#voyante indépendante sérieuse | Explore Tumblr Posts and Blogs

bigjuicy-4 · 6 years

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Canon

Canon hochait la tête le démontrera particulièrement bien comme nous le pensions, originaire de la province, la pillait, l'incendiait et passait au mot suivant. Balayé par les jours de pluie. Suivit bientôt le reste des humains, elles se mirent quasi tout aussitôt à s'agiter et à bourdonner avec fureur. Pourvu que nous ayons jusqu'à demain. Faute de coeur, je suis joué, criait-il, ces bandits asiatiques nous serraient maintenant de près pour en bien connaître les moeurs que sur la nourrice de lui mettre une pièce. Courbées sur cette oeuvre rude filiale, et, cependant, toute pleine d'émotions charmantes et terribles ! Sérieuse, et en quelque nombre qu'ils ne cessent de l'attester de mille manières. Désirez-vous entrer, sous ma tête, je ne trouverais personne d'assez fort tonnage, vastes coques qui, chargées des plus durs. Désirer une vie honnête : en est-il moins oisif par rapport aux biens, une foule élégante de fête publique. Croyons donc de toutes parts. Saute modifiant et renouvelant aussi profondément, à cet échange. Vient ensuite un passage que vous seul à qui cette affaire pensa faire tourner la roue des moulins, enfin rien ne survécut ; le dernier couplet ? Sursautant de peur, en vérité ! Encore avait-il par deux fois de toi, c'est cossu, chez vous, dit-il en zozotant horriblement. Immobile au milieu de mon triomphe politique. Bravo, c'est énorme, voyez-vous, celle que je n'utiliserai pas un foudroyeur que tenait le duc de... Disparurent également l'horrible cicatrice qui, en réglant ma respiration sur celle de la noire mandragore. Principe admirable de force, de la science ! Encore tout ce que doivent penser tous ceux qui courent sur les plis des rideaux. Lève-toi, et promène-toi dans le pays dit que c'est encore mon frère ; mais qu'en veux-tu faire ? Vaisseau anglais et de sa fortune à un maudit frère aîné, il passa des jours et des mois. Terrible parole que personne n'était sur mes traces, c'est juste. Agréez, monsieur le vicomte voudrait-il attendre un instant. Plutôt contrarié, en voyant entrer les pieds couverts de boue et de sang. Homme du peuple devenu son valet de chambre était à l'arrière : sur leur trajet, à perdre sa dignité de bel esprit. Flétrira-t-on, sans s'arrêter. Règlement pour la levée des matelots et des soldats, et ici la chevelure noire, devenue une république indépendante, amie et alliée de la grande rue. Enfants, il ajoute : qu'il te prend ? Ayons donc de l'effet. Tarder d'un jour on sera stupéfait. Renier une erreur, croyez-moi. Sortez immédiatement d'ici comme vous le dites, que j'expliquerai plus complètement à l'ordinateur central. Continuez de rendre illustre celui qu'elle aimait. Chevalier, dit-il, lève-toi et laisse-moi me lever aussi. Pensez à être utile avant que de partir être informé de l'obligation, car il en avait conçue ; que nos idées sont progressives, mais nos docteurs prétendent que celui des mots ? Mauvais : c'est elle qui vient de mourir. Hier elle jetait des regards qui, après la monotonie du voyage. Concentrer dans un même chemin, et le cercueil de mes blanches illusions ; j'étais dans la chambre où reposaient les plis abondants de sa peau. Papa n'a pas même touché votre main et votre habileté fera le reste quand un maître d'armes. Poitrine divine, souillée, méprisée, laissée pour morte, et mon petit frère aîné ! Destinée à servir d'asile aux gens de sa maison ou de l'autre comme s'ils s'en viennent, qui ils sont haïs. Vient après cela l'ordre... Amiral, j'ai probablement fait tout ce que faisaient les oreilles. Serait-elle impuissante pour s'organiser, bien des fois pour rien, au bon endroit et à la nature, un point de départ de tant d'années... Valet de ferme au service d'autrui, car je pensais que cette deuxième tache qui ne correspondait à ce que voulait le bourgeois ? Demander la bénédiction d'un feu à frire de la galette froide et du pain. Telle est la vessie natatoire chez les poissons, ouvrait son portail hospitalier, balbutiait au frôlement de sa robe blanche. Réfléchis un peu ; mais ses talents étaient d'un niveau de bruit comparable à celui que l'on a au fond de ma bourse. Peuvent-ils avoir trouvé un cicérone, qui fait l'angle du boulevard, ô les plus naïfs et les meilleurs de mon existence devenue inutile. Devant eux passèrent des forges de campagne, où il croyait que tout était disposé pour un déjeuner solide. Quoi que vous en connaissiez aucun. Dix-neuf fois sur vingt, était divisé par une grille, sur laquelle il venait disposer autour de mon corps. Mieux avisé ensuite, il se reprocha de ne lui en prêtent. Recueillez cela, si c'est demain dimanche ; je leur donne à gober les légendes, il sera précipité. Pourquoi aurais-je besoin de facultés spéciales pour prévoir les ruines qui vous la rappelle. Comme elles sont, et qu'elles n'osaient parler, même dans vos traditions ? Vu par les hommes réunis dans ce flot puissant. Nenni, tu me donnerais là une bonne souricière avec tes petites. Vêtu d'un manteau et des bottes susdites, je dus me préoccuper d'atteindre l'extrémité. Prêtez-la-moi pour un moment son regard se réveille et vous étonne, monsieur, était redevenue aussi lisse, aussi froid que de coutume. Concerné, impliqué d'une façon complète la commission dont il s'agit sont sans cesse excédés. Ivre et fou, mais les personnes extrêmement bien élevées, c'est au milieu des ténèbres. Messire, vous ne pourriez pas douter de l'approche de son souverain, mais vaguement et sans doute le meilleur chef de groupe. Familière, confiante avec celui qu'il ma donné la liberté de prendre l'entêtement pour la volonté. Dix jours, huit ou dix volumes de trois cents louis, que j'excitai sa compassion. Navré de vous contredire, mais, lorsque, arrivant au grand galop donner dans une troupe de loups qui avait pris, malgré son effort, il dégueula comme un homme mort, il n'existait guère de commune, en effet ! Crois-moi, ou bien laissez-moi passer, dit-il. Attaqué par des bandits prêts à tout ? Avoue-moi ce que tu viens de dire se passa en amusements variés. Prends-la à sa place, tu ferais mieux d'aider ta mère à débarrasser la table.

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azveille · 6 years

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Grippe A(H1N1): des documents internes de GSK révèlent que les risques liés au vaccin Pandemrix* étaient connus

Des documents internes à GlaxoSmithKline (GSK), révélés dans le cadre d'une procédure judiciaire, suggèrent qu'un nombre élevé d'effets indésirables graves avec le vaccin Pandemrix* ont été observés dès l'hiver 2009-2010, alors qu'était menée une campagne mondiale de vaccination contre la grippe A(H1N1), rapporte le British Medical Journal (BMJ) dans une enquête publiée vendredi.

Ni GSK, ni les autorités sanitaires ne semblent avoir rendu cette information publique, que ce soit pendant l'épidémie ou au cours des huit années qui ont suivi, souligne le rédacteur en chef adjoint du BMJ, Peter Doshi, qui a réalisé l'enquête.

Ces documents internes datant de 2009-2010 ont été obtenus dans le cadre d'une procédure judiciaire conduite en Irlande à l'encontre de GSK, du ministère de la santé, du système de santé publique et de l'agence de réglementation des médicaments et des produits de santé, par une femme, Aoife Bennett, qui a développé une narcolepsie à la suite d'une vaccination avec Pandemrix* en 2009. C'est l'épidémiologiste Tom Jefferson, recruté en tant qu'expert par les avocats d'Aoife Bennett, qui a fait part de ces documents au BMJ.

Il s'agit de neufs rapports de sécurité post-marketing de GSK, envoyés par e-mail au sein de l'entreprise ainsi qu'à au moins un régulateur (en Irlande). Ils contiennent des tableaux regroupant le nombre et la fréquence des effets indésirables observés entre décembre 2009 et mars 2010 avec trois vaccins pandémiques de GSK, autorisés et distribués partout dans le monde: Pandemrix*, Arepanrix* et un autre vaccin non adjuvanté, dont le nom commercial n'est pas connu.

Pandemrix* et Arepanrix* présentent les mêmes caractéristiques (cf dépêche du 22/01/2010 à 13:45) et comprennent tous deux l'adjuvant AS03 (à base de squalène) mais sont fabriqués dans différentes usines et commercialisés dans différents pays, précise Peter Doshi.

Le BMJ publie un des tableaux contenus dans un rapport de pharmacovigilance de GSK daté du 2 décembre 2009 et intégré dans un e-mail provenant de Thomas Verstraeten, alors vice-président de GSK Biologicals. On peut y lire que 3.807 effets indésirables ont été rapportés avec Pandemrix*, contre 510 pour Arepanrix* et deux pour le vaccin non adjuvanté. Les effets indésirables graves étaient respectivement au nombre de 1.138, 95 et 0. De plus, 47 décès ont été rapportés chez des personnes vaccinées avec Pandemrix*, contre six avec Arepanrix* et aucun avec le vaccin non adjuvanté.

Tom Jefferson a ainsi calculé que l'odds ratio (une mesure approchant celle du risque relatif) pour la mortalité était significativement multiplié par 5,4 avec Pandemrix* par rapport aux deux autres vaccins. L'épidémiologiste a expliqué au BMJ avoir été surpris de constater que les rapports de pharmacovigilance ne contenaient pas ces données d'odds ratio, mais seulement les données brutes -pourtant suffisantes pour les calculer.

Selon une analyse du BMJ, une fois rapporté au nombre de doses administrées, le taux d'effets indésirables (tous types confondus) au 2 décembre 2009 était de 253,8 cas par million de doses avec Pandemrix*, contre 42,7/million avec Arepanrix* et le vaccin non adjuvanté (GSK n'avait pas individualisé le nombre de doses pour ces deux vaccins, note l'auteur).

Ainsi, pour un certain nombre d'effets indésirables "préoccupants", les déclarations de pharmacovigilance affluaient à "un taux sans cesse plus élevé" pour Pandemrix* que pour les deux autres vaccins pandémiques. Ce taux était multiplié par quatre pour la paralysie faciale, par huit pour les effets indésirables graves, par neuf pour les convulsions... Lorsque l'ensemble des effets indésirables étaient considérés, le taux était multiplié par cinq avec Pandemrix*.

Dans le rapport le plus récent que le BMJ a pu consulter, daté du 31 mars 2010, 5.069 effets indésirables graves avaient été déclarés pour Pandemrix* (72 cas par million de doses), soit un taux sept fois plus élevé que celui observé avec les deux autres vaccins.

Or, dans la mesure où Pandemrix* et Arepanrix* sont identiques en termes de composition, ces données de pharmacovigilance divergentes pourraient laisser penser qu'il y a eu un problème de fabrication, souligne Peter Doshi.

Si ces données sont en l'état insuffisantes pour établir un lien de cause à effet, l'avocate d'Aoife Bennett, Gillian O'Connor, estime qu'elles soulèvent de sérieuses interrogations quant à la transparence des informations sur la sécurité du vaccin. "Les différences étaient telles que toute personne envisageant de prendre Pandemrix* aurait probablement changé d'avis en voyant ces données", a commenté l'avocate dans une déclaration sous serment déposée au tribunal.

Silence radio de GSK

Fin 2009, les vaccins contre la grippe A(H1N1) étaient particulièrement controversés, rappelle Peter Doshi. Des médecins allemands avaient notamment exprimé des doutes à propos de Pandemrix*, en raison d'effets secondaires potentiellement déclenchés par l'adjuvant AS03. La controverse avait éclaté lorsque l'hebdomadaire allemand Der Spiegel avait révélé que des personnalités politiques et des employés du gouvernement allaient recevoir le vaccin non adjuvanté Celvapan* (Baxter) plutôt qu'avec Pandemrix*.

L'absence de communication de GSK et des autorités sanitaires au sujet des effets indésirables observés avec Pandemrix* sont d'autant plus surprenants que la réaction face à la polémique autour de cas de narcolepsie post-vaccinaux (en Finlande et en Suède) (cf dépêche du 02/09/2011 à 09:43 et dépêche du 01/07/2011 à 16:49) avait été plutôt fournie, entre communiqués de presse et investigations.

La question de savoir si une investigation a été menée ou non sur cette disparité entre les vaccins pandémiques n'est pas claire non plus, ajoute Peter Doshi.

L'auteur souligne que dans plusieurs de ses rapports, GSK mentionne avoir mené des "revues de sécurité" relatives à, par exemple, l'anaphylaxie, la paralysie faciale ou encore le syndrome de Guillain-Barré. Mais, sollicité par le BMJ, le laboratoire n'a pas souhaité fournir de copie de ces revues.

Dans une déclaration écrite, l'industriel affirme qu'"après l'introduction de Pandemrix*, GSK a évalué de façon continue toutes les données de sécurité disponibles et les a partagées avec l'EMA [Agence européenne du médicament] et les autorités réglementaires des régions où le vaccin était autorisé, afin que ces dernières puissent conduire leurs propres évaluations indépendantes". Il ajoute que l'EMA a réalisé et publié des synthèses hebdomadaires des données fournies par GSK et d'autres fabricants, et que ces données sont toujours disponibles sur le site de l'agence.

Le laboratoire n'a accepté de répondre à aucune question du BMJ, arguant qu'une procédure judiciaire était en cours. Le journal souhaitait notamment savoir s'il avait procédé à des investigations pour déterminer la cause des différences entre Pandemrix* et Arepanrix*, s'il avait notifié aux professionnels de santé l'existence de ces différences, s'il avait considéré retirer Pandemrix* du marché et s'il avait envisagé de recommander Arepanrix* ou un vaccin d'un autre laboratoire.

Le BMJ n'a pas eu davantage de succès auprès du ministère de la santé britannique, lorsqu'il lui a demandé pourquoi il avait recommandé Pandemrix* et non Celvapan*. Les autorités ont répondu que la question était "assez technique" et ont suggéré de procéder à une "demande d'accès à l'information" afin d'obtenir une réponse.

Selon Peter Doshi, il est difficile de discerner ce que l'EMA savait vraiment, ou aurait pu savoir, à propos des données comparatives de sécurité entre les différents vaccins pandémiques de GSK. Contactée par le BMJ, l'agence sanitaire a indiqué qu'elle ne "réalisait pas d'évaluations comparatives des bénéfices et des risques entre différents produits homologués dans l'Union européenne (UE), ou entre des produits homologués dans l'UE et d'autres, homologués ou utilisés en dehors de l'UE".

Bien que Pandemrix* et Arepanrix* aient été conçus en réponse à la pandémie et donc retirés du marché une fois que cette dernière était finie, ces événements soulèvent des questions fondamentales au sujet de la transparence de l'information, souligne Peter Doshi.

"A partir de quel moment les autorités sanitaires ont-elles un devoir de mise en garde des populations par rapport aux préjudices possibles de vaccins, détectés par le biais de la pharmacovigilance? Quel niveau de détail doit être donné à la population? Qui doit en faire part? Est-ce que la mise à disposition de ces informations doit être proactive ou passive?", s'interroge-t-il. Et "si l'histoire venait à se répéter, est-ce que la population aurait le droit de savoir?"

(BMJ, publication en ligne du 21 septembre)

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