multifandom fanartist – reblogs and stuff: @lutindemerle – also posting on Cara: @merliin and in the Fediverse: @[email protected]
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super quick doodle of Assad from deptQ because I have a tiny crush on Fares Fares
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assaaaaaad
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hi! I headcannon Vincent as a tension headache haver.
have a nice day.
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J'avoue, c'est bien dit <3 et du coup ça me fait de la peine de poster qu'un WIP, mais c'est mieux que rien, héhé. En vrai j'aimerais bien la continuer, ne serait-ce que parce que j'ai parfois l'impression de régresser en français, à force de lire de l'anglais toute la journée, aussi bien au boulot (ça c'est ma faute en même temps, mdr) que pour les loisirs.
AWO – L’autre chemin
(spoilers pour la fin du jeu ; fin alternative où la scène du toit s'est déroulée différemment)
Quelques jours s’étaient écoulés depuis le Mexique, la police venue le cueillir à la sortie de l'avion et la trahison de Vincent – salopard ! – mais Léo ne décolérait pas. Il avait fait le mauvais choix sur ce foutu toit, et il ne se le pardonnerait jamais. Pourquoi, pourquoi n’avait-il pas appuyé sur la détente quand il en avait eu l’opportunité ?
Et voilà qu’il était de nouveau en fuite. Sans complice, cette fois. Et pour couronner le tout la pourriture qui lui avait servi de compagnon de cavale dirigeait probablement les recherches, bien placé qu’il était pour savoir comment réfléchissait son ancien codétenu.
Alors, pour devancer le flic, il avait résolu de mettre autant de distance que possible entre la ville et lui pour s’enfoncer dans la forêt. Au vu de la quantité astronomique de jurons que Léo avait proférés juste après leur évasion, lorsqu'il avait fallu trouver refuge sous le couvert des arbres et dormir, les bois étaient sans doute le dernier endroit où Vincent songerait à le chercher.
Sous l’épais feuillage des chênes, Léo progressait, lentement mais sûrement. Un pied devant l’autre, un pas après l’autre, laissant malgré lui quelques traces qu’il espérait aussi discrètes que possible. Il n’avait jamais été particulièrement attaché au monde naturel – la forêt, les animaux, le grand air, très peu pour lui, merci bien. Léo était un enfant des villes : il y était né, et il entendait bien y rendre son dernier souffle, le jour venu. Leurs murs de béton créaient des ombres où se tapir, des dédales de ruelles pour pouvoir disparaître en un clin d’œil, des recoins qui devenaient autant de refuges. La faune urbaine n’avait pas de secret pour Léo : elle l’avait adopté, il l’avait apprivoisée. Il parlait son langage, lui souriait, découvrait les crocs quand il fallait, savait quand soutenir un regard et quand détourner les yeux, caressait dans le sens du poil les congénères sur lesquels il voulait pouvoir compter.
Mais en forêt, les codes des hommes n’avaient pas cours. Pas question de baratiner, de négocier, d’intimider. Si chez lui, il se faisait tantôt rat, tantôt loup, ici, Léo se sentait désespérément humain et perdu. À la différence à son traître de camarade d’évasion, lui n’avait jamais eu d’oncle pour l’emmener camper à la belle étoile, n’avait jamais appris à s’orienter avec le soleil. Pour quoi faire ? Les enseignes des boutiques, les téléviseurs toujours allumés dans les vitrines des magasins d’électroménager, les devantures illuminées des restaurants, l’éclairage des avenues, tout offrait une lumière fixe et constante. Des repères fiables.
Seul dans un royaume dont il ne parlait pas la langue, Léo se surprit à regretter les incessantes injonctions de Vincent pendant leurs missions : « Par ici, pose ton pied là, descends comme ça, fais-moi la courte échelle… » Sans monsieur Je-sais-tout, il devait se contenter de déchiffrer le relief comme il le pouvait, c’est-à-dire sommairement. Quand le soleil disparut sous l’horizon, il jugea plus raisonnable de s’arrêter pour la nuit. Il ne sentait plus ses pieds, mais à en juger par ce qui lui servait de chaussures, c’était probablement mieux, et puis il avait déjà manqué plus d’une fois de se tordre la cheville ou de glisser – en plein jour. Il n’était pas certain de vouloir tester son adresse dans l’obscurité.
Ah putaiiin, on est le 7 mai, c'est "Speak Your Language Day", je suis à ça 🤏 de poster le début de fic A Way Out que j'avais commencé à écrire en français avant de me rendre compte qu'on serait genre deux (estimation large) à pouvoir en profiter.
En vrai c'était un peu cringe mais rigolo.
Sinon ça va, vous ?
#a way out#fanfic#speak your language day#ça date de plus d'un an je sais plus trop où je voulais aller avec ça…#je crois que je voulais juste passer du temps dans ma tête avec les blorbos#si un jour je la continue je la mettrai p'têt sur AO3 haha
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Ah putaiiin, on est le 7 mai, c'est "Speak Your Language Day", je suis à ça 🤏 de poster le début de fic A Way Out que j'avais commencé à écrire en français avant de me rendre compte qu'on serait genre deux (estimation large) à pouvoir en profiter.
En vrai c'était un peu cringe mais rigolo.
Sinon ça va, vous ?
#speak your language day#parle ta langue jour#c'est quand même pour ce genre de bêtises que c'est rigolo tumblr - je serai triste le jour où il faudra aller ailleurs
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*tousles his hair*
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messy wip
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leo doodle :)
#a way out#leo caruso#i want you to know that i accidentally mistyped 'leon caruso' at first lmao#art#fanart
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Tiens, aujourd'hui, j'ai envie de vous recommander le podcast La fourmi dans la coquille, qui aborde les problématiques soulevées par l'usage de l'IA (générative) de manière claire et d'un point de vue tantôt philosophique, tantôt politique, tantôt artistique.
#je ne connais pas personnellement le monsieur – j'ai juste beaucoup apprécié son taf et ses articles complémentaires + les sources#french side of tumblr#et ça va sur mon blog principal parce que j'ai envie#@non french speakers who might be like '???' – this is just a post reccing a (french) podcast about the use of genAI and its implications#la fourmi dans la coquille
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awoposting again... in 2025
#anytime i need to ease back into art i draw a leo and it works#what a guy#a way out#leo caruso#fanart
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So… this is far from the first time there's talk of tumblr ending, but in case it eventually shuts down or ends up becoming unusable, this is where you'll probably find me:
blorbo.social, a Mastodon instance (probably)
Cara (maybe)
AO3 (honestly I mostly use that account to leave kudos and comment on fics. posting art there is tedious.)
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The good thing about being a translator by day and a hobbyist artist by night is I get to be angry about genAI 100% of the time.
#i don't particularly want to discuss things but i need to vent in the tags#gameloc companies and their clients were already pushing HARD for MTPE these past few years#(machine translation post edition – I'll let you do your own research but tldr: get humans to proofread machine translation for cheaaap)#but now with genAI it's gotten noticeably worse. and I consider myself to be among the lucky people who still manage to avoid touching it.#the results are still soulless slop. sometimes (often) it doesn't even make any sense. it *is* visibly worse than human translation.#but companies will be like 'enjoy your 90€ AI-translated game I guess'#and most gamers will probably not care lmao#any ounce of creativity and talent is actively being removed from the process and you are being sold a worse product for a higher price#i wish i could *not* care but alas i love my craft and i love video games
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*forehead bonk*
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Aaaand here's my piece for the Wanted AWO Zine!
Had a LOT of fun with this one – this kind of light setting just makes my brain go brr in the best way possible.
(Also if you like this, you should definitely read Warg's contribution! You'll understand why when you read it.)
Bonus close-up shot:
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