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#Vladimir Poutine a pour la première fois commenté
ledevoirdinformer · 6 years
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Poutine rompt le silence quant à la décision US sur Jérusalem
Poutine rompt le silence quant à la décision US sur Jérusalem
Dossier: Les États-Unis reconnaissent Jérusalem comme capitale d’Israël.
Vladimir Poutine a pour la première fois commenté lundi la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et d’y transférer l’ambassade des États-Unis qui se trouve actuellement à Tel Aviv.
Les actions entreprises avant que le conflit palestino-israélien soit réglé et ne répondant pas aux…
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reseau-actu · 4 years
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L’opposant, qui respire désormais sans assistance artificielle, a promis de reprendre son combat en Russie, après sa convalescence.
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Ceci ressemble à un acte manqué, mais dans l’inconscient tourmenté du Kremlin les petits lapsus dissimulent souvent de profondes névroses. Ainsi donc, mardi 15 septembre, le porte-parole de Vladimir Poutine, Dmitri Peskov, a prononcé pour la première fois le nom d’Alexeï Navalny. Ce fut au détour d’une phrase lorsqu’un des reporters accrédités auprès du Palais demanda à l’homme de confiance du président russe des informations sur la santé de l’opposant hospitalisé à Berlin. «Nous n’avons pas la possibilité de surveiller les changements dans l’état de Navalny», a répondu Dmitri Peskov, dont le gouvernement est suspecté d’avoir commandité la tentative d’empoisonnement.
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Il s’agissait là d’un écart de langage. Imitant en cela Vladimir Poutine, qui ne nomme jamais cet adversaire qu’il feint d’ignorer, son collaborateur préfère généralement évoquer le «citoyen de la Fédération de Russie», ou le «patient de Berlin». La Commission européenne, qui a corrigé Peskov un jour plus tard, manifeste «un manque absolu de compréhension de la réalité du cas du patient de Berlin».
La réalité, néanmoins, devient difficile à esquiver pour Moscou, surtout depuis qu’Alexeï Navalny est apparu affaibli mais souriant sur son compte Instagram, posant sur son lit d’hôpital en compagnie de sa femme et ses deux enfants. Désormais l’avocat anticorruption respire sans assistance artificielle et entend, une fois sa convalescence achevée, rentrer en Russie. «Je trouve étrange qu’on puisse penser» qu’il puisse s’exiler, a commenté sur Twitter sa porte-parole, Kira Yarmish. Ainsi à la différence de nombreux opposants au Kremlin, dont l’ancien champion d’échecs, Garry Kasparov, Navalny entend affronter son ennemi, Vladimir Poutine, sur le seul terrain qui vaille: son propre pays. Même si sa convalescence ne fait que commencer, l’affrontement reprendra avec un adversaire que le pouvoir russe aura plus de mal à juguler.
Navalny est une tête de mule qui se fiche des menaces et refuse les gardes du corps. Il reviendra même si sa famille est contre
Alexeï Venediktov, rédacteur en chef de la radio Écho de Moscou
«Il est clair que Navalny a fait irruption dans l’agenda du Kremlin et que cela devient un problème pour le président», explique Tatiana Stanovaya, fondatrice du centre d’analyse politique R. Politika. Cette personnalisation du combat, voulue par l’intéressé, va conditionner le destin de «l’affaire Navalny», avec ses ramifications aussi bien domestiques que diplomatiques. «Navalny est une tête de mule qui se fiche des menaces et refuse les gardes du corps. Il reviendra même si sa famille est contre», assure Alexeï Venediktov, rédacteur en chef de la radio Écho de Moscou, proche des milieux d’opposition.
À Irkoutsk, en Sibérie orientale, une région russe que l’opposant laboure depuis des mois - il a été empoisonné à Omsk en Sibérie occidentale - ses supporteurs applaudissent à l’annonce de son retour. «Alexeï est courageux, c’est un vrai combattant. Pour Poutine, ce sera un problème car son adversaire sortira renforcé de cette épreuve», veut croire l’activiste Sergueï Bespalov. Ce dernier évoque les vidéos de son idole, pourfendant la corruption des élites russes, visionnées des millions de fois, ainsi que les victoires électorales municipales, remportées par ses candidats, le 13 septembre à Tomsk et Novossibirsk. En rentrant au pays, l’ancien avocat bénéficiera d’une aura «de victime et de héros», estime Venediktov. Et sa nouvelle image de «fédérateur» lui permettra de rallier à la fois les libéraux, et les communistes dont le parti, le KPRF, est aujourd’hui loyal à l’égard du Kremlin.
Pourquoi Poutine aurait-il voulu assassiner quelqu’un dont le niveau de confiance n’excède pas 2 % ?
Les pro-Kremlin
L’homme de la rue préfère se tenir à l’écart de ces supputations qui l’indiffèrent. Dans la famille Schwamberger, membre de la diaspora russe installée en Allemagne après la perestroïka, l’affaire Navalny qui sature les journaux télé, est absente des conversations du dîner. «Pour moi il ne fait aucun de doute que le Kremlin a voulu donner un exemple aux autres opposants en empoisonnant Navalny, sans volonté de le tuer. Mais à la maison mes parents ne parlent pas du sujet, c’est comme s’ils étaient habitués, comme si ce qui s’est passé faisait partie de la routine», explique Paul, le cadet de la famille diplômé de la Haute École d’économie, une école moscovite prestigieuse et perméable aux idées de l’opposition. À Moscou aussi, l’incrédulité domine dans la population: «Pourquoi Poutine aurait-il voulu assassiner quelqu’un dont le niveau de confiance n’excède pas 2 %?», rabâchent les pro-Kremlin, citant un sondage de l’irréprochable institut indépendant Levada Centre.
Alexeï Navalny n’a cure de ces sondages, lui qui communique principalement sur les réseaux sociaux. Sa photo postée depuis son lit d’hôpital a recueilli un million de «like» en seulement cinq heures. Jeudi, son équipe a publié sur Instagram une vidéo où l’on voit ses amis fouiller la chambre d’hôtel où leur leader a séjourné avant de tomber malade. Ils ciblent trois bouteilles d’eau en plastique dont l’emballage aurait été contaminé par des traces de poison. Hier, sur YouTube, la chaîne Navalny a affirmé que ce dernier n’a pas été empoisonné au contact de ces bouteilles ni après avoir bu une tasse de thé à l’aéroport d’Omsk, mais lors d’une occasion restant à déterminer. Ses supporteurs accusent la direction de l’hôtel de dissimuler les vidéos des caméras de sécurité susceptibles de faire la lumière sur l’accident.
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Moscou conteste les faits. La thèse de la bouteille est «absurde», a tranché vendredi Dmitri Peskov. Il n’exclut plus cependant la piste d’un empoisonnement, contredisant ainsi les premières analyses des toxicologues russes. Parallèlement, les versions pullulent à Moscou, toutes censées accréditer la thèse d’un complot. Les plus fantaisistes évoquent l’implication, dans l’empoisonnement de Navalny d’une de ses collaboratrices, présentée comme son amante - une jeune femme que les policiers russes se plaindraient de ne pouvoir entendre. Quant aux accusations officielles visant Berlin, elles se font de plus en plus virulentes.
Moscou reproche aux autorités allemandes de ne pas collaborer à l’enquête. Vendredi le speaker de la Douma, Viatcheslav Volodine, a enjoint au Bundestag de mettre à jour «le rôle des services de sécurité ainsi que celui des hauts fonctionnaires allemands» dans l’affaire. La veille, le Parlement russe a annulé la visite d’une délégation de ses députés à Berlin, qui étaient invités par le parti d’extrême droite AfD. La chancelière est, elle, directement prise à partie. La riposte de Moscou est en tout point identique à celle adoptée lors de l’empoisonnement de l’ex agent double Sergueï Skripal et lors du crash du vol MH17 au-dessus du Donbass imputé à un missile russe. «Il s’agit d’une tactique standard. Ils jettent en pâture au public des milliers de versions différentes, souvent périphériques à l’affaire, et laissent les gens se débrouiller avec ça», décrypte un proche collaborateur de Navalny, Georguy Albourov.
Faute d’avoir dans le passé, élaboré un mécanisme crédible de sanctions et de pressions à l’encontre de la Russie, l’Allemagne et l’UE se retrouvent en position de faiblesse
Stefan Meister, analyste au Conseil allemand des relations extérieures
Face à la contre-offensive russe, le gouvernement allemand fait le gros dos, lui qui, au contraire, dès les premières révélations, adressait un ultimatum au Kremlin, exigeant des explications rapides. Il y a dix jours, la Chancellerie évoquait la possible remise en cause de Nord Stream 2, le projet de gazoduc alimentant l’Allemagne, auquel de nombreux responsables au sein de la coalition sont attachés. Celui-ci est géré par l’ancien chancelier social-démocrate Gerhard Schröder. Mais à présent, Berlin et Paris insistent sur la nécessité de construire une «réponse européenne» en vue de prochaines sanctions. La Chancellerie compte s’appuyer sur l’Organisation pour la prohibition des armes chimiques pour établir les culpabilités.
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L’Allemagne «ne veut pas être enfermée dans un conflit bilatéral avec Moscou», explique un diplomate. Mais plusieurs observateurs à Berlin suspectent désormais le gouvernement de chercher un alibi plutôt que d’agir. «La Russie joue à loisir sur les divisions qui existent aussi bien à la CDU qu’au SPD sur le sujet Nord Stream. C’est précisément ce dont a peur le gouvernement, à savoir le fait d’étaler ses faiblesses. Celui-ci préfère prendre son temps et faire en sorte que le problème soit oublié», critique un parlementaire d’opposition, sous couvert d’anonymat. «Faute d’avoir dans le passé, élaboré un mécanisme crédible de sanctions et de pressions à l’encontre de la Russie, l’Allemagne et l’UE se retrouvent en position de faiblesse. Or le Kremlin commencera à faire des concessions seulement s’il s’aperçoit que le coût de ses actions lui sera plus préjudiciable que les bénéfices qu’il en retirera», estime Stefan Meister, analyste au Conseil allemand des relations extérieures. Ce dernier pense que la légendaire prudence d’Angela Merkel l’emportera.
L’issue diplomatique du dossier est secondaire pour Navalny. Pour l’opposant, son séjour allemand n’est qu’une étape sanitaire. Il exige des autorités médicales et policières des garanties de confidentialité à l’égard des demandes formulées par le pouvoir russe. Les frais de son hospitalisation ne seront pas pris en charge par le contribuable allemand mais par des donateurs privés et anonymes, ont d’ailleurs fait savoir les autorités. Fidèle à sa ligne de conduite, son équipe reste à distance des chancelleries occidentales, tout en accueillant avec satisfaction les conclusions des laboratoires européens, selon lesquels Navalny a été empoisonné par la substance soviétique Novichok. Pas question pour l’opposant de prêter le flanc aux critiques officielles russes, qui l’accusent d’être manipulé par l’Ouest. Seul l’intéresse son face-à-face avec Poutine.
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equipedefranceinfo · 6 years
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Le football et ses parts d'ombres
  Alors comme ça, Kylian Mbappé et son entourage auraient voulu insérer diverses clauses plus ou moins étonnantes dans son contrat? Et les joueurs parisiens, à commencer par Neymar, bénéficieraient de primes d'éthiques dont les conditions à remplir sont d'un intérêt variable? Soit. Mais ces révélations issues de la deuxième saison des Football Leaks, abondamment relayées par les médias et donc commentées un peu partout, ne disent finalement pas grand-chose du football d'aujourd'hui.
  Bien entendu, le travail l’European Investigative Collaborations (EIC) va plus loin que de simples chiffres, qui donnent certes le tournis mais pas plus que ceux de droits TV et contrats de sponsoring démentiels. Mais, pour comprendre les dessous des achats de clubs ou de joueurs, il faut aller au-delà de l'argent. C'est ce que fait Romain Molina dans La Mano Negra, ouvrage au sous-titre prometteur: Ces forces obscures qui contrôlent le football mondial.
    Juan Figer, le pionnier
Première question: les personnages étudiés, ces hommes qui tirent les ficelles, sont-ils véritablement obscurs? Un petit tour dans l'index répond en partie à la question. Six mentions de Jorge Mendes, soit à peine une de plus que pour l'écrivain Eduardo Galeano, aucune de Mino Raiola. Ces agents médiatiques, qui brassent des millions en commissions, profitent du système. Au-dessus d'eux, il y a ceux qui le font. Ceux qu'on n'entend jamais et dont on ne sait pas grand-chose.
        Le livre nous présente donc d'abord Juan Figer, Uruguayen qui débute en montant des spectacles de danseuses des Folies Bergères, met tout son équilibre financier en jeu sur l'organisation d'un match amical en 1970 et noue beaucoup d'amitiés. Précurseur du métier d'agent qui fera plus de mille transferts, de Maradona à Pelé et Romario, il devient vite un "super-agent".
  Joueurs, chaînes, hommes politiques… Sa sphère d'influence est considérable. Et ses idées nombreuses puisqu'en plus de gérer des affaires liées de près ou loin au monde du foot un peu partout dans le monde, il crée la TPO (Third-Party Ownership), qui permet à des tiers de prendre des parts d'un joueur, et la triangulation, qui fait transiter les footballeurs par des clubs situés dans des pays soumis à une fiscalité avantageuse.
  Dès les années 80, Figer, quasiment inconnu pour qui ne s'intéresse pas au sujet des agents, dérégule le marché. Les dérives récentes, du passage fantôme de multiples joueurs par le Deportivo Maldonado (Alex Sandro, Allan, Geronimo Rulli…) aux effectifs de clubs portugais remplis de Sud-américains qui appartiennent à tout le monde et personne sans le savoir, ne sont finalement que des suites logiques – et, qu'on peut cyniquement trouver presque tardives. Rien ne change, sauf l'échelle.
    Pini Zahavi, le patron
Lire ainsi contée la vie de Juan Figer, c'est comprendre comment se dessinent les mécanismes de contrôle du foot et quel est le portrait-robot de ceux capables de s'élever en haut de la pyramide. Intelligence supérieure, sens du relationnel, loyauté, discrétion.
  Ici, la capacité à se créer des amis n'égale que le soin mis à ne pas les perdre. Ne vouloir arnaquer personne lors d'un deal, c'est s'ouvrir la possibilité d'en faire beaucoup d'autres. Alors, si on sait s'entourer, on devient vite essentiel et quasiment intouchable. Même quand les choses sont louches, vu la complexité des montages et le talent des avocats, bon courage pour prouver quelque chose.
        Des arrangements, Pini Zahavi passe sa vie à en faire. L'homme le plus puissant du football mondial est le fil rouge de La Mano Negra, et une fois les présentations effectuées, on se surprend à le croiser partout sur des rachats de clubs ou négociations de transferts. Enfin, croiser… L'homme est un conseiller, un entremetteur dont le nom n'apparaît pas souvent, même à Gibraltar ou aux Iles Vierges, Real Madrid et FC Barcelone des paradis fiscaux. On l'aperçoit ici, on le fantasme là. On le sait derrière l'ascension de tous les nouveaux super-agents.
  Avec un peu de chance et de culot, on peut même lui parler. C'est le cas de l'auteur, qui retranscrit les échanges par messages WhatsApp dans un chapitre dédié. Une mise en scène qui scinde le récit et peut dérouter sur le principe – dans toute enquête où l'auteur progresse par lui-même, le risque d'autosatisfaction n'est jamais loin – mais donne un éclairage sur la façon de faire de Pini. Et permet de lire cette phrase incroyable du septuagénaire: "Je n'ai aucun ennemi dans le monde (sauf les gens ne m'ayant jamais rencontré ou n'ayant jamais bossé avec moi)."
    Thriller politique
Parti du foot, l'ouvrage s'en éloigne petit à petit. À partir de l'arrivée de Roman Abramovitch à Chelsea, point de départ de la vague d'investissements de richissimes propriétaires aux motivations plus ou moins claires, on fait ainsi connaissance avec Badri Patarkatsishvili et Boris Berezovsky, les Astérix et Obélix de l'ex-URSS. L'aventure devient polar géopolitique: élections, blanchiment d'argent, cadavres… Et, au milieu, Vladimir Poutine, ancien disciple qui fera immédiatement sa loi.
  Les noms sont nombreux, souvent beaucoup trop longs pour être retenus sans surnoms, et les CV pas toujours rassurants. Mais on se surprend à poser le livre pour faire quelques recherches sur internet, comme si trouver une photo permettrait de jauger le charisme et la dangerosité de ces gens, incarnations réelles de personnages de fiction.  
  Aussi paradoxal que cela puisse être, ces chapitres sont peut-être la plus grande force du récit. Bien sûr, le cas du drôle de rachat du Corinthians qui entraînera les venues de Carlos Tevez et Javier Mascherano ou, actualité oblige, les révélations sur les dessous des transferts de Kylian Mbappé et Neymar, rappellent que le livre traite du ballon rond. Mais en voyant qui gravite dans le milieu et où se situent leurs appuis, on comprend que tout devient possible. Qu'est-ce qu'un transfert quand on aide à faire élire des chefs d'États?
    Tout a une logique
La Mano Negra ne s'attarde que très peu sur les cas individuels, mais donne les clés pour comprendre ce qui n'a aucun sens vu de l'extérieur. Une sélection d'un joueur moyen? Il se peut que son conseiller soit le même que celui du coach. Quelqu'un qui tape au-dessus ou en dessous de son réel niveau? Regardez les amitiés du patron. Les passages d'Avram Grant au Maccabi Haïfa, à Chelsea, Portsmouth ou West Ham, à chaque fois en compagnie du défenseur Tal Ben Haïm, ne sont pas innocents.
  La lecture finie, on se demande bien s'il reste quelque chose de pur dans le football professionnel. Si les joueurs sont maîtres de leur destin. Et si, vu la puissance de ce sport, les clubs ne sont pas condamnés à tomber (directement ou via un homme de paille) aux mains de gens voulant blanchir de l'argent ou s'acheter une crédibilité dans le milieu des affaires.
  Romain Molina apporte certes des informations sur la genèse de certaines amitiés, mais il reste logiquement pas mal de zones d'ombres. Des fantasmes aussi, que le judaïsme de beaucoup de protagonistes et le lien financier entre Roman Abramovitch, Pini Zahavi et la droite dure israélienne ne peut qu'entretenir. Le résultat est en tout cas passionnant, une documentation précise étayant un récit captivant. Tant pis pour notre innocence et la pureté de nos rêves d'enfants. 
  La mano negra – Ces forces obscures qui contrôlent le football mondial de Romain Molina, Hugo Document, 17 euros.
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