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#tournée des plages
leszackardises · 1 year
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La belle tournée: Les invités du 26 juin 2023 (Centre-du-Québec)
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olympic-paris · 6 days
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saga: Soumission & Domination 272
Arcachon 3
Dans les 18ans (j'espère), châtain clair ébouriffé, imberbe et déjà bien bronzé avec un shorty très court. Dans les 1,75m plutôt fin mais avec des muscles bine dessiné quand même. Je tombe à genou à coté de lui et sort mon plus beau sourire. Il se pousse pour me faire une place sur sa serviette. Je m'assois dessus et en profite pour poser ma main sur son ventre. Il ne la repousse pas, du coup je la laisse et commence même à caresser lentement son torse, le maintenant au sol. Il me dit s'appeler Jules et m'avoue avoir remarqués notre groupe hier après midi déjà.
Je lui demande s'il n'est pas déçu que ce soit moi et pas un autre qui soit venu le voir ? Il ferme un oeil et, après avoir tourné le visage vers les autres occupés à jouer à une 15aine de mètre, me dis que non bien que le grand bronzé et baraqué avec qui je suis venu lui plaisait bien aussi. Je lui fais préciser et il me montre Ernesto. Je ris et lui dis qu'il a, non seulement bon goût, mais aussi un gros appétit. Comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui dis que mon ami est très, très bien équipé.
C'est lui qui me demande si nous sommes là pour un moment. Il semble déçu quand je l'informe que nous seront repartis avant la fin de la semaine. Je lui propose alors de ne pas perdre de temps et de m'accompagner derrière le premier rideau d'arbre. Il hésite et me dis qu'il y a pas mal de vieux qui y trainent. Je lui fais part de mon étonnement vu que sur la plage il n'y a que des jeunes. Il m'explique alors qu'il connait bien le coin et qu'ils arrivent par une autre route et rodent en attendant les jeunes mecs qui vont se soulager. Je me penche alors et pose mes lèvres sur les siennes. Et j'attends qu'il fasse le premier pas. Rapidement je sens sa langue glisser sur mes lèvres, s'insinuer entre elle et taper mes dents comme pour me demander l'autorisation d'entrer. J'entrouvre et c'est une véritable furie qui s'empare de ma bouche. Son bras est venu autour de mon cou pour me maintenir serré contre lui alors que sa langue virevolte dans ma bouche, cherchant la mienne et faisant bataille avec elle. Bien que cela fasse un bon moment déjà que nous sommes sur la plage, sa langue est fraîche et je prends du plaisir à lui rouler ce patin. Après un temps qui m'a paru court mais qui, selon la position du soleil, serait plutôt de pas loin d'une heure, je lui demande ce qu'il fait, tout seul.
Il me raconte : il vient de fêter ses 18ans, des parents au travail qui, l'été, s'installent dans la station où nous avons loué et qui font les trajets tous les jours à Bordeaux et un frère plus âgé qui bosse comme saisonnier dans un restaurant un peu plus loin sur la cote.
Je conclue qu'il est donc relativement libre de son temps. Il me le confirme et me dis que ses parents acceptent qu'il rentre tard où plutôt tôt le matin, après tout c'est les vacances. Je lui demande s'il serait intéressé par une invitation à une soirée privée chez nous ce soir même. Il accepte avec empressement et me demande s'il pouvait intégrer notre " groupe " dès maintenant.
Je n'en vois pas d'impossibilité mais avant de rejoindre tous les autres je passe un petit moment à lui préciser qui est qui : le groupe des parisiens et le mien sans lui dire que les deux Ducatistes sont gendarmes.
Quand je le ramène, il se fait siffler et chahuter par nos parisiens alors que mon groupe l'intègre sans chichis. Je vois qu'il a de la suite dans les idées car c'est auprès d'Ernesto qu'il cherche la sécurité !
Quand nous nous séparons, avant de nous retrouver plus tard, nous emmenons Jules avec nous. Amusant, il s'aperçoit que nous avons loués à 3 maisons de chez lui. Ernesto me glisse que le p'tit mec que j'ai trouvé n'était vraiment pas farouche et qu'il avait fait les quelques km du retour avec sa main (à Jules) sur sa bite (à lui). Je lui dis alors qu'il (lui) avait tapé dans l'oeil de Jules. Tout content, Ernesto me dit que lui c'est plutôt dans sa rondelle qu'il ira lui taper.
Le portail refermé et nous nous mettons à poil le temps de traverser la maison. Jules hésite mais quand il voit que certains ont leurs culs touts blancs, et bandent déjà, il baisse son maillot et nous fait découvrir son outillage. Comme il est tout raide, j'estime une bite de 18cm par 4/5, circoncise, avec un beau gland plutôt ovale avec deux petites couilles rasées. Quand Ernesto se retourne, il reste quand même bloqué, le regard fixé sur les attributs de notre espagnol. C'est sur que tâtés par-dessus le tissu du maillot de bain ou les voir dans toute leur nudité, c'est pas pareil !
Nos gendarmes l'attrape, un de chaque coté et le portent jusqu'à la piscine dans laquelle ils le projettent. Alors qu'il remonte à la surface, il est éclaboussé par tous les autres qui tombent autour de lui. Nous jouons, nous nous pourchassons, caressons. Il veut nous montrer qu'il n'est pas une " oie blanche " et pour cela entreprend de sucer Ernesto sous l'eau ! Nous le sauvons de la noyade alors qu'il s'étrangle avec son gland ! PH lui glisse à l'oreille qu'il n'a rien à prouver avec nous. En attendant, nous préparons la réception du soir. Jules m'aide et comme il me fait bander grave, je l'attrape et le pousse dans le bureau du ré de chaussée.
Il a compris tout de suite et se colle à moi tout bandant lui aussi. Je suis penché et lui sur la pointe des pieds. Il fini par me sauter dans les bras ceinturant ma taille de ses cuisses. Ma queue se dresse sous ses fesses. Il se trémousse alors que nous nous roulons toujours un patin, jusqu'à ce que mon gland tape sa rondelle. Il ondule du bassin et comme je le sens s'ouvrir, je le pose sur le bureau et me kpote rapidement avant de le reprendre dans les bras. Ma bite trouve aussitôt le bon chemin et je me sens m'enfoncer dans son cul. J'adore ! Rondelle ferme sans être fermée, Jules appui pour bien s'enfoncer ma bite en lui. Il relâche mes lèvres et halète un peu sous l'effort. J'ai droit à son superbe sourire quand nos os se collent.
Je m'adosse au bureau (les fesses contre le plateau). Jules en profite pour poser ses pieds dessus et des bras autour de mon cou, il se lime tout seul sur mon pieu. C'est trop bon ! Il est vraiment très chaud et j'apprécie sa façon de baiser. Son sexe se frotte à mes abdos et son gland devient violacé. Je le laisse faire quelques minute et reprend la main. Je le porte sur ma bite jusqu'au canapé et accompagne sa chute dessus. Je lui relève les jambes jusqu'à les passer sur mes épaules avant de me mettre à labourer sa rondelle. Il apprécie mes longs coups de rein et quand je fais des sorties complètes avant de me renfourner au chaud. Il attire ma tête et me roule un nouveau patin. Sa langue m'excite un peu plus et j'ai du mal à me retenir quand je sens, projeté sur mes abdos, son sperme. Je lâche les vannes et callé tout au fond de son cul, je me vide dans ma kpote. Je m'écroule sur lui. Il est encore plein d'energie et me lèche le cou, les oreilles tout en serrant son anneau. Je me retire avant de débander. Notre entrée dans la cuisine n'est pas resté discrète. Faut dire que la kpote pleine dans la main, j'aurais eu du mal a contredire le fait que nous venions de baiser. PH me la retire et passe un Sopalin entre les fesses de Jules avant de jeter le tout à la poubelle. Revenant vers nous PH lui demande si son mec, en l'occurrence moi, l'avait bien baisé. Jules me regarde, effaré, puis bredouille à PH qu'il ne savait pas pour lui et moi. Il comprend que c'est sans importance quand nous nous mettons à rire tous les deux. PH s'approche de lui et se penche pour lui rouler un patin, histoire de bien lui faire comprendre notre façon de fonctionner. Les deux gendarmes nous rejoignent à ce moment là. Ils encadrent Jules, le soulèvent et profitant de la situation, le font redescendre mais en le plantant sur G22 (Gendarme 22cm). Heureusement que j'étais passé avant, comme ça Jules a pu bien profiter, sans douleur, de la fougue militaire. PH et moi sommes restés au spectacle. Dès que Jules a été bien calé sur G22, G21 (Gendarme 21cm) l'a penché en avant jusqu'à enfoncer ses 21cm dans sa bouche et sa gorge.
Après la triple prise de plaisir, j'ai demandé à Jules si le programme était à son goût. Il me saute au cou et me dit qu'il ne lui était encore jamais arrivé un plan pareil. Ça le changeait des locaux de son âge. Je lui dis de garder des forces pour ce soir et nos invités. Je l'envoi se doucher. Il nous revient tout frais.
Vers 20h30 nos invités arrivent. Les bras pleins de bouteilles. Les bouchons sautent et les bulles coulent à flot. Ernesto surveille Jules et compte bien se le garder ce soir. Le BBQ chauffe et les grillades roussissent. Le diner est entrecoupé de séances de baises selon les affinités de chacun et le degré d'excitation du moment. Contrairement à la veille chez eux, pas de mêlée commune, mais des actions par petits groupes. Quand Ernesto est " violé " par un parisien en manque de grosse bite dans son cul, il nous confie, à nous ou à nos gendarme la garde de Jules. Ce dernier est d'accord pour se garder pour Ernesto.
J'ai deux fois profité des invités en recto comme en verso, tout comme PH. La deuxième fois, j'ai enculé le mec qui le sodomisait et quand le mec en question s'en est offusqué, arguant qu'il était plutôt actif, je lui ai répondu que c'était le prix à payer pour baiser mon mec ! Il a bien fallu qu'il s'en satisfasse coincé entre nous deux.
Finalement je crois que tout le monde a été content qu'ils partent. Il sont beaux, jeunes et bons baiseurs mais ne peuvent s'affranchir d'une certaine condescendance qui revenait souvent soit dans leurs comportements soit dans leurs propos. Je ne me suis même pas abaissé à leur mettre dans la vue nos relations dans la capitale !
Comme prévu, Ernesto s'est isolé pour le reste de la nuit avec Jules et à en croire les bruits venant de leur chambre, ils ont veillé jusqu'à très tôt. PH et moi avons fini la nuit dans les bras de la maréchaussée.
Arcachon 4
Je me réveille en même temps que G22. Nous laissons nos mecs respectifs dormir ensemble et descendons. Nous sommes les premiers. Je décide d'aller faire quelques courses. G22 m'accompagne. Je lui laisse le volant de la SL, il en mourait d'envie. Malgré les risque de tomber sur quelqu'un de sa connaissance, il roule jusqu'à Bordeaux rien que pour le plaisir de piloter l'engin. On refait les pleins (essence, champagne, viennoiseries et barbaque) et rentrons le pied dedans. Nous arrivons alors que le reste de la maison s'éveille. Ils nous aident à décharger les courses. G21 et G22 nous quitterons ce soir ! Du coup nous restons à la villa pour profiter d'eux jusqu'au bout et réciproquement.
Sans savoir ce qu'ils font dans la vie, Jules leur dis qu'il sera content de les revoir sur la plage. G22 qui se rappelle la douceur de son petit trou lui dit qu'ils reviendront dès qu'ils pourront. En attendant, G21 lui fait connaitre son coup de rein et Jules y semble aussi sensible qu'à ceux de son collègue.
Nous touzons tranquillement toute l'après midi. Ils nous quittent vers les 21h, non sans que nous ayons échangés nos n° de portables et la promesse qu'ils passent nous voir dans le " nord ".
Nous partons le lendemain pour Barcelone avant de rejoindre Sitges. Déjeuner à la frontière et nous arrivons tranquillement en début de soirée à l'appart d'Ernesto.
Marc et Hervé nous rejoignent, enfin en vacances. C'est génial.
Jardinier
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valerielemercier · 3 months
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" Il arrive qu'un journal illustré, entrouvert il y a des années, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mémorable. À l'époque où Life était l'hebdomadaire américain par excellence, dans un numéro tourné probablement par une main négligente ( toujours ce qu'on s'attendait à voir : la guerre du Vietnam ou celle de Corée, mêlée à des vedettes de cinéma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la dernière page, réservée d'ordinaire à la "photographie de la semaine", sans référence  aux événements d'actualité, élue seulement pour ce que l'image présentait  d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'était, en pleine page, un instantané de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu épaisse, sans doute située entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville à talons mi-haut, petit chapeau sûrement acheté dans un grand magasin, sac volumineux, serré sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mûres, et qui contenait à n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santé, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-être un de ces petits carrés de papier de soie imprégnés de produit chimique qui donnent à l'Américain en voyage l'impression de s'être lavé les mains. Une rombière américaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien côtés. Celle-ci était debout devant une mer calme ; une vaguelette léchait le sable à quelques mètres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le déclic, une énorme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identité avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait été une forme, une forme reconnaissable, chérie peut-être, ou détestée, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indifférence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santé ou atteinte de varices ou peut-être d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la société de consommation, s'était d'un seul coup amalgamé à la mer informe. Mrs Smith ( si c'était son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimité. J'ai repensé plusieurs fois à elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-être la seule personne sur la terre à me souvenir qu'elle a été. " M. Yourcenar
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lesdamesmures · 6 months
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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QUELQUES TRUCS BIEN. MARS 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Aller au dernier événement du printemps des poètes sous la pluie. Pleurer à chaudes larmes pendant le débat suivant la projection du film pourtant déjà vu. M’esquiver sur la pointe du cœur avant de retrouver les mots 
Fêter Pâques et les 19 ans de ma nièce, alors que mon petit Mateo goûte du chocolat 
Être surprise par la biche traversant devant moi de bon matin : émerveillement !
Aller au théâtre à l’improviste. Passer une soirée à compter les cercueils et chanter Julio Eglisias 
Retrouver mes anciens collègues de travail pour une soirée apéro. Partager des souvenirs et des tapas 
Manger des fruits de mer sur la plage 
Visiter un jardin méditerranéen avec vue sur la mer : promenade ensoleillée 
Papoter avec mon amie C. de choses légères et d’autres profondes. Se donner des nouvelles 
M’offrir un bouquin de poésie allant dans les sens de « trucs bien »
M’inscrire à un atelier d’écriture en ligne sur le conseil d’une des abonnés de mon blog 
Entendre le chant des oiseaux à l’aube 
Inscrire mon petit Mateo à une activité nautique 
Saluer la mésange qui vient me saluer de bon matin 
M’offrir des muscaris pour fleurir ma terrasse ce printemps 
Entrevoir une biche qui osait sortir du bois alors que la pluie venait tout juste de s’arrêter et que la forêt était calme. Rester surprise moi aussi 
Consoler ma sœur d’un chagrin d’amitié. Rassurer son cœur de maman 
Attendre la pluie avec l’alerte météo. Attendre aussi le soleil qui reviendra avec le printemps 
Déposer des affaires à Emmaus et me sentir plus légère de donner 
Faire le tri à la maison : ménage de printemps 
Débarrasser le terrain des déchets, trier bois, végétaux, plastiques et ferrailles 
Reprendre les tournées en camion pour aller à la déchèterie. Retrouver ma carte perdue depuis des années 
Faire des vocalises et presque une conversation avec mon petit Mateo 
Découvrir la montagne enneigée le matin après l’orage de la nuit 
Partager un week-end entre filles : sonorités 
M’émerveiller devant les tableaux de Mucha. Avoir les larmes aux yeux devant son engagement humaniste 
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ellednorih · 9 months
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Ce sont des robinsons malades : il leur faut piétiner le bleu. Des plages n’y suffisent pas, ni de longues stations dans les ports, accoudés au parapet de pierre, ni leurs collections d’images peintes, leurs croix de fer forgé, leurs idoles de plastique ou de bois peint, leurs carnavals et leurs cortèges commémoratifs. Il leur faut encore des mots insolvables et des figures de rhétorique, des phrases où la pensée flotte dans des habits trop grands, des fleurs en bouquets ou en pots, des symboles, des rites et des systèmes, toutes sortes de machines fabriquant des éclairs et de la fumée, de grandioses mises en scènes de Naissances et d’Apocalypses. Prêter à leur âme des contours, la mettre en boîte, et s’enfermer avec elle dans ce sépulcre, le dos tourné au bleu du ciel.
Jean-Michel Maulpoix, Une histoire de bleu (1992)
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La fameuse plage de Stavros, là où a été tourné le film Zorba le Grec avec Anthony Quinn. On a fait trempette dans cette piscine d’eau naturelle formée dans la lagune.
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bonheurportatif · 1 year
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En juillet, j'ai quitté tumblr (4)
22 juillet J'ai remonté la plage avec ma chérie et observé les tableaux de saison. J'ai temporisé dans la rue pour éviter la discussion avec la voisine bavarde. J'ai découvert le nom de l'étoile de mer à 11 branches que Cadette avait observée à Colera : un crachat d'amiral. J'ai préparé une belle salade d'été. J'ai lu Au bonheur des titres, de Thierry Paquot. J'ai mangé une gaufre.
23 juillet J'ai dormi dans le canapé pour laisser ma chérie malade dormir tranquille. Je me suis fait piquer par un moustique. La supérette bio était fermée. J'ai fait les courses dans la grande surface où je n'aime pas aller. J'ai survolu Faire la fête, sociologie de la joie, de Philippe Steiner. J'ai préparé ma première focaccia et j'ai attentivement observée toute sa cuisson. J'ai préparé quatre petits pâtons de pizza. Nous avons retrouvé Olivier et Virginie sur le front de mer. J'ai trouvé que certains mots ne sonnaient pas justes.
24 juillet J'ai clarifié un doublon de rendez-vous chez le dentiste. Dans la rue, la guerre du stationnement au plus près de sa location de vacances a fait rage. J'ai bien réussi une petite pizza courgettes-menthe. J'ai accompagné les filles dans les magasins. J'étais en mission secrète de repérage. J'ai acheté trois T-shirts. J'ai appelé ma mère pour la sainte Christine et je savais qu'elle savait que je ne l'appelais pas pour ça. J'ai fait sur commande un petit tofu aux lentilles plutôt réussi. De randonnée en résidence, je le suis égaré sur internet. J'ai bidouillé du code HTML à tâtons, sans dégâts apparents, ni résultats (encore) visibles. (Junior a commencé sa partie de jeux en ligne à minuit moins le quart.) Je me suis endormi bercé par le bruit des vagues.
25 juillet J'ai laissé en plan la caisse automatique, qui ne voulait pas lire les codes-barres. J'ai étendu et plié deux tournées de linge. J'ai survolu Les Formes brèves, d'Alain Montandon. Je n'ai pas résisté à l'appel de la sieste. J'ai complètement oublié que je voulais faire une nouvelle tentative de focaccia. J'ai rêvé de Jura suisse.
26 juillet J'ai passé la matinée sur des sites de revues universitaires traitant de divers rapports textes/images. J'ai tranché dans la chair ferme de deux grosses tomates. Je n'ai rien trouvé chez le libraire. J'ai attendu Junior à l'ombre de la cathédrale, sur la rampe d'accès, nouvelle pièce à ajouter à ma collection de lieux d'attente en pleine conscience. J'ai acheté d'impulsion six pasteis de nata en passant devant la boutique. Un commanditaire m'a appelé pour me donner du boulot avant ses vacances. On est arrivé pile à l'heure pour le train de la chérie de Junior. Une piste inoccupée était ouverte spécialement pour moi à la station-service parmi de nombreuses files de bagnoles.
27 juillet J'ai maladroitement tenté de me suicider à deux reprises dans mes rêves : une première fois en allant me noyer en mer après avoir dérivé nu allongé sur un paddle au large de la plage ; une seconde, dans ma chambre d'adolescent, après avoir avalé au petit matin un comprimé létal prescrit comme un médicament, échouant pour diverses raisons à rédiger ma lettre d'adieu : pas de feuilles A4 vierges pour écrire, mauvais choix des mots destinés à mes parents, etc. Dans les deux cas, j'en suis sorti vivant. J'ai fait mon petit sac pour notre séjour charentais. J'ai calé sur le gros poke-bowl. J'ai retrouvé la ville et mes impressions mitigées. J'ai mobilisé deux libraires pour chercher un bouquin sur leurs rayons. C'est ma chérie qui l'a trouvé. J'ai fait un arrêt dans l'autre librairie, bien plus accueillante. J'ai fait un détour par les petites rues. J'ai lu Déplacer le silence de Etel Adnan. On a dormi sur un lit de fortune dans le salon de Cadette.
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MERCREDI 19 AVRIL 2023 (Billet 3 / 4)
Au fait, connaissez-vous Essaouira ?
Nous y sommes allés lorsque nous séjournions au Club Med d’Agadir et JM y est retourné quelque temps plus tard lorsqu’il avait été chargé de prendre des plans vidéo (pour le Club) d’un Circuit dans le Sud, Circuit qui se terminait par la visite de cette très charmante et typique petite ville portuaire.
La vidéo (5 minutes) est très bien faite même si elle a été tournée au mois d’août, une période toujours très brouillardeuse dans cette région. Une chose est sûre, à moins de faire du kite surf, la plage est à éviter. Mention spéciale pour le montage et le choix musical.
Nous la dédions bien évidemment à la petite famille qui s’y trouve en ce moment et à tous ceux qui ont entendu parler de cette ville mais sans en avoir vu beaucoup d’images.
Nos petits doigts nous disent que l’année prochaine, il y a de fortes chances que nous…
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corydon8 · 1 year
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IL EXISTE POURTANT
Il existe pourtant des pommes et des oranges
Cézanne tenant d’une seule main
toute l’amplitude féconde de la terre
la belle vigueur des fruits
Je ne connais pas tous les fruits par cœur
ni la chaleur bienfaisante des fruits sur un drap blanc
Mais des hôpitaux n’en finissent plus
des usines n’en finissent plus
des files d’attente dans le gel n’en finissent plus
des plages tournées en marécages n’en finissent plus
J’en ai connu qui souffraient à perdre haleine
n’en finissent plus de mourir
en écoutant la voix d’un violon ou celle d’un corbeau
ou celle des érables en avril
N’en finissent plus d’atteindre des rivières en eux
qui défilent charriant des banquises de lumière
des lambeaux de saisons     ils ont tant de rêves
Mais les barrières       les antichambres n’en finissent plus
Les tortures        les cancers n’en finissent plus
les hommes qui luttent dans les mines
aux souches de leur peuple
que l’on fusille à bout portant     en sautillant de fureur
n’en finissent plus
de rêver couleur d’orange
Des femmes n’en finissent plus de coudre des hommes
et des hommes de se verser à boire
Pourtant malgré les rides multipliées du monde
malgré les exils multipliés
les blessures répétées
dans l’aveuglement des pierres
je piège encore le son des vagues
la paix des oranges
Doucement Cézanne se réclame de la souffrance du sol
                                                   de sa construction
et tout l’été dynamique s’en vient m’éveiller
s’en vient doucement     éperdument me léguer ses fruits
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englishindubellay · 4 days
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ecg 1 phrases avec corrigé
Les 2 passés : -ed vs was/were + -ing
1.    Dis-moi Julia, es-tu allée à la piscine dimanche dernier ? Je crois t’y avoir vu. (Un bassin, plonger, un maillot de bain, a buoy, a life-guard, to crawl)
Tell me Julia, did you to the pool last Sunday ? I think I saw you there. (a pool, to dive, a swimming suit, une bouée, un maître-nageur, ramper)
2. Axel ne s'est pas senti bien quand il s'est fait vacciner l'année dernière. A t'il pleuré ? (Un vaccin, une piqûre, du sang, to test positive for covid)
Axel did not feel too well when he got vaccinated last year. Did he cry ? (a vaccine, an injection, blood, être positif au covid)
3. Maugan n'a-t-il pas travaillé comme serveur dans le bar de son oncle en juillet ? Je crois que oui. (Un pourboire, l'addition, une serveuse, to go pub-crawling, a pint of ale, to play darts)
Didn’t Maugan work as a waiter in his uncle’s bar in July ? I think so. (a tip, the bill, a waitress, faire la tournée des bars, une pinte de bière, jouer aux fléchettes)
 4.    L’été dernier, Pierre-Louis a visité New York mais il n’a pas vu le Grand Canyon. Quel dommage ! (Un paysage, un aventurier, un randonneur, a no-frills airline, to go on a cruise, a cruise-ship, the 3 S, a backpacker)
Last summer, Pierre-Louis visited New York but he did not see the Grand Canyon. What a shame ! (a landscape, a backpacker, a hiker, une compagnie aérienne économique, faire une croisière, un bateau de croisière, soleil, plage, mer, un aventurier)
  5.    Léna dormait quand Lisa S. l’a appelée pour la réveiller. Heureusement, sinon elle aurait été en retard. (Un cauchemar, un somnambule, un réveil-matin, to get up on the wrong side of the bed, an early bird, an night owl, to oversleep)
Léna was sleeping whan Lisa S. called her to wake her up. She did well, otherwise she’d’ve been late. (a nightmare, a sleepwalker, an alarm-clock, se lever du pied gauche, être du matin, un noctambule, avoir une panne de réveil)
 6.    Anissa est arrivée, a demandé 10 euros à Clément, puis est rentrée chez elle à pied. Je crois qu’elle est fauchée. (Une livre, une pièce, un billet, a quid, a buck, a tenner, a fiver, to flip a coin, to foot the bill, it's on me !)
Anissa arrived, asked Clément for 10 euros then walked back home. I think she’s broke. (a poune, a coin, a note, une livre, un dollar, dix livres, cinq livres, jouer à pile ou face, régler l’addition, c’est ma tournée)
  7.    Quand as-tu vu Lauriane pour la dernière fois ? C’était il y a deux jours. Elle était en pleine forme. (Un généraliste, une ordonnance, un infirmier, to feel under the weather, to be in top shape, to recover from)
When did you last see Lauriane ? It was two days ago. She was in top shape. (a GP, a prescription, a male nurse, se sentir patraque, être en forme olympique, se remettre de)
 8.    Quand il était jeune, Célian voulait devenir avocat mais il a changé d’avis l’année dernière. (Un tribunal, libérer sous caution, être condamné, to take someone to court, an ambulance chaser, to be sentenced to)
When he was younger, Célian wanted to be a lawyer but he changed his mind last year. (a court of justice, to free on bail, to be sentenced, poursuivre en justice quelqu’un, un avocat à la recherche de clients, être condamné à)
  9.    Dis-moi Tom, qu’as-tu fait hier à 20 heures. Moi, je suis allé à la BU. (Une étagère, emprunter, un adhérent, don't judge a book by its cover, it's a good read, un roman, the plot, emprunter à, prêter à)
Tell me Tom, what did you do yesterday at 8 pm. I did go to the college library. (a shelf, to borrow, a member, l’habit ne fait pas le moine, un bon bouquin, a novel, l’intrigue, to borrow from, to lend to)
 10.    Dis-moi Lise, que faisais-tu hier à 22 heures. Moi, je dormais. (Un oreiller, une couverture, des draps, sleep tight ! Sweet dreams ! Un cauchemar)
Tell me Lise, what were you doing yesterday at 10 pm ? I was sleeping. (a pillow, a blanket, sheets, dors bien, fais de beaux rêves, a nightmare)
  11.    Colyne s’est endormie pendant qu’elle regardait les J.O sur la BBC. C’est triste. (Une émission, un présentateur, une chaîne, to broadcast live, an anchorwoman)
Colyne fell asleep while she was watching the Olympics on the BBC. How sad8 (a programme, an anchorman, a channel, retransmettre en direct, une présentatrice)
 12. J’ai vu Malo hier au Jardin des Plantes : il mangeait un sandwich et lisait un livre. Cela permet de se détendre. (Un banc, un buisson, une mare, the wildlife, a kitchen garden, a gardener)
Yesterday I saw Malo in the botanical garden : he was eating a sandwich and reading a book. It’s a way to unwind. (a bench, a bush, a pond, la faune et la flore, un potager, un jardinier)
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4magnoliaherself · 1 month
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Il y a une collection de cartes postales dans sa tête et certaines sont d'un goût douteux. Chaque instant est enregistré comme une image achetée à la sortie d'un musée, puis classée dans une boîte en fer-blanc. Elle ne les ressort pas pour les étaler sur la table, trop de poussière, (...) il faudrait avoir l'envie de les déchiffrer, mais ça ne viendra pas. Des couchers de soleil sur les plages, des éclats de voix lointains, des places vides sous les réverbères (...). Un bric-a-brac. Les images oubliées surgissent parfois, inopinées, importunes, dans le désordre. Des bulles qui crèvent la surface de l'étang (boueux, l'étang). Des polaroïds sortis du chapeau au mauvais moment. Répliques de films, paysages de livres, anciens rêves, réparties cinglantes réfléchies après coup, tournées et retournées et fantasmées, souvenirs d'enfance ou de la semaine dernière. Sacré foutoir. Elle ne distingue pas là-dedans le réel de la fiction.
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toutmontbeliard-com · 2 months
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Sortir ce week-end à Montbéliard
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Voici la sélection ToutMontbeliard.com d’idées sorties pour ce week-end : VENDREDI 19 JUILLET 2024 - Festival Eurocuivres 2024 dans le Pays de Montbéliard > infos - Capitale française de la Culture : les "vendredis musiques" de la Maison pour Tous de Pont-de-Roide-Vermondans avec Jay Brush (rock pop), Parc du CCAS, à 20h30 > infos - Capitale française de la Culture : Résonance Bois Le souffle des instruments à son naturel à Roches-lès-Blamont, à 19h00 > infos - Marché du soir dans le Pays de Montbéliard, de 17h00 à 22h00 > infos - Pic’Nic Musical à Audincourt, Espace Japy sous la Guinguette, mini-vacances musicales de 18h00 à 20h00, Colette Connexion de 20h00 à 22h00 - Concert de restitution des Vacances Musicales à Audincourt, La Filature, à 20h00 - Cinéma en plein air à Audincourt, parking devant les locaux de la MJC rue des Champs de l’Essart, à 20h00 SAMEDI 20 JUILLET 2024 - Festival Eurocuivres 2024 dans le Pays de Montbéliard > infos - Les Estivales du Près-la-Rose de Montbéliard 2024 > infos - Capitale française de la Culture : Tournée zéro-carbone du spectacle L’Autre Chose, à l'École de Longevelle-sur-Doubs à 19h00 > infos - Capitale française de la Culture : Résonance Bois Le souffle des instruments à son naturel à Sainte-Marie, à 18h30 > infos - "La plage s’amuse" à la Base de Loisirs du Pays de Montbéliard de Brognard, journée ludique pour les enfants, de 13h00 à 18h00 - Tribute to Hallyday à Bavans, Salle polyvalente, à 21h00, par l'association Ascap Handicapable - Baptêmes de plongée à la Plage de Pont-de-Roide-Vermondans, de 10h30 à 12h30 et de 14h30 à 16h30, par L'Aquatique Club Sochalien > infos - La Nuit du Foot au Stade Bonal de Montbéliard, de 14h30 à 0h30, par Sociochaux > infos DIMANCHE 21 JUILLET 2024 - Festival Eurocuivres 2024 dans le Pays de Montbéliard > infos - Capitale française de la Culture : Château en scène au Château de Montbéliard, avec La tribu des Bezéd’H, à 20h00 > infos - Capitale française de la Culture : Tournée zéro-carbone du spectacle L’Autre Chose, à l'École de Lougres, à 17h00 > infos - Capitale française de la Culture : Pique-nique sonore au Fort du Mont-Bart, de 12h00 à 18h00 > infos - Braderie des commerçants d’Audincourt, centre-ville, de 8h00 à 18h00 - Tournoi de volley outdoor sur herbe à Audincourt, Stade des Forges Perlinski, dès 9h30 Une idée sortie à proposer pour un prochain week-end ? Contactez-nous via www.toutmontbeliard.com/contact Read the full article
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deragemonotone · 3 months
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Thèmes et Motifs (1)
Jardinage d’échos
graphies de battements de cœurs d’artichauts et de battements de cils tournés vers le ciel scarifié d’empreintes écologiques de fuselages carbone
châteaux de paille en Espagne cartes de relais chapeaux seaux à pâtés de champagne sur plages cultivant l’écume
nuits brouillard bruits de brumes rumeurs de vagues
coquilles, fautes mal commises
jeux de sons, jeux d’images pièces de rechange de sens
projection de plages sur écran bleu de mer
application d’écran total sur la face du vent exposée au soleil
lancer de voiles, lâcher de nuages
travaux de terrassement d’idées sur terre-plein stabilisé de fumées
recherche de sens à l’absurde de cette vie nous contenant en vitrine superficielle
éruption de vocalises irruption de l’imprévu
trousse d’urgence de mots de premiers secours
télescopage d’arrêts sur images cassette, caméscope, kaléidoscope
lancer franc de grenades à fragmentation de souvenirs
bonne facture d’effet boomerang sur trace d’effraction mémoire
pompons, figurines, médaillons
parachutage de troupes de tropes d’assaut frustrations lexicales découvertes syntaxiques
premières manifestations d’un grain doux de folie prémices préliminaires des délices de la folie propos liminaires concernant la folie la concernée douleur la douceur concertée
choses, machins, trucs, bidules binious, bazars, zinzins
accumulation de charges évacuation de tensions
fermetures éclair de brèches dans un ciel zébré d’hirondelles
orage sans pitié hirondelle foudroyée en plein cœur en plein ciel de l’été
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nardirct · 4 months
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detournementsmineurs · 5 months
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"Hollywood Normandie, Histoire d'un Débarquement" documentaire de Justin Lecarpentier et Vic de Mayo (2022) sur la genèse du film "Le Jour le Plus Long" de Darryl F. Zanuck (1962), mai 2024.
Avec la participation des élèves de l'école de l'Armée de l'Air française de Saintes comme figurants du débarquement en Normandie tourné sur la plage de Rivedoux de l'Île de Ré (1961)... dont mon père tout juste 15 ans ^^)
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