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#réclament
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Cybercriminalité: la BOA Mali, filiale de la BMCE victime d’une intrusion informatique. Les auteurs réclament 10 millions de dollars.
La Bank of Africa Mali est dans une grosse tourmente. Les cybercriminels se sont frayés une brèche dans le système informatique de la filiale du groupe bancaire marocain BMCE et se sont accaparés d’importantes données hautement sensibles pour la banque. Ayant d’abord démenti l’attaque, la BOA Mali se retrouve enfin face à une menace de paiement d’une rançon de 10 millions de dollars Au regard de…
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La suavité des mots que tu me susurres,
Je t'assure,
A le pouvoir de me rendre fou
Et crée des frissons dans mon cou.
La suavité de ta peau sous mes caresses,
La tendresse,
La douceur sont une addiction.
Tu fais naître la passion.
La suavité de ton parfum que j'inspire,
Je respire
Les effluves d'une drogue dure.
Je veux le Présent, pas le futur !
La suavité de goût de tes lèvres,
Ma fièvre.
Mes papilles qui te réclament :
Tu possèdes mon âme.
La suavité de ton corps caché dans l'ombre,
La pénombre.
Mes yeux qui te transpercent,
De mon désir et de mes pensées perverses.
Les Mots
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icariebzh · 3 months
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 Lettre aux amis (ou pas) qui ne votent pas comme moi
"L’équipe de Reporterre est jeune — 35 ans si on m’enlève du compte — et la plus grande partie de ses plus de 2 millions de visiteurs mensuels a aussi moins de 40 ans. Je crois qu’elles et ils savent très bien ce qu’il faut faire cette semaine et dimanche prochain au bureau de vote, et je ne vais pas les chapitrer.
Les vieux, réveillez-vous !
En revanche, du fait de caractéristiques personnelles dont la première est un âge certain, la gravité du moment me pousse à écrire à des personnes avec lesquelles je partage des traits communs, à commencer par le nombre des années : j’ai 67 ans, et suis ce qu’on appelle un vieux ! Donc, je parle aux vieux et aux vieilles. Eh bien, mes amis, il serait temps de se réveiller ! Allez-vous arrêter de voter à droite et à l’extrême droite et de tordre le nez devant le Nouveau Front populaire ? Nous sommes la génération qui a profité du système social mis en place par nos aînés de la Résistance, qui a assez bien vécu (oui, nous avons beaucoup travaillé, et alors ?), et maintenant, la grande majorité d’entre nous vote pour le parti d’extrême droite. Qui est hostile aux jeunes. Qui est climatosceptique alors que la question écologique est une des plus importantes que vont affronter nos enfants et nos petits-enfants. Qui veut toujours plus de police et d’autorité, alors que nos enfants et nos petits-enfants ont besoin de bienveillance et de soutien.
Vraiment, les vieilles et les vieux, arrêtez de vous laisser berner par tout ce que racontent les télés. Pensez aux jeunes, pensez à leur avenir. Alors votez contre l’extrême droite dimanche prochain. Vous êtes vieux dans votre corps, mais vous pouvez être jeune dans votre tête, et plein d’espérance, d’enthousiasme, de joie pour le nouveau monde qui peut naître si vous ne vous y opposez pas.
Oh, les Républicains, c’est fini les conneries ?
Dans les temps anciens, il y avait un type qui s’appelait de Gaulle. Plein de défauts, mais enfin, il a sauvé l’honneur, et de ce fait, la France. Quand tout s’avachissait autour de lui, il a lancé la Résistance. Quand le pays s’effondrait, il l’a remis debout, sans devenir despote. Et quand le peuple lui a dit, « C’est assez ! », il est parti. Pour l’anecdote, c’était aussi un homme de droite, mais qui avait la fibre sociale. Il a dit : « Le capitalisme, du point de vue de l’homme, n’offre pas de solution satisfaisante. »
Pourquoi je vous en parle ? Parce que mon papa était gaulliste. Il a milité dans le parti gaulliste (l’UDR) qui, au long de multiples chambardements, est devenu Les Républicains. Incidemment, mon papa a résisté dans les maquis du Jura et son frère aîné a été assassiné par les nazis, au camp de Mauthausen. Alors, il y a une chose que de Gaulle et les gaullistes n’auraient jamais imaginée, c’est que des gens qui se réclament d’eux votent pour un parti issu des partisans de Pétain, de ceux qui ont bradé la France à l’hitlérisme, de ceux qui étaient antisémites. Jamais de Gaulle n’aurait accepté un tel vote.
Sans hésiter, il s’était uni avec des adversaires idéologiques, les communistes, quand on se battait pour l’essentiel, l’honneur du pays. Alors, Les Républicains, arrêtez vos conneries ! Pensez à votre histoire, à vos valeurs, à ce pourquoi vous vous êtes sans doute engagés, et votez contre le Rassemblement national, que le candidat soit La France insoumise ou pas.
Les catholiques, « Aimez-vous les uns les autres », c’est aussi le jour du vote
Croyez-moi, ça n’a pas toujours été facile pour moi d’être « catho » dans des milieux très athées, et parfois très anti-religieux. Et Dieu, de toute façon, c’est un truc compliqué. Mais mon attachement au sacré, à une dimension cosmique du monde, à l’Église — malgré tous ses défauts, et notamment son incroyable incapacité à sortir des scandales pédophiles, qui m’a mis en colère, comme tant d’autres — est toujours vivant. Alors, avec vous, ça devrait être simple. Le Pape François a toujours été clair : « Ouvrons la porte aux pauvres, ouvrons la porte aux faibles, ouvrons la porte aux étrangers. » Et son maître Jésus encore davantage : « Aimez-vous les uns les autres. » Dans un moment où tout peut basculer, il est clair que l’amour n’est pas du côté de celles et de ceux qui prêchent « l’autorité, la sécurité, la fermeture aux étrangers... ». Plus que jamais, mes frères et sœurs, votre sens moral doit vous guider dimanche."
 Hervé Kempf-Reporterre-suite du texte ICI MÊME
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source : @cheminer-poesie-cressant
les mains de la douleur ne réclament plus leur lumière ; dans le noir qu’elles auscultent comme un corps impossible, elles ont déjà commencé à sculpter ce qui peut nous faire croire à une présence oubliée, à une présence déjà partie ; la lamentation est une souffrance qui gesticule déjà dans l’éternité ; là est sa victoire ; l’éternité qui n’interpelle jamais, qui n’est que gestes muets, miettes invisibles jetées au visage de l’impassible
© Pierre Cressant
(dimanche 12 novembre 2023)
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Seule une critique de l’idéologie pourrait permettre au sujet de s’extraire de l’impasse discursive dans laquelle se sont enfoncées les "démocraties occidentales", en prise aux puissants Denkverbot (interdit de penser) que sont:
-L’innovationnisme technologique
-L’écologisme-climatisme
-Le lgbtisme-féminisme
-L’antiracisme…
qui par le surmoi social (Kultur-Überich) qu’ils font peser sur le sujet du discours courant, ouvrent la porte à un fascisme numérique supranational plus toxique, régressif et dévastateur que tout ce que l’humanité a connu jusque là…
L'illustration la plus courante de l'idéologie est probablement celle de Marx, le célèbre "cela, ils ne le savent pas, mais ils le font".
On attribue donc à l'idéologie une certaine naïveté constitutive: l'idéologie méconnaît ses conditions, ses présuppositions effectives, son concept même implique un écart entre ce qu'on fait effectivement, et la "conscience fausse" qu'on en a.
Le but de l'analyse critique-idéologique est donc de détecter, derrière l'universalité apparente, la particularité d'un intérêt qui fait ressortir la fausseté de l'universalité en question: l'universel est en vérité pris dans le particulier, déterminé par une constellation historique concrète…
Mais aujourd’hui, sous la pression persistante du wokisme, qui dans le déni du réel où il se fonde, est à considérer comme la religion païenne sans transcendance des postmodernes qui couvre les Denkverboten cités plus haut, l’argumentation rationnelle n’a plus droit de cité, le discours courant ne dépasse plus le niveau de l’opinion, et toute pensée, tout argument, tout raisonnement sont automatiquement ravalés à une opposition binaire: pro- ou anti–, pour ou contre, -phile ou -phobe. Voilà donc le formidable exploit d’essorage et d’aplatissement des consciences opéré en un peu plus de cinquante ans par l’idéologie libérale-libertaire dont se soutiennent les technologies dites "numériques", le sacro-saint mythe progressiste identifié aux seules performances machiniques du calcul: 0 ou 1.
À l’opposé de cet obscurantisme new-age, pour ceux qui ont appris à compter jusqu’à trois, il y a la découverte freudienne de l’inconscient dont les conséquences restent encore largement ignorées plus d’un siècle après…
La psychanalyse n’est pas à réduire au rang d’une technique destinée à "thérapier le psychique", à son niveau le plus fondamental, l’analyse offre l’expérience de ce qu’il en est — en vérité et dans le Réel — de l’impossible et donc des possibilités de l’ex-sistence humaine la plus radicale, à savoir la sienne.
Que «la société» procède du refoulement et pas l’inverse, voilà la véritable subversion freudienne, voilà le dire de Freud qui est encore loin d’avoir fait son chemin, notamment chez l’immense majorité de ceux-là même qui se réclament de la psychanalyse.
Ce n’est pas "moi" qui m’inscris dans la société mais bien l’Autre qui est toujours déjà là, en moi, non pas sur un mode identificatoire, mais par césure. Je ne suis pas étranger à la société, il y a toujours déjà un étranger qui vit en moi.
Nous sommes disjoints de nous-mêmes, décentrés, déjetés, dégénérés, c'est le sens de ce qui, en psychanalyse, a pris le nom de "castration symbolique", qui est un pléonasme car c’est le symbolique, le langage, qui nous a toujours déjà coupé de nous-mêmes en colonisant notre corps jusqu’à la dernière de nos cellules.
Si nous communiquons avec d’autres, c’est parce que nous ne pouvons pas directement communiquer avec nous-mêmes, nous avons toujours besoin de la médiation de l’Autre.
L’Autre c’est le lieu du langage, le trésor des signifiants.
Pour le sujet humain, ce qui se passe ce sont des mots, c’est le désir en tant que désinence du dire qui fait la loi au sujet, et c’est le langage qui fait la loi du désir.
Le vrai malaise dans la civilisation aujourd’hui, c’est de ne plus apprendre à parler…
La caste des médiocrates au pouvoir, des politiciens professionnels de gauche ou de droite a consolidé son empire par l'emploi d'une langue simplifiée, binaire, proche du modèle informatique.
L'emploi de cette novlangue, hégémonique dans les médias, rend incapable l'accès à la dialectique et donc à la pensée.
Nous ne savons plus parler, nos lèvres sont sèches et les mots sont déjà morts avant de passer la barrière de nos dents.
Apprendre à parler présuppose toujours d'apprendre à lire, puis écrire, et aussi dessiner, composer comme on aiguise une lame, comme on répète des enchaînements pieds-poings, apprendre à parler c'est apprendre à se battre.
Le combat n’est pas un moyen, le combat est une fin.
Comme disait Platon «seuls les morts auront vu la fin du combat.»
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Chers ex-amis de gôche qui se réclament aujourd'hui d'un nouveau Front Populaire.
Refuznik de l'injection, je fût déclaré irresponsable puis non-citoyen par micron dans votre indifférence totale voire avec votre complice silence.
A mon tour de vous faire part de ma totale indifférence.
Le 30 juin, le 7 juillet, Allez-vous faire foutre !
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les-cris-des-fendues · 3 months
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Élections législatives du 27 janvier 1889.
Les Anarchistes au Peuple de Paris Nos maîtres nous appellent aux urnes. — Qu’allons-nous y faire ?
Choisir sur les proclamations des candidats celui qui promet le plus de réformes ? À quoi bon !
Les législateurs peuvent être scélérats ou honnêtes ; peu importe ! Nos misères n’en seront ni augmentées ni atténuées.
Que nous font leurs dilapidations, leurs vols, ou leurs économies, à nous qui n’avons rien ?
Le gouvernement (monarchique ou républicain), est toujours aux ordres des capitalistes, sa seule mission est de faire respecter leurs richesses.
Toutes nos souffrances, toutes nos peines n’ont d’autre cause que l’organisation sociale actuelle, basée sur la propriété individuelle.
Tant qu’une poignée d’hommes pourront faire trimer l’ouvrier à leur profit ; tant que la terre, les usines, toutes les richesses sociales resteront entre les mains des fainéants, il ne pourra y avoir pour le Peuple d’amélioration.
Les républicains de la veille, proscrits de l’Empire : Clémenceau, Floquet, etc., eux en qui le Peuple avait toute confiance, ont-ils pu faire, depuis qu’ils sont au Pouvoir, une seule loi en faveur de l’ouvrier ?
Non ! — Donc, le salut n’est pas au fond des urnes.
Voter, c’est consacrer l’autorité, la rendre forte de notre approbation. Voter, c’est souscrire à notre exploitation, l’affirmer juste et immuable.
Abstenons-nous ! Voter pour Jacques, c’est voter le maintien de la misère actuelle, donner raison au Gouvernement.
Mais, n’allons pas par répugnance pour Ferry-Floquet, nous jeter dans les bras d’un nouveau maître !
Boulanger élu, qu’adviendra-t-il ?
La dissolution de la chambre ! Une Constituante. Puis une nouvelle Constitution… Or, nous ne vivons pas de Constitution, mais de pain !
Quel que soit ce Gouvernement de demain, il y aura toujours des patrons, des propriétaires, des rentiers, des parasites, pour vivre de notre travail.
Alors rien de changé sauf l’étiquette.
Voter pour Boulanger, c’est raffermir le principe d’autorité qui est en discrédit. C’est ne tenir aucun compte de l’expérience de tout un siècle qui nous montre — malgré les inventions et les découvertes modernes — le Peuple aussi exploité sous la République actuelle, que sous la Royauté et l’Empire.
Voter pour Boulanger c’est attendre d’une nouvelle incarnation gouvernementale le bien-être que seule la Révolution nous donnera.
Ni Jacques !! Ni Boulanger !!
Reste le menu fretin ; devons-nous voter pour Boulé ou un des candidats socialistes ? Pas davantage ! ce serait croire encore au suffrage universel, dont quarante années nous prouvent la duperie.
Garder notre vote, c’est garder notre dignité et notre droit de Révolte !
Nous seuls connaissons nos besoins : c’est une folie que se nommer des maîtres !
Aujourd’hui, il n’y a plus que deux partis en présence ; d’un côté : les socialistes qui se réclament du vote, la tourbe des vieux partis, monarchistes, impérialistes, républicains, boulangistes.
D’un autre côté : les Anarchistes, négateurs de l’autorité sous toutes ses formes : religieuse ou scientifique, capitaliste ou patronale, familiale ou étatiste. Ceux qui ne veulent vraiment : Ni Dieu Ni Maître, car l’Autorité est la cause première de la Propriété Individuelle et de l’oppression que nous subissons.
Il ne s’agit plus de changer de maîtres, mais de conquérir par la Force, la Terre et ses richesses, qu’une minorité de fourbes s’est appropriée.
Ce n’est qu’en détruisant toutes les institutions, tous les monuments du passé, que disparaîtront à jamais les lèpres hideuses de la Société actuelle, et que l’Humanité trouvera sa voie de Justice et de bien-être pour tous.
Mais, pour atteindre ce but, il faut que l’esprit de Révolte germe, grandisse dans nos cerveaux, et se manifeste par des actes énergiques et audacieux !
C’est par ce chemin et non par celui du Vote, que nous ferons la Révolution victorieuse.
Ne votons plus : Agissons.
Vive la Révolution Sociale & l’Anarchie ! Pour plus de développement de l’Idée Anarchiste, lire le Ça Ira et la Révolte, hebdomadaires.
Impr. du Ça ira, rue du Buisson-St-Louis, 29 — Vu : le Candidat abstentionniste Cabot
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Union Anarchiste — Élections législatives 1936
Travailleurs qui votez, les anarchistes vous parlent… La législature qui vient de s’écrouler représente la plus totale banqueroute que l’histoire de parlementarisme est enregistrée.
La banqueroute du parlementarisme :
Pour succéder à la Chambre Tardieu, vous aviez élu une Chambre de gauche. Cependant, Daladier, l’actuel chef du Front Populaire, qui d’ailleurs inaugura, en 1933, par les premières amputations de traitements, la politique de déflation si funeste aux intérêts des travailleurs, dut disparaitre devant l’émeute fasciste comme Herriot, en 1926, avait dû succomber devant le mur d’argent.
Ce ne fut pas, alors, le Parlement qui fit reculer la fascisme, mais votre action directe, par la grandiose grève générale du 12 février.
La Chambre de gauche, elle, capitulait lâchement en abandonnant, sous le couvert de l’Union nationale, le pouvoir à Doumergue d’abord, à Laval ensuite.
Pouvait-il en être autrement ? Nous répondons non ! Non, car l’expérience tant et tant de vous renouvelée a prouvé que dans la société capitaliste basée sur l’antagonisme des classes, le gouvernement était une duperie pour les travailleurs.
••• Ne prenez pas l’effet et la cause !
L’action directe des travailleurs :
Les grandes réformes sociales, les améliorations de votre sort, ce n’est pas le bulletin de vote qui vous les a données, mais votre action directe de classe s’affirmant par les grèves, par les manifestations de votre puissance, imposant les revendications du mouvement ouvrier. C’est, en un mot, la crainte que vous avez su inspirer à vos exploiteurs et à vos dirigeants.
Travailleurs, vous connaissez le chômage, les bas salaires, la menace de la dictature renforcée du capitalisme qu’est le fascisme. Croyez-vous que c’est avec l’arme en papier du bulletin de vote que vous briserez la coalition de toutes ces forces d’oppression et d’exploitation ?
Les anarchistes répondent pour vous à cette question et ils vous disent : Ne vous contentez pas de ce geste vain, qui, tous les quatre ans, consiste à déposer dans l’urne un bulletin de telle ou telle couleur. C’est ailleurs que dans les isoloirs que votre destin se joue. C’est dans l’action quotidienne contre le patronat contre l’État.
••• Enfin, travailleurs, les élections de 1936 doivent, à un autre titre, vous inspirer une méfiance supplémentaire. Elles se feront, cette année, sous le signe de l’Union sacrée.
Tous les partis, de l’extrême-droite à l’extrême-gauche, se préparent à renouveler le crime de 1914. Devant la grave crise que le monde traverse, ils s’avèrent tous prêts à réaliser sur votre dos l’union des classes.
Les menaces de guerre et l’Union sacrée :
Aujourd’hui, sous le couvert de défendre la paix, on vous dit qu’il faut faire l’union des États pacifiques. C’est un mensonge. Il n’y a pas d’États pacifiques. Il n’y a que des impérialismes qui se disputent, par la force, la possession du monde.
Vous, travailleurs, vous devez rester en dehors de ces compétitions.
Vous devez avoir toujours présent à l’esprit que c’est toujours dans vos rangs que la guerre, sous quelque prétexte qu’on la fasse, fait ses victimes.
Et si vous voulez réellement militer contre le fascisme et contre la guerre, si vous voulez travailler pour la paix, pour le bien-être et pour la liberté, affirmez votre volonté révolutionnaire, contre l’État fauteur de guerre, contre le Capitalisme fauteur de misère, contre le fascisme fauteur de dictature, par l’action directe quotidienne et non par le bulletin de vote.
Travailleurs, faites vos affaires vous-mêmes !
L’Union anarchiste.
Chaque semaine, lisez Le Libertaire, organe de l’Union anarchiste.
Vu : le candidat
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Source: https://placard.ficedl.info/
Vive l'Anarchie et que l'ordre revienne...
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lounesdarbois · 7 months
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youtube
Cette vidéo de 6 minutes donne la pêche pour tenir bon dans une course qui va durer encore 25 longs jours. Le jeûne obligatoire est comme un tamis qui permet de trier qui est qui dans la masse. Les jours maigres, les jours gras, nous donnent de manger 1 jour sur 2 dans la semaine. Qui en est capable? La pratique religieuse est une course de fond spirituelle, et pourtant très physique. Il y a ceux qui courent... Et il y a les "pélerins non-marcheurs" comme on dit. On verra bien si les grosses dames tartuffes de paroisse toujours pressées de parler auront perdu chacune leurs 30 kilos surnuméraires d'ici le 31 Mars pour mesurer en actes la ferveur dont elles se réclament... Et qu'elles prêchent aux autres!
Ces deux moines remettent les idées en place et replacent les actes réels au bout des idées. Que leur dire à part un grand merci pour l'exemple qu'ils donnent?
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Beat Plastic Pollution
14 novembre 2023 des négociateurs du monde entier sont réunis à Nairobi, au Kenya, pour de nouvelles discussions sur un traité international historique visant à lutter contre la pollution plastique. Dans le monde, environ 430 millions de tonnes de plastique sont produites chaque année. Environ les deux tiers de cette quantité sont simplement jetés, ce qui nuit à la fois à l'environnement et à la chaîne alimentaire. Réuni pour sa troisième session, le Comité de négociation intergouvernemental doit se concentrer sur le projet d'instrument international juridiquement contraignant sur la pollution plastique, publié plus tôt cette année, dans le but de conclure les négociations d'ici la fin de 2024. Non à l’économie du jetable il va de soi que l'impact dévastateur de la pollution plastique sur les écosystèmes, le climat, l'économie et la santé humaine coûte à la planète entre 300 et 600 milliards de dollars par an, selon la Secrétaire exécutive du Comité, Jyoti Mathur-Filipp. La production de plastiques devrait doubler au cours des 20 prochaines années si aucune mesure n’est prise. Les organisateurs réclament une transition de « l’économie du jetable vers une « économie circulaire ».
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jloisse · 9 months
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« Aimons notre misère quand même, puisqu’elle nous élève, nous prépare à des destins qui réclament des cœurs purs et forts. »
— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964)
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raisongardee · 7 months
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"Qu’un esclave ou un homme libre se parfume, chacun d’eux exhale aussitôt la même odeur. Mais les odeurs qui résultent des travaux propres aux hommes libres réclament au préalable un noble entraînement longuement poursuivi, pour être agréables et dignes de leur libre condition." Lycon dit alors : "Eh bien, voilà l’affaire des jeunes gens ; mais nous, qui avons cessé les travaux du gymnase, quelle devra être notre odeur ? - Celle de la vertu, par Zeus, répondit Socrate. – Où peut-on se procurer ce parfum-là ? – Certainement pas chez les parfumeurs. – Où donc alors ? – Théognis a dit : "C’est des gens vertueux que tu apprendras la vertu, mais si tu te mêles aux méchants, tu perdras même l’esprit qui est en toi.""
Xénophon, Banquet, trad. François Ollier, IVe siècle av J.-C.
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biarritzzz · 8 months
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Le discours autour de l’immigration a vraiment changé.
Avant, on nous serinait tout le temps le couplet sur l’intégration. Aujourd’hui l’élite sait bien que ça ne fonctionne plus, qu’on a des yeux et des oreilles et qu’on sait très bien que les immigrés n’ont jamais eu la moindre intention de s’intégrer et encore moins de s’assimiler. Quelques exceptions ici et là qui confirment la règle.
Donc maintenant on nous met le paquet sur la France/l’Europe multiculturelle, la diversité est une force gnagnagna. Constat d’échec accablant.
En gros: va falloir s’y faire les zouzous. Les bagnoles de pauvres bougres brûlées au Nouvel An, les émeutes dès qu’une racaille se fait buter (pas assez souvent) ou que Fatima a envie d’un nouvel écran plasma et d'une nouvelle machine à laver, les musulmanes qui réclament de pouvoir mettre un voile, un burkini ou une burqa où qu’elles aillent, les coups de couteau chez Leclerc ou Leroy Merlin, les kebabs qui colonisent l’espace public, la viande halal dans tous les rayons, les fusillades liées au trafic de drogue toutes les semaines.
C’est pas beau le multiculturalisme? Allez, réjouissez-vous! On pourrait être le Japon et sa population à 99% japonaise. C’est chiant et nul, non?
C’est tellement mieux le multiculturalisme et la diversité. Comment? L’Europe était déjà multiculturelle pendant des siècles, vous dites? L’Europe, avec ses nombreuses langues, ses traditions variées, ses histoires similaires et en même temps si différentes?
Non mais le monde change, mon bon monsieur. C'est comme ça, faut l'accepter. Quant à moi, je vis bien entendu loin de la diversité dans mon quartier paisible de bobos, je ne prends jamais les transports en commun, je mets mes gosses dans des écoles privées et je vante le vivre-ensemble depuis mon loft de 100m2 du 16e arrondissement. Les seules fois où je suis confronté à cette merveilleuse diversité c’est quand Mamadou me livre ma commande Uber Eats. D’ailleurs et c’est bien que vous m’y fassiez penser: il faut importer encore plus de Mamadou en Europe parce que qui va me livrer mes repas que je suis trop paresseux à me cuisiner ou à aller récupérer au restaurant du coin?
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yespat49 · 2 months
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4 600 euros de prestations sociales par mois. En Autriche, les aides touchées par une famille Syrienne scandalisent
Le débat sur l’immigration s’est à nouveau enflammé en Autriche après la révélation (confirmée) qu’une famille syrienne avec sept enfants, résidant dans la capitale, Vienne, recevait 4 600 euros de prestations sociales par mois. Alors que les sociaux-démocrates réclament une augmentation des prestations, le parti de droite FPÖ a qualifié ces révélations de “moquerie à l’égard de tous les…
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aurevoirmonty · 11 months
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Celui qui parle au nom des autres est toujours un imposteur. Politiques, réformateurs et tous ceux qui se réclament d'un prétexte collectif sont des tricheurs.
Emil Cioran
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elinaline · 3 months
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Vous vous souvenez y a genre cinq ans quand on disait qu'il était hors de question de débattre avec l'extrême droite ? Et maintenant les gens réclament un débat Tondelier-Bardella ??? À quel moment on a laissé l'hygiène se péter la gueule comme ça
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au-jardin-de-mon-coeur · 11 months
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Je suis un chien du 21ème siècle.
Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.
Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.
Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.
Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.
Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.
Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.
Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.
Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.
Je suis un chien du 21ème siècle.
Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou tard, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.
Article d'Elsa Weiss
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