Tumgik
territoirecreatif · 2 years
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Google: Territoire
, lQuand je Google (ça dépend des algorithmes) je tombe sur la définition de territoire du Petit Robert: “1.Étendue de la surface terrestre sur laquelle vit un groupe humain.Le territoire national français, belge.
2.Étendue de pays sur laquelle s'exerce une autorité, une juridiction.Le territoire de la commune.
3.Zone qu'un animal se réserve.Pays qui jouit d'une personnalité, mais ne constitue pas un État souverain.” Des définitions qui comportent tous un aspect humain de pouvoir envers le territoire.  Ensuite, on y trouve la plateforme Territoire du Mamh qui recense les documents d’aménagement du territoire du Québec.  En train d’écouter un reportage sur la raison de l’appréciation des paysages et il y a une question de culture vraiment forte et ça me fait penser à quel point on forge aussi notre appréciation du territoire par le renforcement des images sur instagram. On est aussi dans une culture du plein air, de quête de paysage et du beau (surtout depuis la pandémie). Comment ce contexte influence mon projet de maîtrise?
Commencer à voir clair sur la notion de territoire:  Composé de juridiction donc de limites selon l’échelle, d’une communauté (faune, flore et humains), de paysages qui influence l’expérience d’appréciation qui eux sont influencés par des valeurs contemporaines individuelles et collectives. Dans le paysage, il y a la notion de nature, mais aussi une composition de patrimoine. Un qui évolue et l’autre qui est conservé. Comme le paysage, le territoire est une notion complexe. 
6 février 2023
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territoirecreatif · 2 years
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Évolution
Je me replonge dans mon projet de recherche-création. Il y a quelque chose qui n’est pas encore sur son X ici. Je veux revenir à la base. Les lieux, l’espace, le territoire relié à la nature a un effet sur notre façon de vivre et sur nous. Nous sommes liés en tant qu’humain a des lieux par des souvenirs, des moments vécus, des moments présents et des moments futurs. Les voyages nous forgent et notre environnement direct modulent notre quotidien.  Pourquoi on choisit de déménager dans un endroit? Qu’est-ce qui nous inspire dans cette nouvelle réalité cadrée de montagnes et d’air salin? Par le regard d’artistes qui ont choisit de vivre dans Charlevoix et plus particulièrement à Baie-Saint-Paul, je cherche à connaître comment ce territoire les inspire? Je veux être à l’écoute de leur sensibilité qui se connecte à cette force terrestre qu’est la région charlevoisienne et comment elle se transpose dans leur art.  En même temps, l’oeuvre qui naîtra de ces rencontres se construira au fil du temps.  Mon visionnement de LIEUX COMMUNS qui présente l’artiste Diane Landry, artiste visuel, et Anne-Marie Proulx, photographe, qui présente ces artistes ainsi que leur processus créatif, leurs oeuvres, m’ait venu à remettre en question la forme de mon oeuvre. Leurs oeuvres expriment leur regard sur leur territoire sans que ce soit explicitement voici ce qui m’inspire ici. C’est plutôt une transposition qui laisse aussi le spectateur s’inspirer et en décoder un message qui fera sens pour lui.  Alors peut-être d’assumer le processus de création en deux temps: 
1- Rencontrer des artistes qui s’inspirent du territoire pour créer et qui y sont sensible. Les laisser me montrer et m’exprimer à leur façon ce que le territoire leur fait. 
2-Créer ma propre oeuvre inspirée de ces entrevues et m’accorder des moments de rencontre aussi au territoire et laisser l’oeuvre évolué 
3-Faire la création par le montage vidéo 
1 er février 2023
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territoirecreatif · 2 years
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Weave
Je m’attendais à ce que l’inspiration vienne d’elle-même. Être sur le bord du quai, regardant le lac et les conifères vert forêt, je me dis que quelque chose va ressurgir, mais rien. Je constate que la présence d’autres peut-être nuit à laisser aller ma créativité. J’ai besoin de me retrouver avec moi-même pour créer. 
J’ai pigé la carte de NOW, Weave. Tisser. Sur l’image, une toile d’araignée et de la lumière qui la traverse. Une certaine clairvoyance. Laurence m’explique. Ça fait beaucoup de sens avec ce que j’ai besoin de faire en moment, laissez aller. 
J’ai plusieurs concepts à explorer mais j’aimerais déjà être en train de tous les clarifier, d’être rendue à l’expliquer alors que j’en suis à apprendre. J’aimerais déjà pouvoir écarter certains concepts, certaines notions alors que j’en suis à différencier les concepts des notions. 
Je dois juste m’imprégner de mes lectures, lire, résumé, trouver ma méthode pour pouvoir être bien solide afin de bien définir mes concepts et que la clarté vienne dans mon projet ainsi que les liens qui se tissent entre eux pour finalement trouver 
Mon intention, ma question, mon projet.
Le but, mon objectif. Qu’est-ce que je veux comprendre au fond?
Je suis née à Neuville et j’y ai grandi. J��ai aussi grandi à travers Kamouraska où j’y passais mes étés. Le fleuve coule dans mes veines. J’en ai besoin pour m’apaiser. J’ai déménagé à Montréal à mes 20 ans. Une nouvelle vie trépidante, un nouvel environnement, une ville de culture et de plaisir 24h/24 7 jours sur 7. Un apport à en plus finir et un apprentissage de la vie très signifiant. Le tourbillon montréalais me déracinait, je n’avais pas l’impression d’être chez moi dans un sens... Oui quelques fois, mais pas dans cette perspective de projection. Je me représentais souvent Kamouraska, là où mes racines sont et j’avais ce goût d’y revenir. J’avais besoin de m’enraciner. 
J’ai rencontré Charlevoix. Charlevoix m’a adopté et m’offre depuis 2 semaines, le meilleur des mondes. Je m’y sens bien et je m’y sens à ma place. 
Ce que je veux, c’est faire prendre conscience aux gens l’impact du territoire sur nos vies. Quels sont les lieux, les villes, qui nous habitent ? Pourquoi nous habitent-ils? Est-ce que j’ai besoin des artistes et comprendre par leur pratique créative, l’importance et l’impact du territoire? Je dois repartir du début.
->Redonner envie de ce lieu d’existence. Exister dans un lieu en harmonie et en écoute avec le territoire. Vivre au gré des saisons, de la météo, se laisser aller à ses territoires.
St-Mathieu-du-Parc 5 juin 2022
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territoirecreatif · 3 years
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Recadrer
Recadrer davantage le sujet de ma recherche-création vers le processus créatif, vers comment le territoire affecte la création. C’est pour ça qu’il y a peut-être quelque chose à faire avec les choix et l’interactivité. Laissez le spectateur créer une vidéo à partir des éléments des vidéos que je propose, de ma collection?
Laissez le spectateur écrire un mot? Un peu comme à la fin d’une expo on peut laisser un mot dans un cahier.
21 mars 2022
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territoirecreatif · 3 years
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Territoire et immersivité immatérielle
En repensant à la manière dont je vois le documentaire immersif, comme une plateforme en ligne où les spectateurs feraient leur choix et où une vidéo venant de ma collection serait le résultat de leur choix, il me semble contre-productif de vivre ce moment derrière un écran. 
Ce qui m’intéresse dans ce nouvel avenue, c’est la question des choix. Dans notre rapport au territoire, on y trouve un choix aussi. Un choix dans un rapport de dominer le territoire et le voir comme un objet matériel ainsi que dans le choix de le respecter,  s’en inspirer. Je veux inciter les gens à sortir dehors et aller voir ce territoire qui les inspire, à eux-mêmes créer leur collection. 
En recap
Je fais des choix en collectionnant des moments de nature, de vivre le territoire selon ma perception du rapport au territoire et à la nature tout en remettant ma pratique en question pour ensuite composer une vidéo qui illustre ma quête de comprendre ce territoire qui inspire et qui nous invite à jouer dehors peu importe la saison. 
Idée!!!
Dans le fond, c’est d’inspirer les spectateurs à créer avec le territoire pour devenir des observateurs inspirés par celui-ci et ainsi renverser le rapport de pouvoir envers le territoire. 
L’essai-vidéo aurait donc une conclusion participative. Élaborer une invitation à créer et contribuer à une collection du territoire québécois. Est-ce que ce devrait être une application conçue pour cela, instagram, Tiktok. Ça prend quelque chose de collaboratif, userfriendly, qui pourrait créer une collection tout seul. Il pourrait y avoir des étiquettes par rapport au lieu, ex: souvenirs, chez soi, vacances, randonnées, lieu de travail, la route, espace favori, etc. L’application pourrait avoir un genre de quiz pour introduire le spectateur et lui faire prendre conscience des lieux qui l’habitent. Donner accès au collection à regarder et produire lui-même sa collection ou participer à la collection collaborative. 
Comme un genre de TikTok collaboratif, ou juste ben simple, chacun fait son tiktok, avec les tags et mentionnant mon projet... Je sais pu ...
Les artistes pourraient les premiers à y contribuer pour lancer le bal. Puisqu’ils sont les personnages de mon essai-vidéo.
Finalement, l’aspect des choix est oui au centre de ma réflexion, mais il reste tout de même que je fais le choix ici et maintenant de ne créer qu’une seule oeuvre avec ma collection en invitant les spectateurs à créer leur propre collection. Mon oeuvre est unique et a un récit, celle de ma quête de l’inspiration du territoire. 
21 mars 2022
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territoirecreatif · 3 years
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La Route- Cheminement
Je remarque que j’ai beaucoup de vidéo de route, de paysage de route. J’aime regarder les vidéos de route que je prends. Qu’est-ce que peut bien représenter la route? Quand je repense à la maîtrise et pourquoi je la fais? Bon premièrement, c’est aussi parce que c’était la suite logique des choses, en attendant de trouver le travail que je voulais faire. Parce qu’à ce moment-là, j’étais pas vraiment prête à sauter sur le chemin du travail. J’avais l’impression que j’avais encore beaucoup à apprendre... Je voyais cette maîtrise comme un moyen de rester étudiante, de rester dans le connu. Je ne savais pas trop dans quoi je m’embarquais encore moins dans ce programme de recherche-création. J’accepte chaque étape qui arrive, chaque opportunité d’apprentissage comme une occasion de m’enrichir et de cheminer. Malheureusement, cette maîtrise devient un peu le sideline de mes projets qui m’occupent et me motivent davantage. 
La route est à l’image du cheminement que je fais dans le cadre de cette période de ma vie, où je dois choisir entre plusieurs chemins, entre plusiuers destinées. Comme ce que sont les différentes dimensions dans the OA (ok petite parenthèse éloignée). 
Interactivité, documentaire, choix. Est-ce que toutes les footages de route pourraient être, entre les différents choix, entres les différentes vidéos?
J’ai de la misère avec les choix, j’aimerais tout voir, tout faire, tout être. Alors j’imposerais à d’autres la notion de choix, choisissez et construisez mon oeuvre à votre manière. Comprenez votre rapport au territoire à travers ma collection du rapport au territoire inspiré par ce que les artistes ont fait comme choix de représenter le territoire et s’en inspirer. 
À méditer, mijoter, bouillir à feu ben doux, parce que est-ce que je m’inscris à temps partiel à l’automne? Je prends tu un break ?
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territoirecreatif · 3 years
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Le malaise des choix
Suite à une discussion avec Martin où on a dirigé l’expression du territoire sur la notion de faire des choix que j’ai trouvé bien intéressante, j’en ai créé un parallèle avec ma propre pratique, mon propre vécu quo.ti.dien. 
Faire des choix. Pas facile faire des choix. 
Le contexte étant que ma pratique vidéo, le récit: se crée sur la table de montage. Par le choix de vidéo que j’ai prise -> mes collections de matériels, d’image je fais des choix.
Puis parmi ma collection, je fais des choix pour créer un récit. À partir d’entrevue avec des artistes qui m’auront parlé de leur choix d’exprimer le territoire, la façon dont ils ont choisi d’être influencé et de le diffuser. 
Puis finalement diffuser ma création en optant pour de l’interactivité et laisser la possibilité à celui ou celle qui le regarde de faire ses propres choix, d’expérimenter le choix de la création et le choix de voir ce qu’il/elle l’intéresse par rapport au territoire.
TOUT ÇA POUR DIRE QU’EN GÉNÉRAL, MOI J’AI DE LA MISÈRE AVEC LES CHOIX. Une nouvelle avenue vient d’apparaître, je dois choisir si je la garde ou non, qu’est-ce que je garde et qu’est ce que j’écarte. 
J’ai de la misère à faire des choix sur la logistique de ma journée, sur l’organisation de mon emploi du temps. J’ai de la misère à choisir dans quelle ville je veux être quand j’ai congé. J’ai de la misère à choisir si je prends la route vers une ville ou une autre et quand. J’ai de la misère à choisir avec qui je veux être et surtout j’ai de la misère à ME CHOISIR. Ceci dit. Ce serait un beau défi d’explorer mon malaise des choix. 
Je travaille là-dessus: sur mon malaise des choix. J’essaye d’y aller un peu plus avec l’intuition. Quand je résonne trop, je résonne pendant mille ans et je me perds. Affronter son malaise des choix Cool Cool j’ai hâte.
25 février 2022
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territoirecreatif · 3 years
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Auto-Sampling
Est-ce que dans le fond ma pratique vidéo est comme un auto-sampling?
Dans le sens où j’enregistre des sons, des images, des entrevues, des vidéos.
Je capte le monde, je crée une collection et ensuite je mixe tout ça ensemble.
Pour en faire un récit, mais qui se base sur une collection de sampling.
Que je crée moi-même…
18 février 2022
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territoirecreatif · 3 years
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Inspiration créative
Les portes de métro s’ouvrent et je vois un spectacle différent, une scène théâtrale à chaque fois.
Dizzy Gillepsie disait: “les meilleures notes en jazz, c’est celle qu’on je joue pas”
Dans le cours hier, il y avait une plume qui tombait lentement devant la lumière du projecteur. Apesanteur.
Faire de la musique avec les sons de la nature pour comment la nature, les endroits affectent le matériel?
Travailler sur la texture, les macros, la lenteur mais à la fois le dynamisme. 
17 février 2022
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territoirecreatif · 3 years
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Prévisions météos
Je suis sans cesse en train de calculer mes mouvements, mes déplacements. J’ai besoin de stabilité, d’ancrage, mais je bouge sans cesse. Au lieu de me laisser guider par les semaines, les jours, les heures, je tente de prévoir à l’avance où je serai et de remplir mon agenda dans les espaces-temps convenus. Je change d’idée, je fais des prévisions. Météorologue de ma propre vie, je me casse la tête à essayer de prédire mes déplacements pour me rassurer moi-même et donner un sens à mes projections. Au final, je mets beaucoup d’énergies sur ce que je pourrais que laisser aller. 
Les calculs incessants nuisent à mes élans créatifs. Je tente de me projeter sans cesse pour me rassurer, mais finalement, ça me gruge davantage de l’intérieur. Autant que j’essaye d’anticiper ma création, d’avoir une idée claire de ce je veux créer, de ce que je veux témoigner, je bloque la créativité qui pourrait venir qu’à moi par elle-même. 
Tous les moments les plus intéressants de mes entrevues avec les artistes que j’ai fait l’automne dernier, ont finalement été des moments complètement spontanés et surprenant. Les images les plus intéressantes que j’ai tourné ont aussi été ces plans qui se présentaient d’eux-mêmes dont j’ai finalement décidé de capter sur un vif moment. Un ciel couleur pastel parce qu’au moment où je suis sur la route, le soleil se couche et le froid rend une palette de mauve et de bleu à couper le souffle. Ça ne se calcule pas, ça ne se prévoit pas. Ça se saisit quand ça passe. 
Dans la création comme dans mes déplacements, je dois laisser aller la vie, lui faire confiance, saisir les opportunités, les signes et arrêter de dépenser autant d’énergies à tenter de prévoir et projeter l’avenir, la création, qui de toute façon n’arrivera pas comme prévu...
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territoirecreatif · 3 years
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Croiser Isabelle Hayeur
C’est fascinant la vie. Parce que tout bonnement, je me mets au travail ne sachant pas trop ce que je fais et ce que je vais découvrir. Je me dis bon je dois enrichir mon corpus d’oeuvre, donc go je dois aller fouiller des oeuvres vidéos pour enrichir la catégorie vidéo expérimentale et les façons d’aborder le territoire. Sans avoir trop de méthode, je fouille sur la vithèque de l’UQAM, je tape “territoire” dans la barre de recherche. Je tombe sur un documentaire sur une exposition artistique qui réside en un échange entre des artistes montréalais et de newyorkais. La fin de la vidéo est un teaser au prochain épisode que j’ai failli skipper, puis je tombe sur l’artiste visuelle Isabelle Hayeur dans le teaser.  Isabelle Hayeur pique ma curiosité et je vais immédiatement sur son site web. J’y découvre une approche critique de notre rapport au territoire et des photos belles, mystérieuses et envoutantes de paysages. Elle dit des choses comme: 
“Nos modèles de développement et nos modes de vie semblent responsables d’une série de crises: il devient de plus en plus nécessaire de les repenser.”
“Viser à maîtriser la nature sans la comprendre ni la respecter mènera inéluctablement à l’échec. Il faut donc repenser notre rapport au territoire et apprendre à cohabiter avec lui afin de ne pas céder à la quête illusoire d’un monde toujours plus contrôlé et sécuritaire.“
D’une part, elle vient de s’ajouter à ma liste d’artiste à interviewer. Simplement, comme ça j’ai trouvé une artiste par hasard qui m’inspire et dont j’aimerais entendre davantage sa vision de la création inspirée par le territoire et sa critique de notre rapport au territoire. 
Je trouve ça fascinant la vie de tomber comme ça par hasard sur une artiste vraiment intéressante finalement qui vient exactement dire ce que je pense de notre appropriation du territoire démesuré et qu’en plus elle l’exprime par l’art. Bref, la sérendipité est une méthode qui me va bien finalement. 
Je dois juste faire confiance au processus et me laisser bercer par le cerf-volant d’Owen dans la grande aventure du projet de mémoire.
1er février 2022
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territoirecreatif · 3 years
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territoirecreatif · 3 years
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territoirecreatif · 3 years
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territoirecreatif · 3 years
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territoirecreatif · 3 years
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Inscape
Alexandra Stréliski:
Paysage intérieur. Inscape
Quand on est pas bien à l’intérieur, on bouge partout. On s’en va en ville, à la campagne. On se cherche.
J’avais oublié comment son piano et sa musique me faisait du bien, m’inspirait, m’apaisait et me permettrait de retourner dans mon intérieur, de m’inspirer et de retrouver mon inscape.
12 décembre 2021
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territoirecreatif · 3 years
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Réflexion sur l’entrevue avec Fred
Fred me montre des peintures. Je remarque une peinture de paysage des cibles rouges et blanches dessus. Il me dit qu’il l’a peint pour un de ses amis qui s’est suicidé. Il me dit: « j’ai peint son paysage ».
Qu’est-ce que nos paysages? Il y a ceux que l’on voit le matin en se levant. Un regard par la fenêtre pour apercevoir les arbres ou les murs. La neige ou la pluie, le soleil ou la grisaille. Un regard pour donner une couleur à notre journée.
Ce paysage qui nous compose et qui nous a traversé. Ces endroits que l’on a visité, ces odeurs reliés à des souvenirs. L’odeur des feuilles au sol, de la neige fraîche qui tombe et des sapins dans la forêt. Ce paysage que l’on nous dit de visualiser quand il est temps de méditer, se recentrer.
Quel paysage vois-tu quand tu fermes les yeux?
Fred dit dans le plan 8664: « je dessine le paysage que je vis dedans » Dans l’entrevue, il dit : « on habite la nature »
2 décembre 2021
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