Tumgik
#tracentic
mel-et-ses-histoires · 7 months
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Hier YT me proposais en suggestion une video "analyse" sociologique sur le diagnostic d'hpi.
Alors le mec avait bossé rien a dire ca durait plus d'une heure avec des aspects historique toussa mais autant j'aime la socio autant des fois les mecs partent de la conclusion qu'ils veulent avoir et tracent le chemin apres.
En résumé le diagnostic d'hpi c'est un diagnostic au service de la bourgeoisie creer pour critiquer l'ecole et se distinguer des classes sociales basses.
Et moi j'etais genre..."ouai enfin c'est un diagnostic medical surtout a la base hein, je me fais pas chier avec des échelles pour rien. Et si ca se retrouve plus chez les csp+ que les ouvriers c'est pas un complot bourgeois c'est aussi que c'est plus facile d'avoir un développement cérébral optimal quand y a pas de probleme de santé, d'argent, que tout le monde est present etc".
Vivement qu'on m'explique que le diabète est un diagnostic créé par coca cola.
(ah et soyons clair, quand je parle d'hpi je parle bien du terme medical, les intelligences emotionelles, zèbres, cristal et toussa c'est une vision du monde de horoscope magazine, pas du milieu scientifique).
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megaverserpg · 3 months
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Âmes liées
Dans les cieux embrasés, une nuit de fête éclate, annonciatrice d’un évènement divin : la naissance des âmes. Sous le regard attentif des oracles, les astres tracent leur chemin à travers l’obscurité, déterminant le moment où les âmes viendront fouler la terre. Lors de leur chute, il arrive que les étoiles se croisent, s’enlacent et achèvent leur course ensemble, imprégnées de l’autre. Unies dans leur trajectoire, elles sont alors liées par un lien intangible à travers les cycles de leurs (ré)incarnations. Qu’elles soient romantiques (”âmes destinées”), amicales / familiales (”clusters”) ou jumelles cosmiques, leur destin est scellé. Tu peux choisir parmi les différentes options suivantes, qui sont cumulables, ou n'en choisir aucune, si tu préfères que ton personnage n'aie aucune âme liée.
Pour toutes les âmes liées :
⭢ co-conscience : dans les moments de détresse, elles peuvent atteindre l’état de co-conscience, co-habitant temporairement dans un même corps pour affronter les défis se dressant sur leur chemin.
⭢ télépathie : capacité à communiquer par la pensée, la télépathie n’est pourtant pas aussi invasive que l’on peut le croire : il est possible de créer des barrières dans l'esprit pour ne pas entendre la / les personne·s et ne pas se faire entendre en retour. La possibilité d’ouvrir ou de fermer des canaux de discussions s’acquiert plus ou moins facilement d’une personne à l’autre.
Âmes Destinées
Les âmes destinées sont âme sœurs, liées par les étoiles, portées à l'univers afin d'être ensemble. Ce lien mystique vient se tisser dans les étoffes du cosmos, et ce toutes dimensions confondues. Dans les nuits où les songes se mêlent à la réalité, les âmes-liées peuvent partager des rêves lucides, mais les visages ne sont distincts que pour la personne ayant deviné l’identité de son âme-liée. Lorsqu'elles sont amenées en contact, aussi bien lors de la première rencontre qu’à la réalisation des âmes concernées, une marque commune (Soulmark) vient prendre place sur l’épiderme à la manière d’un tatouage.
Clusters
Âmes liées les unes aux autres de manière platonique, si la dimension romantique n'est pas inscrite dans ce lien, il n'en est pas moins puissant. Les âmes d'un cluster peuvent se projeter astralement, permettant une connexion profonde entre les membres du groupe.
Jumeaux Cosmiques
Dans le tissu des mondes parallèles, un phénomène mystique s'est dévoilé : la naissance de jumeaux·elles à travers deux dimensions soeurs. Ces âmes élues émergent à l’unisson, nées du même souffle de vie. Pourtant, malgré leur apparence identique, iels sont des reflets contrastés l’un·e de l’autre, des échos divergents de la même essence. Leurs particularités, leurs caractères, leurs destins, tout les sépare et les unit à la fois. Le phénomène ne se manifeste qu’entre les deux Terres et n’inclut pas la dimension Fae. En choisissant un jumeau cosmique, cela veut donc dire qu'à Neferis, un autre personnage avec ton faceclaim peut-être joué, et sera intrinsèquement relié au tien.
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“Dans l'antre du club de jazz, où l'obscurité se marie à l'ivresse, je m'enfonce dans l'ombre, isolé dans ma détresse. Le serveur, parfois messager discret des prémices concubines, me transmet, sur un voile, une écriture divine.
"Bonjour, Monsieur", alors, commence l'histoire de cette nouvelle vie ; une femme élégante, envoûtante mélodie. Elle désire être le chemin où nos pas se confondent, où nos empreintes tracent ensemble une autre ronde.
Dans l'attente fébrile, je pose ma plume sur le papier. "Bonjour, Madame," ma réponse, fragile pensée - peut-être, sur le chemin où je me suis égaré, nous croiserons-nous - vouée à découvrir nos affinités.
Le serveur, tel un oiseau portant mon émoi, la serviette en main, vers elle se déploie. Et ainsi, entre les harmonies et les murmures ensorcelants, s'ouvre l'étrange bal de deux amants au destin voluptueux et troublant.„
~•~
“In the den of the jazz club, where darkness blends with intoxication, i sink into the shadows, isolated in my distress. The waiter, sometimes the discreet messenger of concubine premices, transmits divine writing to me on a veil.
"Bonjour, Monsieur", then, begins the story of this new life ; an elegant woman, bewitching melody. She wants to be the path where our footsteps merge, where our footprints trace together another round.
In feverish anticipation, i put pen to paper. "Bonjour, Madame," my reply, a fragile thought - perhaps, on the path where i've lost my way, we'll cross paths - destined to discover our affinities.
The waiter, like a bird carrying my emotion, napkin in hand, towards her, unfurls. And so, between bewitching harmonies and murmurs, the strange dance of two lovers with a voluptuous and troubling destiny begins.„
~•~
— Fred Leforgeur-Baudelaire
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Visual art applied : Watercolor, felt-tip pens and oil : FLB (Fred Leforgeur-Baudelaire)
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jeanchrisosme · 8 months
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La vie, parfois, nous confronte à des silences indescriptibles. Ces moments où les mots se perdent dans l'écho de l'âme, où le cœur souffre en silence. Ne jugez pas ceux qui portent leur douleur en silence, car peut-être n'ont-ils pas trouvé d'épaule où déposer le fardeau de leurs tourments. Certains errent dans l'obscurité de leurs pensées, cherchant désespérément une lueur d'empathie. Ils tracent des frontières invisibles entre eux-mêmes et le monde, non par choix, mais par nécessité. Leur incapacité à confier leurs peines à autrui ne les rend pas forts, mais plutôt des âmes dispersées en quête de réconfort. Les joies qui jadis illuminaient leur existence ont perdu leur éclat. Ils errent, égarés, à la recherche de leur essence au milieu du tumulte quotidien. Ne blâmez pas ces êtres égarés, car ils ne cherchent pas la pitié, mais la paix intérieure. Chacun cache des cicatrices invisibles, et parfois, le cri de détresse demeure étouffé. Ne condamnez pas l'inconnu, car personne ne mesure la profondeur de la douleur qu'il endure. Ils s'éteignent momentanément, cherchant refuge dans le sommeil pour échapper à une réalité oppressante, cherchant à survivre plutôt qu'à vivre. Apprenons la compassion, car derrière chaque regard silencieux se cache une histoire que seul le cœur peut entendre. Ne soyons pas juges, mais plutôt des artisans de compréhension, car personne ne sait réellement ce que nous traversons.
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lisaalmeida · 1 year
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“ Mais il savait que les rencontres sont rarissimes, celles qui émeuvent, transforment et tracent une frontière sur le temps pour qu’il y ait un avant et un après.”
- Yves Simon
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Ma femme a du crédit. Une société entièrement placée sous surveillance. Des caméras dans les rues, une pour deux habitants. Des applications sur le téléphone portable qui vous tracent à chacun de vos déplacements et enregistrent tout de vos habitudes de consommation. Voilà le quotidien des chinois, confrontés à cette technologie qui juge leurs vies chaque jour, chaque heure, chaque seconde. Lulu est la femme de Sébastien Le Belzic. Journaliste installé à Pékin depuis 2007, il a décidé de filmer son quotidien pour comprendre en quoi cette révolution technologique et sociale impacte la vie
Les caméras de surveillance ont été installées début 2000
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aurevoirmonty · 1 month
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"Ah ! quelle bassesse est la vôtre ! Ne rougissez-vous point de mériter si peu votre naissance ? Êtes-vous en droit, dîtes-moi, d'en tirer quelque vanité ? Et qu'avez-vous fait dans le monde pour être gentilhomme ? Croyez-vous qu'il suffise d'en porter le nom et les armes, et que ce nous soit une gloire d'être sorti d'un sang noble lorsque nous vivons en infâmes ? Non, non, la naissance n'est rien où la vertu n'est pas. Aussi nous n'avons part à la gloire de nos ancêtres qu'autant que nous nous efforçons de leur ressembler ; et cet éclat de leurs actions qu'ils répandent sur nous, nous impose un engagement de leur faire le même honneur, de suivre les pas qu'ils nous tracent, et de ne point dégénérer de leurs vertus, si nous voulons être estimés leurs véritables descendants. Ainsi vous descendez en vain des aïeux dont vous êtes né : ils vous désavouent pour leur sang, et tout ce qu'ils ont fait d'illustre ne vous donne aucun avantage ; au contraire, l'éclat n'en rejaillit sur vous qu'à votre déshonneur, et leur gloire est un flambeau qui éclaire aux yeux d'un chacun la honte de vos actions. Apprenez enfin qu'un gentilhomme qui vit mal est un monstre dans la nature, que la vertu est le premier titre de noblesse, que je regarde bien moins au nom qu'on signe qu'aux actions qu'on fait et que je ferais plus d'état du fils d'un crocheteur qui serait honnête homme, que du fils d'un monarque qui vivrait comme vous."
Molière : Dom Juan : IV-4.
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au-jardin-de-mon-coeur · 10 months
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Les yeux, véritables puits d'émotions, narrent des histoires muettes.
Chaque regard plonge dans les méandres du vécu, où se dessinent des paysages intérieurs, des horizons forgés par le temps.
Les iris, comme des cartes géographiques, tracent des lignes entre passé et présent.
Dans ces fenêtres de l'âme, les souvenirs se mêlent aux émotions, créant un tableau vivant de la vie.
La mémoire, fragile et précieuse, se love dans les reflets changeants de ces yeux, témoins silencieux d'une existence écrite en lignes de regards croisés.
Chaque clignement devient une pause, une respiration entre les chapitres d'une autobiographie que seul l'écho des yeux peut révéler.
Source FB
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iranondeaira · 1 year
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« Arrêtez les horloges, coupez le téléphone,
Jetez un os au chien pour que ses aboiements ne résonnent,
Faites taire les pianos et au son d’un tambour voilé
Sortez le cercueil, qu’avance le cortège endeuillé.
Que les avions tournoyant dans les airs déplorent
Et tracent sur le ciel le message Il est Mort.
Nouez des rubans de crêpe au cou blanc des pigeons des squares,
Et que les mains des gendarmes soient gantées de coton noir.
Il était mon Nord, mon Sud, mon Est et mon Ouest,
Ma semaine de labeur et mon dimanche de sieste,
Mon midi, mon minuit, ma langue, ma chanson ;
Je croyais que l’amour durerait à jamais : je sais à présent que non.
Éteignez les étoiles ; elles ne sont pas conviées à la veille.
Remballez la lune et démontez le soleil,
Videz l’océan et balayez les forêts ;
Car plus rien de bon ne saurait advenir désormais.
Tel est le « Funeral Blues » de W. H. Auden, »
Le bleu de la nuit
Joan Didion
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epine-dorsale · 4 months
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Quand elle est là
Je suis toujours là
Nous ne sommes que
Deux parallèles qui tracent des fantasmes dans le
Ciel
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yenasmatik · 10 days
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Second contact
Naruto - Lee & Gaara (almost shippy if you squint) Prompt: Hug ask game, Câlin Réconfortant (comforting hug) Takes place after the Lee&Gaara vs Kimimaro fight Content warnings: Gaara's general personality and trauma?
[in French]
Quand ils arrivent devant les portes de Konoha, la tête de Lee a roulé contre l'épaule de Gaara. Il titube plus qu'il ne marche, mais son bras reste ferme. Sa respiration est lente, bruyante, et son souffle brûle la peau presque à nu de Gaara.
"Lee. Nous sommes arrivés."
Lee redresse brusquement la tête, et ses cheveux tracent une ligne de frissons contre l'armure fine comme du papier sur la joue de Gaara.
"Ah !" Il penche la tête, se contorsionne pour… observer l'état de son corps ? "J'ai rouvert deux soutures, Tsunade-sama va être fâchée…"
Gaara cligne des yeux. Tsunade - la nouvelle Hokage, d'après les explications de Temari. Une kunoichi célèbre pour ses exploits pendant la guerre. Gaara avait l'impression que Konoha traitait ses ninja comme de petites… choses…. précieuses ? Mais le Hokage précédent avait fait un discours sur la violence de l'examen (comme si Konoha, grand vainqueur de la dernière guerre, pouvait comprendre la violence de ses guerres par proxy). Peut-être que le chef du village se charge de distribuer les punitions aux soldats qui n'obéissent pas assez aux ordres ?
Lee a dit qu'il n'en voulait pas aux autres pour… pour… Mais il en veut sûrement à Gaara. Pour.
Il a laissé Gaara l'aider, laissé Gaara l'accompagner, laissé Gaara le porter. (Laissé Gaara le toucher. Il devrait pourtant savoir, connaître chaque raison de rester loin, loin d'un monstre comme…)
Lee a désobéi à la nouvelle Hokage. Elle lui avait donné des ordres spécifiques, et elle sera furieuse de son manque de contrôle. Dans son état, quelles sont les chances de Lee de survivre à un chuunin missionné pour l'assassiner ? Un jounin ? Un anbu ?
Quelque chose gronde entre les côtes de Gaara. (Lee l'a laissé le toucher. Lee, un être humain, une personne en chair et en os, qui lui a fait face et l'a blessé le premier, qui a échappé au sable de mè…. de Shuukaku, s'est reposé contre son flanc, agrippé à son épaule. Et l'a touché, sans frémir. Pendant deux heures.)
La voix de Temari résonne à ses oreilles. Il ne doit pas attaquer Konoha. Ne doit surtout, surtout pas nuire à la diplomatie entre son village et le leur. C'est sa grande sœur qui le lui demande.
Gaara cligne des yeux. Sa vue est étrangement trouble, tout à coup. (Lee l'a laissé le toucher.)
Il pousse lentement Lee sur ses jambes, l'aide à se tenir droit. Temari ne lui a pas demandé de ne pas aider Lee à garder l'air puissant et dangereux.
Il laisse le bras de Lee autour de ses épaules pendant quelques secondes de plus, et pose sa main libre quelque part (clavicule, un pouls qui palpite dangereusement vite sous ses doigts) sur du spandex vert. Lee le regarde avec une mimique confuse.
Gaara force ses paupières à rester ouvertes, laisse le sable absorber l'humidité qui obstrue sa perception.
"Si la Hokage a investi les ressources pour ta guérison, tu as de la valeur pour le village. Dans la situation actuelle, elle n'aura pas de jounin ou d'anbu à envoyer te trouver. Sois vigilant. Tu étais plus fort quand tu m'as combattu."
Cette fois, c'est Lee qui cligne des yeux. Il ressemble à un chameau, placide et inconscient. Kankurou s'est fait mordre les doigt par un chameau, un jour où il s'intéressait plus à sa conversation avec une camarade de l'école des marionnettes qu'à l'animal qu'il était censé harnacher. Gaara observe Lee, et se demande s'il aura suffisamment d'instinct de survie pour mordre le compatriote que la Hokage lui enverra.
Lee fronce les sourcils. Puis il sourit.
Son bras appuie sur l'épaule de Gaara, et le peu de sable qui lui reste suffit tout juste à l'empêcher de basculer vers l'avant. Il se heurte quand même au torse de Lee, qui a fait un pas pour se coller à lui, passer un bras autour de son corps, la main vers sa colonne vertébrale…
"Merci Gaara-kun."
Gaara s'immobilise, pétrifié, certain, pendant une seconde, que le sable est en train de former un cercueil autour de lui-même.
"Ne t'inquiète pas, je vais courir jusqu'à l’hôpital et suivre toutes les recommendations des infirmières ! Et je n'abandonnerai pas mon entraînement pendant ma convalescence !"
Lee se détache de lui, et Gaara prend une longue inspiration. Il regarde les portes s'ouvrir, les gardes l'observer avec (répulsion terreur dégoût) méfiance, et Lee trotter à l'intérieur, en ne trébuchant qu'une fois.
Les portes se referment. La coquille qui comprime sa poitrine se relâche, lentement, centimètre par centimètre.
Quand les portes se rouvrent pour laisser sortir Kankuro, il se laisse appeler, entraîner à l'intérieur, et ignore les regards inquiets de son frère. Il n'est pas blessé. Juste vidé de la majeure partie de ses réserves. (La deuxième partie est transmise par les signaux que Baki-sensei leur avait fait apprendre pour leur… mission précédente. Père n'est plus là pour commanditer, mais Konoha a une nouvelle Hokage, et elle est déjà mécontente d'un de ses propres ex-candidats à l'examen.)
Il remarque à peine les regards hostiles des villageois. Quand il bouge, il sent le fantôme de Lee contre son thorax, son épaule et le creux de ses reins.
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unjourdemai · 1 year
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Je ressens cette émotion qui éclot en moi, vibrant dans le silence de mon cœur. Je t'aime, mais je sais aussi que tu ne ressens pas de la même manière. Nos chemins se croisent, mais nos sentiments tracent des trajectoires différentes.
C'est comme contempler une étoile depuis la terre, son éclat éblouissant, mais si lointain. Je t'aime, mais je ne peux te forcer à ressentir de la même manière. C'est une vérité que je dois accepter, aussi douloureuse soit-elle.
Chaque mot que je te dis, chaque regard que je pose sur toi, est teinté de cette réalité. Je t'aime, mais je respecte aussi ta liberté, ton droit de choisir où ton cœur trouvera son élan.
C'est peut-être là la plus grande preuve d'amour que je puisse te donner : te laisser libre de suivre ton propre chemin, même s'il me mène à l'écart. Mon amour restera, discret et silencieux, un feu qui brûle en moi, attendant peut-être un jour où nos chemins se croiseront d'une manière différente.
Ainsi, je t'aime, mais pas toi. Et dans cette contradiction, je trouve la force de continuer à t'aimer, même de loin, même sans retour. C'est une douce douleur que je porte, une douleur qui me rappelle que l'amour est parfois simplement un cadeau que l'on offre, sans attente, sans exigence.
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jeanchrisosme · 8 months
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La vie, parfois, nous confronte à des silences indescriptibles. Ces moments où les mots se perdent dans l'écho de l'âme, où le cœur souffre en silence. Ne jugez pas ceux qui portent leur douleur en silence, car peut-être n'ont-ils pas trouvé d'épaule où déposer le fardeau de leurs tourments. Certains errent dans l'obscurité de leurs pensées, cherchant désespérément une lueur d'empathie. Ils tracent des frontières invisibles entre eux-mêmes et le monde, non par choix, mais par nécessité. Leur incapacité à confier leurs peines à autrui ne les rend pas forts, mais plutôt des âmes dispersées en quête de réconfort. Les joies qui jadis illuminaient leur existence ont perdu leur éclat. Ils errent, égarés, à la recherche de leur essence au milieu du tumulte quotidien. Ne blâmez pas ces êtres égarés, car ils ne cherchent pas la pitié, mais la paix intérieure. Chacun cache des cicatrices invisibles, et parfois, le cri de détresse demeure étouffé. Ne condamnez pas l'inconnu, car personne ne mesure la profondeur de la douleur qu'il endure. Ils s'éteignent momentanément, cherchant refuge dans le sommeil pour échapper à une réalité oppressante, cherchant à survivre plutôt qu'à vivre. Apprenons la compassion, car derrière chaque regard silencieux se cache une histoire que seul le cœur peut entendre. Ne soyons pas juges, mais plutôt des artisans de compréhension, car personne ne sait réellement ce que nous traversons.
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Histoire d'eaux
D'un creux de rocher, s'écoule une rivière,
Telle une force tranquille qui nous ravigore.
Des reflets argentés miroitent à sa surface,
Comme venant d'un naturel palace
Le long de son cours on distingue sa vie cachée
Au sein de laquelle des nuits amoureuses peuvent se nicher,
Où les barrages des loutres filtrent le cours d'eau,
Où toutes les merveilles vont en crescendo.
Aussi, laissons nous porter par sa bienveillance,
Concluons larche de paix avec complaisance !.
Les cailloux du fond de son lit
Tracent un chemin où tout s'accomplitÀ la fin de son voyage,
Elle nage encore, elle nage tournant sa propre page
S'unissant à l'histoire des mers et des océans,
Permettant ainsi que se propage le bienséant
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laudys83 · 1 year
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Venec et Alzagar se retrouvent à la taverne, dans un baquet d’eau fumante placé près d’une cheminée où des flammes lèchent et dévorent les bûches qu’ils ont jeté là. Silencieux, face à face, laissant ça et là des sourires et des petits rires presque gênés, ils se regardent, s’observent, comme s’ils se voyaient pour la première fois. C’est le chasseur de primes qui brise le silence en premier:
« Viens là »
Il agite légèrement l’éponge qu’il a pris dans sa main et Venec sourit, se rapproche et lui tourne le dos. Doucement, tendrement, il savoure sa caresse sur son dos, bientôt remplacée par des lèvres douces, un souffle brûlant, des bras qui font le tour de son corps pour se refermer sur son torse. Venec s’appuie sur Alzagar, lève un regard interrogateur sur lui:
« Qu’est-ce qu’il y a? »
« Tu ne vas pas le dire, hein? »
« Dire quoi? »
« J’ai lu ta lettre… »
Alzagar sent son pouls s’accélérer, même s’il n’a pas grand chose à craindre. Après tout, Venec est revenu à lui. Il a fait comme si de rien n’était. Ses lèvres entrouvertes courent sur son cou pour se refermer, doucement, sur la peau qu’elles viennent de caresser. Il ne sait quoi répondre aux mots de Venec, qui rit:
« T’as pas les couilles, pas vrai? »
Il le serre dans ses bras, cache son visage dans le creux de son cou. Il n’ose pas lui dire qu’il tremble de peur à cette idée, qu’un sale goût a envahi sa bouche, comme s’il allait vomir.
Et puis, il pleure.
D’abord doucement, aussi discrètement que possible, puis les sanglots s’intensifient, entre soulagement, bonheur, terreur, tous ces sentiments contradictoires et pourtant si proches. Venec fronce les sourcils, s’éloigne de la chaleur de ses bras et se tourne pour lui faire face. Alzagar cache toujours son visage, mais cette fois dans le creux de son coude. Il a honte. Honte de pleurer, pour ça, de montrer cette facette à Venec. Cette facette qui veut dire: si tu savais à quel point j’ai eu peur de ne plus jamais te revoir… si tu savais comme j’ai même cru que tu resterais à Rome plutôt que de revenir… si tu savais comme ton sourire m’a tordu les entrailles… si tu savais comme j’ai envie d’y croire, mais comme j’ai peur d’y croire.
Venec sait.
Il passe sa main gauche dans ses cheveux, pose la droite sur son avant-bras, son pouce caressant la peau mouillée, d’eau ou de larmes, il ne sait pas trop, il faudrait qu’il goûte pour en être sûr. Il aimerait goûter ses larmes, même si ça paraît cruel, juste parce que c’est la dernière partie intime de lui-même que sa langue n’a pas touché. Avec une assurance qui le surprend lui-même, il avance son visage, l’approche tout près de la main baguée, dépose un baiser, doucement, tendrement, sur cette bague achetée à Rome. Il pourrait sucer ce doigt, mais lui, comme Alzagar, n’y verrait que l’expression de son désir pour lui, alors qu’il y a tellement, tellement plus. Au lieu de ça, ses lèvres s’ouvrent, se referment sur sa peau, inlassablement, progressant centimètre par centimètre jusqu’à l’endroit de son bras où les poils disparaissent brutalement, où il n’y a plus que la peau, blanche, si douce, si pâle, là où celle de Venec est si foncée après ce séjour en Italie, et ces grains de beauté, posés ça et là, qu’il embrasse plus passionnément, plus intensément. Il atteint son épaule, repousse doucement les boucles noires qui cachent son visage, qui lui permettent de pleurer en toute confidentialité. Encore un grain de beauté, sur la clavicule. Un autre, plus près de la gorge, serrée. Autant de petits cailloux qui tracent un chemin jusqu’à ses lèvres, jusqu’à son visage. Alzagar résiste encore, ne relevant pas la tête, et Venec doit se démener pour pouvoir embrasser sa joue, presque chastement, et appuyer sa tempe contre la sienne. Leurs deux peaux sont brûlantes, presque fiévreuses, l’un d’avoir trop pleuré, l’autre d’être trop heureux. Les doigts de Venec repoussent quelques boucles derrière son oreille, sa bouche s’approche tout près, et son corps entier reste immobile, sauf ses lèvres.
« Je veux l’entendre. J’ai besoin de l’entendre. Si tu le dis, je te le dirai aussi »
Un long silence, puis un reniflement, le bruit du froissement de la peau par un autre morceau de peau.
« Pourquoi pas toi en premier? »
La voix est encore tremblante, hésitante, épuisée par toutes ces émotions.
« Je ne suis pas une tapette, moi. Si tu veux que je le dise en premier, je le dirai »
Alzagar ne rit pas à la plaisanterie. Venec grimace. Trop tôt, peut-être. Mais il acquiesce, imperceptiblement. La façon donc il redresse la tête est bien plus significative; un cerf aux aguets, guettant le moindre son pour fuir ou continuer à brouter tranquillement. Un moment suspendu dans le temps, qui peut décider de sa vie ou de sa mort. Mais si le cerf vit ce genre de moments des centaines, des milliers de fois, pour certains hommes, ce n’est qu’une fois dans leurs vies, et la mort ne serait alors que métaphorique, bien que pire que la mort physique. Qu’y a-t-il de plus douloureux qu’aimer quelqu’un qui ne vous aime pas en retour?
La respiration de Venec s’accélère, il émet un petit soupir contre l’oreille d’Alzagar: il n’a jamais prononcé ces mots, il veut en savourer chaque instant, s’en souvenir jusqu’à ses vieux jours, quand ils seront allongés dans leur lit et qu’ils en plaisanteront.
« Je… t’aime… »
Il n’hésite pas, mais prend son temps. Étrange comme c’est une des phrases les plus simples à dire avec la bonne personne. Il n’aurait pas voulu la dire à qui que ce soit d’autre, pas même à Arthur. Alzagar ferme longuement les yeux, ses lèvres s’étirant en un sourire stupide mais heureux, son cœur explosant dans sa poitrine, comme naissant, vivant et mourant en l’espace de ces trois mots. Toute la tension accumulée dans son corps disparaît, et sa tête tombe en arrière contre le bois du baquet. Il est beau, se dit Venec. Il se rapproche et l’embrasse sur la joue, longuement, se moquant des poils qui piquent ses lèvres, qui l’empêchent d’atteindre sa peau. Mais Alzagar pose ses mains sur son visage, l’attire à lui, pose sa bouche sur la sienne, glisse sa langue en lui, pour le goûter, parce que chaque baiser est différent du précédent, qu’aucun n’est banal, lancé à la va vite, et que celui-là est spécial. Il dure, dure, dure, jusqu’à ce que l’eau soit trop froide, comme s’ils ne peuvent pas se séparer, ne serait-ce que pour respirer. Quand, enfin, d’un commun accord, ils s’arrêtent, Alzagar garde son visage en face du sien:
« Je t’aime » dit-il à son tour.
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oanthore · 23 days
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Tous les collectifs humains tracent une ligne de partage entre le monde matériel et celui de l’esprit. Mais cette frontière diffère selon les sociétés et leur interaction avec la nature : Dieu parle différemment selon les cultures. Dans un monde profane, les individus ont tendance à imaginer cette frontière comme un grand mur, séparant radicalement esprit et matière. C’est particulièrement le cas dans la culture occidentale, où prévaut ce que j’appelle un « esprit de citadelle ». Les gens imaginent leur esprit comme un espace privé et isolé du monde, telle une forteresse où nos propres pensées sont inaccessibles aux autres. Or, dans d’autres régions du monde, cette frontière est poreuse, comme je l’ai constaté dans mes terrains auprès d’Eglises à Accra (Ghana) et à Chennai (Inde) : les individus ont l’impression que l’esprit est intégré au monde et que la pensée y a un poids.
Tanya Luhrmann - « Un croyant doit travailler dur pour entretenir l’idée que Dieu existe »
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