#le rampe de chat...........
Explore tagged Tumblr posts
epopoiia-leblog · 8 months ago
Text
Tombées au sol
Tombées au sol, abandonnées et délaissées des arbres nus, elle les écrase, elle les malmène, ces feuilles mortes de l’automne, elle les traîne. Cailloux, pierres et graviers crissent sous ses semelles, et les restes de pluie viennent noyer ses pas. Elle avance trempée dans le noir de la nuit et pour seul horizon les phares des routards. Les vitrines sont éteintes, les magasins fermés, les chiens dans leur foyer, ne restent que les rats ; et quelques chats errants, en vagabonds funestes. Elle poursuit son chemin, dans l’ombre de ces rues, sous un ciel sans lune, mais partout le brouillard. Une lueur finit pourtant par éclairer sa route, l’éclat d’un réverbère ou d’une simple bougie, la flamme d’une présence qui l’invite à la suivre. Entre ses doigts gelés, le fil d’Ariane en main, elle se laisse emmener. C’est un tunnel brumeux mais au bout la lumière. Sur les rampes des escaliers, les rebords des fenêtres et celui du balcon, des guirlandes tout autour, une illumination. Des lanternes et du houx exposés sur le porche, une couronne de pin accrochée à l’entrée. La voilà sa maison et la porte est ouverte.
Tumblr media
7 notes · View notes
moddedmoor · 7 months ago
Text
{° Video File Attached; Lumiose City, Kalos; 15:45 °}
We begin focused on Amy and Jaycé, both worn and weary from their trip. Despite this tiredness, Jaycé is lively chatting on and on about something, hands gesturing along with their words. Amy listens and watches on, a small smile on their face and the occasional nod sprinkled in here or there. Eventually Amy pipes up with something, but Jaycé’s attention is pulled elsewhere. There’s a pause. With Jaycé dropping their bag to the floor and running. The camera pans and hurriedly follows to show Augustine waving, before placing a foot behind himself to brace for impact. When they crash into him, he winces in pain, but tightly wraps his arms around them. The camera comes to an abrupt stop, with a small glance from Augustine being cast towards it.
“Merci, Papa.” Is all that escapes from Jaycé’s lips as they hold onto him tightly. There’s a small drop in Augustine’s smile before he speaks.
“I told you I’d wait for you, Skiddo.” Jaycé nods as they pull away.
“I-I know. I know. It’s always just, uncertain, with you.” They sigh softly, starting to walk back to grab their bag and meet up with Amy. 
“I’m sorry, Skiddo. I am-” Augustine sighs before being cut off as his eyes fall onto the smaller Professor. For a brief second, there’s a grimace from him, before being replaced with a smile. Jaycé meanwhile, picks up their bag and slings it over their shoulder and rests a hand on Amy’s own shoulder. They give a small smile towards Augustine.
“Papa, you remember Amy, yes?” They hiss through gritted teeth, hand tightening its grasp. 
There’s an energy that you could almost cut that overtakes this small group. It’s disrupted for a brief moment as Amy pipes up.
“Ah, hello again Professor! It’s been quite some time since we last met, hm? When was that again?” Amy probes, leaning onto their cane and smiling. Jaycé lets go of their shoulder to instead nudge their elbow into him. The energy is back, heavy enough that one could cut it with a knife. 
“Professor Amaryllis... What a surprise!” Augustine grits his teeth lightly as he speaks, but keeps his smile. He glances at Jaycé, who has taken a break from smiling to instead glare lightly at Augustine. He quickly slips into Kalosian to say something to Jaycé, which causes them to break away from next to Amy and pulls off to the side, where the two start to really ramp up back and forth in rushed kalosian. Amy just sort of stands there, watching the two and registering nothing, until the name “Casimir” is dropped. Everyone pauses and Jaycé shrugs, crossing their arms.
“I don’t know, I don’t have much control over him.” They shrug again. Augustine tenses slightly and sighs, mumbling something in Kalosian.
“Y’know. Maybe he’s in our luggage. I wouldn’t put it past him, Papa.” Augustine sighs again as Amy lets out a small laugh. 
“Oh? Did Casi tag along? We’ll have to be real careful now. Precious cargo and all.” They grin as he perpetuates the lie, which causes Augustine to sigh again and straighten up. 
“Bien... Let’s just get home now, yes? I’m sure you’re tired from your trip.” He focuses more on Jaycé, ignoring the smaller of the two for the most part and pulls them a little closer before humming softly. 
“Avez-vous reçu mes messages sur la PS5?” Jaycé hums in response and nods, glancing over at Amy before focusing back.
“Oui, mais déposons Amy et allons au laboratoire. Je veux le voir de mes propres yeux…” Augustine nods, patting them on the shoulder before walking. The two quickly follow suit as the camera cuts.
{° Video File End  °}
6 notes · View notes
dotrana · 3 months ago
Text
Dotrana : l’essentiel pour chiens en un seul clic
Tumblr media
Aujourd’hui, les chiens occupent une place unique dans nos vies. Ils sont nos compagnons, nos amis fidèles, et ils méritent une attention particulière au quotidien. C’est justement dans cette optique que Dotrana a été créée : une boutique en ligne pensée exclusivement pour répondre aux besoins des chiens et de leurs propriétaires.
Ici, chaque produit est sélectionné avec soin, avec une idée en tête : simplifier la vie des humains tout en améliorant celle de leurs chiens.
Un univers dédié aux essentiels canins
Sur de nombreuses plateformes, les produits pour chiens sont noyés au milieu d’articles pour chats, rongeurs ou oiseaux. Ce n’est pas le cas ici. Dotrana se concentre uniquement sur l’univers canin, avec une gamme complète et pratique.
On y trouve :
Des jouets solides et variés
Des accessoires pour le voyage et les promenades
Des produits de soin (toilettage, hygiène, etc.)
Des articles pour le repos (paniers, coussins, couvertures)
Des solutions pour l’éducation et la sécurité
Le tout est organisé de manière claire, avec des catégories bien pensées pour ne jamais perdre de temps.
Une expérience optimisée pour les maîtres pressés
L’ergonomie du site est un vrai point fort. Grâce à une navigation fluide et à une interface épurée, les visiteurs peuvent trouver ce qu’ils cherchent en quelques clics. Fini les recherches interminables ou les fiches produits mal détaillées.
Voici quelques éléments qui facilitent l'expérience :
Des filtres efficaces (taille du chien, type de produit, prix)
Des suggestions personnalisées selon vos achats
Des descriptions complètes avec photos réalistes
Un panier rapide à valider, sans étapes inutiles
Tout est fait pour permettre un achat rapide et serein, même pour les personnes peu à l’aise avec la technologie.
L’abonnement : un vrai plus pour les habitués
L’un des atouts majeurs de Dotrana, c’est son offre d’abonnement premium. Pour seulement 37,90 € par mois, vous accédez à une série d’avantages qui rendent vos achats encore plus avantageux.
Les bénéfices incluent :
La livraison gratuite sur toutes vos commandes
Une garantie prolongée sur vos produits
L’accès à un catalogue privé contenant une centaine d’articles à prix réduits
Des promotions exclusives tout au long de l’année
Ce programme s’adresse à tous ceux qui achètent régulièrement pour leur chien, que ce soit pour le ravitaillement en produits essentiels ou pour faire plaisir à leur compagnon.
Des produits validés par la communauté
La sélection ne repose pas uniquement sur des critères marketing : elle est également guidée par les retours des clients. Les évaluations, commentaires et suggestions jouent un rôle clé dans la construction du catalogue.
Dotrana s’appuie sur :
Une base d’avis clients authentiques
Une attention portée aux besoins exprimés en ligne
Une adaptation rapide aux tendances et nouveautés
Des partenariats avec des marques de confiance
Cela donne une boutique en évolution constante, qui répond réellement aux attentes des maîtres et de leurs chiens.
Pour tous les profils de chiens
Que vous ayez un chiot plein d’énergie ou un chien senior à la démarche plus lente, Dotrana propose des produits adaptés à chaque étape de la vie. Ce n’est pas une offre générique, mais bien une approche personnalisée selon les besoins.
Parmi les catégories bien pensées :
Produits pour chiots : jouets doux, produits d’hygiène délicats
Articles pour chiens adultes : harnais robustes, jouets éducatifs, friandises d’occupation
Accessoires pour chiens âgés : coussins orthopédiques, rampes d’accès, compléments bien-être
Chaque produit est accompagné d’une description qui vous aide à déterminer s’il correspond à votre chien, en fonction de son âge, son poids, son comportement ou ses habitudes.
Des collections qui évoluent avec les saisons
L’autre force de Dotrana, c’est sa capacité à proposer des produits en lien avec les saisons et les conditions extérieures. En été comme en hiver, on peut y trouver des articles spécifiques qui améliorent le confort et la sécurité des chiens.
Exemples d’articles saisonniers :
Vestes imperméables pour les promenades pluvieuses
Gilets rafraîchissants pour l’été
Bottines pour protéger les coussinets en hiver
Gourdes de voyage pour les escapades
Tout est pensé pour accompagner les chiens dans leur quotidien, quelles que soient les conditions.
Un service pensé pour durer
Au-delà des produits, Dotrana mise sur une relation durable avec ses clients. L’équipe reste disponible, réactive et à l’écoute pour toute question ou besoin.
Les points forts du service :
Une assistance rapide par mail
Des délais de livraison raisonnables et fiables
Un suivi de commande transparent
Des retours simplifiés si besoin
Ce niveau de service rassure, notamment pour les clients qui commandent pour la première fois.
1 note · View note
lolochaponnay · 3 months ago
Text
Une femme rentre après des jours d'abscences: -Alors chéri comment va notre chat ? -Il est mort en s'étouffant avec ses croquettes. -Mon dieu c'est pas vrai !! En plus tu aurais pu me le dire autrement !! Par exemple: il était en train de marcher tranquillement sur la rampe du balcon et il est tombé !! La femme pleure mais continue: -Sinon comment va ma mère ? -Oh , ben elle était en train de marchait tranquillement.
1 note · View note
lesvillesinvisiblesstuff · 1 year ago
Text
Les villes invisibles (système 1)
Lecture par catégories :
Les villes et la mémoire 
I.
S’il part de là et qu’il voyage trois journées vers le levant, l’homme se trouve à Diomira, ville aux soixante coupoles d’argent, aux statues de bronze de tous les dieux, aux rues pavées d’étain, au théâtre de cristal, au coq d’or qui chante chaque matin du haut d’une tour. Toutes ces beautés, le voyageur les connaît déjà parce qu’il les a vues aussi dans d’autres villes. Mais ce qui est propre à celle-ci c’est que celui qui y arrive un soir de septembre, quand les journées raccourcissent et que les lampes multicolores s’allument toutes d’un coup aux portes des friteries, et qu’une femme, depuis une terrasse, hurle : ouh !, se met à envier ceux qui pensent avoir déjà vécu une soirée identique à celle-là et avoir été heureux cette fois-ci.
II.
L’homme qui chevauche longuement par des terres sauvages, le désir d’une ville le prend. Il finit par arriver à Isidora, ville où les palais ont des escaliers en colimaçon incrustés de coquillages, où l’on fabrique avec art des longues-vues et des violons, où, quand un étranger hésite entre deux femmes, il ne manque jamais d’en rencontrer une troisième, où les combats entre les coqs dégénèrent en bagarres sanglantes entre les parieurs. Il pensait à toutes ces choses quand il désirait une ville. Isidora est donc la ville de ses rêves : à une différence près. La ville rêvée le contenait lui encore jeune ; il arrive à Isidora déjà vieux. Sur la place, il y a le muret des vieux qui regardent passer la jeunesse ; il se trouve assis parmi eux. Les désirs sont déjà des souvenirs.
III.
C’est en vain, magnanime Kublai, que j’essaierai de te décrire la ville de Zaira, aux bastions élevés. Je pourrais te dire le nombre des marches dont sont faites les rues en escalier, la forme des arcs des portiques, le type des feuilles de zinc dont on recouvre les toits ; mais je sais déjà que ce serait comme de ne rien te dire. Ce n’est pas de cela qu’est faite la ville, mais des rapports entre les mesures de son espace et les événements de son passé : la distance qui sépare le sol d’un lampadaire et les pieds ballants d’un usurpateur pendu ; le fil tendu entre un lampadaire et la rambarde qui lui fait face et les festons qui alourdissaient le parcours du cortège nuptial de la reine ; la hauteur de cette rambarde et le saut de l’adultère qui l’enjambe à l’aube ; l’inclinaison d’une gouttière et le passage d’un chat qui se faufile pour entrer par cette même fenêtre ; la ligne de tir de la canonnière apparue à l’improviste derrière le cap et l’obus qui détruit la gouttière ; les déchirures des filets de pêche et les trois vieux assis sur le quai qui se racontent pour la centième fois l’histoire de la canonnière de l’usurpateur dont on disait qu’il était le fils adultère de la reine, abandonné dans ses langes, là sur le quai. De cette vague, qui reflue des souvenirs, la ville s’imprègne comme une éponge et se dilate. Une description de Zaira telle qu’elle est aujourd’hui devrait contenir le passé de Zaira tout entier. Mais la ville ne dit pas son passé, elle le contient comme les lignes d’une main, écrit à l’angle des rues, aux grilles des fenêtres, aux rampes des escaliers, aux antennes des paratonnerres, aux hampes des drapeaux, chaque segment se trouvant à son tour rayé d’éraflures, d’encoches, d’entailles, de marques en forme de virgule.
IV.
Au-delà des six fleuves et des trois chaînes de montagnes surgit Zora : qui l’a vue une fois ne peut plus l’oublier. Mais ce n’est pas parce qu’elle laisse comme d’autres villes mémorables une image hors du commun dans les souvenirs. Zora a la propriété de rester dans les souvenirs point par point, dans la succession des rues, et des maisons le long des rues, et des portes et des fenêtres dans les maisons, bien qu’elle n’exhibe pas là de beautés ou de raretés particulières. Son secret est la manière dont la vue passe sur des figures qui se succèdent comme sur une partition musicale dans laquelle on ne pourrait pas changer ou déplacer la moindre note. L’homme qui sait par coeur comment Zora est faite, la nuit, quand il ne dort pas, imagine qu’il chemine par ses rues et se rappelle l’ordre selon lequel se succèdent l’horloge en cuivre, l’auvent à rayures du barbier, la fontaine aux neuf jets d’eau, la tour de verre de l’astronome, le kiosque du vendeur de pastèques, la statue de l’ermite et du lion, le bain turc, le café à l’angle, la traverse qui mène au port. Cette ville qui ne s’efface pas de l’esprit est comme une charpente ou un réticule dans les cases duquel chacun peut ranger les choses dont il veut se souvenir : les noms des hommes illustres, les vertus, les nombres, les classifications des végétaux et des minéraux, les dates des batailles, les constellations, les parties du discours. Entre chaque notion et chaque point de l’itinéraire, il pourra établir un lien d’affinité ou d’opposition qui servira de rappel instantané à sa mémoire. Et c’est ainsi que les hommes du monde les plus savants sont ceux qui connaissent Zora par coeur. Mais c’est en vain que je m’étais mis en route pour visiter la ville : dans l’obligation de rester immobile et identique à elle-même pour qu’on se souvienne mieux d’elle, Zora finit par languir, se défaire et disparaître. La Terre l’a oubliée.
V.
À Maurilia, le voyageur est invité à visiter la ville et, dans le même temps, à observer quelques vieilles cartes postales illustrées qui la représentent comme elle était jadis : exactement la même place avec une poule à la place de l’autobus, le kiosque à musique à la place du viaduc, deux jeunes filles avec des ombrelles blanches à la place de l’usine d’explosifs. Pour ne pas décevoir les habitants, il faut que le voyageur fasse l’éloge de la ville sur les cartes postales et qu’il la préfère à la ville d’aujourd’hui tout en ayant soin de contenir ses regrets dans les limites de règles précises : en reconnaissant que la magnificence et la prospérité de Maurilia devenue métropole, quand on les compare à la vieille Maurilia provinciale, ne compensent pas la perte d’une certaine grâce, dont on ne peut cependant jouir que maintenant sur les vieilles cartes postales alors que jadis, avec la Maurilia provinciale sous les yeux, on ne voyait vraiment rien de gracieux, et bien moins, en tout état de cause, que ce que l’on verrait aujourd’hui, si Maurilia était restée telle quelle, et que, de toute façon, la métropole a cet atout qu’à travers ce qu’elle est devenue on peut repenser avec nostalgie à ce qu’elle était. Prenez garde de ne pas leur dire que parfois des villes différentes se succèdent sur le même sol et sous le même nom, naissent et meurent sans s’être connues, incapables de communiquer entre elles. Parfois, même les noms des habitants restent les mêmes, et l’accent des voix, et jusqu’aux traits des visages ; mais les dieux qui habitent sous les noms et sur les lieux s’en sont allés sans mot dire et à leur place se sont logés des étrangers. Il est vain de se demander s’ils sont meilleurs ou pires que les anciens, dès lors qu’il n’existe entre eux aucun rapport, tout comme les vieilles cartes postales ne représentent pas Maurilia comme elle était, mais une autre ville qui par hasard s’appelait Maurilia comme celle-ci.
0 notes
muhammadankhadim · 1 year ago
Text
Muhammadan Way Muhibeen
Quelle est la réalité du fait que le Shaykh est comme une fusée et que nous devons nous accrocher à la corde (Wa'tasimu bihablillah) ? https://shaykh.ai/
B'ism Allah... Alhamdulillah, d'après les enseignements de Mawlana Shaykh Nurjan Mirahmadi (QS), l'analogie entre le Shaykh qui est comme une fusée et le concept de s'accrocher à la corde (Wa'tasimu bihablillah) a une profonde signification spirituelle. L'analogie du Shaykh comme une fusée indique que le Shaykh possède la capacité d'élever l'âme du chercheur vers des stations spirituelles plus élevées, tout comme une fusée se propulse vers le haut. Cela signifie que le Shaykh a pour rôle de guider et d'élever le chercheur vers la croissance spirituelle et la proximité d'Allah (AJ).
Le concept de s'accrocher à la corde (Wa'tasimu bihablillah) souligne l'importance de maintenir un lien solide avec les enseignements et les conseils du Shaykh. Tout comme une fusée a besoin d'une prise solide pour rester connectée à sa rampe de lancement, il est conseillé au chercheur de s'accrocher fermement à la corde d'Allah, qui symbolise les enseignements et les conseils fournis par le Shaykh. Ce lien solide garantit que le chercheur reste fermement sur le chemin spirituel et ne dévie pas des enseignements.
La corde d'Allah représente la guidance et la protection divines que le Shaykh transmet au chercheur. En s'accrochant à cette corde, le chercheur est ancré dans le chemin spirituel et est protégé des défis et des distractions du monde matériel. Cela signifie l'importance de la loyauté, de l'engagement et de la constance dans le suivi des conseils du Shaykh.
En substance, l'analogie du Shaykh comme une fusée et le concept de s'accrocher à la corde (Wa'tasimu bihablillah) soulignent le rôle central du Shaykh pour guider le chercheur vers l'ascension spirituelle et la nécessité pour le chercheur de maintenir un lien fort avec les enseignements et les conseils fournis. Ce lien avec le Shaykh est une source d'élévation spirituelle, de protection et d'orientation sur le chemin de la croissance spirituelle.
Copyright ©️2023 - Shaykh.AI - Mystic Meditation (US) - Sufi Meditation Centers Society (Canada). Tous droits réservés
⛲ https://shaykh.ai 🌹
🌹 AI : https://shaykh.ai
⛲ Charité : https://muslimcharity.com
📱 App : https://app.nurmuhammad.com/get
📜 Articles : https://www.muhammadanway.com
📺 Vidéos : https://youtube.com/@muhammadanway
💍 Merch : https://smcmerch.com/barakah
📚 Livres : https://smcmerch.com/collections/books
✉️ Contact : [email protected]
📸 Socials : https://poplme.co/shaykh
Suivez Shaykh Nurjan Mirahmadi et Shaykh Nojan Mirahmadi et Sufi Meditation Center - Vancouver, Canada pour plus d'informations.
#themuhammadanway #prophetmuhammad #shaykhnazim #shaykhnurjanmirahmadi #sufimeditationcenter #islam #musulman #éternité #vérité #lumière #guidance #foi #bénédiction #pureté #ciel #méditation #amour #connaissance #vision #sagesse #pouvoir divin #chat #ai #openai #chatgpt #intelligence #artificielle #dalle #smc
Tumblr media
0 notes
helmetfullofrats · 7 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
a mystery.......an enigma........
8 notes · View notes
onepiecereactions · 5 years ago
Text
One Piece Halloween 2020 scénario : Marco, Ace, Thatch, Barbe Blanche, Garp
VERSION FRANCAISE
Titre: Minuit moins cinq. 
Genre: Family/ friendship/ Drama/ Funny. Environ 3 000 mots. 
Minuit moins cinq
 Trois coups retentirent contre la porte du pirate endormis. Il grogna tout en s’extirpant de son sommeil et mit ses lunettes. Puis, il se frotta le crâne en regardant son horloge : minuit moins cinq. Il souffla, fatigué mais malheureusement habitué à être dérangé en pleine nuit. Trois coups résonnèrent à nouveau et cette fois-ci le pirate put entendre de minuscules griffes lacérer sa porte. Surprit, il utilisa son haki : deux hommes et un chat attendaient derrière sa porte. Mais ce ne fut pas ce qui surprit Marco le plus : tous ses frères dormaient. Absolument aucun n’était réveillé, même l’homme chargé de monter la garde. Ce qui signifiait que les deux hommes derrière sa porte n’étaient pas de son équipage. Son sang ne fit qu’un tour. Il garda cependant son calme et ouvrit la porte, prêt à se battre si nécessaire. La porte laissa entrevoir une mer calme, extrêmement calme. D’épais nuages noirs avaient envahis le ciel et empêchaient presque tous les rayons de la lune de traverser. Il n’entendit pas un seul bruit, pas même le bruit des vagues qui s’écrasaient doucement contre le Moby Dick. Il n’entendait que le chat ronronner devant lui. Marco tomba nez-à-nez avec les deux hommes que son haki avait identifié. Les hommes, à peine plus grands que des enfants de 10 ans, étaient assez ronds. L’un deux, celui qui n’avait pas le chat sur son épaule, était en train de manger une citrouille. Marco resta sur ses gardes. Ils restèrent plusieurs secondes à se regarder droit dans les yeux. Les deux nains n’avaient pas l’air hostiles, mais quelque chose d’anormal était en train de se passer.
-        Numéro 8834MF77 ? Demanda celui avec le chat d’une voix grave qui ne correspondait pas trop à sa taille…
Marco resta ébahis, complètement perdu. Il ne décelait aucun pouvoir des deux hommes, et à vrai dire, il ne ressentait aucune trace de vie émaner d’eux. Pourtant, ils se tenaient bien devant lui… Et ses frères qui dormaient toujours.
-        8834MF77, dépêchez-vous, nous avons d’autres arrêts de prévus. Relança le nain tout en consultant un long parchemin remplis de gribouillis. Il pointa du doigt l’extrémité ouest du navire.
Marco pencha la tête et fut ébahis : un petit manoir flottait à quelques mètres seulement du Moby Dick. Quelques lumières permettaient de déceler les fondements de la maison qui devait faire trois étages et à peine trois cents mètres carrés. A l’entrée, une femme âgée était accoudée contre une table où Marco put apercevoir des citrouilles à vendre. Aucune voile, aucune rame ni aucun mécanisme de flottaison ne semblait permettre au manoir de se déplacer. Pourtant, il trônait fièrement au milieu de l’océan et se déplaçait doucement, sans un bruit.
Le deuxième nain tapa son pied contre le sol pour montrer son impatience. Marco se reconcentra sur lui.
-Le nouveau monde… Marmonna-t-il pour lui-même. Ce fut la seule explication qu’il trouva pour comprendre ces étrangetés.
-Numéro 8834MF77, est-ce que vous montez ? Insista le nain. Le chat noir sur son épaule fixait Marco de ses magnifiques yeux verts.
-Non merci… Répondit simplement le pirate, pas réellement sûre de la réponse à donner.
Les deux nains haussèrent les épaules et repartirent le long du Moby Dick rejoindre le manoir. Marco sortit légèrement de sa chambre, pour s’assurer que les deux hommes quittèrent bien le navire. Par sécurité, il utilisa une dernière fois son haki dans l’ensemble du Moby Dick. Aucun autre intru n’était présent.
Les deux hommes sautèrent agilement par-dessus la rampe du navire pirate et atterrirent rapidement sur la terrasse du manoir. L’un des deux piqua une petite citrouille à la vieille qui s’était endormis et tout deux s’engouffrèrent dans le manoir. Aussitôt, Marco put voir le manoir pivoter sur lui-même et avancer tranquillement. L’étrange bâtisse passa ainsi devant ses yeux ahuris. Jamais, en tant d’années de piraterie, il n’avait vu une chose pareille. Il se rapprocha du bord pour mieux apercevoir le « navire ». Le bois craquait à certains endroits et quelques pièces étaient allumées, laissant apercevoir des ombres. Marco utilisa de nouveau son haki de l’observation : aucune trace de vie n’émanait de la bâtisse. Il s’apprêtait à retourner dans sa chambre alors que le manoir commençait à dépasser le Moby Dick dont les voiles étaient rangées, quand son sang se glaça à nouveau. Par-delà l’une des fenêtre, Marco reconnut une ombre. Il hésita un instant. Ce n’était pas possible… Mais pourtant il l’avait vu… Cette ombre ressemblait comme deux gouttes d’eau à celle de son capitaine, mort il y a quelques semaines à peine à Marine Ford. Il resta stoïque quelques secondes et commença à courir le long des couloirs du Moby Dick pour tenter d’atteindre le manoir qui s’éloignait de plus en plus. Alors que le « navire » commençait à lui faire dos, il aperçu grâce à une seconde fenêtre deux autres silhouettes. Son cœur se noua, une vague de tristesse l’envahit. Il reconnut sans difficulté les corps de ses deux défunts frères : Ace et Thatch. Le temps sembla se figer autour de lui. Il ne tenta même pas de comprendre comment, pourquoi ? Il voyait juste les trois êtres qui lui manquait le plus au monde, devant lui, discutant et se chamaillant comme si les derniers mois n’étaient que des mauvais souvenirs. Mais derrière lui se trouvait toujours le Moby Dick endeuillé et ses quelques frères ayant survécu à l’atroce bataille.
Marco n’était pas un homme impulsif. Il était réfléchit, mature, maitre de lui-même. Mais quand la possibilité de retrouver sa famille s’offrit devant lui, il n’hésita même pas une seconde. Quitte à foncer dans un piège, quitte à perdre la vie, ces dernières minutes lui auront permis de se sentir en vie à nouveaux.
Des flammes bleues envahir le pont du Moby Dick et le magnifique phoenix s’envola gracieusement vers le manoir. En quelques battements d’ailes, Marco se retrouva devant la porte d’entrée. La vieille se réveilla doucement quand elle sentit le pirate se poser mais se rendormit immédiatement à côté de ses citrouilles. Marco frappa à la porte. Pas de réponse. Il pouvait entendre de légers bruits derrière la porte. Il frappa une seconde fois, et devant l’absence de réponse, il ouvrit délicatement la porte. Il tomba nez-à-nez avec une réceptionniste.
Le hall d’entrée était minuscule. Seul un guichet trônait au milieu de la pièce. Derrière ce dernier se trouvait une femme, dans la cinquantaine, en train de gribouiller sur du parchemin. Un énorme lustre se balançait au-dessus de la tête du blond, au rythme de la houle. Par la fenêtre, Marco put voir le Moby Dick s’éloigner doucement. Il réprima un soupir. Il avait juré de protéger ce navire et ses occupants, mais la possibilité de retrouver son père, Ace et Thatch lui avait fait perdre la tête.
Il resta ainsi planté devant la réceptionniste pendant quelques minutes, attendant qu’elle note sa présence. Ce qu’elle fit au bout de quelques minutes.
-Numéro 8834MF77 c’est bien ça ? Demanda-t-elle de sa voix abimée par des années de consommation excessive d’alcool.
-Je suppose… Répondit simplement Marco.
La femme soupira, s’empara d’un énorme livre rangé dans le guichet et parcouru les pages en vitesse.
-Marco le phoenix. Second du capitaine du Moby Dick. Vous étiez prévu pour minuit moins cinq, nous n’avons pas que ça à faire… Marmonna la femme en le regardant au-dessus de ses lunettes.
Marco se retourna vers l’immense horloge en forme de hiboux plantée dans le mur : minuit moins cinq.
-J’aurai besoin de votre numéro de sécurité sociale. Reprit-elle en s’emparant d’une plume et d’un encrier.
-Mon numéro de … ? Je n’en ai pas. Répondit Marco en se grattant le crâne. Mais où était-il tombé ? Cet établissement appartenait au gouvernement mondial ?
-Vous n’avez pas du tout de sécurité sociale ? Répéta la femme, montrant clairement son impatience.
-Non, je suis un pirate.
-Et bien mon petit c’est très dangereux ça. Faut pas jouer avec sa santé vous savez.
-Je suis un phoenix… Je me soigne moi-même… Répondit simplement Marco, complètement ébahis par l’échange.
-Mouai, vous faisiez moins le fier à MarineFord. Chuchota la réceptionniste alors qu’elle tirait un grand trait en face du numéro 8334MF77.
Marco patienta encore un peu. Il cherchait du regard ses frères mais le hall ne donnait que sur une pièce sur la gauche et derrière la réceptionniste se trouvait des rails.
« Prochain arrêt, navire du vice-amiral Monkey D Garp, à minuit moins cinq » Beugla l’escargophone accroché au mur.
Marco se retourna, surprit. Selon ses calculs, le navire du vice-amiral se trouvait au moins à trois heures de route du Moby Dick et allait vers le sud. Comment pouvaient-ils déjà être arrivés, alors qu’ils étaient partis il y a moins de dix minutes. Et pourquoi était-il toujours minuit moins cinq alors que cela faisait au moins vingt minutes qu’il était minuit moins cinq ?
-Bon, vous n’allez pas continuer à faire plante verte, si ? On a d’autres clients qui arrivent. Dépêchez vous de vous habiller dans le cagibi et prenez le train. On a pas toute la nuit. Vociféra la femme tout en quittant son guichet.
Un nain déboula brusquement auprès de Marco. Ce n’était pas l’un des deux qu’il avait vu sur le Moby Dick mais celui-ci était au moins aussi petit et aussi gros. Ce dernier fonça dans les jambes de Marco et le prit par la taille pour l’emmener dans le cagibi. Le pirate se trouva projeté dans le cagibi entièrement noir. Il eut à peine le temps de sentir les mains baladeuses du nain qu’il sentit un tissu enserrer son mollet droit. Un foulard rouge. Quelques secondes plus tard, le nain le guida sans délicatesse vers le mini train. Celui-ci était tout simple, noir, mais aucun conducteur n’était visible. Marco s’assit au premier rang de la locomotive qui démarra aussi sec. Le blond fut projeté contre son siège et immédiatement envahit par les ténèbres que le train traversait.
En quelques secondes, le train s’échappa du tunnel et déboula dans une minuscule citée. Les immeubles devaient faire à peine deux fois la taille de Marco et étaient recouverts de briques rouges. De minuscules commerces étaient alignés et quelques nains, des femmes cette fois, se promenaient dans les rues avec leurs enfants. Marco se sentit défaillir. Absolument rien de cette situation n’était normale, logique. Comment un si petit manoir pouvait abriter une ville entière ? Le train continua de sillonner les rues et fonça à pleine vitesse vers une colline parsemée de petits chemins de randonnée.
Marco fut tiré de sa contemplation par une petite tape sur l’épaule. Il fut tellement surprit qu’il fit un énorme bond. Derrière lui se trouvait une enfant, des cheveux roux, faisant à peine un mètre. Il lui souriait de toutes ses dents.
-Bonsoir 8334MF77, qui êtes-vous venu voir ? Demanda-t-elle gentiment.
Marco, toujours surprit, balbutia le nom de ses deux frères et de son père.
-Oïïïï chauffeur, arrête-toi porte 230B ! Hurla-t-elle en direction de l’arrière du train. La machine prit un tournant sec qui propulsa Marco contre la fenêtre. Quand il reprit ses esprits la fillette avait disparus.
De la neige commença à tomber doucement du ciel dont Marco ne parvenait pas à voir la fin. Il était persuadé que ce n’était pas le ciel qu’il apercevait depuis le Moby Dick, et puis ce manoir était censé avoir un toit. Le train s’arrêta brusquement. Marco perdit de nouveau l’équilibre mais resta assit. Il entendit une porte claquer à l’arrière du train et une silhouette, petite et grosse, fonça vers lui à grandes enjambées. Quelques secondes plus tard, le conducteur du train lui attrapa le col de sa chemise et le propulsa à l’extérieur du train. Marco tomba lourdement sur la pelouse enneigée et vit le train repartir à grande vitesse. Il se releva rapidement et scruta l’horizon. Il était face à un mur de bois où étaient alignées des portes numérotées.
-230C c’est ça ? Fit-il pour lui-même, essayant de se rappeler les paroles de la petite fille qui avaient été partiellement couvertes par le bruit du train.
Il s’avança vers la porte 230C mais fut rapidement arrêté par un squelette qui jaillit de l’intérieur du mur.
-Enlève tes chaussures s’il te plait, je viens de passer le balai. Fit-il, ses énormes lunettes pointées vers Marco. Ce dernier n’osa pas lui demander pourquoi un squelette avait besoin de lunettes, il se contenta de déposer ses chaussures à l’entrée.
Il entrouvrit la porte et s’engouffra dans la pièce. Celle-ci était baignée d’une lumière dorée réconfortante. Il put voir dans l’angle une jeune femme assise dans un canapé rouge, un livre dans les mains. Elle était tellement absorbée par sa lecture qu’elle ne remarqua même pas la présence du pirate. Marco eut à peine le temps de détailler les traits du visage de la femme -elle lui disait vaguement quelque chose- qu’il entendit le train s’arrêter de nouveau à quelques mètres derrière la porte qu’il venait de franchir. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit avec fracas, laissant une silhouette s’engouffrer à son tour dans la pièce. Il ne lui fallu que quelques secondes pour reconnaitre l’imposante carrure du vice-amiral Garp. Ce dernier le fixa, surprit de le voir, mais ne dit rien. Marco comprit qu’il n’était pas à sa place et sortit de la pièce sans faire d’histoire, laissant le marine s’engouffrer dans les bras de la femme.
Il referma délicatement la porte derrière lui et retourna auprès du squelette qui ronchonnait après Garp qui n’avait pas enlevé ses chaussures avant d’entrer.
-Dépêches toi le poulet, c’est 230B pas 230C, il va bientôt être minuit. Vociféra le squelette en passant la balayette.
Marco s’exécuta aussitôt et s’engouffra sans frapper dans la pièce 230B.  
Il fut d’abord aveuglé par la lumière. Il lui fallut plusieurs secondes avant de pouvoir ouvrir les yeux. Son cœur sembla sortir de sa poitrine.
-Oï ? fit-il d’une voix à peine perceptible.
Les trois autres hommes présents dans la salle se tournèrent vers lui. Ils restèrent tous à se regarder pendant quelques secondes, avant que le brun ne fonce sur le blond et l’enlace de toutes ses forces. Des larmes coulèrent le long des joues de Marco quand il sentit la douceur des cheveux d’Ace chatouiller sa peau, quand il ressentit son parfum si particulier, quand il entendit le rire du brun à son oreille. Ace le libéra enfin et Marco put apercevoir au bout de la pièce son père, assit à table, Thatch à ses côtés en train de couper une dinde avec une précision chirurgicale. Tous deux firent un sourire chaleureux à Marco, complètement déboussolé, qui les rejoignit directement à table. Il s’assit, sentit la main de père déposer une serviette à côté de l’assiette que Thatch s’empressait de remplir. Marco n’arrivait plus à parler, il se contentait de les admirer. Jamais de sa vie il n’avait vu plus beau tableau. Ace s’assit à son tour, à côté du blond, un immense sourire flanqué sur le visage avant d’être prit d’une crise de narcolepsie et de s’effondrer tête la première dans son assiette. Thatch grommela quand il se prit des projections de dinde dans la figure mais tendit son assiette à Marco.
-Tu m’en diras des nouvelles ! Fit le cuisinier avant de s’attabler à son tour et de vider son verre de vin.
Marco s’apprêtait à demander à son père le pourquoi du comment de cette situation surréaliste quand l’énorme horloge en forme de hiboux accrochée au mur sonna d’une forte mélodie envahissant toute le pièce. Les trois hommes réveillés regardèrent l’heure : il était minuit pile. Edward Newgate se tourna vers le blond et dans un chuchotement presque imperceptible, lui dit « Je t’aime mon fils. »
Marco n’eut pas le temps de répondre que l’escargophone accroché au mur brailla à son tour :
« Minuit pile, préparez-vous pour la descente ! ».
Le cœur de Marco s’emballa, quelque chose clochait. Tous ses sens étaient en éveil et lui criaient de regarder par la fenêtre. Il aperçut alors, à quelques mètres devant le manoir, une énorme cascade qui entraînait à vive allure le manoir qui fonçait droit dessus. A peine une minute plus tard, Marco sentit le sol se dérober sous ses pieds : le manoir commençait à plonger, entraîné par les courants de la cascade. Il fut le seul de la pièce à paniquer : Ace dormait toujours comme un enfant, Père continuait de savourer sa dinde et Thatch reposa son verre de vin sur le table, alors que Marco fut projeté contre le mur, entraîné par la chute du manoir. Il se tourna vers Thatch qu’il crut entendre parler « Ne sois pas trop pressé de nous rejoindre l’ananas, chaque chose en son temps… » Marco n’aurait pas su dire s’il s’agissait d’une hallucination ou si son frère lui avait réellement parlé. Une seconde plus tard, Marco ferma les yeux, prêt à subir le choc de la cascade.
Il se releva dans un sursaut, de la transpiration dégoulinant de son front. Par réflexe, il tenta d’avaler de grandes bouffées d’air, comme s’il luttait contre la noyade. Il se ressaisit rapidement quand il comprit qu’il n’était pas au fond de l’océan mais dans son lit, dans la cabine du Moby Dick. Il s’épongea le visage et se rendit compte que quelqu’un toquait à la porte. Il préféra utiliser son haki et reconnut son frère Vista. Il soupira. Il essaya de se rassurer en se répétant que tout cela n’avait été qu’un mauvais rêve, même s’il lui avait semblé être très réaliste. Il se dépêcha de se débarrasser de ses couvertures trempées et se releva rapidement pour aller ouvrir à son frère. Quand il se dirigea vers la porte et l’ouvrit par automatisme, il se figea, ses mains tremblants. Son regard parcouru sa jambe droite : à son mollet était toujours accroché le foulard rouge.
 Fin.  
8 notes · View notes
blanche-page · 5 years ago
Text
Littérature mon Amour
“Et tout, bête, arbre et roche, étant vivant sur terre, Tout est monstre, excepté l’homme, esprit solitaire. L’âme que sa noirceur chasse du firmament Descend dans les degrés divers du châtiment Selon que plus ou moins d’obscurité la gagne. L’homme en est la prison, la bête en est le bagne, L’arbre en est le cachot, la pierre en est l’enfer. Le ciel d’en haut, le seul qui soit splendide et clair, La suit des yeux dans l’ombre, et, lui jetant l’aurore, Tâche, en la regardant, de l’attirer encore. Ô chute ! dans la bête, à travers les barreaux De l’instinct, obstruant de pâles soupiraux, Ayant encor la voix, l’essor et la prunelle, L’âme entrevoit de loin la lueur éternelle ; Dans l’arbre elle frissonne, et, sans jour et sans yeux, Sent encor dans le vent quelque chose des cieux ; Dans la pierre elle rampe, immobile, muette, Ne voyant même plus l’obscure silhouette Du monde qui s’éclipse et qui s’évanouit, Et face à face avec son crime dans la nuit, L’âme en ces trois cachots traîne sa faute noire. Comme elle en a la forme, elle en a la mémoire ; Elle sait ce qu’elle est ; et, tombant sans appuis, Voit la clarté décroître à la paroi du puits ; Elle assiste à sa chute ; et, dur caillou qui roule, Pense : Je suis Octave ; et, vil chardon qu’on foule, Crie au talon : Je suis Attila le géant ; Et, ver de terre au fond du charnier, et rongeant Un crâne infect et noir, dit : Je suis Cléopâtre. Et, hibou, malgré l’aube, ours, en bravant le pâtre, Elle accomplit la loi qui l’enchaîne d’en haut ; Pierre, elle écrase ; épine, elle pique ; il le faut. Le monstre est enfermé dans son horreur vivante. Il aurait beau vouloir dépouiller l’épouvante ; Il faut qu’il reste horrible et reste châtié ; Ô mystère ! le tigre a peut-être pitié ! Le tigre sur son dos, qui peut-être eut une aile, À l’ombre des barreaux de la cage éternelle ; Un invisible fil lie aux noirs échafauds Le noir corbeau dont l’aile est en forme de faulx ; L’âme louve ne peut s’empêcher d’être louve, Car le monstre est tenu, sous le ciel qui l’éprouve, Dans l’expiation par la fatalité. Jadis, sans la comprendre et d’un œil hébété, L’Inde a presque entrevu cette métempsychose. La ronce devient griffe, et la feuille de rose Devient langue de chat, et, dans l’ombre et les cris, Horrible, lèche et boit le sang de la souris ; Qui donc connaît le monstre appelé mandragore ? Qui sait ce que, le soir, éclaire le fulgore, Être en qui la laideur devient une clarté ? Ce qui se passe en l’ombre où croît la fleur d’été Efface la terreur des antiques avernes. Étages effrayants ! cavernes sur cavernes. Ruche obscure du mal, du crime et du remord ! Donc, une bête va, vient, rugit, hurle, mord ; Un arbre est là, dressant ses branches hérissées, Une dalle s’effondre au milieu des chaussées Que la charrette écrase et que l’hiver détruit, Et, sous ces épaisseurs de matière et de nuit, Arbre, bête, pavé, poids que rien ne soulève, Dans cette profondeur terrible, une âme rêve ! Que fait-elle ? Elle songe à Dieu !”                       Victor Hugo, Ce que dit la bouche d’ombre, VI., 1855.
Tumblr media
6 notes · View notes
la-bucolie · 6 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media
(photo prise dans un parking avec trop de panneaux)
Aujourd’hui j’ai rejoint Aida dans sa Clio grise. Je parlais beaucoup, je crois que j’étais un peu stressée, mais très vite je me suis sentie à l’aise. Capable. On a roulé jusqu’à Place de Clichy et on a fouillé dans les fripes. J’ai essayé des jupes devant tout le monde. Les gars qui travaillaient là-bas prenaient de l’élan pour faire monter des palettes énormes de fringues, ils disaient « Attention ! » et ils fonçaient sur la petite rampe comme sur une piste de décollage. Aida m’a dit qu’elle avait envie de faire des trucs fous comme partir sur un coup de tête sur l’autoroute et danser. Elle m’a dit « J’aimerais taper un road trip à l’improviste. » J’étais émue parce qu’il y avait de la musique et que c’était ce que je voulais entendre depuis longtemps. Moi je répondais que ça me plairait aussi, j’osais pas dire que j’en mourais d’envie, juste « Mais ouais, ça a l’air trop cool ! » la tête planquée entre les vieilles blouses d’infirmières. On a mangé japonais rue Sainte Anne, on a parlé de son copain qui est un con et qui la rend malheureuse, elle m’a dit « Mais moi, moi je sais que je suis parfaite pour lui... » Elle m’a dit aussi qu’elle aimerait avoir un tatouage dans le cou mais que l’Islam et ses parents ne seraient pas d’accord. Je lui ai dit qu’il valait mieux ne pas avoir de regrets, et on a regardé sur internet les mamies berbères et leurs tatouages païens. Il faisait nuit quand on a repris la voiture, j’ai fumé la fenêtre ouverte, on écoutait notre musique boum-boum et elle me disait « Plus jamais la voiture avec toi Alice » parce qu’elle manquait des feux rouges à force d’être heureuse. Au Passage Brady on est allées dans une boutique indienne qui sentait bon tout plein de choses et j’ai acheté un sac et de l’eau de rose. Dans les rayons il y avait un chat et ça m’a fait sourire fort. Comme on ne voulait pas que ça se termine on a roulé cette fois jusqu’aux quais près de chez moi, on s’est assises au bord de l’eau, sous la nuit sale, on a parlé pendant des heures. J’ai dit « En fait c’est facile d’être heureux. »
20 notes · View notes
Text
Regarder La Vie scolaire Film Complet streaming vf
Regarder La Vie scolaire Film Complet
Regarder ¦¦¦¦¦¦? http://zitamovie.com/cinema/587301/school-life.html
Télécharger ¦¦¦¦¦¦? http://zitamovie.com/cinema/587301/school-life.html
Date de sortie : 2019–08–28 Durée : 111 Minutes Par : Mandarin Production, Kallouche Cinéma
Genres : Drame, Comédie Acteurs : Zita Hanrot, Liam Pierron, Soufiane Guerrab, Moussa Mansaly, Alban Ivanov, Antoine Reinartz, Redouane Bougheraba, Bakary Diombera, Adèle Galloy, Gaspard Gevin-Hié QUALITÉ : DVD RIP
SYNOPSIS ET DÉTAILS:
Une année au cœur de l’école de la république de la vie… et de la démerde! Samia, jeune CPE novice, débarque de son Ardèche natale dans un collège réputé difficile de la ville de Saint-Denis. Elle y découvre les problèmes récurrents de discipline, la réalité sociale pesant sur le quartier, mais aussi l’incroyable vitalité et l’humour, tant des élèves que de son équipe de surveillants. Parmi eux, il y a Moussa, le Grand du quartier et Dylan le chambreur. Samia s’adapte et prend bientôt plaisir à canaliser la fougue des plus perturbateurs. Sa situation personnelle compliquée la rapproche naturellement de Yanis, ado vif et intelligent, dont elle a flairé le potentiel. Même si Yanis semble renoncer à toute ambition en se cachant derrière son insolence, Samia va investir toute son énergie à le détourner d’un échec scolaire annoncé et tenter de l’amener à se projeter dans un avenir meilleur…
La Revue:
Tags: La Vie scolaire Streaming VF, La Vie scolaire youwatch, La Vie scolaire streaming gratuit, voir La Vie scolaire en streaming, regarder La Vie scolaire streaming
vf, La Vie scolaire streaming vostfr, télécharger La Vie scolaire gratuit
Remboursement Prise en charge Transport sanitaire vsl ~ quand je vois le nombre de personnes qui ne trouvent pas de V S L pour les emmener cela me fait grande peine savez vous quand seront reconnu les transports PTMR de façon qu’il puisse y avoir une tarification au moins égale au V S L remboursée par la CPAM ce qui n’est pas le cas aujourdhui Aujourdhui nous sommes conventionné CPAM avec une tarification en dessous des VSL sans
Ambulance et véhicule sanitaire léger VSL ~ lambulance et lambulance de secours et de soins durgence ASSU Seule une ambulance ou une ASSU peut intervenir pour les transports durgence Le VSL est réservé au transport sanitaire de 3
Vsl adresse téléphone sur PagesJaunes ~ Prestations Ambulances Véhicules sanitaires légers 24h24 7j7 Déplacements en France et à létranger Toutes distances Transport de patients Permanence téléphonique Véhicules climatisés Langue parlée anglais Afficher le n° Afficher le n° Plan EMail Tél 05 55 68 70 56 Fax 05 55 68 01 58 27 Ambulances Vallée de Chamonix Ambulances Vallée de
Quest ce quun VSL ~ Le transport en VSL est défini par la convention nationale qui lie chaque entreprise avec lassurance maladie Ainsi la prestation comporte La mise à disposition du véhicule La désinfection du véhicule éventuellement La prise en charge du malade au lieu où il se trouve Le transport du malade jusquau lieu de destination En aucun cas le conducteur et le véhicule ne peuvent
VSL les tarifs conventionnels Transporteur ~ Lorsque lentreprise effectue des transports dans un autre département le tarif applicable demeure celui du département du siège de lentreprise Le forfait départemental inclut les 3 premiers km parcourus en charge La prise en charge La prise en charge est facturable par les entreprises situées dans certaines communes de la région parisienne voir le paragraphe Communes visées par l
Official Site Second Life Virtual Worlds Virtual ~ Second Lifes official website Second Life is a free 3D virtual world where users can create connect and chat with others from around the world using voice and text
Taxi conventionné comment bénéficier dune prise en charge ~ L’hôpital a dit à ma soeur qu’elle ne sortirait plus Personne ne fait rien Ils attendent juste la fin Répondre Pascale RENAULT 529 on 18 02 2020 Bonjour vous pouvez demander à la MDPH une subvention pour avoir une rampe d’accès pour les escaliers en disant que c’est les délais sont trop longs et si vous en avez les moyens vous pouvez peutêtre l’acheter et
MercedesBenz Classe SL — Wikipédia ~ SL 55 AMG V8 55 litres compress é 476 ch 2002 puis 500 ch 47 s Une version 030 plus connue sous lappellation pack performance offrait de meilleures qualités dynamiques et était pourvue dune bride électronique à 300kmh au lieu de 250kmh SL 65 AMG V12 6 litres biturbo 612 ch 42 s 2004 Ce modèle permet à Mercedes doffrir le roadster de série le plus puissant
C dans lair Replay et vidéos en streaming France tv ~ Les vidéos et les replay C dans lair sur France 5 voir et revoir toutes les émissions et programmes de france5 sur
Second Life Marketplace ~ Second Lifes official website Second Life is a free 3D virtual world where users can create connect and chat with others from around the world using voice and text
1 note · View note
wardaproject-blog · 6 years ago
Text
Marhaban - A day to arrive
Le bruit et la poussière, le béton, la fumée et le chaud. Tout est si grand et sale, abîmé. Tout crie et rampe, râle, fourmille. Des chats, et des chiens sur le béton souillé. Tout est si vivant, en mouvement. Merveilleuse cacophonie. Ca vie, ça parle, ça le fait savoir à forte voix, au coin dans le café de cette arrière cour en chantier, de ce carrefour improbable perdu au milieu des autres carrefours improbables de la ville. Des petits fanions bleus, un drapeau rouge blanc et noir flanqué d’un aigle, des lampadaires déjà allumés dans la rougeur du début de soirée. Assis seuls, par deux, en petits groupes, on regarde les voitures passer, on renifle avec habitude leur fumet gris et lourd de plomb brûlé, on sirote un thé à la menthe avec parfois, au centre de quelques hommes couronnés d’un petit bonnet de crochet, une chicha consumant de cônes semblables à de l’argile. De vieilles tables et des chaises de plastiques rouges réparties un peu partout dans l’espace. 
Tumblr media
Je suis arrivée ici il y a deux heures à peine, jetée dans la cohue, en transit comme un camion. Je ne suis plus là-bas et pas encore d’ici. Tout me trahis et je baisse les yeux, je cherche à me fondre dans la masse, dans les corps, dans les étoffes. Je suis repérable entre tous, heureuse élue désignée à attirer leurs regards et j’ai honte de ne pas faire partie des leurs, sans raison. Je mesure toute la démesure, la non-mesure, de ce que je suis et de ce que je vais faire. Je ne suis rien de plus qu’une nouvelle parmi les 25 millions. un corps en plus en mouvement dans cette fourmilière. Je voudrais crier de joie et d’impatience, et pleurer de rage et de tristesse, mon corps n’es pas, je ne suis pas, nous nous sommes perdus ensemble dans un entre-deux de cette chaleur qui nous colle à la peau. Nous flottons, je flotte, dans une sorte de temps ralenti je suis incertaine du comportement à adopter: écouter l’impérieuse envie de manger ou couler dans cette torpeur étrange qui plane autour de moi. Faire comme les gens, ressembler aux autres, les imiter, lorsqu’ils se lèveront pour manger je les suivrai, indécise, et tandis que je pense à ce potentiel repas une brise se lève. Je reçois une feuille verte et épaisse dans ma tasse de thé. Elle est pleine d’une poussière crayeuse, je ne veux plus boire mon thé et maintenant j’attends. Sûrement va-t-il se passer quelque chose qui me fera sortir de ma mollesse. 
Et voilà que je ris. Maintenant on me regarde en coin sur toute la terrasse, je rigole bien toute seule et je crois que pour la première fois je vais apprécier ma compagnie. On va être bonne copine elle et moi ces prochains temps. Bienvenue au Caire
(Appel à la prière #1 résonne)
CAIRO, 31.07, 6.30 pm
2 notes · View notes
patern29 · 2 years ago
Text
Naviguer avec des animaux. Les conseils pour une croisière en bateau
Tumblr media
Naviguer avec des animaux de compagnie demande une certaine organisation et quelques précautions. Embarquer un chien ou chat, par exemple, à bord d'un bateau doit être anticipé pour que la croisière soit paisible pour eux, comme pour le reste de l'équipage d'ailleurs. Nous sommes très nombreux à avoir un compagnon à quatre pattes, au quotidien chez soi. Mais quand on est passionné de voile et que l'on possède un voilier, il n'est pas toujours évident de les laisser seul à la maison, même le temps d'un week-end. Surtout pendant que nous partons nous amuser. La question se pose alors d'embarquer son chien ou son chat, à bord de son bateau, avec nous. On voit souvent, à bord de voiliers, lors d'une escale, un chien se promener sur le pont, se lever fièrement avant l'avant d'une annexe, ou un chat dans dormir paisiblement dans le lazy-bag. Certains naviguent même avec une poule, comme un certain Guirec. Mais naviguer avec des animaux demande une certaine organisation , au même titre que naviguer avec des enfants. Des questions vont alors se poser. Comment s'organiser pour les besoins ? De quelle manière gérer la vie à bord ? Quels sont les réflexes et gestes pour leur sécurité ?
Naviguer avec des animaux, la vie à bord
Naviguer avec des animaux commence par l'embarquement. Si pour un chat, ce ne sera pas très compliqué, l'opération sera plus ardue pour un chien, sur les grosses unités. Certains propriétaires utilisent une rampe pour
Tumblr media
faciliter le passage du quai au bateau. Il n'y a pas réellement de race de chiens allergiques à la mer. Les petits chiens seront plus à l'aise qu'un labrador. Les animaux ne sont pas dans leur environnement sur un bateau. L'idéal est encore d'habituer son chat ou son chien dès son plus jeune âge. Il pourra s'adapter à cet environnement, prendra ses habitudes et...en redemandera. Les animaux aussi ont le mal de mer. Si supporter un équipier malade ne pose pas de soucis, la réaction d'un chien ne sera pas la même...je vous laisse imaginer. Pensez donc à laisser sa gamelle à l'arrière du bateau et l'endroit ou il dormira aussi. Pour sa nourriture, les croquettes sont très sensibles à l'humidité. Vous devrez donc les stocker dans une boite étanche. Pensez à le faire boire régulièrement.
Les besoins du chien et du chat en croisière
C'est une question à laquelle on pense en premier, lorsqu'on envisage de naviguer avec des animaux. Ou le chien va faire ses besoins, surtout sur un petit voilier. L'idée première est de prendre en considération son programme de navigation. Si votre programme consiste en du cabotage côtier, il suffira d'apprendre au chien que la grosse commission ne se fait pas sur le bateau. Il faudra donc penser à ses besoins avant de partir et penser à lui dés l'arrivée à l'escale...pensez à vos voisins et ramassez les besoins. Pour les navigations plus longues, lors d'une croisière, on ne pourra échapper à la question des besoins à bord. Si pour un chat, une simple litière suffit, pour un chien, il faudra réfléchir à la question. Votre animal devra apprendre ce qu’il doit faire, et comment le faire. Réservez un endroit ou il pourra satisfaire ses envies, et toujours le même. Certains plaisanciers utilisent un morceau de gazon synthétique qu’ils mettent sur le pont pour en faire le « coin-pipi ». Les animaux s’en servent pour apprendre à toujours aller au même endroit.
La sécurité de votre animal
Au risque d'être grossier, on peut dire que les bases de la sécurité pour un animal sont les mêmes que pour un enfant. Si un chat pose moins de problème car il est plus agile, pour un chien, il faudra prendre plus de précaution. Lorsqu'on navigue avec des animaux première chose à envisager est le filet sur les filières. Cela évitera aux animaux de tomber à l'eau, surtout au mouillage. Ensuite, il est tout à fait envisageable de penser au harnais et au gilet de sauvetage. Le chien devra y être habitué petit à petit pour éviter les grognements, à terre de préférence. Il existe toute une gamme de gilets de sauvetage spécialement conçus pour les animaux. Les gilets de sauvetage pour chiens, par exemple, se trouvent dans tous les magasins d'équipements nautiques. Certains gilets de sauvetage, pour les plus petits animaux, sont dotés d’une poignée vous permettant de les tirer hors de l’eau. Enfin, pour terminer, si vous envisagez de naviguer avec des animaux en dehors du territoire national, contactez les services vétérinaires et emportez la liste des vaccins de votre animal. Et vous, quelles sont vos expériences et vos retours de navigation avec vos animaux? Read the full article
0 notes
agentspeedsite · 3 years ago
Text
3 week yoga retreat before and after
Tumblr media Tumblr media
I want to begin this post by saying, that I think both my before and after photos show a healthy, beautiful woman. Barre Blend is … Coming Soon: Barre Blend With Elise Joan. Beachbody Super Trainer Elise Joan helps you reveal a body that’s graceful & strong in just 60 days. Elise Joan created Barre Blend to be a high-intensity, low-impact workout. Elise Joan est une ex-danseuse professionnelle qui enseigne le yoga et le fitness combiné à la danse classique depuis plus de dix ans. I want to … Barre Blend With Elise Joan!!! Meet Barre Blend Creator: Elise Joan. The Pre & Post Natal Barre Blend program is an exciting new concept from Barre Blend creator and pre-/postnatal fitness expert Elise Joan. We also love Elise’s motivation and positivity! 30. Barre Blend is a new low-impact, high-intensity, and high-energy workout program from barre expert and professional dancer, Elise Joan. Elise will hit angles that you’ve never imagined!. Beachbody Super Trainer Elise Joan joined us live to tell us about her new workout available on Beachbody on Demand “Barre Blend”. Elise has created the perfect fusion of ballet barre, Pilates, and cardio interval training, designed to help you burn fat and create a lean, toned physique. The talent I would most like to have: I’d love to be able to play golf, so I could keep up with my … Elise Joan Creator/ Awakener. Barre Blend: get a perfectly round & lifted, long lean legs & perfectly sculpted body AND lift your confidence, energy, and spirit as well!! Beachbody’s Elise Joan created Pre & Post Natal Barre Blend workouts to help maximize labor preparedness and support postpartum recovery. The ‘before’ was taken the day I got the call from beachbody about creating barre blend. We also recorded this interview so that you could watch us chat together as well!. Amoila Cesar joined Elise Joan for a Barre Blend workout This is pretty funny. It also includes elements of dance, yoga, and strength training.
Tumblr media
Barre Blend helps create a lean, toned physique through a fusion of ballet barre, Pilates, and cardio interval training. They do not have any official connection with the Brand Beachbody or the Trainer Elise Joan … The Barre Blend VIP Coach Test Group with Elise Joan starts January 6th with a focus on nutrition during the first week, and ends January 26th. She has been a wellness expert and host with Lifetime Television, ABC News, E!, Extra, CBS News, and, among others! About Elise Joan. These are pure Barre Blend and Ultimate Portion Fix (Plan B) results! Pre & Post Natal Barre Blend With Elise Joan. FITNESS: Barre Blend Create a lean, toned physique through a fun fusion of ballet barre, Pilates, and cardio interval training. She combines classic moves with light weights to help you sculpt and strengthen your entire body. It is also very effective the before and after Barre Blend photos are really impressive! Elise grew up as a dancer and puts her own spin on … I smile during every workout and who doesn’t want more of that?! Barre Blend is a new low-impact, high-intensity, and high-energy workout program. Barre Blend workout is a fusion of barre, low-impact cardio, and Pilates designed to create long, lean, toned muscles. According to Beachbody, this creates a low-impact workout designed to shape and tone your body. Barre workouts have been one of the hottest fitness trends for years, with devoted fans praising the way they sculpt and tone without lots of impact, while improving posture and flexibility. En tant que Super Trainer Beachbody, Elise est la créatrice de Pre & Post Natal Barre Blend, et également la cocréatrice de 3 Week Yoga Retreat. The 20+ low-impact, high energy workouts include barre, cardio, Pilates and strength training to help with mobility, stability, and strength. So … Barre Blend Inspired Apparel Disclaimer: All designs in this collection are inspired by the program Barre Blend. Trainer Elise Joan fuses the best of barre with proven fitness techniques to ramp up your results.
Tumblr media
Barre Blend is a low-impact, total-body workout program from Beachbody’s barre expert, professional dancer, and super-trainer Elise Joan.It’s the perfect fusion of ballet barre, Pilates, and cardio interval training, designed to help you burn fat and create a lean, toned physique.
Tumblr media
0 notes
lupitovi · 7 years ago
Quote
Nous sommes deux drôles, Aux larges épaules, De joyeux bandits, Sachant rire et battre, Mangeant comme quatre, Buvant comme dix. Quand, vidant les litres, Nous cognons aux vitres De l’estaminet, Le bourgeois difforme Tremble en uniforme Sous son gros bonnet. Nous vivons. En somme, On est honnête homme, On n’est pas mouchard. On va le dimanche Avec Lise ou Blanche Dîner chez Richard. On les mène à Pâques, Barrière Saint-Jacques, Souper au Chat Vert, On dévore, on aime, On boit, on a même Un plat de dessert ! Nous vivons sans gîte, Goulûment et vite, Comme le moineau, Haussant nos caprices Jusqu’aux cantatrices De chez Bobino. La vie est diverse. Nous bravons l’averse Qui mouille nos peaux ; Toujours en ribotes Ayant peu de bottes Et point de chapeaux. Nous avons l’ivresse, L’amour, la jeunesse, L’éclair dans les yeux, Des poings effroyables ; Nous sommes des diables, Nous sommes des dieux ! Nos deux seigneuries Vont aux Tuileries Flâner volontiers, Et dire des choses Aux servantes roses Sous les marronniers. Sous les ombres vertes Des rampes désertes Nous errons le soir, L’eau fuit, les toits fument, Les lustres s’allument, Dans le château noir. Notre âme recueille Ce que dit la feuille À la fin du jour, L’air que chante un gnome. Et, place Vendôme, Le bruit du tambour. Les blanches statues Assez peu vêtues, Découvrent leur sein, Et nous font des signes Dont rêvent les cygnes Sur le grand bassin. Ô Rome ! ô la Ville ! Annibal, tranquille, Sur nous, écoliers, Fixant ses yeux vagues, Nous montre les bagues De ses chevaliers ! La terrasse est brune. Pendant que la lune L’emplit de clarté, D’ombres et de mensonges, Nous faisons des songes Pour la liberté.
Victor Hugo - Les Tuilleries
32 notes · View notes
terre-de-je · 7 years ago
Text
Votre bébé est déjà quelqu’un
Qui est vraiment votre enfant, votre bébé, votre tout-petit ? Qu’y a-t-il derrière ce visage tantôt paisible, tantôt contrarié, voire furieux ? Que vous disent ses yeux et son sourire ou ses larmes ?
Et si finalement nous pouvions nous ouvrir encore davantage à qui est notre bébé, dès son plus jeune âge ? Cet article vous livre ma vision du bébé, de l’enfant... cet adulte-en-devenir auprès de nous, ses parents.
Déjà dans le ventre de Maman...
La vie de votre enfant commence bien avant sa naissance. L’idée que le bébé ressent déjà des émotions lors de sa gestation commence à se répandre, mais c’est encore loin d’être une évidence pour tout le monde. Et pourtant, sa vie intérieure est déjà si riche ! Dès sa conception, il est là, présent, parmi vous.
Sa famille est le berceau de ses premières émotions : les siennes, mais aussi celles de sa maman, qu’il ne sait pas toujours départager d’ailleurs. Les prendre pour siennes peut avoir des conséquences, dès lors, sur son état du moment, sa croissance et le bagage qu’il se constitue pour la suite de sa vie. Pour l’aider à vivre tout ça, on peut lui parler, lui expliquer. Oui, déjà ! Quand je l’ai suggéré un jour, on m’a dit : “Tu crois qu’il va comprendre ?” N’avez-vous jamais parlé à votre chat, votre chien ou votre lapin ? Ils n’ont pas de mots, mais une conscience eux aussi. Vos enfants arrivent avec une conscience et c’est important d’en tenir compte. Il ne s’agit bien sûr pas de la même conscience du monde qui nous entoure que nous, adultes... et ça aussi, il est bon de le prendre en considération.
Votre enfant ne sait pas exactement dans quel monde matériel il va arriver. En revanche, si vous lui parlez de son père, de ses frères/sœurs... bref, de sa famille, je crois que c’est du connu pour lui, c’est intégré, il le sait, ça fait partie de sa conscience. Expliquer simplement ce que l’on vit, ce qui se vit autour de lui peut faire une différence et l’inclure immédiatement dans sa vie de famille, en l’aidant à faire la part des choses : ce qui lui appartient et ce qu’il n’a pas à gérer.
Une maman-en-devenir m’a aussi dit que “c’est étrange de parler à son ventre”... Papa ou maman, vous parlez à votre enfant, il est dans le ventre de sa mère, mais il vous entend et il entend surtout les émotions dans votre cœur. Essayez, croyez en lui, vous ferez déjà un pas vers lui et une sacrée différence pour votre relation !
... puis bébé...
Bébé est né. Il dort, il boit, il pleure... Et si on prenait l’habitude de ne pas résumer sa vie à ses besoins physiologiques ? Combien d’adultes trouvent les nourrissons ennuyeux ? Il est évidemment plus facile d’entrer en relation avec un enfant plus âgé, qui sait déjà sourire et verbaliser – même si c’est incompréhensible ! –, mais les nouveaux-nés ont déjà leur regard ! Le bébé absorbe nos émotions. Que nous voulions lui cacher ou pas, il les ressent, les intègre et les vit. Prendre le temps de lui expliquer, de lui en parler et d’émettre des hypothèses sur son vécu à lui, c’est le prendre en compte, lui dire qu’il existe et que vous le considérez comme une Personne à part entière. Bien sûr, quand on ne le fait pas, ça ne veut pas dire qu’on n’aime pas nos enfants ! On ne nous a pas appris, on ne nous a pas dit... mais il est encore temps de changer nos façons de faire, sinon quand ?
Bref, bébé vous écoute, vous entend, vous comprend. Il ne comprend pas nécessairement les mots que vous lui adressez, mais il en saisit le sens et principalement l’émotion qu’ils véhiculent pour vous. Sa réaction se fait parfois l’écho de votre bouillon intérieur... surprenant ? Pas tant que ça alors !
Je crois profondément que votre bébé pleure pour exprimer quelque chose. Bien sûr, il peut parler de ses besoins physiques, de ses douleurs... Mais il n’y a pas que ça ! Il y a aussi ce qu’il veut, ce qu’il souhaite. Car votre enfant est quelqu’un, comme vous et moi. Il en est seulement à un stade de développement tout jeune, avec des “capacités” physiques limitées et une dépendance extrême. Il a besoin de vous, de votre attention et de votre confiance. Toutes les émotions que vous connaissez, il les connaît aussi : la frustration, la colère, la tristesse, la déception... et la joie, l’enthousiasme, l’apaisement ! Seulement voilà, jusqu’à un certain âge, on n’a pas toute la palette d’expressions faciales ou verbales pour parler de tout ça, alors on utilise ce qu’on peut : les pleurs !
Il ne pleure pas pour vous embêter, pour vous fatiguer ; seulement pour communiquer avec vous. Et ce qu’il a à vous dire va du simple “merci” au plus profond des “je t’aime”, en passant par les “je ne sais pas ce qui m’arrive, aide-moi” ! Et si on prenait le temps de les écouter dès maintenant, comme on a prévu de le faire plus tard ? Pourquoi attendre ?
Tumblr media
Photo by Brandon Day on Unsplash
Bébé grandit
Quand bébé grandit, je ne vous apprends rien, il développe tout un tas de choses, tant sur le plan physique qu’intellectuel. Il se retourne, passe plus de temps éveillé, il rampe, se met à quatre pattes, apprend à marcher, à manipuler, développe sa motricité, puis le langage... à une vitesse vertigineuse ! En deux courtes années, votre bébé passe au stade enfant ! Waw !
Et pendant ces petites années – sa vie entière séparé de sa maman –, il y a aussi son lot d’événements plus ou moins faciles à vivre. Là encore, même en grandissant, il ne veut pas vous embêter ; il communique avec vous, à votre sujet souvent, pour vous aider malgré les apparences aussi, et pour lui : savoir qui il est, se construire et s’apaiser grâce à vous, ses parents. Celui que vous découvrez au fur et à mesure de ses changements, avec qui vous riez et vous fâchez, c’est le même qui était bébé il y a encore quelques mois et pleurait à en fendre l’âme au beau milieu de la nuit. C’est la même Personne, ses capacités se sont développées, mais son cœur est toujours celui que vous avez porté, que vous chérissez. Vous avez peut-être l’impression de le découvrir et en un sens c’est effectivement le cas, mais finalement, c’était déjà lui, vous le connaissez déjà.
Une manière de lui parler
Je suis convaincue que la façon dont on s’adresse à notre enfant joue un rôle dans son estime de lui-même. Nos mots, nos formulations et notre sincérité sont pour lui un reflet de ce qu’on pense de lui et de ses capacités. Vous êtes ses parents, ses modèles et il vous croit... sur parole !!
Je pense que l’on reproduit en partie la manière dont on nous a nous-même côtoyé, considéré lorsque nous étions enfant. Pour moi par exemple, je sais que le contact de ma mère avec les enfants est d’un certain naturel, sans chichi. C’est pour moi une évidence : parler à un bébé ou à un enfant n’appelle pas les attitudes bébêtes et les excuses bidons ; non, seulement des mots simples, mais justes. Quand il est dans le ventre de sa mère, il me semble que ça ne viendrait à l’idée de personne de lui dire des “areuh, areuh” et autres “ma voiture est fatiguée, elle veut qu’on rentre” ; plus tard, c’est pareil ! S’il n’a pas les mots, il n’en est pas bête pour autant. Faites-lui confiance, laissez-le grandir, soutenez-le... J’utilise pour ma part les mots simples adaptés à chaque âge, mais je n’hésite pas à expliquer le pourquoi du comment avec le vocabulaire approprié. L’enfant ne comprendra pas toujours le mot employé, mais il l’aura déjà entendu et pourra faire le lien par la suite s’il l’entend à nouveau, dans un autre contexte. Je crois sincèrement que lui parler normalement l’aide à grandir. Je ne suis pas pour le faire se sentir différent ou diminué parce qu’il est enfant. Au contraire, en faisant l’effort en tant qu’adulte de s’adapter à lui, on le tire vers le haut, on l’encourage et on renforce sa confiance en lui. Quel beau cadeau, n’est-ce pas ?
Un autre cadeau que l’on peut lui faire est de lui parler sincèrement. Encore une fois, le tout-petit perçoit très bien vos émotions, même si vous espérez les lui cacher. Lui parler avec authenticité sera libérateur pour vous et constructif pour lui, car la vibration de vos mots ne sera pas la même s’ils diffèrent totalement de ce que vous éprouvez. Soyez vous-mêmes ! Non seulement il comprendra plus facilement ce qui se passe, que ce soit positif ou négatif, mais en plus il aura envie de faire pareil et vous l’aiderez peut-être à ce moment-là à s’affirmer plus tard...
Besoin de temps
Nous avons tous besoin de temps. Besoin de temps pour soi, besoin de temps pour s’amuser, besoin de temps ensemble... Les petits ne font pas exception : ils ont besoin de temps pour apprendre ! Laissons-leur la place, l’espace d’apprendre et de comprendre. L’expérience, il n’y a que ça de vrai ! Alors pourquoi ne pas laisser votre enfant faire des erreurs ? Je ne parle pas de le laisser faire toutes les bêtises possibles et imaginables ! Justement non, car il a aussi besoin de cadre et de limites... mais je vais en reparler plus bas.
Faire, défaire, refaire... c’est essentiel pour que l’enfant comprenne et développe son autonomie. Dans tous les domaines de sa vie, nous pouvons lui laisser une petite place, malgré le rythme effréné de nos vies. Peut-être pas à chaque fois, mais quand c’est possible, pourquoi ne pas prendre deux minutes de plus pour qu’il essaye par lui-même ? Mettre ses chaussures, s’essuyer le nez ou la bouche, les mains, grimper et redescendre... Le tout est de le sécuriser. Ce temps que vous avez l’impression de perdre aujourd’hui pour qu’il vive son expérience, peut-être le gagnerez-vous dans quelques mois parce qu’il saura faire seul ce que vous auriez encore fait à sa place... Observez-le : je suis sûre qu’il vous mettra sur la piste de ce qu’il a envie d’expérimenter seul !
Être parent·s
Un vrai métier à temps plein, si ce n’est plus ! Avec ses bonheurs et ses joies, mais aussi ses difficultés, ses doutes et ses désespoirs. Être parent, pour moi c’est être un guide pour mes enfants ; un guide pour leur montrer comment est le monde dans lequel ils sont nés, pour leur expliquer les choix que j’ai faits avec leur père au sujet de leur vie... Tout ça afin qu’ils trouvent par eux-mêmes leur chemin, qu’ils grandissent comme ils sont et développent au maximum leurs potentiels. Je souhaite n’être qu’un tuteur pour mes petites plantes, un soutien pour qu’elles poussent comme elles sont !
Quand on a la tête dans le guidon, que tout file à une vitesse folle, c’est loin d’être facile tous les jours. Mais on a le droit aussi à ces découragements et ces moments “moins biens” ; on est humain et c’est aussi leur montrer qui nous sommes vraiment, tout en leur parlant de qui on essaye d’être du mieux que l’on peut. Être parent, ça ne veut pas dire être parfait et ça n’est pas non plus avoir des enfants parfaits. On ne peut pas leur ôter toutes les difficultés de la vie, ils sont venus pour en vivre, malheureusement... ou heureusement !
Et vous ?
Comment voyez-vous les enfants ? Et le·s vôtre·s ? Après la première grossesse, changeriez-vous ou avez-vous changé votre façon de percevoir l’enfant qui est venu agrandir votre famille ?
Si j’avais su pendant ma grossesse ce que mes enfants allaient devenir, je suis persuadée que je leur aurais porté une attention différente, peut-être une présence plus consciente... On n’en a qu’une fois l’occasion pour chaque grossesse, alors essayez, vivez-le si votre cœur vous y encourage !!
Les bébés sont déjà des Personnes, dès leur conception. Apprendre à les connaître et les découvrir le plus tôt possible leur donne confiance en nous, crée des bases plus solides pour nos relations.
2 notes · View notes