèle-mêle. Il avait des questions, besoin de comprendre, besoin de parler à Eloi, de lui demander et pourquoi ceci et pourquoi cela. Il était transporté. Ca m'a émerveillée.
Toujours un peu inquiet, Eloi me demandera après si je pense que ça a plu aux gens. Pas besoin de lui donner mon opinion, les faits parlent d'eux-mêmes : il y a celle qui me demande si elle a le droit de mettre plus de deux adresses mail sur les post-its des personnes à inviter à la prochaine lecture, lui qui me dit que ça faisait bien longtemps qu'il n'avait pas vécu une aussi bonne soirée, elle qui reviendra avec l'intégralité de sa bande d'amis à la prochaine lecture et cette mère qui regrette que son autre fille n'ait pas pu être là car elle aurait adoré… »
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coucoumamie-blog · 7 years
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Chicago - 2nd week-end
Samedi, samedi, samedi, c'est simple il a plu toute la matinée (mais vraiment toute la matinée... et pas une petite pluie parisienne mignonne.... une FAT pluie américaine !). Donc, j'ai fait des crêpes pour tout l'étage (j'exagère un peu...). Et les crêpes ici, ils adorent ça ! Donc j'ai plein de nouveaux potes ! Tu peux clairement acheter les gens avec la bouffe... arme redoutable : ça vaut le coup d'embaumer l'appart d'une odeur d'huile (finalement assez vite dissimulée par l'odeur alléchée du Nutella). 
 Profitant d'une amélioration atmosphérique (rayon de soleil furtif), j'ai accompagné les filles (un mix de petites suisses et de brésiliennes) dans un quartier voisin, elles veulent se faire un tatoo en souvenir de Chicago. On s'est retrouvé dans un salon de tatouage, en plein cœur du quartier de Little Italy, plutôt rassurant. Pas de trace de sang, pas de trace de moisissure et des sourires sur toutes les faces. Faut avouer que les gens ici sont vraiment sympas et patients. De manière générale, ils sont toujours hyper contents de pouvoir te renseigner et t'aider. Personne ne m'a jamais envoyé promener (ce qui est loin, très loin, d'être le cas des parisiens... CQFD... est-ce la bonne manière d'utiliser cette abréviation ? J'ai un doute...). Et ils s'adaptent : ils commencent par te parler normalement (hyper vite), remarquent ta tête d'abruti ahuri et se mettent à P A R L E R   C O M M E  Ç A   T R E S   L E N T E M E N T ! Et mine de rien (mine de crayon), c'est appréciable. Tu te sens un peu stupide mais au moins tu comprends quelque chose ! 
 Bon, attention, parce qu'apparemment ce serait pas le cas des New yorkais.. donc, ne prends pas cette remarque pour acquise lorsque tu iras te balader dans les rues de NYC. Oui, oui, si tu veux, avec Iako... même si je ne suis pas certaine que ton berger allemand soit le compagnon idéal de voyage pour ce type de destination, mais ok, allons-y avec lui... surtout que bon ici, ils adorent les chiens (tu remarqueras la transition subtile)... dans les parcs, tu as les jeux pour les enfants humains et une aire de jeux pour les chiens. Ils jouent ensemble à se courir après sous les yeux émerveillés de leurs maîtres respectifs. Ils ont des petits murets de tailles différentes et  un espace aquatique / spa. Ils ont l'air heureux et détendus. Y'a même un camion garé à côté, qui offre un large choix de croquettes pour le goûter. Tu peux y acheter également des balles ou toute sorte de jouets canins. Je te préviens, on achètera rien à Iako, je veux pas qu'il devienne un berger gâté ! Ou peut être juste une balle surprise... avec une petite croquette saveur pigeon à l'intérieur ! 
 Bref après l'étape tatoo, on a lézardé (à l'abri de la pluie violente qui s'abattait sur la ville apeurée) sur le sofa en regardant Friends en anglais (ouais, ouais...). 
 Je te rassure, on a fini par ressortir pour aller manger un truc ! On était une bonne dizaine à entrer dans ce resto / bar typique à 3 pas de la résidence. Et j'ai pu y manger l'un des meilleurs burgers de ma vie (sans réelle exagération). Mes doigts étaient gras mais mon estomac satisfait. C'était un traditionnel gros burger avec de la viande ! T'es rassurée ?! Parfois, oui, j'en mange !
 J'ai d'ailleurs très envie d'y retourner mais faut pas abuser... attendons quelques jours... mes pantalons ne me laissent pas une marge aussi importante que ça.
Audrey
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nenuphare2610 · 7 years
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Je suis joie : j'ai mon collier Attrape Rêve
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Mon titre n'est clairement pas original mais c'est pourtant tellement ça. Les bijoux j'en porte peu (et pourtant j'en ai un max, dans tous les styles), je préfère désormais qu'ils aient une réelle signification, une symbolique, un souvenir pour moi. J'aimerais d'ailleurs que mon homme m'offre une jolie bague, fine, simple et épurée... En attendant, c'est Onecklace qui m'a offert un bijou que je rêvais d'avoir depuis longtemps : un attrape-rêve. J'aimerais d'ailleurs disposer ces capteurs de rêves au dessus du lit de mes enfants. C'est joli esthétiquement et la symbolique m'attire profondément.
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Onecklace
Peut-être que vous ne connaissez pas, mais Onecklace est une boutique en ligne, basée aux Etats-Unis, qui livrent à l'internationale. Rigoureux, consciencieux et créatifs, ils s'investissent dans le choix des matériaux qu'ils utilisent pour nous proposer des produits finis de qualité, des gammes diversifiées, des finitions précises et parfaites. Le site français est d'ailleurs très bien conçu. Il est intuitif, simple et réactif, c'est facile de faire notre choix et de passer commande. On peut même laisser un message ou ajouter une précision en commentaire sur le produit que l'on veut.
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La légende de l'attrape-rêves
Née de la culture amérindienne, le capteur de rêve a été crée pour retenir les mauvais rêves et et ne laisser passer que les bons. Il est difficile d'en connaître les origines, car il y a autant de légendes à son sujet que de tribus. Initialement, les attrapes-rêves étaient surtout pour les enfants, suspendus juste au-dessus de leur tête. Mais ce que l'on sait peut-être moins, c'est son réel fonctionnement et la signification de sa fabrication. Un attrape-rêves se dispose donc à la tête du lit, au dessus des rêveurs, et doit pouvoir être touché par les rayons du soleil du matin. En effet, les premières lueurs du jour brûleront les mauvais rêves pris dans le filet. Il retient donc les mauvais songes et permet juste aux bons rêves de passer par le trou central. Pour ensuite glisser le long des plumes jusqu’au rêveur. Là ou on se trompe souvent, c'est que mauvais rêve ne signifie pas forcément cauchemar. Certains cauchemars contiennent des messages importants,  ils ne seront alors pas piégés par l’attrape-rêves. On entend donc par « Mauvais rêve », un rêve qui ne contient aucun message important ou utile. Chaque détail de l’attrape-rêves a une signification. L’anneau représente le cercle de la vie. La perle unique que l’on trouve dans la toile représente une araignée. Même le nombre de points de la toile (ceux qui sont en contact direct avec le cercle) ont une symbolique : 7 points représentent les enseignements des sept anciens, 8 c’est le nombre de jambes de l’araignée, 13 ce sont les 13 phases de la lune etc. Les plumes représentent l’air, élément vital de la vie. Une plume d’aigle représente le courage, une plume de chouette représente la sagesse. Pour être efficace, un attrape-rêves doit être fabriqué par la personne qui l’utilise ou être offert directement par celui qui l’a fabriqué. Un attrape-rêves obtenu par une voie commerciale, et passé entre moults mains est considéré comme inutile par les amérindiens. Toujours est il que j'ai toujours trouvé cet objet fascinant et magnifique esthétiquement. Il m'inspire. Sources : Attrapes Songes
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Collier Capteur de Rêves en Plaqué Or Rose, Onecklace
Franchement, la plupart, pour ne pas dire tous, les bijoux de ce site sont sublimes : fins, élégants, raffinés et personnalisables. Dans un sens ça a été difficile de choisir alors que dans l'autre, pas du tout, j'ai toujours voulu avoir un capteur de rêve. J'avais bien pensé à prendre un collier pour maman, mais mon deuxième baby n'étant pas né... Mon expérience avec cette boutique s'est parfaitement déroulée, la livraison a été assez rapide et dans les temps indiqués, et ma commande était conforme à ce que j'avais demandé : une chaîne Rollo en plaqué Or rose de 45 cm de long. Et puis vous le savez, le plaqué or rose j'adore, je vous avais présenté dernièrement mes piercings de cette même couleur  ;-) . Le tout était parfaitement emballé dans une sublime boite violette avec un sac cadeau. Comme vous pouvez le voir, j'espère en tout cas, sur les photos, le produit fini est sublime et précis. Fragile aussi car le pendentif et la chaîne sont extrêmement fins et se prennent facilement dans les cheveux de ma fille ;-) . L'attache est petite et un peu "raide" mais on s'y fait vite.
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Verdict
Je suis toute émoustillée et émerveillée devant cette beauté : ce collier, ou plutôt ce pendentif surtout, est magnifique, fin, élégant, raffiné. Il est réalisé de façon très nette et minutieuse. Franchement je ne suis pas déçue et je vous recommande ce site. Dès que j'aurais accouché, je pense me faire un collier ou quelque chose comme ça avec les initiales ou prénoms de mes enfants. Et vous, qu'en pensez vous ? Vous aimez bien les bijoux personnalisés ? Vous êtes plutôt or, argent, rose gold ? CODE PROMO : remise de 10% sur tout le site avec le code JENN10 Pendentif Capteur de rêves en plaqué or rose, Onecklace :  52 € 03 / ICI Click to Post
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christophe76460 · 2 years
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*** PENSÉE DU MOMENT ***
" L'équilibre VS l'impatience "
Dieu désire clairement, notre épanouissement moral et spirituel, mais c'est sans compter, que nous vivons dans un monde où tout va trop vite et nous sommes sous cette influence permanente qui nous dit: " je veux tout maintenant et tout de suite" Par conséquent, la planification et l'organisation peut devenir un fardeau, nourri par l'impatience.
C'est tellement plus facile de parler, de penser, de foncer, de faire, de réagir dans l'instant T, sans trop réfléchir, ce qui amène parfois à des situations conflictuelles. Ce qui nous manque dans ses cas là c'est le recul nécessaire, pour adopter une position équilibrée, la plus juste possible.
L'équilibre et la réflexion, n'exclus pas la foi, la spontanéité et la révélation du St Esprit bien au contraire.
Dans tous les cas, nous avons besoin de cette révélation du St Esprit, qui nous permets de discerner à quel moment il faut effectivement s'assoir pour planifier, calculer et à quel moment il faut du courage pour avancer par la foi dans le brouillard et sans planification .
Il y a quelques jours, j'avais entendu cette phrase qui m'a inspirée. " Tirer avant de viser nous garanti de manquer la cible !"
Romains 12 , fait appel à notre intelligence, mais il s'agit de cette intelligence, régénérée par Dieu. Nous espérons et sommes généralement attirés par le surnaturel de Dieu. Quand il survient la plus part du temps, nous en sommes les spectateurs émerveillés. Pour autant, Dieu attend aussi, que nous en soyons les acteurs et les instruments pour son royaume. L'ecclésiastique disait qu'il y a un temps pour toutes choses. Ce temps pour toutes choses, nous enseigne ce point d'équilibre.
Pourquoi est-ce si difficile de partir dans cette quête de la recherche permanente de l'équilibre ?
Sûrement parce que cela nous demande des efforts, du temps et de l'humilité, qui consistent à nous dire " non pas ce que je veux ,mais ce que toi, tu veux Seigneur "
Dans la création, dans l'action de Dieu, si nous prenons le temps de réfléchir à la lumière de la bible, nous nous rendrons compte que l'équilibre prédomine, car les voies infinies et les pensées de Dieu insondables, ne sont résolument pas les nôtres.
En conclusion:
Nous aurons tout à gagner à la recherche de cet equilibre, parce que cette quête se trouve sur le chemin de Dieu pour être à son écoute et comprendre que lui seul voit sur notre long terme.
Tant que nous avons le desir de cette quête, alors en toutes choses, Dieu aura le dernier mot, dans nos vies, pour notre épanouissement moral et spirituel.
Soyez bénis et prenez courage.
Paul Brandao
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