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wafwako-blog · 9 years ago
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REVUE DE PRESSE DU MARDI 23 FEVRIER 2016
Au menu de la revue de presse de ce mardi, la sortie médiatique du bureau politique de la majorité présidentielle et la présentation du  Plan stratégique de développement de la RDC par le Directeur de Cabinet du président de la République, Néhémie Mwilanya.
« LE PLAN DE KABILA POUR L’EMERGENCE DE LA RDC EN 2030 » FORUM DES AS
Ce plan conçu depuis 2010  par des experts congolais avec l’appui d’experts coréens, devra servir de boussole au programme de l’exécutif congolais dans les années à venir. «Structuré en trois parties, ce document multisectoriels aborde, en premier lieu, la politique et la stratégie de développement, en deuxième lieu, les actions à entreprendre et en dernier lieu, les observations et conclusions ».
Il évoque notamment le renforcement des trois secteurs phares comme moteurs de la croissance nationale : industrialisation des secteurs de base, développement du vaste terrain agricole et amélioration de la productivité du secteur minier et industriel. Le plan prévoit  la création des zones économiques industrielles qui permettront la création d’emplois et la substitution des importations. Attirer et  soutenir les Investissements Directs Etrangers (IDE) qui permettront le développement des exportations, promouvoir le Développement de l’agriculture et de l’industrie des produits de la pêche sont aussi envisagés dans le plan, rapporte Forum des As.
 La Prospérité note pour sa part que pour Néhémie Mwilanya Wilondja,  directeur de Cabinet du Président de la République, le Président Joseph Kabila veut transformer le Congo en un pool d’intelligence et de savoir-faire,  un vivier de la nouvelle citoyenneté et de la classe moyenne, un grenier agricole, une puissance énergétique, un pool économique et industriel et une puissance régionale au cœur de l’Afrique.
REACTION DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE  SUR LES ARTICLES 75 ET 76 DE LA CONSTITUTION
Le journal Le Phare informe que le Bureau Politique de la Majorité Présidentielle sous la conduite du Secrétaire Général Aubin Minaku a réagi à l’interprétation qu’elle juge fantaisiste et tendancieuse des articles 75 et 76  de la constitution.  
« Les articles en question ne demandent pas au Président de la République d’abandonner le pouvoir à un Président intérimaire comme le prétendent certains. L’article 70 dispose ; « A la fin de son mandat, le Président de la République reste en fonction jusqu’à l’installation effective du nouveau Président », indique le communiqué de la MP, repris par le quotidien. Ce communiqué est une réaction à celui rendu public dimanche 21 février par le G7 qui indiquait que si le président n’est pas élu avant le 20 décembre, un Président intérimaire sera chargé d’organiser les élections dans un délai ne dépassant pas 120 jours.
Pour cette plateforme qui accompagne le président de la République, la vacance de la Présidence de la République est déclarée par la Cour Constitutionnelle saisie par le gouvernement et non par un groupe d’intérêt ou une association momentanée au risque de tomber sous le coup de l’article 64 qui dispose que toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la Nation et l’Etat.
RETOMBEES DE LA TROIKA STRATEGIQUE
Le journal L’Avenir révèle que la chute des prix des matières premières a aussi des conséquences sur la Plan sportif. Compte tenu de la situation difficile du moment, le Gouvernement de la République ne pourra financer que quatre disciplines sportives (Football, Handball, Taekwondo et Cyclisme), en attendant que la situation ne s’améliore. C’est ce que l’on peut retenir de la réunion de la Troïka stratégique du lundi 22 février à la Primature à laquelle le ministre de la Jeunesse, Sports et Loisirs a été invité. Les participants à cette réunion n’avancent pas les raisons de cette sélection.
NORD KIVU ;
BAN KI-MOON EN VISITE AU NORD-KIVU
RFI
 Après le Burundi, le secrétaire général des Nations unies fera une brève escale dans l'est de la République démocratique du Congo. Quelques heures au Nord-Kivu, à Kitchanga, où se trouvent plusieurs camps de déplacés que les autorités menacent de fermer. Ban Ki-moon devrait également avoir plusieurs rencontres à l'aéroport de Goma, essentiellement avec des membres de la société civile. Ils étaient nombreux hier lundi encore, les représentants des partis politiques ou de la société civile à demander à voir le SG de l’ONU car pour cette occasion,
 Radio Okapi informe que
LES DEPUTES DU NORD-KIVU INTERPELLENT BAN KI-MOON SUR L’INSECURITE DANS LEUR PROVINCE
OKAPI
Vingt-deux députés nationaux du Nord-Kivu sollicitent l’implication du secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-Moon en vue de mettre fin aux tueries des populations dans cette partie de la RDC.
Dans une correspondance qu’ils lui ont adressée le week-end dernier, le caucus des élus du grand Nord regrette que cette région soit victime des tueries, notamment à Lubero et Béni.
« Nous voulons mettre le secrétaire général devant ses responsabilités en tant que patron des Nations unies. Qu’il fasse diligenter une enquête internationale pour que l’on sache l’ampleur des massacres et que soit saisie la Cour pénale internationale, afin que ces crimes ne soient pas impunis », a interpellé Grégoire Kiro, député national élu  du RCD/KML.
Il a fait allusion à la situation de Béni et Lubero qui a enregistré plusieurs centaines des morts et souligne que l’ONU ne doit pas rester silencieuse.
BAN KI-MOON AU BURUNDI POUR ESQUISSER UNE SORTIE DE CRISE
Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon est arrivé lundi à Bujumbura pour tenter de trouver une issue à la crise au Burundi où les violences armées se sont poursuivies avec de nouvelles attaques à la grenade dans la capitale.
Le chef de l’ONU, dont c’est la première visite au Burundi depuis que le pays a plongé dans une grave crise politique en avril 2015, devrait tenter mardi matin de convaincre le président Pierre Nkurunziza d’ouvrir avec l’opposition des pourparlers de sortie de crise, actuellement au point mort.
D’ici sa rencontre avec le président Nkurunziza mardi matin, M. Ban est censé rencontrer des responsables de partis politiques, d’ONG installées au Burundi, ainsi que le ministre des Relations extérieures Alain-Aimé Nyamitwe.
PRESSE.
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wafwako-blog · 9 years ago
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RD CONGO - REVUE DE PRESSE DU LUNDI 22 FEVRIER 2016
A la Une des parutions de ce lundi, la réaction du G7 à un éventuel report de l’élection présidentielle et  la tribune d’Adolphe Muzito sur le dialogue.
LE G7 DIT NON A UNE TRANSITION »
LA PROSPERITE
Si les dirigeants du G7 ne souscrivent toujours pas au dialogue national politique tel que convoqué par le Président de la République, ils sont, plutôt,  favorables à l’idée des négociations directes entre acteurs politiques en vue d’organiser les   élections dans les  délais  constitutionnels. Par contre, "si à la bonne date,  les élections n’ont pas lieu, la vacance au sommet de l’Etat sera constatée et un Président intérimaire sera chargé d’organiser les élections dans un délai ne dépassant pas 120 jours,  conformément aux dispositions des articles 75 et 76 de la Constitution’’, soutient le G7, dans un communiqué, repris par le quotidien. Selon le journal, le G7 considère que l’organisation des scrutins à bonne date équivaut à les tenir dans les délais constitutionnels. Pour ce regroupement de 7 partis  politiques, au-delà du délai constitutionnel, il se créera la vacance du pouvoir au sommet de l’Etat, « dont seul le Président de la République portera la pleine responsabilité», rapporte La Prospérité.
Pour LE PHARE, les membres du G7 sont  intransigeants quant à l’organisation de l’élection présidentielle dans les délais constitutionnels. « Si le choix du futur président de la République n’est pas opéré par le souverain primaire dans les urnes à la date du 27 novembre 2016 et s’il n'y a pas passation de pouvoir entre le Chef de l’Etat sortant et son successeur le 20 décembre 2016, les dispositions constitutionnelles prévoient la désignation d’un Président de la République par intérim, à ne pas confondre avec l’ouverture d’une nouvelle période de transition», indique le communiqué du G7 repris par le  journal. D’où, il appartient au pouvoir en place et à la Ceni d’éviter au pays une situation cocasse de fin mandat présidentiel sans élection présidentielle, conclut le quotidien.
Dans ce même registre, Forum des As poursuit et titre :
CARTE BLANCHE À EDEM KODJO
L’ONU, l’OIF, l’UA et l’UE exhortent tous les acteurs politiques à coopérer pleinement avec  le missi dominici de Nkosazana Zuma.
Ces structures exhortent tous les acteurs politiques rd congolais à apporter leur entière coopération à Edem Kodjo. En termes moins diplomatiques, la communauté internationale s’inscrit dans la logique du Dialogue envisagé en RDC. Ensuite, elle reconnaît l’ancien Premier ministre togolais dans son rôle de démineur du terrain en vue du Dialogue et en plus demande à tout le monde de travailler avec ce dernier. La balle est maintenant dans le camp de la classe politique congolaise élargie à la Société civile, toutes tendances confondues. Aux opérateurs politiques rd congolais de faciliter la tâche à EdemKodjo de manière à ce que le Dialogue, jugé par ces quatre organisations comme préalable aux élections apaisées, puisse se tenir.  La prise de position de l’ONU, l’OIF, l’UA et l’UE éclaire d’un jour nouveau la question de la convocation du Dialogue, martèle le quotidien.
TRIBUNE DE MUZITO
FORUM DES AS revient sur la dixième tribune d’Adolphe Muzito  consacrée, cette fois, au dialogue politique et titre : VIVEMENT LE DIALOGUE VERTICAL.  Selon le journal, ce dialogue est une variante de reddition des comptes, une prise en compte des desiderata des gouvernés par les gouvernants. Le dialogue vertical est ce mécanisme permanent par lequel les populations s’expriment, interpellent leurs dirigeants, débattent avec eux via notamment des corps intermédiaires comme les partis politiques, les syndicats, la presse, les églises, rapporte le quotidien.
Adolphe Muzito montre à quel point la RDC est en retard de ce dialogue-là, essentiel, pourtant, pour la cohésion nationale.
Pour LE PHARE, qui reprend l’intégralité de la tribune, la RDC est à son énième dialogue politique et la tribune proposée par l’ancien premier ministre apparait comme une solution pour mettre fin au  cycle infernal des crises et des « dialogues » politiques, qui retardent le développement du pays.
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wafwako-blog · 9 years ago
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RD CONGO: REVUE DE PRESSE DU LUNDI 15 FEVRIER 2016
L’arrestation du député de l’opposition Martin Fayulu, la question de la candidature unique au sein de l’opposition et la tenue dans une semaine de la première conférence internationale sur les investissements dans les grands Lacs à Kinshasa sont les sujets  largement commentés par les publications de ce lundi.
CANDIDAT UNIQUE A LA PRESIDENTIELLE. OPPOSITION : TSHISEKEDI, KATUMBI ET KAMERHE DIVISES !
Dans des salons huppés de la ville de Kinshasa, on parle, de plus en plus, des résultats d’un sondage sur les présidentiables de l’Opposition pour les élections de 2016 en République Démocratique du Congo.  Trois noms sont cités : Etienne Tshisekedi, Moïse Katumbi et Vital Kamerhe. Selon des bribes d’information parvenues à La Prospérité, les deux premières personnalités, c’est-à-dire, Etienne Tshisekedi et Moïse Katumbi se tiendraient dans un mouchoir de poche, avec une légère avance pour le président national de l’UDPS.  Vital Kamerhe les talonne.  De quoi quadriller donc l’ensemble du territoire national s’ils étaient unis, fait savoir le journal. Mais s’interroge-t-il, Kamerhe va-t-il revoir à la baisse ses ambitions ?
Le quotidien estime qu’il est peu probable qu’Etienne Tshisekedi s’efface au profit de la candidature de Moïse Katumbi. Le journal explique que déjà en 2011, Etienne Tshisekedi avait fait voir de toutes les couleurs à Vital Kamerhe qui lui demandait Tshisekedi affirmait n’avoir pas lutté pendant plus de deux décennies pour, finalement,  faire le lit des autres. Commentant les résultats de ce sondage, Forum des As estime que le leader maximo fait jeu égal avec l’icône du très célèbre Tout puissant Mazembe. D’après le journal  qui cite des sources diplomatiques, les résultats de cette enquête d’opinions ont valeur de baromètre sur la question du leadership au sein de l’opposition pour les milieux diplomatiques
ARRESTATION DE MARTIN FAYULU
Le Phare consacre sa Une à l’arrestation dimanche du député Martin Fayulu à Kinshasa. Surement pas informé de la libération de Fayulu tard la nuit le même jour, le quotidien rapporte que c’est un Joseph Olenga Nkoy hors de lui qui a fait le tour de plusieurs rédactions de Kinshasa pour protester énergiquement contre l’arrestation du député national Martin Fayulu. Joseph Olenga Nkoy indique avoir appris des membres de l’Ecidé que le député  Martin Fayalu a été pris, comme un malfrat, par des éléments en uniforme sans mandat et conduit vers une destination inconnue, qui allait se révéler, plusieurs heures après, comme l’amigo de l’ex-Demiap, dans la commune de Kintambo.
Et compte tenu de la manière rocambolesque qui a entouré l’arrestation ou l’enlèvement de Fayulu, le président de Fonus a exigé, au nom de sa plate-forme, à savoir la Dynamique de l’Opposition, sa libération immédiate et inconditionnelle, poursuit le quotidien.  Il a menacé de se constituer prisonniers avec tous les membres de la Dynamique de l’opposition, si leur membre ne recouvrait pas sa liberté dans le meilleur délai, ajoute le journal. Le député a été finalement libéré ce même dimanche la nuit. Le porte parole de son parti l’Ecidé a rapporté sur Top Congo que tous ses effets personnels lui ont été confisqués. Partant de son téléphone, ses documents et sa voiture. Alors que ces objets auraient dû être libérés en même temps que le député, le parti craint que les Services de sécurité n’y déposent des objets contraignants à l’exemple des drogues ou autres, pour ensuite, trouver de faux prétextes pour faire accuser l’honorable Fayulu.
PROCESSUS ELECTORAL :
ELECTION DES GOUVERNEURS PROVINCIAUX : GASPILLAGE ET ILLEGITIMITE
Alors que l’organisation des élections présidentielle et législatives est à l‘arrêt depuis un an, voilà que l’élection des gouverneurs provinciaux est programmée dans la précipitation pour le 26 mars. Après une loi passée en vitesse, le gouvernement et la CENI s’apprête à gaspiller de l’argent, de l’énergie et du temps pour une élection illégale par des assemblées illégitimes dans un processus caduc.
Illégale car des députés provinciaux tombés dans l’illégitimité au terme de leur mandat ne peuvent pas transmettre une quelconque légitimité à des gouverneurs. Caduque car en dehors des délais prévus par la loi mettant en place les nouvelles provinces. L’élection préparée en vitesse n’est rien d’autre qu’une violation intentionnelle de la Constitution et des lois de la République. Il est inacceptable  que la CENI, qui, selon la loi organique organisant cette institution d’appui à la démocratie, doit jouer le rôle principal dans la consolidation de la démocratie, contribue à un exercice qui s’inscrit dans une démarche intentionnelle menant à l’illégitimité généralisée de toutes les institutions. La complicité de la CENI dans cette opération électorale démontre la soumission du bureau de la CENI aux instructions du pouvoir exécutif, en violation de la Constitution et des lois de la République, conclut 7sur7.
DIALOGUE INCLUSIF LA CENCO DIT NON AU GOUVERNEMENT DE TRANSITION
Le Bureau de Liaison avec le Parlement (BLP) de la Conférence Episcopale du Congo (CENCO) a organisé vendredi 12 février une tribune d’expression populaire au  centre Interdiocésain. Cette rencontre a été placée sous le thème  » Le dialogue est une opportunité pour la relance du processus électoral dans le pays ».
L’Abbé Donatien Nshole, secrétaire général adjoint de la CENCO a indiqué que leur structure veille à ce que le dialogue n’énerve aucune disposition de la constitution. Il a souligné qu’aucun gouvernement de transition ne serait issu de ces assises. Le représentant de la CENCO a également exhorté toutes les parties prenantes à respecter la Constitution.
Dans un autre registre,
LA RDC EST PRETE A ACCUEILLIR LA CONFERENCE SUR LES INVESTISSEMENTS DU
SECTEUR PRIVE DANS LES GRANDS LACS
Le Ministre des Affaires étrangères congolais a accueilli, dans le cadre des préparatifs de ce rendez-vous régional, le corps diplomatique des pays membres de la CIRGL en République Démocratique du Congo vendredi 12 février dernier, rapporte le quotidien. Au menu de leur rencontre, l’échange sur l’opportunité d’une telle conférence à Kinshasa et dans la région des grands lacs, tristement connue pour les exactions qui n’ont cessé de meurtrir ses populations.
UN DEPUTE DE GOMA PLAIDE POUR LA REOUVERTURE DE FRONTIERE RDC-
Dans une pétition lancée samedi 13 février, le député national Jean-Paul Midagu plaide pour la réouverture de la frontière entre la RDC et le Rwanda. Selon cet élu de la circonscription de Goma, les faits qui ont amené à la fermeture de la frontière côté congolais depuis 2012 ne sont plus d’actualité.
Depuis octobre 2012, la frontière congolaise reste  fermée à celle du Rwanda entre 18h et 6h du matin. Bien avant cette mesure, elle était ouverte 24h sur 24. Dans le communiqué annonçant la décision de sa fermeture, aucune raison n’avait été expliquée. Le document se limitait à parler d’une mesure « en exécution des instructions du gouvernement datant du 19 octobre 2012 ». Certaines sources parlaient à l’époque du soutien du Rwanda à la rébellion du M23 qui sévissait au
Pour le député Jean-Paul Midagu, cette mesure de fermeture de la frontière n’était que provisoire et qu’il est temps de penser à l’ouvrir pour permettre la libre circulation des personnes et leurs biens.
Jean-Paul Midagu, cadre du parti « Alliance pour le développement et la République », ADR , estime que l’organisation du Chan 2016 a servi de
« thermomètres » pour savoir si les tensions qui ont existé pouvait se répéter, mais « la grandeur du  peuple congolais a démontré que nous ne sommes qu’un seul peuple et que nous sommes là pour construire la région des Grands lacs ».
Le député national espère mobiliser suffisamment des signatures en 6 semaines afin que cette pétition soit soumise à qui de droit.
NICOLE FATUMA.
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