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Musique du Futur, providence ou inquiétude ??
De nos jours la musique fait partie de nos quotidiens, elle nous acompagne peut importe l'endroit où nous allons. Il a une vingtaines d'année encore, le domaine de la musique etant un domaine restreint, seul les plus chanceux et talentueux pouvait pretendre en vivre mais grace a l'amelioration des téchnologies aujourd'hui la musique et son accessibilité évolue de jour en jour. Cependant depuis quelque année maintenant l'industrie musical voit un fléau naitre et grandir chaque jour qui menace le système, ce fléau est l'inteligence artificielle.
Nous allons donc voir comment l'intélligence artificielle va changer le monde de la musique et seront elle capable de remplacer un homme dans le creative process derrière un morceau
Pour commencer qu'est ce que l'intelligence artificielle ? L'intelligence artificielle (IA) est une branche de l'informatique qui vise à créer des machines capables de réaliser des tâches qui normalement nécessitent l'intelligence humaine, telles que la reconnaissance d'images, la prise de décisions ou encore la traduction de langues. Les systèmes d'IA sont conçus pour apprendre de manière autonome à partir de données et à s'adapter à de nouvelles situations, en utilisant des algorithmes sophistiqués tels que les réseaux de neurones et les méthodes d'apprentissage en profondeur. Avec des progrès continus dans cette technologie, l'IA a le potentiel de transformer de nombreux aspects de nos vies et de l'économie. Cependant, il y a également des préoccupations quant à son impact sur l'emploi, la vie privée et la sécurité.

Afin que vous puissiez vous rendre compte de la capacité horne norme de L'IA j'ai fais ecrire la definition par une IA nommé ChatGPT et on y voit aucune difference avec ce qu'un homme aurait pu ecrire.
l’IA est capable de générer des programmes seule à partir d’une base de données. Lorsqu’on donne toute la discographie des beatles à une IA elle est en mesure d’analyser les parole, l’instrumental, et l’aspect mélodique des morceaux des Beatles
Elle pourrais donc en théorie créer un morceau des Beatles exclusif…. Et c’est ce qui a été fait
Par Sony CSL et le résultat est bluffant
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Cela prouve que L’IA est en mesure de créer de la musique seul cependant elle doit disposer
d’une base qui est donné par l’homme
Pour l’instant, Elle n’est pas capable de générer cette base mais on peut supposer que dans un futur proche les IA pourront se developer elle même et accomplir des prouesses dans de nombreux domaine.

Sampaio Tony
Source :
Wikipedia
Google Image
ChatGPT
Izzoran.com
Forbes.fr
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Art interactif : Quand la technologie et la créativité se rencontrent.
"C'est le regardeur qui fait l'oeuvre", la citation du père de l’art contemporain Marcel Duchamp prend tout son sens dans le domaine de l'art et d'autant plus dans celui interactif. En effet, l'art interactif est une forme d'expression artistique qui utilise les technologies numériques pour créer des œuvres qui permettent aux spectateurs d'interagir directement avec elles. Il se distingue de l'art numérique de part sa fonction interactive avec autrui. Dans un monde de plus en plus connecté, les artistes cherchent de nouvelles façons de créer des expériences qui impliquent le public d'une manière plus immersive. C'est là que la technologie intervient.
En utilisant de nouveaux outils, les artistes peuvent créer des œuvres d'art qui permettent aux spectateurs de se plonger dans des mondes virtuels, d'être en contact avec des personnages animés ou encore d'explorer des environnements artistiques inédits. Cette nouvelle forme d'art est en train de gagner en popularité auprès du public, qui est attiré par la créativité, l'innovation et la possibilité de participer activement à l'œuvre d'art.
Mais comment les artistes utilisent-ils la technologie pour créer des œuvres d'art interactives et quels sont les avantages et les limites de cette pratique ?

L'un des principaux avantages de l'utilisation de la technologie dans l'art interactif est la création d'expériences immersives pour les spectateurs. Grâce à des technologies telles que la réalité virtuelle et la réalité augmentée, les artistes peuvent transporter les spectateurs dans des mondes virtuels, où ils peuvent interagir avec les œuvres d'art et les éléments de l'environnement. Cette immersion totale dans l'œuvre d'art peut stimuler les sens et l'imagination du public, créant ainsi une expérience mémorable et émotionnelle. L’art interactif se définit comme un courant artistique où la création d’une relation entre l’œuvre et le public est indispensable. La présence du spectateur est donc nécessaire pour l’aboutissement de l’œuvre. Un exemple concret de cette discipline sont les parcours immersifs proposés par les Ateliers des Lumières. Aussi, le Musée d'Orsay et de l'Orangerie ont trouvé eux aussi une nouvelle façon de magnifier leurs collections grâce à la réalité virtuelle. Dans le cadre de l'année Clemenceau, une exposition axée sur Monet-Clemenceau a été organisée. Cette exposition est accompagnée d'une expérience en réalité virtuelle des Nymphéas. En enfilant un casque, les visiteurs sont transportés dans un voyage de 7 minutes à Giverny dans le jardin d'eau du peintre, offrant une nouvelle perspective sur les œuvres d'art.
Au lieu de simplement regarder une œuvre d'art, le public peut interagir avec elle, la manipuler et l'explorer d'une manière unique. Cette interaction peut permettre aux spectateurs de se sentir plus connectés à l'œuvre d'art et de la comprendre de manière plus approfondie. Cela peut également encourager une participation active de la part du public, qui peut ainsi devenir co-créateur de l'œuvre d'art. Par exemple, l'artiste Rafael Lozano-Hemmer a créé une installation intitulée "Pulse Room", dans laquelle des ampoules suspendues s'allument et s'éteignent en fonction du rythme cardiaque des visiteurs qui touchent des capteurs. Cette œuvre interactive crée une expérience collective et engageante qui permet aux visiteurs de se connecter les uns aux autres et à l'œuvre elle-même.

L’interactivité implique ainsi une dimension à la fois technologique et rétroactive. Plus largement, on peut dire que toute forme de communication est interactive à partir du moment où cet échange n’est pas à sens unique. L’art interactif semble ainsi proposer un dépassement de l’échange entre l’oeuvre et le spectateur via les technologies.
Les artistes qui créent des œuvres d'art interactives utilisent une variété de techniques pour transformer leur vision artistique en une expérience immersive pour le spectateur. Parmi les techniques les plus couramment utilisées, on trouve les capteurs, la réalité virtuelle et augmentée, ainsi que la projection et la lumière.
Les capteurs et l'interaction physique sont souvent utilisés pour créer des œuvres d'art interactives qui réagissent aux mouvements et aux actions du spectateur. Les capteurs peuvent être placés sur le corps ou autour de la pièce pour détecter les mouvements et les interactions physiques. En transformant les actions du spectateur en actions visuelles et sonores, les artistes peuvent créer une expérience unique et personnalisée pour chaque participant. Par ailleurs, l'artiste Chris Milk a créé une expérience de réalité virtuelle intitulée "The Treachery of Sanctuary", dans laquelle les spectateurs peuvent devenir des oiseaux en battant des ailes devant un écran.

Dernier exemple d'installation immersive mais pas des moindres car incontournables et l'une des plus connues au monde, il s'agit de TeamLab. Par ailleurs, ce dernier est un groupe d'artistes et de programmeurs basé au Japon, qui crée des œuvres d'art interactives en utilisant la technologie. Leur travail explore la fusion entre l'art, la science, la technologie et la nature, créant des expériences immersives pour les spectateurs. Un exemple de leur travail est l'installation "Borderless" située à Tokyo. Cette installation se compose de différents espaces interactifs, tels qu'une forêt de lumières colorées, une cascade numérique et une salle de miroirs infinis. Les visiteurs sont encouragés à interagir avec les installations en marchant dessus, en touchant les écrans tactiles ou en utilisant leur corps pour influencer les effets visuels et sonores.
« Les visiteurs se déplacent librement, développent des liens et des relations avec d’autres et reconnaissent le monde d’après leurs propres corps. Les œuvres peuvent aussi se déplacer librement et développer des liens et des relations avec le public, se calquant ainsi sur la notion du temps du corps humain. Bien que les œuvres demeurent autonomes, elles transcendent leurs frontières, donnant naissance à un monde sans limite. Les visiteurs se perdent dans le monde des œuvres d’art. Sans cesse, celle-ci se transforment en fonction de la présence des déplacements de chacun d’entre nous. Alors que nous nous immergeons et nous fondons en nous-mêmes dans ce monde unifié, nous explorons une nouvelle relation qui transcende les frontières entre les individus ainsi qu’entre l’humanité et le reste du monde. »

Bien que l'utilisation de la technologie dans l'art interactif présente de nombreux avantages, elle comporte également des limites importantes qui doivent être prises en compte.
L'un des principaux obstacles à l'utilisation de la technologie dans l'art interactif est le coût élevé des outils et des équipements nécessaires. Les artistes qui souhaitent créer des œuvres interactives doivent investir dans des logiciels, des matériels et des équipements coûteux tels que des ordinateurs puissants, des écrans tactiles, des casques de réalité virtuelle, des capteurs de mouvement, etc. Cela peut représenter un obstacle important pour les artistes qui ont des ressources limitées.
Si la relation œuvre – spectateur est souvent bousculée lorsqu’il s’agit d’art numérique, la relation œuvre – artiste l’est tout autant. Pour créer son œuvre, l’artiste va souvent créer son propre outil technologique, qui va lui-même se charger d’exécuter le rendu final de l’œuvre.
L’artiste numérique est souvent artiste et ingénieur, il crée son propre logiciel, façonne lui même un code informatique et c’est l’ordinateur qui se charge de générer l’œuvre : on parle alors d’art génératif ce qui représente un autre défi majeur de l'art interactif. En effet, il est nécessaire d'avoir une expertise technique pour créer des œuvres interactives. Les artistes doivent posséder des compétences en programmation informatique, en modélisation 3D, en animation, en conception d'interface utilisateur, et en intégration de différents systèmes pour créer des œuvres d'art interactives. Cette exigence technique peut décourager de nombreux artistes qui ne possèdent pas ces compétences.
L'utilisation de la technologie peut également présenter le risque de perdre l'aspect humain dans l'art. Les artistes qui utilisent la technologie peuvent se concentrer davantage sur les fonctionnalités interactives et les effets spéciaux plutôt que sur les aspects esthétiques et émotionnels de l'art. Cela peut entraîner une perte de la spontanéité, de l'émotion et de l'imprévisibilité qui caractérisent souvent les œuvres d'art traditionnelles.
Pour les artistes qui créent des œuvres d'art interactives, la question de l'authenticité peut être complexe à résoudre. Certains artistes choisissent de documenter leur travail en créant des vidéos ou des enregistrements de leurs œuvres, afin de capturer une "version" de l'œuvre d'art qui peut être présentée dans des galeries ou des musées. D'autres artistes peuvent créer des prototypes ou des versions limitées de leur œuvre, qui sont considérées comme des œuvres d'art uniques et authentiques en elles-mêmes.
Pour les collectionneurs et les acheteurs potentiels d'œuvres d'art interactives, la question de l'authenticité peut être un facteur important à considérer. Certains artistes ont commencé à utiliser la blockchain pour enregistrer les transactions liées à leur travail, créant ainsi un système de preuve de propriété qui peut aider à confirmer l'authenticité d'une œuvre interactive. Cependant, il reste des défis pour déterminer comment les normes de l'industrie pourraient être appliquées à l'art interactif, et comment les acheteurs peuvent être protégés contre les fraudes ou les copies.
Finalement, l'utilisation de la technologie dans l'art interactif présente des avantages indéniables, mais comporte également des limites importantes qui doivent être prises en compte. Les artistes doivent être conscients de ces limites et être prêts à investir dans les ressources nécessaires et à acquérir les compétences techniques nécessaires pour créer des œuvres d'art interactives de qualité. En fin de compte, il est important que les artistes maintiennent l'aspect humain de l'art dans leur travail pour créer des expériences d'art interactives qui soient à la fois innovantes et émotionnellement impactantes.
FERHAT Amina. DL1 Maths-Economie
SOURCES:
Sources Images:
https://www.heavym.net/wp-content/uploads/2022/01/New-Media-Art-Cover-article.jpg
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Les NFT, un bouleversement pour le monde de l'art numérique ?
De nos jours, plus ont évolué et plus le numérique prend de la place dans notre quotidien, majoritairement par le développement et l'émergence de nombreuses technologies et ces nouvelles technologies peuvent avoir également un impact sur l'art, ce qui est le cas des NFT, faisant partie des technologies qui se disent pouvoir possiblement révolutionner la création, l'utilisation et la vente d'art numérique. Mais cela est-il réellement le cas, ou alors, ces NFT sont-ils non compatibles avec l'avenir de l'art numérique.
C'est pourquoi cet article a pour but d'étudier les avantages et les inconvénients des NFT sur le marché de l'art numérique.
Les NFT sont-ils une opportunité au développement numérique du monde de l'art et les artistes, ou une mode temporaire et révolue ?

C’est quoi les NFT ? :
Les NFT ou plus exactement Non Fungibles Tokens et de sa traduction française jetons non fongibles, est une monnaie virtuelle qui représente une propriété et l'authenticité d'un objet numérique, ils peuvent prendre la forme d'images, d'audio, de GIF, de tweet, de cartes à collectionner virtuelles, d'objets de jeux vidéo, de biens immobiliers Virtuels, etc. Les NFT fonctionnent grâce à la blockchaine, une technologie qui permet de créer, stocker ou vendre de façon sécurisée Les NFT sont uniques et ne sont pas échangeables, contrairement à d'autres crypto-monnaies comme le bitcoin et ce qui signifie qu'il n'y a pas deux NFT identiques.
Les NFT, un marché révolutionnaire pour l'art et les créateurs ? :
Les NFT font partie des technologies récentes qui, au moment de leur apparition sur le marché, ont suscité un grand intérêt dans l'industrie de l'art et du numérique qui se disent pouvoir possiblement révolutionner la création, l'utilisation et la vente d'art numérique.
En effet, les NFT offrent la possibilité aux artistes d'avoir un contrôle sur leurs œuvres d'art numériques, ils permettent que chaque œuvre digitale soit en quelque sorte numérotées et cela certifie alors leur authenticité ainsi que leurs valeurs et ça, même s'il existe des copies, on connaîtra alors toujours l'œuvre et l'auteur original.
Ce fonctionnement a permis tout d'abord aux artistes d'avoir un espace et un autre format pour créer et partager leur art sous forme numérique et également de voir leur travail/œuvres être rémunéré à leur juste valeur, car les artistes peuvent recevoir une commission à chaque fois que leur œuvre est revendue.
Cette explosion des NFT a alors permis à de nombreux nouveaux artistes d'émerger et de gagner une reconnaissance dans l'art numérique.
Exemples d’artistes connus dans les NFT ;
Beeple, artiste qui a vendu une collection d’images numériques pour plus de 69 millions de dollars avec un seul NFT.
Grimes, musicienne qui a vendu des œuvres d'art numériques pour plus de 6 millions de dollars.
C'est ainsi qu'est également arrivé un nouveau marché de collectionneur ou revendeur d'art numérique, c'est le cas de Brandon Kang, vidéaste de 25 ans, qui a commencé à acheter des NFT en décembre 2020, et en possédait déjà plus de 500 en 2021, dans sa collection, on peut retrouver des « Bored Ape », des singes très connu et souvent utiliser comme photos de profils, il en existe 10 000 et sont vendus des centaines ou même des milliers de dollars, le plus cher a été vendu 3,4 millions de dollars.
Si Kang a décidé de se lancer dans cette collection, c'est bien grâce à cette possibilité de traçage des œuvres, car comme il le dit, avant, "il n'y avait pas moyen de prouver qu'on était bien propriétaire d'objets numériques".
Un nouveau business et moyen publicitaire :
Comme on peut le voir notamment les NFT ont quand même un certain succès et se vendent à de très bons prix et c'est pourquoi de plus en plus de gens s'y intéressent et proposent des NFT, cela a été le cas des youtubeurs Squeezie, McFly et Carlito en 2022, qui pendant la vidéo "On appelle des gens au hasard dans nos téléphones feat Squeezie" ont créé et nommé une NFT "Binny "Wesh la Zone"".


Ce NFT, pourtant de base humoristique, a été vendu 5,1 WETH, soit 11 800 euros environ, ce bénéfice d'argent a été réutiliser pour la bonne cause en permettant aux Youtubeurs de faire un don au Secours Populaire. C'est loin d'être les seuls à avoir touché à la création de NFT, des chanteurs ou bien des jeux vidéo se sont également prêtés au jeu, avec l'apparition d'un très grand nombre de jeux play-to-car, ou les NTF sont différents types d'objets achetables dans le jeu comme des armes, vêtements, véhicules... Ou encore en musique comme Snoop Dogg, qui est l'un des premiers musiciens à déposer une collection NFT avec des morceaux de musique originaux de l'artiste.
Des entreprises et grandes marques s'intéressent également aux NFT comme Adidas ou Louis Vuitton qui font des drops de NFT, d'objets numériques en collaboration avec des figures NFT comme le Bored Ape Yacht Club, etc. Ces NFT permettent aux clients d'accéder à des, des survêtements, t-shirts et d'autres accessoires numériques, les marques fournissent donc aux utilisateurs des vêtements NFT uniques pour la personnalité de leurs avatars.
Des collaborations entre entreprise comme Nike et Roblox ont été faites, avec une collection de vêtements sur le jeu pour personnaliser son personnage, ou the walking dead, qui a même créé un jeu metavers, sur le thème de la série. Beaucoup d'autres marques et entreprises ont profité des NFT pour élargir leur audience publicitaire comme dans le sport ou l'alimentation.
On peut donc voir que les NFT ont l'air d'être un marché qui plait et assez divers sur ces propositions artistiques, cela est sûrement dû à la rareté des NFT et de la demande des utilisateurs ou collectionneurs, qui sont souvent prêts à payer beaucoup d'argent pour les acquérir. En 2020, plus de 250 millions de dollars ont été échangés sur le marché des NFT, contre 63 millions de dollars en 2019. Mais que ce cache t-il derrière ce premier succès pour les NFT.
L'accessibilité des NFT :
Les NFT sont également beaucoup critiquées malgré un certain succès, étant donné que comme vu précédemment, cela a un coup de pouvoir en posséder au vu du prix auquel ils sont vendus, cela fait ainsi passer le marché de l'art numérique et des NFT comme un marché de luxe pas accessible à tous.
Il faut savoir également, que pour pouvoir créer et proposer ses œuvres à la vente, cela peut paraitre simple, mais au contraire, il se cache des subtilités pas forcément dites au début, qui est par exemple des frais lors des ventes et achat de NFT ou bien des frais pour l'empreinte carbone, car oui vendre une NFT n'est pas gratuit, cela coûte de l'énergie et cette énergie doit être payé comme des frais de livraison, ces frais varient.
Un coup a payé très important :
Malheureusement, les NFT ont notamment un impact concernant le climat, car ils utilisent une énorme quantité d'énergie pour leur création, la consommation est d'environ 192 kWh. L'équivalent de la consommation d'énergie d'un habitant de 1'Union européenne pendant deux semaines. Cette consommation de la plus importante touche déjà les plus petits GIF possibles, alors imaginez ce que cela peut représenter pour un plus gros NFT On pourrait alors se demander si réduire cette consommation est possible, mais le problème est que l'énergie consommée sert à la création et la sécurisation des données de chaque NFT, si on le réduit cela réduit par la même occasion la sécurité des sauvegardes des données et les NFT perdent de leurs utilités dans ce cas-là Cet impact a tellement inquiété, que de nombreux utilisateurs ont décidés de ne plus ou ne pas vendre de NFT. Des recherches sont faites afin de quand même réduire cette consommation massive d'énergie, on espère donc que des moyens soient trouvés pour réduire ce problème sur notre environnement.
Un avenir possible pour les NFT ? :
Les NFT ne sont qu'en phase de développement, c'est pourquoi il est difficile de se positionner sur leur avenir, car malgré un fort succès à leur arriver, l'engouement se réduit ces derniers temps et les NFT font moins parler. Pour moi, cela ne signifie pas une fin pour les NFT, au contraire, ce n'est que le début et le fait qu'on en parle moins est dû au fait que ça ne concerne pas suffisamment de gens pour le moment, mais que dans les années à venir les NFT (ou sous une autre forme) referont parler d'elles et se développeront davantage, afin de correspondre à un public plus large. Les NFT ont un avenir prometteur pour les artistes et créateurs, la suite dépendra de leur développement futur et de leur réglementation autour de l'art numérique.
Dans l'ensemble, les NFT peuvent être considérées comme une bonne opportunité pour les artistes et créateurs de contenu numérique, mais quand ils sont utilisés correctement. Grâce à leur certification, les NFT, permettent d'assurer la provenance et la propriété d'une œuvre et permettent une rémunération des artistes.
De plus, les NFT ouvrent de nouvelles perspectives d'art possible, que ce soit pour les artistes ou bien la clientèle et peut-être même ouvrir la voie à de futurs nouvelles adaptations du système.
Cependant, les NFT ont encore quelques problèmes à régler durant leur développement, notamment sur l'impact énergétique soumis à notre environnement qui est bien trop important. Ainsi que permette l'ouverture du marché à un public plus large, afin de plaire au plus grand nombre.
Larzabal Kathéline - L1SPI
Sources :
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La collecte de données: un danger pour notre vie privée

Dans quelle mesure la collecte de données constitue-t-elle un danger envers notre vie privée ?
La collecte de données est le processus de collecte et de mesure d'informations sur des variables ciblées dans un système établi, ce qui permet ensuite de répondre à des questions pertinentes et d'évaluer les résultats. C’est une approche systématique qui consiste à réunir et à mesurer des informations en provenance de sources variées, afin d'obtenir une vue complète et précise d'un domaine d'intérêt.Ces données sont récoltées afin d’identifier les modes de navigation ou les centres d’intérêt d’un individu via les cookies par exemple.
La collecte de données peut être une pratique courante dans de nombreux domaines, tels que la recherche scientifique, le marketing, la gestion de la relation client (CRM), la publicité en ligne, et d'autres domaines de l'industrie et de la technologie.

Mais elle est aussi très présente sur les réseaux sociaux, ou là il est question d’un processus de collecte d'informations à partir des plateformes de médias sociaux, telles que Facebook, Twitter, Instagram, Linkedin, etc. Les données collectées peuvent inclure des informations sur les utilisateurs, leurs activités, leurs préférences, leurs interactions et leurs comportements sur les réseaux sociaux.
Il existe plusieurs méthodes de collecte de données sur les réseaux sociaux, notamment :
Tout d’abord il y a la collecte de données publiques : Les informations publiques sur les profils d'utilisateurs, telles que les noms, les photos de profil, les informations de biographie, les publications publiques, les commentaires publics. Cependant, il est important de respecter les politiques de confidentialité des plateformes de médias sociaux et de se conformer aux lois et réglementations locales en matière de protection des données.
Ensuite il y a l’écoute sociale: Il s'agit de surveiller les conversations et les mentions de marque sur les réseaux sociaux pour obtenir des informations sur les opinions, les attitudes et les comportements des utilisateurs envers une marque, un produit, un service ou un sujet spécifique. Les outils d'écoute sociale permettent de collecter et d'analyser les données provenant de milliers de sources dupliqués sur les réseaux sociaux. La collecte de données basée sur les médias sociaux fournissent généralement des interfaces de programmation d'application (API) qui permettent aux développeurs d'accéder aux données des utilisateurs de manière légale et contrôlée. Les développeurs peuvent utiliser ces API pour collecter des données sur les utilisateurs, les publications, les interactions, etc…
Et il y a aussi les enquêtes et questionnaires en ligne : Les enquetes et questionnaires en ligne peuvent être utilisés pour collecter des données sur les réseaux sociaux en posant directement des questions aux utilisateurs sur leurs habitudes d'utilisation, leurs préférences, leurs opinions, etc.
La collecte de données peut présenter certains dangers si elle n'est pas réalisée de manière appropriée. Voici quelques risques potentiels associés à la collecte de données :
⁃ La violation de la vie privée: La collecte de données peut compromettre la vie privée des individus en recueillant des informations sensibles, telles que des données personnelles, financières ou médicales, sans leur consentement éclairé. Cela peut entraîner une utilisation abusive de ces informations, telle que le vol d'identité, la fraude ou le harcèlement.
⁃ La surveillance et le profilage : La collecte de données peut permettre la surveillance et le profilage des individus, en tracant leurs activités en ligne, leurs comportements, leurs préférences et leurs habitudes de consommation. Cela peut entraîner une intrusion dans la vie privée des individus, ainsi que des discriminations basées sur les profils établis, par exemple en matière d'emploi, de logement, d'assurance ou de crédit.
⁃ La sécurité et la cybercriminalité: La collecte de données peut entraîner des risques de sécurité, tels que le piratage informatique, les fuites de données ou les cyberattaques.Les données collectées peuvent être exposées à des acteurs malveillants, ce qui peut causer des préjudices aux individus, aux entreprises ou aux organisations qui les détiennent.⁃ L’utilisation abusive : Les données collectées peuvent être utilisées de manière abusive, notamment à des fins de surveillance gouvernementale, de manipulation de l'opinion publique, de diffusion de fausses informations, de chantage ou d'extorsion. Cela peut avoir des conséquences graves sur la société, la démocratie et les droits de l'homme.

Il est donc important de prendre des mesures appropriées pour minimiser ces risques, et c’est pour cela qu’il est essentiel de se conformer aux lois,et réglementations en vigueur en matière de protection de la vie privée et de sécurité des données, notamment le Règlement général sur la protection
des données (RGPD) dans l'Union européenne et les lois nationales sur la protection des données dans d'autres juridictions.

Donc si vous effectuez une collecte de données aujourd'hui assurez-vous de le faire de manière légale, éthique et transparente. Cela implique de respecter les droits des individus concernés, de leur fournir des informations claires sur la manière dont leurs données seront utilisées, la collecte uniquement des données nécessaires à des fins spécifiques et légitimes, d'obtenir leur consentement lorsque cela est nécessaire, et la suppression des données collectées une fois qu'elles ne sont plus nécessaires. Assurez-vous également de prendre les mesures appropriées pour protéger les données collectées contre tout accés non autorisé, leur utilisation abusive ou leur divulgation non autorisée.
Sources
Wikipédia
Protection des données personnelles - RGPD - Mission Locale de Blois
RGPD : la protection des données personnelles
La protection des données personnelles au Japon | Direction …
Graphique: Données personnelles sur Internet : la crise de …
Ce qu'il faut savoir sur la collecte de nos données personnelles …
Donnée personnelle | CNIL
Que signifie Collecte de données? - Definition IT de Whatis.fr - LeMagIT
Dos Santos Eva L1 AES
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L'influence des outils numériques sur la musique contemporaine
La musique est l’un des arts qui a subit le plus de changements avec l’avènement des outils numériques au début du XXe siècle. Si les autres formes d’arts ont subit de profonds changements concernant les techniques de production et de fabrication, la musique a connu des évolutions dans ses formes et dans ce qui touche à son essence. L’avènement du numérique n’a pas changé les pierres dans lesquels les structures sont taillées, l’avènement du numérique n’a pas changé les couleurs utilisées par les peintres, mais l’avènement du numérique a crée de nouveaux sons avec lesquels les compositeurs peuvent désormais jouer.
C’est au début des années 1900 que l’on voit apparaitre ce que vont être les préludes des outils numériques actuels, notamment avec la création des amplificateurs électroniques à Transistor.
Mais les années 50 voient des innovations sur la manière de jouer avec les ondes retranscrites par l’amplificateur. Certains musiciens décident de sur-doser le niveau de gain sur un ton clair pour provoquer un grésillement du son et créer la distorsion, d’autres décident de dédoubler l’onde émise par un instrument et le retranscrire avec un léger délai sur une même fréquence pour créer un effet singulier, le flanger. L’utilisation des ondes retranscrites par un amplificateur de son, et leurs transformations par les artistes, transforme, à jamais la musique contemporaine.
Retraçons, dés lors, le développement des outils numériques à partir des années 1950 jusqu’à nos jours.
Les années 1970, et l’avènement du synthétiseur :
Entre les années 1950 et 1970, les nouveaux effets produits par une modification des ondes sont légions dans presque tous les types et genres musicaux. Du Rock, au Punk, en passant par le Rap et la Funk, chaque musicien utilise des effets qui modifient le son de son instrument.
Ce sont les années 1970 qui voient une innovation majeure à la modification des ondes. Cette innovation, c’est la modification de l’onde pré-amplificateur. L’onde produite par l’instrument n’est plus modifiée par l’amplificateur, mais par un intermédiaire entre l’instrument et l’amplificateur. Si les années 60 avaient vu apparaitre les premières pédales d’effets, les années 70 voient le développement du numérique, dans certaines pédales d’effets, mais surtout au travers d’un instrument en particulier : le synthétiseur. Une sorte de mini-ordinateur calcule la modification à faire sur l’onde au sein même de l’instrument. L’ondulation de l’onde produite est alors totalement artificielle ! Un synthétiseur ne produit pas de note si il n’est pas branché. Le synthétiseur est donc une sorte de pédale d’effet totalement modulable, sur lequel un instrument a été greffé. Cette innovation va dicter les codes des styles musicaux majeurs des années 1970. Les grands noms de cette décennie ont, pour la plus part, utilisé un synthétiseur à un moment donné de leur histoire. « ABBA », « The Doors », « Supertramp », tant de grands noms connus pour leurs riffs mémorables au son marquant du synthétiseur.
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Supertramp est sans doute l’un des groupes ayant le plus utilisé un synthétiseur au cours de la décennie. Il est même, pour beaucoup de fans, le groupe symbole du synthétiseur des années 1970. Si les albums précédents avaient été remarquables par la composition des morceaux, c’est le quatrième opus du groupe britannique qui marquera les esprits pour la diversité des sons utilisés.
Chaque morceau de l’album « Breakfast in America » sorti le 29 Mars 1979 contient du piano/Synthétiseur. Cet instrument est même aux fondement de l’album ; Roger Hodgson étant le pianiste du groupe, mais aussi le principal compositeur du groupe, le synthétiseur est au centre de la plus part des compositions. De l’introduction de « Goodbye Stranger », en passant par la rythmique marquante du piano de « Take the Long Way Home », sans oublier le solo de « Child of Vision », l’album met le synthétiseur au centre de l’écoute.
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Attardons nous quelques instants sur le deuxième morceau de l’album : « The Logical Song ». Ce morceau est frappant à plusieurs égards, mais c’est l’utilisation massive du clavier en tant que boite à bruit qui attire notre attention. C’est au cours du deuxième solo du Saxophone que l’on entend des sons nouveaux qui peuvent perturber l’auditeur. Ces sons sont ceux de la sonnerie d’un téléphone d’époque ainsi qu’un jingle de cartoon. Dans l’album, le groupe critique la société de consommation, et l’uniformisation de la société au travers de modèle de consommation de masse (une consommation visuelle, mais aussi une consommation matérielle). Le jeu de question réponse entre le clavier (et l’utilisation des sons qui y sont lés) le saxophone mettent alors en exergue les sons nouveaux, car en contradiction avec les codes de la musique de l’époque. Mais plus que la raison de l’utilisation de ces nouveaux sons, c’est la manière de faire qui nous intéresse. Sur l’album en lui-même, ces sons sont rajoutés de manière purement numérique en post-production. Mais ce qui est étonnant, c’est que ces sons sont également présents dans les versions Live du groupe. En effet, lors des concerts, Roger Hodgson joue avec deux claviers. Sur l’un deux, les sons en questions (qui produisent de facto une dote donnée) sont enregistrés, et peuvent être réutilisés. Le morceau joué ne perd alors rien de sa touche spéciale, et ne perd donc pas le message que le groupe souhaite faire passer.
Le synthétiseur est donc au centre des modifications des sons au cours des années 1970. Mais les années 1980 et 1990 voient une numérisation des effets sur moult autres instruments.
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Les années 1980 et les années 1990, ou le perfectionnement des outils numériques
Le développement des technologies dans le domaine audiovisuel impactent directement la musique, et les instruments de musique. En effet, alors que, dans les années 1950 les premiers effets qui modifiaient le son des instruments étaient des modification sur les amplificateurs, désormais, les modifications des ondes est faites par des pédales d’effets placées entre l’instrument et l’amplificateur. Ces pédales d’effets ont en leur sein des puces numériques qui transforment l’onde reçue par l’instrument en question (Basse / Guitare / Etc).
Encore une fois, tous les compositeurs travaillent avec ses nouveaux outils, peu importe le style et genre de musique.
Certains musiciens vont à l’encontre même des codes de genre. Dans les années 1980, sur la scène du Métal, deux musiciens vont utiliser leur instrument de manière non-conventionnel.
Le premier est Lemmy Kilmister (1945 - 2015) du groupe « Motörhead ». Alors que, même dans le monde du « Métal », la basse est censée avoir un son clair sans modification du son, le bassiste et compositeur a un son saturé et distordu, comme une guitare. Cela est novateur est lui créera une renommée mondiale. Le son de Motörhead devient inimitable. La distorsion est un effet de sur-dose du niveau de gain sur un ton clair qui provoque un grésillement du son et créer une distorsion. Ce son est d’autant plus accentué par le style de jeu du bassiste, qui joue de la basse comme si il jouait avec une guitare rythmique. Alors que la basse est, d’habitude, un instrument qui ne se précoce pas d’accord, et ne joue que la note fondamentale, Lemmy, lui, joue en accord, ce qui distord d’autant plus le son de la basse.
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Le deuxième est Cliff Burton (1962 - 1986) du groupe « Metallica ». Encore une fois, alors que sur la scène « Métal » la basse ne connait que peu ou pas de saturation. Cliff Burton était connu pour son son saturé et ses effets de son novateur. Il était notamment connu pour son style de lead (comme une guitare pourrait l’être), et son utilisation d’un pédale « Wah Wah ». Selon le Musicien Dave Hunter, « La pédale wah-wah est composée d'un filtre dont la fréquence de coupure comporte un pic de résonance élevé. On modifie la valeur de cette fréquence à l'aide du pédalier. C'est le glissement de la fréquence de coupure qui entraîne le son caractéristique de l’effet ».
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Si le genre du Métal se développe de manière significative au cous des années 1980, elle n’est cependant pas ce que l’on peut appeler un « laboratoire ». En effet, les effets utilisés dans les Métal restent assez restreint. L’Overdrive et la Distorsion sont au centre de la scène, et les autres effets, tels que la Reverb ou le Delay, ne jouent qu’une part infime des compositions des morceaux. En revanche, il y a bien un style qui se prête à l’utilisation des effets de son : La Funk
Alors que dans les autres style de musique tels que la rock, le Blues, ou encore le Jazz, ne font qu’utiliser un effet à la fois, la Funk est un genre ou le mix des effets est presque la base des compositions. Ce style combine plusieurs effets en même temps, notamment l’Overdrive, le Chorus, le Flanger). Les années 80 ont leur grands noms de la Funk, et il est impossible de ne pas avoir écouté un morceau de « Earth, Wind and Fire », de « Kool and the Gang », ou encore de « Stevie Wonder ».
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L’un des acteurs majeurs sur la scène Funk dans les années 1980 est Carl Carlton, très connu pour son single « She’s a bad Mama Jama » sorti en Août 1981. Dans ce morceau, tous les instruments ont des effets particuliers. Le basse est caractérisée par un son de chorus exacerbé. Et la guitare est régie par un son marqué par un flanger couplé à un chorus. Selon Rick Sowman, « un chorus est généralement obtenu en additionnant au signal d'origine un même signal légèrement retardé (entre 20 et 50 millisecondes) et dont la hauteur est légèrement modifiée de manière cyclique, avec un oscillateur basse fréquence (LFO) ».
Ce morceau est le reflet d’une époque marquée par la surreprésentation des ondes modifiées par des effets avant post-production. Mais c’est surtout un excellent exemple du mix de différents effets sur une seule et même onde produite par un instrument.
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Les années 90, quant à elle, voient également de petites évolutions sur les outils numériques pour les musiciens. Mais il n’y pas de réel changement. Seuls la manière de les utiliser évolue. L’un des groupes les plus marquants quant à l’utilisation des effets numériques dans les années 1990 est le groupe de Hard Rock états-unien « Rage Against the Machine »
Grâce à son son distordu, couplé à un chorus et un trémolo (C’est un effet monophonique de répétition d'une seule note, soit une alternance polyphonique de deux ou plusieurs sons sous forme d'accords.), Tom Morello transforme sa guitare en platine vinyle sur lequel il utilise la technique du scratch.
Cela est particulièrement parlant dans le morceau « Bulls on Parade » de l’album « Evil Empire » sorti en 1996
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L'avènement du nouveau millénaire, ou le retour à de sons plus simples
À la fin des années 90, les musiciens reviennent pour la plus part à des sons plus simples, plus clairs, plus claquants.
La nostalgie de la fin du XXème sicle revient à partir des années 2010, où l’on cherche à faire du neuf avec du vieux. C’est le goût du vintage qui s’installe dés les années 2015, et ce dans la mode, dans le domaine automobile, et même mobilier !!
La scène Jazz est alors la première touchée par ce phénomène, étant donné qu’elle est la scène la plus conservatrice et nostalgique des années 60/70/80. Le Jazz Fusion voir alors le retour des synthétiseur typés venus des années 70 et 80.
En 2004 est formé le groupe « Snarky Puppy », un groupe de Jazz Fusion composé d’une vingtaine de musicien. Ce groupe est novateur dans le sens où il mix les sons des années 1970 avec les traditionnels cuivres et autres instruments à cordes et à vent. Cette fusion des genres et des sons est particulièrement explicite dans l’album « We like it Here » sorti en 2013. En effet, tout au long de l’album, les synthétiseurs et les instruments à vent forment souvent des duos avec des formes questions/réponse. Chaque mesure d’un instrument répondant à celle de celui qui le précède. Cette fusion des genres, et cette mise en place particulière peut être constatée dans le dernier morceau de l’album : « Lingus ». Le solo de clavier de fin est d’abord caractérisé par des sons issus des années 1980, semblables à ce que l’on retrouvait dans certains album de Stevie Wonder. Ensuite, les cuivres et le claviériste s’échangent ensuite les dernières mesures jusqu’à la note finale.
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=L_XJ_s5IsQc
Cette volonté de faire du neuf avec des recettes anciennes est portée à son paroxysme par un autre groupe : « PostModern Jukebox ». Cette formation de musicien crée en 2011 reprend des morceaux contemporains et populaires et le retravaillent avec des codes et des instruments des années 1960 et 1970. C’est ainsi que l’on retrouve des morceaux tels que « Thrift Shop », « Thriller », ou encore « Royals », mais avec un dimension Jazz, Swing, ou encore Soul.
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=4Cnm0tdkJEU
Aujourd’hui, on retrouve plusieurs artistes qui réutilisent d’anciens codes pour faire vivre la nouveauté. Et avec les outils numériques que les artistes ont a disposition, on voit de nouvelles techniques apparaitre. Il n’est plus question d’un genre qui évolue plus que les autres, mais de chaque genre qui utilise tous les outils disponibles pour créer quelque chose de novateur. Youtube est alors la plateforme privilégiée pour exposer ses idées nouvelles, aussi décalées soit-elles.
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=6f4LCfYE2kM
Sitographie :
« Riders on the Storm » - The Doors : Youtube, Publié par 215Days, Date de parution : 7 décembre 2012, URL : https://www.youtube.com/watch?v=iv8GW1GaoIc
« The Name of the Game » - ABBA : YouTube, Publié par ABBAVevo, Date de parution : 8 octobre 2009, URL : https://www.youtube.com/watch?v=iJ90ZqH0PWI
« Child of Vision » - Supertramp : YouTube, Publié par Supertramp-Topic, Date de parution : 27 juillet 2018, URL : https://www.youtube.com/watch?v=HlqoYPR9G7w
« The Logical Song » - Supertramp : Youtube, Publié par Supertramp Official, Date de parution : 5 avril 2022, URL : https://www.youtube.com/watch?v=kln_bIndDJg
Images de Pédales d’effets : GuitarPart, Publiée par Guillaume Ley, Date de parution : 15 novembre 2016, URL : https://www.guitarpart.fr/guide-achat-les-nouveaux-pedalboards/
« Ace of Spades » - Motörhead : Youtube, Publié par Motörhead Official, Date de parution : 27 octobre 2020, URL : https://www.youtube.com/watch?v=3mbvWn1EY6g
« (Anesthesia) Pulling Teeth, Live at Chicago 1983 » - Metallica : Youtube, Publié par AUDREY LUSS, Date de Parution : 14 Mai 2016, URL : https://www.youtube.com/watch?v=2kdUJ5NAnTc
« Get Down on It » - Kool and the Gang : Youtube, Publié par KoolandthegangShow, Date de Parution : 5 octobre 2009, URL : https://www.youtube.com/watch?v=qchPLaiKocI
« Let’s Groove » - Earth, Wind and Fire : Youtube, Publié par Earth Wind and Fire, Date de parution : 1er septembre 2013, URL : https://www.youtube.com/watch?v=Lrle0x_DHBM
« She’s a bad Mama Jama » - Carl Carlton : Youtube, Publié par Carl Carlton, Date de parution : 26 juillet 2018, URL : https://www.youtube.com/watch?v=l-MHDRuJ1ME
« Bulls on Parade » - Rage Against the Machine : Youtube, Publié par Rage Against the Machine, Date de parution : 7 février 2013, URL : https://www.youtube.com/watch?v=3L4YrGaR8E4
« Lingus » - Snarky Puppy : Youtube, Publié par GroupUp Music NYP, Date de parution: 31 Mars 2014, URL : https://www.youtube.com/watch?v=L_XJ_s5IsQc
« Thrift Shop » - Postmodern Jukebox : Youtube, Publié par PostModern Jukebox, Date de parution : 12 février 2013, URL : https://www.youtube.com/watch?v=4Cnm0tdkJEU
« Harp Metal » - Rob Scallon : Youtube, Publié par Rob Scallon, Date de parution : 25 février 2016, URL : https://www.youtube.com/watch?v=6f4LCfYE2kM
LAVADOUX Charles
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Gorillaz : Premier groupe virtuel
En 1998, Damon Albarn et Jamie Hewlett créent Gorillaz grâce à leurs talents respectifs : la musique et le graphisme de bande dessinée. De ce mix d’art va naître l’un des groupes les plus connus aujourd'hui après 25 ans de carrière.
Comment Gorillaz ,un groupe de pop star virtuelles, parvient à avoir un tel succès ?
La représentation visuelle du groupe est une des raisons de leur popularité. Il s’agit donc de quatre membres : 2D le chanteur et pianiste, Murdoc le bassiste, Russell Hobbs à la batterie et enfin Noodle à la guitare. Le groupe s’inscrit dans une multitude de genres musicaux tels que le hip hop, le indie rock, le reggae pop, l'électronique et j’en passe.

Le groupe n'est pas seulement une image mais a aussi toute une histoire, on y retrouve alors le talent de Jamie Hewlett. De ce fait, il existe le livre Rise of the ogre, qui regroupe les mésaventures de Gorillaz ou encore L'almanac, un livre qui rassemble les dessins de Hewlett. Les vidéos clip retracent aussi l’histoire du groupe, peut-être de manière plus légère étant donné de l'importance des nombreuses collaborations avec d’autres artistes. Gorillaz cherche dans leur clip à créer une sorte d'expérience pour le spectateur. Par exemple, dans le clip de la chanson Stylo pour l’album Itunes Sessions sorti en 2010, on retrouve le groupe en pleine course de voiture avec l’acteur reconnu Bruce Willis.
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On peut alors se demander si leurs succès n’est pas simplement dû à la virtualité du groupe. En effet à l’origine, il n'était même pas question de dévoiler l’identité humaine derrière la voix de 2D. Damon Albarn qui avait déjà connu dans son groupe de britpop Blur la pression médiatique, la personnalité de l'artiste à l'époque devient de plus en plus importante et est manipulée pour plaire aux fans. L'idée d'un groupe virtuel lui donnait une plus grande liberté de création. Le premier album fut un tel succès, enregistrant dans leur carrière un premier hit “Clint Eastwood”, même si leurs identités furent dévoilées quelque temps après, les véritables stars étaient déjà désignées comme les membres virtuels.
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De plus, pendant ces 25 ans de carrière, Gorillaz ne s’est pas contenté de clips mais on aussi invité les fans à se plonger d’autant plus dans l’univers virtuel de Gorillaz.par exemple, ils ont créé un site web pour lequel ils ont remporté un prix au dotmusic online Music Award en 2001. Gorillaz ont aussi créé des jeux vidéo à l'époque accessibles à tous sur le site web comme le Final drive geep simulator ou l’on pouvait conduire la voiture du groupe comme dans le clip de “Clint Eastwood.

Ensuite, Gorillaz a dû faire preuve d’imagination pour parvenir à performer leurs musiques de manière virtuelle. En effet au début, les concerts se faisaient derrière un écran avec des vidéo projetés dessus. Puis, notamment dans les performances télé, par exemple au madonna grammy de 2006, le groupe utilise les Hologrammes des membres. Ils ont aussi fait le clip de saturn barz pour leur album Humanz en 2017 en 360 degrés . et enfin dernièrement, pour la sortie de leur album ils ont fait un concert en réalité augmentée à Time Square à New York et à Londres.
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En conclusion Gorillaz est le groupe précurseur de la musique en virtuel, des groupes et artistes s'inspirent d'eux volontairement ou pas comme par exemple Shaka ponk ou encore le groupe de k pop Aespa. Le virtuel est pour eux un média pour atteindre une plus grande liberté artistique.
Pauline Vanhooland
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Laylow, du digital réel. Comment la technologie et le numérique influencent-ils sa musique ?
De nos jours, les nouvelles technologies sont omniprésentes dans notre quotidien. En effet, depuis l'arrivée d'internet et la démocratisation du digital (utilisation de la technologie numérique), ces dernières s'imposent dans nos vies. Ces hautes technologies sont, de prime abord, développées afin d'aider les populations, on peut notamment penser aux exo-squelettes qui sont en fait des systèmes externes, biomécaniques ou motorisés, apportant une assistance physique à leurs utilisateurs, et qui sont un espoir pour améliorer les conditions de travail de certaines personnes. On peut également prendre l'exemple des technologies d'assistance médicale qui nous permettent d'être plus rapide dans la compréhension d'une maladie ou d'une pandémie.

Les nouvelles technologies s'implantent également dans le monde de l'art, c'est notamment le cas dans le cinéma avec certains films tels que Transformers (2007), Ready play one (2018), ou bien Nerve (2016) qui mettent en scène robots, hologrammes, intelligences artificielles, tout ceci dans un monde à l'aspect digital. Depuis quelques temps, nous avons même pu voir apparaître des générateurs de textes ou d'images, en bref des générateurs d'art qui sont en fait des intelligences artificielles.


Cependant, le high-tech ne s'arrête pas là, aujourd'hui, en effet, les nouvelles technologies prennent une place à part entière dans le monde de la musique. Après l'arrivée du style electro, les musiques assistées par ordinateur et l'utilisation de l'autotune, module corrigeant les fausses notes et faisant chanter juste ceux qui chantent faux, ont été démocratisées grâce notamment à leur utilisation dans des groupes tels que les Daft Punk. A présent, il y a plus que ça. En Corée du Sud, par exemple, certains groupes de korean-pop aussi appelée k-pop sont composés d'intelligences artificielles, ces dernières chantent et écrivent leurs propres chansons. En Europe, et jusqu'au mois de novembre, le célèbre groupe de pop suédois Abba remonte sur scène, mais sous forme d'hologramme ! La musique jadis écoutée sous forme de cassettes, de disques ou de CD à a présent bien évoluée côté digital. Dans le rap notamment, un artiste se démarque tout particulièrement grâce à sa musique à l'ambiance numérique. Ce dernier se prénomme Laylow.

• Mais comment Laylow a-t-il su tirer parti de l'émergence des nouvelles technologies pour se démarquer des autres ?
Tout d'abord, Laylow, de son vrai nom Jéremy Larroux, né en 1993, est un artiste originaire de la banlieue toulousaine. Avec son propre label Digital Mundo, il est l'une des figures les plus créatives du paysage musical français. Il s'est rapidement distingué sur la scène du rap français par un univers faisant abondamment appel aux nouvelles technologies.

Laylow est un artiste qui aime jouer avec les différents modules musicaux tels que l'autotune, qu'il utilise surtout pour créer de nouvelles sonorités, en effet, il acquiert souvent une voix robotique, saccadée de possibles interférences comme dans le titre Logiciel Triste paru dans son album du nom de Trinity. Plus que cela, ses albums tels que Digitalova, .RAW, .RAW-Z ou Trinity s'inscrivent dans une vague digitale ne serait-ce que par leur musicalité. Effectivement, même sans voix, l'artiste rythme les cheminements musicaux de ses albums avec saturations, vibrations, grésillements, distorsions... En bref, ses musiques sont ponctuées de bruits électroniques en tout genre. Laylow intègre l'ère du digital dans les scénarios des histoires qu'il invente, et même dans les visuels de ses clips en montrant par exemple des hologrammes comme dans Gogo, titre faisant parti du projet Digitalova, un bras robotique ou bien carrément en personnifiant un logiciel dont il tombera amoureux dans l'album Trinity. En plus de tout cela, Laylow s'inspire de références emblématiques telles que le premier Matrix (1999) ou bien de films plus futuristes comme Her (2013) ou Blade Runner (1982).En bref, en intégrant les nouvelles technologies et l'univers digital de différentes façons à ses œuvres, Laylow a su créer une ambiance puissamment digitalisée qui lui a permis de se démarquer des autres artistes.

Pour finir, grâce à l'engouement créé par Laylow autour de la musique digitalisée, on a assisté à l'émergence d'autres artistes tels que Wit, ou bien So Lalune et Luther, nouveaux artistes faisant partis de la "New Wave" ("Nouvelle Vague" d'artistes). Ces derniers s'annoncent très prometteurs.

● PRUD'HOMME Lana ●
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SOURCES :
https://youtu.be/So6ycBXKlMQ (interview clique x)
https://youtu.be/WlVeRoSjBO8 (le règlement mr anderson)
https://youtu.be/9OyVVsjuVVM (le règlement trinity)
https://thesaurap.fr/albums/laylow-trinity/
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Laylow
https://www.essentiel-sante-magazine.fr/sante/innovation/exosquelettes-un-espoir-pour-ameliorer-les-conditions-de-travail
https://www.bfmtv.com/people/musique/abba-leur-spectacle-futuriste-en-hologrammes-prolonge-jusqu-a-novembre-2023_AN-202211280637.html
https://www.sonymusic.fr/artist/laylow/
https://www.deezer.com/fr/artist/4510044?deferredFl=1&utm_campaign=artist&utm_source=google&utm_medium=organic
SOURCES IMAGES :
https://images.app.goo.gl/rjbRA96TtqyTedQo8 (image 1 : exo-squelette porté par un humain)
https://images.app.goo.gl/r2oAbfU9x2Ng3bhE8 (image 2 : affiche du film Nerve)
https://images.app.goo.gl/EzGoXk5b3ab9GZgY6 (image 3 : images générées par l'intelligence artificielle DALL-E)
https://youtu.be/5Uo_gsAo0Rw (image 4 : pochette album Trinity (Laylow))
https://youtu.be/WlVeRoSjBO8 (image 5 : résumé de Trinity (Laylow))
https://youtu.be/qnth3aMiUcw (image 6 : pochette album Digitalova (Laylow))
https://youtu.be/U4Q8bjvdgUM (image 7 : pochette album Sirus (Wit))
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L’influence des réseaux sociaux sur l’humain
Depuis l’émergence des réseaux sociaux au début des années 2000, leurs utilisations n’ont cessé d’augmenter durant ces deux décennies. De nouvelles formes de réseaux sociaux font leur apparition et aujourd’hui, la grande majorité des personnes les utilisent, notamment les moins de 25 ans. Ceux-ci font entièrement parti de nos vies et nous influence dans nos décisions, notre façon de voir le monde et de nous voir nous-mêmes. Mais alors est-ce que les réseaux sociaux font de nous des meilleures versions de nous-mêmes ou au contraire de plus mauvaises versions ?
evolutionreseaux2008-2020.png (2291×1301) (hubspotusercontent10.net)
Une des caractéristiques principales des réseaux sociaux est de connecter des utilisateurs avec d’autres personnes et de maintenir des relations à distance, de permettre de garder le contact avec les gens qui sont plus ou moins loin, mais aussi d’offrir l’opportunité aux utilisateurs de rejoindre des communautés de gens qui partagent les mêmes centres d’intérêts. Il est possible grâce à ces plateformes de développer sa créativité en suivant des personnes qui publient du contenu spécifiques, mais aussi de découvrir de nouvelles passions. Mais si les réseaux sociaux peuvent permettre de s’exprimer librement et de se sentir moins seuls, ils peuvent aussi faire le contraire.
La plupart des gens sont quotidiennement connectés sur des réseaux sociaux, soit pour publier, soit pour visionner du contenu, voir les deux. Ceux-ci sont souvent utilisés pour partager des opinions, des informations et peuvent affecter la façon dont les gens perçoivent les évènements actuels, les problèmes sociaux, politiques et environnementaux. Les informations qui sont partagées sur les réseaux sociaux peuvent être fausses ou incomplètes et peuvent être utilisées pour propager des théories du complot ou des idées extrémistes. L’usage des réseaux sociaux n’est pas la même sur chaque plateforme. En effet, alors que Twitter compte beaucoup d’utilisateurs malveillants, sujets aux théories du complot, d’autres réseaux sociaux comme TikTok prônent surtout la créativité et l’acceptation de soi. Beaucoup de tiktokeurs ont vraiment permis ces dernières années à parler de certains sujets librement, qui étaient autrefois sensibles et tabous (principalement à propos de la sexualité, des idées reçues sur les genres…). Par exemple, l’influenceur Fabian :

Il permet à beaucoup de gens (tout comme d’autres influenceurs), à exprimer sa créativité (maquillage principalement), mais aussi à aider d’autres personnes à s’accepter et à s’identifier à lui, alors qu’auparavant, ce type de contenu n’était pas, ou peu mis en avant sur les réseaux sociaux.
Les réseaux sociaux encouragent la comparaison avec les autres. Les utilisateurs comparent leurs vies avec celle des autres. Il est très facile, de prendre une photo avec une très (trop) bonne qualité, une bonne luminosité, voire de les retoucher pour se valoriser, ce qui peut laisser croire qu’au naturel, ces personnes répondent à tous les critères de beauté actuels. Les réseaux sociaux mettent surtout en avant des personnes avec un aspect esthétique très favorable. Cela va modifier les comportements des utilisateurs des réseaux sociaux, car vont vouloir répondent à ces critères. Ceux qui suivent les influenceurs vont penser que ces critères sont l’unique norme et vont donc être amenés à se comparer, à développer des complexes s’ils n’ont pas certaines caractéristiques. Les utilisateurs des réseaux sociaux vont donc utiliser des filtres, ou autres pour améliorer leurs images et donc entrer dans ces critères. Les gens modifient leurs corps, leurs visages pour supprimer les aspects qui sont en dehors de la « norme » des réseaux sociaux et vont donc être constamment amenés à utiliser des filtres sans être capable de poster des photos au naturel. Il est aussi facile de cacher des aspects que l'on ne veut pas que les autres voient. Les filtres, les outils de retouches et la surexposition à des images idéalisées du corps humain peuvent affecter l’image que l’on a du corps et l’estime de soi, en créant des attentes irréalistes pour l’apparence physique, et cela peut créer des pressions sociales.
En réponses à ces préoccupations, certains influenceurs ont commencé à défendre l’acceptation de soi et l’apparence corporelle sur les réseaux sociaux, en partageant des images qui ne correspondent pas aux normes de beauté traditionnelle et des profils dits atypique (ceux que l’on ne retrouve pas habituellement sur les réseaux sociaux).
Le mouvement #BodyPositivity encourage les gens à accepter leur corps et leur apparence, quelle que soit la pression sociale qui s’impose à eux pour atteindre une certaine norme de beauté.
Il y a aussi de plus en plus de personnes qui postent deux types de photos côte-à-côte pour montrer d’un côté, la photo « parfaite », « instagrammable » qui répond aux critères de beauté, et de l’autre la photo moins conventionnelle qui correspond plus à la réalité. C’est une forme de libération du corps, par l’humour.

On peut aussi prendre l’exemple de la chanteuse Lizzo, qui poste régulièrement sur Instagram, d’elle et de son corps qu’elle assume totalement, pour casser les codes de la plupart des influenceurs.

On peut aussi prendre comme exemple de nombreuses chanteuses, ou influenceuses, comme Rihanna, ou Miley Cyrus qui ont postées des photos de leurs jambes, ou aisselles non rasées. Ce sont pleins de sujets dont on parle très peu et ces femmes essaient, grâce à leurs réseaux sociaux de faire comprendre au monde qu’il ne faut pas avoir honte de son corps, et qu’au contraire, qu’il faut en être fiers.
D’un côté, les réseaux sociaux peuvent nous aider à rester en contact avec des personnes que nous n’avons pas vu depuis longtemps, à partager des expériences et à établir des liens avec des personnes partageant des centres d’intérêts communs. Les réseaux sociaux peuvent permettre de partager des idées et des informations, de soutenir des causes sociales et environnementales.
D’un autre côté, les réseaux sociaux peuvent également avoir des effets négatifs sur notre comportement et notre image de soi. Ils peuvent créer des sentiments d’isolement, d’anxiété et de dépression, en particulier si l’on compare notre vie à celle des autres sur les réseaux sociaux qui peut paraître trop parfaite. Les réseaux sociaux peuvent également encourager la diffusion d’idées extrémistes et de désinformation.
En fin de compte, bien que les réseaux sociaux aient à la fois une influence positive et négative sur les humains, il ne faut pas oublier que chacun poste uniquement ce dont il a envie que les autres voient. Si nous sommes conscients que ceux-ci ne représentent pas toujours la vie réelle et que nous les utilisons de manière responsable, ils peuvent nous aider à nous connecter avec les autres, à exprimer notre personnalité de manière positive et à s’accepter soi-même.
ANTOINE COLAS - L1 Maths-Economie
Sources :
evolutionreseaux2008-2020.png (2291×1301) (hubspotusercontent10.net)
Les 12 avantages et inconvénients majeurs des réseaux sociaux | GoStudent | GoStudent
L'impact des réseaux sociaux sur notre vie (noovomoi.ca)
Rihanna cède à la tendance poilue en affichant ses jambes non épilées : Femme Actuelle Le MAG
Les 12 avantages et inconvénients majeurs des réseaux sociaux | GoStudent | GoStudent
Quels sont les avantages des réseaux sociaux ? | Je Decide
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Le futur de la K-pop : l'avènement des groupes d'idoles virtuelles
Aujourd'hui nous allons parler de l'intelligence artificielle dans le divertissement en Asie de l'Est. Tout d'abord, qu'est-ce qu'une intelligence artificielle, également appelée A.I. ? L'intelligence artificielle (IA) est la capacité d'un ordinateur ou d'un robot contrôlé par un ordinateur à effectuer des tâches qui sont généralement effectuées par des humains car elles nécessitent une intelligence et un jugement humain. Bien qu'il n'y ait pas d'IA capables de réaliser la grande variété de tâches qu'un humain ordinaire peut faire, certaines IA peuvent égaler les humains dans des tâches spécifiques. De nos jours, l'intelligence artificielle est fréquemment utilisée que ce soit dans l’art, la santé, l’automobile ou même la musique. Aujourd’hui nous allons d’un cas plus spécifique : l’intelligence artificielle dans la kpop. En effet, la kpop se répand de plus en plus au niveau national notamment en France qui a un gros impact culturel. La K-pop est une forme de musique populaire originaire de Corée du Sud, faisant partie de la culture sud-coréenne. Elle comprend des styles musicaux du monde entier, tels que la pop, le hip-hop, le R&B, le rock, le jazz et bien d'autres. A travers cet article, nous allons essayer de comprendre les avantages et les inconvénients de l’intelligence artificielle sur la kpop et également les conséquences sur l’industrie de la kpop.
Comment l’émergence des idoles virtuelles bouleverse-t-elle l’industrie de la kpop ?
La présence croissante de l'intelligence artificielle dans la musique, en particulier dans le monde de la K-pop, suscite des interrogations quant aux conséquences de cette utilisation de l'IA. Alors que certains groupes mélangent des membres humains et virtuels, d'autres groupes ne comprennent que des idoles virtuelles. On retrouve alors différents cas de figures. Le premier cas de figure est le cas groupes « mixtes » c’est-à-dire un groupe contenant des idoles virtuelles et réelles comme Aespa. Aespa est un girls band de quatre idoles réelles qui possèdent toutes des avatars virtuels.
Nous avons également une autre situation dans les groupes mixtes. Nous pouvons prendre l'exemple de SUPERKIND qui est un boys band de sept membres avec deux membres créés par intelligence artificielle et 5 idoles de la vie réelle.
Cependant, il y a aussi des groupes avec seulement des idoles IA comme K/DA et MAVE. Or ces groupes ont des buts différents. L'objectif de K/DA est de promouvoir League of Legends, un jeu de combats et stratégies, tandis que MAVE est là uniquement pour faire de la musique et divertir leurs fans.
K/DA :
MAVE: :
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Maintenant qu’on a vu les différents cas de figure, nous allons nous intéresser des avantages et des inconvénients de l’IA dans la kpop.
Il y’a plusieurs avantages quant à l’utilisation de l’intelligence artificielle dans la kpop.
Tout d’abord, l’une des choses les plus dangereuses dans l'industrie de la K-pop, ce sont les rumeurs, qu'elles soient vraies ou non, elles peuvent détruire la réputation d'un groupe, amener une idole à quitter le groupe et même conduire à des cas de suicide. En effet, les artistes sont censés toujours montrer une bonne image et être un exemple brillant pour leurs fans. C'est pour cette raison que les idoles subissent une forte pression et développent des problèmes de santé mentale. Mais avec les idoles virtuelles, ils peuvent avoir le contrôle et oublier les rumeurs potentielles qui pourraient nuire à leur réputation. De plus les idoles créées par IA n'ont pas de problèmes comme la santé mentale ou physique, la pression ou le harcèlement de la part de fans ou de la presse, car ils ne ressentent pas les émotions.
Ensuite, en raison de la pandémie de la Covid-19, de nombreux concerts et spectacles en direct ont été annulés, mais grâce aux avatars de groupes créés par des agences utilisant l'IA, des performances virtuelles ont été possible. Cela a donc permis tout de même de garder un certain lien être les idoles et les fans malgré la barrière virtuelle qui les sépare. Nous avons l’exemple de Twice et NCT 127 qui ont performé à travers Roblox, un plateforme de jeux vidéo à l’origine mais qui a vu son utilisation changé grâce à la pandémie.
Enfin, les personnes derrière les avatars virtuels utilisent à leur avantage l’IA afin de protéger leur vie privée et leur image. En effet, grâce à l’IA, les idoles derrière leur avatar n’ont pas besoin de se montrer au public. En plus de cela, ils n’ont pas à suivre de régimes stricts ou même subir la pression d’être toujours un modèle exemplaire. L’IA devient alors une protection virtuelle protégeant les idoles de la réalité de ce monde.
Cependant, il y a aussi des inconvénients : les idoles créées par IA ne peuvent pas avoir la même connexion avec leurs fans que les idoles réelles, car leur interaction est limitée à des plateformes virtuelles. On ne pourra jamais remplacer les interactions humaines.
Ensuite, en contradiction à un des avantages de la l'IA c'est a dire le fait de ne pas voir les personnes derriere les avatars, s'il y'a un changement au niveau des membres, on ne pourra jamais le savoir puisqu'il y a seulement l'avatar qui le représente et cela nous créer une distance entre les fans et le groupe.
Un autre inconvénient est que de plus en plus d'agences utilisent l'intelligence artificielle pour créer des groupes, mais les gens ont peur que cela conduise à la déshumanisation, même certains idols ont peur qu'un avatar soit plus remarquable qu'eux.Enfin, il y'a également de nombreuses personnes qui sont inquiètes que les chanteurs virtuels puissent être victimes de vidéos et d'images pornographiques modifiées numériquement qui remplacent le visage des sujets par celui de quelqu'un d'autre. Plusieurs célébrités ont été victimes de cette technologie, et certains pensent que les avatars virtuels sont plus susceptibles d'être exploités, étant donné qu'ils ne sont pas humains. L'hypersexualisation est un autre gros problème, les membres avatars d'Aespa, par exemple, sont plus stylisés sexuellement que leurs homologues humains.
En conclusion, l'intégration de l'intelligence artificielle dans l'industrie de la K-pop a des avantages et des inconvénients. D'un côté, l'IA permet aux artistes de mieux contrôler leur image publique et de créer des performances plus spectaculaires et innovantes grâce aux technologies de pointe. Elle offre également une opportunité aux personnes qui ne peuvent pas se lancer dans l'industrie de la K-pop en raison de leur apparence ou de leur nationalité. D'un autre côté, l'IA pourrait potentiellement remplacer complètement les idoles réels, ce qui pourrait entraîner une perte de l'authenticité et de la créativité dans la musique.
En fin de compte, il est important de trouver un équilibre entre l'utilisation de l'IA et le maintien de l'authenticité et de la créativité dans la musique de la K-pop. Les entreprises doivent également prendre en compte la santé mentale des artistes, qu'ils soient réels ou virtuels, et mettre en place des mesures pour les soutenir. L'IA est un outil puissant pour l'industrie de la K-pop, mais il ne doit pas être utilisé au détriment des artistes et de leur bien-être.
Piraveen SENKOLRASA
L1MIG5
sources :
bbc.com
linkedin.com
koreatimes.co.kr
cnn.com
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La synthèse vocale: le Deep Fake Voice ouvre de nouvelles perspectives pour l’industrie du médias.
C’est quoi le Deep Fake Voice?
Le deep fake voice est un outil d’intelligence artificielle qui permet de créer des voix des différents personnages ainsi que des célébrités, politiciens, des influenceurs etc.
Deep fake est un sujet assez vaste, deep fake est définie comme une technologie qui sont “Deep learning” qui se traduit comme l’apprentissage profond. Il permet aux ordinateurs de faire des tâches sans le programmer dans l’ordinateur.
Comment fonctionne-t-il?
Donc nous, on s’intéresse au deep fake voice. Il permet de créer un voix capable de répliquer la voix d’une personne en utilisant des algorithmes d'apprentissage pour créer une voix synthétique qui imite la voix d'une personne réelle. Cette technique utilise des réseaux de neurones artificiels pour analyser et apprendre les caractéristiques de la voix d'une personne en se basant sur des échantillons audio de cette personne. Il collecte un grand nombre d'enregistrements audio de la personne que l'on souhaite imiter.
Cette technologie peut être utilisée pour créer des contrefaçons vocales très réalistes qui peuvent tromper les gens et les faire croire à des choses qui ne sont pas vraies. Les médias ont un rôle important à jouer dans la détection et la prévention de l'utilisation de Deep Fake Voice pour éviter la propagation de Fake News.
youtube
Dans cette vidéo, on peut voir des deep fake des politiciens en mode de Balenciaga, avec l'utilisation de voix deep fake qui permet de créer une vidéo dans laquelle ils disent des choses qu'ils n'ont jamais dites.
Comment les médias peuvent-ils détecter et prévenir l’utilisation de deep fake voice pour éviter la propagation des fake news?
Il est important que les médias expliquent aux gens comment fonctionne la technologie Deep Fake Voice, afin qu'ils puissent être conscients des risques et prendre des précautions. Les médias doivent vérifier soigneusement les sources des informations qu'ils publient et signaler toute utilisation possible de Deep Fake Voice. Les journalistes doivent être formés pour détecter les signes d'une fausse synthèse vocale.
Les médias peuvent également collaborer avec des experts pour détecter les Deep Fake Voice, notamment avec des chercheurs en informatique et des spécialistes en sécurité informatique. En outre, ils peuvent utiliser des technologies de détection de Deep Fake Voice pour vérifier les enregistrements audio suspects. Ces technologies utilisent des algorithmes d'apprentissage automatique pour détecter les différences subtiles entre les synthèses vocales et les voix réelles.
Enfin, il est essentiel que les médias éduquent le public sur l'utilisation de Deep Fake Voice. Les gens doivent savoir comment ils sont créés et comment ils peuvent être utilisés pour tromper les gens. En faisant preuve de transparence et en éduquant le public sur les risques, les médias peuvent aider à protéger la société contre les effets négatifs de l'utilisation abusive de la technologie Deep Fake Voice.
Tenzin Phuntsok DEWUTSANG L1 Math Info
sources :
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Cyberpunk 2077, un jeu vidéo trop proche de notre réalité ?
Blade Runner sortis en 1982 est un film lançant la base qu’est le mouvement cyberpunk dans les années 80. Inspirant ensuite le fameux roman Neuromancien de William Gibson, considéré comme la première œuvre Cyberpunk aujourd’hui. Mais qu’est-ce que le « Cyberpunk » ? C’est un sous-genre de la science-fiction dans un futur proche avec une technologie à la pointe montrant une certaine dystopie. En 2020, Cyberpunk 2077 est un jeu suivant ce genre. Étant donné son histoire et son monde vivant, il est une critique et des idées conçus de l’avenir. Mais cette vision vient des années 80. Aujourd’hui quelques similitudes sont analysées avec notre monde actuel. Ces ressemblances sont-elles constatables alors et rassemblent donc des critiques de notre société actuelle ? On peut y constater un capitalisme et libéralisme trop imposé ainsi que l’évolution de nos interactions qui évoluent.

Ce capitalisme présent est très constatable avec l’invention des implants. C’est simple, l’humanité est au moins composée à 40% de chromes. Certains membres sont remplacés et les smartphones sont directement dans notre tête. Les implants donnent des capacités physique dépassant l’Homme. Tout ceci, montant peu à peu le pouvoir aux plus riches pouvant devenir les plus puissants puisqu’ils peuvent s’offrir des implants qui dépassent la raison. Une différence se fait et critique les personnes riches aillant pleins de faveurs aujourd’hui.

En parlant de riches, les sociétés tel que les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) sont littéralement les corporations qui corromps le gouvernement ans l’univers de Cyberpunk. Une analyse montrant que ces « Corpos », dirigent aussi dans notre monde, ils peuvent littéralement s’offrir un pays vu leurs grands monopoles.
Les interactions entre être humains deviennent spécial. Le rapport au corps humain est différent vu ce monde chromé. On peut y voir de la prostitution mais la plupart des personnages utilisent des « DS », des simulations pouvant montrer du contenue oser, des rapports sexuels (comme un porno) jusqu’à des massacres gores.

Certains personnages peuvent être vu comme des lanceurs d’alerte comme Johnny Silverhand, joué par Keanu Reeves, incarne une vision anarchiste et anticapitaliste. Il est comparable à des Julian Assange ou Snowden dans les plus connues.
Cette vision de l’avenir est peut-être même datée. En effet, la publicité montrée, avec beaucoup d’allusion sexuelle est certes dépassée. Dans le jeu, ils ne jouent pas assez sur la surveillance et les sociétés qui nous écoute pour adapter les pubs. Aussi, la sexualité ne joue pas assez sur les nouvelles générations de Onlyfan, qui peut-être une bonne problématique à traiter dans un univers cyberpunk. On pourrait se demander comment serais un univers cyberpunk avec ces problématiques appliqués pouvant être en avance sur notre temps ?
Temple Esteban, 20223316
Sources :
youtube
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Influenceurs virtuels en Asie de l'Est : la révolution numérique qui bouscule la mode et le divertissement

Depuis quelques années, une nouvelle forme d'influenceurs a émergé dans le monde numérique : les influenceurs virtuels créés par l'intelligence artificielle (IA). En Asie de l'Est, en particulier au Japon et en Chine, ces avatars numériques sont devenus très populaires et influencent la mode et le divertissement de manière significative auprès des jeunes consommateurs. Cependant, leur montée en puissance pose également des questions sur ce que nous considérons comme vrai et authentique dans le monde numérique.
Mais comment les influenceurs virtuels créés par l'IA en Asie de l'Est changent-ils notre façon de voir la mode et le divertissement, et remettent-ils en cause ce que nous considérons comme vrai et authentique dans le monde numérique ?
Tout d'abord, il est important de comprendre ce qu'est un influenceur virtuel. Les influenceurs virtuels sont des personnages numériques créés à l'aide de technologies de pointe telles que l'IA et la réalité virtuelle. Ils sont conçus pour ressembler et se comporter comme des humains, avec leur propre personnalité, style de vie et intérêts. Ces avatars numériques sont souvent utilisés pour promouvoir des marques et des produits sur les réseaux sociaux, les blogs et autres plateformes en ligne.
Un exemple d'influenceur virtuel populaire est Lil Miquela, une mannequin virtuelle créée par la société californienne Brud. Elle a été créée en 2016 et compte aujourd'hui plus de 2,8 millions de followers sur Instagram. Lil Miquela a travaillé avec de grandes marques telles que Prada et Calvin Klein, et est devenue une véritable icône de la mode en ligne.

Un autre exemple d'influenceur virtuel populaire est Ayayi, une chanteuse et danseuse chinoise créée par la société Ranmai Technology et la société japonaise Aww Inc. Ayayi a un compte Weibo (l'équivalent chinois de Twitter) qui compte plus de 600 000 followers. Elle est connue pour sa voix cristalline et sa danse gracieuse.

Enfin, Shudu est un autre exemple d'influenceuse virtuelle réaliste. Créée par le photographe britannique Cameron-James Wilson, Shudu est une mannequin virtuelle qui a été conçue pour ressembler à une femme africaine. Depuis sa création en 2017, elle a été présentée dans de nombreux magazines de mode, a collaboré avec des marques de mode et a même participé à des défilés de mode virtuels.
En plus des influenceurs virtuels, les vtubers (abréviation de "virtual YouTubers") sont également en train de devenir extrêmement populaires en Asie de l'Est. Les vtubers sont des personnages numériques qui créent du contenu vidéo et qui interagissent avec les fans en temps réel via des streams sur des plateformes de diffusion en direct telles que YouTube ou Twitch. Ils sont créés à l'aide de l'IA et des technologies de capture de mouvement en suivant le mouvement et les expressions de la personne derrière l'avatar qui ensuite donne vie aux avatars numériques comme on peut le voir ci-dessous :
De plus, voici ci-dessous une vidéo qui montre le fonctionnement derrière un vtuber:
Un exemple de vtuber populaire est Kizuna AI, qui est considérée comme la première vtuber de l'histoire. Elle a été créée en 2016 par la société japonaise Activ8, et compte aujourd'hui plus de 2,8 millions d'abonnés sur YouTube. Kizuna AI est connue pour sa personnalité enjouée et sa façon de parler unique, et a travaillé avec de grandes marques telles que Coca-Cola et Sony.
Les VTubers offrent plusieurs avantages par rapport aux influenceurs qui montrent leur visage ou qui diffusent en direct sans représentation.
Tout d'abord, les VTubers peuvent être utilisés pour représenter une entreprise ou une organisation sans avoir à exposer la vie privée d'une personne réelle. Cela est particulièrement important dans le cas des entreprises qui vendent des produits liés à des thèmes sensibles ou controversés, tels que les jeux vidéo violents ou la pornographie. Les VTubers peuvent également être utilisés pour représenter une entreprise dans des pays où il y a une forte stigmatisation ou une forte opposition à l'utilisation d'influenceurs humains pour faire la promotion de produits.
De plus, les VTubers offrent une plus grande liberté créative que les influenceurs humains. Comme les VTubers sont des personnages de dessins animés, ils peuvent être animés de manière plus expressive et plus dramatique que les influenceurs humains. Ils peuvent également être équipés de capacités spéciales ou de pouvoirs magiques pour créer des expériences de visionnage plus immersives et interactives pour les fans.
Bien que les influenceurs virtuels offrent de nombreux avantages, tels que la possibilité de créer des campagnes publicitaires plus efficaces et d'atteindre une audience mondiale, il y a également des inconvénients à utiliser des personnages numériques plutôt que de vraies personnes.
En effet, l'utilisation d'influenceurs virtuels soulève des préoccupations éthiques, car ces personnages peuvent sembler trompeurs ou même manipulateurs pour les consommateurs. Les marques et les entreprises peuvent utiliser les influenceurs virtuels pour promouvoir leurs produits ou services en créant des histoires de vie fictives pour les personnages.
En outre, les influenceurs virtuels peuvent être accusés de perpétuer des stéréotypes ou des représentations inexactes de groupes de personnes, car ils sont souvent créés avec des caractéristiques stéréotypées ou idéalisées qui ne reflètent pas la diversité réelle de la société. Cela peut conduire à une amplification des préjugés ou à une marginalisation des groupes qui ne sont pas représentés de manière adéquate.
Malgré ces préoccupations, les influenceurs virtuels continuent d'être utilisés pour leur efficacité et leur flexibilité dans la promotion de produits ou de marques. Les influenceurs virtuels peuvent être créés pour correspondre à une certaine image ou esthétique, pour cibler un public spécifique et pour être utilisés dans une variété de contextes marketing. De plus, les marques peuvent contrôler complètement la narration et l'image des influenceurs virtuels, ce qui leur donne une grande liberté créative.
Outre cela, il est important de noter qu'il y a de véritables personnes travaillant en coulisse pour créer et gérer les influenceurs virtuels. Les créateurs d'influenceurs virtuels doivent posséder des compétences techniques avancées pour concevoir et programmer ces personnages, et les gestionnaires de communauté travaillent pour maintenir l'engagement avec les fans et gérer les interactions sur les réseaux sociaux.
En outre, les vtubers sont encore une technologie relativement nouvelle et, malgré leur popularité croissante, il y a encore des limitations techniques à leur utilisation.
Un exemple concret de cette limitation est l'incident qui s'est produit lors d'un stream en direct du groupe de vtuber coréen/kpop idols PLAVE, où l'IA a buggé et a dysfonctionné comme on peut le voir dans la vidéo suivante:
youtube
Bien que ces incidents soient rares, ils soulignent le fait que les vtubers ne peuvent pas encore être laissés complètement entre les mains de l'IA et nécessitent toujours la supervision humaine pour assurer une expérience de streaming de haute qualité.
En fin de compte, l'utilisation d'influenceurs virtuels dans l'industrie de la mode et du divertissement est un phénomène en constante évolution, qui continue de susciter des débats sur l'éthique et l'efficacité de ces personnages. Il est clair que les influenceurs virtuels ont un impact sur la façon dont nous consommons et percevons la mode et le divertissement, mais il est important de considérer les avantages et les inconvénients de leur utilisation pour déterminer leur place dans notre monde numérique en constante évolution. Ainsi qu'il est important de se rappeler qu'il y a de véritables personnes derrière ces personnages qui travaillent dur pour les rendre aussi attrayants et efficaces que possible.
Léa MBAPOU - L1 Maths et Info
Sources:
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L’Intelligence Artificielle et le Langage des Signes : Comment les nouvelles technologies peuvent-elles améliorer la communication pour les sourds et malentendants ?
Qu’est-ce que l’intelligence artificielle ? L’intelligence artificielle est un outil technologique permettant d’imiter l’intelligence humaine, voir petit à petit la remplacer. Basée sur des algorithmes exécutés, elle est capable de reproduire ce que l’humain peut faire
En parallèle nous faisons ici le lien avec le langage des signes. En effet ce moyen de communication permet aux sourds et malentendants de pouvoir communiquer, discuter et partager en étant intégré avec les autres sans être mis à part. Car dans de nombreuses situations, ils sont confrontés à des difficultés de communication, ce qui créer des frustrations et des tensions.

https://pixabay.com/fr/illustrations/num%c3%a9risation-particules-smartphone-7261158/
Premièrement, comme dit précédemment la communication est un obstacle majeur pour les personnes atteintes de troubles de l’audition, la langage des signes est donc un élément clé leur permettant de pouvoir communiquer avec autrui. Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) « Près de 2,5 milliards de personnes dans le monde, soit une personne sur quatre, souffrira de déficience auditive à des degrés divers d’ici à 2050 », si plus près de 2,5 milliards de personnes seront atteintes de troubles d’audition en 2050, nous pouvons en conclure qu’aujourd’hui le chiffre est déjà très élevés. C’est ici que le langage des signes intervient facilitant la vie de ses personnes et assurant toutes les fonctions étant remplies par le langage vocal.
Alphabet du Langage des Signes https://lecolefrancaise.fr/pourquoi-pas-langage-des-signes-universel/
Deuxièmement, ce qui fait le sujet principal de notre article est le fait que l’intelligence artificielle et le langage des signes soient liés ensemble mais pourquoi ?
Tout simplement car une nouvelle invention technologique a été créer, qui est la traduction du langage des signes par l’intermédiaire de l’intelligence artificielle.
En effet, c’est l’exploit de Priyanjali Gupta, une jeune étudiante ingénieure de 20 ans ayant pour projet et objectif de créer quelque chose d’utile pour les autres, en réalité ce projet a pu voir le jour grâce à sa mère qu’il l’avait poussé à faire quelque chose je cite « d’utile ».
Son invention permet de traduire le langage des signes, nous pouvons voir une vidéo DEMO où la jeune femme montre ce que permet son IA. Le fonctionnement de cette invention est simple, il suffit de passer sa main faisant les signes du mot que vous voulez dire et cela se traduira automatiquement.
L’invention est toute récente de ce fait elle permet seulement, pour l’instant de traduire quelques mots. Ce projet a abouti après un an de travail et ce n’est pas fini… mais les résultats sont la et sont très positifs, la jeune femme après avoir posté la vidéo sur LinkedIn, fut beaucoup félicitée et encouragée.

https://in.linkedin.com/in/fruitykernel
Nous pouvons visionner la vidéo en question à partir du lien ci-dessous :
https://github.com/priiyaanjaalii0611/ASL_to_English
Troisièmement, l’intelligence artificielle est au service de la personne. Nous avons par exemple :
Alexa, une commande vocale permettant de faire des demandes de recherches ou d’effectuer une action à distance
OK GOOGLE, une application de recherche vocale gratuite, connecté au smartphone
Siri, une intelligence artificielle, vocale et un assistant virtuel créer par Apple
L’IA est de plus en plus utilisé dans tous les domaines, notamment dans le domaine médical, il permet de faciliter le travail des médecins en étant rapide et en faisant plusieurs choses à la fois, bien évidemment sans qu’il y ai de problème de système, etc… ce qui nous montre que l’IA n’est pas tout à fait parfait comme l’être humain d’ailleurs.
L’Intelligence artificielle est vraiment une assistance à la personne, de nombreux système sont mise en place, toujours dans le domaine médical, elle permet de stocker les informations des patients tout en triant leurs résultats, jusqu’à maintenant les avancés technologique permettent d’avoir le minimum d’information sur nous, bien sûr pour en savoir plus il est préférable d’aller consulter un médecin en personne. Un autre système à été crée, qui est la mise en place d’un dispositif de sécurité chez les personnes âgés (avec leur consentement), par exemple si la personne est souffrante et qu’elle est à terre pendant plus de 2-3 min, le système va le capter et avertir le centre de pompiers qui se trouve le plus proche pour qu’ils interviennent, ceci est un exemple parmi tant d’autres.
Pour les personnes ayant des troubles visuels, La Joconde a été reproduit en 3D afin qu’ils puissent eux aussi prendre part au chef d’œuvre de Léonard de Vinci, non par la vue mais par le touché. Ce qu’il leur donne aussi accès aux différentes choses sans être dissocier des autres.
https://www.curioctopus.fr/read/20469/ces-peintures-imprimees-en-3d-permettent-aux-non-voyants-de-voir-les-chefs-d-%C5%93uvre-de-l-art
L’intelligence artificielle est une avancée technologique révolutionnaire donnant accès et permettant énormément de chose dans tous les domaines, le monde évolues. Ces avancées technologiques facilitent la vie et donne des opportunités diverses et variées. L’IA peut avoir des côtés positifs comme négatifs mais cela n’empêche pas le fait qu’elle ne fait que se développer davantage. Nous avons donc pu voir comment les nouvelles technologies peuvent améliorer la communication pour les sourds et malentendants.
Cependant jusqu’où l’Intelligence Artificielle va-t-elle encore évoluer… ?
Priscilla BAUDIN - L1 Musicologie
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SOURCES :
https://www.who.int/fr/news/item/02-03-2021-who-1-in-4-people-projected-to-have-hearing-problems-by-2050
https://www.curioctopus.fr/read/20469/ces-peintures-imprimees-en-3d-permettent-aux-non-voyants-de-voir-les-chefs-d-%C5%93uvre-de-l-art
https://www.rtl.fr/actu/sciences-tech/inde-une-etudiante-cree-une-intelligence-artificielle-qui-traduit-la-langue-des-signes-7900127755
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Les réseaux sociaux : une drogue dure légale
Aujourd’hui, il est indéniable que la technologie mais surtout les réseaux sociaux ont une place centrale dans notre quotidien. De nos jours les réseaux sociaux sont très utiles : cela facilite la communication, la création de communautés en lignes, le partage d’informations rapides, et même le fait de pouvoir gagner sa vie grâce à cela. D’autre part, il y a aussi l’évolution des IA (tel que chatgpt), le fait de pouvoir assister à des concerts en ligne que ce soit en live à distance ou sur des plateformes de jeux vidéos tel que fortnite. Cependant leur usage être aussi dangereux que la prise de la drogue dure en ce qu’il entraine des comportements à risques. En comparant des études du blogdumoderateur faite en janvier 2023 et janvier 2017 que beaucoup plus de personnes ont accorder de l’attention à internet et les réseaux sociaux en France :


Cependant, malgré les quelques biens faits qu’apportent les NTIC dans notre époque actuelle, quel impact est-ce que ces réseaux sociaux et les nouvelles technologies ont sur nous ?
Premièrement, cette forme d’addiction aux NTIC (nouvelles technologies de l’information et de communication) n’est pas apparue initialement dans notre génération, nous ne faisons que croitre l’assuétude des générations précédentes. En effet dans les années 1960 des sociologues faisaient déjà la remarque que la télévision, qui à cette époque était une NTIC, avait bouleversé les comportements des personnes en France. A la même époque aux Etats-Unis des sociologues supposent statistiquement que si le taux de criminalité avait énormément augmenté c’était à cause de la télévision (des programmes proposés que ce soit des films ou des dessins animés que regardent les enfants). Ils rajoutent qu’il y a la « bonne » télé et la « mauvaise » télé en fonction des classes d’appartenance. A l’époque actuelle, la violence des NTIC, se présente autrement : il peut y avoir des risques psychosociaux, troubles musculosquelettiques, fatigue visuelle et même dépendance. Mais selon des chercheurs, la raison de l’agressivité de certains, le choix de décision risqué ou même leur mauvais état de santé mental serait les conséquence d’une overdose de réseaux sociaux ou jeux vidéos. Tout comme la drogue l’arrêt brusque des réseaux sociaux peut entrainer des symptômes de sevrage comme l’irritabilité, l’anxiété, la dépression et la frustration. En passant la majorité de son temps libre sur ces plateformes, on finira par constamment chercher l’attention mais surtout la validation des personnes également présentes dessus, on finira par avoir une mauvaise estime de soi et l’envie de se rassurer par rapport au point de vue des autres deviendra de plus en plus intense. Il y a toujours ce sentiment d’insuffisance au niveau de la dose, c’est ce qui nous rends dépendant. De plus, il y a cette part de réalité que les réseaux sociaux efface, ce qu’on voit sur les réseaux sociaux ne sont pas toujours la réalité mais ce qui provoque ces mensonges peut probablement venir du fait que sur ces plateformes les gens se créent une image pour plaire aux autres. Ne pas utiliser les réseaux sociaux prudemment c’est d’abord le bonheur de vivre plus intensément, en l’occurrence d’être informée tout le temps, partout et d’aimer ça peut très vite, la vie s’organise autour de ce plaisir qui se transforme lentement en obsession.

Personnellement, étant moi-même une addicte aux NTIC (plus précisément mon ordinateur mais surtout mon téléphone), les réseaux sociaux sont une sorte de drogue et il est difficile de s’en détacher, comme tout autre drogue d’ailleurs. Cela crée un certain manque constant qui, arrivé à un stade, parait presque impossible à combler. Il y a toujours cette part en soi qui cherchera à prouver qu’on peut être accepter, ce sentiment de vide qui avec ou sans les réseaux se fait de plus en plus ressentir lorsqu’on essaye au début de s’en détacher. Au final, ne pas utiliser les réseaux sociaux de manière responsable on développe un comportement excessif comparable à la drogue.
Maria Iharinjara, L1 AES
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Sources -Images 1 et 2 : blogdumoderateur.com -Image 3 : comarketing-news.fr -”Violence, les écrans en accusation” (vidéo) -radiofrance.fr -public.fr -https://hellocare.com -www.doctissimo.fr
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Être influenceur un nouveau métier de rêve qui peut virer au cauchemar.
Entre avantages et inconvénients comment les influenceurs ont réussit à faire du métier d’influenceur un nouveau type de métier.
- Être influenceur c’est quoi?
C’est l’intermédiaire entre un produit ou une marque et sa communauté, l'influenceur ou l'influenceuse relaie des opinions et avis qui auront une influence sur ses abonnés et leurs habitudes de consommation. Il peut intervenir sur une multitude de sujets (mode, beauté, jeux, voyage..). Il va chercher la transmission d'une passion, du désir de partager ou de défendre des causes. Il va faire la publicité pour influencer les individus à consommer. Ainsi être quelqu’un d’influent c’est être important. C’est un métier qui est « rien » sans les réseaux sociaux, les blogs, les sites internet…L’essor des réseaux sociaux ne cessent de se confirmer. Il est difficile aujourd’hui d’avoir le nombre exact d’influenceurs car des « communautés » se forment de partout. Il suffit simplement de raconter sa vie, d’être proche de « ses abonnés » et d’avoir du bon contenue.
C’est ainsi que les influenceurs vont gagner leurs vies et bien plus en acceptant de faire de la publicité aux différentes marques qui vont à leur tour les rémunérer.
Les influenceurs n’hésitent pas aussi à créer leur commerce, ils en profitent car ils ont beaucoup de vus, les vus rapportent de l’argent et les poussent à faire bien plus en développant leurs propre business.
- Quand devient-on influenceur ?
Selon le secteur d'activité, cela peut être 1 000 abonnés ou plus. Entre 1 000 et 10 000 on parle de micro-influenceur, entre 10 000 et 100 000 d'influenceur et au-delà de 100 000 de macro-influenceur.
- Être influenceur c’est avoir la belle vie.
Les jeunes sont très attirés par ce métier, selon eux c’est un métier « facile », accessible à tous. C’est un rêve de gagner sa vie seulement en diffusant leurs passions par exemple. De plus, une fois qu’ils ont atteint une certaine notoriété, ils peuvent devenir leur propre patron et créer leur propre business, que demander de plus ? Rien de plus que les avantages des collaborations et des partenariats. Recevoir des colis gratuit ? En échange de rémunération, ce métier est un rêve pour toute la jeunesse qui ne voient dans celui ci aucun inconvénient.
- L’envers du décors de ce métier…
Être influenceur c’est des prénotions qui tournent autour de « la belle vie », « la vie facile » « être payés à rien faire », « travailler de chez soi » ou encore des remarques comme « ce n’est pas un vrai métier, on fait rien et on est payé ».
être influenceur, c’est aussi devoir quitter la France, pour tenter d’échapper aux impôts qui sont trop élevés.
Être influenceur c’est aussi faire face aux nombreuses critiques, notamment entre célébrités ( comme l’exemple de Booba le rappeur qui accuse Magali Berdah une influenceuse d’arnaque…)
Ainsi de nombreuses personnalités n’hésitent pas à se défendre en disant que tout cela est faux et qu’être influenceur c’est avoir des responsabilités, que le fait de faire des publicités à longueur de journée est assez fatiguant et qu’il fallait toujours surveiller leurs contenues, si l’on voulait pas avoir des représailles.
- L’exemple de l’influenceuse Kenza sous le nom de « Poupette » sur les réseaux sociaux.
Poupette et les assistantes sociales.
Poupette est une jeune fille franco-marocaine âgée de 22 ans, elle est l’influenceuse française la plus suivie sur le réseau social Snapchat. C’est une fille très entière qui raconte et filme toute sa vie, ainsi que la vie de ses deux enfants, son mari n’est souvent pas d’accord avec sa manière de faire mais rien ne l’arrête. Malheureusement tout cela va lui coûter cher. En effet récemment au mois de février, la surexposition de ces enfants va lui poser problème.
C’était un jour comme les autres, Kenza s’apprêtait à faire un bain à son fils lorsqu’elle remarqua que son crâne a triplé de volume et qu’il y’avait une boule sur le côté gauche de celui. Inquiète, elle l’emmena à l’hôpital, les jours passent, l’enfant est hospitalisé, Kenza est aux côtés de son fils, elle raconte qu’elle n’hésitait pas à raconter sa vie aux infirmières et que celles ci vont lui porter atteinte par là suite. En effet avant la fin du séjour de son fils, les services sociaux lui enlèvent son fils, c’est le drame, Poupette disparaît des réseaux, elle est accusée de maltraitance envers ses enfants. C’est 15 jours plus tard, quand tout va mieux que l’influenceuse revient sur les réseaux, plus précisément YouTube , avec une vidéo intitulée : « LA VÉRITÉ », l’influenceuse dément d’avoir été violente avec son fils, elle dit : « c'est un traumatisme pour moi. Déjà, vous êtes en train de suspecter un truc que, potentiellement, j'aurais fait à mon enfant alors que c'est totalement déconnecté de la réalité. » et n’hésitent pas à se défendre « Je veux que tout le monde sache que je suis une très bonne maman ».
la famille de Poupette qui était une famille assez divisée, se réunit et sont soudés plus que jamais. En effet sa cousine Soukaina qui habite à Dubaï et qui était très en froid avec la jeune Kenza, prend un billet de dernière minute pour rejoindre toute sa famille en France et pour soutenir tous ensemble , Kenza dans cette épreuve. Aujourd’hui les deux jeunes filles s’entendent très bien.
Après ce drame, qui aujourd’hui on peut le dire finit bien, Kenza dit en avoir marre de la France, et souhaite se reposer, alors elle n’hésitent pas à prendre un billet pour aller rejoindre Soukaina sa cousine avec son mari et ses enfants.
Les influenceurs et Dubaï c’est une grande histoire, ils ont tous leurs raisons de quitter la France, certain ont subit des cambriolages qui les a traumatisé à vie comme le couple de Jazz et Laurent. D’autres, mettent en valeur la sécurité à Dubaï car oui laisser son sac sur un banc et le retrouver deux heures plus tard c’est n’est pas partout. À Dubaï, on ne ressent jamais de risque quand on est riche et qu’on gagne notre vie. D’autres aiment le climat et le soleil, la belle vie, les magasins de luxe, les beaux bâtiments…Dubaï est très touristique. Mais habiter à Dubaï c’est avant tout renoncer aux impôts français. Il n’y a pas d’impôt à Dubaï, les influenceurs n’hésitent pas y créer leurs entreprises comme par exemple Nabilla avec Nabcosmetics…
Pour l’éducation de leurs enfants, apprendre l’anglais dès le plus jeunes âge, avoir une nanny à faible coût…
Kenza aujourd’hui et en pleine hésitation, pour sa sécurité et la sécurité de sa famille, surtout de ses enfants, elle hésite entre deux pays pour y vivre, le Maroc son pays d’origine, et les Émirats arabes unis. Elle a fait Dubaï, elle dit que ça lui plaît beaucoup, et récemment Kenza s’est installée à Dubaï.
Hamoudi Samiya, L2 Sociologie
Sources :
Selon le compte Snapchat de Poupette ( BenchrifKenza )
Selon le site, Larousse pour les définitions
https://www.radioFrance.de
Vidéo TF1 « enfants d’influenceurs, un métier à risque »
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TikTok et le temps d'écran, ou quand les réseaux sociaux ont profité de notre patience
Il y a peu,Tiktok a décidé de créer une fonctionnalité destinée à aider les utilisateurs du réseau à gérer le temps passé sur l'hébergeur de vidéos. En effet,certains utilisateurs avaient tendance à passer trop de temps et à prolonger leur session jusqu’à tard dans la nuit, perturbant le sommeil de ces partie de ces utilisateurs. Mais ce n'est pas la première fois que les réseaux sociaux sont pointés du doigt pour ce genre de problèmes. Qui ne s'est jamais dit un jour qu'il avait passé trop de temps sur TikTok/Instagram/Twitter/etc...? Il y a une raison à cela, c'est que c'est complètement volontaire de la part de ces derniers.

mais revenons plus en détail sur ces méthodes. Si vous vous apercevez que les 5 minutes sur Instagram se sont transformées en 1 heure à défiler des images qui ne semblent avoir de fin, autrement dit à scroll, c'est un comportement voulue et poussé implicitement par Instagram. Pour commencer, ce dernier vous ramène sur une page où vous n'avez pas à choisir parmi la masse de contenu disponible, vous avez juste à scroller sans vous soucier du contenu à choisir, car de toute façon le contenu est choisie et personnalisé en fonction de votre activé. Oh, vous avez fini de vous mettre à jour sur vos abonnements ? Et là sur la page d'à côté il y a une page <<découverte>> où vous pouvez continuer à faire cela, jusqu’à que lassitude s'en suive.

Si on veut continuer à y regarder de plus près, on peut aller voir Snapchat. Premièrement, le réseau veut que vous soyez actifs, et pour cela il s'ouvre sur votre caméra frontale (comme ça pas d'effort à fournir pour faire un snap, c'est sous votre nez !), et par la suite il est mis en avant de poster, même si on a rien à dire. Pas grave, ça fait de l'activité sur snapchat ! Ajoutez à ça que le contenu disparaît au bout de 24 heures, et donc si vous y allez pas au moins toutes les 24 heures minimum, eh bien vous passez à côté de contenu exclusif !et qu'est-ce qui disparaît au bout de 24 heures ? Les flammes ! vous vous rendez compte ? Si je ne n’envoie pas une photo toutes les 24H à un ami avec qui j'ai les flammes, je perds les flammes ! Alors, c'est pas grave de passer à côté de cela, si ce serait vraiment important on ne le laisserait pas disponible seulement 24H, mais Snapchat capitalise sur notre envie de ne rien rater/perdre, notre fameuse FOMO.
TikTok marche, marche même très bien, au point que comme d'autres il a créé des problèmes d'addiction chez bon nombre d’utilisateurs. Il faut se demander jusqu'où on peut laisser de telles pratiques subsister. Que les réseaux sociaux eux-mêmes aient conscience de la très (trop?) grande puissance de ces stratégies de rétention, il ne serait temps que nous aussi on se pose sur l'usage que nous avons de nos applications et nos réseaux sociaux, afin de pouvoir dépasser ces méthodes et avoir un rapport sain avec ces derniers. Que nos 15 minutes promises deviennent 15 minutes réelles, et que TikTok en vienne à nous le rappeler, c'est peut-être hypocrite, mais il serait temps de s'en rappeler.
LAURANT Grégoire
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Apprivoisement de ces algorithmes inconnus

SOURCE : https://c-mag.fr/lalgorithme-roi-reseaux-sociaux/
Qu’est-ce qu’une intelligence artificielle ? Cette question est apparue beaucoup de fois ces dernières années au cours de débats. Selon le site NetApp, l'intelligence artificielle est un processus d'imitation de l'intelligence humaine qui repose sur la création et l'application d'algorithmes exécutés dans un environnement informatique dynamique. Son but est de permettre à des ordinateurs de penser et d'agir comme des êtres humains.
Cependant, notre vision des intelligences se limite souvent aux androïdes, aux robots, etc mais en réalité l’intelligence artificielle se manifeste également par les différents algorithmes et programmes, contrôlant nos sites internet préférés. Microsoft, Google, ou encore les réseaux sociaux comme Instagram, on se trouve en permanence régis par un algorithme prédéfini qui guide tous nos choix et nos actions.
De nos jours, tout le monde utilise quotidiennement ou à déjà surfé au moins une fois sur les réseaux sociaux que ce soit à des fins divertissants ou encore professionnels mais savons-nous si ces réseaux sociaux favorise ou même influence notre temps passé dessus ? Sommes-nous sûrs de la fiabilité de ces algorithmes quant à l’utilisation de nos données personnelles ?
SOURCE : https://filmcorporate.fr/les-reseaux-sociaux-et-leurs-algorithmes/
Le fait d’intégrer une intelligence artificielle sur les plateformes de réseaux sociaux est un moyen pour les instances juridiques et de surveiller la diffusion de contenus qui peuvent heurter la sensibilité de certains ou diffuser des idéaux contraires à la morale ou à l’éthique. Ou encore mettre en avant des contenus susceptibles de vous plaire. Néanmoins, cet algorithme peut comporter des risques.
Je pense que chacun d’entre nous a déjà vecu cette situation au moins une fois, où l’on parle de quelque chose à un ami ou à notre famille, puis de surfer sur un des nombreux réseaux social et de tomber exactement sur le sujet évoqué sur une vidéo ou photo. C’est à ce moment-là où se demande si nous ne sommes pas écoutés par la police ou bien par des autorités publiques supérieures..
Eh oui ! De nombreux algorithmes se base sur ce que vous avez aimé ou partagé précédemment pour ensuite vous proposer ce même genre de contenus. S’il vous vient un jour de chercher sur Google « comment faire des macarons ? », vous pouvez être sure que plus tard vous trouverez des vidéos de macarons sur un autre réseau social comme Instagram.
On peut notamment prendre comme exemple l’œuvre de Felipe Vilas Boas « Casino Las Datas », qui cherche par la surprise à sensibiliser l’utilisateur sur le nombre de données qu’il donne à Internet. Un effet de salle de Casino, mais à la place de coup de chance sur les machines, on parle ici du nombre d’informations personnelles vous être prêts à transmettre contre des jetons. En effet, on n’y prête pas réellement attention mais quotidiennement on transmet de nombreuses informations personnelles sans vraiment le savoir. Et ces informations personnelles se retrouvent ensuite dans de grande usines de données pour ensuite être redistribués au sein des différents sites internet que nous utilisons.

SOURCE : Twitter - Casino Las Datas
Mais ces algorithmes ont surtout été créés pour contrôler et surveiller les différents contenus vidéos ou photos diffusés sur les plateformes publiques. Ces plateformes étant accessible pour tout le monde, ce qui renforce le côté voyeuriste, se doit d’être un minimum cadré au risque de faire diffuser des information fausses ou bien des propos allant à l’encontre des lois, etc. Chaque réseau social à un peu son propre algorithme mais la plupart suivent le système de contrôle des mots-clés, analysant chaque contenu pour en retirer les propos à censurer ou même en supprimant directement la vidéo. Nous connaissons tous le système de démonitisation de YouTube, qui interdit de percevoir de l’argent, donc de donner de la visibilité à un contenu s’il contient des propos malveillants, vulgaires, racistes, etc.
Au cœur de l’actualité, on peut parler du renforcement de ce système qui a fait énormément parler, étant donné qu’il censurait également de simples mots vulgaires comme « merde » ou « putain ». Ce système parait vraiment efficace, toutefois l’est-il vraiment ? De nombreux contenus choquants sont toujours aussi accessible à tout le monde sans contrôles et les gens ont maintenant un moyen de contourner cet algorithme en allant sur des applications moins sécurisées ou le contrôle n’est pas encore au point, pour diffuser des vidéos trouvées sur le dark web.
Certaines jouent néanmoins de cet algorithme, en tentant de devenir célèbre ou apparaitre plus souvent sur l’application en se basant sur certains critères et certaines options de publication. Mais alors, comment être mis en avant par ces réseaux sociaux ? C’est très simple, il suffit simplement d’être présent au bon moment. Le niveau de célébrité sur le réseaux sociaux est un phénomène très éphémère. Quand on prend l’exemple des influenceurs sur ces plateformes, on voit qu’ils ne sont que quelques mois ou années en « tendance » puis ensuite retourne dans l’oubli. C’est ce qui caractérise amplement le schéma de ces algorithmes qui ne mettent en avant que les « trends » c’est-à-dire tendances du moment et ignore tout le reste. Ce qui fait que pour s’adapter, ces influenceurs se voient contraints de reproduire exactement le même contenu que la plupart du monde.
Ainsi, les algorithmes présents au sein des réseaux sociaux servent principalement de contrôle des contenus et de surveillance des propos exprimés, mais également de moyen de trouver des contenus qui nous plaisent rapidement et efficacement. Toutefois, on peut se demander si ces algorithmes n’utilisent pas nos données personnelles pour autre chose et pour de bonnes raisons. Internet est encore de nos jours en voie d’exploration, il nous reste énormément de choses à découvrir encore. Cette peur de l’inconnu en effraie certains mais Internet constitue le futur qu’on le veuille ou non donc essayons de nouer correctement et en sécurité avec cette nouvelle approche.
Saleha LE - L1 AES
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