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#y transférer l’ambassade des États-Unis
ledevoirdinformer · 6 years
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Poutine rompt le silence quant à la décision US sur Jérusalem
Poutine rompt le silence quant à la décision US sur Jérusalem
Dossier: Les États-Unis reconnaissent Jérusalem comme capitale d’Israël.
Vladimir Poutine a pour la première fois commenté lundi la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et d’y transférer l’ambassade des États-Unis qui se trouve actuellement à Tel Aviv.
Les actions entreprises avant que le conflit palestino-israélien soit réglé et ne répondant pas aux…
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titou-nz · 3 years
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Mur des Lamentations, Jérusalem - Israël
Positions internationales
Dans le passé, avant 1973, certains pays africains, y compris l'Éthiopie et la Côte d'Ivoire, avaient des ambassades à Jérusalem. En 1973, après la guerre du Kippour, de nombreux pays africains décident de rompre leurs relations diplomatiques avec Israël.
Avant la résolution 478 votée en 1980, 13 pays avaient une ambassade à Jérusalem : la Bolivie, le Chili, la Colombie, le Costa Rica, la République dominicaine, l'Équateur, le Salvador, le Guatemala, Haïti, les Pays-Bas, le Panama, l'Uruguay, le Venezuela. Suivant les termes de cette résolution, les 13 ambassades ont été déplacées à Tel Aviv. Les ambassades du Costa Rica et du Salvador ont de nouveau été déplacées à Jérusalem en 1984, jusqu'en 2006 où ces deux États décident de transférer de nouveau leurs ambassades à Tel Aviv. Des consulats étrangers, comme le consulat général de Grèce, le consulat français, ainsi que ceux du Royaume-Uni et des États-Unis, situés à Jérusalem, ont pour attribution les Territoires palestiniens occupés, dont Jérusalem-Est. Les ambassades de la Bolivie et du Paraguay sont quant à elles dans la banlieue de Jérusalem, à Mevasseret Tsion. Les Pays-Bas ont un bureau à Jérusalem qui traite presque exclusivement des affaires concernant les Israéliens.
Le Congrès des États-Unis a voté le 8 novembre 1995 le Jerusalem Embassy Act qui reconnaît Jérusalem comme capitale de l'État d'Israël, demande que la ville demeure indivise et prévoie des fonds pour y déplacer l'ambassade américaine avant le 31 mai 1999. Cependant le déménagement de l'ambassade a été reporté par la signature de dérogation tous les six mois, jusqu'au 6 décembre 2017, quand le président Donald Trump, revendiquant une nouvelle approche sur le conflit israélo-palestinien, officialise internationalement la reconnaissance par les États-Unis de Jérusalem comme capitale, et donne des instructions pour y transférer l'ambassade. La décision de Donald Trump tranchait sur la politique de la Maison-Blanche d'Obama dont le porte-parole, par exemple, à l'occasion de l'éloge mortuaire de Shimon Peres, corrigeait l'expression “Jerusalem, Israel” en supprimant le mot “Israel”. Sa décision a été condamnée par des alliés de Washington et par l'Assemblée générale des Nations Unies. Le roi saoudien a déclaré qu'elle risque de provoquer « la colère des Musulmans », trois jours après que son fils a proposé à Mahmoud Abbas de renoncer à Jérusalem-Est comme capitale. Les États-Unis inaugurent officiellement leur ambassade à Jérusalem le 14 mai 2018, suivis par le Guatemala le 16 mai et le Paraguay le 21 mai. Toutefois, le Paraguay annule cette orientation trois mois plus tard sur décision de son nouveau président, Mario Abdo. Le Royaume-Uni considère que le statut de Jérusalem doit être défini par des négociations entre les parties israélienne et palestinienne. Ce pays reconnaît le contrôle de fait d'Israël sur la partie occidentale de la ville mais considère Jérusalem-Est comme territoire occupé et ne reconnaît aucune souveraineté sur la ville[réf. nécessaire]. Dans une déclaration au Figaro publiée le 30 novembre 2009, le ministre français des Affaires étrangères d'alors, Bernard Kouchner, déclare : « Pour nous, Jérusalem doit être, à la fois la capitale de l'État d'Israël et du futur État palestinien ». Le 8 décembre 2009, l’Union européenne appelle Israël à partager Jérusalem comme capitale conjointe de deux États hébreu et palestinien. Les Vingt-Sept assurent qu’ils « ne reconnaîtront aucun changement autre que négocié » au statut d’avant 1967. Le 15 décembre 2018, l'Australie décide de reconnaître Jérusalem-Ouest comme capitale d’Israël, mais sans procéder au transfert de son ambassade installée à Tel-Aviv. Le premier ministre Scott Morrison conditionne le transfert de l’ambassade à la conclusion d’un improbable accord de paix et annonce projeter de n'ouvrir à Jérusalem qu'un bureau chargé de la défense et du commerce.
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folagaring-blog · 7 years
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2394 - Jérusalem - à quoi joue Trump ? C dans l'Air 07.12.2017
2394 – Jérusalem – à quoi joue Trump ? C dans l’Air 07.12.2017
  Ajoutée le 7 déc. 2017 – durée 1:03:33
Malgré les avertissements et les mises en garde de la communauté internationale,
Donald Trump a reconnu hier officiellement Jérusalem comme capitale d’Israël,s’engageant à y transférer l’ambassade des États-Unis, au risque d’embraser le Moyen-Orient et d’enterrer définitivement un…
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rollingstonemag · 7 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/une-paix-possible-en-israel-vraiment/
"Une paix possible" en Israel, vraiment ?
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Le président américain Donald Trump a annoncé qu’il reconnaissait la ville de Jérusalem comme capitale d’Israël et que l’ambassade états-unienne allait être déménagée de Tel-Aviv vers la Ville Sainte. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu s’est réjouit et y voit une « paix possible ». Petit récapitulatif
«Il est temps d’officiellement reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël». C’est ainsi que le président américain Donald Trump a marqué un tournant majeur dans la géopolitique du Proche-Orient, reconnaissant, de facto, son soutien à l’état israélien. Il s’agit là d’une rupture majeure dans la ligne de conduite de la diplomatie américaine, qui avait joué depuis plusieurs décennies le rôle d’intermédiaire entre les deux parties.
Jérusalem est la capitale d’Israël, personne ne peut le nier (…) Cela rend la paix possible car reconnaître la réalité est la substance de la paix
La décision a réjoui Israel et son Premier ministre, Benyamin Netanyahu, qui, alors qu’il effectuait sa première visite à Bruxelles (qui marque aussi la première visite d’un chef de gouvernement israélien depuis 22 ans), a lancé : « Jérusalem est la capitale d’Israël, personne ne peut le nier (…) Cela rend la paix possible car reconnaître la réalité est la substance de la paix. […] Ce qu’a fait le président Trump traduit carrément les faits. La paix est fondée sur la réalité, sur la reconnaissance de la réalité ». Benyamin Netanyahu a également fat savoir qu’il pensait que « tous les pays européens, ou la plupart d’entre eux, [allaient] transférer leurs ambassades à Jérusalem, reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et s’engager fermement avec [lui] pour la sécurité, la prospérité et la paix« .
Mais si ces propos donnent confiance à une partie de la population, la situation est bien différente du côté palestinien. Les mouvements politiques palestiniens ont lancé un appel á la grève, tandis que le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, soiuhaite commencer à « travailler au lancement d’une intifada face à l’ennemi sioniste». Le président palestinien Mahmoud Abbas regrette la décision des Etats-Unis, qui perdent également leur figure d’intermédiaire dans ce conflit sans fin.
La région sous tension
Si la pilule est difficile à avaler pour les Palestiniens, c’est toute la région qui pourrait être déstabilisée par l’annonce du président américain. L’Iran a annoncé que le gouvernement provoquerait une « nouvelle Intifada« , jugeant qu’il s’agit d’une provocation de la part du locataire du Bureau ovale. Une manifestation a même eu lieu ce lundi 11 décembre dans les rue de la capitale, Téhéran, au cours de laquelle des portraits de Donald Trump et de Benyamin Netanyahu ont été brulés. La veille au Liban, des heurts avaient éclaté à Beyrouth où des militants pro-palestiniens se sont opposés violemment à la police, devant l’ambassade américaine.
This is a historic day. Jerusalem has been the capital of Israel for nearly 70 years. Jerusalem has been the focus of our hopes, our dreams, our prayers for three millennia. Jerusalem has been the capital of the Jewish people for 3,000 years. Thank you, @realDonaldTrump! 🇮🇱🇺🇸 pic.twitter.com/mWCUpUMpiC
— Benjamin Netanyahu (@netanyahu) December 6, 2017
Même discours pour l’Arabie saoudite, alliée de l’Oncle Sam, pour qui cette prise de position est « injustifiée et irresponsable« , ajoutant qu’il s’agissait d’un « grand pas en arrière« . De son côté, pour le gouvernement jordanien, Trump a « violé le droit international » en reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israel. Alors que le pays est ravagée par une guerre atroce qui dure depuis 2011, la Syrie a estimé, via un communiqué de la présidence, que Donald Trump n’avait aucun pouvoir en la matière et que seul « l’histoire, la volonté et la détermination de ceux qui sont loyaux à la cause palestinienne » peuvent écrire l’avenir de Jérusalem.
L’Occident appelle au calme et au dialogue
Si les tensions grandissent chaque jour dans la région depuis les déclarations de Donald Trump, d’autres incidents ont été déploré en Europe. En Suède, trois personnes ont été arrêtées ce dimanche 9 décembre alors qu’ils sont soupçonnés d’avoir tenté d’incendier une synagogue de Göteborg, la seconde plus grande ville du pays. Les politiciens ont vivement dénoncé cet acte. Sur le Vieux-Continent, les acteurs politiques appellent au calme et nombreux sont ceux qui ont critiqué la décision de Donald Trump. Emmanuel Macron, qui défend comme beaucoup la solution à deux états, a jugé de « regrettable » la reconnaissance de Jérusalem.
Sur Jérusalem, la France n'approuve pas la décision des États-Unis. La France soutient la solution de deux États, Israël et la Palestine, vivant en paix et en sécurité, avec Jérusalem comme capitale des deux États. Nous devons privilégier l’apaisement et le dialogue.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) December 6, 2017
La position du président français est en parfait accord avec celle de l’Union européenne, qui, comme l’a rappelé Federica Mogherini, la Haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, prône pour un état israélien vivant en paix avec un état palestinien, les deux nations partageant ne même capitale, Jérusalem.
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