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beautifulmiraclepizza-blog · 6 years ago

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Pourquoi IBM rachète Red Hat

Adresser enfin la transformation digitale des très grands comptes. Telle semble être la raison principale qui a poussé IBM, à la fin octobre, à annoncer le rachat de Red Hat pour 34 milliards de dollars, soit dix fois le chiffre d’affaires annuel de cet éditeur emblématique de l’open source. Ce rachat succède à un rapprochement déjà opéré en mai dernier lors de l’événement annuel Red Hat Summit, qui se tenait à San Francisco. À cette occasion, les deux fournisseurs amorçaient un programme commercial et technique commun pour que les millions d’applications que les grands comptes ont écrites durant des décennies avec des technologies IBM (Websphere, DB2, MQ…) puissent enfin migrer vers n’importe quel Cloud, grâce à la solution OpenShift de Red Hat. L’accompagnement des entreprises dans le Cloud est le métier principal de la branche IBM Technology Services & Cloud Platforms, laquelle représente environ 43 % des 79 milliards de dollars du chiffre d’affaires annuel d’IBM. Cette activité, outre l’offre d’hébergement IBM Cloud à proprement parler (anciennement SoftLayer, puis Bluemix), repose essentiellement sur des services de consulting, d’architecture et de maintenance. Selon Gartner, le marché global des services liés au Cloud, offres de Cloud comprises, devrait pour la première fois atteindre 1 000 milliards de dollars l’année prochaine, soit 4,7 % de mieux qu’en 2018. Cette dynamique est portée par le phénomène actuel de transformation digitale, qui consiste pour les entreprises à gagner en agilité dans leurs activités et à trouver de nouveaux relais de croissance en s’appuyant sur les toutes dernières technologies, principalement le Cloud. Consolider ses 7 à 8% du marché des services liés au Cloud L’enjeu pour IBM est de maintenir, si ce n’est améliorer, ses 7 à 8 % de part sur ce marché des services liés au Cloud. Selon un rapport trimestriel du Gartner paru avant l’annonce du rachat de Red Hat, ce n’est pas gagné : le CA de la branche Technology Services & Cloud Platforms, soit 8,29 Md$ au dernier trimestre, n’évolue plus depuis l’année dernière. L’offre IBM Cloud n’héberge quant à elle que 2,6 % de la charge applicative mondiale – c’est-à-dire le nombre d’applications comptées en instances virtuelles et non le nombre d’applications différentes –, contre 41,5 % pour AWS, 29,4 % pour Microsoft Azure et 3 % pour Google Engine ; le Cloud d’Alibaba n’est pas comptabilisé dans le document que nous avons consulté, mais les spécialistes se multiplient pour souligner sa montée en puissance. IBM DOIT PROUVER QU’IL PEUT FACILITER LA MIGRATION DES APPLICATIONS EN CLOUD, ALORS QUE SES PROPRES SOLUTIONS COMPLEXIFIENT PARTICULIÈREMENT CETTE TÂCHE. Abolir la dépendance technologique Pour les entreprises, l’enjeu est plutôt de se sortir des technologies propriétaires qui les empêchent de faire héberger leurs applications par qui bon leur semble. Avoir la liberté de déplacer rapidement leurs ressources IT entre des datacenters locaux ou des Clouds, qu’ils soient privés comme publics, leur offrirait l’avantage de mieux répondre à de nouvelles stratégies financières, de réagir au plus vite face à un événement économique, voire de profiter de la bande passante du cloud sur les nouvelles interfaces publiques tout en respectant les réglementations avec des données critiques cantonnées aux datacenter privés. Seulement voilà : passer d’un hébergeur à l’autre nécessite encore aujourd’hui des adaptations qui peuvent durer des mois, si ce n’est des années. Et l’essentiel des déploiements en Cloud est pour l’heure constitué de nouvelles applications spécifiquement conçues pour l’infrastructure de l’hébergeur cible. Il n’y a aucune agilité. Dans un tel contexte, OpenShift tombe à point nommé. Cette solution de Red Hat permet d’exécuter les applications depuis des containers, à savoir des ressources virtuelles dépourvues d’OS qui peuvent indifféremment fonctionner sur site, dans des serveurs propriétaires, ou en ligne, sur n’importe quel Cloud public ou privé. « Grâce aux containers, nous concrétisons le Cloud hybride pour les banques, pour les compagnies aériennes, pour le secteur public. Nous leur permettons de mixer leurs applications historiques avec les services dernier cri du Cloud, comme l’IoT ou le Machine Learning, sans les obliger à choisir entre rester dans leur datacenter et ou tout recommencer dans un Cloud public », avait ainsi déclaré Arvind Krishna, en charge du Cloud hybride chez IBM, lors du Red Hat Summit. « Cette hybridation entre tous les environnements est la clé pour que les entreprises réussissent leur transformation digitale », avait enchéri Paul Cornier, le patron des produits et des technologies chez Red Hat. Un simple partenariat n’était pas suffisant Seulement voilà. Le rapprochement technique et commercial autour d’OpenShift n’a manifestement pas suffit à IBM pour s’assurer la confiance de ses clients et certainement que ceux-ci attendaient du constructeur qu’il s’implique un peu plus pour les garder. Pour le comprendre, il faut savoir que, parmi les sociétés de services qui proposent aux entreprises de les accompagner dans le Cloud (Accentue, Atos…), IBM a une problématique supplémentaire à résoudre : les applications de ses plus gros clients ont le défaut d’avoir été conçues pour s’exécuter sur des infrastructures IBM encore plus difficiles à migrer que le reste : des mainframes, des serveurs Power, qui exécutent les environnements applicatifs d’IBM, WebSphere, DB2, MQ. Ces applications sont par ailleurs des outils métier sur lesquels reposent des activités critiques dans les banques, chez les assureurs, chez les compagnies de transport, dans les chaînes de distribution. Du fait de cette criticité, leur réécriture complète pour les adapter à tel ou tel Cloud est plus risquée, particulièrement coûteuse et crispe les entreprises. Cependant, les clients d’IBM ont le même enjeu de transformation digitale que les autres. Gartner en donne le rythme : à la fin 2016, 60,9 % des applications s’exécutaient encore depuis un datacenter. Un an plus tard, ce taux était tombé à 46,2 %. À l’heure où nous écrivons ces lignes, nous n’avons pas encore les chiffres de 2018, mais le Gartner estime que les entreprises espèrent en moyenne pouvoir migrer 20 % de leurs applications existantes en Cloud pour réussir leur transformation. Jusqu’ici, la seule solution proposée par IBM était de migrer les applications issues de ses technologies dans son propre Cloud, SoftLayer. Cette absence de choix pose un problème économique tel que les entreprises pourraient prendre le risque de réécrire leurs applications en les débarrassant des technologies IBM, afin d’avoir la liberté de les placer sur le Cloud le moins cher. En somme, il suffirait que les clients d’IBM abandonnent ses solutions pour que tout le château de cartes s’écroule. À moins que le fournisseur puisse les garder en leur simplifiant enfin la migration vers n’importe quel Cloud. Mais compter sur un Red Hat indépendant pour l’épauler dans cette tâche était sans doute courir un trop grand risque, d’autant que celui-ci est susceptible de travailler aussi avec d’autres acteurs du service. À la place, racheter l’éditeur au chapeau rouge pour 34 milliards de dollars ne revient finalement qu’à investir moins que ce que rapporteraient les 8 % de part d’IBM sur un marché annuel à 1 000 Md$. VIRGINIA ROMETTY, CEO D’IBM, PROMET QUE L’HÉRITAGE ET LA NEUTRALITÉ DE RED HAT SERONT MAINTENUS. À VOIR… Des applications monolithiques dans des containers De son côté, Red Hat n’est pas seulement le deuxième plus gros contributeur de code Linux au monde après Intel. L’éditeur a su habilement jouer les seconds couteaux dans plusieurs domaines stratégiques : citons le développement d’applications métier avec JBoss, qui revient moins cher aux e-commerçants de taille moyenne que les environnements Java des poids lourds Oracle et IBM, ainsi que la virtualisation, où son offre basée sur des technologies open source (KVM, OpenStack, Kubernetes…) s’attire les faveurs des entreprises technologiques (des opérateurs comme Orange, des industriels comme Airbus, des éditeurs de logiciels comme Amadeus…) alors que VMware s’accapare le gros du marché. Mais c’est surtout avec OpenShift que Red Hat marque les esprits. Ce logiciel, destiné à industrialiser la mise en production des applications (provision de ressources virtuelles, installation des OS et des bibliothèques fonctionnelles, configuration des liens réseaux, lancement de l’applicatif, tests, etc.) n’a initialement que la vocation d’éviter les erreurs humaines et de raccourcir les délais. Il apporte cependant une exclusivité technologique dès mai 2017 lorsqu’il s’étend aux containers : il est le premier à donner aux logiciels métier historiques, écrits traditionnellement de manière monolithique avec des couches Java et une base SQL, la capacité de s’exécuter tels quels par-dessus n’importe quelle infrastructure, alors que cela ne fonctionnait jusqu’à présent qu’avec les microservices. Jusque-là en effet, les containers ne contenaient des codes fonctionnels autonomes – des microservices – et c’est leur assemblage qui faisait l’application. L’idée sous-jacente des containers est de permettre aux développeurs de ne dé-commissioner et redéployer que les ressources virtuelles concernées par des mises à jour, ce qui simplifie la tâche, accélère la mise en production et fait de ces développeurs les opérateurs-mêmes de l’infrastructure – des DevOps. Problème, il restait à découper les applications en microservices, ce qui suppose un effort d’ingénierie difficile à surmonter pour nombre d’entreprises. Grâce à OpenShift, toute la pile applicative peut se trouver dans un seul container, quitte à ce que les informaticiens restent en poste pour se charger des déploiements. « Beaucoup de nos clients n’étaient pas prêts pour ré-architecturer leurs applications sous la forme de microservices. Cela dépasse la question technique, il faut aussi travailler sur la réorganisation des équipes, ce qui n’est pas simple », nous avait alors expliqué Hervé Lemaître, le CTO français de Red Hat. « Avec OCP 3.5, qui exécute les applications traditionnelles en containers comme si elles tournaient en machines virtuelles, nous faisons sauter cette barrière et donnons ainsi aux entreprises une solution plus légère et plus moderne que la pile de virtualisation classique pour produire des applications qui s’exécutent dans le Cloud. » JIM WHITEHURST, ACTUEL CEO DE RED HAT. L'intérêt d’OpenShift : éliminer la complexité et les risques En pratique, OpenShift – en version Container Platform – construit de manière automatique les clusters de containers, chacun n’ayant qu’une copie de l’application, par-dessus sa propre pile système – composée du Linux Red Hat RHEL, du moteur Docker, de l’orchestrateur Kubernetes, du serveur applicatif Red Hat Jboss… –, puis adapte à la volée cette pile à l’infrastructure sous-jacente. Les entreprises n’ont dès lors plus qu’à provisionner des VM OpenShift, là sur un datacenter VMware, là sur AWS, ou là sur Azure, pour multiplier rapidement et facilement les instances de leurs applications selon leurs pics d’activité, leurs besoins géographiques ou leurs contraintes réglementaires. Sans cette solution, il n’est ni facile, ni rapide de déployer sur une autre infrastructure une application conçue pour un serveur physique ou virtuel. Cela demande de réinstaller entièrement l’application et sa couche système dans une nouvelle VM, puis de tester à chaque fois ses performances et sa compatibilité. Ces manipulations prennent du temps et présentent le risque d’introduire des erreurs. OpenShift Container Platform a connu une nouvelle évolution cette année avec l’intégration des technologies de CoreOS, racheté en janvier dernier. Elle adresse nombre de risques que les entreprises doivent habituellement résoudre lorsqu’elles migrent en Cloud. On y trouve notamment la couche Automated Operations (alias Tectonic) pour mettre à jour automatiquement les OS qui exécutent des containers sur chaque nœud d’un cluster, ainsi que Quay, un registe qui catalogue les containers, sait se dupliquer automatiquement sur toutes les copies du cluster situées dans d’autres Cloud, dispose d’un scanner de logiciels malveillants et intègre même un système de sauvegarde temporel qui permet de revenir à un état précédent des containers. La somme de toutes ces fonctions dans OpenShift est une panacée pour un acteur comme IBM qui souhaite vendre du service autour de la migration des applications monolitiques en Cloud. D’autant plus lorsque Red Hat annonce à la mi-2018 avoir validé que cette migration était faisable depuis les applications écrites et exploitées sur les technologies de ce même IBM. Quelles conséquences pour Red Hat ? Ce rachat va permettre à certains produits de Red Hat d’être enfin vendus par les commerciaux d’IBM qui ont leurs entrées aux comités exécutifs des plus grands groupes. Ce qui résout la problématique soulevée jusqu’ici par de nombreux spécialistes qui estimaient que Red Hat, seul, aurait beaucoup de mal à franchir le plafond de verre de sa clientèle très technologique. Romain Danielou, en charge des ventes et des alliances stratégiques au niveau monde chez Devoteam, nous confiait ainsi en mai dernier que « L’achat d’OpenShift se justifie à partir du moment où une entreprise a au moins 300 VM. La clientèle visée est donc celle des très grands comptes, où les technologies sont achetées par les directions générales pour servir une stratégie produits. Red Hat a donc l’enjeu de communiquer sur les bénéfices métier et non plus sur son excellence technique. » Mais pour le reste ? Selon Virginia Rometty, la PDG d’IBM, l’héritage et la neutralité de Red Hat seront maintenus en matière d’open source. Récemment interviewé par Techtarget, l’analyste d’IDC Al Gillen prédit néanmoins des coupes franches dans les équipes qui feront doublon après la fusion. Du côté d’IBM, Cloud Foundry, un produit concurrent d’OpenShift et dans lequel le fournisseur avait investi des ressources humaines il y a quelques années, devrait logiquement disparaître du catalogue. Du côté de Red Hat, la question reste posée pour les activités liées au Java : non seulement le serveur applicatif JBoss de Red Hat entre en concurrence frontale avec WebSphere d’IBM, mais les deux acteurs se retrouvent également avec deux équipes jusqu’ici concurrentes dans la mise au point du Java EE auprès du consortium JCP. ❍

Yves Pellemans's insight:

Red Hat détient OpenShift, la clé qui doit permettre à IBM de maintenir, voire dépasser ses 8 % de part sur un marché du service cloud qui représentera en 2019 « mille milliards de dollars ».

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opportunites-digitales · 7 years ago

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Guide d’achat pour bien choisir son hébergeur Cloud

L'hébergement en nuage est la grande tendance du moment en matière d'espace d'hébergement Web. Cette catégorie d'hébergement existe depuis un certain temps, mais a récemment commencé à gagner du terrain, même parmi les petites entreprises. L'hébergement en nuage - qui répartit votre site sur plusieurs serveurs - est le plus unique de tous les types d'hébergement, car il vous permet de faire beaucoup de choses que vous ne pourriez pas faire avec les options d'hébergement standard partagé, serveur privé virtuel (VPS), dédié ou WordPress.

Définition de l'hébergement Cloud

L'hébergement traditionnel voit votre site Web tirer parti de la puissance du processeur, de la RAM, du stockage et des transferts de données d'un serveur particulier. Par exemple, l'hébergement Web partagé a vos ressources de partage de site Web avec d'autres sites qui sont également hébergés exclusivement sur un serveur. Il en résulte de nombreuses limitations gênantes en termes de puissance et l'incapacité à gérer les pics de trafic. Pour un meilleur service, vous pouvez payer pour un serveur privé virtuel, ou même un serveur dédié de puissance variable. Dans tous ces cas, vous comptez essentiellement sur un seul serveur, et c'est tout. L'hébergement en nuage, cependant, donne un coup de pied que le modèle d'hébergement de serveur unique à la bordure du trottoir d'une manière merveilleuse. Avec l'hébergement en nuage, votre site Web tire ses ressources de plusieurs serveurs. L'utilisation de serveurs multiples par l'hébergement en nuage lui confère certains avantages par rapport à l'hébergement traditionnel. Par exemple, si votre site Web connaît un pic de trafic soudain, il peut tirer des ressources d'un autre serveur pour éviter que les pages ne se chargent lentement ou, pire, que le site ne s'effondre. De plus, l'hébergement en nuage rend incroyablement simple la mise à l'échelle des ressources, selon les besoins. Notez qu'il existe différents types d'hébergement en nuage. Les hébergeurs Web traditionnels, tels que DreamHost et HostGator, offrent des forfaits d'hébergement en nuage dont le prix est similaire à celui de leurs autres forfaits d'hébergement Web (généralement dans la gamme Shared ou VPS). Ces solutions d'hébergement en nuage conviviales pour les petites entreprises sont ce sur quoi nous nous concentrons principalement dans ce tour d'horizon. Au niveau de l'entreprise, l'hébergement en nuage sous forme d'infrastructure en tant que service, comme Amazon Web Services, Microsoft Azure et Rackspace sont également disponibles. Bien qu'il s'agisse techniquement de services d'hébergement en nuage, ce n'est pas ce qui est mis en évidence ici. Pour en savoir plus sur ce type d'hébergement en nuage expansif (et potentiellement plus coûteux !), veuillez consulter notre article sur les meilleures solutions d'infrastructure en tant que service.

Caractéristiques de l'hébergement Cloud

Le tableau ci-dessus se concentre sur les hébergeurs qui se vantent d'avoir les meilleurs plans d'hébergement en nuage de tous les services que nous avons examinés. Notez que nous sommes toujours en train d'examiner les offres d'hébergement en nuage car il s'agit d'une nouvelle catégorie - nous allons certainement tester plus de services dans les mois à venir. Néanmoins, avec les évaluations que nous avons faites jusqu'à présent et de nombreuses recherches, nous avons découvert ce que vous devriez rechercher dans un service d'hébergement en nuage. De nombreux hébergeurs de cloud offrent des transferts de données mensuels illimités. D'autres facteurs peuvent donc vous aider à choisir le service qui convient le mieux à votre entreprise. Cela dit, si vous êtes intéressé par quelque chose d'"illimité", peu importe s'il s'agit de données ou de stockage, assurez-vous de lire les petits caractères pour vous assurer qu'il n'y a pas de surprises. En d'autres termes, assurez-vous que votre définition de illimité correspond à la définition du service d'hébergement. Ils peuvent être deux choses très différentes. En parlant de stockage, nous avons découvert que les hébergeurs de cloud offrent généralement des disques durs ou des disques durs à l'état solide dont la taille varie entre 100 Go et 200 Go. Cela dit, vous découvrirez à l'occasion un hébergeur qui se vante d'un stockage illimité. (Encore une fois, les mises en garde habituelles s'appliquent à tout ce qui est "illimité".) Les disques à semi-conducteurs sont généralement plus rapides que leurs homologues sur disque dur, mais sont généralement plus petits en termes de capacité de stockage. Si vous êtes à la recherche de volume, un disque dur traditionnel est la voie à suivre. Lorsqu'il s'agit de systèmes d'exploitation de serveurs, Linux est généralement l'option par défaut. Néanmoins, certains services offrent aussi l'hébergement Windows. Si vous avez des applications spécifiques côté serveur qui nécessitent Windows, comme SQL Server ou une application personnalisée écrite en.NET, vous devez vous assurer que votre hébergeur web a un hébergement Windows. Vous voudrez également un hébergeur Web avec un service à la clientèle réactif 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Les forums, les bases de connaissances et les tutoriels sont des outils utiles, mais il n'y a rien de mieux que d'avoir un autre être humain sur le klaxon (ou du moins dans un chat web) lorsque des problèmes surviennent. La sécurité est également de la plus haute importance. Si votre objectif est de vendre des produits ou des services, vous devez regarder dans Secure Socket Layer (SSL) et Transport Layer Security (TLS). Ces technologies cryptent les données qui voyagent entre l'ordinateur d'un client et les serveurs de votre entreprise pour protéger l'information des personnes mal intentionnées.

Les différents types d'hébergement Cloud

Tout comme les services d'hébergement web peuvent être décomposés en options partagées, vps et dédiées, le Cloud est divisé en public et privé. Ici, nous parlerons aussi de ce qu'on appelle l'hébergement hybride et de la façon dont l'hébergement en nuage s'intègre avec son acolyte communément confus, l'hébergement VPS.

��Cloud privé / Cloud public

La principale différence entre le secteur public et le secteur privé du cloud est que le matériel, le stockage et le réseau sont tous attribués à un seul locataire - un seul client ou une seule entreprise. En revanche, un environnement multi-locataires, ou le cloud public, signifie que vous pouvez acheter une "tranche" d'un environnement de cloud computing et partager de l'espace avec d'autres clients. La plate-forme Google Cloud, Amazon EC2 et Rackspace sont tous des exemples de nuages publics - et les avantages comprennent la tarification au fur et à mesure, la mise en place et la gestion de vos propres serveurs, et aucun contrat. Les nuages privés, d'autre part, offrent les avantages de la conformité PCI/HIPAA, de la sécurité de haut niveau et de la personnalisation du matériel. Vous pouvez également créer des déploiements hybrides via le cloud privé, ce qui n'est pas possible dans le cloud public.

Cloud hybride

En termes simples, l'hébergement hybride utilise un mélange d'environnements d'hébergement public et privé - c'est-à-dire idéal pour ceux qui veulent exploiter la sécurité du cloud privé tout en capitalisant sur les avantages économiques des ressources du cloud public. Pour en savoir plus à ce sujet, consultez notre guide de démarrage de l'hébergement hybride.

Cloud VPS

Enfin, l'hébergement d'un serveur privé virtuel (VPS) par rapport à l'hébergement d'une machine virtuelle (cloud) - connaissez la différence. Alors qu'un VPS est un serveur physique qui a été partitionné en plusieurs tranches matérielles agissant chacune en tant qu'environnement serveur indépendant, un serveur cloud s'exécute sur un réseau de machines connectées. Un VPS est toujours sujet à des pannes matérielles, alors qu'un serveur web en nuage ne fera que transférer des données vers une autre machine sans que le propriétaire ne subisse de temps d'arrêt ou de perte de données. Pour faire simple : un VPS peut être hébergé dans le Cloud, ce qui en fait un VPS en nuage, mais tous les serveurs en nuage ne sont pas des VPS. Pour voir les meilleurs plans d'hébergement VPS, y compris de nombreuses options de cloud, consultez nos revues VPS.

Que devriez-vous rechercher dans une plate-forme Cloud?

Les meilleurs fournisseurs d'hébergement cloud vont vous aider à capitaliser sur tous les avantages de l'hébergement cloud - provisionnement instantané, ressources évolutives, à la demande et options matérielles flexibles - pour un coût raisonnable. Certaines des principales caractéristiques que nous recherchons pour déterminer les meilleurs services d'hébergement pour les clients du Cloud Computing :

Provisionnement/déploiement instantané

Une quantité importante de RAM

Contrôle facile avec cPanel, accès root et connexions SSH.

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Des boosters de performance comme la vitesse SSD

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Options d'hébergement Cloud géré

Lorsqu'il s'agit du premier support client, de l'augmentation de la vitesse des SSD et des serveurs gérés, InMotion est particulièrement efficace pour tout ce qui précède.

Quel est le prix moyen d'un serveur Cloud ?

Vous pouvez payer de 10 à plus de 50 euros par mois sur le serveur d'un hébergeur de bonne réputation.

Serveurs Cloud bon marché

Avec des hébergeurs comme InMotion ou Bluehost, vous bénéficiez d'un provisionnement et d'un déploiement immédiats de ressources cloud super évolutives, d'une puissance de traitement et d'une assistance d'experts de pointe dans le prix approximatif de 10 euros par mois. C'est aussi bon marché (et aussi hautement valorisé) que l'hébergement en nuage bon marché, les gens. Vous en avez pour votre argent.

Serveurs Cloud gratuits

Oui, l'hébergement en nuage gratuit est une chose, mais il se présente le plus souvent sous la forme d'un essai gratuit. Vous devez vous inscrire avec une carte de crédit, vous aurez un avant-goût des ressources géniales pendant environ 60 jours, puis vous devrez payer pour tout ce que vous utiliserez par la suite.

from opportunites-digitales.com https://www.opportunites-digitales.com/choisir-hebergeur-cloud/

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jdchasta-blog · 8 years ago

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En’jo s’appuie sur Microsoft Azure Suite pour accélérer son développement

En’jo, start-up incubée par Majikan bénéficiant du soutien de NovaVeolia, choisit Microsoft Azure pour l’hébergement de sa plateforme technologique. La société souhaite ainsi optimiser son service de dépannage à domicile en urgence.

Ce service « on demand » disponible via une application mobile ou un site web permet aux particuliers, où qu’ils soient, de faire appel, en toute confiance, à un service de dépannage à des tarifs garantis. La start-up met à la disposition des utilisateurs un réseau de professionnels capables d’intervenir en cas de panne dans les domaines du chauffage, de la plomberie, de la serrurerie et de l’électricité. Pour proposer une offre complète et personnalisée, En’jo a développé une application à l’interface intuitive, intégrant la géolocalisation de ses dépanneurs, créant ainsi de nouvelles habitudes en matière de dépannage.

Taïsei Miura, CEO d’En’jo explique : « Afin d’offrir une qualité de service irréprochable à tous égards, nous avons naturellement fait le choix de la plateforme Azure. Elle assure une évolutivité, une sécurisation des données et une interopérabilité optimale. Au regard de l’importance et la nécessité du traitement des données, ce partenariat nous permet de garantir le respect de nos engagements au quotidien : proposer à nos clients un dépannage au plus vite et le plus simplement possible, de façon fiable et sécurisée.

En’jo a en effet fait le choix de Microsoft Azure Suite et de ses modules Virtual Machine ScaleSet, SQL Databases et Service Bus, ainsi que PowerBI pour l’analyse intelligente de l’activité afin de garantir la robustesse et augmenter la disponibilité et la réactivité de ses infrastructures.

Cette plateforme d’hébergement propose une puissance adaptée en fonction de la demande, par l’ajout ou la suppression automatique de serveurs en temps réel, tout en optimisant le coût de l’exploitation ; elle offre aussi une suite de services associés innovants, disponibles en mode SAAS (gestion des notifications, bases de données), reconnus pour leur performance et leur fiabilité.

« Nous sommes fiers d’accompagner aujourd’hui En’jo dans le développement de son offre. Grâce à notre solution Microsoft Azure Suite, En’jo bénéficie de la flexibilité du Cloud utile pour développer un service toujours plus personnalisé pour ses clients. Microsoft Azure Suite intègre par ailleurs des modules d’intelligence artificielle grâce auxquels En’jo pourra inventer les services de dépannage de demain » conclut Thomas Kerjean, Directeur de la division Cloud de Microsoft France

Pour plus d’informations sur En’jo : www.en-jo.fr

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En’jo s’appuie sur Microsoft Azure Suite pour accélérer son développement was originally published on JDCHASTA SAS

#accelerer #appuie #azure #developpement #microsoft #suite

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montrealjobsx · 5 years ago

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Développeur .Net

Adecco Technologie est présentement à la recherche d'un développeur .NET Back-End avec une bonne expérience des technologies Cloud et Web Services pour combler un poste permanent près du Parc Jarry, à Montréal.

Responsabilités du développeur .NET Back-end :

Le développeur C# .Net participera à la conception, au développement, aux tests et à l'opération d'une plateforme SaaS hébergée sur le Cloud « Microsoft Azure ». Cette nouvelle plateforme intègre l'engin de personnalisation de produits photo déjà utilisé par plusieurs des plus grands détaillants et imprimeurs internationaux.

Les défis technologiques sont grands et le potentiel d'apprentissage immense. Une expérience en développement d'API REST sur le Cloud est un fort atout. Évoluant dans un cadre de développement Agile, l'entreprise utilise la méthode Scrum et a intégré au fil du temps plusieurs bonnes pratiques, tel le TDD, ainsi que des outils à jour comme GIT, un serveur d'intégration continue et plus encore. Elle est en constante recherche d'amélioration et d'innovation.

Expériences requises pour le poste de développeur .NET Back-end :

Baccalauréat en Génie Informatique, Génie Logiciel, Informatique ou expérience équivalente

Avoir déjà travaillé en mode Agile / Scrum (ex. Pair Programming) (Atout)

Avoir travaillé sur un système multi-tenant (Aout)

Avoir travaillé dans un environnement multi-serveurs (Atout)

Avoir travaillé dans un environnement avec déploiement continu (Atout)

Connaissances requises pour le poste de Développeur .NET Back-end :

Très bonne connaissance du C# -

Très bonne compréhension des Services Web HTTP (REST/JSON)

Test unitaires et automatisés, principes de mocking

Avoir déjà travaillé en TDD (Atout)

Avoir déjà travaillé en BDD (ex. avec Specflow/Cucumber) (Atout)

Bonnes pratiques de développement (Git, Intégration continue, Conception d'API)

Systèmes de messageries (RabbitMQ, MSMQ ou ActiveMQ) (Aout)

Base de données SQL avec ORM (e.g. NHibernate) (Atout)

Bases en technologies web '' front-end '' (JavaScript/HTML/CSS/ASP.NET MVC) (Atout)

Vous reconnaissez-vous dans cette description ? Postulez dès maintenant sur ce poste permanent de Développeur .Net situé à Montréal en cliquant sur le bouton «Postuler» à droite de la page. *Seuls les candidats retenus seront contactés

from RSSMix.com Mix ID 8136582 https://ift.tt/3kSmqS7 via RSSMix.com Mix ID 8136582> Développeur .Net

#Développeur .Net

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montrealjobsx · 5 years ago

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Administrateur Linux

Adecco Technologie est présentement à la recherche d'un Administrateur Linux/Devops dans le cadre d'un poste permanent à temps plein.

Nous sommes à la recherche d'un individu débrouillard, fonceur, soucieux de la sécurité, qui aime travailler en équipe, et qui possède d’excellentes compétences en communication et relations interpersonnelles.

Responsabilités de l'Administrateur Linux/Devops :

Assurer le fonctionnement quotidien des systèmes et environnements (SaaS, DR, Backups, Dev, QA, etc.).

Installer et maintenir des serveurs physiques/virtuels et des logiciels connexes.

Préparer, exécuter et maintenir des plans de sécurité, incluant la surveillance, la détection de violations/intrusions, les réponses/réactions aux incidents, les évaluations de vulnérabilités et essais d'intrusion, etc.

Résoudre tous les incidents et tâches en fournissant une assistance sur les outils et applications utilisés par nos partenaires internes, ainsi que le dépannage en cas d'urgence.

Travailler en étroite collaboration avec les équipes de développeurs et testeurs pour évaluer leurs besoins et s'assurer que la plate-forme est conçue dans un souci d'opérabilité et de facilité d'utilisation.

Développer et mettre en place l'outillage nécessaire au fonctionnement des systèmes.

Surveiller les événements du système afin de garantir la santé, la disponibilité maximale de celui-ci et la qualité du service en effectuant des correctifs sur le système et les applications et en maintenant les systèmes d'exploitation et les logiciels à jour.

Maintenir et faire évoluer notre stratégie de sauvegarde et plan de reprise.

Identifier de manière proactive les occasions d'amélioration de nos processus et faire des suggestions constructives pour le changement.

Participer aux discussions sur la conception, l’architecture et l’ingénierie du système.

Tenir à jour la documentation concernant l'installation, la configuration, le fonctionnement et les procédures de dépannage des systèmes.

Compétences et exigences :

? Avoir au moins 5 ans d'expérience à administrer des serveurs Linux. ? Posséder une connaissance approfondie de Linux. ? Posséder une connaissance approfondie de VMWare ESXi et vSphere. ? Posséder une connaissance approfondie de l'installation et configuration de serveurs physiques et virtuels, y compris l'installation et l'entretien d'environnements LAMP. ? Bonne connaissance des serveurs Windows. ? Expert en écriture de scripts côté serveur. ? Expérience avec la technologie des conteneurs, telle que Docker et Kubernetes. ? Expérience avec l’équilibrage de charge (HAproxy) et serveurs en grappe haute disponibilité (HA server clusters). ? Expérience avec la sécurité réseau au niveau système/entreprise, tel que pfSense. ? Expérience avec les systèmes de surveillance. ? Expérience avec l'hébergement en nuage public et privé. ? Expérience avec les plans de reprise sur multiples sites. ? Expérience avec la sauvegarde et la synchronisation de gros volumes de données entre les serveurs. ? Expérience avec Jenkins et autres outils d’automatisation. ? Expérience avec GitHub. ? Avoir un souci du détail et du travail bien fait. ? Posséder une bonne capacité de résolution de problèmes. ? Capable de gérer ses priorités. ? Préférence accordée aux candidats bilingues (anglais et français, parlé et écrit). ? Bon à avoir: ? Capacité de lire et de comprendre le code PHP et les requêtes SQL. ? Expérience avec les solutions PaaS, telles qu'AWS, Azure, Google Cloud, etc. ? Expérience avec les serveurs de base de données en grappe, telles que Galera, Percona XtraDB, etc. ? Expérience avec Ansible, Tomato, ou autres outils d’automatisation. ? Expérience avec ElasticSearch.

*Seuls les candidats retenus seront contactés.

from RSSMix.com Mix ID 8136582 https://ift.tt/37fPlK6 via RSSMix.com Mix ID 8136582> Administrateur Linux

#Administrateur Linux

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montrealjobsx · 5 years ago

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Technicien informatique Niveau 2

Adecco Technologie est présentement à la recherche d'un Technicien Informatique niveau 2. Il s'agît d'un poste permanent à temps-plein situé à la Ville de Québec.

Notre client œuvre dans le développement d'ERP pour les entreprises manufacturières.

Le technicien informatique niveau 2 aura comme principale tâche d’assurer le bon fonctionnement des postes de travail, des logiciels et périphériques des utilisateurs. Il est également responsable d’assurer les analyses de premier niveau sur les billets TI en provenance du centre de soutien technique. Il est également responsable d’assister l’administrateur réseau dans l’accomplissement de ses tâches de gestions de serveurs. Effectuer les tâches de configuration d’ordinateur et cellulaires pour les employés. Le Technicien Informatique aura comme responsabilité d’assister dans l’installation du ERP chez les clients. Le Technicien Informatique doit également offrir de l’assistance TI à nos clients pour leurs besoins de serveurs et de performances.

Compétences du Technicien Informatique niveau 2 :

DEC/AEC ou baccalauréat en informatique ou toute expérience pertinente sera considéré. Une formation en système d’exploitation, serveurs est importante.

Minimum, de deux ans (2) d’expérience lié avec la gestion de différentes plateformes informatiques. Une base en programmation sera considérée.

Bilinguisme (anglais et français avancé) parlé & écrit important

Entregent, empathie et esprit analytique

Bonne connaissance de Zendesk

Solution de sauvegarde (important)

Solution Sharepoint (important)

Connaissance en virtualisation (un atout)

Connaissance de l’Hyper convergence

Plateforme téléphonique Jive

Fortes connaissances des différentes plateformes Windows

Connaissance SQL serveur

Linux Serveur (un atout)

DNS/DHCP/Active Directory

Azure (un atout)

O365

Excellentes aptitudes en organisation du travail

Débrouillardise et autonomie

La connaissance du fonctionnement d’un logiciel de gestion manufacturière serait un atout.

*Seul les candidats retenus seront contactés.

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#Technicien informatique Niveau 2

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marocannoncedemploi · 6 years ago

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DÉVELOPPEUR SENIOR C#/.NET BACK-END (H/F)

Nombre de postes : 1 Société Le groupe Outsourcia est un opérateur spécialisé dans les métiers de l?outsourcing : gestion de la relation client, prestations digitales (développement web et community management), externalisation de métiers de back office et études, faisant parti du top 20 des outsourceurs français. Présent en France, au Maroc, au Niger et à Madagascar, le groupe emploie plus de 1500 collaborateurs au service de clients de renom tels que : CDiscount, Coyote, Fnac, Ipsos, Histoire d’Or, M6 Web, Marionnaud, Mister Auto, Orange, PriceMinister, Renault, Rue du Commerce, Showroomprivé, The Kooples, Thomson, Vente Privée, etc.Le groupe Outsourcia accompagne au quotidien ses collaborateurs en se basant sur des valeurs motrices telles que la solidarité, l?engagement et l?intégrité?Si vous aussi, vous partagez ces valeurs, n?attendez-plus et venez relever de nouveaux défis avec Outsourcia ! Poste Pour accompagner la montée en puissance d’un de ses clients français, Alias Community, filiale du groupe Outsourcia, renforce l’équipe et recrute un développeur confirmé en C#/.Net Back-end avec une expérience minimum de 3 ans dans un poste similaire.Au sein de l’équipe R & D, vous êtes en charge du développement et de la mise de l’ensemble de services et api. Avec l’ensemble de l’équipe et en particulier l’équipe front-end, vous définissez l’architecture logiciel et les structures de données nécessaires à un fonctionnement optimal. Fort de votre expérience, vous êtes leader et autonome dans votre quotidien et vos innovations.OBJECTIFS- Création et maintenance des API Back-End- Création et maintenance des bases de données- Développement des protocoles d’échanges avec nos clients- Test / QA- Optimisation

Profil 3 ans d’expérience minimum dans le développement C# / MVCDiplômé(e) au minimum d’un baccalauréat en informatique, vous avez une spécialisation en développement C# et grande expérience réussie dans ce domaine. Outre vos compétences et votre appétence pour des sujets techniques innovants, vous êtes curieux et avez le goût du challenge. Votre relationnel, votre esprit d’équipe et votre autonomie sont des atouts essentiels qui vous permettront de rejoindre et d’évoluer au sein d’une équipe dynamique.- Microsoft C#o MVC / WebAPIo WinForm / WPFo WebServiceo XML / Json- SQL Serveur 2000 ? 2017- VSTO – Git – SVN- Méthodologie AGILE ? SCRM- Expérience Azure- Orienté solution- Focus utilisateur- FR / EN Rémuneration

A négocier

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#Emplois – Maroc Emploi #maroc emploi #jobs

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montrealjobsx · 5 years ago

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Développeur .Net

Responsabilités du développeur .NET Back-end :

Expériences requises pour le poste de développeur .NET Back-end :

Baccalauréat en Génie Informatique, Génie Logiciel, Informatique ou expérience équivalente

Avoir déjà travaillé en mode Agile / Scrum (ex. Pair Programming) (Atout)

Avoir travaillé sur un système multi-tenant (Aout)

Avoir travaillé dans un environnement multi-serveurs (Atout)

Avoir travaillé dans un environnement avec déploiement continu (Atout)

Connaissances requises pour le poste de Développeur .NET Back-end :

Très bonne connaissance du C# -

Très bonne compréhension des Services Web HTTP (REST/JSON)

Test unitaires et automatisés, principes de mocking

Avoir déjà travaillé en TDD (Atout)

Avoir déjà travaillé en BDD (ex. avec Specflow/Cucumber) (Atout)

Bonnes pratiques de développement (Git, Intégration continue, Conception d'API)

Systèmes de messageries (RabbitMQ, MSMQ ou ActiveMQ) (Aout)

Base de données SQL avec ORM (e.g. NHibernate) (Atout)

Bases en technologies web '' front-end '' (JavaScript/HTML/CSS/ASP.NET MVC) (Atout)

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#Développeur .Net

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montrealjobsx · 5 years ago

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Développeur .Net

Responsabilités du développeur .NET Back-end :

Expériences requises pour le poste de développeur .NET Back-end :

Baccalauréat en Génie Informatique, Génie Logiciel, Informatique ou expérience équivalente

Avoir déjà travaillé en mode Agile / Scrum (ex. Pair Programming) (Atout)

Avoir travaillé sur un système multi-tenant (Aout)

Avoir travaillé dans un environnement multi-serveurs (Atout)

Avoir travaillé dans un environnement avec déploiement continu (Atout)

Connaissances requises pour le poste de Développeur .NET Back-end :

Très bonne connaissance du C# -

Très bonne compréhension des Services Web HTTP (REST/JSON)

Test unitaires et automatisés, principes de mocking

Avoir déjà travaillé en TDD (Atout)

Avoir déjà travaillé en BDD (ex. avec Specflow/Cucumber) (Atout)

Bonnes pratiques de développement (Git, Intégration continue, Conception d'API)

Systèmes de messageries (RabbitMQ, MSMQ ou ActiveMQ) (Aout)

Base de données SQL avec ORM (e.g. NHibernate) (Atout)

Bases en technologies web '' front-end '' (JavaScript/HTML/CSS/ASP.NET MVC) (Atout)

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#Développeur .Net

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montrealjobsx · 5 years ago

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Architecte de solutions

Adecco technologie est actuellement à la recherche d'un Architecte de solutions pour un poste temporaire renouvelable (6 mois) et temps plein situé à Laval, soit à 10 minutes de bus du métro Montmorency.

Responsabilités de l'Architecte de solutions :

Assurer la prise en charge et le leadership technique de divers projets TI; de la prise des besoins à la réalisation du projet

En collaboration avec les analystes d’affaire, déterminer et comprendre les besoins d’affaires dans le but de recommander des solutions et concevoir des architectures répondant aux besoins et objectifs

Supporter les gestionnaires de projet dans l’élaboration des mandats et de la planification des projets

Fournir une expertise afin que la direction TI puisse être en mesure de prendre des décisions éclairées en matière technologique

Créer divers documents et livrables d’architecture de solutions à valeur ajoutée

Collaborer et superviser le travail effectué par divers fournisseurs

Participer activement à l’élaboration et la mise en œuvre de la gouvernance et des pratiques d’architecture

Participer à maintenir à jour la cartographie applicative de l’entreprise

Assure une vigie des meilleures pratiques, des nouvelles technologies et des pratiques d’architecture applicative.

Compétences recherchées auprès de l'Architecte de solutions :

Baccalauréat en informatique, ou toutes autres expériences jugées équivalentes

Minimum de 5 années d’expérience en tant qu’architecte de solutions

Avoir élaboré avec succès des architectures technologiques complètes;

Connaissances techniques (Python, MySQL Angular, Plateforme Azure Cloud, Linux, SQL Server 2016+, Serveur Windows 2016, Windows 10, API, Power BI, Office 365, Stockage, Egnyte un atout)

Grande capacité d’adaptation et capacité à gérer des changements fréquents de priorités

Posséder une capacité de concilier des intérêts divergents

Bilingue écrit et parlé: français et anglais

Expérience en tant qu’architecte d’entreprise (un atout)

Vous reconnaissez-vous dans cette description ? Postulez dès maintenant sur ce poste temporaire d'Architecte de solutions situé à Laval en cliquant sur le bouton ''Postuler '' à droite de la page.

*Seuls les candidats retenus seront contactés.

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#Architecte de solutions