#7h45
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I would like to request for exams to NOT start at 7AM
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my screen time only gets worse with time. i know i’m not trying to stop anymore but this is sad.
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𝕷𝖊𝖒𝖔𝖓 𝕯𝖗𝖔𝖕✨️🍋
✨️Park Seonghwa from ATEEZ
✨️Time Taken : 7h45
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"-and the final touch!" Dad said while digging through the pantry. Mom was responsible for most of the cooking in the house but dad always loved baking, so he's done all our birthday cakes for as long as I could remember. He made me a frog cake when I was 6 and made a football one for Darry's 14 birthday.
Chocolate cake is our all time favorite. Mom prefers blueberry cheesecake, but she can't resist to dig into a big piece of just chocolate. We always tried to eat cake for breakfast but they refused unless it was our birthday or Christmas or Easter or something really special.
It was Darry's 20th birthday and we were eating together, so dad was finishing up the cake. He was going to ice it and then we'd eat. After that, Darry was gonna go out with some friends to go work out and go see a movie
That was how he was gonna spend his birthday.
"Where's the icing? Pony, where did you put the icing?" Dad asked from the kitchen, looking in the fridge just in case Soda got to it first.
"Uh, I forgot it." I barely looked up from my book. That's right, after school was over I headed straight home, still thinking about what happened in class today.
"He always forgets everything. He'd forget his head if it wasn't attached to his head." Darry scolded, angry. Except he wasn't angry, not back then. He wasn't sour and tired back then. He said it with a mocking smile, making fun of his little brother.
Wait. What's happening?
"It's fine, we'll go get it. We still have time before dinner's ready." Mom said, sliding on her coat. Dad was right behind her.
No, no I can go get it. I forgot it, I should go.
"Darry, take care of your brothers. Don't do anything dumb while we're out." Dad looked back at Darry, pointing a finger at him as if he were responsible for our behavior, but with dad's iconic smile on his face.
Mom pulled him into a hug.
"Happy birthday, son."
She instinctively moved towards me to give me a hug too, but she stopped herself.
"Oops, I almost gave our big boy Pony a hug, that almost could've embarrassed him."
No, mom, I'm not like that anymore.
I stood up and raced towards her, hugging her back.
"Oh?" She turned around to hig me properly. Tears ran down my face. Why am I crying? What's wrong?
"What's wrong, baby?" Dad asked, seeing I was crying.
"Don't leave me. I wanna go with you. Don't leave."
"Oh, honey, we're just getting icing for the cake. We'll be back in fifteen minutes." She squeezed me tight one last time but as soon as she let go of me, I felt my body grow cold. They went outside the door and I had this sick feeling in my stomach. I should follow them. I should run after them.
There's a train whistling.
And then police sirens.
I woke up, my face wet and my mouth dry to an empty bed. Soda already woke up. It's 7h45 AM. I have to get ready for school.
I couldn't even tell them goodbye.
#the outsiders#the outsiders musical#ponyboy curtis#mr curtis#mrs curtis#mr and mrs curtis#darry curtis
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Une journée de travail d’Alexia Hoffer au Commissariat
7h38 – Arrivée en avance
Alexia gare sa moto sur le trottoir en face du commissariat. Casque sous le bras, elle monte les marches d’un pas vif. Comme chaque matin, elle jette un œil à la montagne au loin – un réflexe silencieux pour se recentrer. Elle n’a pas dormi beaucoup, mais ses gestes sont précis, rodés par l’habitude.
7h45 – Café noir et briefing rapide
Elle traverse l’open space encore calme, son bureau baigné de lumière pâle. En déposant son blouson sur le dossier de sa chaise, elle allume l’ordinateur d’un geste rapide. À la machine à café, elle croise Vincent, un collègue du groupe stups. Il lui fait un clin d’œil :
- "Encore arrivée avant le chef, comme toujours."
Elle esquisse un sourire :
- "Lui, il commence sa journée quand moi je la termine."
8h15 – Réunion d’équipe
Salle de réunion, tableau blanc, dossiers éparpillés. Alexia mène le briefing du matin pour l’unité d’enquête. Trois cambriolages similaires dans la région : elle pense à un mode opératoire en série. Elle distribue les tâches, note un détail qu’elle recoupera plus tard. Sa voix est ferme, son ton direct. Elle garde les doutes pour elle.
9h20 – Interrogatoire en salle 2
Un suspect récidiviste, nerveux, pas très bavard. Alexia reste debout face à lui, dossier en main, laissant volontairement le silence s’installer. Il finit par craquer. Pas l’auteur des faits, mais il a vu une voiture louche traîner dans le quartier. Une piste.
11h40 – Pause annulée
Elle devait sortir prendre l’air. Une alerte tombe : signalement d’un véhicule volé, correspondant à la description du suspect du matin. Alexia embarque avec sa coéquipière Nadia pour vérifier sur le terrain.
12h35 – Retour, sandwich sur le pouce
De retour, elle ne prend pas le temps de s’asseoir. Elle grignote un sandwich tout en tapant un rapport sur l’ordinateur. Son bureau est encombré, des photos d’indices punaisées au mur, un carnet de notes ouvert à une page griffonnée à la hâte.
14h00 – Analyse d’un nouveau dossier
Une victime vient de porter plainte pour harcèlement numérique. Alexia récupère son téléphone, vérifie les messages, fait une réquisition immédiate aux opérateurs. L’affaire semble banale, mais quelque chose l’intrigue. Une adresse IP revient. Elle note dans son carnet : "à creuser."
15h45 – Tension dans le couloir
Une altercation éclate entre deux agents. Elle intervient, calme et directe. Elle recadre sans hausser le ton. Tout le monde se tait. Même les plus anciens savent qu’elle ne joue pas à faire autorité. Elle l’incarne.
17h10 – Un appel personnel
Elle s’accorde une minute, juste une. Un message vocal de sa sœur qu’elle n’a pas rappelée depuis une semaine. Elle écoute, ne répond pas. Le travail d’abord. Elle remet son téléphone dans la poche.
17h30 – Rapport final et veille silencieuse
Le jour baisse sur les montagnes. Le silence s’installe dans le commissariat. Alexia relit ses notes du jour, pose les yeux sur une photo d’un vieux dossier non élucidé, accroché à côté de son bureau. Elle pense à cet enfant disparu il y a trois ans. Elle soupire, ferme le dossier, mais le laisse bien en vue.
19h12 – Départ discret
Elle quitte le bâtiment sans bruit. Elle n’a pas vu passer la journée. Une de plus. Et demain, elle reviendra.
#alexia hoffer#rpg#alex li#lefugitif#zax le gardien du temps#sarah da silva#video games#vinculum secretum
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invisible
Introduction
Ce n'est pas une histoire. C'est un cri étouffé. C'est le regard d'une élève qu'on ne remarque jamais vraiment, qu'on croise tous les jours sans vraiment la voir. C'est aussi le silence des autres, l'indifférence des adultes, et la violence ordinaire qu'on appelle parfois "des blagues". Inès n'est pas un personnage inventé. Elle est partout. Elle est réelle car des jeunes en souffrent. Et cette histoire, aussi douloureuse soit-elle, existe pour qu'on ouvre les yeux.
Chapitre 1 - Bruits sourds
Inès n'a jamais fait de bruit. Depuis la 6ème, elle est là, présente, discrète. Une élève moyenne, ni brillante, ni en échec. Juste... là.
Au début, les moqueries étaient légères. Des remarques sur ses vêtements trop simples, sa façon de baisser les yeux, de toujours s'asseoir au fond. Puis, ça s'est aggravé. Les surnoms ont commencé à circuler : "l'ombre", "l'autiste", "la tache". Chaque rire dans le couloir devenait une menace silencieus. Elle apprenait à se faire petite. À se fondre. À disparaître.
Les professeurs ne voyaient rien. Ou faisaient semblant. Inès avait de bonnes notes. Elle rendait ses devoirs. Alors tout allait bien, non ?
Mais elle rentrait chaque soir plus fatiguée. Pas physiquement. Fatiguée de tenir.
Chapitre 2 - Glissements
Un jour, elle a oublié son cahier. Ce jour-là, un garçon a lancé : "Bah alors, t'es débile en plus d'être moche ?" Rires. Personne n'a rien dit. Pas même la prof, qui s'est contentée de lever les yeux au ciel. Inès a senti ses joues brûler. Elle a baissé les yeux. Elle n'a pas répondu.
C'était plus simple de ne rien dire. De toute façon, quand elle parle, personne n'écoute.
Depuis quelques semaines, elle mange seule à la cantine. Ses anciennes camarades de classe ne s'assayaient plus à côté d'elle. L'une d'elles a dit en riant : "On ne mange pas avec les morts-vivants".
Ce soir-là, elle a pleuré longtemps dans sa chambre. Pas parce qu'on l'a insultée. Elle y était habituée. Elle a pleuré parce qu'elle sentait qu'elle commençait à les croire.
Chapitre 3 - Battements absents
Elle n'écrivait plus dans son journal. Plus envie. Ses mots à elle ne servaient à rien. Même les pages semblaient la rejeter.
Un matin, elle est restée devant le miroir plus longtemps que d'habitude. Elle a observé son visage. Vide. Ses yeux n'avaient plus la même lumière qu'avant. Elle a tenté un sourire. Il ne lui allait plus.
Elle est allée en cours. Comme d'habitude. Aucune absence. Aucun mot d'excuse. Elle était là, mais plus vraiment. Une présence floue.
Un surveillant l'a croisée dans le couloir. "Tout va bien, Inès ?" Elle a hoché la tête. Oui, bien sûr. Comme toujours.
Mais ce jour-là, quelque chose s'est brisé. Silencieusement.
Chapitre 4 - Le dernier poids
Il n'y eut pas de cris. Pas de lettre longue. Juste un sac soigneusement rangé, un carnet ouvert sur une page blanche. Et quelques mots, maladroits, grattés au crayon :
"Je ne suis pas faible. Je suis juste fatiguée de porter seule ce que personne ne voit."
Cette nuit-là, Inès s'est endormie dans un silence que plus rien ne viendrait troubler.
Sa mère est entrée dans sa chambre à 7h45. Le bus était déjà passé. Elle a d'abord cru qu'elle dormait encore. Puis elle a vu les larmes séchées sur ses joues, le carnet ouvert, et le vide.
Ce fut trop tard.
Chapitre 5 - Ce que laisse le vide
Les pompiers sont venus. Le collège a été alerté. Le principal a parlé de "drame", de "choc". Les mots semblaient sorti d'un manuel de communication.
Dans la salle des profs, certains baissaient les yeux. D'autres murmuraient : "On ne s'en serait pas douté."
Mais Clara, une élève de sa classe, se soucenait. Des messages non répondus. Des silences gênés. Des rires auxquels elle n'avait pas participé... mais qu'elle n'avait pas arrêtés non plus.
Elle pleurait longtemps ce jour-là. Pas parce qu'elle était proche d'Inès. Mais parce qu'elle avait compris trop tard qu'elle aurait pu l'être.
Chapitre 6 - Ceux qui restent
Le collège était silencieux ce matin-là.
Pas le genre de silence habituel. Un silence lourd. Qui s'accroche aux murs. Le genre de silence qu'on entend plus fort que le bruit.
On avait appris la nouvelle dans un message froid, administratif. Mais très vite, ce ne sont pas les mots qui ont choqué. C'est l'absence.
Inès ne viendrait plus. Et soudain, tout le monde s'en souvenait. Sa place dans la salle 3B. Vide. Ses trajets seule dans les couloirs. Ses regards fuyants. Ses sourires, rares, qu'on n'avait pas su attraper.
Madame Lefèvre, en découvrant la petite lettre posée sur le bureau, s'était arrêtée de respirer un instant. Elle l'avait lue. Une seule fois. Mais les mots étaient restés dans sa tête comme gravés au fer chaud.
Elle s'était souvent dit qu'Inès allait bien. Ou du moins... pas si mal. Elle participait un peu. Elle avait des notes correctes. Mais elle ne s'était jamais posé les bonnes questions. Et maintenant, il n'y avait plus de "pourquoi" à lui poser.
Les élèves, eux aussi, avaient senti ce vide. Même ceux qui ne lui avaient jamais parlé. Même ceux qui, parfois, avaient ri un peu trop fort à ses dépens.
Dans la cour, plus tard, on installa une boîte pour que ceux qui le voulaient puissent écrire un mot. Une sorte d'adieu, ou de pardon, ou peut-être juste une tentative pour soulager un peu ce poids qu'ils ressentaient maintenant qu'il n'y avait plus d'Inès pour le porter.
Les papiers se remplirent. De "je suis désolé." De "je ne t'ai pas connue, mais je pense à toi." De "tu avais le droit d'exister." De "on aurait dû te voir."
Et si Inès avait été là... Elle aurait vu qu'il fallait partir pour qu'enfin, on comprenne qu'elle était là.
Morale de l'histoire :
On croit toujours que le silence n'est rien. Mais c'est souvent dans le silence que se cachent les plus grandes douleurs. Inès n'était pas invisible. Elle était simplement ignorée. Par habitude, par lâcheté, par indifférence. Et quand enfin on a voulu la voir, il était trop tard.
Cette histoire n'est pas un simple écrit. C'est un rappel. Une alerte. Chaque regard évité, chaque rire moqueur, chaque mot qu'on ne dit pas pour défendre... peut peser bien plus qu'on ne l'imagine.
Ne soyons pas de ceux qui regrettent trop tard. Soyons ceux qui tendent la main pendant qu'il est encore temps.
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Peut-être qu'un jour j'arrêterai de pleurer après une performance sportive, peut être pas. Durée de déplacement, c'est sans les pauses, en vrai j'ai mis 7h45. J'ai mal partout mais bon dieu c'était beau.




Surtout la vue du sommet :

Et ma petite tête pleine de fierté et de souffrance :

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go to sleep
o.o ...ur probably right... I gotta be up in, like...7h45-8h...
Gn, fren :3
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C'est marrant d'illustrer aussi facilement le trajet en tram, la gare, la pause déjeuner...
J'étais un peu dégouté, les potes sont en train d'organiser le trajet pour aller chercher les diplômes de 1er dan. Je lis leurs échanges sur WhatsApp, rdv demain... 7h45... à cette heure, je serai sans doute au dessus de la mer de Chine, à émerger d'un vague sommeil.


Il faudrait que je bosse un peu. Mais c'est l'excitation du trajet, là. Et je m'éclate à essayer de mettre les images dans les images dans les images.


Jusqu'au grand délire où tout se mélange, les idées les moments les espaces, physiconiriques 🫠

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Jeudi 20 juin
Petit-déjeuner pris ce matin de bonne heure, nous quittons l’hôtel à 7h45 pour prendre le métro et le train Shinkansen (TGV japonais) direction Hakone.
Toujours aussi disciplinés ces japonais 😊

La gare centrale 🚄






Hakone est situé dans le parc national de Fuji-Hakone-Izu.
L’autocar avec notre chauffeur habituel nous attend pour une petite heure de route jusqu’à Hakone. Joli paysage sur le trajet et on aperçoit déjà un peu le mont Fuji.
Le ciel est voilé et il fait aux alentours de 25/26 degrés.


Le mont Fuji (3776m)

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well... wait, its feel like a britney spears anime in break the ice
celeste's vision
sinceramente pessoal, essa é a coisa mais aleatória que poderia acontecer comigo e olha que eu fui parar em uma excursão pro texas do nada em 2018. que por sinal foi bem legal... será que vai acontecer nesse próximo futuro? bem, vou ter que esperar pra ver.
hoje eu to absurdamente me sentindo uma espiã, já que é essa minha missão, tenho que seguir o tal do qi ying zhanlan, saber o que ele faz, o que come, aonde se esconde, hoje na celeste reporter ou melhor, celeste espiã demais.
felizmente eu sou formada em as loucuras de dick e jane e providenciei um disfarce perfeito. só me vi nesses trajes já no meu corpo adulto, um terninho social, cabelo muito caracteristico de márcia do rh, comprido e preto, num rabo de cavalo baixo já que a peruca não me daria abertura para um coque alto. claro que não poderia esquecer de um bom oculos com falso grau. podem me chamar de senhorita smith.
e bem já estou aqui em hollywood hills, mesmo acordando de madrugada para treinar jamais achei que acordaria tão cedo para investigar alguém. deixei meu carro estacionado um pouco afastado da entrada do condominio de casas de qi yang, sei que tem um volvo azul bem cafona que preciso manter na minha vista. e bingo, é ele saindo ali? são 7h23, cedo.
fico bem aflita ao segui-lo, já que a qualquer momento ele pode perceber, mas mantenho uma distancia considerável. às 7h45 ele para em uma padaria, meu carro sempre afastado dele e não demora muito para retornar, 7h46 ele já está voltando, o que me faz pensar de que é um padrão. seguimos para seu trabalho, muitos sinais no caminho e um deles tive que furar já que ele estava mais a frente de mim. não demora muito até chegarmos, preciso acelerar preciso pegar a cancela aberta e juro que jamais pensei que fosse tão fácil entrar no prédio. uns dois dias antes fui até lá e observei que muitos carros faziam isso, então mesmo sem a credencial eu conseguiria me infiltrar.
tô dentro e para não ficar tão na cara, estaciono meu carro afastada dele, pego minhas pastas falsas e torco para que nenhum dos gemeos me veja por aqui, principalmente o lucien apesar de que com seu cerebro de ervilha jamais seria capaz de me reconhecer. são 8h e qi ying ainda está dentro do carro. ele fica até as 8h12. só para constar estou anotando todos os horários ok? enquanto ele caminha para o saguão, consigo me esconder no meio dos vários funcionarios das torres, sem perdê-lo de vista. ele para e cumprimenta uma mulher, loira e alta. ainda bem que não vim com meu cabelo de verdade, parece gostar de loiras. foco celeste. 8h21, está indo para o cadmus corp, como descrito na sms e ouvi dizer que lá só entra com crachá, não se preocupem que já pensei em tudo.
assim que vejo ele se afastar suficientemente para não me notar, tropeço em um dos funcionários, ele cai junto comigo e se lamenta, pede muitas desculpas, coitada da senhorita smith. enquanto ele se preocupa com meu tornozelo que está visivelmente saudável, o tonto deixa o crachá cair. foi triste querido walters, hoje eu sou você. "tudo bem... eu estou bem, preciso ir, estou atrasada." ele me ajuda a levantar e como uma ótima atriz sigo para a torre com meu crachá e meu pé manco. 8h29. estou na catraca da cadmus o crachá anuncia o nome do rapaz na tela *bom dia bruno walters*. "bom dia" digo em voz baixa e jamais pensei que nesses lugares tinha tanta gente, é um grande escritório com muitas divisórias. no cadmus tem uma especie de coworking, o que é perfeito para mim e minhas pastas falsas. meus olhos perdidos de qi yang logo o encontram, conversando com um grupo de pessoas proximo a uma cafeteira. passo por onde estão e encontro o coworking, com várias persianas, uma mesa extensa e algumas divisórias. é aonde vou ficar. 8h40 qi yang ainda está conversando com o pessoal. ei vamos trabalhar? 8h54 ele entra em sua sala e fecha a porta. essa é a parte tediosa do meu dia, o homem está trabalhando o que posso fazer? tristemente foi meu dia mais demorado, algumas pessoas me olhavam com uma grande interrogação no rosto e eu simplesmente ignorei todas elas. por sorte ninguém veio perguntar quem eu era e o que estava fazendo ali. olá eu voltei no tempo e preciso investigar um cara. até parece!!
11h53 qi yang sai de sua sala, humm será que o homem está com fome? talvez, já que ouço um barulho caracteristico de microondas e cheiro de comida. até eu estou sentindo fome e olha que comi barrinha de cereal a manhã INTEIRA. enfim, fecho meu notebook e deixo minhas pastas no local, além do mais, é o meu local de trabalho, certo? mesmo sendo absurdamente arriscado, estamos no mesmo elevador mas, tem mais 5 pessoas o que é otimo, ele nem me nota. saimos do elevador e eu prefiro ser a ultima a sair, voltamos a espionagem do querido.
e lá estou eu nas ruas do centro de los angeles o seguindo, mas não vou ser nem maluca de almoçar nesse restaurante CARO, para mim pode ser um drive do mc donalds por gentileza. fico no carro ao lado contrário do restaurante, enquanto o aguardo.
consigo enxergar lá dentro e vejo que ele almoça até rápido, mas fica conversando com alguns amigos o que faz tudo demorar. ele sai do restaurante 13h04, voltamos para o prédio e percebo o quanto ele é viciado em café, lá está ele no saguão em uma cafeteria expresso com alguns amigos e fica por lá até as 13h30, em ponto e retorna ao escritório. volto para meu local de trabalho esperando-o até o fim do dia, queria muito poder dormir aqui. até que me chega uma companhia, uma moça ruiva e alta adentra no coworking e me cumprimenta, eu lhe cumprimento de volta mas sem troca de olhares, ela poderia ver o quão nova eu sou. "você é nova aqui?" ela indaga e eu engulo seco, soltando um ar quente pelas narinas. "na cidade? sim, eu sou alexandra smith... inspetora de meio ambiente e saúde, venho a mando dos dragna para supervisionar o quão amigos do meio ambiente a equipe é e olha... vocês gastam muito papel. com licença." oi?????? ela ficou com a maior interrogação na cara mas aposto que achou que eu ia multa-los, arrumei minhas coisas e tive que cair do meu esconderijo.
de volta ao saguão, as 16h15 vejo qi yang saindo de um dos elevadores, ele pega mais um café na cafeteria e segue para o estacionamento. até aonde pesquisei, os escritórios ficam abertos até aproximadamente 19h e há dois dias quando observava das catracas, qi yang saía no mesmo horário. temos uma rotina.
pelo menos sabia que a missão havia sido curta, mesmo o dia extremamente demorado, tinha todos os horários de qi yang e mesmo com os imprevistos, havia dado tudo certo. segui para o estacionamento bem distante dele, já que estavamos apenas nós dois por lá e logo estavamos pelas ruas do centro. 16h43 estou passando pela entrada do condominio fechado dele, qi yang está em casa.
respiro fundo e tiro a peruca enquanto sigo para ucla, nunca foi tão difícil ser uma defensora do meio ambiente.
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2024-02-02 là một ngày đặt biệt!
sáng sớm thức dậy, nhìn thấy cửa ban công trắng xóa, mình đã nghĩ: "uầy mùa nồm có khác, hơi nước bám kín cả cửa."
bởi vậy mình đã mở cửa ra cho sáng, thật bất ngờ: th�� giới bên ngoài chỗ nào cũng trắng xóa như vậy!! chao ôi sương mù phủ trắng khắp nơi không nhìn được gì hết.
7h45 mình ra đường đi làm. dọc đường đi chỉ nhìn rõ bán kính khoảng 3m.
đặc biệt mọi thứ trở nên huyền ảo và đẹp quá đỗi. những hàng cọ cảnh xếp hàng tăm tắp trong sương, những cành cây khẳng khiu đua ra trong sương mù, v.v. mình thích sự thú vị này!
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𝕴𝖈𝖊 𝕼𝖚𝖊𝖊𝖓 💙💎
💎Park Seonghwa from ATEEZ
💎Time Taken: 7h45 on Procreate
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All of Europe, collectively : a 40€ high speed rail ticket??? WHERE??
Also there’s no time penalty for the different rail gauge because this rail was built specifically using the “standard” European gauge of 1,435 mm to avoid it. (The Spanish waited for us 84 years at the border 😔)
It takes between 6h45 to 7h45 depending on which stations the train stops at.

#I quite love those high speed rails#and I’d like the hype to be based on accurate information#sorry for nitpicking 😅
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Acidente no Funchal causa ferimentos numa mulher e apreensão — DNOTICIAS.PT
News https://portal.esgagenda.com/acidente-no-funchal-causa-ferimentos-numa-mulher-e-apreensao-dnoticias-pt/
Acidente no Funchal causa ferimentos numa mulher e apreensão — DNOTICIAS.PT
Um acidental ocorrido esta Manhãs do Cruzamento Das Courelas, em Santo António, Causou Estragos, Aparentemente, Avultados Nas Duas Viaturas Envolvidas e Ferimentos Numa Mulher.
Segundo Pudemos apurar, o acidenthe deu-se Pelas 7H45, EnvolVendo um incorpora traseiro de Uma Das Viaturas, sendão que na foto os Estragos São Notórios.

Foto Google Streetview
Uma Mulher com 38 Anos de Idade Foi Assistida No Pelos Bombeiros locais Sapadorores fazem Funchal, Tendo Sido Levada para o Hospital Com Queixas de Dores No Corpo.
Na Foto Tambema Aparece Uma Criança Ao Colo de Um Profissional de Saúde, Mas Não Há Registo de Ter Sofrido Ferimentos.
/tag/listageM/casos-do-dia/
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'O risco é a isca': o surf de metrô na cidade de Nova York continua a reivindicar vidas jovens | Nova Iorque
JO filho de 11 anos de Aida Rivera, Cayden, deveria estar na escola na Academia Preparatória de Fort Greene, no Brooklyn, na manhã de 16 de setembro do ano passado. Os funcionários o viram na cafeteria depois que sua avó o deixou às 7h45. Mas 30 minutos depois, ele foi marcado como ausente. Cayden de alguma forma escapou, embarcou em um trem de metrô G viajando para o sul e estava montando em…
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