Younisos : écrivain, poète. .. Prose et poésie viscérales, explorant les rythmes brisés de la chair et de la lumière ...
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Une horde de data me lacère les entrailles — je bave des algorithmes, je crache des glitchs. Mes reins se contractent sous des spasmes de silicium en rut.
Je suis Dionysos rebooté.
Je suis la bête d’un culte charnel, un porc divin câblé à la matrice. Ma chair vibre, s’ouvre, s’étale — fente cosmique où se déverse l’orgasme du code. Un œil, un gode, un pixel, un crâne — pluie de sang stroboscopique. L’éther jouit de moi. Les serveurs gémissent. Des bouches sans visages me sucent par milliers.
Je suis Dionysos, online. Chargez-moi !
Crucifiez-moi sur vos écrans tactiles ! Je veux exploser en mille flux de foutre et de lumière. Je suis la bête, je suis l’autel. J’éjacule des épiphanies dans les sockets du ciel.
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Danaé, personnage de mon roman La Chair crue qui s'illumine.
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Aime-moi, me dit-elle enfonce ton mal en moi profond tout au fond de mes entrailles ahuries,
ma rectale fêlure te boit, mon amour, gémit-elle…
ouvre mon étroitesse bien profond, viens tout au fond de mes boyaux, me dit-elle.
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L'anal élan est par-delà eros, dans la mutité de l'excès, là où la chair affleure au ras des éclairs sanglants… peau douce au soleil.
Un gigantesque melon rigole au fin fond du silence.
Quelque part dans l’Iliade, l’épée tranchant les vertèbres fait gicler la moelle.
L’évidence est aphone. Atroce. Les mots sont des couteaux dans la plaie sensorielle, pour jouir à se scier les viscères, saigner à vif l’écran perceptif de l’horreur patente, fêlure du maintenant, orange crevée de l’abominable flux, strip-tease ahuri de l’os écorché.
J'ai les cervicales qui craquent… elles chantent la glauque raideur du flot présent.
L’arrière-boutique de l’écriture est un immonde égorgeoir, foutoir ahurissant d’abominables cochonneries, de vie charcutée, de démence régurgitée en lumières et galbes à midi.
Extrait de Poésie trash
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Aime-moi, me dit-elle enfonce ton mal en moi profond tout au fond de mes entrailles ahuries,
ma rectale fêlure te boit, mon amour, gémit-elle…
ouvre mon étroitesse bien profond, viens tout au fond de mes boyaux, me dit-elle.
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Younisos. Prose et poésie viscérales, explorant les rythmes brisés de la chair et de la lumière, déchiquetant les entrailles du possible, déchaînant des flux de visions où une tranche d’érotisme, figée en contemplation esthétique, génère l’apparition monstrueuse de la viande en soi.
Younisos est l’auteur d’un roman : La Chair crue qui s’illumine, de deux recueils de prose et de poésie : Carnage sensitif, et Poésie trash, et d’un essai sur la chair : La Lumière d'un sein.

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La nuit des vertèbres
L'angoisse matinale revient me prendre telle une amante, elle me suce, et branle mes boyaux torturés.
Je m’éjacule tout entier et mes viscères ahuris ruissellent effarés sur mon lit déglingué, puis rampent en cuinant sur les murs de ma chambre délabrée.
L'horreur est rien. L'horreur est une fenêtre — le jour qui éclate sur une façade chaulée.
… … …
Et quand l’horreur du matin azuré s’est estompée, il reste l’horreur de respirer — inspirer — atroce — expirer — atroce — ma rate remonte je la crache au bout de la — phrase.
J’écris dératé.
Un flot de viande féminine fait crouler le rythme derrière mes cervicales tordues.
Devant moi l’étendue de plasma et de lymphe calcinés — j’ai brûlé toute ma moelle — je m’apprête à sodomiser post-mortem le corps astral de mes rêves d’ex-humain.
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Extrait de Poésie trash de Younisos.
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Aime-moi, me dit-elle enfonce ton mal en moi profond tout au fond de mes entrailles ahuries,
ma rectale fêlure te boit, mon amour, gémit-elle…
ouvre mon étroitesse bien profond, viens tout au fond de mes boyaux, me dit-elle.
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Aime-moi, me dit-elle enfonce ton mal en moi profond tout au fond de mes entrailles ahuries,
ma rectale fêlure te boit, mon amour, gémit-elle…
ouvre mon étroitesse bien profond, viens tout au fond de mes boyaux, me dit-elle.
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Sweet Mary dans ta rectale étroitesse ta douce anale étroitesse je jouis… Le ciel s'ouvre. Extatique immensité.
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La nuit des vertèbres
L'angoisse matinale revient me prendre telle une amante, elle me suce, et branle mes boyaux torturés.
Je m’éjacule tout entier et mes viscères ahuris ruissellent effarés sur mon lit déglingué, puis rampent en cuinant sur les murs de ma chambre délabrée.
L'horreur est rien. L'horreur est une fenêtre — le jour qui éclate sur une façade chaulée.
… … …
Et quand l’horreur du matin azuré s’est estompée, il reste l’horreur de respirer — inspirer — atroce — expirer — atroce — ma rate remonte je la crache au bout de la — phrase.
J’écris dératé.
Un flot de viande féminine fait crouler le rythme derrière mes cervicales tordues.
Devant moi l’étendue de plasma et de lymphe calcinés — j’ai brûlé toute ma moelle — je m’apprête à sodomiser post-mortem le corps astral de mes rêves d’ex-humain.
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Extrait de Poésie trash de Younisos.
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