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Il n'est de douleurs si terribles que celles infligées par ceux que l'on aime
Plus d’attention, d’écoute, de protection, d’amour… Il arrive qu’un proche – conjoint, parent, enfant, ami – en demande trop. Nous avons beau donner toujours plus, ses émotions nous tyrannisent et prennent le pas sur la complicité et la joie. L’amour et l’affection sont réels, mais nous nous épuisons dans une relation étouffante, dans laquelle nous ne distinguons plus ce qui nous fait souffrir de ce qui fait souffrir l’autre. Pourquoi l’émotivité de la personne aimée devient-elle harcelante ? À quoi est dû ce sentiment de confusion face à elle ? Faut-il se détacher pour se protéger ? Comment vivra cette partie de soi que seul l’autre reconnaît ? La psychanalyste Virginie Megglé nous éclaire sur les liens fusionnels qui renvoient à la dépendance des premiers jours, celle du petit enfant vis-à-vis de sa mère. Elle nous explique comment nous affranchir du harcèlement émotionnel, pour retrouver notre intégrité et aimer librement l’autre.
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Il n'est pas bon d'être fragile dans notre monde, car la fragilité est confondue avec la faiblesse. Aussi nous nous protégeons, dès qu'elle transparaît, sous un masque, comme une seconde peau. Nous nous défendons d'être fragiles et, au détriment de notre sensibilité, nous nous suradaptons.
Et si nous partions à la découverte de notre fragilité originelle ? Faut-il attendre de souffrir pour prendre conscience que nous sommes des êtres extraordinaires, doués de vulnérabilité ? Virginie Megglé nous invite à saisir cette clé du vivant. Sensibilité qui nous émeut chez le petit enfant chez l'artiste, chez ceux que nous admirons, la fragilité permet l'empathie et nous ouvre à tous les possibles. C'est en nous mettant à son écoute, sans plus la nier, que nous puiserons en nous les meilleures, les plus authentiques de nos forces.
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