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#séduire son ex
latribune · 5 months
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christophe76460 · 9 months
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///EST-CE QU’UNE FEMME PEUT EXPRIMER SES SENTIMENTS À UN HOMME ?
Quetion : Frère David, j'ai une préoccupation concernant votre enseignement sur La femme chrétienne et le célibat." : Est-ce qu'une femme peut exprimer ses sentiments à un homme qu'elle aime et qu'elle apprécie énormément ? Est-ce que c'est un péché ? sachant que l'homme s'intéresse à elle mais ne dit rien.
Réponse : homme ou femme, Dieu nous a tous doté d'un cœur pour aimer et d'un libre arbitre pour choisir. Tel l'homme ressent de l'amour pour une femme, telle la femme peut aussi ressentir de l’attirance pour un homme qui répond à ses critères. Alors, il est primordial d'aborder ce sujet dans son contexte socio-culturel avant de s'attarder sur son aspect spirituel ou biblique en tant que chrétiens que nous sommes.
En ce qui concerne l'aspect socio-culturel de cette question, il faut noter que sous d'autres cieux, dans la culture occidentale par exemple, le fait pour une femme d'exprimer à l'homme ses sentiments n'est pas quelque chose d'étrange ou de scandale. Dans la tradition indienne, c'est la femme qui épouse l'homme. Mais dans la société africaine, les choses sont tout à fait différentes ; une femme qui aborde un homme et le dévoile ses sentiments est prise pour une fille légère, une séductrice ou une prostituée. Bien qu'il existe aussi bien des cas particuliers où c’est la femme qui aurait devancé l’homme en lui déclarant son amour et aujourd’hui ils sont mariés et tout va bien dans leur foyer. Dirons-nous que tous ces couples qui vivent heureux dans leur mariage, mais dont les femmes ont abordé en premier leur homme au départ, sont-ils dans l'erreur ? Doivent-ils forcement divorcer ? C'est pourquoi ici, tout dépend de la culture des uns et des autres.
Que nous dit la Bible à ce sujet et quel serait la sagesse à appliquer ?
La Bible ne se prononce pas de manière directe sur ce sujet, mais elle nous en donne quelques références. Dans la genèse au jardin d’Éden, la femme fut la réponse de Dieu aux interrogations de l'homme qui après avoir nommé les animaux ne trouva point d'aide semblable à lui. Dieu l'endormit et prit une de ses côtés pour en former la femme. Et lorsque Dieu ramena vers l'homme la femme, c’est l'homme qui s’exprima : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! on l’appellera femme. (Gen 2:20-24). La Bible ajoute en disant : Celui qui trouve une femme trouve le bonheur; (Pr:18:22). La Bible ne dit pas que celle qui trouve un homme. Donc, on peut traduire par ces références bibliques que c'est l'homme qui se lance à la recherche pour trouver celle qui lui correspond car, il a été doté d'une nature de chasse, de conquête et de domination. Selon la pensée de la Parole, c'est à l'homme de se lancer dans la démarche.
En realité, cela ne défend pas à la femme d'exprimer stratégiquement et indirectement ses sentiments pour un homme sans le lui dire ouvertement. Oui ! Vous pouvez poser des actes qui feront que monsieur prenne le devant et qu’il dise un mot quelle que soit sa timidité, ça on doit vous les dire parce que tous les hommes ne sont pas des courageux, d’autres sont très reservés et très renfermés, d’autes sont très spirituels et veulent vraiment se rassurer davantage même si Dieu a dejà donné l’accès. Mais seulement, ne vous laissez pas pousser à séduire pour qu’un homme vienne vers vous. ex : s'habiller de manière à excister et à séduire, faire des yeux doux ou des clin d'oeil, un excès de maquillage, adopter un attitude qui ne pas le vôtre, l'envoyer des messages, des photos ou de vidéos à caractère sexuel, toucher aux fetiche et le reste. Un mariage chrétien ne peut être fondé sur la manipulation.
Par contre, Il existe plusieurs manières pour une femme chrétienne d'exprimer son amour pour un homme : s'intéresser à ce qu'il fait et à ce qu'il veut, l'apporter de l'aide et du soutien, éprouver envers lui de la générosité et de l’hospitalité, lui poser des questions sur ses ambitions, sur sa famille, aborder des sujet qui l’intersse, lui prodiguer des conseils, lui rendre visite, prier avec lui, ect. Dans toute cette demarche, reste simple et associe Dieu dans la prière afin qu'il le ramène naturellement vers toi. Ne force surtout pas un homme à t'épouser de peur que tu sois prise à ses yeux comme une chose sans valeur. N'associe pas une copine, tu risque d'être arnaquer. Si possible confie toi à ton responsable spirituel ou à un adulte qui le connaît bien. Fait comme Ruth qui a mise en pratique les conseils de sa belle-mère Naomi afin d'attirer l'attention de Boaz vers elle pour l'épouser (lire Ruth chapitre 2).
Chers frère, vous aussi, si vous aimez quelqu'un, dite le lui.
#davidnkongolo
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france-cinema · 9 months
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Jean-Claude Brialy & Jane Fonda dans La ronde de Roger Vadim, 1964.
Synopsis : Une prostituée entraîne un militaire dans les fortifications. Cynique, le soldat la quitte sans la payer. Lors de sa sortie suivante, il charme une jeune servante qu'il abandonne aussitôt après. La servante, prenant les choses comme elles viennent, se laisse séduire par le fils de son employeur. Ce jeune homme, se croyant grand séducteur, organise un rendez-vous avec une femme mariée, qui peine à succomber à ses avances. Pendant ce temps, le mari de cette femme entame une liaison avec une ouvrière, qui finit par le quitter pour un dramaturge populaire. Ce dernier renoue avec une comédienne, son ex-amante, dans une relation sans espoir. La comédienne finit par s'offrir à un jeune lieutenant, également comte. Et, un matin, le lieutenant se retrouve inexplicablement dans la chambre de la prostituée, bouclant ainsi la boucle. Et c'est alors que la mobilisation pour la Première Guerre mondiale commence.
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Manuel Ugarte : L'uruguayen n'ira finalement pas au PSG ? Explication !
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Le transfert de Manuel Ugarte vers le Paris Saint-Germain prend une tournure inattendue. Annoncé ces dernières heures comme étant la première recrue du PSG lors du mercato d'été, les cartes semblent être redistribuées en peu de temps. Le transfert n'est pas bouclé pour autant, loin de là ! Le PSG et Manuel Ugarte avait conclu un accord… Le Paris Saint-Germain ne perd pas de temps et se projette déjà vers la saison à venir, en mettant les bouchées doubles sur le mercato. Le club de la capitale cherche à prendre de l'avance sur ses concurrents et a fait sensation en s'attirant les faveurs de deux joueurs. Il s'agit de Manuel Ugarte du Sporting Portugal et Lucas Hernandez, selon les informations relayées par les médias ces dernières heures. L'intérêt du PSG pour Manuel Ugarte ne fait aucun doute, et les rumeurs se sont rapidement transformées en propositions concrètes. Une offre mirobolante de 60 millions d'euros aurait été formulée par le champion de France en titre. Ce qui correspond précisément à la clause libératoire du talentueux milieu de terrain. Cette opération est désormais entre les mains des différents acteurs, notamment Famalico qui détient encore un pourcentage sur le joueur. Toutefois, Manuel Ugarte semble emballé par la perspective de rejoindre le PSG, ce qui laisse présager un dénouement favorable. Le quotidien L'Equipe n'hésite d'ailleurs pas à affirmer que le jeune Uruguayen est sur le point de devenir la première recrue estivale du club parisien. Lire aussi : - Harry Kane : Au Real ? À Manchester United ? Ou… au PSG ? Chelsea veut saboter le transfert de l'Uruguayen au PSG Stupeur ! Pendant que le Paris Saint-Germain pensait avoir une longueur d'avance dans le dossier Manuel Ugarte, Chelsea cherche à jouer les trouble-fêtes et tente de s'immiscer. La presse portugaise révèle que le club londonien serait prêt à proposer une offre supérieure à celle du PSG, en y ajoutant plusieurs bonus pour faire grimper la note. Les Blues pourraient même envisager de prêter le jeune milieu de terrain de 22 ans au Sporting CP après l'avoir acheté, dans le but de séduire davantage le club portugais. Tout reste donc à faire pour le PSG. Le Paris Saint-Germain peut brandir un atout de taille pour convaincre Ugarte de choisir Paris : la perspective de jouer la prestigieuse Ligue des Champions, une compétition à laquelle Chelsea ne pourra pas participer après sa modeste 12e place en championnat anglais. Cette donnée pourrait s'avérer déterminante dans la balance. Les négociations ne sont pas de tout repos et la situation est loin d'être figée. Découvrir également : - Ligue 1 : Un ex-capitaine du PSG bientôt à la tête de l'OGC Nice ? Lucas Hernandez également dans le viseur du PSG Le Paris Saint-Germain fait aussi des pieds et des mains pour s'offrir les services de Lucas Hernandez, polyvalent défenseur du Bayern Munich. Malgré l'intérêt suscité par le joueur français, l'entraîneur bavarois Thomas Tuchel espère le retenir au sein de son effectif. La question de l'avenir de Hernandez reste donc en suspens, d'autant plus qu'il est courtisé non seulement par le PSG, mais aussi par des clubs anglais et espagnols. Le mercato estival s'annonce donc mouvementé pour le Paris Saint-Germain, qui souhaite renforcer son effectif avec des recrues de qualité. Si le transfert de Manuel Ugarte était à la base sur la bonne voie, la concurrence de Chelsea vient tout chambouler. Le cas de Lucas Hernandez reste tout autant incertain. Les prochaines semaines seront cruciales pour le PSG, qui devra faire preuve de détermination et de persuasion pour s'assurer les services de ces deux joueurs talentueux. Les supporters parisiens attendent avec impatience de voir leur équipe se renforcer et aspirer à de nouveaux succès sur la scène nationale et européenne. Voir ensuite : - La réponse intrigante de Bernardo Silva face à l'intérêt du PSG ! ________ Pour retrouver toute l'actu foot, rendez-vous sur notre site web ou sur notre page Twitter. Read the full article
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omagazineparis · 1 year
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Les erreurs courantes à éviter lors des premiers rendez-vous : ne tombez plus dans le piège !
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Vous avez enfin décroché ce fameux premier rendez-vous tant attendu, et vous êtes déterminée à faire bonne impression. Pourtant, il est facile de commettre des erreurs lors des premiers rendez-vous. Pas de panique, nous sommes là pour vous aider à les éviter ! Parler trop de soi : trouvez l'équilibre Écoute active et partage L'une des erreurs fréquentes lors des premiers rendez-vous est de trop parler de soi. Trouvez un équilibre entre partager vos expériences et écouter attentivement ce que votre interlocuteur a à dire. Montrez de l'intérêt pour l'autre et posez des questions pour approfondir la conversation. Évitez les sujets sensibles Les premiers rendez-vous ne sont pas le moment idéal pour aborder des sujets sensibles tels que la politique, la religion ou les ex-partenaires. Privilégiez des sujets légers et positifs pour créer une ambiance agréable et détendue. Être trop collante ou distante : maîtrisez votre attitude Respectez l'espace personnel Une autre erreur lors des premiers rendez-vous est de ne pas respecter l'espace personnel de l'autre. Veillez à ne pas être trop proche physiquement ou trop envahissante dans la conversation, mais évitez également d'être trop distante. Trouvez un juste milieu pour mettre votre interlocuteur à l'aise. Soyez authentique Restez vous-même lors de votre rendez-vous. Ne cherchez pas à adopter une attitude qui ne vous ressemble pas pour impressionner l'autre. L'authenticité est plus appréciée que les artifices. Faire trop de suppositions : laissez-vous surprendre Ne jugez pas trop vite Il est courant de faire des erreurs lors des premiers rendez-vous en jugeant trop rapidement l'autre personne. Gardez l'esprit ouvert et laissez-vous surprendre. Ne vous fiez pas uniquement aux apparences ou aux premières impressions, elles peuvent être trompeuses. Ne vous mettez pas trop de pression N'oubliez pas que les premiers rendez-vous sont avant tout l'occasion de faire connaissance et de passer un bon moment. Ne vous mettez pas trop de pression en cherchant à tout prix à séduire l'autre personne ou en imaginant déjà votre futur ensemble. Prenez le temps de vous découvrir mutuellement. Négliger son apparence : soyez au top, sans en faire trop Soignez votre présentation L'apparence compte lors des premiers rendez-vous. Sans chercher à être parfaite, veillez à être bien présentée et à porter une tenue adaptée à l'occasion. Montrez que vous avez fait des efforts pour plaire à votre interlocuteur. Restez naturelle Tout en soignant votre apparence, restez naturelle et évitez d'en faire trop. Un maquillage léger et une coiffure simple sont souvent plus appréciés qu'un look trop sophistiqué ou extravaguant. Sur le même thème : Comment gérer la jalousie dans une relation : conseils pratiques pour rester sereine Être rivée à son téléphone : privilégiez le contact humain Éteignez ou mettez en sourdine Les téléphones portables sont une source fréquente d'erreurs lors des premiers rendez-vous. Éteignez ou mettez en sourdine votre téléphone pour éviter les distractions et montrer à votre interlocuteur qu'il a toute votre attention. Concentrez-vous sur la conversation Profitez de ce moment à deux pour échanger et apprendre à vous connaître. Les réseaux sociaux et les messages peuvent attendre. En évitant ces erreurs lors des premiers rendez-vous, vous maximiserez vos chances de réussite et passerez un moment agréable. Rappelez-vous que l'essentiel est de rester vous-même et de profiter de la rencontre. Bon rendez-vous ! Read the full article
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COMMENT RECUPERER SON EX A DISTANCE : LES 6 ASTUCES A UTILISER
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Lorsque l’on se trouve à distance de son ex à la suite d’une rupture, il est fréquent de céder à la panique. Vous vous dites que cette distance géographique est un obstacle pour récupérer votre ex, que vous n’y arriverez jamais. Vous aimeriez être en contact avec lui (elle) pour pouvoir entreprendre votre reconquête. Vous avez en grande partie tort! Il est possible de transformer cet obstacle en force à condition de suivre les conseils avisés que nous vous donnons.
Comment récupérer son ex à distance ? Nous vous livrons ici 6 astuces à utiliser pour réussir !
Prendre soin de vous et le faire savoir Lorsque vous êtes sans contact physique avec votre, il (elle) ne peut pas vous voir en direct. Vous pouvez soigner votre allure, avoir des activités stimulantes, votre ex n’en saura rien … à moins que vous ne lui fassiez savoir ! La dernière chose à faire pour récupérer son ex est de vous morfondre et de vous replier sur vous. Ce conseil est valable dans toutes les situations pour récupérer son ex, même si celui ci ne veut plus vous revoir.
Vous devez absolument tendre à votre ex une image positive de vous et de votre vie. Mais comment faire lorsque l’on est éloignés géographiquement ou lorsque votre ex refuse tout contact ? Comment récupérer son ex à distance ? L’internet est d’abord votre meilleur allié. Les réseaux sociaux vont être un outil de poids dans une reconquête à distance. Mais deux mises en garde s’imposent pour profiter vraiment de cette astuces.
Premier point de vigilance : n’en faites pas trop et restez mesuré. Evitez de publier trois fois par jour des photos sexy. Comment récupérer son ex à distance si on lui laisse penser que l’on cherche à séduire d’autres personnes via les réseaux sociaux ?
Selon vous, est-il trop tard pour récupérer votre ex ?
Je vous ai préparé un QUESTIONNAIRE unique capable de déterminer vos chances de récupérer votre ex, et de découvrir quelle stratégie vous devez mettre en place pour sauver votre couple..
Choisissez soigneusement des photos qui vous mettent en valeur dans des situations valorisantes pour vous. Une photo avec des amis lors d’une soirée festive, des paysages que vous découvrez. Vous n’êtes pas obligé.e d’apparaître systématiquement sur les clichés. Votre image sur les réseaux sociaux doit vous montrer sous votre meilleur jour, physiquement et moralement.
Attention également à ce que cela soit le reflet de la réalité ! Ne vous inventez pas une vie pour votre ex. Votre but final est de récupérer votre ex. Il faudra donc que la réalité face à laquelle il (elle) sera en vous revoyant soit en cohérence avec ce que vous aurez laissé paraître en ligne.
Cette rupture est donc l’occasion pour vous de prendre soin de vous réellement, de votre allure, de votre coupe de cheveux, de votre look… Mais c’est aussi l’opportunité de vous lancer dans de nouvelles activités et découvertes.
Si vous le pouvez, programmez des week-ends actifs, des vacances positives, renouveler votre rapport au travail, engagez-vous dans des associations. Les possibilités sont infinies et cette nouvelle vie vous rendra d’autant plus séduisant.e pour votre ex.
Ne pensez pas que votre ex sera séduit.e par votre tristesse. Vous n’avez pas envie de lui inspirer de la pitié ? Vous voulez le (la) reconquérir en lui inspirant de l’amour et de l’envie ! Alors vivez, soyez libre et partagez sur internet cette vie bien remplie.
PAPA LOKO VOGNON BOSSA CONTACT Appel Direct: +229 60 06 71 23 WHATSAPP/VIBER: +229 60 06 71 23 E-MAIL directe: [email protected] Site web:http://www.puissant-marabout-voyant-retour-affectif-immediat-sedonou-gueta.com
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Comment donner à mon ex l'envie de revenir-Faire revenir son ex amour rapidement
Comment donner à mon ex l’envie de revenir-Faire revenir son ex amour rapidement
Comment donner à mon ex l’envie de revenir-Faire revenir son ex amour rapidement.Vous êtes amoureux de votre ex et ne voulez pas abandonner votre couple. Rêver d’amour et de son ex en se souvenant quel couple idéal on formait mérite qu’on cherche à savoir comment faire pour récupérer son ex.Mais comment le faire revenir pour de bon ? Que faire pour le séduire à nouveau ? Comment procéder, comment…
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Lundi 19 juillet 2021
Les pleurnicheries d'un homme encore jeune mais déjà bien trop aigri
L'autre jour, quelque chose me tracassait et j'avais envie de crier au monde ma frustration. Alors j'ai rédigé un petit texte plein d'amertume et d'aigreur que j'ai envoyé à la parisienne en pensant qu'au moins elle comprendrait peut être ce qu'il se passe dans ma tête et qu'elle au moins ne me jugerait pas. Voici le texte en question, amputé d'un petit morceau d'une confession, je me suis auto censuré puisque je tiens à ce que mon journal soit exempt de vulgarité parce que je sais que ma mère et ma cousine me lisent (si elles ne me lisaient pas, je crois que je pourrais éviter de me censurer et vous raconter les choses les plus cocasses de ma vie sexuelle, je suis certain que ça vous ferait rire, j'vous jure) :
« Tu sais, je suis un peu mort à l’intérieur, je veux dire, ma libido semblait morte depuis belle lurette. (…) Et voilà que ce soir j’ai regardé un film avec de jeunes protagonistes qui s’aimaient et faisaient l’amour, et puis ça m’est revenu, en voyant cette jeune fille nue j’ai eu tout à coup très envie de faire l’amour, d’avoir quelqu’un, d’avoir moi aussi une jeune fille dans mon lit. Puis ma misère affective et sexuelle m’a sauté à la gueule. J’ai pensé à tous ces gens, les gens normaux, qui avaient le loisir de séduire, d’être séduits et de faire régulièrement l’amour, au gré des divers relations qui égrainent leurs vies. Et puis y’a les gens comme moi, les imbaisables, qui luttent pendant des années sans pouvoir avoir la chance d’être touchés, ou aimés, ou les deux à la fois. Deux ans pendant lesquels je passe des heures et des heures sur plusieurs applis de rencontres sans aucun putain de résultat, deux ans de complète solitude tandis que le connard moyen aura probablement enchaîné 5 ou 6 relations ou coups d’un soir en l'espace de quelques mois… le monde est injuste, tu ne crois pas ? Je suis sensé faire quoi ? Aller aux putes ? Enfin, c’est la vie. (...) J’ai écrit ça parce que j’y ai pensé pendant tout le film (ah, et dire que tout est parti de la vision d’un corps nu !). Et je ne savais pas où l’écrire, parce que c’est trop pathétique même pour mon journal. Alors j’ai décidé de te l’envoyer. Comme ça au moins je sais que je n’ai pas pensé dans le vide. Je t’embrasse, à cette heure, tu dois dormir non ? »
C'était il y a bien une semaine. La parisienne m'a répondu avec un enregistrement audio d'une douzaine de minutes. J'ai apprécié sa réponse et ses propos étaient pertinents. J'ai aussi parlé de ça avec ma cousine. Ca m'a fait du bien. Et c'était intéressant d'avoir l'avis de deux jeunes filles.
Entre temps, les jours ont passés et mon moral est revenu, bien entendu. L'éternel yoyo. Ce soir je suis entre les deux. Pas super joyeux, pas non plus envie de crever. J'ai décidé d'écrire un peu pour me changer les idées mais au final, je ressasse, je ressasse...
L'autre jour j'ai mis l'adresse de mon blog en bio sur mon compte instagram. Qu'est-ce qui m'a prit ? C'est un véritable suicide social, c'est comme me mettre à nu devant tout le monde et crier « regardez comme je suis mal foutu ! ». De cette façon, les gens qui me suivront sauront à qui ils ont affaire. « Coucou c'est moi et je suis comme ça, vous avez toujours envie de me connaître maintenant ? ». Allez, je vais laisser le lien, après tout, je n'ai rien à cacher, enfin quasiment rien !
Samedi dernier j'ai passé une partie de la journée en compagnie de Justine, Noël et Canel. Je n'ai pas envie de tout raconter en détail, étrangement, je me suis amusé et voilà, ce serait juste un peu chiant à raconter mais en gros nous avons mangés ensemble et nous sommes allés au cinéma voir un film qui, quelques heures après, à remporté la palme d'or au festival de Cannes. Good times.
Je passe toujours du temps sur les applis de rencontres. Et depuis des jours, il n'en résulte pas grand chose. Je suis bête, j'insiste, en me disant que ça vaut la peine de continuer. Des bonnes âmes me disent que je devrais cesser de traîner sur Tinder mais, hé, sans Tinder, mes chances d'avoir un rencard avec une fille seraient de l'ordre de 0 % ! Ca ne m'amuse pas de passer des heures et des heures à swiper à gauche ou à droite mais c'est là mon seul espoir de faire des rencontres. Je n'ai pas le choix. D'ailleurs, si je ne m'étais jamais inscrit sur les sites de rencontres, je serais aujourd'hui un vieux garçon demeurant sans aucune sorte d'expérience amoureuse. Alors, les bonnes âmes, désolé mais, je persisterais à traîner sur Tinder et à swiper à tout va!Ainsi qu'à traîner sur ce maudit tchat rempli de ce qui semble être les gens les plus désespérés de ma région (c'est là que j'ai rencontré ma dernière ex, après tout).
Ce matin j'ai reçu un gros colis tout droit venu de chez Taschen, mon éditeur favori. Ca aurait suffit à me mettre en joie pour au moins une demi heure : du Crumb, du Warhol, du Giger, du Escher... Que de la bonne came !
Bon, j'ai assez écrit pour ce soir, je crois, et mon disque va bientôt s'achever sur cette chanson fantastique qu'est Jungleland.
Si vous me lisez encore je vous en remercie et j'espère que mes jérémiades vont auront divertis un minimum. N'hésitez pas à venir taper la discussion, c'est toujours un plaisir pour moi.
Bisous
Bande son : Born To Run, Bruce Springsteen
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ran94 · 4 years
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@mysterious-corvidae
A mon tour de présenter six de mes personnages actuel, je ne suis pas forcément très doué pour en parler. Je ne sais pas ce que vous allez penser de mes personnages, mais j’aime beaucoup le concept. Ce sont des avatars assez simple, j’aime la simplicité.
Il s’agit de Rafael, Leonardo, Valentina, Adelina, Claire (qui est un personnage de jeux vidéo), et enfin un futur personnage Edaline.
Rafael Adamo feat Arthur Darvill - City.
Rafael, c’est un trentenaire vivant à Naples en Italie, il faut savoir qu’il a des origines françaises, il va de temps en temps en France, il est bilingue. Il a perdu ses parents dans un accident de voir, c’était encore un enfant, d’ailleurs, il a eu du mal à passer son permis de conduire par la suite, même s’il a fini par le faire. Il faut savoir qu’il adore les livres, pour lui lire un livre, c’est un très bon loisir, ça lui permet de s’évader. Il a été à l’orphelinat jusqu’à sa majorité, il n’a jamais été adopté. Une fois qu’il a pris son indépendance, il s’est senti plus libre, il aimait s’amuser. Il a rencontré une femme de son âge, la première qu’il a aimé, mais il s’est rendu compte au fil du temps qu’elle le trompait. Cela lui a fichu un coup, il l’a quitté et s’est barré quelques temps en France. Il a fini par revenir à Naples et a ouvert sa propre librairie, il a rencontré Camilla, une jeune écrivaine prometteuse avec qui il va se lier d’amitié. Entre temps, il va découvrir le décès de son ex petite amie et qu’il a une fille, une sacrée surprise. Les premiers temps vont être compliqué, il va aussi développé une relation amoureuse avec Camilla qui aura des hauts et des bas, ils auront un fils Osvaldo et finalement ils vont habiter tous les quatre sous le même toit. La relation avec sa fille Elora s’est amélioré et il espère que ça va continuer.
Adelina Alma feat Louise Brealey - City
Adelina a toujours vécu à Naples, trentenaire, elle a toujours vu ses parents comme le couple parfait, mais une fois adulte, elle  va découvrir que ce n’était qu’une façade, la pauvre va tomber de haut. Remontons un peu à son enfance, la pauvre quand elle était gamine avait des soucis au niveau de son poids, on se moquait d’elle, elle le vivait mal. Heureusement pour elle, un jour Celian, un garçon qui avait un an de plus qu’elle l’a défendu et elle s’est lié d’amitié avec lui. Elle n’avait pas beaucoup d’ami, mais elle l’avait lui. Puis au lycée, on l’a humilié on lui faisait croire quelque chose qui n’est pas vrai Celian l’avait averti, mais elle l’avait ignoré du coup, il l’a mal pris et il a fait la sourde oreille. Se sentant complètement délaissé, elle a fait la pire bêtise de sa vie et a tenté de mettre fin à ses jours. Heureusement Celian est arrivé à temps et elle s’en est sorti. Quand il a du partir à Londres, elle a beaucoup souffert, surtout qu’il a coupé les ponts avec elle. Avec les années, elle a décidé de s’en prendre en main, elle a notamment été dans un établissement pour perdre du poids et elle a réussi à atteindre son objectif. Elle n’a pas cherché à faire d’études et elle est devenue animatrice, elle qui adore les enfants. Puis avec les années, elle est devenue directrice d’un centre de loisirs. Il a fréquenté un type qui était extrêmement jaloux et qui a levé la main sur elle, elle a fini par le quitter, mais elle a jamais parlé de cette histoire. Elle avait tendance à s’inquiéter à cause de son horloge biologique, puis vingt ans après qui revient, Celian, son meilleur ami et au fond celui qu’elle a toujours aimé. Ils se sont rapprochés et ont fini par se mettre en couple, aujourd’hui, ils sont parents de jumeaux.
Leonardo Bellini feat Cole Sprouse - City
Leonardo est un trentenaire, oui j’en ai beaucoup des trentenaires, il vient d’une famille qui a mauvaise réputation, chaque membre a un talent particulier, lui c’est un hacker, même s’il ne s’en sert pas pour faire du mal. Il a un frère aîné et une petite sœur, d’ailleurs il est très proche d’elle. Il a été à l’école avec un certain Ruben Del Duca. Ce qu’il faut savoir c’est que les Del Duca et les Bellini sont des familles ennemis, donc autant dire que les deux ne peuvent pas s’encadrer. Leonardo de base n’est pas très sociable, il n’aime pas la foule même si ça s’améliore avec les années, il sait être drôle aussi. Puis un jour, une jeune femme du nom de Cassandra l’aborde, elle n’est autre que la petite sœur de Ruben. Apparemment elle voulait le connaître, même si c’était un Bellini, puis ils sont tombés amoureux, une espèce de Romeo et Juliette. Pendant cinq années, ils ont cachés leur relation, mais un jour ils ont été découvert. Leonardo lui a proposé de fuir Naples et d’aller vivre ailleurs. Alors qu’ils étaient sur la moto, ils ont eu une accident, ils découvriront qu’en fait c’était une tentative pour éliminer Leonardo, orchestré par les parents de Cassandra. Leonardo s’en sortira avec une jambe endommagé et sa petite amie finira dans la coma. Il sera horrifié de découvrir qu’elle est amnésique quand elle se réveillera pas. Cependant le destin n’est pas si cruel et ils se recroiseront petit à petit les sentiments referont surface et ils recommenceront leur histoire. Cassandra retrouvera même la mémoire. Ils n’ont plus à se cacher et ils ont eu une fille, petite anecdote, le pauvre Leonardo a même fait une couvade. Il espère que les ennuis sont loin cependant, il pense éventuellement à reprendre contact avec ses parents et son frère.
Valentina Basini feat Courtney Ford - City
Valentina, sans surprise une trentenaire, qui a toujours vécu à Naples. Enfant, on pouvait la considérer comme pourrie gâtée. Elle pouvait avoir tout ce qu’elle voulait et ne fréquentait que les les enfants de son rang quitte à repousser les autres. Puis vint l’adolescence, un soir, elle est sortie dans un bar et d’autres jeunes, ce sont dit que ce serait amusant de faire boire la gosse de riche. Ils ont réussi et puis elle s’est laissé séduire par un des gars à peine plus vieux qu’elle. Elle s’est réveillé le lendemain dans un lit inconnu et elle a vite pris la fuite. Quelques temps après, elle a découvert qu’elle était enceinte et quand ses parents l’ont su, ils n’ont pensé  qu’à leur réputation. Vu qu’elle voulait garder l’enfant, ils l’ont renié et ils l’ont jeté à la rue. Tout ses soi disant amis lui ont tourné le dos, heureusement elle a pu compter sur quelques personnes, mais la vie a été dur. Elle a du arrêter le lycée, se trouver des petits boulots pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille. Valentina a appris ce que c’était la vie, sa fille, c’est ce qui compte le plus pour elle, elle ferait n’importe quoi pour elle. Valentina ne supporte plus les gens riches, elle se méfie, puis finalement après le décès de ses parents, elle fut surprise d’hériter de tout, cela incluait la maison familial. Aujourd’hui, elle ne manque plus de rien, elle fréquente même son voisin qui en réalité était un camarade de classe qu’elle avait ignoré à l’époque à cause de son rang social. La vie semble s’améliorer, mais voila que le père de sa fille débarque sans prévenir après vingt ans.
Claire Redfield feat Kristin Kreuk - crossover
Je pense que certains connaissent le personnage qui vient des jeux Resident Evil. Bah j’ai décidé de la jouer, pour résumé, c’est une survivante de Raccoon City, elle a combattu les armes biologiques au fil des années, comme son frère, même si de base, elle n’a pas rejoint la même organisation. Ces événements l’ont marqué, mais c’est une femme forte, elle veut juste avancer et ne pas vivre dans le passé. Suite à une lune rouge, elle se retrouver dans un nouveau monde, qu’elle ne connait pas. Elle devenu agent de police, mais elle espère passé lieutenant. Il ne semble pas avoir de menace terroriste ici, mais des choses étranges semblent s’y passer.
Edaline Elendil feat Lili Reinhart - elfe - Fantasy
Alors c’est particulier, car c’est un futur personnage que j’ai déjà joué par le passé, mais cette fois quelques modifications sont apportés. Edaline est une jeune elfe début vingtaine, dans sa famille, ils ont un élevage, ils s’occupent des animaux et c’est dans la famille depuis des générations. A l’âge de cinq ans, elle découvre son pouvoir de télékinésie orbing. Elle a un meilleur ami que l’ont va appelé Elwyn, d’ailleurs elle est aussi ami avec le jumeau de celui ci. Edaline, c’est une aventurière, elle est assez agile et il n’est pas rare qu’elle saute d’un arbre pour atterrir sur quelqu’un, son meilleur ami en fait les frais. Elle est amoureuse de lui, même si c’est un sans talent. Comme tous les elfes à l’âge de seize ans, elle répondre à des questions, la concernant, concernant sa famille, le but est de trouver les elfes avec qui elle sera bien assorti. Quand à dix huit ans, elle a les résultats, elle se rend compte que son meilleur ami n’est pas sur sa liste, mais par contre qu’elle est bien assorti avec le frère de celui ci. Il faut savoir que être avec un elfe avec qui on est mal assorti est assez mal vu. Edaline s’en fiche et les années suivantes, ça semble pas trop avoir des conséquences. Sauf qu’elle essaye de faire comprendre à son meilleur ami ce qu’elle ressent pour lui, mais ça ne marche pas et il choisi une autre elfe avec qui il est bien assorti. Elle en a le cœur brisé et un soir, elle prends la fuite, décidant de s’éloigner de chez elle pour oublier.
Voila je ne sais pas ce que vous penserez de mes personnages, peut être qu’ils sont banals ou pas, en tout cas moi, j’adore les jouer.
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claudehenrion · 4 years
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Camelia Jordana
  Comme une suite naturelle au ''billet'' d'hier, j'ai eu une étrange envie soudaine de vous parler de Melle Camelia Jordana. Ne me demandez surtout pas d'où me vient cette idée saugrenue, que rien, dans mon ''parcours'' intellectuel, social et autre, ne permet d'expliquer, si ce n’est : ''pourquoi serais-je le seul à ne pas parler d'elle ?''. Le fait que je n'aie rien à dire de pertinent et de sensé sur cette personne, reflet de ce que l’époque a de pire, me met à égalité d’incompétence avec tous les pseudo-intelligents auto-proclamés qui se gargarisent de ce nom qui est porteur de... rien.
  Comme toute personne qui s'oblige à parler d'un truc pour lequel il n'éprouve pas la moindre sympathie ni n'a la plus petite appétence, j'ai été visiter quelques sites du ''web'' pour éclairer ma lanterne, et j'ai trouvé ce qui ferait de moi un ''expert-du-20-heures'', si j'étais un plumitif de gauche. Camélia Jordana Aliouane est née le 15 septembre 1992 à Toulon. dans une famille aisée. Son grand-père, un ex-référent local du Front de Libération nationale (FLN), donc indépendantiste et ennemi juré de la France, était venu vivre dans ce pays (je n'ai pas trouvé la logique de cette migration... ou plutôt, je crains de trop bien la comprendre !). Fillette multi-douée, elle n'a rien trouvé d'autre, pour atteindre une célébrité désirée, que de cracher dans la soupe. ''Cuique suum'', disaient les romains : chacun fait comme il peut !
  Bien qu'ayant une voix plutôt plus agréable que la majorité des hurleurs/-euses grinçants que nous imposent les chaînes du ''Sévice public'', elle se lance, en novembre 2018, à 16 ans à peine, dans une suite d'anti-faits d'armes qui montrent un racisme anti-blancs illimité : ''Ma génération ne se reconnaît pas dans la société française, dirigée par des vieux blancs riches'' (Macron, sans doute, ou Benalla ?). Elle n'en meurt pas de ridicule, elle persiste même, et en mai 2020, elle prétend parler au nom ''des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau, c’est un fait''. Oubliant que ce sont des bandes de soi-disant ''jeunes'' comme elle qui font ces ''massacres'' , elle précise même sa non-pensée : ''Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en fais partie. Quand j’ai les cheveux frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France''.
  Même si entendre de telles énormités en ''défrise'' plus d'un, la gauche bobo-progressouillarde  (Manon Aubry, Manuel Bompard, Rokhaya Diallo, Aurélien Taché) ne se sent plus de joie, et SOS Racisme lui apporte son soutien, tout comme la très sulfureuse Assa Traoré, ce qui équivaut à une condamnation devant toutes les règles morales ! Mais le 15 janvier 2021, re-belote : elle déclare à l'Obs, toujours ouvert à ce qui est fermé :  ''si j’étais un homme, je demanderais pardon, (...) Car les hommes blancs sont, dans l’inconscient collectif, responsables de tous les maux de la terre''. Il est difficile d'être plus mesuré, plus rigoureux, plus objectif, plus crédible, plus militant pour la paix et la concorde sur Terre ! Je vais donc arrêter là : je pourrais lui nuire, en continuant à recopier ses énormes âneries.
  On est souvent surpris par le déroulement des choses : de là où je pensais n'avoir rien à dire, je me trouve soudain devant des océans de détails qui envahissent mon clavier, car, en tant qu'homme et que blanc (et, pire encore, ''homme-blanc'', avec un trait d'union, l'abomination de la désolation), je me sens dans le collimateur de la déferlante de haine qui est en train de ravager mon pays --cette France que j'aimais tellement, avant qu'elle ne se ratatine et se dénature en ''macronie''-- et avec elle toute l'Europe et sa civilisation judéo-chrétienne à laquelle rien, dans toute l'histoire du monde, n'a jamais pu se comparer : jamais aucune des civilisations qui ont précédé la nôtre (qui risque fort d'être la dernière, à en juger par le mouvement des planètes actuel et par la généralisation en cours de folies irrattrapables) n'a offert à l'humanité autant de succès, de confort, de santé (malgré ce que nos politicards ont fait de la pandémie du covid), de richesse, de loisirs, et même de paix (relative, mais plus grande tout de même qu'à n'importe quel autre moment de  l'Histoire).
  Les idées courtes et les amis troubles de madame Jordana, pour un instant réunis autour du bobard gigantesque d'une invraisemblable théorie dite ''décoloniale'' (en fait, un discours de haine), semblent séduire certaines personnes mal dans leur peau. Dans leur aveuglement haineux, tout ce petit monde ne tend qu'à remplacer la liberté résiduelle dont nous profitons encore --et eux avec nous-- par une soumission à l'islam (c'est un lieu commun, à la suite de Michel Houellebecq, de rappeler que ''Soumission'' est le seul sens du mot ''islam''), que des prêcheurs en eaux troubles leur ont mensongèrement présenté comme un futur doré où ils pourraient exercer sans ‘’brutalités policières-sic’’ tous les odieux trafics qui constituent la majeure partie de leurs revenus (auxquels s'ajoutent tous les dons, subventions, allocations, prestations et aides en tout genre dont nos gouvernants, ''plus cons que nature'' comme dit ma concierge, les abreuvent jusqu'à plus soif)...
  Si nous vivions en des temps où l'intelligence avait encore droit de cité, nous aurions été tentés d'opposer à ce mouvement sans fond la célèbre apostrophe de Talleyrand : ''Tout ce qui est excessif est insignifiant''. Mais hélas, trente ou quarante années pendant lesquelles nous avons lâchement et stupidement laissé la Gauche régner en maîtresse (d'école) sur ce qui fut autrefois notre Education dite nationale --elle n'est plus ni l'une, ni l'autre-- ont fait que d'un côté, le ridicule ne tue plus, et que, de l'autre, plus personne ne sait qui est ou fut Talleyrand. Si ''le racisme n'est pas une opinion, mais un délit'', cette affirmation n'est valable, pour ceux qui l'utilisent, que si elle va du plus clair vers le plus foncé. Jamais dans l'autre sens.
  Devant l'étalage de nullité ravageuse qui est en passe de devenir le seul destin envisageable pour les générations à venir, une idée s'impose, avec une urgence croissante : par quel vocable ou quel néologisme allons-nous remplacer feu l'ancienne ''intelligentzia'', cette caste qui furent ''honnêtes hommes'' au XVII ème siècle, ''philosophes'' au XVIII ème, ''bourgeois éclairés'' au XIX ème, ''hommes de progrès'' au XXème, et qui est ''bobo lèche-cul du discours officiel'' au XXI ème (on me dit que le mot ''lèche-bottes'' serait plus souhaitable. Dont acte !) ? Comme je n'ai pas trouvé d'antonyme à ''intelligentzia'', il faut en fabriquer un, et le plus vite sera le mieux.  ''Crétinisme'' étant déjà pris ailleurs, on peut se rabattre sur ''abrutistzia'' ou ''ineptitzia'', mais le plus simple semble être ''inintelligentzia'' et le plus proche de la vérité, ''conneristzia'' ! Affaire à suivre ! Comme quoi, même une Camélia Jordana peut entraîner, par ses débordements incontrôlés, une réaction pas aussi stupide que les idées qu'elle voudrait promouvoir... Dans ma jeunesse, on appelait ça ''la justice immanente''. Certains (dont je suis) y croient encore.
H-Cl.
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loveinstreams · 5 years
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Un prompt : on sait tous que Béchoux est musclé (tm), et du coup, un exemple est Lupin est 'waaaaahhh 😍' (J'avais en la scène de B99 où un autre personnage se jette dans les bras d'un autre et l'autre le prend tranquille ljxlxhkhd)
Béchoux savait qu'il n'était pas le plus charmant ou le plus élégant. Plusieurs fois déjà, on lui avait reproché sa mine tombante et son allure de garçon de café. Il se savait pas toujours brillant et un peu lent à la détente à certains moments. Cependant, Béchoux n'y voyait pas réellement d'inconvénients puisque ces défauts ne l'avait jamais empêcher de séduire, qu’il s’agisse de son ex-femme ou, plus particulièrement, du plus grand cambrioleur de France. À la vérité, il y avait bien un aspect chez sa personne qui semblait s’inscrire dans certaines conventions de beautés corporelles: il était musclé. Assez même, surtout dans les bras et le haut du corps. Il n’en était pas particulièrement vantard, mais Béchoux se disait que cette facette de son corps devait plaire, surtout par les regards qu'un certain gentleman lui lançait lorsque certaines parties de ses bras étaient mises à nues.
Un jour, et c'était à l'époque de Jean Vavert, Béchoux s'était retrouvé à devoir rouler ses manches jusqu'en haut du coude, pour aller chercher un indice tombé dans le fond d’un tuyau, ce qui réduisit Jean au bégaiement pendant une bonne minute. Théodore trouva d’abord ce comportement étrange et ne fit aucun lien avec le dévoilement momentané d’une partie de ses biceps, mais ce n'est que lorsque l'accident se produisit de nouveau quelques semaines plus tard qu'il fit le rapprochement et qu'il comprit la légère teinte rouge sur les joues de son collègue. C’était durant une autre de leurs enquêtes en associés. Ils s'étaient contraints à devoir utiliser les méthodes peu orthodoxes de son acolyte et à se cacher dans l’armoire de la chambre d'hôtel d'un suspect pour l'espionner. La proximité des corps étant de mise, Béchoux se retrouvait à recouvrir Jean de son torse ce qui semblait gêner son collègue vu l’effort qu’il portait à mettre le plus distance possible entre eux. Dès que le suspect sorti de l’appartement, Jean, dans son empressement pour s’éloigner de Béchoux, s’enfargea le pieds dans l’armoire et bascula vers l’avant. Béchoux essaya de le retenir, mais l’autre pieds de Jean glissa sur le tapis si bien que, en tournoyant, ce dernier se retrouva dans ses bras, comme une femme à la fin d’un tango. La position était d’un comique évident, mais, à la grande surprise de Béchoux, aucune remarque ironique ne fut émise. Le visage de Jean, si proche, avait pris une teinte cramoisie, la bouche légèrement entrouverte comme pour rétorquer quelque chose, qui ne vint pas. Il détourna les yeux et, même une fois remis sur pied et fouillant la chambre, Jean refusait de croiser son regard. Béchoux, remarqua cependant les petits coups d’œils en coin qu’il lui lançait lorsqu’il se croyait subtil.  
Avec le temps, Théodore en avait donc conclu que c’était cet aspect de son physique qui attirait l’autre homme. À chaque fois qu'il se débarrassait d'un vêtement ou qu'il laissait entrevoir la peau en dessous du tissus quelque chose brillait dans le regard du cambrioleur et Théodore se sentait traqué par cette lueur. Comme s’il se trouvait face à un loup qui observe sa proie, qui la dévore déjà avant même d’y avoir touché. Un rappel de son nom. Lupin. Sauf qu'au lieu de grogner ou de hurler à la lune, c'était un gémissement, profond et salace qui sortait et qui dansait sur sa colonne vertébrale de Théodore, un frisson de peur, d'impatience. Quelque chose de magnétique, de mystérieux dans cette faim lisible sur le visage de Lupin à la moindre vu de ses bras nus. Théodore ne cherchait pas à comprendre, c'était grisant et lui faisait oublier toutes les incertitudes qui pouvaient subsister encore quant à son physique. Et puis, comment réfléchir, avec ces mains dans son cou, ces doigts qui tirent ses cheveux, cette bouche qui murmure de chaleur et qui vient tuer doucement les mots avant même qu’ils aient pu naître de sa bouche? Un massacre sans cesse à recommencer de ces choses qui viennent des tréfonds du cœur.
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beatlesonline-blog · 2 years
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reseau-actu · 6 years
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Conspués, menacés, insultés et désormais de plus en plus souvent frappés, les journalistes vivent une sale période depuis deux mois. Les violences exercées contre eux le week-end dernier, vis-à-vis d’une équipe de la chaîne d’information LCI à Rouen notamment, ont ébahi la profession, désormais ciblée par certains extrémistes pour ce qu’elle est, et non pas pour ce qu’elle fait. De quoi faire craindre la possibilité imminente d’un drame. Le mouvement des gilets jaunes rappelle très durement aux médias la défiance dont ils font l’objet auprès d’une grande partie du public. Le mot est faible : à ce stade, mieux vaudrait parler de colère, de détestation, voire de haine. Chez les journalistes, la situation est ressentie avec injustice. Jamais sans doute les titulaires d’une carte de presse n’ont été aussi bien formés que maintenant, aussi soucieux des enjeux déontologiques, aussi éveillés aux biais de la production de l’information. Les reproches qui leur sont adressés sont le plus souvent formulés avec excès. Quant aux violences, elles sont inexcusables, atteignant directement la bonne marche de la démocratie.
Ceci dit, et sans aucunement vouloir justifier la moindre agression, si l’on veut réparer cette fracture, il semble nécessaire de s’interroger : les journalistes n’ont-ils absolument aucun tort ? Ne méritent-ils pas une partie de la méfiance qu’ils inspirent ? Libération a invité à l’autocritique 25 professionnels de l’information, de tous supports et médias, aux positions hiérarchiques variées, choisis pour leur capacité à regarder en face les pratiques du métier. Contrairement à leur image d’individus imperméables à la critique, nourrie par le réflexe de défense corporatiste souvent automatique en public, les journalistes ne sont pas – d’après notre expérience – hostiles à l’autoflagellation, pourvu qu’elle se fasse à l’abri des regards extérieurs. La terrible pression économique qui plombe le secteur des médias (à bout de souffle, à cause d’une décrue générale des revenus) et contraint la bonne pratique du métier ne sert pas d’argument refuge à tous les reproches.
«Nous faisons des journaux qui ne s'adressent pas à la masse des gens»
Un défaut est reconnu par la quasi-totalité des personnes interrogées (dont la totalité souligne que les violences contre la presse sont impardonnables). Les journalistes ont une conscience aiguë de leur uniformité sociale et culturelle, de l’absence de diversité parmi eux. Très souvent, ils vivent à Paris ou dans les métropoles, ont fait des études supérieures (souvent Sciences-Po et/ou une école de journalisme), viennent des classes moyennes supérieures, et disposent en moyenne d’un pouvoir d’achat plus élevé que le reste de la population. D’après l’Observatoire des métiers de la presse, le salaire médian des journalistes titulaires (74 % de la profession) était d’environ 3 549 euros brut par mois en 2016, soit environ 2 800 euros net. Celui de l’ensemble des Français était de 1 800 euros net en 2015 selon l’Insee. Un chiffre plus en phase, quoique supérieur, à celui des journalistes pigistes et en CDD (autour de 1 900 euros brut). «Le profil socioculturel des journalistes parisiens est très éloigné de celui des gilets jaunes, constate Jean-Marc Four, chef du service international de Radio France. Ce décalage crée les conditions d’une défiance. Les journalistes n’ont pas une connaissance intime et spontanée des ronds-points ou que la limitation de la vitesse à 80km/h a été vue comme une agression du pouvoir central.» Cofondateur du média d’investigation local Médiacités, Sylvain Morvan a une jolie formule pour résumer le problème : «Les journalistes écrivent librement ce qu’ils sont socialement programmés à écrire.»
«Les journalistes écrivent librement ce qu’ils sont socialement programmés à écrire.» Sylvain Morvan, cofondateur de Médiacités
Le fameux reproche de la «déconnexion» des journalistes ne serait-il pas fondé, au moins en partie ? Guillaume Erner, pour qui il est dangereux de faire des «amalgames» entre les différents médias, récuse l’argument. Le matinalier de France Culture cite le sociologue Max Weber : «Il n’est pas besoin d’être Jules César pour comprendre Jules César. On doit défendre cette position, sinon on perd l’universel.» Donc la légitimité à exercer le métier de journaliste. Juste position théorique, qui n’éteint cependant pas les interrogations. Ex-journaliste à iTélé (devenue CNews), désormais à Explicite, Elorri Manterola l’admet : «La déconnexion me paraît réelle. En plus, on traîne entre journalistes, on se marie ensemble, on est dans l’entre-soi. Parfois on écrit surtout pour nos sources et nos confrères, des personnes surinformées qu’on a envie d’impressionner. Peut-être devrait-on moins traîner dans les cabinets ministériels et revenir à des sujets concrets…» Rédacteur en chef de l’Humanité, journal du peuple s’il en est, Jean-Emmanuel Ducoin bat sa coulpe : «La presse écrite ne raconte pas la vraie vie des gens et on le prend en pleine gueule aujourd’hui. Je suis hanté par cela. Nous faisons des journaux qui ne s’adressent pas à la masse des gens. Où raconte-t-on la souffrance, la vie derrière les murs des entreprises ? Même à l’Huma, on n’y arrive plus tout à fait. On devrait se démultiplier, on ne le fait pas faute de moyens.» Au bord du gouffre, le quotidien créé par Jean Jaurès vient de lancer un appel aux dons.
«Les liens des journalistes locaux avec les territoires s’effilochent, le maillage se desserre. On traite de moins en moins les petits événements de la vie quotidienne, comme la kermesse d’une association. Les gens voient moins le journaliste du coin.» Philippe Gestin, journaliste au Trégor et maître de conférence à l'université de Rennes
La semaine dernière, une étude du Conseil supérieur de l’audiovisuel sur la diversité à la télévision a jeté une terrible lumière sur les impasses des journalistes. Elle est venue rappeler que les catégories socioprofessionnelles supérieures y représentaient «88 % des personnes présentées» dans les programmes d’information en 2018. Autrement dit, les classes populaires et moyennes n’apparaissent presque pas à la télévision. N’accablons pas le petit écran. La presse écrite, qui cherche désormais à vendre des abonnements numériques à 10 ou 15 euros par mois, n’a-t-elle pas naturellement tendance à vouloir plaire aux individus aisés plutôt qu’aux défavorisés ? Il suffit de se reporter aux pages «lifestyle» et «voyages» des journaux et magazines, pleines de gadgets à 300 euros et de nuits d’hôtel au bout du monde, pour comprendre où penchent l’intérêt strictement économique de la presse et le lectorat qu’elle rêve de séduire.
En 2018, 20 000 des 35 000 cartes de presse en circulation étaient détenues par des habitants de la région parisienne. Rien d’étonnant : tous les médias nationaux, à l’exception notable des réseaux publics France 3 et France Bleu, sont installés à Paris. «Les médias se sont éloignés des gens. Ils s’intéressent à la prise de décision et piochent de plus en plus haut», observe Patrick de Saint-Exupéry. Il y a un an, ce dernier lançait le magazine Ebdo sur le constat qu’une partie de la population française ne lisait plus la «grande» presse. Le projet a vite capoté, mais l’analyse de départ n’en était pas moins juste. «Hors de Paris, la presse nationale se donne de moins en moins les moyens d’enquêter, dit Sylvain Morvan, de Médiacités. La presse régionale aussi ferme des antennes locales. Des villes petites et moyennes deviennent des déserts médiatiques. L’actualité locale est moins bien traitée, les journaux perdent en qualité. Il est probable que cela joue sur la défiance.» Maître de conférences à l’université de Rennes, Philippe Gestin est également journaliste au Trégor, l’hebdomadaire de la région de Lannion (Côtes-d’Armor). Il remarque que le désamour des médias, longtemps cantonné aux journalistes nationaux, s’étend désormais aux locaux. «Les liens des journalistes locaux avec les territoires s’effilochent, le maillage se desserre, nos travaux de recherche le montrent. On traite de moins en moins les petits événements de la vie quotidienne, comme la kermesse d’une association. Les gens voient moins le journaliste du coin. Cette figure disparaît de l’imaginaire, elle n’est plus une référence. Et ça marche dans l’autre sens : il y a des personnes qu’on ne touche plus, qu’on ne voit plus. C’est frappant dans la crise des gilets jaunes : sur les ronds-points, il y a plein de gens que je ne connais pas.» La disparition des kiosques et des points de vente de la presse n’arrange rien. «Les médias n’ont sans doute pas assez ouvert leurs portes. Il faut être tansparent, expliquer comment on travaille et on débat, pour retrouver de la confiance avec le public», suggère Amaelle Guiton, présidente de la Société des journalistes et des personnels de Libération.
«Au lieu d’expliquer, on souffle sur des clivages idéologiques faciles. Les gens l’ont très bien compris, et ça les énerve.»
Pas assez de terrain, trop de commentaires ? «L’année 2017, avec la présidentielle, a produit du reportage comme rarement. Il n’y a pas un département où un journaliste du Monde n’a pas passé du temps, tempère Philippe Ridet, grand reporter au quotidien. On n’a peut-être pas vu le degré d’exaspération, mais on l’a racontée.» Chez les autres journalistes sondés, la critique du manque de reportages revient néanmoins avec insistance. Notre profession serait devenue trop bavarde, passant son temps à donner son avis à elle plutôt que la parole aux autres. Antoine Genton, ex-président de la société des journalistes d’iTélé pendant la longue grève menée contre leur actionnaire Vincent Bolloré : «Les gens se rendent compte qu’il y a plus de plateaux avec des invités. Les budgets de reportage sont réduits d’année en année. C’est sûr, ça coûte moins cher de faire l’Heure des pros (l’émission de débats animée par Pascal Praud sur Cnews) que d’envoyer des journalistes sur le terrain…» Une figure de l’antenne de LCI le déplore :«Chez nous, il n’y a pas de reportage d’immersion. Nous sommes une chaîne d’experts.» C’est-à-dire de commentateurs, de spécialistes, de polémistes. Bref, «d’éditorialistes», du nom de ces journalistes qui squattent les studios pour livrer leurs «opinions» alors qu’ils n’ont souvent pas produit un reportage depuis des lustres. Ces figures médiatiques, bien mieux rémunérées que le reste de la profession, ne font pas l’unanimité parmi les journalistes interrogés.
«Beaucoup de journalistes considèrent que leur rôle est de dire le bien et le mal, comment il faut penser. Les gens ont l’impression d’avoir des curés en face d’eux.» Natacha Polony, directrice de Marianne
C’est surprenant, mais les intéressés eux-mêmes peuvent être d’accord. Natacha Polony, directrice de Marianne, qu’on voit et entend plusieurs fois par semaine dans les médias : «Beaucoup de journalistes considèrent que leur rôle est de dire le bien et le mal, comment il faut penser. Les gens ont l’impression d’avoir des curés en face d’eux.» La tentation du commentaire est-elle réservée aux vedettes de l’analyse télévisuelle vite troussée ? C’est l’avis de Brice Couturier, chroniqueur sur France Culture : «Avant, nous avions le monopole de l’information. Désormais, l’information nous devance sur les réseaux sociaux. Nous avons réagi en idéologisant à mort, en devenant des directeurs de conscience. Mais en réalité, un journaliste a peu de compétences, il est généraliste, car on n’approfondit pas les sujets en école de journalisme. Au lieu d’expliquer, on souffle sur des clivages idéologiques faciles. Les gens l’ont très bien compris, et ça les énerve.» Brice Couturier n’échappe cependant pas lui-même à l’envie du commentaire, qui martèle sur le réseau social son soutien à Emmanuel Macron. «Sur les réseaux sociaux, je milite, se justifie-t-il. Mais à la radio, je respecte mon engagement d’impartialité.» Respectable schizophrénie. Mais peut-elle être comprise du grand public ?
Avec une «élite» apparaissant comme donneuse de leçons, la corporation souffre tout entière d’une image d’arrogance. Injuste ? «La façon dont beaucoup de journalistes se placent au-dessus des petites gens me choque. Il y a de la condescendance dans la façon de les décrire, un manque d’humilité générale», souffle la journaliste d’un hebdomadaire. Les médias, univers hyperpersonnalisé où l’on signe tout ce que l’on produit, ne sont par nature pas les meilleurs endroits pour dégonfler les egos. La chose ne s’est pas arrangée avec l’apparition de Twitter, bac à sable social préféré des journalistes, qui y profèrent à longueur de journée bons points, anathèmes, ironies et leçons de morale. Journaliste à Vice, Paul Douard a publié il y a quelques mois un article plein de second degré, intitulé «Je suis journaliste et vous avez raison de me haïr». Extrait : «Twitter a sans doute été inventé pour que les journalistes aient l’impression d’être utiles. Ainsi, je peux y “décrypter” l’actualité au lieu de le faire dans des articles, mais surtout je peux entretenir mon “personal branding”. […] Soyons clairs : nous sommes imbuvables avec nos leçons de morale permanentes sous forme de “threads” [successions de tweets formant des histoires, ndlr] que personne ne lit […], comme si nous étions investis d’une mission divine consistant à ouvrir les yeux d’une population trop conne pour comprendre quoi que ce soit.»
«La chaîne d’info, c’est l’usine. On se contente d’imprimer une dépêche avant de sortir. On n’a pas forcément le temps de lire le Monde, etc. Cela produit de la médiocrité.» Elodie Safaris, ex-iTélé
Et si les journalistes se confondaient trop souvent avec des intellectuels qu’ils ne sont pas ? Pour Natacha Polony, cela traduit un manque de clairvoyance : «Il y a un problème de culture générale dans l’ensemble de la société. Dans certains métiers, comme le journalisme, ça pose un peu plus de problèmes.» Et la directrice de Marianne de remarquer que les bibliothèques sont rares dans les écoles de journalisme, où l’enseignement est plus souvent technique (tourner avec une caméra, faire du montage audio) que fondamental (peu de cours d’histoire, de philosophie…). Elodie Safaris, ex-iTélé, tout près de changer de métier : «La chaîne d’info, c’est l’usine. On se contente d’imprimer une dépêche avant de sortir. On n’a pas forcément le temps de lire le Monde, la presse internationale, etc. Cela produit de la médiocrité.»
Nicolas Becquet, du quotidien belge l’Echo, pointe en miroir le succès de Rémy Buisine, le reporter qui fait de longs directs sur Facebook pour le média Brut, très populaire auprès des gilets jaunes : «Proximité, écoute, humilité et simplicité, voilà ce qui caractérise son attitude face aux manifestants. L’exercice du live façon “Brut” est une forme de retour aux sources, une interprétation des nombreuses missions dévolues aux journalistes : regarder, s’étonner et restituer. Le tout, à hauteur d’homme. Une approche à l’antithèse de la perception qu’ont les classes populaires des médias dits traditionnels.» Pour le même, le succès de Buisine est aussi celui du nouveau format numérique du direct, sur lequel – ce n’est pas un hasard – se sont rué les gilets jaunes ces dernières semaines, ringardisant les vieilles pratiques médiatiques de la profession. «Il aura fallu une vingtaine d’années pour que les médias prennent le Web et les réseaux sociaux au sérieux. Ce n’est pas seulement l’émergence d’un supermédia que nous avons manqué : nous avons échoué à tendre un miroir fidèle à une société en plein questionnement. Aujourd’hui, tout le monde s’y met mais le retard a abouti à un déclassement des journalistes dans l’opinion», poursuit Nicolas Becquet.
Course à l'audience, réseaux sociaux : «Nous avons oublié le quotidien des Français»
Un autre gros écueil regretté par les journalistes est «la course à l’audience» à laquelle ils déplorent participer. Le travers est bien connu pour ce qui concerne les chaînes de télévision gratuites, courbées sur les recettes publicitaires. La vive concurrence à laquelle se livrent les chaînes d’information a ravivé le problème, dans une infernale compétition à la polémique, la petite phrase, le spectaculaire, au détriment du temps long, de la réflexion, de la nuance. Une reporter de BFM TV s’étonne du discours de sa direction : «“Audience égale confiance”, disent-ils. Mais non, ce n’est pas vrai. La preuve, notre chaîne cartonne, mais on vit un rejet total sur le terrain.» Pointer du doigt les seules chaînes d’info serait facile. La manie de l’audience est partagée. La création du site Rue89, il y a douze ans, fut une réaction de contre-proposition à l’info-spectacle. Pourtant, dit sa rédactrice en chef, Nolwenn Le Blevennec, «nous sommes tombés, nous aussi, à pieds joints dans le piège de l’audience. On était scotchés à Chartbeat [un logiciel d’analyse du trafic internet en temps réel, ndlr], on prenait la moindre vague virale, on fonctionnait par mots-clés, on faisait des rebonds sur des polémiques futiles, on surtitrait les articles. On a mis de côté le qualitatif. Mais pour inspirer de la confiance, il faut avoir une colonne vertébrale. Ces cinq dernières années, on n’a pas été assez attentifs à ça.» Un espoir : la presse est en train de changer de modèle économique, passant à l’abonnement numérique payant, fondé sur la satisfaction d’un parc de lecteurs fidèles. Ce qui oblige – théoriquement – à privilégier la qualité.
«Twitter est une caisse de rétrécissement de l’information, qui diminue le nombre de sujets traités et qui polarise.» Jean-Marc Four, de Radio France
Encore faut-il que les journalistes parviennent à se détacher des réseaux sociaux, qui les entraînent dans une dangereuse course à l’instantanéité et au buzz. «On n’y prêtait pas attention il y a quelques années, on a aujourd’hui le nez collé dessus, s’inquiète Jean-Marc Four, de Radio France. Il ne s’agit pas de ne pas les regarder, mais leur fonctionnement pose question. Plus il s’y dit un truc énorme, plus il fait du bruit. C’est le propos de Yann Moix par exemple [sur son non-désir pour les femmes de 50 ans, ndlr]. Et l’autre principe du réseau social est de fonctionner par communautés. Il y a là un refus du réel, une segmentation du monde peut-être sans précédent. Twitter est une caisse de rétrécissement de l’information, qui diminue le nombre de sujets traités et qui polarise.» Ce prisme nécessairement déformant porte en lui le risque d’un suivisme entre journalistes, d’une incapacité à se détacher du tout-venant, de l’actualité institutionnelle, des vagues d’émotion. Ex-correspondant de Radio France au Liban, Omar Ouahmane, revenu en France en septembre, regrette que les journalistes ne soient plus «des lanceurs d’alerte». «On a attendu que les immeubles s’effondrent à Marseille pour travailler sur le sujet. Même chose pour les gilets jaunes. Ils viennent nous rappeler qu’ils existent. On s’intéresse à leurs conditions de vie, parce qu’ils sont dans la rue. Mais leur colère était légitime hier. Et l’invisibilité décuple la colère. Nous sommes passés à côté, car il y a eu ces dernières années Daech, le Bataclan, Charlie… nous avons oublié le quotidien des Français. Il a été traité bien sûr, mais pas suffisamment.»
Un cas d’école de suivisme dans la corporation a été, il y a deux ans, l’observation passionnée du «phénomène» Macron. Plus ou moins critique selon les médias, ce décorticage a assurément manqué à l’époque de lucidité, chez presque tout le monde, quant au positionnement politique du chef de l’Etat – cette fâcheuse croyance au «ni droite ni gauche». Le reproche est aujourd’hui constitutif de la détestation des gilets jaunes pour la presse. Mais curieusement, il ne revient pas naturellement dans les conversations. «On s’est pris au jeu de Macron, concède enfin une figure de LCI. On a peut-être manqué de discernement. Il nous a fascinés, intéressés. Eblouis au point de manquer de recul ? Je constate qu’on ne l’épargne pas depuis qu’il est au pouvoir, depuis l’histoire de la baisse des APL [allocations pour le logement, ndlr] à l’été 2017. Mais, avant cela, on s’est peut-être emballés, on a suscité une forme d’enthousiasme et d’attente. Malgré nous.» La faute à un manque de diversité politique dans la profession, encore ? Toujours se méfier des généralités. Mais… «Dans le milieu, la remise en cause du système global est faible, raconte Elodie Safaris, ex-iTélé. On accepte le monde libéral et capitalisé. Les gens que j’y ai rencontrés étaient souvent de gauche un peu molle, rarement de gauche ou de droite radicales. Dans les moments d’élection, on voit que tout le monde a un peu les mêmes idées.» Jadis «au service du peuple», le journalisme «est désormais honni pour être au service des élites et contre le peuple», écrivait récemment la politologue Géraldine Muhlmann dans le Monde. Et si les médias avaient majoritairement renoncé à être un contre-pouvoir, critique de tous les ordres établis ?
«Les citoyens se sentent manipulés, même si ce n’est pas toujours vrai, même si beaucoup de journalistes travaillent en toute liberté. L’affaire est grave. Nous devons tous en prendre conscience.» Jean-Emmanuel Ducoin, de l'Humanité
De la même façon, rares sont les journalistes qui s’interrogent spontanément sur la concentration à l’œuvre dans le secteur de la presse. La plupart des grands médias sont détenus par quelques milliardaires ayant des intérêts industriels (c’est le cas de Libération, propriété de Patrick Drahi). Cette situation fait bouillir la marmite de critiques du grand public. Mais le milieu se distingue par son absence de réaction collective, s’abritant derrière des chartes censées les protéger des interventions extérieures. Un tort ? «Presque tous les journalistes disent qu’ils font leur métier librement, que les propriétaires ne sont pas derrière leur dos. Peut-être, mais cela nuit quand même à la crédibilité de ces médias auprès du public», s’étonne Sylvain Morvan, de l’indépendant Médiacités. «C’est un problème, pas la peine de se cacher derrière son petit doigt», convient Natacha Polony, dont Marianne est possédé par le magnat tchèque de l’énergie Daniel Kretinsky. «Ce contexte pèse énormément dans le cerveau des citoyens, s’alarme Jean-Emmanuel Ducoin, de l’Humanité. Ils se sentent manipulés, même si ce n’est pas toujours vrai, même si beaucoup de journalistes travaillent en toute liberté. L’affaire est grave. Nous devons tous en prendre conscience.» On a jamais fini de faire son autocritique.
Les chaînes d'info, mal aîmées des gilets jaunes et des journalistes
Pauvres chaînes d’information en continu. On les savait qualifiées d’«ennemies» par certaines figures des gilets jaunes et vilipendées par le pouvoir politique pour leur médiatisation massive de la mobilisation. On les découvre, au cours de notre enquête auprès de vingt-cinq journalistes, tout autant critiquées par leur corporation, qui leur reproche de donner une mauvaise image du métier.
«On ne fait pas le même métier»
Dans le discours commun, elles sont devenues – et la plus puissante d’entre elles, BFM TV, au premier chef – le symbole de la «malinformation» de notre époque. Comme l’était TF1 dans les années 90, quand l’antenne de Bouygues, au sommet de sa gloire, rythmait l’actualité. Et lorsqu’on interroge des journalistes de la presse écrite, le mépris que les chaînes d’info inspirent s’exprime sans filtre. «On ne fait pas le même métier, balance Eric Fottorino, directeur de l’hebdomadaire le 1 et ex-patron du Monde. Elles organisent le spectacle autant qu’elles le captent.» Grand reporter au Monde, Philippe Ridet ne dit pas autre chose : «BFM TV te vend l’idée qu’il peut se passer quelque chose à tout moment. C’est le meilleur compagnon de la solitude. Si tu regardes les images des gilets jaunes, tu as l’impression que c’est la guerre civile.»
La focale grossissante et répétitive caractéristique des chaînes d’info, en édition spéciale quasi permanente sur les gilets jaunes depuis deux mois, concentre les critiques. «Cette boucle d’image modifie la perception du réel», ­observe la patronne de Marianne, Natacha Polony, pourtant habituée de leurs studios. Schématiquement, la profession, à qui l’on enseigne que la précipitation est le pire ennemi du bon travail, tance la course à l’immédiateté à laquelle se livrent les chaînes d’info, incarnée par ces reporters débitant des duplex «sur place» à la chaîne. Où est la prise de distance nécessaire à la compréhension de l’événement ? La mise en contexte par l’addition des points de vue ?
Sur les chaînes d’info, ces tâches sont censées être le rôle des éditorialistes et chroniqueurs qui passent des heures en plateau à commenter l’actualité. Mais à force de pérorer sur tout et rien, y compris sur les sujets dont ils ne sont pas de grands spécialistes, ils essoufflent sur le fond une formule pourtant efficace au vu des résultats d’audience. «C’est du bla-bla, du vide, ça meuble en permanence. C’est insupportable. Ça te donne envie de casser ta télé», s’emporte Nolwenn Le Blevennec, rédactrice en chef de Rue89 à l’Obs.
«Il y a parfois un effet d'emballement à l'antenne»
Arrive-t-on à un point de bascule ? La violence de la crise des gilets jaunes à l’égard des chaînes d’info a été telle que ces critiques ont infiltré les rédactions. Depuis peu, elles émergent en interne. A BFM TV, une grande réunion a été organisée le 8 janvier, lors de laquelle les journalistes ont vidé leur sac. Certaines stars de l’antenne, comme Alain Marschall, sont allées jusqu’à remettre en cause la couverture de certains épisodes – en l’occurrence l’hypermédiatisation de la seconde arrestation d’Eric Drouet, l’une des figures du mouvement actuel. «Il a beaucoup été question de la place du reportage à l’antenne, rapporte François Pitrel, président de la Société des journalistes de la chaîne d’info en continu. On a envie que le travail de la rédaction soit davantage valorisé. Il y a parfois un effet d’emballement à l’antenne, on a du mal à lâcher une actualité.»
Sous couvert d’anonymat, une reporter déplore la propension de la chaîne à «feuilletonner» un seul événement pendant des heures, voire des jours – une méthode qui s’est installée selon elle depuis l’incroyable campagne présidentielle de 2017. «Cela revient à dire : la seule chose digne d’intérêt, c’est ça. Mais en vertu de quoi décidons-nous cela ?» s’interroge cette consœur, précisant «aimer» sa chaîne malgré tout. Une autre regrette que BFM TV «donne trop la parole à des gens qui s’autoproclament experts de quelque chose» , visant notamment les éditorialistes qui parlent en leur seul nom, mais engagent toute la rédaction dans l’esprit des téléspectateurs. A BFM TV, en treize ans d’existence, on n’avait jamais assisté à une telle libération, et si critique, de la parole. «Ce dialogue est positif et constructif», se réjouit son patron, Hervé Béroud. Des groupes de travail ont été constitués pour réfléchir à des changements et des améliorations. Ils doivent être annoncés à toute l’équipe en début de semaine prochaine.
Textes Jérôme Lefilliâtre Photos Thibaud Moritz, Stéphane Lagoutte, Arnold Jerocki / Divergence, Cyril Zanettacci / Agence Vu pour Libération ; Sébastien Calvet / Divergence Production Libé Labo
Article publié le samedi 19 janvier 2019.
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omagazineparis · 1 year
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Les erreurs courantes à éviter lors des premiers rendez-vous : ne tombez plus dans le piège !
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Vous avez enfin décroché ce fameux premier rendez-vous tant attendu, et vous êtes déterminée à faire bonne impression. Pourtant, il est facile de commettre des erreurs lors des premiers rendez-vous. Pas de panique, nous sommes là pour vous aider à les éviter ! Parler trop de soi : trouvez l'équilibre Écoute active et partage L'une des erreurs fréquentes lors des premiers rendez-vous est de trop parler de soi. Trouvez un équilibre entre partager vos expériences et écouter attentivement ce que votre interlocuteur a à dire. Montrez de l'intérêt pour l'autre et posez des questions pour approfondir la conversation. Évitez les sujets sensibles Les premiers rendez-vous ne sont pas le moment idéal pour aborder des sujets sensibles tels que la politique, la religion ou les ex-partenaires. Privilégiez des sujets légers et positifs pour créer une ambiance agréable et détendue. Être trop collante ou distante : maîtrisez votre attitude Respectez l'espace personnel Une autre erreur lors des premiers rendez-vous est de ne pas respecter l'espace personnel de l'autre. Veillez à ne pas être trop proche physiquement ou trop envahissante dans la conversation, mais évitez également d'être trop distante. Trouvez un juste milieu pour mettre votre interlocuteur à l'aise. Soyez authentique Restez vous-même lors de votre rendez-vous. Ne cherchez pas à adopter une attitude qui ne vous ressemble pas pour impressionner l'autre. L'authenticité est plus appréciée que les artifices. Faire trop de suppositions : laissez-vous surprendre Ne jugez pas trop vite Il est courant de faire des erreurs lors des premiers rendez-vous en jugeant trop rapidement l'autre personne. Gardez l'esprit ouvert et laissez-vous surprendre. Ne vous fiez pas uniquement aux apparences ou aux premières impressions, elles peuvent être trompeuses. Ne vous mettez pas trop de pression N'oubliez pas que les premiers rendez-vous sont avant tout l'occasion de faire connaissance et de passer un bon moment. Ne vous mettez pas trop de pression en cherchant à tout prix à séduire l'autre personne ou en imaginant déjà votre futur ensemble. Prenez le temps de vous découvrir mutuellement. Négliger son apparence : soyez au top, sans en faire trop Soignez votre présentation L'apparence compte lors des premiers rendez-vous. Sans chercher à être parfaite, veillez à être bien présentée et à porter une tenue adaptée à l'occasion. Montrez que vous avez fait des efforts pour plaire à votre interlocuteur. Restez naturelle Tout en soignant votre apparence, restez naturelle et évitez d'en faire trop. Un maquillage léger et une coiffure simple sont souvent plus appréciés qu'un look trop sophistiqué ou extravaguant. Sur le même thème : Comment gérer la jalousie dans une relation : conseils pratiques pour rester sereine Être rivée à son téléphone : privilégiez le contact humain Éteignez ou mettez en sourdine Les téléphones portables sont une source fréquente d'erreurs lors des premiers rendez-vous. Éteignez ou mettez en sourdine votre téléphone pour éviter les distractions et montrer à votre interlocuteur qu'il a toute votre attention. Concentrez-vous sur la conversation Profitez de ce moment à deux pour échanger et apprendre à vous connaître. Les réseaux sociaux et les messages peuvent attendre. En évitant ces erreurs lors des premiers rendez-vous, vous maximiserez vos chances de réussite et passerez un moment agréable. Rappelez-vous que l'essentiel est de rester vous-même et de profiter de la rencontre. Bon rendez-vous ! Read the full article
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babavigantrom1 · 2 years
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Envoûtement de l'être aimé - Comment envouter un homme avec sa photo ?: Rituel d'amour qui fonctionne avis.
Comment envouter un homme avec sa photo, Envoûtement amoureux sur photo. Savoir comment envoûter un homme avec sa photo peut être très utile. Pourquoi envoûter quelqu’un ? Pour le séduire, provoquer une attirance,le faire revenir, le reconquérir,le rendre fou amoureux, l’épouser,se venger de son ex, éloigner une rivale,trouver l’amour, rencontrer l’homme idéal,raviver la vie conjugale et la vie…
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marie-bradshaw · 2 years
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Ma thérapie
Chaque matin, quand mon réveil sonne et me tire des bras de mon amant Morphée comme Cupidon fut retiré à Psyché, je le maudis et m'enroule un peu plus dans ma couette en baillant.
Objectif: ressentir un peu plus longtemps la chaleur de son étreinte.
"Nooooooon, encore un peu" je me dis à moi-même, en repoussant le réveil de dix minutes pour la troisième fois consécutive.
Un oeil à l'heure a généralement vite raison de la quatrième tentative:
"Flûte, là va falloir se bouger sévère"
Je me tire donc des draps en m'étirant, les bras au-dessus de la tête, un énième et dernier bâillement entrouvrant ma bouche avec beaucoup d'élégance, ou pas.
"Café. Oh oui Café."
Ces quelques secondes de semi-sommeil au réveil, quand j'enclenche le bouton de ma machine Nespresso, sont pour moi l'occasion d'essayer de me souvenir de mes rêves.
Ils n'ont souvent ni queue ni tête, mais cachent toujours un sens révélateur à ce qui peut me préoccuper en ce moment.
Bon sauf avant-hier, où je rêvais que je rencontrais Johnny Depp et qu'un jeu de piste s'en suivait entre nous, tout en finesse et avec beaucoup de noblesse de sa part.
Là ok, forcément, le seul rapport entre lui et mon quotidien (hélas) se résume à suivre d'un oeil distrait son procès avec Amber Heard.
Enfin passons...
Mon deuxième rituel du matin consiste à prendre soin de ma peau.
Cinq petites minutes matin et soir en suivant un protocole précis qui me procurent un profond sentiment de bien-être.
Ainsi que le fameux "Glow" qui nous séduit tous.
Ma peau est nette, débarrassée de ses impuretés, soignée, hydratée, resplendissante, et ça me donne confiance en moi.
De me sentir belle au naturel, sans maquillage, c'est une véritable thérapie au quotidien.
Alors biensûr, étant d'un naturel plutôt coquet et sophistiqué, j'adore prendre soin de moi plus avant, passer une heure à me maquiller/me coiffer avant de partir en soirée ou pour un date.
Ce n'est pas pour les autres que je le fais, même si j'apprécie toujours un compliment sur ma beauté, ou mon style (qui n'aime pas qu'on lui dise qu'il/elle est beau/belle?).
Mais là encore, ce moment que je prends pour me détendre en prenant soin de mon apparence, me rend plus forte.
Parce que je sais que je pourrais m'en passer, et toujours plaire, d'ailleurs les deux premiers rendez-vous passés avec ma dernière histoire se sont faits chez moi en jogging/pyjama, sans aucun artifice, au naturel le plus complet.
Et il a eu l'air d'apprécier.
Non, ce n'est pas pour séduire. Enfin pas tout à fait.
La personne que je cherche tout d'abord à séduire c'est celle que je regarde dans le miroir en appliquant un fard sur mes yeux, en traçant un trait d'eye-liner, ou encore en utilisant une technique de contouring pour accentuer les traits de mon visage.
Quand je me mets en beauté, chaque seconde passée à me consacrer à ce moment de bien-être égoïste, et pour certains superficiel, me recentre sur moi-même.
Et si comme moi vous êtes de nature à être tourné/e vers les autres, à leur donner le meilleur de vous sans compter, vous comprenez l'importance de se redonner un peu de cette énergie positive.
Chacun à sa manière.
La mienne en prenant vraiment le temps de me préparer, avec attention.
A chaque coup de pinceau parcourant mon visage je canalise mes pensées, mes émotions.
Je prends le temps de repenser au weekend surprise que j'avais organisé pour mon ex, suite au rappel amical de Facebook que c'était il y'a un an.
A la minutie avec laquelle j'avais tenté de penser à tout, la baignoire, le lait d'ânesse, le globe qui reproduisit un ciel étoilé dans notre chambre, les pétales de rose qui le dirigeraient jusqu'à moi et au bain, avec un champagne glacé.
Je n'avais jamais fait ça pour personne, et je n'oublierai jamais la tête qu'il avait fait en voyant tout ça. Ni les éclats de rire qui avaient suivi quand je m'étais cassée la figure de mes talons YSL de 14cm dans le couloir de l'hôtel.
Avec le recul je sais qu'il m'avait désirée pour la check-list de critères que je représentais, mais que ses sentiments il les avait développés pour ma maladresse, ma tendresse, et tout ce que ne je pouvais pas contrôler et qui avaient le don de me rendre dingue.
Toujours appliquée à exécuter une technique de smokey eye que j'ai vu en vidéo, je prends le temps d'apprécier cette qualité de toujours vouloir prendre soin de mon partenaire, le surprendre, le soutenir.
Je suis quelqu'un d'extrêmement attentionnée, je ne cherche aucun retour si ce n'est le bien-être de la personne que j'ai choisi, et je préfère être comme je suis que froide et calculatrice.
Je repense à Kevin, à notre dernière soirée.
En m'emmenant dîner, il voulait me montrer qu'il pouvait aussi prendre le temps pour moi malgré ses entrainements d'une violence extrême en préparation de son prochain combat pour l'UFC.
Tout le long du repas il ne s'est préoccupé que de moi, alors qu'il venait d'apprendre une triste nouvelle, et il s'en voulait de me "gâcher la soirée".
Ce genre d'attitude, aussi noble, il n'y a rien que je trouve plus attirant chez un mec.
Je pouvais ressentir sa peine, et sa gêne de se montrer vulnérable face à moi, aussi tôt dans notre relation.
Ca ne m'a donné que plus envie de le prendre dans mes bras, de lui tendre la main à table pour qu'il puise dans ma force, et de tout faire pour le soutenir dans les moments à venir.
Que ce soit en soignant ses mains blessées, dont la peau tombait en lambeaux à force de cogner, ou en me relevant du lit avec lui au milieu de la nuit, parce qu'il ne trouvait pas le sommeil, pour l'écouter me parler de sa peine.
En dessinant mes lèvres au crayon attentivement, mon coeur passe le replay de ce que j'ai ressenti en cet instant.
Puis à ce que j'ai ressenti plus tard, quand la fatigue, les hormones et mes doutes m'ont envahie.
Cette peur fulgurante d'être négligée, oubliée, prise pour un accessoire.
Il m'a montré ses efforts, son engagement, sa bienveillance à mon égard, mais je n'ai pas su m'en contenter.
Trop peu de communications et une soirée à fleur de peau ont eu raison de nous embraser.
En appliquant mon rouge à lèvres, je me rappelle que tout arrive pour une raison, et que si lui a son combat à gagner sous peu, moi j'ai mon propre projet.
Ce fameux projet dont je parle à mes amis depuis des mois.
Mon site de retail skincare. Je sens que c'est enfin le moment de me mettre à bosser dessus, et j'ai besoin de soutien parce qu'il est tout ce que je représente, parce que je l'ai mûri dans ma tête, et que je ne veux pas faire d'erreurs.
Je veux enfin permettre aux Européens de comprendre comment fonctionne le skincare et leur donner toutes les clefs pour le réussir facilement sans avoir à se triturer le cerveau.
Un site ludique, qui réunisse les bons produits, au bon prix, et les conseils/explications de fonctionnement des protocoles.
Oui, c'est enfin le moment. Et je vais avoir besoin de toute mon énergie pour réussir.
Un peu de poudre matifiante sur mon nez et mes pommettes et je me rappelle que si lui n'a pas voulu de mon attention, mon projet lui en a besoin plus que jamais pour prendre vie.
Alors je choisis une jolie robe, je coiffe mes cheveux élégamment, puis pare ma tête d'un chapeau qui me donne une allure de Calamity Jane, un gros collier pour casser la simplicité de ma robe, des boucles d'oreilles fines pour finir d'agrémenter le tout, et je suis fin prête à sortir prendre ce train qui me conduira vers mon lieu de repos et de concentration.
Je me sens belle, à l'intérieur comme à l'extérieur, forte, sûre de moi, et j'aimerais pouvoir partager ce pouvoir avec tous ceux qui souhaitent prendre le chemin de cette thérapie du "self-care" mais qui se sentent perdus comme je l'étais.
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