#cycling challenge

[cedricfaitsontourdupilat]

LOZERIENNE CYCLO

A La Canourgue, le dimanche 11 mai 2025

Direction la Lozère ce week-end pour une de mes épreuves favorites, qui permet la découverte des trésors cachés de Lozère, dans un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. L’Aubrac, les Gorges du Tarn, la Vallée du Lot, la Margeride, les Grands Causses… tel est le menu de la Lozérienne Cyclo sur le grand parcours me concernant qui propose 145km et 2700m D+

Si au réveil et jusqu’au départ la météo n’est pas si mauvaise, la pluie annoncée sera tôt ou tard au rendez-vous, cela semble certain. En avance étant sur place, j’improvise un petit échauffement qui me permet de constater un bruit suspect sur le vélo : à moins de 10’ du départ j’en trouve l’origine ; mes 2 portes bidons sont en train de totalement se dévisser ! Par chance j’ai un multi outil dans la voiture avec la bonne clé et je rejoins la ligne juste à l’heure. Le temps de saluer quelques camarades comme Jean-Noël Jacquemod, Hervé Gary ou Mathieu Blanchin et le départ est donné de façon neutralisée jusqu’à la sortie de Banassac. Bien placé, un coureur tente très vite l’attaque et je lui emboite le pas : on sort à 2 et prenons 30’’ d’avance pour aborder le col du Trébatut.

Bien content d’avoir anticipé, je sais que ça risque de visser très fort sur les 1eres pentes menant à St-Pierre-de-Nogaret et en effet très vite l’avant-garde du peloton emmenée par Adrien Vidal me rejoint. Il faut alors monter le curseur à 6 w/kg pour prendre le bon wagon et dans le village, après 11kms de course, nous nous retrouvons qu’une dizaine ! Après un court répit, ça repart de plus belle pour monter à Trélans où après 1’30 à 6,7 w/kg je craque : je continue tout de même à 5.5 w/kg mais perd du temps, jusqu’à 20’’ avant une petite descente où ça se relève devant me permettant de revenir. On poursuit avec une succession de côtes et replats jusqu’au sommet du col : par 2 fois je me retrouve encore à la traine sur des attaques mais revient à chaque fois et la 2eme juste au sommet avant la descente : ouf ! pendant ce temps 2 hommes sont sortis en 2 temps : Damien Albaret et Nicolas Coudert (d’Issoire cyclisme).

Au passage de la ligne départ/arrivée de la Canourgue le duo a déjà 1’30 malgré une belle descente et une entente qui commence à bien se mettre en place : nous sommes 8 et avec Adrien et moi il y a 2 autres gars d’Issoire Jérémy Boudignon et Paulin Fages, 2 hommes d’XC63 Robin Bourdier et Zian Sanciaut ainsi que Mathieu Lebecque et Baptiste Chaliez. L’écart est aussi déjà important avec nos poursuivants avec aux alentours des 4’

Après avoir récupérer un bidon je reste sagement dans les roues en attendant la montée du Sabot de Malepeyre jusqu’au Causse de Sauveterre et personne ne me trouve à redire, chacun ayant dû voir mes difficultés sur cette 1ere boucle ! Je m’attends à un mauvais moment d’autant que c’est Adrien qui fait la montée et notamment le passage le plus difficile où je suis très limite cédant 2-3 mètres mais je m’accroche pour garder ma place ici, même lors d’une nouvelle attaque sur le sommet. On poursuit rapidement avec la descente sur la Malène : en dernière position je subis les derniers virages particulièrement pentus mais ça passe ! On a alors 14kms dans les gorges du Tarn pour rejoindre Ste-Enimie avec un vent très souvent de face : tout le monde passe ses relais, moi y compris et je pense dire au revoir au groupe à Ste-Enimie alors que je vois trop tard le « tourne à droite » : ½ tour 10-15’’ de perdu alors qu’on attaque le col de Coperlac. Après une hésitation je décide de faire l’effort voyant le groupe rester groupé et ça marche puisque je reprends ma place ! Je passerai les 19’17 de montée à 5,15 w/kg dans les roues souffrant beaucoup plus à chaque relais d’Adrien qui envoi systématiquement un surplus de watts par rapport aux autres. Au sommet on est à 1’40 du duo et je pense avoir fait le plus dur mais il y a encore le col de Riesse : 2.7km où je lâche quelques secondes sur le sommet mais parviens une nouvelle fois à revenir. Bis repetita juste après sur une bosse similaire : là encore je comble un petit écart qui semblait me condamner avant d’aborder la descente sur les Vignes.

Il pleuvine depuis que l’on se trouve sur ce Causse Méjean et avec la route bien mouillée je me dis que je devrais parvenir à suivre plus facilement sauf que je suis encore dernier du groupe et devant moi 2 coureurs pas spécialement à l’aise : on perd quelques mètres et arrivé en bas c’est une dizaine de secondes de retard : mes 2 camarades tentent (et réussissent) le jump sur l’avant alors que je n’y pense même pas : je m’applique à maintenir 5w/kg ce qui est déjà pas mal à ce stade de la course et je vois que devant ça monte plus vite : il reste 30kms et je savais que j’aurai un finish en solo à faire ! A ce rythme je n’ai pas trop de crainte avec les poursuivants qui doivent être assez loin même si je n’ai pas d’info. A mi-pente je reprend même Zian qui ne peut même pas m’accompagner et me voilà 9eme. Si la puissance baisse légèrement sur le haut avec une pente plus faible, je garde un bon tempo alors qu’il reste moins de 20km avant la descente finale : 20km usants parsemés de côtes dont 2-3 qui cassent bien les pattes : après celle de la Tieule j’aperçois Paulin à l’arrêt qui semble se faire soigner la main à la suite d’une chute : je gagne une nouvelle place, pas très glorieux certes mais ça fait partie de la course et me voilà 8eme. Au sommet de la bosse du Valadas, un spectateur m’encourage et m’annonce un concurrent pas loin devant : surmotivé, j’avale le dernier talus avant la descente et me rapproche sans le voir à 30’’ de Baptiste. Pas de risque dans la descente détrempée et les épingles et je finis au plus fort entre Banassac et la Canourgue pour mourir à 23’’ seulement de la 7eme place (dommage d’en avoir pas fait plus dans les dernières petites côtes où j’aurai pu plus me dépouiller au lieu des rester dans un certain « confort » tout relatif bien sûr). Quelques minutes plus tôt Nicolas l’emportait devant Damien qui auront conservés 1’22 d’avance sur Robin, Adrien et Mathieu.

Un excellent bilan sur cette course pleine et sans coup de mou et pourtant de gros efforts dès le début (je n’en menais pas large dans le Trébatut où j’aurai signé des 2 mains pour finir 8eme). Je suis d’ailleurs à hauteur de mes records de puissance sur 3h30-4h et c’est au seuil (z4) que j’ai passé le plus de temps (27%). Si l’on rajoute la victoire en catégorie M4 et la prise du maillot de leader du challenge Cyclo Tour Classified dont la Lozérienne était la 2eme manche, la journée aura été réussi et appréciée malgré la pluie dont je me suis bien accommodée. Un gros merci à l’organisation et aux bénévoles qui ont été au top et tout le monde aura une nouvelle fois grandement apprécié l’aligot saucisse local ; un vrai délice !

A noter qu’une belle performance tient parfois à peu de chose : après les portes bidon, j’ai constaté après la course que je n’avais plus d’écrou sur la valve tubeless de la roue avant qui a dû se dévisser en roulant ! par chance ou miracle, celle-ci n’a pas bougée et aucune fuite d’air ne s’est produite !

Classements

Sur le site

ou directement sur ce lien

Strava

[emetitur]

emotional regulation with mob!

5/100

[fredddoloso]

Blue Ridge Mountain ??????

I keep making up these AUs and never do something about them loooool. also ignore how i already did a brokeback mountain au last summer 😗😗😗

[daeyumi]

🔹 Anamnesis 🔹

[Cycle of the Stars au]

[contrarianwitt]

blue does not get enough credit for analyzing gansey and adam’s relationship so quickly. literally the second the boys come for the reading, she notices the tension: adam’s pride, his difference from the other boys, the snag in his sweater, ganseys apparent ownership, the way adam’s eyes flick to gansey at the word brother. all from having very little interactions with them

[cuttledreams-bugs]

Invertebrate Tarot:

Card 7: The Lovers

Two parasitic Strepsiptera bound by fate to find each-other in the brief and narrow window they have. A relationship as inevitable as it is violent.

[nattikay]

OmatiCon is holding an art contest and one of the categories was to make some fanart of their little mascot "Teyvì", so here's my entry. Definitely not as polished as I would've liked because I was rushing like mad to get it done by the deadline, but hey it's something!

[redwinesuperstar]

<3

[glowupwithamy]

Finish what you started and transform your productivity

Recently i picked up a book i hadn't read in a long time for the past week i hadn't been able to work properly my tasks were going unfinished so i opened my cupboard and saw that book right in front of me. Then i read the whole book in just a one night and it sparked inspiration in me ..So i thought why not share everything i learned with all of you?

So I'm giving you guys a structured summary of Finish The Art of Following Through - Taking Action, Executing & Self Discipline by Peter Hollins -

1. The Importance of Execution

The ability to follow through allows you to create the life you desire rather than settling for the one you currently have. The process consists of focus, self-discipline, action, and persistence

2. Barriers to Follow Through

- Inhibiting Tactics: These include setting bad goals, procrastination, succumbing to distractions, and poor time management.

- Psychological Roadblocks: These encompass laziness, fear of judgment or failure, perfectionism driven by insecurity, and lack of self-awareness.

3. Staying Motivated

To remain motivated holds both external and internal motivators -

- External Motivators: These involve utilizing other people or resources to encourage action, such as accountability partners upfront investments and self bribery

- Internal Motivators: These focus on understanding personal benefits and improvements. Ask yourself questions such as How will this benefit me? and How will my life improve?

4. Developing a Manifesto

A manifesto is a set of daily rules that guide your actions so her are the some key rules -

- Rule 1: Identify if you’re acting out of laziness and avoid it.

- Rule 2: Limit yourself to three major tasks per day.

- Rule 3: Establish daily limitations and requirements

- Rule 4: Reaffirm your intentions through statements like I want I , will and I won't

- Rule 5: Reflect on the future consequences of not following through

- Rule 6: Utilize the concept of "just 10 minutes" to push through discomfort.

5. Follow Through Mindsets

- Mindset 1: Recognize the worthiness of your efforts.

⭐ Mindset 2: Become comfortable with discomfort.

- Mindset 3: Understand that learning comes from completing tasks.

- Mindset 4: Manage stress and anxiety effectively

6. Overcoming Procrastination

Procrastination can be managed through strategies such as:

- Temptation Bundling: Combine unpleasant tasks with enjoyable activities.

- Creating Momentum: Make starting tasks as easy as possible to gain momentum.

- Leveraging Fear: Use productive paranoia to spur action but cautiously

7. Minimizing Distractions

Create a work environment free from distractions and focus on

⭐ Single Tasking: Avoid multitasking to eliminate attention residue ( I will also create a separate blog on this topic i used to face this problem earlier and i have used many methods to reduce my habit of multitasking so i will write a blog about it. Don't worry )

- Batching Tasks: Group similar tasks to improve efficiency.

- Creating a Don't-Do List : Identify tasks to ignore and avoid ( This method is literally too much helpful )

8. The 40–70 Rule

This rule suggests acting when you have 70% of the necessary information as waiting for 100% is unrealistic

9. The Importance of Rest

Recognize the value of rest and relaxation as essential for mental recovery

10. Common Pitfalls

- False Hope Syndrome: Avoid unrealistic expectations and set achievable goals.

- Overthinking: Avoid excessive rumination and focus on taking action.

- Worrying: Concentrate on the present and control what you can.

11. Developing Daily Systems

Establish daily behaviors that promote consistency and long term success

⭐ Keep a Scoreboard: Track progress for motivation ( Ive been using this method for the past four days it literally shows me where I am making mistakes and what I need to do to complete my unfinished tasks )

By following these structured advice you can improve your ability to finish what you start and achieve your goals

If you have any questions or tips to share feel free to drop them in the comments in here to chat , Stay connected for more tips and insights thanks :)

[cedricfaitsontourdupilat]

CYCLO SUD BOURGOGNE

A Viré, le dimanche 27 avril 2025

Rendez-vous en Bourgogne pour ce dernier week-end d’avril avec la cyclo Sud Bourgogne, 1ere manche du challenge Cyclo Tour Classified. Un peu de nouveauté cette année avec des circuits modifiés où le grand parcours proposera 122km et 2000m de D+ entre vignes, petits cols et forêts sous une météo convenable, sans pluie, contrairement à l’an dernier !

A 8h45 du beau monde se trouve sur la ligne : Nicolas Debeaumarché, Maxim Pirard, Geoffray Lucat, Pierre Berger le Team Matériel Vélo avec Maxence Janodet, Clément Cambier, Louis Gautheron et bien d’autres ! Le départ sans fictif se fait sans histoire et je garde facilement ma place dans les premières positions avant une première attaque sérieuse avec Maxim, Baptiste Lombardi et Kelyann De Sousa. Bizarrement ça ne réagit pas trop et il faut attendre le 10eme km et le début du Col de la Percée pour voir Clément accélérer et mettre un très gros rythme : à près de 5,5w/kg pendant 11’30 on ne revient pourtant pas sur les fuyards avant une vingtaine de km sans grande difficulté. Cela dit au km33 peu avant Nogent et le début du col des Chèvres quelques hommes parviennent à prendre un peu d’avance ce qui n’indique rien de bon pour moi pour cette courte mais ardue montée !

Et ça ne manque pas, les 2,5km à 7,5% avec des passages à 10% jusqu’à 14% va être irrespirable ! Très vite à 400W ça ne suffit pas avec du monde qui attaque pour tenter de boucher le trou : j’en fait de même mais étant moins « punchy » il me faut plus de temps pour raccrocher les wagons malgré 2-3 nouvelles accélérations et au moment où je reviens dans les roues après le regroupement ça remet ça ! Le sommet pas loin, à 6,3w/kg j’essaye de finir le plus fort possible mais il manque une dizaine de secondes qui ne seront pas comblées dans la descente malgré l’aide d’un autre coureur : immédiatement on enchaine sur la Croix Léonard : 1100m à 7,3% où en envoyant 5,9w/kg je m’isole et grimpe aussi vite que les hommes de têtes. Au sommet 20’’ de retard mais il me semble que les échappés ont été repris alors je mise sur une petite temporisation pour revenir. En bas de la descente on enchaine sur le col de Beaufer : 15’’ et je vois les gars mettre la main dans les poches c’est bon signe ! encore 1’30 à 400W et me voilà dans le bon coup composé d’une dizaine de gars.

Je profite alors de la descente puis de la transition jusqu’au col de Brancion montée tempo pour récupérer quelque peu. Nouvelle descente où il faut parfois pédaler fort mais quelques gars finissent par rentrer peu avant le pied du col de la Pistole ce qui me met un coup au moral d’avoir fait tous ces efforts pour rien. Toutefois ceux qui sont revenus n’auront pas le temps de souffler car le début du col fait mal : ça attaque de suite pour continuer à près de 6w/kg et je parviens à suivre avant une nouvelle grosse accélération. Ça passe encore et sur un temps plus calme je décide d’imprimer le rythme : au seuil avec 2-3 accélérations j’espère calmer tout le monde et finir la montée comme ça mais ça ne fonctionne pas avec une nouvelle attaque de Clément cette fois qui me fait perdre quelques mètres. Je ressors mes 400W pour revenir et tiendrait le coup jusqu’au sommet malgré encore quelques accélérations. Du coup on se retrouve de nouveau plus qu’une dizaine et pour de bon je l’espère ce coup-ci !

Après une courte descente la petite montée de Blanot ne pose pas de souci sur un petit seuil puis une belle descente de 5km nous ramène vers Azé où une vingtaine de kilomètres sans grande difficulté mais bien vallonnés nous attentent. L’entente n’est pas formidable entre les 3 coureurs MV en surnombre ou les grands favoris comme Maxim… personne ne veut trop en faire alors quelques attaques secouent parfois le groupe jusqu’à ce qu’un gars parvienne à creuser un petit trou. Il conserve de l’avance pour le final explosif avec 2 petites côtes pouvant mettre le feu. Et peu avant la 1ere du côté de Lugny une nouvelle accélération me sera fatale ; Florian Bey et Clément qui viens de crever m’accompagnent. Ne pouvant plus jouer grand-chose avec un pneu arrière quasiment à plat, Clément tente de nous ramener sur le groupe mais il manque quelques secondes au pied de la bosse : les 1,4km à 6.3% ne passent pas si mal à 5,15w/kg puis il faut grimper à Burgy par la route des As : 2,5km à 4.4% assez irrégulier : là c’est plus compliqué surtout sur les passages plus roulants où c’est difficile de soutenir une grosse puissance : heureusement Clément encore là devient un excellent allié nous prenant de bons relais jusqu’au sommet où il nous laisse en finir ne pouvant descendre correctement avec un 1 bar dans le pneu ! L’entente est alors très bonne avec Florian motivé tout comme moi d’aller chercher un top 10. Ne sachant pas trop les écarts, pas de risque sur les 10 derniers km où j’écrase bien les pédales jusqu’au sprint final où on sera départagé à la photo finish pour 5 centièmes de seconde !

Pour la gagne c’est finalement un trio qui s’est présenté sur la ligne avec la victoire de Maxim devant Geoffrey et Baptiste. Pour moi la 9eme place et 1er des M4, je ne pouvais pas espérer bien mieux sur un tel parcours et la façon dont la course s’est déroulée.

Classement

Sur le site de l'épreuve :

Ou ici :

Strava

[fredddoloso]

i couldn’t keep this in my folder any longer …….. THIGHS!!!!!!!!!!!! 😋😋😋😋😋

i’m working on characters sheets also for Ronan and Gansey so i’ll keep u posted 💜🎾

[kidspawn]

"Adam's type" and its just a picture of each of his friends siblings

[bigraaga]

Twin Water fairies, Mur & Mir for @herzblau 's Elements CAS Challenge

[kelliealtogether]

Challengers AU: Prologue

I'm blaming @fredddoloso and their wonderful fanart for this Rodansey Challengers AU. When the movie came out last year, I thought it would make the perfect toxic throuple situation for Gansey, Adam, and Ronan, and here we are a year later with a prologue and more to come.

“Ladies and gentlemen, this final round match will be the best-of-three tiebreak sets. To the right of my chair, we have Ronan Lynch. To the left of my chair, we have Richard Gansey. Gansey won the toss and has elected to serve.” 

Adam Parrish could repeat chair umpires’ announcements in his sleep. It was the same at every tournament. Or nearly the same. A different opponent. A different side of the net. A different winner of the toss. The stadium that rose around him changed — the clay court and tan seats of Roland Garros, the grass and green of Centre Court, the blue hard court and matching chairs at Arthur Ashe — but even those didn’t change much. Every single one of them had the same thing at its core: a net, two players, two rackets, and one small, unmistakable yellow ball. 

Today, though, he didn’t sit in a front row box in a stadium in Paris or London. He sat in New York, but he didn’t sit in Queens. Instead, he sat in a hard, white deck chair at a country club in New Rochelle, and the bleachers at his back and the chain link fence surrounding the court were the only things rising around him. It was different from what he’d grown used to, but it was necessary. A step down, but a sacrifice he was willing to make if it meant future success. 

If it meant his husband kissing the sterling silver US Open trophy before hoisting it above his head in three weeks.

“First set,” the chair umpire spoke into his microphone, drawing Adam’s attention briefly to the tall, umbrellaed chair directly opposite him at the other end of the net strung across the center of the court. “Gansey to serve.” 

Then Adam turned to his right, where a ballgirl bounced two tennis balls toward Gansey, who caught them both smoothly in one well-practiced hand. The familiarity of the gesture, then the thwack of felt-covered rubber hitting the hard court as Gansey bounced both balls a few times before discarding one, settled the riot in Adam’s stomach, but only just. The New Rochelle Challenger was the smallest tournament Gansey had played in years. Maybe even a decade. He didn’t have to win it to rise in the standings or to qualify for the Open.

But he needed to win the Challenger anyway, even if its small crystal trophy would look laughable in their trophy case back home in Virginia, even if its $7,000 purse wouldn’t buy Gansey a new watch. Because Gansey needed to get his head back in the game, shrug his confidence back on like one of his perfectly tailored Tom Ford blazers, and winning the Challenger was the only solution Adam could think of. 

“Ready,” the chair umpire prepared the two players on his court, and without pausing a beat for questions or objections, he said, “Play.”

Like he always did, Gansey brought the tennis ball to the throat of his racket, to the space just above the handle and just below the head, and Adam took a deep breath as his husband tossed the ball into the air, raised his racket, and used it to hammer the ball over the net to the other side of the court. 

From behind his sunglasses, Adam followed the ball, turning his head only as much as he needed to so he could watch Ronan Lynch dart in and send the ball sailing back toward Gansey. It began a fast, grunt-filled volley, well-placed forehands, vicious backhands, sneakers scraping and squeaking against the court as Gansey and Lynch chased and pivoted and lunged. They were finely matched opponents — though Adam was certain Lynch had only made it to the final out of spite — but Gansey took the first point of the game. Lynch sent the ball just out of bounds, and the crowd in the bleachers behind Adam applauded quietly, politely, as the  the chair umpired announced 15-0 and Gansey subtly pumped his fist near the hem of his white polo.

A decent start, but Lynch wouldn’t go down easily. Adam didn’t really want him to. Gansey needed a hard-fought win, not an opponent he would walk all over. Lynch didn’t rank anywhere near the top 150 players, and he looked like he’d gotten his gray plaid shorts and black muscle tank from a secondhand sporting goods store, but Adam had played against him once. He knew the potential Lynch had to be a great player. 

He’d just never lived up to it. 

But he did take the second point, 15-15, after Gansey faulted on his next serve, then let the ball get past him on the next volley, Lynch using a forehand to put the ball in the corner of the court just out of Gansey’s reach. They both set up at the baseline again, rackets held firm in steady hands, and the ball returned to the throat of Gansey’s racket, returned to the air, and the echo of Gansey’s racket slamming the ball across the court bounced off the bleachers and the sign-covered chain link fence as a third volley began.

At first, Adam kept his eye on the ball. Where it connected with Gansey’s racket, where it landed on Lynch’s side of the court, where it gracefully arced over the net between them. But then Adam settled his eyes on his husband. There was nothing to critique in Gansey’s footwork, in his swing, and there shouldn’t be. Adam had coached him for the better part of a decade. The skill was there. That much was evident in the power behind Gansey’s forehand and quick change to a backhand to drive the ball back toward Lynch. 

It was evident in the endorsements and sponsorships. The fan clubs and magazine features. The case full of trophies from tournaments all over the world. 

So none of Gansey’s problems were physical. Not now that his rotator cuff had been repaired and he’d successfully — wonderfully — recovered. His cracks were, and had always been, mental. 

And Adam had never been the best at fixing those. 

He patched them. Smoothed KT Tape over them. Massaged, soaked, and stretched them. But, somehow, they always came back, no matter how hard Adam worked to put Gansey back in one piece. All it took was the wrong hit at the wrong time, like Lynch using a swift slice to drop the ball too far to Gansey’s right for Gansey to get his racket on.  

“Let’s go,” Lynch roared, pumping his fist as the umpire announced the score, 15-30. It was too large of a celebration for the third point of the first game in the first set, and Lynch knew it, and by the way he stopped and stared at Adam insteading of heading back to the baseline, the shout had been to not only get under Gansey’s skin, but Adams. 

It was immature, unprofessional, and Adam didn’t expect anything less. Lynch had long made a habit of rejecting tennis standards, covering his back in an intricate black tattoo that stuck out above his collar, forgoing expensive haircuts and buzzing his own hair short, actively ignoring codes of conduct and cursing loudly on the court. At one time, Adam had liked it, the whole bad boy thing Lynch carefully cultivated, but now it was just tired. They were over thirty, and Adam had finished playing games with Ronan Lynch when they were teenagers, though that hadn’t stopped him from fucking Ronan in his same old BMW in a parking lot the night before. 

Adam would go to his grave swearing it hadn’t been for him. That it hadn’t been selfish. That it had been another sacrifice, and afterward, he had forced Ronan agree he wouldn’t be obvious about throwing the match in exchange for Adam sleeping with him one last time. Yet here Ronan was, being obvious in other ways, and — unimpressed — Adam crossed his arms over his chest, making sure not to wrinkle his blue button down more than the day’s heat and humidity already had, and turned to look at the other side of the tennis court. 

Where Gansey slowly walked back toward the baseline. Staring at Adam. 

Reaching up, Adam took off his sunglasses so he could fully meet his husband’s gaze. Gansey didn’t grip his racket so hard his knuckles turned white. His mouth wasn’t turned down in disdain, and his hazel eyes weren’t narrowed in anger. They did, however, have a darkness to them they shouldn’t have in the six o’clock sunlight of late summer. A darkness and a glint, one that told Adam the way Ronan had stared at him had struck a match inside Gansey. 

And that was a fire Gansey could work with. A fire Gansey could use. 

A fire that hadn’t burned inside him for a very, very long time.

Because in the war for Adam Parrish’s affection, for his love, Richard Campbell Gansey III had won after years of hard-fought, jealousy-laden battles, and Adam didn’t regret his choices. His sacrifices. He’d worked hard so they could have the life they wanted, a life Adam never could have had with Ronan. In that war for Adam, Ronan Lynch had come out ahead early, but in the end, he’d surrendered without much of a fight, and Adam had always wanted more than someone without ambition. Someone who never strove to be better, to be more. 

As Gansey reached his hand out for the ballgirl to toss him a fresh tennis ball, Adam smiled at him, tight and thin, and he nodded, just once. The same smile and nod Adam had given him at Roland Garros, at Center Court, at Arthur Ashe, at every Open, Masters, and Championship since Adam started coaching Gansey. 

A small show of confidence that said Adam knew Gansey could do exactly what he needed to. 

Gansey nodded back and turned his attention back to the court, and as he brought the ball to the throat of his racket, Adam put his sunglasses back on and sat back in his chair. 

He was about to watch some very, very good tennis.

[madaqueue]

i’m not going back to blonde hair. i’m not going to give myself a side part again. i’m not going to have those stupid cute bangs i’m not i’m not i’m NOT

[owl-does-art]

I did the six fanarts challenge :D