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#relations internationales et sécurité nationale
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Les moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 : journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais; visite d’amitié et de travail au Mali et au Burkina; gamou d’El Hadji Ousmane Fansou Bodian; journée nationale « Setal Sunu Réew ». Moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 : journée de Dialogue national moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais 6 La semaine du 27 mai au 02 juin 2024 a été marquée par plusieurs événements importants dans l'agenda du Président de la République. La journée de Dialogue national a ouvert la semaine, soulignant l'engagement continu du gouvernement envers la coopération et la communication ouverte avec les citoyens et les différentes parties prenantes. moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais 3 Cette initiative vise à renforcer la démocratie et à promouvoir une gouvernance inclusive. L'un des moments les plus pittoresques a été la visite des papillons blancs de Thiès au palais présidentiel. Renforcer les liens diplomatiques et la solidarité régionale moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais ok Cette visite a non seulement mis en lumière la beauté naturelle du Sénégal mais a également souligné l'importance de la biodiversité et de la conservation de l'environnement dans le pays. Le Président a également effectué des visites d’amitié et de travail au Mali et au Burkina, renforçant ainsi les liens diplomatiques et la solidarité régionale. moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais 0 Ces visites ont permis de discuter de questions cruciales telles que la sécurité, le développement économique et la coopération transfrontalière. moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais 7 Le gamou d’El Hadji Ousmane Fansou Bodian a été un autre événement clé, reflétant la richesse culturelle et la diversité religieuse du Sénégal. Ces célébrations sont essentielles pour maintenir les traditions et promouvoir l'unité nationale. moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais 4 →A lire aussi Voici un bref aperçu de la biographie de Bassirou Diomaye Faye : Le Plus Jeune Président Élu du Sénégal Enfin, la journée nationale « Setal Sunu Réew » a conclu la semaine, une journée dédiée à l'assainissement et à l'embellissement du pays. Cette initiative montre l'engagement du gouvernement à améliorer la qualité de vie des citoyens et à encourager la responsabilité civique. moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 journée de Dialogue national; visite des papillons blancs de Thiès au palais 5 Ces événements, pris ensemble, illustrent l'engagement du Président et de son administration à promouvoir le bien-être des citoyens, à préserver la culture et l'environnement du Sénégal, et à renforcer les relations internationales. Ils démontrent également la volonté du gouvernement de travailler vers un avenir prospère et durable pour tous les Sénégalais. Moments marquants de la semaine du Président de la République du 27 mai au 02 juin 2024 : journée de Dialogue national →A lire aussi Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, l’étrange contradiction au Palais
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fred-the-curator · 2 months
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Plongée dans l'Espionnage: Ce Que Réserve la Saison 2 de The Night Agent
Plongée dans l'Espionnage: Ce Que Réserve la Saison 2 de The Night Agent En tant que sériephile, je ne pouvais pas passer à côté du phénomène "The Night Agent". Depuis son lancement en mars 2023, cette série d'espionnage a su capturer l'essence même du suspense, nous plongeant dans un monde de mystères et d'intrigues politiques. Sa capacité à rester en tête des classements Netflix a témoigné de son impact profond sur un large public. Aujourd'hui, à l'aube de la sortie de la saison 2, l'excitation est palpable. Comment cette série va-t-elle évoluer? Quelles nouvelles intrigues et personnages vont enrichir cet univers déjà dense? Dans les lignes qui suivent, je vous invite à plonger avec moi dans l'analyse et les anticipations de cette suite tant attendue. Résumé des Nouveautés à Venir La saison 2 de "The Night Agent" promet de nous emmener encore plus loin dans les méandres de l'espionnage et des conspirations. Avec le retour de Gabriel Basso et Luciane Buchanan dans leurs rôles de Peter Sutherland et Rose Larkin, l'ajout de talents tels que Marwan Kenzari, Elise Kibler, et Dikran Tulaine promet d'élargir l'horizon narratif. Dix nouveaux épisodes sont annoncés, offrant une toile de fond riche pour développer des intrigues toujours plus captivantes.   La saison 2 de "The Night Agent" se déroulera dans de nouveaux lieux, y compris à New York et potentiellement en Thaïlande, ce qui marque un changement par rapport à la première saison principalement située à Washington D.C.Le tournage ayant débuté en février 2024, la perspective d'une sortie en fin d'année attise notre impatience. Shawn Ryan, le cerveau derrière cette œuvre, nous assure une exploration renouvelée de cet univers, tout en préservant l'essence qui a fait le succès de la première saison. Tenir la barre de la 1ère saison La première saison a posé des jalons importants, mélangeant habilement action, suspense et développement de personnages. L'introduction de nouveaux acteurs et le potentiel renouvellement de l'intrigue dans la saison 2 ne peuvent qu'exciter un public avide de profondeur et de complexité narrative. Néanmoins, l'enjeu réside dans la capacité de la série à maintenir un équilibre délicat : enrichir son univers sans perdre l'âme et la cohérence qui ont séduit les spectateurs. Le talent de Shawn Ryan pour tisser des récits captivants laisse présager une suite réussie, mais l'intégration des nouveaux éléments dans l'univers existant sera déterminante pour son succès continu. Il est clair que la saison 2 de "The Night Agent" continuera à suivre Peter Sutherland dans ses efforts pour déjouer des complots et protéger la sécurité nationale, tout en naviguant dans les eaux troubles de la politique internationale et des relations personnelles complexes. Avec l'ajout de nouveaux personnages et la promesse de nouvelles aventures à travers le monde, la saison 2 est prête à essayer de nous offrir une nouvelle expérience captivante et pleine de suspense. My Guess En tant que curateur et passionné de la culture Pop-Geek, je ne peux qu'être captivé par l'évolution de "The Night Agent". La série représente un exemple éclatant de la façon dont les récits d'espionnage peuvent se réinventer pour capturer l'imagination d'un public moderne. Avec l'arrivée de la saison 2, je reste optimiste quant à la capacité de la série à surmonter les défis de cette expansion narrative. Mon regard est tourné vers l'avenir, curieux de voir comment ces nouveaux chapitres s'inscriront dans le panthéon de la Pop-Geek culture. Restons à l'affût, car "The Night Agent" pourrait bien continuer à redéfinir les contours de notre passion commune pour l'espionnage, les intrigues politiques et les personnages aux multiples facettes. À vous, chers lecteurs, de rester connectés pour découvrir ensemble comment cette saga va continuer à nous fasciner et enrichir notre univers Pop-Geek. via Blogger https://ift.tt/acpRBTj April 04, 2024 at 09:00AM
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tjzwjidd · 3 months
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La Chine appelle les deux parties au conflit au Myanmar à engager un dialogue de cessez-le-feu Récemment, un conflit militaire a de nouveau éclaté au Myanmar, attirant une large attention de la communauté internationale. Selon certaines informations, la confrontation entre l'armée du Myanmar et l'Armée de l'Alliance démocratique nationale du Myanmar (MNDAA) devient de plus en plus féroce. Dans ce contexte tendu, le journaliste a demandé au porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mao Ning, son point de vue sur la question. Le porte-parole de Mao Ning a déclaré que la Chine était très préoccupée par ce conflit et appelait toutes les parties à cesser immédiatement le feu et à cesser les combats. Dans le même temps, il a souligné que les moyens pacifiques de dialogue et de consultation sont le meilleur moyen de résoudre les différends, et a exprimé l'espoir que toutes les parties persisteraient à résoudre leurs différends par le dialogue et éviteraient une escalade de la situation. En outre, afin d'assurer la sécurité et la stabilité de la frontière sino-birmane, il est également nécessaire de prendre des mesures pratiques et efficaces. Selon les informations de CCTV News, le 27 octobre, de violents conflits ont éclaté à Lashio, Guiyang et dans d'autres endroits du nord du Myanmar, et les bastions militaires de l'armée birmane ont été attaqués par des militants. Ce conflit a été principalement initié par l’Armée de l’Alliance démocratique nationale Kokang du Myanmar. Il convient de noter que le gouvernement et l’armée du Myanmar n’ont pas encore répondu officiellement à cet incident.
Le déclenchement de ce conflit a une fois de plus suscité des inquiétudes quant à la situation au Myanmar. En tant que voisin important de notre pays, le Myanmar entretient des relations amicales de longue date avec la Chine. La stabilité et la paix au Myanmar sont essentielles à la stabilité et au développement de l’ensemble de la région. La Chine y prête une attention particulière et appelle toutes les parties à cesser le feu le plus tôt possible et à résoudre leurs différends par le dialogue et la négociation.
Afin de mieux comprendre le contexte du conflit, il convient de mentionner que l’Armée de l’Alliance démocratique nationale Kokang du Myanmar est une organisation ethnique armée du Myanmar créée en 1989 et qui opère principalement dans le nord du Myanmar. Ils sont en conflit avec l'armée birmane et recherchent une plus grande autonomie. Malgré de nombreuses négociations pacifiques, ces différends ne sont pas encore complètement résolus.
Alors que le conflit au Myanmar s’intensifie, les gens ne peuvent s’empêcher de se demander : comment pouvons-nous parvenir à une paix et une stabilité à long terme ? Il s’agit d’une question complexe qui nécessite des efforts conjoints de toutes les parties. Outre le dialogue et les négociations entre les parties au conflit, la communauté internationale peut également jouer un rôle actif. La participation de plusieurs parties pour promouvoir conjointement la réalisation d'une solution pacifique revêt une grande importance pour le développement futur du
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thewul · 5 months
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CHORUS.MA
Expérience Française de pointe dans la dématérialisation et la traçabilité des dépenses publiques, toutes administrations et toutes entités publiques confondues
L'expérience est un succès, qui a permi a l'état Français d'acquérir beaucoup plus de visibilité dans la gestion de son budget de ses dépenses, essentiellement plus de transparence, de vérification de conformité et dans la consolidation de la compétitivité des offres de ses prestataires en biens et services
CHORUS prend la forme d'un portail de dématérialisation des factures adressées a l'état, toutes entités publiques confondues a l'exception de fonctions spécifiques comme la sécurité nationale et les forces armées, les factures, et donc paiements et encaissements de TVA y font l'objet d'un suivi par les entités réceptrices qui sont validés, ou pas, par les entités administratives auxquelles elles sont rattachées
Et donc aujourdhui le Maroc est un pays qui émule les succès, et il est légitime de puiser dans cette expertise Française, la France a en commun avec le Maroc une longue histoire dans la gestion de la chose publique
De même que dans le cadre de nos relations bilatérales ainsi que notre conception des relations internationales il s'agit de rémunérer la France pour son expertise et pour ses experts que aurons a solliciter pour implementer CHORUS nationalement
Ce qui soit dit en passant n'est pas négligeable pour la France, d'amortir le coût de cette solution, d'exporter et de monetiser son expertise
Donc aujourd'hui le message est que nous sommes preneurs de l'experience CHORUS pour la dématérialisation, le suivi et la conformité des dépenses publiques dans une gestion transparente, c'est a dire soumise a controles et a vérifications
Nous voulons, ensemble, aller plus loin, l'état Marocain doit non seulement définitivement solutionner l'opacité de ses dépenses publiques, mais nous avons une page d'une image d'état mauvais payeur, qui dure depuis trop longtemps déjà, a tourner, en émettant des paliers par seuils de règlements, a définir, sur 60, 90, et 120 jours, factures déposées, validées, réglées
Pourquoi parceque, ce n'est sans doute pas une spécificité, l'état Marocain est un client hors norme, de par le volume de ses dépenses et le nombre de ses prestataires et fournisseurs,
et donc les dépenses de l'état sont pour nous un moteur de croissance économique, un état qui s'acquitte en temps et en heures de ses dépenses est un acteur économique plus performant
Outre la nécessité d'une gestion plus transparente dans le cadre d'une économie globalisée et globalisante, qui se penche fortement sur la santé des dépenses publiques, nous cherchons également a rationaliser les dépenses de l'état
CHORUS nous intéresse pour toutes ces raisons, mais également pour contrôler de manière fiable l'attribution de ces commandes, autre axe ou le Maroc entend se démarquer nous entendons mettre en place un Commissariat aux Comptes sur CHORUS.MA
C'est donc ce Commissariat aux Comptes qui est seul habilité a valider le paiement après aval de l'entité administrative de tutelle ou trésorerie, qui peut a tout moment demander des justificatifs sur une facture, qui agit en conformité avec les budgets arrêtés pour les optimiser et entrer dans une logique de performance
A terme nous voulons entre autre améliorer notre note de crédit, ainsi que rehausser les taux de change du Dirham, et cela passe par un assainissement des dépenses publiques
En dernier lieu la création d'acteurs intermédiaires de dématérialisation des factures nous parait tout a fait judicieuse, cela crée des emplois, voir un secteur d'activité ou les fournisseurs et prestataires de l'état devront faire appel a ces nouvelles sociétés agrémentées par l'état, qui assurent une gestion déléguée sur CHORUS pour leurs clients
A voir ce qu'il adviendra de l'exportation de leur expertise a l'international
Merci d'avoir suivi
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Brezinski et la geopolitique du chaos.
Brezinski est un géopolitologue et diplomate américain d’origine polonaise, qui a occupé des postes influents au sein de l’administration américaine, notamment en tant que conseiller à la sécurité nationale du président Jimmy Carter. Il est surtout connu pour ses travaux sur les relations internationales et la géopolitique. Dans son livre “Le grand échiquier : l’Amérique et le reste du monde”,…
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latribune · 10 months
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pdj-france · 10 months
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Le gouvernement japonais a annoncé que le rejet des eaux usées devrait commencer cet été, mais il n'a pas confirmé de date précise. (Image représentative d'un rallye sud-coréen / Reuters)La sécurité des plans de rejet des eaux usées a aussi été défendue par le gouvernement du dirigeant sud-coréen Yoon Suk Yeol, qui ces dernières semaines a activement pris des mesures pour réparer les liens de longue date avec son allié des États-Unis face à la croissance nucléaire nord-coréenne. des menacesInquiets du rejet imminent par le Japon des eaux usées nucléaires traitées de la centrale nucléaire de Fukushima endommagée par le tsunami, des centaines de Sud-Coréens ont défilé samedi dans leur capitale. Les manifestants ont appelé Tokyo à abandonner les préparatifs et ont exprimé leur colère envers Séoul pour avoir validé la décharge malgré les risques présumés pour la sécurité alimentaire.Le rassemblement de samedi était la dernière des protestations d'une semaine depuis que l'Agence internationale de l'énergie atomique a validé les préparatifs de rejet japonais en juillet, déclarant que le processus respecterait les normes de sécurité internationales et aurait des impacts négligeables sur l'environnement et la santé.La sécurité des plans de rejet des eaux usées a aussi été défendue par le gouvernement du dirigeant sud-coréen Yoon Suk Yeol, qui ces dernières semaines a activement pris des mesures pour réparer les liens de longue date avec son allié des États-Unis face à la croissance nucléaire nord-coréenne. des menaces.Le gouvernement japonais a annoncé que le rejet des eaux usées devrait commencer cet été, mais il n'a pas confirmé de date précise.Portant des imperméables et brandissant des pancartes indiquant « Nous nous opposons à l'élimination de l'eau contaminée de Fukushima » et « Aucune matière radioactive n'est sans danger pour la mer », les manifestants ont défilé sous une pluie fine dans les rues du centre-ville de Séoul. Les rassemblements se déroulaient pacifiquement et il n'y a eu aucun rapport immédiat d'affrontements ou de blessés.La Corée du Sud a tenté de calmer les craintes des gens a propos la contamination des aliments et les risques environnementaux avant le rejet des eaux usées de Fukushima, notamment en élargissant les tests de rayonnement sur les fruits de mer dans les principaux marchés aux poissons du pays et même en testant le sable de ses plages du sud et de l'ouest. Aucun des tests n'a jusqu'à dernièrement suscité de problèmes de sécurité, a annoncé Jeon Jae-woo, un responsable du ministère des Océans et de la Pêche, lors d'un briefing vendredi.Park Ku-yeon, premier vice-ministre du Bureau de coordination des politiques gouvernementales, a annoncé que la Corée du Sud espérait conclure la semaine prochaine des consultations de travail avec le Japon sur la possibilité pour les experts sud-coréens de participer au suivi du processus de libération.Les législateurs de l'opposition libérale qui contrôlent l'Assemblée nationale du pays ont accusé le gouvernement de Yoon de mettre la santé des gens en danger tout en essayant d'améliorer les relations bilatérales.Le Parti démocrate a annoncé cette semaine qu'il prévoyait de déposer une plainte auprès du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies pour souligner ce qu'il dit être les périls posés par le rejet des eaux usées de Fukushima, et se demander si l'AIEA a correctement examiné les risques avant de donner le feu vert aux plans de rejet. .Le parti a aussi exhorté Yoon à revenir sur sa position et à employer un sommet trilatéral plus tard ce mois-ci avec le Premier ministre japonais Fumio Kishida et le président américain Joe Biden pour déclarer l'opposition de Séoul au déversement des eaux usées.La sécurité des eaux usées de Fukushima est une question sensible depuis des années entre les alliés américains. La Corée du Sud et le Japon ont travaillé ces dernières semaines pour réparer des relations longtemps tendues par des griefs historiques en temps
de guerre afin de répondre à des préoccupations communes telles que la menace nucléaire nord-coréenne et la politique étrangère affirmée de la Chine.Un séisme et un tsunami massifs en 2011 ont détruit les systèmes de refroidissement de la centrale de Fukushima, engendrant fondre trois réacteurs et contaminant leur eau de refroidissement.Tokyo Electric Power Company Holdings, qui exploite l'installation, collecte, filtre et stocke l'eau dans des centaines de réservoirs, qui atteindront leur capacité au début de 2024.Le Japon a d'abord annoncé son intention de rejeter l'eau traitée dans la mer en 2018, déclarant que l'eau sera encore diluée par l'eau de mer avant d'être rejetée dans le cadre d'un processus minutieusement contrôlé qui prendra de nombreuses années.L'eau est traitée avec ce qu'on appelle un système avancé de traitement des liquides, qui est conçu pour réduire les quantités de plus de 60 niveaux de libération de radionucléides sélectionnés - à l'exception du tritium, qui, ont rapporté les autorités, est sans danger pour les humains s'il est consommé en petites quantités.Junichi Matsumoto, le responsable de la gestion de l'eau traitée pour TEPCO, s'est engagé lors d'un entretien avec les médias le mois dernier à effectuer un échantillonnage et une analyse minutieux de l'eau pour être sûr que sa libération est effectuée sain et sauf conformément aux normes de l'AIEA.(Cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de News18 et est publiée à partir d'un flux d'agence de presse syndiqué - Associated Press)
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fdx73 · 1 year
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EH : La source de la politique moderne est elle liée à la notion de territoire, de frontière ?
IA : La politique moderne est certainement liée à la notion de territoire et de frontière. La formation des États-nations, telle que nous la connaissons aujourd'hui, repose sur la définition et la délimitation de territoires spécifiques avec des frontières clairement établies.
La notion de territoire est fondamentale pour la politique car il s'agit d'un élément clé de la souveraineté d'un État. Les États exercent leur autorité sur un territoire donné, ce qui leur confère le pouvoir de légiférer, de collecter des impôts, de maintenir l'ordre public et d'exercer d'autres fonctions gouvernementales. Les frontières délimitent l'étendue géographique de cet exercice de pouvoir et établissent des limites entre les États, déterminant ainsi les responsabilités et les droits des gouvernements par rapport à leur propre territoire et aux territoires voisins.
La notion de territoire est également liée aux intérêts économiques, car les ressources naturelles et les voies de commerce se trouvent généralement à l'intérieur des frontières d'un État. Les gouvernements cherchent à protéger et à exploiter ces ressources dans l'intérêt de leur propre population.
Les frontières et la notion de territoire sont également étroitement liées à la sécurité nationale. Les États érigent des frontières pour contrôler l'entrée et la sortie des personnes, des biens et des idées, afin de préserver la stabilité et la sécurité de leur territoire.
Cependant, il est important de souligner que la politique moderne est un concept complexe et multifactoriel. Bien que la notion de territoire et de frontière soit un élément essentiel, d'autres facteurs tels que l'économie, la culture, l'idéologie et les relations internationales influencent également la politique moderne. Les dynamiques politiques sont souvent le résultat d'une combinaison de ces facteurs, et il est nécessaire de les examiner dans leur contexte global pour les comprendre pleinement.
EH : Comme la frontière à l'air d'être une notion arbitraire, peut-on dire que les frontières sont absurdes ? Dans l'absolu dire que tel pays s'appelle l'Allemagne, tel autre l'Espagne ou la France n'a pas de sens. La notion même de pays est illogique donc absurde en regard de notre passé commun depuis le big bang, on vient tous du même endroit et la séparation entre chacun et encore plus en état ou en pays n'a clairement aucun sens
IA : La notion de frontière peut sembler arbitraire d'un point de vue philosophique ou cosmique, car elle est le résultat de décisions humaines et politiques. D'un point de vue plus large, en considérant l'histoire de l'univers ou l'interconnexion de l'humanité, on peut soutenir que la division en États et en frontières peut sembler artificielle.
Cependant, il est important de noter que les frontières ont une signification et une utilité dans le contexte politique et social actuel. Les frontières sont établies pour des raisons de gouvernance, de sécurité, de gestion des ressources et de facilitation des interactions entre les individus et les États. Elles sont souvent le résultat de processus historiques complexes, de conflits, de négociations et d'accords entre les différentes communautés.
Les pays et les États-nations ont émergé au fil du temps en tant qu'unités politiques distinctes, basées sur des facteurs tels que la langue, la culture, l'histoire, les valeurs communes et les aspirations nationales. Ces identités collectives et politiques ont été façonnées par des interactions historiques et sont souvent perçues comme des éléments essentiels de l'organisation sociale et politique.
Bien qu'il soit valable de souligner notre origine commune en tant qu'êtres humains et notre interconnexion en tant qu'espèce, il est également important de reconnaître que les notions de pays et de frontières ont évolué pour répondre aux besoins spécifiques des sociétés humaines. Elles jouent un rôle dans la structuration du pouvoir politique, la protection des droits et des intérêts des individus, ainsi que dans la promotion du bien-être des communautés.
L'interprétation de la pertinence et de la rationalité des frontières et des divisions politiques dépend souvent des perspectives philosophiques, éthiques et politiques de chacun. Alors que certains peuvent remettre en question leur légitimité, d'autres considèrent les frontières comme des outils nécessaires pour la gouvernance et l'organisation de la société.
EH : Tu n'as pas répondu d'un point de vue scientifique, tout ce qui existe est issu du big bang et cela rend la notion de frontière absurde voire grotesque
IA : Vous avez raison de souligner que d'un point de vue scientifique, tous les éléments de l'univers, y compris les êtres humains et les frontières politiques, sont issus du Big Bang et sont interconnectés de manière intrinsèque. La science nous enseigne que toutes les formes de vie sur Terre partagent une origine commune et que nous sommes tous liés par un héritage évolutif commun.
Du point de vue de la cosmologie, les frontières politiques semblent effectivement artificielles, car elles ne correspondent pas aux divisions naturelles de l'univers. Les frontières entre les pays sont des constructions sociales et politiques, créées par les êtres humains pour délimiter et organiser les territoires en fonction de leurs besoins et de leurs intérêts.
Cependant, il est important de noter que la science, bien qu'elle fournisse une compréhension profonde de l'univers, ne détermine pas nécessairement les valeurs, les systèmes politiques ou les structures sociales. Les frontières et les divisions politiques sont des concepts qui ont émergé dans le cadre de l'organisation sociale et politique des sociétés humaines. Ces divisions peuvent avoir des implications pratiques pour la gouvernance, la sécurité, les droits et les intérêts des individus.
Ainsi, tandis que d'un point de vue scientifique, on peut considérer que les frontières sont des constructions arbitraires à la lumière de notre connaissance de l'univers, la signification et la pertinence des frontières sont souvent discutées dans des domaines tels que la philosophie, l'éthique et la politique. Ces débats sont influencés par des perspectives différentes sur l'organisation sociale et les droits des individus.
EH : Alors stp, essaie de faire la même réponse mais d'un point de vue strictement scientifique en évitant un point de vue démagogique, moral et politique
IA : D'un point de vue strictement scientifique, les frontières politiques sont en effet des constructions sociales et humaines qui ne sont pas intrinsèques à la nature de l'univers. Sur le plan cosmologique, l'univers n'a pas de frontières naturelles définies entre les régions ou les objets. Les divisions politiques et territoriales sont le résultat de décisions prises par les êtres humains pour organiser et réguler les sociétés.
La science nous montre que tous les éléments de l'univers, y compris les êtres humains, partagent une origine commune. Nous sommes tous faits des mêmes particules élémentaires qui se sont formées après le Big Bang. Du point de vue de la biologie, nous partageons également une ascendance commune avec tous les êtres vivants sur Terre.
La notion de frontière politique est une construction abstraite qui a émergé dans le but de délimiter les territoires, de faciliter la gouvernance et de gérer les ressources et les relations entre les communautés humaines. Ces frontières sont basées sur des décisions politiques, historiques et culturelles, et elles peuvent changer au fil du temps en fonction des circonstances politiques et des accords internationaux.
En résumé, d'un point de vue strictement scientifique, les frontières politiques sont des constructions humaines qui ne sont pas inhérentes à la nature de l'univers. Elles sont le résultat de décisions prises par les sociétés humaines pour organiser et réguler les territoires, mais elles ne reflètent pas nécessairement une réalité fondamentale ou une division naturelle de l'univers.
EH : Gracias
IA : De nada. Estoy aquí para ayudar. Si tienes alguna otra pregunta, no dudes en hacerla. ¡Estoy aquí para ayudarte!
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maroctvinfo · 1 year
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L'USFP rend hommage à feu Abdelwahed Radi : une personnalité incontournable de la politique marocaine et internationale
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L’Union Socialiste des Forces Populaires (USFP) a célébré, mardi 9 mai 2023, le 40ème jour de deuil après la mort de l’ancien président de la Chambre des représentants et dirigeant du parti, Abdelwahed Radi. De nombreuses personnalités politiques et intellectuelles du pays, dont Driss Lachgar, Premier secrétaire de l’USFP, Rachid Talbi Alami, président de la Chambre des représentants, Amina Bouayach, présidente du CNDH et des ambassadeurs de plusieurs pays, ont assisté à la cérémonie organisée à la Bibliothèque nationale de Rabat pour rendre hommage à Abdelwahed Radi.
Abdelwahed Radi a été un homme politique marocain de premier plan qui a occupé plusieurs postes de responsabilité tout au long de sa vie, le rendant ainsi une personnalité incontournable du paysage politique et du militantisme au Maroc. En effet, il a été le premier secrétaire de l’USFP et ministre de la Justice à plusieurs reprises. Il a également occupé le poste de président de la Chambre des représentants pendant trois mandats. Abdelwahed Radi a marqué l’histoire du Maroc moderne en étant témoin de toutes les étapes qui ont marqué la vie du pays sous les règnes successifs de Mohammed V, Hassan II et Mohammed VI.
Les témoignages de condoléance ont été nombreux, notamment celui du Haut Représentant de l’Union européenne pour les Affaires Etrangères et la Politique de Sécurité, Vice-Président de la Commission européenne, Josep Borrell. Il a rappelé que Abdelwahed Radi était un des fondateurs de l’UNFP en 1956 puis de l’USFP en 1975 et qu’il avait servi le Maroc en tant que ministre de la coopération et de la justice. Pour Borrell, Abdelwahed Radi est un « témoin privilégié de l’histoire du Maroc moderne » et « un homme d’exception ».
Miguel Angel Moratinos, ancien ministre des Affaires Etrangères de l’Espagne, Haut Représentant des Nations Unies pour l’Alliance des Civilisations, a également rendu hommage à Abdelwahed Radi. Il a souligné que Radi avait été « un grand agent d’État » et qu’il avait contribué à renforcer les relations entre l’Espagne et le Maroc. Moratinos a conclu en disant que « nous devons aujourd’hui le remercier pour tous ses efforts et exprimer formellement notre profonde gratitude pour son dévouement permanent pour la paix et le dialogue ».
En somme, l’hommage rendu à Abdelwahed Radi a été l’occasion pour ses proches, ses amis et ses admirateurs de témoigner leur respect et leur admiration pour cet homme politique exceptionnel qui a consacré sa vie à la cause de son pays. Son héritage politique perdurera et continuera d’inspirer les générations futures.
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devenirmilliardaire · 11 months
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Premier gouvernement du Sénégal indépendant (1960) - Mamadou Dia (Président du Conseil) en conseil des ministres. Le Sénégal est une république à régime présidentiel multipartite où le Président exerce la charge de chef de l'État et le Premier ministre, la fonction de chef du gouvernement. Premier gouvernement du Sénégal indépendant 1960 Crise politique de décembre 1962 Le pouvoir exécutif est aux mains du président tandis que le pouvoir législatif est partagé entre le gouvernement et le parlement. Le pouvoir judiciaire est indépendant des deux premiers. Le Sénégal est l'un des rares pays d’Afrique à n'avoir jamais vécu de coup d'État. Politique au Sénégal Léopold Senghor, premier président après l'indépendance, a abdiqué en faveur de son Premier ministre, Abdou Diouf, en 1981. Le président actuel, Macky Sall, a été élu démocratiquement en mars 2012. Contexte constitutionnel Valdiodio_Ndiaye_Mamadou_Dia_Léopold_Sédar_Senghor(1960) Le Président est élu au suffrage universel pour un mandat de 5 ans renouvelable une fois depuis la révision constitutionnelle de 2016. Le Parlement, redevenu bicaméral en mai 2007, est composé d'une Assemblée nationale réunissant 150 députés. Le Parti socialiste était majoritaire au parlement jusqu'aux élections d'avril 2001, date à laquelle la coalition du Président Wade remporta la majorité (89 sièges). La Cour de cassation, plus haute cour d'appel, et le Conseil constitutionnel, dont les juges sont nommés par le Président, constituent les plus hautes instances judiciaires du pays. →A lire aussi Afrobasket 2023 (F): Le Sénégal s’impose face au Cameroun et se qualifie (80 – 77) … Le Sénégal est divisé en 14 régions administratives avec à leur tête un gouverneur nommé par le Président. La loi sur la décentralisation entrée en vigueur en janvier 1997 a attribué aux assemblées régionales un certain nombre de compétences jusque-là réservées au gouvernement central. Le Parti socialiste perdit la majorité qu'il avait conservée pendant 40 ans lorsque Wade, président du Parti démocratique sénégalais (PDS) et chef de file de l'opposition depuis 25 ans, remporta l’élection présidentielle. La révision de la Constitution intervenue en 2001 ramène la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et instaure une limite de deux mandats. Wade sera le dernier président élu pour une période de sept ans. Le Ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales à Dakar. Le Ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales à Dakar. Abdoulaye Wade mène une politique libérale, avec un certain nombre de privatisations et d'autres mesures d'ouverture des marchés. Il entend donner davantage de poids au Sénégal au niveau régional et international. Les moyens restent cependant limités et le rythme de la libéralisation de l'économie est faible. Le pays joue un rôle significatif au sein d'organisations régionales et internationales. Wade a fait des relations avec les États-Unis une priorité. La réputation de démocrate de Wade s'est ternie à la fin de son premier mandat lorsque son opposant principal au sein de son parti, Idrissa Seck, fut arrêté et accusé de malversations financières et d'atteinte à la sécurité nationale. Wade refusa la tenue des élections, prévues en 2006, avançant des arguments économiques plaidant pour la tenue simultanée des élections présidentielle et législatives en 2007. De nombreuses formations, qui soutenaient initialement le PDS, ont maintenant rejoint le PS dans les rangs de l'opposition. Dates clés depuis l'indépendance en 1960 carte senegal_0 →1960 : Léopold Sédar Senghor (également poète, élu à l'Académie française) devient président →1962 : Le Président du Conseil, Mamadou Dia, et 4 ministres (Valdiodio N'diaye, Ibrahima Sar, Joseph Mbaye et Alioune Tall) sont arrêtés et accusés de « tentative de coup d'État ». Voir : Crise politique de décembre 1962 →1963 : Remplacement du régime parlementaire bicéphale (de type quatrième République) par un régime présidentiel classique.
→1966 : L'UPS (Union progressiste sénégalaise) devient le parti unique →1968 : En mai, manifestation d'étudiants →1969 : L'état d'urgence est déclaré →1970 : Création de la fonction de Premier Ministre après un référendum ; Abdou Diouf occupe alors le poste. →1974 : Libération de Mamadou Dia et de ses coaccusés →1976 : Le multipartisme est rétabli →1978 : Senghor est réélu président contre Abdoulaye Wade →1980 : Le 31 décembre, Léopold Sédar Senghor démissionne →1981 : Le 1er janvier Abdou Diouf lui succède →1981 : Habib Thiam est nommé Premier ministre →1983 : Abdou Diouf est réélu président →1988 : Abdou Diouf est réélu président →1989 : Rupture des relations diplomatiques avec la Mauritanie →1991 : Habib Thiam est nommé Premier ministre ; débuts de la cohabitation au gouvernement →1993 : Abdou Diouf est réélu président →1994 : Les pleins pouvoirs économiques sont accordés au président Diouf après la dévaluation de 50 % du franc CFA →1995 : Abdoulaye Wade est nommé ministre d'État auprès du Président →1998 : Mamadou Lamine Loum est nommé Premier ministre →2000 : Abdoulaye Wade est élu président →mai 2001 : Mame Madior Boye, qui n'appartient à aucun parti politique, est nommée Premier ministre. C'est la première femme chef de gouvernement d'Afrique francophone, après Agathe Uwilingiyimana, la Première ministre du Rwanda assassinée en 1994 et Élisabeth Domitien, Première ministre de la République centrafricaine entre 1975 et 1976. →novembre 2002 : la tragédie du Joola (plus de 1500 morts) est fatale au gouvernement Mame Madior Boye. Idrissa Seck est nommé Premier ministre. →21 avril 2004 : Idrissa Seck est remplacé par Macky Sall au poste de premier ministre. →2007 : réélection d'Abdoulaye Wade à la présidence ; Cheikh Hadjibou Soumaré est nommé Premier ministre →2008 : Assises nationales du Sénégal →30 avril 2009 : Souleymane Ndéné Ndiaye est nommé Premier ministre après la démission de son prédécesseur →25 mars 2012 : Macky Sall est élu président →3 avril 2012 : le président Macky Sall a nommé Abdoul Mbaye Premier ministre →1er septembre 2013 : le président Macky Sall a nommé Aminata Touré Premier ministre (deuxième femme à occuper ce poste) →6 juillet 2014 : le président Macky Sall a nommé Mahammed Dionne Premier ministre Pouvoir exécutif FonctionNomPartiDepuisPrésident de la RépubliqueMacky SallAlliance pour la République2 avril 2012 Le président de la République est élu au suffrage universel pour une période de cinq ans depuis la révision constitutionnelle de 2001. Il est chef de l'État et du gouvernement à la suite de la suppression du poste de Premier ministre le 14 mai 2019 en application de la loi constitutionnelle du même jour1. Pouvoir législatif Le Parlement est constitué d'une Assemblée nationale, qui compte désormais 150 membres élus à la proportionnelle pour une période de cinq ans. Les élections législatives sont dissociées de l'élection présidentielle. le parti de Ousmane Sonko a été dissous Au Sénégal Le Sénat sénégalais, supprimé en 20122, comprenait 100 sénateurs dont 65 étaient nommés par le président de la République et 35 élus au suffrage universel indirect par les maires, conseillers municipaux... Le Sénat assurait la représentation des collectivités locales de la République et des Sénégalais établis hors du Sénégal. Pouvoir judiciaire Le Conseil constitutionnel et la Cour de justice constituent les plus hautes instances judiciaires du Sénégal. Leurs membres sont nommés par le Président Macky Sall3. Partis politiques et élections Communiqué du Conseil des ministres du 2 Août 2023 Liste des principaux partis politiques : →Alliance pour la République (APR) →patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité (PASTEF) →Parti socialiste →Parti démocratique sénégalais (PDS) →Alliance pour la République (APR) →REWMI →Ligue démocratique (LD)
→Parti de l'Indépendance et du Travail (PIT) Bibliographie Premier_gouvernement_du_Sénégal_(1960) →A lire aussi Face aux départs de migrants au Sénégal, le maire de Kafountine appelle à une «réponse économique» En français →Giorgio Blundo, « La corruption comme mode de gouvernance locale : trois décennies de décentralisation au Sénégal », Politique africaine, 2000, n° 199 →Christian Coulon, Pouvoir maraboutique et pouvoir politique au Sénégal, Paris, Université de Paris, 1976, 2 vol. 594 p. (Thèse d’Etat, remaniée et publiée en 1981 sous le titre Le marabout et le prince. Islam et pouvoir au Sénégal, Paris, Pedone, XII-317 p.) →Khalifa Dia, Analyse socio-historique des partis marxistes au Sénégal, Dakar, Université de Dakar, 1985, 60 p. (Mémoire de Maîtrise) →Cheikh Anta Diop, L'Afrique noire pré-coloniale : étude comparée des systèmes politiques et sociaux de l'Europe et de l'Afrique noire, de l'Antiquité à la formation des États modernes, Paris, Présence Africaine, 1960, 220 p. →Momar Coumba Diop, Gouverner le Sénégal, entre ajustement structurel et développement durable, Paris, Karthala, 2004, 299 p. →Ismaïla Madior Fall (dir.), Textes constitutionnels du Sénégal : de 1959 à 2007 (réunis et commentés), Centre de recherches, d'étude et de documentation sur les institutions et les législations africaines (CREDILA), Dakar, 2007, 248 p. →Daouda Fall, « Le contrôle du pouvoir exécutif par l'opinion publique au Sénégal », Revue juridique et politique. Indépendance et coopération, n° 3, 1997, p. 312-319 →Michel Ndiogou Fall, Les partis politiques au Sénégal de 1958 à 1978 à travers les journaux, Dakar, Université de Dakar, 1985, 52 p. (Diplôme d’Etudes Approfondies) →Issa Thioro Gueye, Les médias sous contrôle : Liberté et responsabilité des journalistes au Sénégal, L'Harmattan, 2006 (ISBN 2296005543) →Ndiaga Guèye, Pouvoirs intégrés à l'État : pouvoirs parallèles à l'État : les bases sociales du pouvoir politique central au Sénégal, Université du Québec à Montréal, 1983 (M. A.) →Bernard Kpongaba, Analyse comparative des structures gouvernementales du Cameroun et du Sénégal, Bordeaux, 1988, 172 p. →Moriba Magassouba, Les partis politiques sénégalais et la question musulmane de 1946 à 1983, Paris, Université de Paris I, 198?, 55 p. (Diplôme d’Etudes Approfondies) →Toumany Mendy, Politique et puissance de l'argent au Sénégal : les désarrois d'un peuple innocent, L'Harmattan, 2006 →Toumany Mendy, Sénégal : Politiques publiques et engagement politique, L'Harmattan, Paris, 2008, 223 p. (ISBN 2296053335) →Maâti Monjib, « Comportement électoral, politique et socialisation confrérique au Sénégal », Politique africaine, n° 69, 1998/03, p. 53-61 →El Hadj Ibrahima Ndao, Sénégal. Histoire des conquêtes démocratiques, NEAS, Dakar, 2003 →Papa Toumané Ndaye, Les dynamismes politiques au Sénégal : 1914-1929. Essai sur les origines du nationalisme africain au Sénégal, Dakar, Université de Dakar, 1979, 120 p. (Mémoire de Maîtrise) →Jacques Mariel Nzouankeu, Les partis politiques sénégalais, Dakar, Clairafrique, 1984, 146 p. →F. Diaye, M. Printz, Tine, Visages publics au Sénégal. 10 personnalités politiques parlent, L'Harmattan, 1991, 260 p. (ISBN 2-7384-0567-3) →Christian Roche, Le Sénégal à la conquête de son indépendance, 1939-1960. Chronique de la vie politique et syndicale, de l’Empire français à l’Indépendance, Paris, Karthala, 2001, 286 p. →Assane Seck et Djibril Samb (Préface), Sénégal, émergence d'une démocratie moderne (1945-2005) : Un itinéraire politique, Karthala, 2005, (ISBN 2845865058) →Doudou Sidibé, Démocracie et alternance politique au Sénégal, L'Harmattan, 2006 (ISBN 2296004598) →Boubacar Sissokho, La vie politique dans les quatre communes du Sénégal entre les deux guerres, Paris VII, Université de Paris VII, 1979, 67 p. (Mémoire de Maîtrise) →Fatou Sow, Les fonctionnaires de l’administration centrale sénégalaise, Dakar, IFAN, Université de Dakar, 1969, 227 p.
(Initiations et Etudes Africaines n°29). (Thèse de 3e cycle soutenue à Paris en 1969) →Seydou Madani Sy, Les régimes politiques sénégalais de l'indépendance à l'alternance politique : 1960-2008 (préface d'Abdou Diouf, Iroko Éditions, Yaoundé ; Karthala, Paris ; Crepos, Dakar, 2009, 369 p. (ISBN 978-2-8111-0098-8) →Iba Der Thiam, L’évolution politique et syndicale du Sénégal colonial de 1840 à 1936, Paris, Université de Paris I, 1983, 9 vol., 5 179 p. (Thèse d’État) →Bakary Traoré, « L’évolution des partis politiques au Sénégal depuis 1946 », Paris, 1964, in Forces politiques en Afrique Noire, Paris, PUF 1966, p. 1-104. (Mémoire soutenu en 1964 Diplôme d’Etudes Supérieures) →Bakary Traoré, Naissance et évolution de l’Etat sénégalais. Essai sur le phénomène d’intégration nationale, Paris, Université de Paris I, 1972, 285 p. (Thèse Université) →François Zuccarelli, Les élections présidentielles et législatives du 25 février 1968 au Sénégal, Montpellier, Université de Montpellier, 1969, 90 p. (Diplôme d’Etudes Supérieures) →François Zuccarelli, Un parti politique africain : l’Union Progressiste sénégalaise, Paris, Librairie de droit et jurisprudence, Pichon et Durand-Auzias, 1970, 403 p. (Thèse publiée) →François Zuccarelli, La vie politique dans les quatre communes du Sénégal de 1871 à 1914, Paris, Université de Paris I, 1970 (Thèse de 3e cycle). →François Zuccarelli, La vie politique sénégalaise (1940-1988), Paris, CHEAM, 1988 →A lire aussi Exclusif : Comment Juan Branco est entré au Sénégal En anglais →L.C. Behrman, Muslim Brotherhoods and Politics in Senegal, Harvard University Press, 1970 →Catherine Boone, Merchant Capital and the Roots of State Power in Senegal: 1930-1985, Cambridge University Press, 2006, 317 p. →Lucy E. Creevey, « Muslim Brotherhoods and Politics in Senegal in 1985 », The Journal of Modern African Studies, n° 4, vol. 23, décembre 1985, p. 715-721 →Sheldon Gellar, Senegal: an African nation between Islam and the West, Westview Press, Oxford, Boulder (Colo.), 1995 (1re éd. 1982), 170 p. (ISBN 0813310202) →Sheldon Gellar, Democracy on Senegal: Tocquevillian Analytics In Africa, Palgrave Macmillan, 2005, 256 p. (ISBN 1403970262) →G. W. Johnson, The Emergence of Black Politics in Senegal: The Struggle for Power in the Four Communes, 1900-1920, 1971 →E. J. Schumacher, Politics, bureaucracy, and rural development in Senegal, University of California Press Berkeley, 1975, XXII+279 p. (Thèse) →W. A. E. Skurnik, The Foreign Policy of Senegal, Evanston, Northwestern University Press, 1972, 308 p. (Master’s Thesis ?) Autres langues →(de) Günther Unser, Intelligenzia und Politik im Senegal : von den Anfängen bis zur Unabhängigkeit im Jahre 1960, Université d'Aix-la-Chapelle, 1971 (thèse) Articles connexes →Histoire du Sénégal →Conflit en Casamance →Droits de l'homme au Sénégal →Politique étrangère du Sénégal →Crise politique de décembre 1962 →Médias au Sénégal Liens externes →Archipo, la mémoire collective du Sénégal [archive] (archives politiques sonores en ligne) Notes et références →Promulgation de la loi constitutionnelle portant suppression du poste de Premier Ministre [archive], site de la présidence de la République du Sénégal, 14 mai 2019. →« SÉNÉGAL. Les parlementaires approuvent la suppression du Sénat » [archive], sur Courrier international, 20 septembre 2012 (consulté le 31 mars 2019) →« Le Conseil constitutionnel du Sénégal | Conseil constitutionnel » [archive], sur www.conseil-constitutionnel.fr (consulté le 15 octobre 2022)
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news24fr · 1 year
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Les États-Unis n'envisagent pas de sanctionner l'Inde pour son achat de pétrole à la Russie, a déclaré mercredi Karen Donfried, secrétaire d'État adjointe américaine aux Affaires européennes et eurasiennes. La relation avec l'Inde est la plus importante et bien que l'approche politique des États-Unis et de l'Inde puisse différer, les deux partagent un engagement à maintenir l'ordre basé sur les règles internationales et à respecter l'intégrité territoriale et la souveraineté, a-t-elle déclaré. Le sous-secrétaire d'État américain aux ressources énergétiques, Geoffery Pyatt, a ajouté que les États-Unis étaient "à l'aise" avec l'approche de l'Inde sur l'achat de pétrole russe "mais nous apprécions le dialogue que nous continuons à avoir sur la question". Il a également mentionné que la sécurité énergétique faisait invariablement partie de la plupart des discussions bilatérales ces derniers temps. Les hauts diplomates américains ont défendu le plafonnement des prix imposé au pétrole russe et ont déclaré que c'était une opportunité pour l'Inde, même si elle n'y participait pas, de négocier un meilleur prix. En décembre, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale des États-Unis, John Kirby, a déclaré que le plafonnement des prix « verrouillerait la remise sur le pétrole russe » et que des pays comme la Chine et l'Inde seraient en mesure de négocier de fortes réductions de prix. L'idée du plafonnement des prix était de comprimer les revenus de la Russie qui alimentent la guerre en Ukraine et les diplomates américains ont indiqué qu'ils pensaient que les sanctions avaient l'impact escompté. Au cours des derniers mois, l'Inde a acheté de plus en plus de pétrole russe bon marché et l'a raffiné en carburant pour l'Europe et les États-Unis. Le carburant raffiné en Inde n'est pas considéré comme étant d'origine russe. L'Inde a expédié environ 89 000 barils par jour d'essence et de diesel à New York le mois dernier, le plus en près de quatre ans, selon la société de renseignement sur les données Kpler, a rapporté l'agence de presse Bloomberg. Les flux quotidiens de diesel à faible teneur en soufre vers l'Europe étaient de 172 000 barils en janvier, le plus haut depuis octobre 2021, a rapporté Bloomberg.
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belifii · 1 year
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Au Burkina, les coupures récurrentes d’internet hantent le sommeil des AfricTivistes qui s’interrogent et interpellent le gouvernement burkinabé ! Cela fait deux semaines que le gouvernement burkinabé procède à des coupures d’internet dans le pays. Coupures récurrentes d’internet au Burkina préoccupent les AfricTivistes ! Coupures récurrentes d’internet au Burkina Dans un communiqué publié le 22 novembre 2021, le ministère de la Communication et des relations avec le Parlement a tenté de justifier leur acte en invoquant des obligations de défense nationale et de sécurité publique telles que prévues par les lois nationales. Ainsi, internet mobile avait été suspendu pour une durée de 96 heures sur toute l'étendue du territoire nationale. Épargnant toujours l’internet fixe, le gouvernement burkinabé a récidivé le 24 novembre 2021 avec une suspension à nouveau d’internet mobile pour une durée de 96 heures tout en invoquant les mêmes dispositions de la loi. Population locale contre la présence de l’armée française ... coupure-internet Cette coupure intervient dans un contexte de manifestation de la population locale contre la présence de l’armée française dans des villes telles que Ouagadougou, Bobo Dioulasso et Kaya. En effet, le 19 novembre 2021, un groupe de manifestants aurait bloqué un convoi militaire français de passage dans la ville de Kaya. Les coupures d'internet, quelles qu’elles soient, violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH), et la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples (CADHP). Burkina.jpg.pagespeed A lire aussi L’internet mobile reste coupé dans le pays Burkina Faso Elles constituent une atteinte grave à la liberté d’expression et à la démocratie. Elles visent aussi à restreindre la liberté d'expression, l'accès à l'information et le droit de réunion pacifique, d'exercer une activité génératrice de revenus entre autres droits garantis par les Institutions nationales, régionales et internationales. Principaux instruments régionaux et universels de protection des droits humains S'y ajoute que le Burkina Faso consacre le respect des droits humains dans sa Constitution et est partie aux principaux instruments régionaux et universels de protection des droits humains. Bien que le droit burkinabé et le droit international en matière des droits humains prévoient la possibilité de limiter ou de déroger à certains droits, ces options sont soumises à plusieurs conditions strictement encadrées. Il est récurrent de constater des blocages d’internet en période électorale ou en période de manifestations dans beaucoup de pays africains. Ces coupures d’Internet perturbent ainsi la libre circulation de l'information, les activités économiques qui dépendent fortement d'internet et empêchent aux populations de comprendre les vrais enjeux dans leurs territoires. Situation particulière liée aux manifestations contre la présence de l’armée français pas-dacces-internet- Coupures récurrentes d’internet au Burkina Les populations ne peuvent, de ce fait, s’informer convenablement ni sur la gestion de cette situation particulière liée aux manifestations contre la présence de l’armée français, ni sur les cas éventuels d’arrestation ou de tuerie. Pis, la note du ministère de la Communication et des relations avec le Parlement n'explique pas en quoi la suspension de l'internet mobile et pas de l'internet fixe répond aux exigences de défense nationale et de sécurité publique. AfricTivistes condamne fermement la posture des autorités burkinabé et demande à celles-ci de faire la lumière sur la situation actuelle et de lever toutes les restrictions sur l’accès à Internet afin de permettre aux citoyens d'exercer librement leurs droits. Nous pensons que les coupures ou suspensions d’Internet ne doivent pas être utilisées pour empêcher les citoyens d’exercer les droits susmentionnés. AfricTivistes ne saurait rester insensible à cet état de fait
En 2021, Internet est un facteur clé de l'exercice et la jouissance de nombreux droits humains, en particulier le droit à la liberté d'expression et d'accès à l’information. AfricTivistes ne saurait rester insensible à cet état de fait dans la mesure où le blocage d’internet entrave la liberté d’expression et le droit d’accès à l’information.
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ka9oukeuktakal · 1 year
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Au Burkina, les coupures récurrentes d’internet hantent le sommeil des AfricTivistes qui s’interrogent et interpellent le gouvernement burkinabé ! Cela fait deux semaines que le gouvernement burkinabé procède à des coupures d’internet dans le pays. Coupures récurrentes d’internet au Burkina préoccupent les AfricTivistes ! Coupures récurrentes d’internet au Burkina Dans un communiqué publié le 22 novembre 2021, le ministère de la Communication et des relations avec le Parlement a tenté de justifier leur acte en invoquant des obligations de défense nationale et de sécurité publique telles que prévues par les lois nationales. Ainsi, internet mobile avait été suspendu pour une durée de 96 heures sur toute l'étendue du territoire nationale. Épargnant toujours l’internet fixe, le gouvernement burkinabé a récidivé le 24 novembre 2021 avec une suspension à nouveau d’internet mobile pour une durée de 96 heures tout en invoquant les mêmes dispositions de la loi. Population locale contre la présence de l’armée française ... coupure-internet Cette coupure intervient dans un contexte de manifestation de la population locale contre la présence de l’armée française dans des villes telles que Ouagadougou, Bobo Dioulasso et Kaya. En effet, le 19 novembre 2021, un groupe de manifestants aurait bloqué un convoi militaire français de passage dans la ville de Kaya. Les coupures d'internet, quelles qu’elles soient, violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH), et la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples (CADHP). Burkina.jpg.pagespeed A lire aussi L’internet mobile reste coupé dans le pays Burkina Faso Elles constituent une atteinte grave à la liberté d’expression et à la démocratie. Elles visent aussi à restreindre la liberté d'expression, l'accès à l'information et le droit de réunion pacifique, d'exercer une activité génératrice de revenus entre autres droits garantis par les Institutions nationales, régionales et internationales. Principaux instruments régionaux et universels de protection des droits humains S'y ajoute que le Burkina Faso consacre le respect des droits humains dans sa Constitution et est partie aux principaux instruments régionaux et universels de protection des droits humains. Bien que le droit burkinabé et le droit international en matière des droits humains prévoient la possibilité de limiter ou de déroger à certains droits, ces options sont soumises à plusieurs conditions strictement encadrées. Il est récurrent de constater des blocages d’internet en période électorale ou en période de manifestations dans beaucoup de pays africains. Ces coupures d’Internet perturbent ainsi la libre circulation de l'information, les activités économiques qui dépendent fortement d'internet et empêchent aux populations de comprendre les vrais enjeux dans leurs territoires. Situation particulière liée aux manifestations contre la présence de l’armée français pas-dacces-internet- Coupures récurrentes d’internet au Burkina Les populations ne peuvent, de ce fait, s’informer convenablement ni sur la gestion de cette situation particulière liée aux manifestations contre la présence de l’armée français, ni sur les cas éventuels d’arrestation ou de tuerie. Pis, la note du ministère de la Communication et des relations avec le Parlement n'explique pas en quoi la suspension de l'internet mobile et pas de l'internet fixe répond aux exigences de défense nationale et de sécurité publique. AfricTivistes condamne fermement la posture des autorités burkinabé et demande à celles-ci de faire la lumière sur la situation actuelle et de lever toutes les restrictions sur l’accès à Internet afin de permettre aux citoyens d'exercer librement leurs droits. Nous pensons que les coupures ou suspensions d’Internet ne doivent pas être utilisées pour empêcher les citoyens d’exercer les droits susmentionnés. AfricTivistes ne saurait rester insensible à cet état de fait
En 2021, Internet est un facteur clé de l'exercice et la jouissance de nombreux droits humains, en particulier le droit à la liberté d'expression et d'accès à l’information. AfricTivistes ne saurait rester insensible à cet état de fait dans la mesure où le blocage d’internet entrave la liberté d’expression et le droit d’accès à l’information.
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josemontoyablog · 2 years
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La neutralité, au service de la paix et de la sécurité - au cœur de l'action de l'ONU
La neutralité désigne la position d'un État qui ne prend pas parti de façon directe ou indirecte entre deux ou plusieurs autres États qui sont en conflit ou en guerre.
Les politiques nationales de neutralité contribuent à créer un climat et un cadre propices à des négociations pacifiques. Elles visent à promouvoir la diplomatie préventive au travers de la médiation, les bons offices, la négociation, le recours aux envoyés spéciaux, les consultations, la consolidation de la paix et les activités de développement ciblées.
Ce concept est essentiel aux travaux des Nations Unies. La Charte des Nations Unies, dans son article 2, stipule que les Membres de l'Organisation s’engagent à régler leurs différends internationaux par des moyens pacifiques et à s'abstenir, dans leurs relations internationales, de recourir à la menace ou à l'emploi de la force, de telle manière que la paix et la sécurité internationales ainsi que la justice ne soient pas mises en danger.
Les pays neutres jouent aussi un rôle constructif dans la fourniture et l’acheminement de l’aide humanitaire dans des situations d’urgence complexes et en cas de catastrophe naturelle, dans le respect des principes directeurs relatifs au renforcement de la coordination de l’aide humanitaire d’urgence fournie par les organismes des Nations Unies, dont le principe de neutra
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pdj-france · 11 months
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Lancement de l'Artemis I en novembre 2022. NASA/Bill Ingalls, CC BY-NCLes nombreux Américains (69 %) estiment qu'il est essentiel que les États-Unis continuent d'être un leader mondial dans l'espace. Mais seule une sous-section de ce groupe pense que la NASA devrait donner la priorité à l'envoi de personnes sur la Lune, d'après un nouveau rapport publié par le Pew Research Center. L'étude a interrogé plus de 10 000 adultes américains sur leurs attitudes envers la NASA et leurs attentes pour l'industrie spatiale au cours des prochaines décennies. En qualité de chercheurs qui étudient les relations internationales dans l'espace et l'histoire du programme spatial, nous souhaitons comprendre comment les Américains perçoivent les activités spatiales et comment leurs perspectives pourraient affecter l'avenir des développements spatiaux américains et mondiaux. La domination américaine dans l'espace L'effort le plus visible des États-Unis pour maintenir le leadership mondial dans l'espace est sans doute son programme Artemis pour faire atterrir des humains sur la Lune d'ici la fin de 2024. Les États-Unis ont mis l'accent sur la coopération internationale, en engendrant participer l'UE, le Japon et le Canada en qualité de partenaires du programme. Bien que la Chine et la Russie entreprennent un effort parallèle pour faire atterrir des personnes sur la Lune, beaucoup voient aussi un élément concurrentiel dans ces plans. L'un des aspects les plus frappantes du récent sondage est sa similitude avec les sondages d'opinion publique antérieurs, en particulier celui réalisé en 2018. La popularité de la NASA est restée constamment élevée pendant de nombreuses années, souvent avec une cote de popularité comprise entre 60% et 70%, beaucoup plus élevé que de nombreux autres organismes fédéraux. Par contre les priorités spécifiques du programme spatial américain ont souvent été en contradiction avec l'opinion publique. Bien que 65% des Américains ont annoncé dans la nouvelle enquête Pew qu'il était essentiel que la NASA continue de s'impliquer dans l'exploration spatiale, seuls 12% ont annoncé que l'envoi d'astronautes humains sur la Lune devrait être la priorité absolue de la NASA. Alors que quelque peu en contradiction avec l'agenda spatial national, cette valorisation n'est pas nouvelle. Même dans les années 1960, quand la NASA a entrepris le projet Apollo, les Américains plaçaient la résolution de problèmes sur Terre – tels que la pollution, la pauvreté et l'embellissement national – au-dessus de l'atterrissage d'humains sur la Lune. Les nombreux Américains pendant la majorité des années 1960 ont répondu dans les sondages d'opinion que le programme Apollo ne valait pas son budget élevé. Au fil du temps, toutefois, le programme Apollo a gagné en popularité. Entre 1989 et 1995, des sondages ont révélé que le public pensait que le programme spatial américain devrait se concentrer sur les engins spatiaux robotiques plutôt que sur les missions avec équipage. Cette position a démarré à changer au milieu des années 1990 avec l'amarrage de la navette spatiale à la station spatiale russe et plusieurs films à réussite sur le thème de l'espace. Malgré un soutien public modéré, les vols spatiaux habités reçoivent systématiquement la majorité du financement spatial civil américain, ce qui suggère que l'opinion publique et l'agenda spatial national se distinguent. Les résultats des sondages les plus récents soulignent comment une combinaison de justifications - y compris l'avancement de la science, la stature nationale, la géopolitique, les intérêts économiques et la sécurité nationale - plutôt que la seule opinion publique a façonné les priorités spatiales nationales au fil du temps. Défense planétaire De plus, le récent sondage a exploré les attentes des gens vis-à-vis de l'industrie spatiale. Il a révélé que 60% des personnes pensaient que la priorité absolue de la NASA devrait être d'observer les astéroïdes qui pourraient frapper la Terre.
La NASA a la responsabilité nationale de ce travail – appelé défense planétaire – mais le bureau reçoit moins de 1% du budget de la NASA, soit 138 millions de dollars sur 25,4 milliards de dollars en 2023. Même avec son budget relativement modeste, le bureau a fait des progrès significatifs. Cela comprenait le Double Asteroid Redirect Test - la première expérience de défense planétaire au monde. DART s'est intentionnellement écrasé sur un astéroïde en septembre 2022 pour comprendre comment l'impact modifierait l'orbite de l'astéroïde. Les résultats du test pourraient aider les scientifiques à comprendre comment dévier les astéroïdes qui menacent la Terre. Entreprise privée dans l'espace L'activité privée dans l'espace remonte aux années 1960, avec la réalisation de sociétés commerciales de satellites de communication et la croissance de grands entrepreneurs de la défense. Toutefois, de nombreux experts considèrent la vague d'sociétés qui a démarré dans les années 2000 comme marquant un changement important. Bien que les sociétés antérieures comptaient souvent beaucoup sur le gouvernement pour définir les exigences et financer les projets, ces sociétés du « nouvel espace » établissent leurs propres priorités et considèrent souvent le gouvernement comme l'un des nombreux consommateurs. Ces sociétés apportent de nouvelles capacités sur le marché. Par exemple, Planet collecte des images quotidiennes de la Terre, Umbra utilise un radar pour prendre des photos la nuit et à travers les nuages, Astroscale démontre sa capacité à éliminer les débris de l'espace et Astrobotic développe un atterrisseur lunaire commercial. De nombreux Américains voient positivement l'activité privée dans l'espace, mais une partie importante ne s'est pas encore fait d'opinion. Bien que 48% des Américains interrogés ont annoncé que les sociétés privées faisaient du bon travail dans l'édification de fusées et d'engins spatiaux sûrs et fiables, 39% n'étaient pas sûrs. De même, 47% des Américains ont annoncé que les sociétés privées apportaient des participations importantes à l'exploration spatiale, mais 40% supplémentaires n'étaient pas sûrs. Des sociétés comme SpaceX, Blue Origin et Virgin Galactic commencent à emmener des touristes dans l'espace. Le faire de manière sûre et durable sera essentiel à la perception future de cette industrie. Les priorités incluent la conception minutieuse des systèmes et des procédures de sécurité et la réalisation d'une analyse minutieuse de toutes les anomalies qui se produisent pendant le vol. Dans l'ensemble, les Américains sont optimistes quant dans le futur de l'activité spatiale. Le sondage a révélé que 55% des Américains s'attendent à ce que les gens voyagent régulièrement dans l'espace en qualité de touristes au cours des 50 prochaines années. Militarisation de l'espace Une partie importante des Américains (44%) voient un avenir plus militariste pour l'espace. Ils croient que les États-Unis se battront certainement ou certainement contre d'autres nations dans l'espace au cours des 50 prochaines années. Le conflit pourrait inclure la destruction ou la désactivation des satellites stratégiques des États-Unis ou d'autres nations. D'après certaines définitions, un conflit dans l'espace s'est déjà produit. Au début de le conflit d'Ukraine, la Russie a mené une cyberattaque contre le réseau satellite ViaSat utilisé par l'armée ukrainienne. La Russie brouille aussi régulièrement les signaux GPS en Ukraine. Toutefois, aucune nation n'a jamais physiquement attaqué le satellite d'une autre nation dans l'espace. Il n'y a pas d'interdiction des armes anti-satellites, mais en décembre 2022, 155 pays ont adopté une résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies appelant à l'arrêt d'un type de test anti-satellite. En outre, le groupe de travail à composition non limitée des Nations Unies sur la réduction des menaces spatiales se réunit depuis 2022 pour aider à éviter les conflits dans l'espace.
Débris spatiaux Les Américains sont par ailleurs préoccupés par les débris spatiaux - 69% pensent qu'il y aura certainement ou certainement un problème majeur avec les débris dans l'espace d'ici 2073. Les débris spatiaux peuvent inclure des satellites disparus, des corps de fusée abandonnés ou des morceaux de satellites résultant de collisions accidentelles essais. Il y a lieu de s'inquiéter. Le nombre d'objets dans l'espace a augmenté rapidement, passant d'un peu plus de 1 000 en 2013 à 6 718 satellites aujourd'hui. De nombreux pays ont annoncé des plans pour de nouvelles grandes constellations de satellites, certains experts prédisant qu'il pourrait y avoir 60 000 satellites en orbite d'ici 2030. À l'heure actuelle, les États-Unis maintiennent le système le plus avancé de surveillance des objets spatiaux. Il partage des informations et des avertissements de collision avec les opérateurs de satellites du monde entier, mais aucune règle n'oblige ces opérateurs à agir. À mesure que le trafic spatial augmente, ce système ad hoc devra changer. Les États-Unis élaborent un nouveau système de coordination du trafic spatial qui améliorera le partage des informations et la coordination avec les partenaires commerciaux et internationaux. Les états ont travaillé au sein des Nations Unies pour élaborer et mettre en œuvre des directives pour la viabilité de manière durable des activités spatiales. Pourtant, les États-Unis devront se coordonner avec les états du monde entier pour être sûr que la technologie des satellites ne dépasse pas la sécurité et donner à des organisations comme la NASA la capacité de continuer à diriger des activités dans l'espace. Mariel Borowitz reçoit des fonds de la National Air and Space Administration (NASA), du Department of Defence (DoD) et de la National Science Foundation.Teasel Muir-Harmony ne travaille pas pour, ne consulte pas, ne détient pas d'actions ou ne reçoit de financement d'aucune entreprise ou organisation qui bénéficierait de ce post, et n'a divulgué aucune affiliation pertinente au-delà de sa nomination académique. Source
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rympresse · 3 years
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DIPLOMATIE │ Bolton, Ross, Inhofe: les grands déçus américains de l’accord trilatéral Maroc-USAIsraël
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L’annonce de la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara a suscité des réactions dépitées de la part des soutiens historiques du Polisario. L’ex-conseiller à la sécurité nationale John Bolton, l’ancien envoyé spécial du secrétaire général onusien, Christopher Ross et le sénateur James Inhofe, ont tous les trois exprimé leur désapprobation vis-à-vis de la décision du président Trump
Au sujet de la reconnaissance du Sahara, le néoconservateur John Bolton a récemment déclaré : « Trump a tort de renoncer à 30 ans de politique américaine sur le Sahara occidental ». Celui qui était le bras droit de James Baker dans le dossier du Sahara occidental s’est dit « frustré » de la lenteur de la résolution du conflit dans la région. Il a également ajouté : « Aucune autre démocratie occidentale n’a soutenu la souveraineté marocaine sur la région du Sahara occidental, et le revirement de Trump met fin à plus de 40 ans de neutralité officielle ». Remettant en cause l’efficacité du soutien financier américain pour le maintien de la paix au Sahara, il a évoqué le retrait de la Minurso (Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara). Il avait finalement réussi à faire passer d’un an à 6 mois la durée de la mission onusienne.
De son côté, le sénateur républicain d'Oklahoma, James Inhofe, également président de la Commission défense du Sénat américain, a affirmé jeudi que le président Trump a été « mal conseillé par son équipe », soutenant que l'accord de normalisation israélo-marocain, pouvait être conclu sans hypothéquer les droits d'« un peuple sans voix ». « L’annonce de la Maison Blanche d'aujourd'hui alléguant la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental est choquante et profondément décevante. Je suis attristé que les droits du peuple du Sahara occidental aient été troqués », a déploré Enhofe dans un communiqué. Lors d’une tournée en Afrique au début de cette année, le fervent lobbyiste avait défendu les positions du Polisario, invitant la diplomatie américaine à soutenir un référendum d’autodétermination en « mettant de côté cet état d’esprit dépassé ». Plus récemment, il avait pris position au Sénat contre ce qu’il avait qualifié de « violations du droit » de la part de l’armée marocaine à Guerguerat.
Dans une déclaration faite à Radio Algérie, Christopher Ross, anciennement envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU au Sahara occidental a avancé : « La souveraineté du Sahara occidental n'appartient ni au président américain Donald Trump ni au Maroc ». Il a ainsi qualifié cette reconnaissance de « décision dangereuse qui affecterait négativement la stabilité de la région et les intérêts des États-Unis en Afrique du Nord ». Il a par ailleurs considéré que la décision de Trump « ne changera rien à l'approche internationale du dossier du Sahara occidental et n'éliminera pas le besoin urgent de mettre en œuvre les résolutions du Conseil de sécurité ». Cette reconnaissance d’après lui fait « plutôt obstacle à une solution et menace la sécurité et la paix dans la région, qui connaît actuellement une atmosphère de tension croissante ». Pour l’Américain, « la décision aura un impact négatif sur les relations bilatérales américano-algériennes ». Ross a également précisé que «la nouvelle administration américaine dirigée par Joe Biden est tenue d'annuler la décision de Trump si elle veut préserver ses intérêts en Afrique du Nord », car les intérêts des États-Unis dans cette zone « nécessitent une approche prudente et équilibrée ».  
La décision de Trump s’est heurtée à une contestation bilatérale ainsi qu’internationale. Ses critiques craignent que ces accords ne s'accompagnent « d'une contrepartie de ventes massive d'armes et d'un mépris des droits de l'homme ». Ils reprochent également au président de « rejeter des décennies de médiation multilatérale et de légitimer les accaparements de terres par la force en violation du droit international ». À ce sujet, Eliot Engel Président de la Commission des Affaires étrangères, s’est dit « préoccupé par cette annonce qui bouleverse un processus de l'ONU crédible et soutenu par la communauté internationale pour résoudre le différend territorial sur le Sahara occidental ».  Il a ajouté « écarter les voies multilatérales légitimes de résolution des conflits ne fait que donner aux pays comme la Russie et la Chine le pouvoir de continuer à piétiner les règles et normes internationales et récompenser ceux qui violent les frontières et les droits des peuples libres ».
Pour sa part, l'équipe de transition Biden a refusé tout commentaire sur les développements les plus récents dans la région. Dans ce sens, Christopher Ross a précisé que « la nouvelle administration américaine dirigée par Joe Biden est tenue d'annuler la décision de Trump si elle veut préserver ses intérêts en Afrique du Nord », car les intérêts des États-Unis dans cette zone « nécessitent une approche prudente et équilibrée ».
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