Tumgik
#the howling of the manque
wallacepolsom · 1 year
Photo
Tumblr media
Wallace Polsom, The Howling of the Manqué (2023), paper collage, 22.3 x 30.2 cm.
114 notes · View notes
christophe76460 · 1 year
Text
Tumblr media
Les richesses terrestres ou la vie éternelle ?
Proverbs, 11:4
Riches do not profit in the day of wrath, but righteousness delivers from death.
Proverbes, 11:4
Les richesses ne servent à rien au jour de la colère, mais la droiture délivre de la mort.
1 Timothy, 5:8
But if anyone does not provide for his relatives, and especially for members of his household, he has denied the faith and is worse than an unbeliever.
1 Timothée, 5:8
Mais si quelqu’un ne prend pas soin des siens, et surtout ceux de sa maison, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle.
Proverbs, 10:22
The blessing of the Lord makes rich, and he adds no sorrow with it.
Proverbes, 10:22
La bénédiction du SEIGNEUR est ce qui enrichit, et il n'y ajoute pas de chagrin.
Proverbs, 11:28
Whoever trusts in his riches will fall, but the righteous will flourish like a green leaf.
Proverbes, 11:28
Celui qui se confie en ses richesses tombera ; mais les [hommes] droits prospéreront comme une branche.
James, 5:1-5
Come now, you rich, weep and howl for the miseries that are coming upon you. Your riches have rotted and your garments are moth-eaten. Your gold and silver have corroded, and their corrosion will be evidence against you and will eat your flesh like fire. You have laid up treasure in the last days. Behold, the wages of the laborers who mowed your fields, which you kept back by fraud, are crying out against you, and the cries of the harvesters have reached the ears of the Lord of hosts. You have lived on the earth in luxury and in self-indulgence. You have fattened your hearts in a day of slaughter.
Jacques, 5:1-5
Allez maintenant, vous hommes riches, pleurez et hurlez, à cause des misères qui vont venir sur vous.
Vos richesses sont pourries, et vos vêtements sont rongés par les mites.
Votre or et votre argent se sont rouillés, et leur rouille sera en témoignage contre vous et dévorera votre chair comme le feu. Vous avez amassé un trésor pour les derniers jours.
Voici, le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez frustrés, crie; et les cris de ceux qui ont moissonné sont parvenus aux oreilles du Seigneur des armées.
Vous avez vécu dans les plaisirs sur la terre et dans le luxe, et vous avez rassasiés vos cœurs comme en un jour de l’abattage.
Proverbs, 16:8
Better is a little with righteousness than great revenues with injustice.
Proverbes, 16:8
Mieux vaut peu avec droiture, que de grands revenus sans droiture.
Luke, 18:22-30
When Jesus heard this, he said to him, “One thing you still lack. Sell all that you have and distribute to the poor, and you will have treasure in heaven; and come, follow me.” But when he heard these things, he became very sad, for he was extremely rich. Jesus, seeing that he had become sad, said, “How difficult it is for those who have wealth to enter the kingdom of God! For it is easier for a camel to go through the eye of a needle than for a rich person to enter the kingdom of God.” Those who heard it said, “Then who can be saved?”
And he said, The things which are impossible with men are possible with God. Then Peter said, Lo, we have left all, and followed thee. And he said unto them, Verily I say unto you, There is no man that hath left house, or parents, or brethren, or wife, or children, for the kingdom of God's sake, who shall not receive manifold more in this present time, and in the world to come life everlasting.
Luc, 18:22-30
Et quand Jésus entendit ces choses, il lui dit: Il te manque encore une chose; vends tout ce que tu as, et distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel; et viens, suis-moi.
Mais quand il entendit cela, il devint très triste; car il était fort riche.
Et quand Jésus vit qu’il était devenu tout triste, il dit: Combien il est difficile pour ceux qui ont des richesses d’entrer dans le royaume de Dieu!
Car il est plus facile à un chameau d’entrer par le trou d’une aiguille, qu’à un homme riche d’entrer dans le royaume de Dieu.
Et ceux qui l’entendaient dirent: Qui peut alors être sauvé?
Et il dit: Les choses qui sont impossibles aux hommes sont possibles avec Dieu.
Puis Pierre dit: Voici, nous avons tout quitté, et nous t’avons suivi.
Et il leur dit: En vérité je vous dis, il n’y a aucun homme qui ait laissé maison, ou parents ou frères, ou femme ou enfants, pour la cause du royaume de Dieu,
Qui ne reçoive beaucoup plus en ce temps présent, et, dans le monde à venir, la vie éternelle.
Proverbs, 27:24
For riches do not last forever; and does a crown endure to all generations?
Proverbes, 27:24
Car les richesses ne sont pas éternelles, et la couronne dure-t-elle de génération en génération?
0 notes
jigoku-shoujo72 · 5 years
Photo
Tumblr media
Hauru no Ugoku Shiro ou ( le chateau ambulant)
Sophie, jeune chapelière de son état, travaille dans une modeste échoppe tenue par sa mère et ses soeurs. Alors que celles-ci bien que d'origines modestes, donnent l'image de femmes mondaines adorant les galures et les distractions, Sophie préfère de loin le calme de son établi où elle confectionne avec tout le soin possible ses couvre-chefs. Un jour, partant pour rendre visite à l'une de ses sœurs, Sophie croise le chemin du magicien Hauru (Howl), réputé pour ne s'intéresser qu'à la beauté, dévorant le cœur d'innocentes jeunes filles et installé depuis peu aux alentours de la petite ville dans son château ambulant. Cette rencontre qui pourrait paraître anodine entraînera Sophie dans une aventure plus incroyable qu'elle n'aurait jamais pu imaginer. Dans la soirée, Sophie reçoit la visite de la sorcière des landes. Celle-ci rongée par la jalousie, jette un sort à la jeune fille : elle se retrouve dans le corps d'une vielle femme de 90 ans incapable d'aborder le sujet de l'effroyable maléfice lorsqu'on lui en pose la question. Sophie n'a plus qu'un seul choix pour se défaire de sa condition, elle doit à tout prix retrouver Hauru, étant le centre de son différent épineux avec la sorcière des landes. Une fois arrivée dans le château ambulant Sophie découvre un étrange épouvantail doté de vie, un Hauru qui manque de beaucoup d'assurance, un étrange pacte qui le lie au démon Calcifer, les raisons pour lesquelles la sorcière des landes désire le cœur de celui-ci, et sa traque par Madame Suliman. Au même moment, le pays est en guerre avec les autres contrées, les puissances étrangères envoient leurs plus grands mages pour régler les conflits qui ne cessent de s'enliser. Hauru fait partie des mages qui luttent, pourtant sa vie même se trouve en danger... Sophie découvrira par la suite que le remède du sortilège jeté par la sorcière des landes se trouve dans une chose qu'elle n'aurait jamais imaginé... La force des sentiments peut-elle réellement supplanter à la magie ? Note : ce long métrage réalisé par le maître Hayao Miyazaki, est une libre adaptation du roman Howl's Moving Castle de l'auteur anglais Diana Wynne Jones.
1 note · View note
panterashadow · 6 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
LÄ ÇHÄSS£-GÄLL£RÏ£ 1978 FÂBL£ D'£SPÄÇ£ [∆] ÇLÄÜD£ DÜBÖÏS P∆ÑT£R∆'SH∆DØ₩ STÜDÏØ V£RSÏØÑ https://youtu.be/xI58RasCJTw PÄRÕL£S: Chasse Gallerie À force de rester dans la forêt à s'ennuyer Le diable est venu les tenter Il fallait deux semaines quand la glace s'était en allée En canot pour s'en retourner C'était déjà l'hiver, les grands froids nous mordaient les pieds Impossible de s'en aller C'était déjà Noël, le nouvel an montrait son nez Tous les hommes voulaient s'en aller Le diable guettant comme un rapace son gibier Vint leur offrir tout un marché "Dans un canot, dans le plus grand que vous avez Installez-vous là sans bouger Quand minuit sonnera, ton canot d'un coup bougera Il s'élèvera pour t'emporter Mais si l'un d'entre vous après la fête terminée Manque le bateau, vous périrez Et chez le grand Satan vous irez brûler ignorés Ignorés pour l'éternité" Le canot s'éleva, jusqu'au ciel ils furent emportés Jusqu'à leur village tant aimé Chacun revint une fois la fête terminée Sauf le dernier sans y penser Posant le pied en embarquant s'est retourné S'est retourné sans y penser Alors le grand Satan dans un tourbillon de brasier Tous et chacun a emporté Le plus jeune d'entre eux, le plus méfiant, le plus peureux Gardait comme un bijou précieux Une prière à tuer les diables de la terre Et quand il l'eut enfin citée Comme des étoiles, furent soudainement libérés Devant leur cabane isolée ÏÑFØ: https://en.m.wikipedia.org/wiki/Claude_Dubois https://en.m.wikipedia.org/wiki/Chasse-galerie La Chasse-galerie also known as "The Bewitched Canoe" or "The Flying Canoe" is a popular French-Canadian tale of Courreur des bois who make a deal with the devil, a variant of the Wild Hunt. Its best-known version was written by Honoré Beaugrand (1848–1906). It was published in The Century Magazine in August 1892. The story can be traced back to a French legend about a rich nobleman named Gallery who loved to hunt. He loved it so much that he refused to attend Sunday mass. As punishment for this sin he was condemned to fly forever through the night skies, chased by galloping horses and howling wolves, in a fashion reminiscent of the Wild Hunt. When French settlers arrived in Canada, they swapped stories with the natives and the tale of Gallery was combined with a First Nationslegend about a flying canoe. La chanson « Chasse-galerie » a été interprétée par Claude Dubois et apparaît sur l'album Fable d'espace (1978) Claude André Dubois (born 24 April 1947 in Montreal, Quebec) is a Canadian singer-songwriter. Dubois was an early star of the francophone musical Starmania. He was a vocalist in the Canadian famine relief song "Tears Are Not Enough" and was nominated Most Promising Male Vocalist at the Juno Awards of 1985. In 2001, Dubois was the recipient of the National Achievement Award at the annual Francophone SOCAN Awards held in Montreal.
1 note · View note
juliet-7 · 7 years
Text
Ghost companion.
Tumblr media
“And being very tired and having nothing inside him, he felt so sorry for himself that the tears rolled down his cheeks. What put a stop to all of this was a sudden fright. Shasta discovered that someone or somebody was walking beside him. It was pitch dark and he could see nothing. And the thing (or person) was going so quietly that he could hardly hear any footfalls. What he could hear was breathing. His invisible companion seemed to breathe on a very large scale, and Shasta got the impression that it was a very large creature. And he had come to notice this breathing so gradually that he had really no idea how long it had been there. It was a horrible shock.
It darted into his mind that he had heard long ago that there were giants in these Northern countries. He bit his lip in terror. But now that he really had something to cry about, he stopped crying. The Thing (unless it was a person) went on beside him so very quietly that Shasta began to hope that he had only imagined it. But just as he was becoming quite sure of it, there suddenly came a deep, rich sigh out of the darkness beside him. That couldn’t be imagination! Anyway, he has felt the hot breath of that sigh on his chilly left hand. So he went on at a walking pace and the unseen companion walked and breathed beside him. At last he could bear it no longer. “Who are you?” he said, barely above a whisper. “One who has waited long for you to speak,” said the Thing. Its voice was not loud, but very large and deep. “Are you – are you a giant?” asked Shasta. “You might call me a giant,” said the Large Voice. “But I am not like the creatures you call giants.” “I can’t see you at all,” said Shasta, after staring very hard. Then (for an even more terrible idea had come into his head) he said, almost in a scream, “You’re not – not something dead, are you? Oh please – please do go away. What harm have I ever done you? Oh, I am the unluckiest person in the whole world.” Once more he felt the warm breath of the Thing on his hand and face. “There,” it said, “that is not the breath of a ghost. Tell me your sorrows.” Shasta was a little reassured by the breath: so he told how he had never known his real father or mother and had been brought up sternly by the fisherman. and then he told the story of his escape and how they were chased by lions and forced to swim for their lives; and of all their dangers in Tashbaan and about his night among the Tombs and how the beasts howled at him out of the desert. And he told about the heat and thirst of their desert journey and how they were almost at their goal when another lion chased them and wounded Aravis. And also, how very long it was since had had anything to eat. “I do not call you unfortunate,” said the Large Voice. “Don’t you think it was bad luck to meet so many lions?” said Shasta. “There was only one lion.” said the Voice. “What on earth do you mean? I’ve just told you there were at least two lions the first night, and -” “There was only one, but he was swift of foot.” “How do you know?” “I was the lion.” And as Shasta gaped with open mouth and said nothing, the Voice continued. “I was the lion who forced you to join with Aravis. I was the cat who comforted you among the houses of the dead. I was the lion who drove the jackals from you as you slept. I was the lion who gave the Horses the new strength of fear for the last mile so that you should reach King Lune in time. And I was the lion you do not remember who pushed the boat in which you lay, a child near death, so that it came to shore where a man sat, wakeful at midnight, to receive you.” The mist was turning from black to grey and from grey to white. This must have begun to happen some time ago, but while he had been talking to the Thing he had not been noticing anything else. Now, the whiteness around him became a shining whiteness; his eyes began to blink. Somewhere ahead he heard birds singing. He knew the night was over at last. 
A golden light fell on them from the left. He thought it was the sun. He turned and saw, pacing beside him, taller than a horse, a Lion. The horse did not seem to be afraid of it or else could not see it. It was from the lion that the light came. No one ever saw anything more terrible or more beautiful. Shasta had lived all of his life too far south in Calormen to have heard the tales that were whispered in Tashbaan about a dreadful Narnian demon that appeared in the form of a lion. And of course he knew none of the true stories about Aslan, the great Lion, the son of the Emperor-over-sea, the King above all High Kings in Narnia. But after one glance at the Lion’s face he slipped out of the saddle and fell at its feet. He couldn’t say anything but then he didn’t want to say anything, and he knew he needn’t say anything.” —C.S. Lewis, The Horse And His Boy
À l'aéroport, j'ai demandé au chauffeur s'il pensait que je pouvais atteindre Blotzheim à pieds.
Il m'a regardée bizarre.
J'ai croisé une fille qui m'a dit : “Ouais ouais c'est pas loin, en dix minutes vous y êtes !” Alors j'ai marché au bord de la route, dans ces galets merdiques qui font perdre l'équilibre, comme quand t'essayes de courir dans le sable. 
Au début je me sentais comme Bilbon qui part à l'aventure, toute excitée ; j'aime bien aller à des endroits où je suis jamais allée. Mais au bout d'une heure, quand la nuit est tombée, que j'avais mal au dos, mal au cou, mal aux pieds, j’ai commencé à sérieusement me demander si l'espace-temps était biaisé sur la route qui mène à Blotzheim. J'avais plus de batterie sur mon téléphone. J'ai pensé à Emy. J'ai pensé à ma vie. J'ai pensé à ma vie d'avant. Quand je voulais être missionnaire. Je me suis demandé si tout ce que je vivais, c'était pour un jour où je serais au fin fond de l'Inde ; si les galets d'aujourd'hui étaient une préparation pour un sol de plus tard. J'ai pensé à Moïse. Je me suis demandé s'il s'était senti pareil, avec ses brebis et ses sandales dans le désert. S'il s’était demandé si c'était pour quelque chose d'autre, ou si ce serait les cailloux toute sa vie. S'il s'était demandé où était Dieu, qu'est-ce qu'il foutait, pourquoi il ne faisait rien.
J'ai pensé à Jésus. 
Je me suis dit qu'il allait d'un endroit à un autre sans jamais avoir de maison. Qu’il marchait aussi pendant des heures et des heures. Qu’il était aussi fatigué. Affamé. Solitaire. “Les renard ont des tanières et les oiseaux du ciel ont des nids, mais le Fils de l'homme n'a pas un endroit où reposer sa tête.” Je me suis sentie différemment tout à coup. Comme si j'ouvrais les yeux, pour voir qu’il marchait avec moi ; comme Shasta. Lui, il me voyait, et il comprenait ce que je ressens. Il savait. Il marchait avec moi. J'étais plus en mode “j’suis seule au milieu de nulle part, coupée du monde et au bout de ma vie.” 
Je me suis sentie comme si j’étais exactement au bon endroit, comme je ne l'avais plus été depuis mille ans.
Peut-être qu’il fallait que je me retrouve complètement seule, au bout de mes forces, paumée au milieu de la campagne, en bord de route, comme une outcast, pour que je me demande enfin : “En fait, c'est quoi ma vie ?”
Je me suis demandé : “Qu'est-ce que je fais ici, dans les chardons, au bord d'une route, right here, right now ? Pourquoi je suis là, à valdinguer entre villes et villages, pourquoi est-ce que je m'use dans une salle de classe et sur des copies d'écriture ? Pour les enfants ? Pour moi ? Pour Toi ? “Pour Ton royaume” ? Pourquoi je fais ça ? J'ai même pas su trouver de réponse. 
Pour rien. 
Tout ce que je sais c'est que je fais ça. Et que je suis là. Et je sais pas pourquoi.
Mais je me suis rendu compte que j'en avais rien à faire. At the end of the day, all I longed for was to walk sur le bord de la route avec Jésus. Peu importe ma vie, du moment que c'est avec le Seigneur que je marche. C'est des mots bateaux, mais ça faisait tellement longtemps que je ne m'étais pas retrouvée avec Lui comme ça. Que j'avais pas ressenti combien cette présence me manque et comble tous les épuisements de mon âme.
Quand je suis enfin arrivée à Blotzheim, dans une rue, sur le trottoir devant moi à quelques mètres, il y avait un chat qui me regardait. J'ai pas beaucoup d'amour pour les chats. Mais celui-là, il n’est pas parti quand je me suis rapprochée. Il restait là, comme s'il m'avait attendue. Je l'ai regardé, et je me suis accroupie. Il a frotté sa tête dans ma main. Il me regardait, et poussait ma main, et appuyait sa tête contre ma jambe, et puis me regardait, et puis frottait sa tête contre ma joue. À son contact, je me suis rendu compte que c’était la première fois depuis des lustres qu’on me faisait un câlin. J'ai enfoui mon visage dans sa fourrure, et j'ai pleuré, comme une débile, comme si c’était Dieu qui me caressait le visage.
Sur ce trottoir, un souvenir m'est revenu ; j'étais ado et j'étais aussi en train de pleurer par terre, sur le carrelage de la salle de bain, pendant une période maëlstrom. Le chat avait débarqué pour venir se frotter contre moi. Et au milieu de mes larmes et de mon coeur d'ado ballotté par l’orage, j'ai pensé à Aslan. “J'étais le chat qui t'a rassuré au milieu des maisons des morts. J'étais le Lion qui a éloigné de toi les chacals pendant que tu dormais. J'étais le Lion qui a donné aux chevaux effrayés l'énergie du désespoir pour le dernier kilomètre afin que vous puissiez arriver à temps auprès du roi Lune. Et j'étais le Lion dont tu ne te souviens pas et qui a poussé le bateau dans lequel tu étais couché, enfant à demi-mort, pour qu'il s'échoue sur le rivage où un homme était assis, éveillé à minuit, pour t'accueillir.” 
Sur le bord de cette route, je me suis enfin sentie rentrer à la maison. Sauf que c'était pas Blotz. C'était Toi, Amour.
2 notes · View notes
iodinea-blog · 7 years
Video
youtube
Adieu – Cœur de Pirate key vocab: breakups and being over with them
* = has multiple definitions. translation given is w/in context. ptp. = participe passé (fam) = familiar/informal usage qqc (smth), qqn (sb) = quelque chose (something), quelqu’un (someone)
«Adieu» “farewell”
[spoken intro]
— Justement, mon cœur, je vais te la présenter. C’est... c’est une amie d’enfance.
mon cœur — my love* (about a person)
présenter qqn à qqn  v.tr. — to introduce sb to sb
un(e) ami(e) d’enfance  n. — a childhood friend
l’enfance  n.f. — childhood*
“Exactly, my love, I’ll introduce her to you. She’s... she’s a childhood friend.”
— Une amie d’enfance? Ha! Mais tu me prends pour qui? J’en ai vu dans tes bras, si c’est une amie d’enfance, vraiment...
tu me prends pour qui? — who do you take me for?
“A childhood friend? Ha! Really, who do you take me for? I saw her in your arms, yeah, she’s a childhood friend, really...”
— Bah ouais ouais ouais! Mais, j-justement c’est parce que... j’ai entré dans la chambre et elle était à poil et voulait que je [???] si je n’ai pas venu. Du coup, j’suis euh... c’est un peu moi qui l’a sauvée.
une chambre  n.f. — a room, a bedroom*
(être) à poil  expr. — (to be) stark naked
du coup — and so*
“Y-yeah yeah yeah! Uh, p-precisely, it’s because... I went into the bedroom and she was stark naked and wanted me to [???] if I had not come. And so, I had uh... It’s kinda me that saved her.”
— Ah c’est vraiment terrible. “That’s really terrible.”
— Bien... Tu as [???]! Sais pas! C’est vraiment trop con. “Great... you [???]! [I] don’t know! This really sucks.”
((sorry can’t 100% pick out what he’s specifically saying during [???]))
«tu ris si mal, tu ris de vide»
rire (de qqn/qqc)  v.intr. — to laugh (at sb/smth), to make fun of sb/smth
mal adv. — badly, unpleasantly*
le vide  n.m. — emptiness, nothingness*
“you laugh so unpleasantly, you laugh emptily”
«des taches de vin sur ta chemise qui a deux boutons éclatés sur ton corps qui me repoussait»
une tache  n.f — a stain*
du vin  n.m. — wine
une chemise  n.f. — a shirt*
un bouton  n.m. — a button*
éclaté(e)(s)  ptp. — bursted/burst*
un corps  n.m. — a body*
repousser qqn/qqc v.tr. — to push away/reject sb/smth*
“wine stains on your shirt which has two broken buttons on your body which was pushing me away”
«tu fais l’amour en deux poussées, blâmant le manque, la tournée»
faire l’amour  loc. — to make love
blâmant  p.pres. (blâmer qqc/qqn)  — blaming (to blame smth/sb)
le manque  n.m. (fam.) — withdrawal (alternatively, could also be absence of what is needed / lack of attraction...)*
la tournée  n.f. (fam.) — the rounds (of food, drinks)*
“you make love in two thrusts, blaming the withdrawal, the drinks”
«et pendant que tu t’articules, moi je soupire, et toi tu me menaces de partir parce que je hurle quand tu chantes tes souvenirs»
articuler qqc  v.tr. — to articulate smth
soupirer  v.intr — to sigh
menacer qqn/qqc (de qqc)  v.tr. — to threaten sb/smth (with smth)
partir  v.intr. — to leave, to go away*
hurler (qqc) v. — to howl (smth)
chanter qqc à qqn  loc. — to tell sb smth, to go on abt smth to sb, to ramble on abt smth to sb*
un souvenir  n.m. — a memory*
“and while you articulate yourself, me I sigh, and you you threaten to leave me because I howl when you go on about your memories”
«eh bien, chéri, prends donc la porte car tu sais que plus rien ne m’importe»
eh bien  loc.
chéri(e)  n. — darling*
prendre la porte  loc. — to leave by taking the door | to flee/escape an unpleasant situation*
rien ne m’importe — nothing matters to me
importer  v.intr. (v.tr. importer qqc) — to import (v.intr. is to matter (have importance), while v.tr is to import smth physically)
“Well then, darling, here’s the door ‘cause you know that nothing matters to me anymore”
«mais dis-moi adieu demain, mais dis-moi adieu en chemin. va voir les autres, je n’en pense rien. Je t’ai aimé, mais je t’assure que c’est la fin»
demain  adv. —  tomorrow
en chemin  adv. — on the way
ne penser rien de qqc — to think nothing of smth
la fin  n.f. — the end*
“but tell me farewell tomorrow, but tell me farewell on the way. go see other people, I think nothing of it. I loved you, but I assure you that this is the end”
«crois-tu pouvoir enfin me dire que tu veux bien qu’on reste amis? non, c’est gentil, ça va comme ça: les amis j’en ai plein déjà. »
enfin  adv. — at last, finally*
vouloir bien qqc  loc. — to be accepting of smth, to consent to smth, to comply with smth*
“do you really think you can tell me you’re okay with us staying friends? No, that’s nice, it goes like this: friends, I have plenty already”
«je n’aurai donc plus à t’entendre rentrer la nuit quand j’attend l’aube qui arrive en poussant les heures»d
entendre qqc  v.tr. — to hear*
la nuit  n.f. — night*
rentrer la nuit — to return [home] at night
l’aube  n.f. — dawn, daybreak*
“Then I won’t have to listen to you coming home at night while I await the dawn that arrives pushing the hours”
1 note · View note
olivierdemangeon · 4 years
Text
  Un membre des forces spéciales sud-coréennes se lancer à la recherche de sa sœur cadette, kidnappée par un groupe criminel forçant des jeunes femmes à jouer dans des films pornos diffusés en direct sur Internet…
    “Jim-seung” (짐승), ou “The Beast” pour la distribution internationale, est un thriller d’action datant de 2011, réalisé par Hwang Yoo-sik, qui signe son seul et unique long-métrage à ce jour. Les acteurs principaux sont Jung Suk-won, qu’on a pu voir dans “The Prison” (2016) ainsi que dans les saisons 1 et 2 de la série télévisée “Kingdom” (2018-2019), Jeon Se-hyun, actrice de Drama qu’on a néanmoins pu voir dans “Missing” (2009), Lee Na-ri, qu’on a pu voir dans “The City of Violence” (2003), Kim Young-hoon, acteur de Drama qu’on a toutefois pu voir dans “Good Friends” (2013) et faire une apparition dans “Howling” (2011), et enfin Yoo Sang-jae, qu’on a pu voir dans “Illang : The Wolf Brigade” (2018), et qu’on va retrouver dans le prochain “King of Prison” (2020).
Le scénario concocté par Hwang Yoo-sik, qui endosse ici la double casquette de réalisateur et de scénariste, est réduit à sa plus simple expression. L’histoire tiendrait sur un bout de nappe en papier après un repas entre amis. Le récit nous invite à suivre Kang Tae-hoon (Jung Suk-won), un membre des forces spéciales sud-coréennes ayant participé à des missions périlleuses en Irak, sur le point de partir pour l’Afghanistan. Peu de temps après le décès de sa grand-mère, la sœur de Tae-hoon, Kang Bo-ra (Lee Na-ri), jeune modèle de photos, est enlevée par un groupe mafieux qui propose des vidéos pornographiques en direct sur Internet. Tae-hoon et Se-yeon (Jeon Se-hyun), la meilleure amie et camarade de shooting de Bo-ra, vont se lancer à la recherche de cette dernière pour l’arracher à ses ravisseurs. Afin de compliquer quelque peu la situation, les supérieurs de Tae-hoon se lancent à sa recherche pour désertion.
Qui dit scénario pauvre, dit souvent personnage sans grande profondeur. Le métrage est rythmé par un nombre important de scènes d’action, mettant Tae-hoon en prise avec différents membres du gang mafieux, remontant ainsi progressivement la piste pour retrouver l’endroit où sa sœur Bo-ra est détenue. La première chose qui interpelle, c’est la pauvreté de la photographie. On se rend rapidement compte qu’on est face à un film à très petit budget. Les décors sont minimalistes. La seconde chose qui apostrophe, c’est la piètre habileté de Tae-hoon à se débarrasser de ses adversaires. Pour un pseudo-membre des forces spéciales, il rencontre de plus en plus de difficulté à se dégager de l’opposition qui lui est faite.
D’une durée de 93 minutes, “The Beast” est très dynamique, ce qui n’efface en rien le manque de profondeur du script. L’action représente donc une partie importante du récit, à travers des combats à mains nues, avec des bâtons, et même au couteau. Cependant, il demeure une certaine pauvreté dans les chorégraphies qui apparaissent comme basiques et répétitives. Le récit est pleinement linéaire, et la trame centrale se déroule en continu sur une nuit. La fin est malheureusement à l’image du reste du métrage, modeste, et même légèrement ridicule. On offre un début de romance entre les deux principaux protagonistes, soit Tae-hoon et Se-yeon, qui se conclut par le fait que cette dernière rate son bus, ce qui fait rire le premier…
Les valeurs de productions sont plutôt pauvres, la photographie est dépouillée à l’extrême, la bande originale est tellement discrète qu’on n’en retient rien et l’édition proposée par Kim Chang-joo offre au moins l’avantage d’obtenir un film qui n’est pas trop long au risque de fortement s’ennuyer. Ce dernier cependant est une pointure dans son domaine, ayant travaillé comme monteur sur des métrages nettement plus ambitieux tels que “The Face Reader” (2013), “A Hard Day” (2014), “The Admiral: Roaring Currents” (2014), ou encore “The Classified File” (2015) pour n’en citer que quelques-uns. La distribution fait de son mieux, mais le pauvre Jung Suk-won doit essayer de marcher dans les pas de Won Bin dans “The Man from Nowhere” dont “The Beast” semble vaguement s’inspirer. Pour preuve, alors qu’il est en pantalon de treillis et rangers durant toute l’histoire, un “heureux” hasard de situation, invite le personnage central à revêtir un costume noir, chemise noire, à l’instar de Cha Tae-sik (Won Bin).
En conclusion, “The Beast” est un film modeste disposant d’une histoire simpliste et d’un développement pauvre. Le rythme est soutenu, le récit est fluide et la narration est linéaire. La photographie est pauvre, la bande originale est insignifiante et l’édition permet de nous garder en éveil. La distribution fait bonne figure malgré les nombreux vides du script. Un métrage qu’on oubliera vite pour ceux qui l’ont vu et dont les autres peuvent se dispenser…
youtube
      Retrouvez-nous sur notre groupe de discussion Facebook !
    THE BEAST (2011) ★★☆☆☆ Un membre des forces spéciales sud-coréennes se lancer à la recherche de sa sœur cadette, kidnappée par un groupe criminel forçant des jeunes femmes à jouer dans des films pornos diffusés en direct sur Internet...
0 notes
marvelllblog · 6 years
Text
Braveheart 2
Fiche
Titre Outlaw King: Le roi hors-la-loi Titre VO Outlaw King Réalisateur David Mackenzie Scénaristes Bathsheba Doran, David Mackenzie, James MacInnes Acteurs Chris Pine, Florence Pugh, Aaron Taylor-Johnson, Billy Howle, Stephen Dillane Date de sortie 09 / 11 / 2018 (Netflix) Durée 2h 01 Genre Action, Biographie, Drame, Guerre, Histoire Budget 120 000 000 $
L’histoire vraie et inédite de Robert Bruce, noble vaincu de l’Écosse médiévale devenu roi contre son gré puis héros hors-la-loi en l’espace d’une année. Contraint à se battre pour sauver sa famille, son peuple et son pays de l’envahisseur anglais, Robert Bruce s’empare de la couronne écossaise et rassemble une troupe de soldats hétéroclites. Avec eux, il devra affronter la colère de l’armée la plus puissante au monde, menée par le féroce roi Édouard 1er et son imprévisible fils, le prince de Galles.
Critique
Si comme moi, t’as été dégoûté / traumatisé / enragé (aucune mention inutile n’est à rayer ici) par la fin de Braveheart, Outlaw King est pour toi. En effet, comme tu peux le deviner grâce à mon titre racoleur (Braveheart 2 pour ceux qui ont la flemme de remonter), la superproduction de Netflix (120 millions de budget, ça calme) prend place après la fin du long-métrage de Mel Gibson. Et bordel, ça fait du bien !
Depuis un moment, Netflix pousse des coudes en tant que producteur de films. Jusqu’ici, rare était ceux qui valaient vraiment le coup. J’ai notamment en mémoire Okja. Pour le coup, ce n’est pas avec Outlaw King que le service de streaming va livrer son chef d’œuvre indiscutable. Pourtant, sur papier, on n’en était pas loin. Ici, le réalisateur David Mackenzie retrouve Chris Pine après l’excellent Comancheria. Les deux sont encore une fois impeccables, chacun dans leur rôle.
L’Esprit de la Guerre
On retrouve également Quicksilver / Kick-Ass (encore une fois, aucune mention à rayer) dans le rôle de Douglas. Franchement, Aaron Taylor-Johnson, Kick-Ass quoi, m’a légèrement inquiété. Le mec, j’avais l’impression qu’il avait pris de la coke avant chaque prise. Surtout lors de la bataille finale. Il était littéralement possédé par l’esprit de la Guerre. Il avait la tronche du mec en train de voir sa femme se faire salement démonter par son meilleur ami devant lui. Pensez à lui si vous voulez faire un film God of War. Il y a moyen…
Techniquement, en plus de la réalisation solide de Mackenzie, mater le film en Ultra HD combiné avec de la Dolby Vision, c’est d’une beauté à tomber par terre. J’adore le rendu que ça donne au niveau de la boue pourtant réduite à un simple sol marron dans les films du siècle dernier. Lors de l’inévitable grosse bataille finale, ça envoie du lourd. Les nombreux panoramas distillés à droite et à gauche donnent furieusement envie de se prendre un billet d’avion pour l’Écosse. On appelle ça le syndrome Seigneur des Anneaux.
Best of de Ramsay Snow
Reste que… Game of Thrones est passés par là. Cette série a tellement ringardisé ses congénères, même au cinéma, que ça devient très difficile de tenir la cadence. Pour le coup, Outlaw King ne la tient pas. D’autant plus que j’ai sans cesse des flash-backs de Ramsay Snow vis-à-vis du méchant de l’histoire. La narration manque également de consistance. Il faut lui reconnaître qu’elle est plutôt rapide au point que les deux heures passent vite, mais je n’ai jamais vraiment eu le temps de m’attacher aux personnages. En bref, j’ai eu l’impression d’avoir un best of de l’intrigue Ramsay Snow sur deux heures.
Par Christophe Menat heureux quelque part que le méchant soit moins sadique que Ramsay Snow, le 20 novembre 2018.
Conclusion
Prenant place suite aux évènements de Braveheart, Outlaw King permet de surmonter le traumatisme infligé par la fin du film de Mel Gibson. Pour le reste, malgré un sens du rythme et du spectacle (surtout en Ultra HD combine avec du Dolby Vision), difficile de ne pas voir dans la production Netflix autre chose qu’un best of de l’intrigue Ramsay Snow de Game of Thrones sur deux heures. N’empêche, ça reste un film cool et sympa à mater.
+
Ultra HD + Dolby Vision = Yeux qui brillent
Batailles funs à suivre
Suite de Braveheart
Souffre de la comparaison avec Game of Thrones
Évènements trop vite expédiés
7/10
youtube
Poster du film Outlaw King: Le roi hors-la-loi réalisé par David Mackenzie.
Poster du film Outlaw King: Le roi hors-la-loi réalisé par David Mackenzie avec Chris Pine.
Critique : Outlaw King: Le roi hors-la-loi Braveheart 2 Fiche Titre Outlaw King: Le roi hors-la-loi Titre VO Outlaw King Réalisateur David Mackenzie…
0 notes
jay-stoner-baner · 7 years
Text
Après la publication de l’affiche de la prochaine édition du festival international de la bande dessinée d’Angoulême réalisée par Cosey que vous pouvez découvrir ci-dessous, ce fut au tour de la sélection d’albums en compétition d’être dévoilée cette semaine. Je vous propose de la découvrir ci-dessous ainsi que mon avis sur celle-ci.
Sélection Officielle
– Alors que j’essayais d’être quelqu’un de bien, Ulli Lust, çà et là – Les Amours suspendues, Marion Fayolle, Magnani – Au travail #2, Olivier Josso-Hamel, L’Association – Bangalore par Simon Lamouret, Warum – Des Bâtisseurs, Yannis La Macchia (Atrabile) – Beverly, Nick Drnaso, Presque Lune – Big Kids, Michael DeForge, Atrabile – Black dog – Les rêves de Paul Nash, Dave McKean, Glénat – Black Hammer 1,Dean Ormston & Jeff Lemire, Urban Comics – Black Project, Gareth Brookes, La Boîte à bulles – La Cantine de minuit 1, Abe Yarô, Le Lézard Noir – Les Cent nuits de Héro, Isabel Greenberg, Casterman – Ces jours qui disparaissent, Timothé Le Boucher, Glénat – Charlie Chan Hock Chye : une vie dessinée, Sonny Liew, Urban Comics – Crache trois fois, Davide Reviati, Ici Même – Crépuscule, Jérémy Perrodeau, 2024 – Dans l’antre de la pénitence, Ian Bertram & Peter J. Tomasi, Glénat – Dans la combi de Thomas Pesquet, Marion Montaigne, Dargaud – Dans le noir, Daria Bogdanska, Rackham – Demon 3, Jason Shiga, Cambourakis – Emma G. Wildford, Édith & Zidrou, Soleil – Empress, Stuart Immonen & Mark Millar, Panini Comics – L’Enfant et le maudit 3, Nagabe, Komikku – Epiphania 1, Ludovic Debeurme, Casterman – Guirlanda, Mattotti & Kramsky, Casterman – Gus 4, Christophe Blain, Dargaud – Hip-Hop Family Tree 3, Ed Piskor, Papa Guédé – L’Inconnu, Anna Sommer, Les Cahiers dessinés – Istrati ! 1 : le Vagabond, Golo, Actes Sud BD – Jérôme K. Jérôme Bloche 26, Dodier, Dupuis – Megg, Mogg & Howl – Happy Fucking Birthday, Simon Hanselmann, Misma – Le Monde à tes pieds, Nadar, La Boîte à Bulles – Les Nouvelles Aventures de Lapinot : un monde un peu meilleur, Lewis Trondheim, L’Association – Opération Copperhead, Jean Harambat, Dargaud – La Petite couronne, Gilles Rochier, 6 pieds sous terre – La Saga de Grimr, Jérémie Moreau, Delcourt – Scalp : la funeste chevauchée de John Glanton et de ses compagnons de carnage, Hugues Micol, Futuropolis – Une soeur, Bastien Vivès, Casterman – La Terre des fils, Gipi, Futuropolis – Tokyo Alien Bros 1, Shinzo Keigo, Le Lézard Noir – Urban 4, Ricci & Brunschwig, Futuropolis – Variations, Blutch, Dargaud – Les Voyages de Tulipe, Sophie Guerrive, 2024 – Voyages en Égypte et en Nubie de Giambattista Belzoni, Lucie Castel Grégory Jarry & Nicole Augereau, FLBLB – Tes yeux ont vu, Jérôme Dubois, Cornélius
Sélection Patrimoine
– Anarcoma, Nazario, Misma – C’est la jungle !, Harvey Kurtzman, Wombat – Dans l’infini – 1906-1913, G. Ri, 2024/BnF – Je suis Shingo 1, Kazuo Umezu, Le Lézard Noir – Jojo intégrale 1 (1983-1991), André Geerts, Dupuis – Nouveautés à prix cassés, Ben Katchor, Rackham – Quartier en guerre – New York années 1980, Seth Tobocman, CMDE – Soft City, Hariton Pushwagner, Inculte
Sélection Jeunesse
– 5 Mondes 1, Bouma/Mark & Alexis Siegel/Boya Sun/Rockefeller, Gallimard – Le Chasseur de rêves 2, Martin Desbat, Sarbacane – Clémence Évidence a toujours raison, Merwan & Sandrine Bonini, Delcourt – L’Écorce des choses, Cécile Bidault, Warum – L’Extrabouriffante aventure des Super Deltas, Édouard Cour, Akileos – La Guerre de Catherine, Claire Fauvel & Julia Billet, Rue de Sèvres – Hanada le garnement 1, Makoto Isshiki, Ki-oon – Imbattable 1, Pascal Jousselin, Dupuis – Le Meilleurissime repaire de la terre, Oriane Lassus, Biscoto – Pepito 2, Luciano Bottaro, Cornélius – Radiant 7, Tony Valente, Ankama – Titeuf 15, Zep, Glénat
Sélection Polar
– Bâtard, Max de Radiguès, Casterman – La Cité des trois saints, Lorenzo Bizarri & Stefano Nardella, Sarbacane – Jean Doux et le mystère de la disquette molle, Philippe Valette, Delcourt – The Private Eye, Marcos Martin & Brian K. Vaughan, Urban Comics – Le Profil de Jean Melville, Robin Cousin, FLBLB
Sélection Prix du public Cultura (albums choisis dans la Sélection officielle)
– Black Hammer 1,Dean Ormston & Jeff Lemire, Urban Comics – La Cantine de minuit 1, Abe Yarô, Le Lézard Noir – Ces jours qui disparaissent, Timothé Le Boucher, Glénat – Dans la combi de Thomas Pesquet, Marion Montaigne, Dargaud – Demon 3, Jason Shiga, Cambourakis – Emma G. Wildford, Édith & Zidrou, Soleil – Empress, Stuart Immonen & Mark Millar, Panini Comics – Epiphania 1, Ludovic Debeurme, Casterman – Les Nouvelles Aventures de Lapinot : un monde un peu meilleur, Lewis Trondheim, L’Association – Opération Copperhead, Jean Harambat, Dargaud – La Petite couronne, Gilles Rochier, 6 pieds sous terre – Une soeur, Bastien Vivès, Casterman
Mon avis
Ma première constatation à la découverte de cette sélection est une présence plus importante des éditeurs alternatifs par rapport aux 2 précédentes éditions. Nous avons donc une sélection dans l’ensemble plus exigeante. Ceci est un élément important à noter car bien qu’ils soient parvenus dans les années 1990 et 2000 à donner une impulsion nouvelle à la BD en parvenant à séduire un nouveau lectorat avec une production dite “roman graphique”, ils sont aujourd’hui à nouveau noyés sous la masse alors que les gros éditeurs historiques ont récupéré le genre. Il suffit de voir la majeure partie des prix décernés ces dernières années pour le comprendre ou plus récemment les 5 finalistes du Grand prix de la critique ACBD 2018. Une présence importante d’albums et éditeurs peu connus du grand public donc, mais qui sont rarement mis en avant ailleurs.
On retrouve néanmoins la plupart de ces 5 finalistes ainsi que les albums qui font parler d’eux depuis la rentrée en sélection officielle ici : La saga de Grimr, Opération Copperhead (Prix Goscinny du meilleur scénario), Ces jours qui disparaissent et Terre des fils de Gipi qui jusqu’alors rafle tous les prix sur son passage : Prix BD Utopiales 2017, Prix Ouest France Quai des Bulles 2017, Grand Prix RTL de la BD et Grand prix de la critique ACBD 2018. Il ne manque que L’aimant de Lucas Harari chez Sarbacane qui était le meilleur à mon goût.
De ce fait, je constate aussi un déficit de proposition pour certains prix, notamment celui de la meilleure série  qui est naturellement celui récompensant souvent une oeuvre grand public.
Malgré cela, nul doute que chaque prix trouvera son lauréat alors je vous propose mon palmarès idéal.
Prix de la BD jeunesse : mon choix se porte sur 3 mondes chez Gallimard. Mais Imbattable de Jousselin chez Dupuis, déja Prix ACBD 2018 de la BD jeunesse est un fort prétendant.
Prix du patrimoine : mon lauréat idéal est Je suis Shingo de Kazuo Umezo au Lézard Noir. Mais Jojo de Geerts à beaucoup de chance afin de récompenser la mémoire d’un auteur discret disparu il y a peu.
Prix du Polar : mon choix irait incontestablement à La cité des 3 saints aux éditions Sarbacane même si The private eye m’a aussi beaucoup plu. Mais je pense que Jean Doux et le mystère de la disquette molle déjà prix Landerneau 2017 à plus de chance.
Prix révélation : je pense à Crache trois fois de Davide Reviati chez Ici Même ou bien Tes yeux ont vu de Jérôme Dubois chez Cornélius
Prix spécial du Jury : Scalp : la funeste chevauchée de John Glanton et de ses compagnons de carnage de Hugues Micol chez Futuropolis
Prix de la série : Demon de Jason Shiga chez Cambourakis ou bien L’Enfant et le maudit de Nagabe chez Komikku
Prix du public : mes choix iraient vers Emma G. Wildford d’Édith & Zidrou ou bien Black Hammer 1 de Dean Ormston & Jeff Lemire. Mais je pense que Dans la combi de Thomas Pesquet de Marion Montaigne, Une fille de Bastien Vivès ou Ces jours qui disparaissent de Thimoté Le Boucher. Ce dernier est un bon album mais il souffre à mon goût de trop de maladresses de finition pour en faire un prétendant sérieux.
Fauve d’or du meilleur album : Les Amours suspendues de Marion Fayolle chez Magnani, un album qui possède toutes les qualités pour ce prix : de l’audace dans l’écriture et la narration, une approche esthétique forte, un propos très maîtrisé.
Mais avec un président du jury tel que Guillaume Bouzard, on peut s’attendre à tout alors rendez-vous fin janvier pour le résultat !
Du nouveau SurLaBD : #Angoulême 2018 : la sélection officielle #FIBD #BD Après la publication de l'affiche de la prochaine édition du festival international de la bande dessinée d'Angoulême réalisée par Cosey que vous pouvez découvrir ci-dessous, ce fut au tour de la sélection d'albums en compétition d'être dévoilée cette semaine.
1 note · View note
Modern Dance
Twyla Tharp once said, You pass to be either dispiritedly passionate, or real stupid. Vivacious, advance(a) and unique be a few of the words that fall d knowledge to mind when one thinks round the vivification and times of boundr, choreographer, and legend, Twyla Tharp. In her early keep Twyla was unendingly on the go. She was a diligent child, who had a broad spectrum of spring have. The author of Howling penny-pinching Heaven explains, The oldest of four children, she had an manque mother who pushed her into improving studies from preschool board: piano, violin, viola, elocution, painting, German and French, baton twirling, and of course, dance lessons (Siegel, 3). With an early life as busy as Twylas, thither is no surprise that her ambition, engage and talent only proceed as she grew up. Twyla began her educational route at Pomona College and studied dance. She afterward transferred to Barnard College and honed in on her talents in ballet at the American Balle t Theatre. At the peckish age of 23 she began her own dance comp each, The Twyla Tharp Dance Company, and in the early 1970s it achieved commodious success. Some of the most famous productions were Time Goes By (1973) and her first Broadway hit in 1980, When We Were very Young (Biography.com).\nBeing much(prenominal) a dominant core that early in her life foreshadowed the success that was bound to adopt Twyla. The author explains:\nShe disliked opinion any one causal agency was more interesting than any other; she didnt study for rising and falling curves of excitement, outstanding climaxes, and picturesque stage effects. If on that point was to be any surge involved, it should come from the extraordinary draw of challenges she threw at the dancers and the audience (Siegel, 21).\n\nHer dark-skinned and vast dance experience surely played a role in the information of her dance style and creations that are so widely cognize and acclaimed. Tharp used dance as an outlet of expression and brought life to her pieces. Furthermore, яПН... If you want to get a full essay, order it on our website: Custom essay writing service. Free essay/order revisions. Essays of any complexity! Courseworks, term papers, research papers. 100% confidential!Homework live help. Custom Essay Order is available 24/7!
0 notes
panterashadow · 6 years
Photo
Tumblr media
LÄ ÇHÄSS£-GÄLL£RÏ£ 1978 FÂBL£ D'£SPÄÇ£ [∆] ÇLÄÜD£ DÜBØÏS P∆ÑT£R∆'SH∆DØ₩ STÜDÏØ V£RSÏØÑ https://youtu.be/xI58RasCJTw PÄRÕL£S: Chasse Gallerie À force de rester dans la forêt à s'ennuyer Le diable est venu les tenter Il fallait deux semaines quand la glace s'était en allée En canot pour s'en retourner C'était déjà l'hiver, les grands froids nous mordaient les pieds Impossible de s'en aller C'était déjà Noël, le nouvel an montrait son nez Tous les hommes voulaient s'en aller Le diable guettant comme un rapace son gibier Vint leur offrir tout un marché "Dans un canot, dans le plus grand que vous avez Installez-vous là sans bouger Quand minuit sonnera, ton canot d'un coup bougera Il s'élèvera pour t'emporter Mais si l'un d'entre vous après la fête terminée Manque le bateau, vous périrez Et chez le grand Satan vous irez brûler ignorés Ignorés pour l'éternité" Le canot s'éleva, jusqu'au ciel ils furent emportés Jusqu'à leur village tant aimé Chacun revint une fois la fête terminée Sauf le dernier sans y penser Posant le pied en embarquant s'est retourné S'est retourné sans y penser Alors le grand Satan dans un tourbillon de brasier Tous et chacun a emporté Le plus jeune d'entre eux, le plus méfiant, le plus peureux Gardait comme un bijou précieux Une prière à tuer les diables de la terre Et quand il l'eut enfin citée Comme des étoiles, furent soudainement libérés Devant leur cabane isolée ÏÑFØ: https://en.m.wikipedia.org/wiki/Claude_Dubois https://en.m.wikipedia.org/wiki/Chasse-galerie La Chasse-galerie also known as "The Bewitched Canoe" or "The Flying Canoe" is a popular French-Canadian tale of Courreur des bois who make a deal with the devil, a variant of the Wild Hunt. Its best-known version was written by Honoré Beaugrand (1848–1906). It was published in The Century Magazine in August 1892. The story can be traced back to a French legend about a rich nobleman named Gallery who loved to hunt. He loved it so much that he refused to attend Sunday mass. As punishment for this sin he was condemned to fly forever through the night skies, chased by galloping horses and howling wolves, in a fashion reminiscent of the Wild Hunt. When French settlers arrived in Canada, they swapped stories with the natives and the tale of Gallery was combined with a First Nationslegend about a flying canoe. La chanson « Chasse-galerie » a été interprétée par Claude Dubois et apparaît sur l'album Fable d'espace (1978) Claude André Dubois (born 24 April 1947 in Montreal, Quebec) is a Canadian singer-songwriter. Dubois was an early star of the francophone musical Starmania. He was a vocalist in the Canadian famine relief song "Tears Are Not Enough" and was nominated Most Promising Male Vocalist at the Juno Awards of 1985. In 2001, Dubois was the recipient of the National Achievement Award at the annual Francophone SOCAN Awards held in Montreal.
0 notes
panterashadow · 6 years
Photo
Tumblr media
LÄ ÇHÄSS£-GÄLL£RÏ£ 1978 FÂBL£ D'£SPÄÇ£ [∆] ÇLÄÜD£ DÜBØÏS P∆ÑT£R∆'SH∆DØ₩ STÜDÏØ V£RSÏØÑ https://youtu.be/xI58RasCJTw https://www.instagram.com/p/Bg1PDOshSvh/ PÄRÕL£S: Chasse Gallerie À force de rester dans la forêt à s'ennuyer Le diable est venu les tenter Il fallait deux semaines quand la glace s'était en allée En canot pour s'en retourner C'était déjà l'hiver, les grands froids nous mordaient les pieds Impossible de s'en aller C'était déjà Noël, le nouvel an montrait son nez Tous les hommes voulaient s'en aller Le diable guettant comme un rapace son gibier Vint leur offrir tout un marché "Dans un canot, dans le plus grand que vous avez Installez-vous là sans bouger Quand minuit sonnera, ton canot d'un coup bougera Il s'élèvera pour t'emporter Mais si l'un d'entre vous après la fête terminée Manque le bateau, vous périrez Et chez le grand Satan vous irez brûler ignorés Ignorés pour l'éternité" Le canot s'éleva, jusqu'au ciel ils furent emportés Jusqu'à leur village tant aimé Chacun revint une fois la fête terminée Sauf le dernier sans y penser Posant le pied en embarquant s'est retourné S'est retourné sans y penser Alors le grand Satan dans un tourbillon de brasier Tous et chacun a emporté Le plus jeune d'entre eux, le plus méfiant, le plus peureux Gardait comme un bijou précieux Une prière à tuer les diables de la terre Et quand il l'eut enfin citée Comme des étoiles, furent soudainement libérés Devant leur cabane isolée ÏÑFØ: https://en.m.wikipedia.org/wiki/Claude_Dubois https://en.m.wikipedia.org/wiki/Chasse-galerie La Chasse-galerie also known as "The Bewitched Canoe" or "The Flying Canoe" is a popular French-Canadian tale of Courreur des bois who make a deal with the devil, a variant of the Wild Hunt. Its best-known version was written by Honoré Beaugrand (1848–1906). It was published in The Century Magazine in August 1892. The story can be traced back to a French legend about a rich nobleman named Gallery who loved to hunt. He loved it so much that he refused to attend Sunday mass. As punishment for this sin he was condemned to fly forever through the night skies, chased by galloping horses and howling wolves, in a fashion reminiscent of the Wild Hunt. When French settlers arrived in Canada, they swapped stories with the natives and the tale of Gallery was combined with a First Nationslegend about a flying canoe. La chanson « Chasse-galerie » a été interprétée par Claude Dubois et apparaît sur l'album Fable d'espace (1978) Claude André Dubois (born 24 April 1947 in Montreal, Quebec) is a Canadian singer-songwriter. Dubois was an early star of the francophone musical Starmania. He was a vocalist in the Canadian famine relief song "Tears Are Not Enough" and was nominated Most Promising Male Vocalist at the Juno Awards of 1985. In 2001, Dubois was the recipient of the National Achievement Award at the annual Francophone SOCAN Awards held in Montreal.
0 notes