Tumgik
#taillis
francoisgoize · 1 year
Text
Tumblr media
2023 - Whitney Peak & Jenke Ahmed Tailly - Opéra Gala ©François Goizé
7 notes · View notes
revuetraversees · 9 months
Text
Pascale Auraix-Jonchière, La plume du peintre. Tombeau, Le Taillis Pré, Châtelineau, 2023
Une chronique de Catherine TAUVERON Pascale Auraix-Jonchière, La plume du peintre. Tombeau, Le Taillis Pré, Châtelineau, 2023 En fine connaisseuse de la poésie du XIXème siècle, Pascale Auraix-Jonchière reprend la tradition du Tombeau, en hommage à son père mort. Bouleversant dans son âpreté, le recueil, et le mot prend en la circonstance son double sens, s’intitule La plume du peintre. La…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
thinkingimages · 2 months
Text
Tumblr media
"Life is not the opposite of death, but a continuum. Evolutionary nature is an engine of mystery- of things we do not and cannot know. Every step is simultaneously an act of destruction and of creation, of life. There is consolation in the fact that we are always living in the ruins of what went before”
- Ben Rawlence, The Treeline
Morganna Magee, Origini Edizioni, Illias Georgiadis, Australie, phénomène, impermanence, forêt, vie, mémoire, Homme, avenir, Tout, présent, passé, ici, Garcia Marquez, Frédéric Martin 5ruedu.fr, chronique, livre photo,
Une jeune fille à la mèche blonde, le regard perdu est immobile. Un entrelacs de branches, fouillis dense d’une forêt, un autre taillis, des fourrés, des faons… Rien ne bouge vraiment, le temps paraît figé… Un veau au regard mélancolique, des montagnes couvertes de fougères exubérantes, la forêt toujours, et les images blanchissent peu à peu. Les choses sont, les choses ne sont plus.
Simples phénomènes…
Il ne se passe rien et il se passe tout…
21 notes · View notes
tournevole · 4 months
Text
Tumblr media
Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme ! Au gré des envieux, la foule loue et blâme ; Vous me connaissez, vous ! – vous m’avez vu souvent, Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant. Vous le savez, la pierre où court un scarabée, Une humble goutte d’eau de fleur en fleur tombée, Un nuage, un oiseau, m’occupent tout un jour. La contemplation m’emplit le cœur d’amour. Vous m’avez vu cent fois, dans la vallée obscure, Avec ces mots que dit l’esprit à la nature, Questionner tout bas vos rameaux palpitants, Et du même regard poursuivre en même temps, Pensif, le front baissé, l’œil dans l’herbe profonde, L’étude d’un atome et l’étude du monde. Attentif à vos bruits qui parlent tous un peu, Arbres, vous m’avez vu fuir l’homme et chercher Dieu ! Feuilles qui tressaillez à la pointe des branches, Nids dont le vent au loin sème les plumes blanches, Clairières, vallons verts, déserts sombres et doux, Vous savez que je suis calme et pur comme vous. Comme au ciel vos parfums, mon culte à Dieu s’élance, Et je suis plein d’oubli comme vous de silence ! La haine sur mon nom répand en vain son fiel ; Toujours, – je vous atteste, ô bois aimés du ciel ! – J’ai chassé loin de moi toute pensée amère, Et mon cœur est encor tel que le fit ma mère !
Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours, Je vous aime, et vous, lierre au seuil des autres sourds, Ravins où l’on entend filtrer les sources vives, Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives ! Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois, Dans tout ce qui m’entoure et me cache à la fois, Dans votre solitude où je rentre en moi-même, Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime ! Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît, Arbres religieux, chênes, mousses, forêt, Forêt! c’est dans votre ombre et dans votre mystère, C’est sous votre branchage auguste et solitaire, Que je veux abriter mon sépulcre ignoré, Et que je veux dormir quand je m’endormirai.
AUX ARBRES – VICTOR HUGO
19 notes · View notes
Text
L’antre
Entre la grotte et la saillie, Trottent la bête et la Cassandre Dans la quête de soi trahie Entre le ventre et le sein tendre.
Au bord de l’antre, on peut entendre Les pleurs, les cris, les gargouillis, Que nul ne parvient à comprendre Entre la grotte et la saillie.
Dedans dehors, c’est le fouillis, Tant qu’on ne sait quel chemin prendre, Entre les deux, comme ébahies Trottent la bête et la Cassandre.
Je suis comme elle à s’y méprendre, Je suis des entrailles et taillis, Ravie au détour des méandres Dans la quête de soi trahie.
Nous serons toujours envahies Du désir vieilli de s’éprendre, Antre de l’être encore haï Entre le ventre et le sein tendre.
- Fabienne PASSAMENT. 2023
Tumblr media
30 notes · View notes
okguy167 · 6 days
Text
The grandfest has officially ended, and the results are being taillied up as we speak.
I'm kind of sad to see it go, but I'm glad I got to participate.
... And no, it's not 'cause I never got to see a x333 battle!
3 notes · View notes
laurentdeglicourt · 1 year
Text
Tumblr media
Normandie - Août 2023 - Série "Coeur simple".
C'était comme un coup léger frappé sur sa nuque, comme une main qui lui saisissait fermement le bras. Il arrêtait alors la voiture, prenait son appareil et déclenchait. Il avait de cette campagne une connaissance organique, animale. Ces champs clos de haies et d'arbres, plantés pour protéger les fermes des vents marins, combien de fois les avait-il longés ? Combien de fois en avait-il scruté les taillis en quête d'un hérisson ou d'une fouine ? Leur apparition, au détour d'une route, éclairés par la lumière du soleil couchant comme par les feux d'une rampe, provoquait invariablement chez lui un étrange saisissement, un trouble ; cette émotion lancinante que le brusque retour de sensations enfouies, souvent, suscite ; ces arbres, ces buissons constituaient un site originel, une frontière ondoyante. Mais, aussitôt, des souvenirs d'enfant délaissé, toujours un peu vagabond, parfois perdu, refaisaient surface ; il n'observait plus seulement un paysage familier, offert par le hasard au retour de la baignade : il enlaçait son drame, il arpentait son minuscule chemin de croix. Et, en regagnant sa voiture, l'appareil en bandoulière, il comprenait à demi-mot que ce panorama bucolique, comme l'amour, lui causait autant de joie que de souffrance.
9 notes · View notes
jogallice · 5 months
Text
Tumblr media
Aujourd’hui, samedi 04/05/24, Journée Star Wars 👀 et Journée internationale des pompiers 👩‍🚒 👨‍🚒⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠
Trois dictons du jour pour le prix d’un : « À la saint Sylvain, jardinier, tes efforts ne seront jamais vains. » 👨‍🌾 « À la saint Sylvain fleurissent les premières roses de Provins. » 🌹 « C'est à la saint Sylvain que vend son vin le malin. » 🍷
Et trois autres dictons du jour pour la route : « Quand saint Sylvain mouille le raisin, cela présage du bon vin. » 🍇 « Pluie de saint Sylvain, pour le gazon c'est temps divin. » 🌧 « Taillis pluvieux à la saint Sylvain fait tout l'an incertain. » ☔
Bon sixième jour de la semaine à tous et à toutes 🎳
Bonne fête aux Sylvain·e 😘 
📷 JamesO PhotO à Annecy le vendredi 03/05/24 📸
3 notes · View notes
malevolat · 6 months
Text
C'est un soleil fauve rez-terre qui annonce au milieu des champs la course toute désillusionnée du lièvre ivre d'aurore comme à l'orée des taillis commence pour le chevreuil la longue étude de l'égrégore. Depuis ce matin c'est une beauté toute balte qui me rappella une bonne connaissance perdue dans son francais mal accentué, c'est en vainqueur que je me souviens de son sourire. Plus tard, j'ai un enfant de deux mois dans les bras, qui lutte à plein poumon, des yeux d'un bleu tout minéral, l'effort qu'on lit nous montre que l'on ne vient pas ici taquiner librement l'entropie.
3 notes · View notes
mrlafont · 5 months
Text
La rage de vouloir se connaître - de plonger sous sa culture consciente vers « l'Afrique intérieure» de notre inconscient domaine. Et c'étaient des épiements pas à pas, en écartant les branches, les broussailles des taillis, sans bruit pour ne pas effaroucher ces lapins qui jouent au clair de lune, se croyant seuls. Je me sens si pauvre, si connu tel que je me connais moi, Laforgue en relation avec le monde extérieur. Et j'ai des mines riches, des gisements, des mondes sous-marins qui fermentent inconnus. Ah ! c'est là que je voudrais vivre, c'est là que je voudrais mourir. Des fleurs étranges qui tournent comme des têtes de cire de coiffeurs lentement sur leur tige, des pierreries féeriques comme celles où dort Galatée de Moreau surveillée par Polyphème, des coraux heureux sans rêves, des lianes de rubis, des floraisons subtiles où l'œil de la conscience n'a pas porté la hache et le feu.
Jules Laforgue, Dragées.
1 note · View note
oenodyssee · 10 months
Text
Pour une lampée de vin langue
Chez la famille Chaume // Domaine Chaume-Arnaud // Vinsobres // Côte-du-Rhône
Tumblr media
« Un point d’écart est-ce désaccord ? » J'ai pondu cette phrase pour Synapses en écho à la défaite de l’équipe bleue contre l’équipe verte en quart de finale de la coupe du monde de rugby. Elle me revient après que Valérie Chaume m’a fait remarquer qu’en traversant la rivière pour gagner le domaine Chaume-Arnaud j’ai changé de département, passant du Vaucluse à la Drôme, mais aussi de région (Provence-Alpes-Côte -d’Azur / Auvergne-Rhône-Alpes) et, surtout, que d’une rive à l’autre le cours d’eau a changé de nom : l’Aygues est devenu l’Eygues. « Une lettre d’écort est-ce désaccard ? »
#
« Comprendre qu’il y a un espace infini entre chaque atome de langage » écrit Valère Novarina dans une langue inconnue un merveilleux petit livre dans lequel il réfléchit sur le patois savoyard, ses multiples variations d’un hameau à l’autre, d’une vallée à l’autre ; chatoiement dans lequel il voit « un lien mystérieux ressenti entre le renouvellement des plis du paysage et celui des mots, un sentiment du paysage parlé ». Non loin, se trouve la mosaïque des paysages bus : toutes ces topographies, ces géologies, tous ces écosystèmes, ces microbiotes, qui depuis mon départ, se sont exprimés en moi par le canal du vin. Comprendre que chaque vin est le signal d’une possibilité de langage.
#
Avant la présentation de Rhapsode je propose aux vignerons qui m’accueillent de partager un verre avec l’assistance. C’est à partir de cet ancrage liquide que la performance va se dire et s’entendre, qu’elle va prendre sa teinte unique, se distinguer des précédentes, des prochaines. Il arrive cependant que les circonstances en décident autrement et qu’à la place d’une parcelle locale ce soit le coteau d’un ami ou la combe d’une consœur qui soit servie. Et j’apprécie aussi cette curiosité et ce goût pour la manière des autres — « et dans manière il y a main » note Valère —, la joie de s’échanger des bouteilles que je constate souvent dans le petit monde du vin nature. Ce soir c’est Philippe, mari de Valérie et père de leur trois fils Thibaud, Raphaël et Samuel, qui est à la manœuvre.  Le premier verre est un taillis fleuri blanc du Mas de Libian, le deuxième un col oiselé rouge du domaine Gramenon. L’accostage à  Chaume-Arnaud se fait au troisième verre dans une trouée violette en cœur de ripisylve. La performance peut commencer.
#
Je bois donc une goulée de Vinsobres : Grenache, Syrah, Cinsault, Mourvèdre, Counoise. « Chaque langue s’ouvre comme un puits de mémoire » écrit le dramaturge suisse. Une généalogie se diffuse en moi, se mêlant à celle d’Orphée. Orphée devenant progressivement vigneron. Vigneron par son dire. Au loin, dans la nuit, on devine la silhouette tourmentée des Baronnies. La famille de Valérie est paysanne, protestante et communiste. Au départ c’est elle qui se lance, sans aucune aide de ses parents, à vendre des abricots au bord des routes puis, au sortir du Lycée agricole où elle a rencontré Philippe, se risque à la vigne, au bio, à la biodynamie.  Son pari : produire des vins nature toujours « loyaux et marchands » tout en maintenant une production diversifiée de fruits et d’olives Nyons. Philippe, lui, est athée et rugbyman. Formé au "machinisme agricole cultures tropicales équatoriales et méditerranéennes", on lui propose de partir Outre-mer. Il reste, pour Valérie. Ils feront grandir le domaine ensemble, 60 hectares aujourd’hui « tout en fermage :  la propriété ne m’intéresse pas » a précisé Valérie. Ils donneront naissance à trois enfants. Deux rugbymen professionnels revenus travailler au domaine, et un agronome, en partance pour la Côte d’Ivoire. Caractère et solidarité. Dans et au-delà l’humain. J’ai donc bu une goulée de Vinsobres.
#
Puis j’ai mélangé les verres, les lettres et la ponctuation, j’ai joué de la métaphorminx et nous avons parlé ma « langue à un » selon l’expression de Valère. Puis, sans penser au lendemain, j’ai rebattu les verres, les lettres et la ponctuation.
2 notes · View notes
revuetraversees · 1 month
Text
Jean-Marie Corbusier, Printemps pour un autre rivage, encres de Dominique Neuforge, Châtelineau : Le Taillis Pré, 2024 , collection « Livres d'artistes »
Une chronique de Pierre Schroven Jean-Marie Corbusier, Printemps pour un autre rivage, encres de Dominique Neuforge, Châtelineau : Le Taillis Pré, 2024 , collection « Livres d’artistes » Dans « Printemps pour un autre rivage », Jean-Marie Corbusier évoque certes la disparition d’animaux familiers (les yeux ouverts ou fermés/ tu es là mon chien /dans notre éternité) mais vient aussi et surtout…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
mariacallous · 1 year
Text
While driving in the swamplands some 40 miles west of Miami, Mike Kirkland noticed a log lying in the road ahead, so he and his colleague stepped out of their white GMC work truck. This was no log. “As we got closer, we realized it was a python,” he says. “It was so big, it looked like a fallen tree.” Kirkland asked the colleague to hang back, then crept to within five feet of the predator as it basked on the warm pavement.
“She saw me,” he says. “I’m 5'11". And she picked herself up and practically looked me in the eye.” The snake’s sheer size gave him pause—but not for long. She stretched open her mouth, revealing dozens of curved teeth as sharp as daggers, then launched her head at Kirkland. He dodged a couple of strikes before spotting an opening to grab the snake’s head. The nonvenomous 17-foot constrictor then tried to wrap herself around the sweating Kirkland, who slipped through coil after coil. About 20 minutes later, the exhausted snake gave in, and Kirkland euthanized the animal.
This is all in a day’s work for Kirkland, an invasive-animal biologist who manages the South Florida Water Management District’s Python Elimination Program. His team patrols roads like this one beside Big Cypress National Preserve looking for Burmese pythons, one of the world’s most unyielding invasive species. The team recently removed their 8,000th python.
Florida has a twisted relationship with the Burmese python. Americans imported nearly 100,000 of them from Southeast Asia between 1996 and 2006. (The US banned their import in 2012.) Many pet owners hadn’t realized that the snakes grow to 12 feet, on average, and they abandoned them. South Florida’s warm wetlands offer the perfect adoptive habitat. Their inconspicuous patterning conceals them in the already remote Everglades, which makes them hard to track. Ecologists peg their detectability at less than 1 percent. That means if there are 100 snakes in your survey area, you’d be lucky to spot just one.
The pythons officially established a self-sustaining population in the ecosystem in 2000, according to the US Geological Survey. Today, there are likely tens of thousands of them across South Florida, and the USGS believes the number will only increase as populations expand to new areas within the peninsula. (They’re not likely to spread to similar wetlands in Alabama and Louisiana, though, since they can’t survive the colder temperatures they’d have to migrate through to exit northern Florida.) According to the USGS report, eradication is “likely impossible.” And now, says Kirkland, “They are eating all of our native wildlife.”
Earlier this year, USGS scientists synthesized decades of research on python biology and potential control tools. They described 76 prey species found in the guts of pythons: mammals, birds, iguanas, and even alligators. “Our native wildlife is not used to a large snake predator of that size,” says Melissa Miller, an invasion ecologist with the University of Florida. “Something that large is not really on their radar.” Ecologists often describe an invasive predator’s prey as “naive,” since they haven’t co-evolved with the thing that now might kill them.
That has created a problem. Around 2010, soon after meeting this big, new predator that could outcompete and eat them, South Florida’s mammal populations collapsed. Large and medium-size mammals have been scarce for almost a decade, leaving mostly smaller mammals, like rodents.
Some ecologists thought the pythons would become victims of their own success. “They were supposedly out of food,” says Paul Taillie, a wildlife ecologist at the University of North Carolina at Chapel Hill. But Taillie’s research has shown that pythons just switched to eating the smaller mammals instead, causing those populations to drop too. In 2021, Taillie reported disappointing proof that mammals were not bouncing back. “There’s exceedingly little sign of any mammal activity” in South Florida, he says.
The only resistant species has turned out to be black rats—but they’re also invasive. Black rats arrived in the Americas from Europe centuries ago onboard the ships of explorers and colonizers. They’re resistant because they reproduce a lot and don’t compete with the pythons or large mammals for food: They can scavenge carcasses and eat plants, insects, and scraps from humans. This is the reason they thrive all over the world.
So can anything curb the python’s takeover? First, there are teams like Kirkland’s, which employ contractors to track and capture the snakes year-round. Every capture and kill follows ethics guidelines and federal laws about transporting illegal pets. “They need to be respected as the beautiful living creatures that they are,” Kirkland says. “They’re here through no fault of their own.”
And for six of the past 10 years, Florida has tried to educate the public about invasive species and the folly of keeping pythons as pets, thanks to the Florida Python Challenge, a 10-day event for amateur python hunters, in partnership with the state’s wildlife agency. Participants catch the snakes, which they euthanize. This year, at least 840 participants registered for a shot at $17,500 in prizes. The tally for this year’s hunt hasn’t been released yet, but each of the last two hunts yielded over 200 captures. “It really does a lot to educate the public,” Kirkland says, “to teach about the importance of why you shouldn’t allow an invasive exotic pet to get out.”
But scientists also want to know if the nonhuman denizens of the Everglades are pushing back against the python—specifically, to see if pythons have their own “prey naivete.” Could other species be preying on young pythons?
To answer this question, in 2020 and 2021 a team of USGS researchers implanted 2- to 3-foot-long pythons with radio transmitters and released them back into Big Cypress National Preserve. The transmitters tracked movements down to a 3-meter radius, and each transmitter had a “mortality sensor” that was triggered if the animal hadn’t moved in 24 hours.
Nineteen young pythons died during the study period. Team members waded into the swamp to find out exactly where and how. They snooped for every sign imaginable: paw prints, fur, bite marks, scrapes, and scat. Dead snakes and transmitters turned up in soil, in trees, and underwater. The team brought any carcasses they could find back to the lab for necroscopies. Twelve of the 19 cases had enough evidence to point to a killer, according to results published earlier this year in a study titled “Natives bite back.”
They had expected some deaths, but not as many as they found, says Amy Yackel Adams, a USGS ecologist on the team. “We were quite surprised,” she says, “especially by predation of native Florida species.”
Native alligators and cottonmouth snakes killed eight of the 12, and mammals killed four. One native cotton rat killed a python while being attacked. That rat was actually larger than the young snake, making it a risky meal. (The team couldn’t say which mammals killed the other three pythons, but they’ve noted bobcats and coyotes in the area. It’s possible that these species or others, like birds, killed the other seven snakes—but the researchers couldn’t find enough evidence to rule out other possibilities, like starvation.) 
“It’s always nice to see native species getting the upper hand with Burmese pythons, as it’s often not the case,” Miller says. She’s experienced alligators and crocodiles killing pythons—and a 15-foot python eating a 6-foot gator. (Miller contributed to the USGS review, but not the “Natives bite back” study. Her lab measures each snake from the Florida Python Challenge in an impartial judging role.)
It’s not surprising that native animals would begin pushing back, says Taillie, who was not involved in either USGS study: “Prey populations of invasive species will start to respond over time and adjust their behaviors.” There are a few historical examples. On the Spanish Cíes islands, for example, native birds called shags shifted their nests to sites less vulnerable to invasive minks. In Australia, native snakes evolved resistance to the toxins of invasive cane toads, and ate fewer toads. Analogous adaptations could be happening here, according to Taillie.
But, he continues, “I would be surprised if there was enough of that to decrease the population of pythons in any significant way.”
“If they’re recognizing this invasive [species] as a food source, that’s a glimmer of hope,” agrees Adams. “That will be a piece of the puzzle, a very tiny sliver of management for maintaining healthy native species. But that alone doesn’t even come close.”
Animal dynamics won’t eradicate pythons on their own, but Taillie says neither will state hunting programs, which are at the mercy of taxpayer funding. Plus, he says, “Finding a python in the Everglades is like finding a needle in the haystack. And it’s a really large haystack. You only need a couple to survive, and then they can bounce back.”
“It’s not realistic that we’re going to get rid of all of them,” Kirkland agrees. But with the right technology, he thinks they can drive python numbers down enough that native animals will return: “The technology is updating itself every day. We’re trying to stay on the cutting edge of that.”
One of those methods is tagging pythons and tracking them to learn about their habits and to find other pythons. Miller’s team has tagged the snakes during the breeding season, when multiple males congregate around a female. “If you tag a male, he can lead you to where these breeding events are happening. And then you can remove all the snakes,” she says.
Others now tag pythons’ prey, like rabbits, raccoons, and opossums. When the snakes swallow the prey, they swallow the tag. It’s then easier to study or euthanize them. University of Florida researchers also tried putting rabbits in snake-proof cages in the Everglades to lure pythons closer to remote cameras. Nine rabbit pens lured 22 pythons over 90 days, and each stayed in the area for over an hour on average, according to a state report. “It sounds like a simple idea—and it is—but it’s also brilliant. It’s another way to get at these hidden pythons that we probably wouldn’t otherwise have found,” Kirkland says. Combining rabbit scents and remote traps might yield the same results.
Another idea referenced by the USGS paper pairs near-infrared cameras with an algorithm trained to detect the Burmese python’s unique markings. The system would display the snake onscreen as a bright white object that could be tracked in real time. Kirkland’s team has been involved in early testing, and he envisions equipping trucks and drones to find the most well-hidden invaders. “That’s still being dialed in. but it shows some promise,” he says.
USGS scientists are also wondering if gene-editing technology could help. Scientists could modify female snakes to only birth male offspring. After many years, the dearth of reproductive females would bottleneck the population. (Researchers have previously released genetically engineered mosquitoes in Florida to produce a similar population crash.) USGS scientists are exploring the feasibility of this idea, but concrete plans are still far off.
So for now, the state mostly relies on patrols like Kirkland’s. After his bout with the 17-footer back in 2018, Kirkland hauled the dead snake away in the back of his GMC, affectionately named Python 1. Five years later, he now cruises the wetlands in a new truck, Python 2. The mammals still haven’t returned. The snakes still haven’t left. But he speaks with a confidence you’d expect from a guy who grabs giant snakes by the head. “I’ve got about 20 years until I retire, and I’m really optimistic that we’re going to be in a better place by then,” he says. “But these things take time.”
3 notes · View notes
tournevole · 5 months
Text
Un peu de musique - Victor Hugo
Écoutez ! — Comme un nid qui murmure invisible, Un bruit confus s’approche, et des rires, des voix, Des pas, sortent du fond vertigineux des bois. Et voici qu’à travers la grande forêt brune Qu’emplit la rêverie immense de la lune, On entend frissonner et vibrer mollement, Communiquant aux bois son doux frémissement, La guitare des monts d’Inspruck, reconnaissable Au grelot de son manche où sonne un grain de sable ; Il s’y mêle la voix d’un homme, et ce frisson Prend un sens et devient une vague chanson : « Si tu veux, faisons un rêve : Montons sur deux palefrois ; Tu m’emmènes, je t’enlève.  L’oiseau chante dans les bois.
 « Je suis ton maître et ta proie ; Partons, c’est la fin du jour ; Mon cheval sera la joie, Ton cheval sera l’amour.  « Nous ferons toucher leurs têtes ; Les voyages sont aisés ; Nous donnerons à ces bêtes Une avoine de baisers.  « Viens ! nos doux chevaux mensonges Frappent du pied tous les deux, Le mien au fond de mes songes, Et le tien au fond des cieux.  « Un bagage est nécessaire ; Nous emporterons nos vœux, Nos bonheurs, notre misère, Et la fleur de tes cheveux.  « Viens, le soir brunit les chênes ; Le moineau rit ; ce moqueur Entend le doux bruit des chaînes Que tu m’as mises au cœur.
 « Ce ne sera point ma faute Si les forêts et les monts, En nous voyant côte à côte, Ne murmurent pas : « Aimons ! »  « Viens, sois tendre, je suis ivre. Ô les verts taillis mouillés ! Ton souffle te fera suivre Des papillons réveillés.  « L’envieux oiseau nocturne, Triste, ouvrira son œil rond ; Les nymphes, penchant leur urne, Dans les grottes souriront ;  « Et diront : « Sommes-nous folles !  « C’est Léandre avec Héro ;  « En écoutant leurs paroles  « Nous laissons tomber notre eau. »  « Allons-nous-en par l’Autriche ! Nous aurons l’aube à nos fronts ; Je serai grand, et toi riche, Puisque nous nous aimerons.  « Allons-nous-en par la terre, Sur nos deux chevaux charmants, Dans l’azur, dans le mystère, Dans les éblouissements !  « Nous entrerons à l’auberge, Et nous paîrons l’hôtelier De ton sourire de vierge, De mon bonjour d’écolier.  « Tu seras dame, et moi comte ; Viens, mon cœur s’épanouit ; Viens, nous conterons ce conte Aux étoiles de la nuit. » La mélodie encor quelques instants se traîne Sous les arbres bleuis par la lune sereine, Puis tremble, puis expire, et la voix qui chantait S’éteint comme un oiseau se pose ; tout se tait.
19ème siècle, Poèmes, Victor Hugo
8 notes · View notes
aurevoirmonty · 1 year
Text
Tumblr media
« À mesure que s'effondre davantage le monde que j’ai aimé, plus beaux m'en apparaissent les ultimes vestiges : les ciels, les arbres, les visages, la grammaire, la politesse, les chiens, un cerisier en fleur dans un taillis encore sans feuilles, un geste de délicatesse et de bonté. »
Renaud Camus
4 notes · View notes
Photo
Tumblr media
“Le Taillis" gravure rehaussée à l'aquarelle de Jeanne Malivel (1922) à l'exposition “Jeanne Malivel (1895-1926), une Artiste Engagée” de la Bibliothèque Forney, Paris, avril 2023.
5 notes · View notes