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#tristan de calédonie
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(j’avais oublié mon chouchou karan dans le post précédent) anyways yeah mes boys
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guillaume-voyage · 8 years
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About my trip - Un voyage très personnel …
Commençons par le début : ce projet de voyage n’est pas nouveau. En fait cela fait un plus de 5 ans que je l’ai en tête, et autant dire qu’il a énormément évolué depuis !
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A la base le projet était de faire un véritable tour du monde : environ 1 an avec pour objectif de traverser les 5 continents en faisant une belle boucle autour du globe tout en ne planifiant pas trop dans le détail pour laisser la place à l’aventure et à l’improvisation nécessaire à tout bon voyage ce type. Pour tout un tas de raison, j’ai du revoir ma copie en réduisant le nombre de mois et donc forcément le nombre de pays.
Mais j’ai aussi eu du mal à sacrifier certaines destinations qui me paraissaient indispensables de voir ! Ce qui explique le planning serré et les périodes parfois très courtes que je vais consacrer à certains endroits où j’aurais clairement aimé passer plus de temps (comme la Nouvelle-Zélande ou le Vietnam par exemple).
Mais je ne me plains pas non plus, il a juste fallu faire des choix et puis comme ça j’aurais eu un avant-gout de certains pays dans lesquels je pourrais toujours retourner dans les mois ou années à venir !
Il y a enfin un facteur particulier qui a un impact majeur sur le coté très original (pour ne pas dire farfelu) du voyage : l’envie d’en profiter pour voir la famille et les amis éparpillés aux quatre coins du monde !
C’est pour cela par exemple que j’ai commencé le voyage par La Réunion afin de voir ma cousine Bérangère, Naiche & Jolan, puis le passage à Maurice pour Tonton Michel & Eliane, ou encore Melbourne pour voir ma cousine Maud.
Il y a aussi le trip au Cambodge avec mes amis Mylène, Aurélien & Marie (et une pensée pour Lucky qui aurait du être des nôtres également, mais le Burundi l’a emporté ^^). Une occasion de partager un bout de route avec eux que je ne voulais pas manquer !
Il y a aussi évidemment le mois de voyage en commun avec Kerya entre mi-avril et mi-mai que nous attendons tous les 2 avec impatience :-) Ou encore un passage à Hong-Kong pour voir mon ami Flavien, et probablement certaines îles éloignées du pacifique en Juin pour voir encore d’autres amis (Aude & Tristan en Nouvelle-Calédonie ou encore Anahi au Tonga !).
Et oui j’ai la chance d’avoir des amis ou de la famille un peu partout sur la planète, c’est l’occasion d’en profiter :-)
Pour vous faire un résumé synthétique le voyage s’articule principalement en 5 grandes parties :
De début février à mi-Mars - L’Océanie : La Réunion > Maurice > Australie > Nouvelle-Zélande (au moment où je vous écris ces lignes cette partie est déjà quasi terminée malheureusement, le temps est passé tellement vite !!)
De mi-Mars à mi-Mai - L’Asie du Sud-Est : Cambodge > Vietnam > Thaïlande > Indonésie (avec juste un stop de 2 jours à Singap)
De mi-Mai à début Juillet - L’inconnue :-) Cette partie du voyage est encore en chantier, avec plein d’idées et d’envies (Philippines, Nouvelle-Calédonie, Tonga et/ou Fidji, Iles Salomon, Sidney, Hong-Kong …). Je ferais avancer cette partie début Avril a priori
De début Juillet à mi-Juillet - retour en France : pour 2 à 3 semaines environ. Histoire de faire le plein de saucissons, de baguettes et de pâtés, mais surtout pour fêter dignement les 30 ans de ma chère et tendre :-)
De fin Juillet à fin Septembre - Afrique / AmSud : Cette partie est également encore assez floue, mais l’objectif serait de faire au moins la Tanzanie (avec l’ascension du Kilimandjaro !) et l’Afrique du Sud, puis un passage en Amérique du Sud (Argentine et/ou Colombie). Un passage par le Canada est également possible (en cours de réflexion).
Pour les plus curieux qui veulent avoir les détails au jour près, sachez que j’utilise un outil en ligne qui est absolument génial (et gratuit !) pour planifier mon voyage de manière précise et construire / mettre à jour progressivement la « carte » de mon voyage ! Vous pourrez retrouver plus d’informations sur cette carte sur la page qui lui est dédiée ici : https://guillaume-voyage.tumblr.com/travel-plan
Voilà je crois que vous savez presque tout les amis ! Et si vous avez des questions ou des idées de nouvelles destinations à soumettre, vos commentaires sont les bienvenus.
A très vite pour les premiers récits de mes aventures
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tribalarts · 6 years
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Vue de l’exposition d’art africain et océanien à la galerie du théâtre Pigalle, Paris, 1930. Groupe de sculptures et de masques africains. © Société française de photographie (SFP) – Droits réservés.
A exposition exceptionnelle, publication remarquable : Galerie Pigalle. Afrique. Océanie. 1930. Une exposition mythique/A Mythical Exhibition— bilingue français/anglais publié à cinq cents exemplaires —, est un futur « collector ». Les auteurs ont eu pour ambition de reconstituer cette manifestation légendaire à partir des quarante-six plaques de verre stéréoscopiques — restées longtemps oubliées dans les réserves de la Société française de photographie — et des journaux de l’époque, et de retrouver et documenter l’ensemble des objets ayant participé à cet événement.
Financé par le baron Henri de Rothschild (1872-1947), le Théâtre Pigalle se situait au 10-12, rue Jean-Baptiste Pigalle, dans le 9earrondissement, à Paris. Médecin de formation mais passionné de théâtre, il fit construire cette salle en hommage à sa maîtresse, la comédienne Marthe Régnier (1880-1967), ce qui fit scandale à l’époque. Il laissa à son fils Philippe (1902-1988) le soin de coordonner la construction. Quatre années furent nécessaires pour édifier et aménager cet établissement qui constituait le summum de l’architecture et des équipements scéniques de l’époque.
Krull, Germaine (1897-1985), [Paris. Théâtre Pigalle]. Façade extérieure vue de côté, 1929. Négatif sur verre au gélatino-bromure d’argent. Dim. : 18 x 24 cm. © BHVP/Parisienne de photographie/Estate Germaine Krull, Museum Folkwang, Essen.
Krull, Germaine (1897-1985), [Paris. Théâtre Pigalle]. Intérieur. La salle vue de la scène, 1929. Négatif sur verre au gélatino-bromure d’argent. Dim. : 18 x 24 cm. © BHVP/Parisienne de photographie/Estate Germaine Krull, Museum Folkwang, Essen.
Trois architectes français associèrent leur nom à cette entreprise : Henri Just, Pierre Blum et Charles Siclis, ce dernier s’attachant à la décoration intérieure et extérieure de l’édifice. La première représentation,Histoires de France, fut donnée par Sacha Guitry, le 8 octobre 1929. La salle, richement plaquée d’acajou, était surmontée d’une coupole lumineuse. La scène, entièrement mobile, permettait des changements à vue. Ce théâtre possédait non seulement une cabine cinématographique des plus modernes, mais également un orgue Cavaillé-Coll. Il ne devint un cinéma qu’à partir de 1932 et le premier film projeté fut La Nuit du carrefour, de Jean Renoir. Au théâtre Pigalle, Henri de Rothschild proposera une nouvelle conception de l’espace intérieur avec une vaste galerie d’art, installée au sous-sol, où seront organisées des expositions destinées à une démocratisation de la culture. Le spectacle inaugural de 1929 sera ainsi accompagné par une présentation d’œuvres du peintre Jean Siméon Chardin (1699-1779). Avec la guerre, le théâtre cessa son activité et il fut détruit et transformé en garage en 1959.
Vue de l’exposition d’art africain et océanien à la galerie du théâtre Pigalle, Paris, 1930. Au premier plan, tabouret Bamiléké, Cameroun (ex-coll. Pierre Loeb). © Société française de photographie (SFP) – Droits réservés.
Vue de l’exposition d’art africain et océanien à la galerie du théâtre Pigalle, Paris, 1930. Au centre, poteau, îles Marquises et, à droite, statue du roi Glélé, Fon, Bénin. © Société française de photographie (SFP) – Droits réservés.
Aucune exposition d’art « primitif » d’une ampleur comparable à celle du pavillon de Marsan, L’art indigène des colonies françaises et du Congo belge— organisée par l’Union des arts décoratifs (octobre 1923-janvier 1924) —, n’avait eu lieu à Paris jusqu’à cette fameuse année 1930 où trois expositions marquantes virent le jour. La première, celle qui nous occupe ici, à la galerie du théâtre Pigalle (27 février-mi-avril), élaborée par Tristan Tzara, Pierre Loeb et Charles Ratton, la deuxième, à la galerie de la Renaissance (art océanien des colonies françaises, planifiée par Stephen Chauvet, 11, rue Royale, 23 mai-6 juin) enfin, à la galerie Mettler (174, fg Saint-Honoré) où quelques pièces de l’île de Pâques furent présentées. Ces trois expositions, qui offraient un panorama complet des arts d’Afrique et du Pacifique accessibles à l’époque, furent les dernières à être organisées, dans le domaine privé, avant la crise économique et sociale qui débuta dans les années 1930. Les clichés pris par les membres de la Société d’excursions des amateurs de photographie, le 29 mars 1930, constituent les seules et précieuses traces visuelles de l’exposition de la galerie Pigalle. Dès son ouverture, soutenue par la presse qui relaya largement l’événement, elle s’imposa comme une manifestation à succès, à la mesure de l’importante fréquentation du théâtre, puissant pôle culturel parisien. Elle fut l’occasion pour Carl Einstein (1885-1940) de publier, en français, dans Documents(« À propos de l’Exposition de la Galerie Pigalle », n° 2, vol. II, 1930 [Die Kunstauktion, 2 mars 1930, pp. 194-197]) un important essai sur l’art africain. À cette époque, l’art « primitif » ne constituait plus, pour un large public, une découverte, et le fait d’exposer ces objets sous un angle esthétique était une chose relativement admise. Déjà, en 1919, l’exposition imaginée par Paul Guillaume à la galerie Devambez (10-31 mai), avait eu pour ambition de révéler aux visiteurs ces objets en tant qu’œuvres d’art. Malgré tout, certaines résistances virent le jour parmi les plus conservateurs des journalistes et jusqu’au propriétaire du théâtre. Peu après le vernissage, Henri de Rothschild décida de faire retirer plusieurs statuettes jugées impudiques. Tzara protesta immédiatement en diffusant un communiqué de presse : « Je m’étonne que la pudeur de Monsieur de Rothschild se soit alarmée au bout de trois semaines et que sous prétexte que l’exposition est visitée par des jeunes filles, il ait pris une mesure de rigueur à l’encontre de charmantes statuettes. Il n’y a pas d’impudeur en art, mais s’il pouvait y en avoir, la statuaire nègre, qui est très stylisée, pourrait être considérée comme bien plus chaste que la statuaire grecque. Or, personne ne songe à procéder à des expulsions dans les musées et les jardins publics [Tristan Tzara, Une controverse artistique et judiciaire]. » Devant l’obstination de Rothschild, Tzara l’assigna en référé au tribunal. La presse relata la controverse artistique et judiciaire. Finalement, Rothschild réintégra les statuettes sans faire de commentaires mais laissa son directeur artistique, Valentin Marquety, calmer le jeu en déclarant : « […] Voyez-les ; elles ont regagné leur place et vous pouvez constater que la pudeur n’a pas à s’offusquer. D’ailleurs, nous avons l’intention de placer un écriteau à l’entrée de l’exposition, où nous prierons les personnes sensibles de s’abstenir de la visiter !… [« M. Tristan Tzara et M. Henri de Rothschild sont d’accord… », J.B. , Paris-Midi, 2 avril 1930]. » Et, comme on pouvait s’y attendre, le scandale fit venir du monde et il y eut foule au théâtre Pigalle !
Figure d’ancêtre, Fang, Gabon. Bois. H. : 55 cm. Ex. coll. Roland Tual. © Coll. privée.
Figure dogon, Mali. Bois. H. : 69 cm. Ex. coll. Georges de Miré. © Coll. privée.
Vaste panorama des meilleures collections françaises, l’exposition de la galerie du théâtre Pigalle aura fait appel à un nombre élevé de prêteurs (cinquante-deux), certains mentionnés pour la première fois. Ratton, Tzara et Loeb choisiront deux cent quatre-vingt-dix objets africains et cent trente-huit océaniens, esthétiquement représentatifs des styles déjà reconnus. Le catalogue publié à cette occasion, aurait été rédigé par le peintre Raymond Fauchet, secrétaire général, avec la collaboration de Tzara et de Ratton. Les organisateurs de l’exposition souhaitèrent n’exposer que le meilleur. Le parti pris fut celui de la juxtaposition, éloignée de toute typologie, pour ne laisser parler que la forme : « Le temps n’est pas lointain où l’ethnographie qui, seule jusqu’ici s’est occupée des manifestations artistiques de ces peuples, devra abandonner ce sujet à l’archéologie et à l’histoire de l’art. » (Introduction non signée du catalogue).
Si la grande majorité des pièces provenaient des colonies françaises — en particulier du Gabon, du Mali et de la Côte d’Ivoire —, et belge avec les arts décoratifs kuba de la République démocratique du Congo, on pouvait y admirer également des œuvres des colonies britanniques —Nigéria et Ghana — et, exceptionnelles pour l’époque, des œuvres monumentales peu connues du Cameroun. De précieux objets en or, en bronze et en ivoire furent également largement représentés.
Vue de l’exposition d’art africain et océanien à la galerie du théâtre Pigalle, Paris, 1930. Crochet à crânes et sculpture, Papouasie Nouvelle-Guinée (ex-coll. Walter Bondy). © Société française de photographie (SFP) – Droits réservés.
« Galerie Pigalle – Afrique – Océanie. 1930. Une exposition mythique ». Catalogue Océanie, p. 280.
S’il faut porter au crédit des surréalistes la découverte de l’art océanien, aucun d’entre eux ne participa à l’exposition (Tzara, l’un des organisateurs, avait rompu depuis longtemps avec le mouvement, bien qu’il entretienne encore des relations personnelles avec certains de ses membres). La Papouasie Nouvelle-Guinée triomphait, suivie par l’archipel Bismarck, puis la Nouvelle-Calédonie et les îles Salomon. La Polynésie était présente avec, principalement, quelques objets de Nouvelle-Zélande, des Marquises et de l’île de Pâques.
Figure uli, Nouvelle-Irlande. Bois. H. : 73 cm. Ex-coll. Pierre Loeb. © Coll. privée.
Figure d’ancêtre, île de Tanimbar, Indonésie. Bois. H. : 64 cm. Ex-coll. Roland Tual. © Coll. privée.
La galerie du théâtre Pigalle constitua ainsi une véritable vitrine de choix pour la promotion de l’art « primitif » auprès d’un public qui ne fréquentait pas ou peu les galeries d’art. La qualité des œuvres exposées — beaucoup sont aujourd’hui considérées comme des œuvres majeures— et la visibilité qu’offrait ce lieu d’exposition moderne participa à l’engouement nouveau pour ces arts : « […] ce sont les effets à retardement en Europe de la crise de 1929, puis le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, qui vont bientôt stopper l’essor de ce nouveau marché. Il faudra attendre les années 1950 pour que, en France comme aux États-Unis, la suite de cette histoire s’écrive, sur les fondations et selon les structures établies dès 1930. C’est en cela sans doute que Pigalle restera, au moins symboliquement, comme l’exposition d’art “primitif” la plus influente de cette première moitié du XXe siècle. » (Nicolas Rolland).
« Galerie Pigalle – Afrique – Océanie. 1930. Une exposition mythique ».
« Galerie Pigalle – Afrique – Océanie. 1930. Une exposition mythique ». Catalogue Afrique, p. 180.
Galerie Pigalle. Afrique. Océanie. 1930. Une exposition mythique/A Mythical Exhibition, œuvre collégiale sous la direction de Charles-Wesley Hourdé et de Nicolas Rolland. Bilingue français-anglais. Publié par Somogy éditions d’Art, Paris, 2018. Format : 25 x 29 cm, 344 pp. 148 ill. coul. (dont 53 pl.), 299 N/B et duotone (dont 54 pl.). ISBN : 979-10-699-2616-5. Tirage 500 exemplaires. Relié : 250 €.
« Galerie Pigalle, 27 février 1930 » A exposition exceptionnelle, publication remarquable : Galerie Pigalle. Afrique. Océanie. 1930. Une exposition mythique/A Mythical Exhibition…
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