Isolé l'individu, le mettre dans un état de survie. Lui couper toute liberté, le réduire au silence, l'enfermer, le retrancher dans son moi intérieur. Le nourrir d'informations pour le désinformer, le menacer, pour qu'il puisse penser et décider uniquement sous l'emprise de la peur. Lui agiter le torchon de la mort, matin, midi et soir.
La peur, outil de pouvoir ! Cela permet de mettre le sujet au pas.
Le sujet est mûr pour qu'il décide "de son libre-arbitre" à consommer de la peur, à consommer de la mort.
Consommer l'information, consommer le vote, consommer les masques, les tests, consommer les discours, consommer les vaccins. Réduire l'individu à des statistiques. Le conditionnement.
La peur primale, le cri primitif pour un virus créé de toutes pièces dans un laboratoire des années 80 et servi à la sauce Aigre-douce.
Vieille idéologie d'élagage ! Quand tu nous tiens !
Le virus de la peur, le virus de soi, la menace de l'autre. L'autre, l'étranger.
Ce danger organisé nous emmène dans nos zones de repli, de suspicion.
Pour ma part, je suis effondré, nous aurions pu l'éviter, couldn't we !