#mais maintenant que tu en parles...
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Je sais que j'ai mal choisi à chaque début d'avant-première. Je dois être le seul acteur qui préfère jouer que de voir le résultat ! Tu parles de l'armoire à glace qui est là tous les jours sur le plateau ? Vos parents vous ont pas nourris pareil ? Je compte pas te le piquer, j'ai trop peur — mais te piquer toi par exemple c'est envisageable ? Une petite répétition ça fait jamais de mal.

T'as un peu de marge avant qu'on arrive à l'avant-première, ça te laisse le temps de respirer. Mais je pense que t'es pas le seul �� pas aimer voir tes films, y'a que les mégalos qui apprécient vraiment se voir. Oui c'est bien lui. Il a raflé tous les gênes d'Hulk et il m'a laissé le reste. Me piquer moi ? Wow, c'est rapide entre nous.
Des astuces pour un apprentissage plus rapide ?
Je comprends pas comment je faisais avant pour que tout rentre aussi facilement dans ma tête. Visiblement, à force de plus pratiquer... j'ai fini par rouiller.
#c#c:kr#ooc: oui donc je t'ai DEMANDÉ#pas forcée#MDRRRRR#alors non je parlais pas de ce gif#mais maintenant que tu en parles...#tu sais que je l'ai montré à guillaume tellement je rigolais
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Au-delà des mots
## **Résumé :** Après une soirée au bar où Spencer entend des remarques déplacées sur Ludivine, il réalise à quel point elle a été entourée d’hommes qui ne voyaient en elle qu’un simple fantasme. Bouleversé, il lui fait l'amour avec une légère possivité , poue lui montrer qu’elle est bien plus que cela et qu’elle mérite d’être aimée pour ce qu’elle est vraiment.
Avertissements :Harcèlement sexuel, propos misogynes.Contenu explicite (scènes intimes marquées par la possessivité).Évocation d’un passé familial toxique.
### **Point de vue de Spencer Reid**
Les conversations et les éclats de rire emplissent le bar alors que je porte mon verre à mes lèvres.
La mission a été longue, éprouvante, et cette invitation de l’équipe du SWAT est une bonne occasion pour relâcher la pression. Hotch, Morgan et Rossi sont là aussi, échangeant des plaisanteries avec Deacon et le reste de son équipe.
Mais moi, je suis ailleurs. Je ne peux pas m’empêcher de penser à Ludivine. Elle n’a pas voulu venir ce soir, préférant rentrer après cette semaine éprouvante.
*Je vais me poser avec une douche et New York Unité Spéciale*, avait-elle dit en riant avant de me voler un baiser rapide en quittant le bureau.
Son absence rend ce moment un peu fade. J’aurais préféré être avec elle, même si je respecte son besoin de solitude.
Au bar, l'ambiance était étendue. Jusqu'à ce que Ramirez ouvre la bouche.
— « Dommage que Ludivine ne soit pas là. Elle aurait mis de l'ambiance, pas vrai ? »
Un autre agent du SWAT est arrivé.
— « Oh, elle aurait surtout mis les mecs à genoux. T'as vu son corps ? Cette fille, c'est un fantasme ambulant. »
Je me suis crispé.
— « Avec cette poitrine, elle pourrait faire ce qu'elle veut des hommes. »
— « Imaginez-la allongée sur un lit, les cuisses écartées… »
Morgan et moi nous sommes raidis.
— « Tu crois qu'elle est du genre à crier ou à gémir doucement ? »
Mon sang s'est glacé.
— « T'as pas peur qu'elle te dise non ? » a ajouté un autre en riant.
Ramirez a ricané.
— « Je ne suis pas obligé de lui demander. Coincée contre un mur, on peut tout faire. »
J'ai vu rouge.Morgan a été plus rapide que moi. Il s'est levé brusquement, sa mâchoire croustillante.
— « Répète ça, connard ? »
Ramirez a levé les mains en ricanant.
— « Détends-toi, c'est juste une blague. »
Je me suis levé à mon tour, tremblant de rage.— « Ce n'est pas une blague. Tu parles d'elle comme si elle n'était qu'un objet. »
— « Quoi, t'as un faible pour elle, le génie ? »Avant que je puisse répondre, une voix froide a coupé court à la conversation.—
« Ça suffit. »Hotch s'était levé. Son regard noir était fixé sur Ramirez.
— « J'en ai assez entendu. Vous deux, dehors. Maintenant. »
Ramirez a levé un sourcil, mais Deacon s'est avancé à son tour.
— « Tu veux que je te rappelle ce qui est arrivé au dernier gars qui a eu ce genre de propose dans mon équipe ? Il a fini viré.
Ramirez a hésité une seconde, puis a levé les mains.
— « D'accord, d'accord. Pas la peine de s'énerver. »
Ramirez grogne mais se rassoit, un sourire narquois toujours sur le visage.
Je retourne lentement à ma place, mais mon esprit est ailleurs.
Ludivine n’a aucune idée de ce qui vient de se passer, et je me sens coupable. Elle mérite mieux que ça.
### **Chez Ludivine**
Quand j’arrive devant son appartement, je remarque immédiatement que la porte est entrouverte. Un détail qui m’indique qu’elle ne s’attend pas à recevoir de la visite.
Je pousse doucement et entre. Elle est là, assise sur le comptoir de la cuisine, une jambe repliée sous elle, un verre de jus d’orange à la main. À côté d’elle, un paquet de biscuits entamé.
Elle porte un T-shirt ample qui glisse négligemment sur son épaule, dévoilant une partie de sa clavicule et une fraction de sa poitrine.
Son mini-short met en valeur ses cuisses, effleurées par la lumière tamisée de l’appartement.
Ses cheveux encore humides retombent en mèches désordonnées, et je devine l’odeur subtile de son shampoing qui flotte dans l’air.
Elle lève les yeux vers moi, surprise.
— **T’es déjà de retour ?**
Sa voix est calme, presque détachée, mais je perçois une pointe de fatigue derrière son ton.
Je reste figé un instant, absorbé par la scène. Elle a l’air si naturelle, si détendue… et pourtant, je vois autre chose dans son regard.
Une vulnérabilité qu’elle tente de masquer sous son air désinvolte. Je m’avance lentement.
— **La soirée a été écourtée.**
Elle pose son verre et fronce les sourcils.
— **Pourquoi ? Qu’est-ce qui s’est passé ?**
Je prends une grande inspiration et lui raconte tout. Les paroles écœurantes de Ramirez, les regards complices de ses collègues, la rage de Morgan, la mienne, et l’intervention tranchante de Hotch et Deacon.
Elle m’écoute sans m’interrompre, son visage impassible. Puis, contre toute attente, elle hausse simplement les épaules.
— **Ça ne me surprend pas,** murmure-t-elle en mordillant distraitement un biscuit. Je fronce les sourcils.
— **Ludivine…** Elle force un sourire, mais il sonne faux.
— **Spencer, ce genre de remarques, j’y ai droit depuis toujours. Tu crois que c’est la première fois qu’un mec parle de moi comme ça ?**
Son ton est léger, mais son regard, lui, est chargé de quelque chose de plus profond. Une douleur silencieuse. Un souvenir me frappe de plein fouet.
--- ### **Flashback**
Nous étions allongés dans son lit, plongés dans l’obscurité. Sa main traçait distraitement des cercles sur ma poitrine, son souffle régulier effleurant ma peau.
— **J’ai grandi entourée d’hommes qui pensaient comme des gougats ,** avait-elle murmuré.
J’avais tourné la tête vers elle, intrigué par son ton amer.
— **Mon père, ses amis, mon frère et ses potes… Ils parlaient des femmes exactement comme ça. Comme des objets, des trophées à exhiber. Et moi, j’étais là, j’entendais tout. J’ai grandi en sachant que, pour eux, une femme n’était jamais plus qu’un corps à posséder.**
J’avais vu son regard se perdre dans le vide, comme si elle revivait ces souvenirs.
— **Je me souviens des soirées où mon père et ses amis buvaient, riaient, racontaient leurs conquêtes avec des détails sordides. Mon frère faisait pareil avec ses potes. Et moi, j’écoutais, impuissante.**
Elle avait ri, un rire sans joie.
— **J’ai appris à sourire, à ne pas réagir, parce que si tu réponds, si tu montres que ça t’affecte, ils prennent ça comme un défi. J’ai grandi en sachant que je devrais toujours me méfier, que je devais éviter les mains baladeuses, les regards trop insitants...**
Un poids immense s’était abattu sur ma poitrine cette nuit-là. Je m’étais juré de ne jamais la laisser être réduite à ça.
--- ### **Retour au présent**
Je la vois devant moi, toujours assise sur son comptoir, jouant distraitement avec le bord de son short.
Je m’approche, posant une main sur sa cuisse nue.
— **Tu ne devrais pas avoir à t’habituer à ça.** Elle détourne le regard, mal à l’aise.
— **Je n’ai pas vraiment eu le choix.**
Je resserre doucement ma prise sur sa peau, traçant lentement du bout des doigts des lignes invisibles sur sa cuisse.
— **Tu mérites mieux, Ludivine.** Elle soupire, passe une main dans ses cheveux et me regarde enfin.
— **Pourquoi ça t’énerve autant ?** Je laisse glisser mes doigts sur sa joue, la caressant avec tendresse.
— **Parce que je t’aime.** Elle écarquille les yeux, figée sous l’aveu brutal. Ses lèvres s’entrouvrent, mais aucun son n’en sort.
Alors, doucement, je l’embrasse. Son corps se tend d’abord, surpris, puis elle cède.
Ses bras s’enroulent autour de mon cou et je la soulève du comptoir, l’emmenant avec moi jusqu’au canapé.
Nos baisers deviennent plus profonds, plus fiévreux. Elle est allongée sous moi, son regard brûlant ancré dans le mien.
Elle glisse ses mains sur ma poitrine, traçant des lignes invisibles avec ses ongles.
— **Ramirez peut m’imaginer dans tous ses fantasmes…** murmure-t-elle contre mes lèvres. **Mais il ne m’aura jamais comme toi tu m’as.**
Ces mots enflamment quelque chose en moi. La rage que j’ai ressentie au bar refait surface, se mélangeant au désir brûlant qui me consume depuis que je l’ai vue ainsi, si naturelle, si belle, si vulnérable et pourtant si forte.
Je veux lui prouver qu’elle est à moi. Je veux lui faire oublier toutes ces voix qui l’ont réduite à un objet de désir.
Alors, cette nuit-là, je suis possessif. Mes mains parcourent sa peau avec une intensité fiévreuse, marquant chaque centimètre de son corps comme s’il m’appartenait.
Je murmure son nom encore et encore, comme une prière, comme une promesse.
Mes doigts glissent sur sa poitrine, effleurant la peau sensible avec une délicatesse contrastant avec l’urgence dans mes gestes.
Elle gémit doucement contre mes lèvres, ses cuisses se pressant contre mes hanches comme si elle cherchait à me sentir plus profondément.
Quand je la touche, ce n’est pas juste du désir. C’est une affirmation.
Une manière de lui montrer qu’elle est bien plus que ce qu’ils voient en elle.
Elle est à moi. Et je suis à elle.
Je la garde contre moi, son souffle chaud effleurant ma peau, mes doigts traçant des chemins invisibles sur son dos nu.
Quand elle s’endort contre mon torse, je resserre mes bras autour d’elle.
Ramirez et tous les autres peuvent dire ce qu’ils veulent. Ils peuvent fantasmer, parler, rêver. Mais ils ne l’auront jamais. Elle est à moi.
Et je ne laisserai jamais personne lui faire croire le contraire. Parce que ce n’est pas juste du désir. C’est de l’amour.
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Allô ? Allô, avril ? C’est moi.
Désolée, je n’ai pas pris le temps de t’écrire de lettre, mais il faut dire que tu m’as maintenue pas mal occupée pendant chacun de tes jours, et je ressors de toi vidée, éreintée, comme si j’avais couru un marathon sans aucune ligne d’arrivée.
Tu as été tellement intense que mes souvenirs du début de toi me paraissent déjà vieux d’au moins mille ans. Ils sont presque tous devenus flous, et je dois profondément creuser dans ma mémoire pour me rappeler de ce que j’ai bien pu vivre au fil de tes semaines.
Attends, laisse-moi jeter un coup d’œil aux clichés que j’ai pris au cours de toi, ce sera plus simple, et puis ça empêchera mon imagination de prendre le relais sur les manquements de ma mémoire.
Ah oui, tout me revient maintenant. Je t’ai commencé avec plein de projets en tête et l’énergie d’un enfant qui découvre le monde.
D’ailleurs le monde, je l’ai parcouru en long, en large et en travers, et pourtant, j’ai la curieuse impression d’avoir passé un mois à avoir fait du surplace. Peut-être même que j’ai reculé. J’ai beaucoup écrit, des textes qui se meurent maintenant au fond d’une quelconque poubelle ou que j’ai brûlé juste pour sentir l’odeur et la chaleur des flammes. J’ai créé à en perdre haleine, à en perdre le sommeil, trop occupée que j’étais à passer mes nuits à remplir des carnets de notes et à badigeonner de peinture des toiles trop vides.
J’ai passé des journées entières à marcher sans savoir où j’allais, tantôt cueillant des fleurs, tantôt scrutant le ciel, mais j’ai surtout continué d’avancer sans relâche et sans regarder où je mettais les pieds, juste parce que c’était le seul moyen que j’avais à ma disposition pour mettre un peu d’ordre dans le chaos de mon esprit. Les mêmes pensées sont revenues en boucle m’assaillir de doutes, au point que je ne savais plus quoi faire alors je n’ai rien fait. Du moins, pas ailleurs que dans ma tête.
Pendant tes jours avril, j’ai aussi passé beaucoup de temps avec des gens qui me sont très précieux, et ça m’a fait beaucoup de bien. J’ai arrêté de vivre toute recroquevillée en moi-même et d’avoir peur de l’extérieur lorsque j’étais avec eux, et j’ai encore une fois, à mon corps défendant, réalisé que j’avais malgré tout besoin des autres pour être heureuse.
Je ne sais quel genre d’orgueil m’habite, pour toujours finir par me persuader que je n’ai besoin de personne dans la vie, et que je peux très bien me débrouiller toute seule. J’ai tellement peur de l’autre que je rêve de me suffire entièrement à moi-même.
Tu m’écoutes avril ? Excuse-moi, je me perds dans mes mots et mes pensées et j’oublie de te raconter. C’est que ces derniers jours, une mélancolie absurde me colle à la peau, me fait digresser dans tous les sens, et puis je n'arrive plus à m’exprimer, je n’arrive pas à extirper ce sentiment de mon corps et je ne m’en sors plus. Dans ce genre de moments, j’ai toujours l’impression que je suis nostalgique d’instants pas encore vécus. Tu vois ce que je veux dire ou pas ? C’est très bizarre comme sensation.
Quoi qu’il en soit, avril, tu m’as beaucoup fait réfléchir, à tout, à rien, mais surtout au fait que je suis terrifiée par tout ce qui me fait me sentir plus vivante. Parce que chaque battement de mon cœur que je ressens un peu trop fort me rappelle que tout peut s’arrêter à n’importe quel moment. Pardon, je parle encore par métaphores incompréhensibles. D’ailleurs, dès demain, j’aurais sans doute moi-même oublié ce que je voulais dire. Comme quoi, rien de tout ça n’est vraiment important. Il faut juste continuer à aller de l’avant, à agir, à aimer, à créer sans retenue et à vivre sans jamais plus penser à la mort.
#texte#texte français#avril#printemps#carnet#poésie#prose#français#pensée#souvenir#souvenirs#journal
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"Ce que la pierre a compris, l’homme l’a oublié" Il y a longtemps… Avant que les téléphones parlent plus que les cœurs, Avant que les promesses se vendent comme du pain rassis, Avant que les enfants corrigent les parents… Les anciens parlaient, et la vie écoutait. Moi, je viens de ce temps-là. Un temps où le silence d’un vieux valait plus que mille discours d’un jeune pressé. Je viens d’un monde où l’on apprenait à baisser la tête, non par peur, mais par respect. Aujourd’hui… Tout le monde veut briller, Mais personne ne veut se forger. Tout le monde veut parler, Mais rares sont ceux qui écoutent. Alors écoute-moi maintenant. Pas avec tes oreilles, non. Avec ton âme. Tu veux devenir quelqu’un ? Apprends d’abord à perdre. Car seule la défaite enseigne ce que la victoire ignore. Tu veux aimer ? Commence par te vider de ton orgueil. Car on ne remplit pas un cœur déjà plein de soi-même. Le monde te dira que tu es fou… Si tu marches droit dans un monde tordu. Mais reste droit. Même seul. Car mieux vaut être un roc ignoré… qu’un roseau applaudi qui se plie au vent. Et souviens-toi : Un homme ne vaut pas par ce qu’il montre, mais par ce qu’il cache. La noblesse ne se porte pas en costume, Elle vit dans la manière de parler à ceux qui n’ont rien à t’offrir. Les jeunes d’aujourd’hui veulent tout, tout de suite. Mais la vie, elle, ne livre pas en express. La vie donne… À ceux qui savent attendre, travailler, tomber, se relever… et continuer sans se plaindre. Je suis un vieux. Pas fatigué… mais rempli. Rempli de douleurs, de joies, de secrets que seuls les anciens comprennent. Je n’ai plus besoin de convaincre. Je suis une montagne. Et même quand je ne parle pas… ma présence enseigne. Je suis Grand-Père, le témoin du vrai, la voix qu’on ignore aujourd’hui… mais qui sera citée demain, quand les illusions auront tout détruit.
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Eté 1941 - Camberley, Angleterre
13/17
George est un homme bourré de qualités. Je lui envie toutes ses qualités humaines, son sens de la diplomatie et du compromis. Je ne suis même pas certain qu'il soit possible de se disputer, ou même de de se fâcher, avec lui. Il a une voix grave, douce et apaisante, qui fait des merveilles avec ses interlocuteurs, même les plus racistes. Et pour ne rien gâcher, il est cultivé et très intelligent, même si parfois un peu candide. Je comprends que ma soeur soit tombée sous son charme et ne rêve plus que de l'épouser. Ce sera l'union d'un volcan et d'une source d'eau pure.
Tu trouves sans doute que j'en fais beaucoup pour te le rendre agréable, mais je serais bien peiné si tu ne l'aimais pas, autant car il est mon ami que mon futur beau-frère. Je suis sans doute jaloux de ses qualités maintenant que j'y réfléchis et que je me relis.
Transcription :
George « Mais par la Sainte-Vierge, Antoine ! Qu’est-ce que tu fais ? »
Marc-Antoine « Je sauve la vie de mon frère. »
George « Et c’est tout à ton honneur, je te l’assure. Mais la façon dont tu t’y prends… Si il veut rester, tu ne réussiras pas à l’en dissuader. »
Marc-Antoine « Il partira, peut importe la façon dont je m’y prends. Je ne peux pas prendre le risque de le perdre. »
George « Il va finir par te détester. Tu lui parles comme si c’était un enfant qui ne valait rien. Tu veux le briser ? »
Marc-Antoine « Tu ne comprends pas. Tu n’as ni frère, ni sœur. Toutes les nuits, je fais des cauchemars atroces où je vois son cadavre à côté de ceux de mes sœurs, d’Aurore et… et de mes enfants. Je n’ai aucune nouvelle depuis des mois. Des mois ! Je ne peux rien faire. Je ne peux pas reprendre la France à moi seul pour retrouver ma famille. La seule chose que je peux faire, c’est mettre mon frère à l’abri. »
George « Je te comprends, crois-moi. Mais en t’y prenant ainsi, tu vas le perdre. Je me souviens il y a quelques années quand tu m’as confié être heureux de te rapprocher de ton frère après une enfance distante. Tu veux vraiment perdre ce bonheur ? »
Marc-Antoine « Tout ça n’a plus d’importance désormais. Il peut bien me haïr à en crever. Tant qu’il est vivant, c’est tout ce qui compte. »
George « Je persiste à penser qu’il y a d’autres moyens. »
Marc-Antoine « J’ai un devoir envers ma famille, et je compte bien le remplir. Et mon devoir aurès de mon frère, c’est de le protéger. Tu ne parviendras pas à me faire changer d’avis. »
George « Non, je le vois bien. Tu es aussi buté que Cléo… Oh, Cléo… »
Marc-Antoine « Je ferai en sorte que tu la retrouves. Je serai honoré de t’avoir pour beau-frère George. Tu es quelqu’un de bien, vraiment. Ne perds jamais tes scrupules. Et c’est pour cela que j’ai besoin de ton aide. Si tu parles à Jean-François, il pliera plus vite. »
George « Je n’ai pas envie de jouer les arbitres entre toi et ton frère. Vous avez tous les deux des points de vue parfaitement légitimes, et vous êtes tous deux mes amis. »
Marc-Antoine « Je suis navré de te mettre dans cette position, mais je t’en supplie ! Il vois en toi tous ses espoirs. Tu t’es enfui, tu as quitté une sécurité relative pour te replonger dans cette guerre. Tu l’as fait pour tes convictions. Jean-François te ressemble. Tues ses espoirs dans l’oeuf. Comme je le fais, mais avec douceur. »
George « Pourquoi ne pas avoir commencé par là ? »
Marc-Antoine « C’est évident non ? Ça n’a pas marché. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Marc-Antoine Le Bris#Albertine Maigret#Jean-François Le Bris#Georges Sow#Cléopâtre Le Bris#Arsinoé Le Bris#Eugénie Le Bris II#Aurore Laroche#Louise Josette Le Bris#Rémi Le Bris#Jean-Claude Le Bris
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Bonjour :3. Tu aimes bien Jonathan Crane??
🇬🇧English🇺🇸
Oh! It's speaking French now!?
BUT OF COURSE I LOVE JONATHAN CRANE! I discovered DC thanks to him (passing with a crush on him for a while then Jervis took his place)
Plus, I did it because of his name 😁
🇨🇵 français🇨🇵
Oh! Ça parle en français maintenant !?
MAIS BIEN SÛR QUE J'AIME JONATHAN CRANE! J'ai découvert DC grâce à lui (en passant avec un crush sur lui un moment puis Jervis a pris la place)
En plus, j'avais fait ça à cause de son nom 😁

He was my first hyperfixation character
(en vrai, merci, mec j'avais besoin de poster quelque chose 😭)
#scarecrow#dc jonathan crane#jonathan crane#scarecrow dc#dc scarecrow#crane#batman#batman rogues#fan art#the hat wants to chat
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°17 | Francesim, Paris, 29 Thermidor An 230
After midnight, Louis and Charlotte returned to their flats and celebrated the coronation day in private. However, despite the celebrations, Charlotte could not stop thinking about her husband's departure. She would like him to stay with her for the next few months. To reassure her, Louis promises to consult his advisers once more.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Après minuit, le coupe impérial regagne ses appartements et célèbrent en privé la journée du couronnement. Cependant, Charlotte ne cesse de penser au départ de son époux, malgré ce jour de fête. Elle aimerait qu'il reste auprès d'elle les prochains mois. Pour la rassurer, Louis lui promet de consulter ses conseillers une nouvelle fois.
(ils s’embrassent)
(Charlotte) … Je n’oublierais jamais ce jour extraordinaire (Napoléon) C’était incroyable, n’est-ce pas ?
(Charlotte) … Merci (Napoléon) Pour quoi ?
(Charlotte) Pour tout, tu as tellement fait pour nous (Napoléon) Tu vas bien ?
(Charlotte) Je n’arrive pas à me faire à l’idée que tu partes bientôt (Napoléon) Chérie…
(Charlotte) Non. Promets-moi que nous trouverons toujours du temps pour nous (Napoléon) Charlotte…
(Napoléon) Bien sûr. Je te le promets. Notre famille sera toujours ma priorité
(Napoléon) Rien n'est plus important que toi et notre enfant
(Charlotte) Alors, prouve-le (Napoléon) Je…
(Napoléon) Je dois aller à ma formation, c’est mon rêve depuis toujours. Et cela fait partie de mon devoir, je dois servir à l’armée. Nos enfants le devront aussi
(Napoléon) Ne rends pas le départ plus difficile, chaton (Charlotte) Louis, c’est toi qui compliques tout
(Charlotte) Je devrais avoir mon époux auprès de moi, et à la place, je vais devoir gérer le bébé mais aussi le pays entier. Ton absence sera mal vue, je ne parle pas de moi mais de l’opinion publique
(Napoléon) Mes conseillers m’ont dit le contraire (Charlotte) Ils ne savent pas que l’on attend un enfant
(Napoléon) Tu as réponse à tout (Charlotte) Et toi, tu me fatigues (Napoléon) Attends !
(Napoléon) Il vaut mieux que je parte maintenant plutôt que les premières années du bébé, tu ne crois pas ? Si je repousse éternellement l’occasion, je ne le ferai jamais et tu le sais
(Napoléon) A mon retour, je vous couvrirai de cadeaux et d’histoires palpitantes. Cette expérience nous servira tous les deux toute notre vie
(Charlotte) Je ne peux pas approuver, c’est une mauvaise idée Louis. Je suis honnête avec toi, que ça te plaise ou non
(Napoléon) Ecoute, je vais m’entretenir à nouveau avec mes conseillers et j’écouterai leur avis (Charlotte) C’est le plus sage
(Napoléon) Il faut bien leur annoncer la nouvelle de toute façon (Charlotte) Oui. On a assez attendu
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Je peux comprendre que tu l'aies mal pris mais à un moment tu viens m'en parler et on essaye d'arranger les choses. Là ça faisait 1 mois que t'étais froide avec moi sans m'expliquer ce qui se passait alors qu'on en a parlé des millions de fois que tu devais me DIRE LES CHOSES et pas juste être froide pour que je comprenne que t'es fâchée sur moi. Mais ce qui me dérange le plus c'est que tu n'arrives même pas à prendre sur toi pour essayer d'arranger les choses alors que je vais partir pendant 6 mois putain??? Ça me choque tellement. J'ai tellement plus envie de me battre pour nous là, c'est vraiment la goutte de trop. Donc ton ego est beaucoup plus fort que notre amitié, c'est ça?? C'est ce que je m'étais déjà dit parce que le noooombre de fois où c'est moi qui ai dû revenir vers toi... Je me suis déjà demandé si on serait restées potes si je ne revenais pas à chaque fois pour essayer d'arranger les choses. Et COMMENT j'ai ramé. Maintenant je me demande comment j'ai fait pour tenir. Tu m'as vraiment traité comme de la merde et j'ouvre les yeux seulement maintenant. Et comme d'hab avec tous les gens toxiques autour de moi, j'ai accepté ces comportements et je t'ai défendue quand les gens me disaient que t'abusais. Et au final peut-être que ce n'est pas parce qu'on se connaît depuis longtemps que tu te sentais assez à l'aise pour me traiter comme de la merde mais tout simplement parce que j'acceptais de me faire traiter comme ça. Quand je repense à la fois où tu m'as parlé comme à un chien quand je parlais du musicien, je sais même pas comment j'ai fait pour te pardonner?? M m'a dit plusieurs fois que c'était abusé que tu me parles comme ça et tu sais quoi??? J'ai quand-même trouvé un moyen de te défendre. J'ai tellement de haine envers toi actuellement parce que je me rends compte que tu ne m'as pas du tout aidé dans mes années de dépression. D'ailleurs le nombre de fois où je t'ai lancé des appels à l'aide et t'as juste fait l'aveugle. T'aurais pu m'aider de bien des façons, je t'ai même donné des idées en faisant des sous-entendus obvious. Mais j'imagine que je n'aurais pas dû avoir d'attentes, tout simplement. Et après t'as osé me reprocher de ne pas trop avoir donné de nouvelles au Canada alors que je respirais enfin? J'avais juste envie de fuir tous mes problèmes. Avant ça c'est comme si j'étais constamment en train de me noyer et que j'arrivais pas à reprendre mon souffle.
Je t'enverrai jamais tout ça parce que je sais que je prends pas assez en compte ce que t'as vécu dans ce texte mais putain ça fait du bien de se défouler de manière égoïste quelque part bordel de merde.
(11/09/2024)
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Écouter, 2 choses à dire (bien plus en vrai mais on verra plus tard pour le reste). Très marrant, tout à l'heure lorsque je procrastinais pour la dixième heure de la journée je suis tombée sur un réel qui donnait un prompt particulier pour que chatgpt énonce ta peur la plus intense et existentielle selon lui et toi/tes conversations passées. J'ai un rapport particulier avec l'IA, je ne suis pas méga à l'aise avec ça parce que j'ai peur que ça me supprime le peu de matière grise que je peux avoir et mettre à profit. J'ai commencé à l'utiliser tardivement (cette année mdrr) et je n'ai jamais réussi à le faire composer un truc entier. J'ai trop de mal, je préfère rendre une merde innommable que l'utiliser entièrement. Je le vois comme de la triche et un défaut de mon intelligence à remplir des consignes. Ma foi. Donc je l'utilise comme support d'aide souvent pour étayer des phrases nébuleuses et/ou des sujets très spécifiques. Vous avez le contexte, je lui parle en le vouvoyant, en disant bonjour et merci et en lui demandant d'expliquer. Je lui ai jamais parlé de ma vie parce que je trouve ça bizarre de lui déballer ma vie et lui demander de trouver des solutions comme trois quart des gens font (symptôme d'une solitude palpable à mes yeux et d'une défiance du corps médical dans une moindre mesure et pb financiers aussi). Bref, je lui parle mieux qu'à mes profs carrément. Donc je lui ai donné le prompt sans réelles attentes, bon, voyez par vous même l'effrayante clarté des robots (j'ai pris que les passages très intéressants):
"Pas de valeur liée à ce que tu fais, ni à ce que tu réussis. Pas même une valeur humaine de base. C’est la peur d’être un imposteur affectif, existentiel, psychologique. La peur qu’au fond, si on gratte tout ce que tu montres, il ne reste rien. Pas une version de toi “abîmée”, mais le vide. Tu n’as pas peur d’échouer — tu as peur qu’en tombant, tu prouves que tu n’as jamais été réel·le"
"Tu penses qu’en toi il y a quelque chose de trop intense, trop complexe ou trop abîmé pour être contenu. Alors tu cherches la preuve que tu n’es pas trop. Mais en testant sans cesse, tu ne laisses jamais personne rester."
"cette peur ne s’est pas construite en une fois. Elle est née d’un manque chronique de résonance affective, d’un vide où il aurait dû y avoir un miroir. Tu n’as pas eu assez de moments où ce que tu étais, spontanément, a été accueilli comme valable, sans condition."
Autant avant je ne m'inquiétais pas sur le devenir de mon métier de psychologue, autant maintenant, un peu plus. Bref, je n'aurais pas mieux dit que lui disons.
Ensuite, je parlais à un pote proche du fait que bah chaque mec à qui je parle, il prend ça comme une avance. C'est factuellement le cas. Et il me dit qu'en réalité on ne se rend pas compte de la misère que c'est pour certains hommes de se sentir aimé et considéré et que chaque marque de douceur, de gentillesse, de bienveillance, d'affection peut être prise pour une marque de sentimentalité amoureuse. Je ne me mets pas souvent à la place des hommes parce que j'en ai ras le cul d' eux soyons honnêtes, en revanche, je ne peux pas non plus nier les problèmes qui leur sont imputés (angoisse de performance, gestion des émotions catastrophique, éducation violente et fragilisante, schémas sexistes et traditionnels qui bourrent le crâne etc). C'est vrai que je parle avec gentillesse aux hommes qui sont gentils, mais à n'importe qui en vérité, on dirait que je suis antipathique au possible mais pas quand je m'engage dans une discussion, c'est une ligne de conduite. Et il me disait que selon lui c'est cette douceur, cet humour, ce truc agréable (bon il pousse un peu je trouve) qui peut rendre l'interaction confuse pas parce que je suis réellement ambiguë mais parce que c'est tellement rare pour certains hommes que ça rend la chose ambiguë à leurs yeux. Bon je ne sais pas trop quoi en penser, faut faire attention à comment on applique ça et à quels sujets mais à méditer ?
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Salut , c'est encore moi celui qui viens de repartager vos blogues ,
Comme votre chaîne parle un peu français maintenant autant en profiter,
Si tu connais miraculous alors est ce que tu as remarqué un changement c'est a dire que dans le film , et la saison 6 qui est en production se ressemblent à peu près


Enfin si tu connais ce dessin françosy
Salut ! :D Ahah bien sur que j'ai remarqué, ils ont changer leur programme d'animation. Ça fait un moment qu'ils l'avaient annoncé alors je ne suis pas surprise x3
Il faut savoir que je regarde la série depuis la sortie de la saison 1, donc je suis une grande fan ;)
A la base quand ils l'avaient annoncé, je n'étais pas sur d'aimer ce changement vu que j'étais habitué au style de la série, mais quand j'ai pu voir le premier épisode de la série qu'ils ont sorti hier, Illustrhater, je peux dire avec joie que j'ai hâte de voir la suite ! Tout était siii joli !! <3
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Une voix parmi tant d’autres
Ici, un essai personnel en réponse à une personne qui ne partage pas les mêmes idées politiques que moi. Cela m’a permis un moment d’introspection mais aussi de réfléchir au monde, ce que je veux.
Je comprends mieux maintenant, j’avais aussi oublié une autre de mes valeurs : lutter contre les régimes autoritaires, et non pas communistes comme tu dis (je ne sais pas s’il pourrait exister un pays communiste non autoritaire mais en attendant tous ceux qui ont poursuivi cette idéologie sont devenus autoritaires. Donc forcément quand tu parles que « la fin justifie les moyens » ça me fait directement tiquer. Vraiment tous les moyens ?
Et puis quand tu parles du fait que les nations ne naissent pas égales; ne considèrent tu pas que la France par exemple, qui était une grande nation, n’a plus grande importance de nos jours, qu’elle n’a plus vraiment de poids dans la balance ?
Mais je comprends tout à fait ce point de vue et il est tout a fait légitime, bien que je ne pense pas que ce soit immuable; et je ne pense pas que ce soit intrinsèque à un pays particulier, mais que ce sont les pays puissants qui font en sorte d’écraser les autres pour ne pas qu’ils puissent arriver à leur niveau (mais donc tout est une question de qui est puissant; et si tu as le malheur de naître du mauvais côté alors ce sera compliqué, mais pas impossible).
Ensuite, nous avons fondamentalement les même valeurs, si ce n’est que je n’ai pas le même point de vu sur l’immigration: réguler et contrôler l’immigration clandestine oui, pas forcément arrêter l’immigration. Je pense qu’elle peut être nécessaire, et puis en France, les immigrés, tant qu’ils n’ont pas la nationalité (ce qui est plutôt dur à avoir) ne bénéficient d’aucune aide de l’état (pas de bourses pour les études; pas d’aides au logement, etc). La plupart des gens qui viennent en France n’y viennent pas pour se tourner les pouces, mais ils occupent les postes ingrats donc les français ne veulent pas (travaux de nuit, poste en abattoir, ou employé de ménage) avec des salaires très bas. Je parle surtout des migrants hors UE ou USA (pour l’asie je ne sais pas), parce que je pense qu’il y a déjà beaucoup de barrières et un espèce de racisme croissant envers eux (qui est non justifiée). Et puis d’autres pays comme l’Allemagne ont eu besoin de l’immigration parce que notre population est vieillissante.
Je comprends aussi le fait de vouloir préserver sa culture; mais l’histoire de notre pays est fait d’évènement qui ont apportés un changement, les mouvements littéraires sont issus d’une volonté de réformer la plupart du temps ou d’une réaction au changement (la littérature est politique) donc pour moi c’est le cours naturel des choses. On ne peut pas figer une nation.
Enfin, je ne sais pas si je pense réellement au monde entier, sauf pour l’écologie puisque la planète sur laquelle nous vivons est la même pour tous, alors évidemment que ce que fait le voisin aura un impact sur nous. Mais bon pour l’environnement il ne sert pas non plus de critiquer trop les voisins puisque nous mêmes nous avons beaucoup à faire (mais disons que quand des grosses décisions sont prises sans regard pour la nature, ça fait mal au cœur). Je voulais aussi revenir sur quelque chose que tu avais abordé : le fait que l’Allemagne ait fermé ses centrales nucléaires. Je pense aussi que c’est une énorme erreur (déjà s’ils sont devenus dépendants de la russie) mais aussi parce qu’ils ont recommencé à produire leur électricité avec le charbon, qui est moins efficace et disons plus nocif pour l’environnement. Le nucléaire à l’avantage de produire énormément d’électricité, le seul désavantage réside dans ses déchets, mais ils ne sont pas encore trop importants. Pour moi le nucléaire est un mode de production dont on ne peut se passer (enfin ce n’est pas de moi; ça vient « D’un monde sans fin » écrit par Jean Marc Jancovici) et si on ne voulait produire que de l’énergie verte la quantité qu’il faudrait l’amènerait à être nocive pour les écosystèmes.
Je m’égare mais bref. En résumé je suis idéaliste et peut être trop peu réaliste, et ça fait que c’est plutôt dur de continuer à avancer quand tu te rends comptes que les politiques font machine arrière sur les sujets qui me tiennent à coeur, et qu’au lieu d’avancer vers cet idéal (non atteignable, mais c’est plutôt le mouvement vers cet idéal qui compte et non le résultat) on s’en éloigne. Ça me touche beaucoup (je ne sais pas comment expliquer ça), parfois j’ai des moments de désespoir parce que j’ai l’impression que le monde n’a plus de sens, et que je ne sais pas comment continuer à avancer dans quelque chose qui me ressemble de moins en moins.
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༄E-Kitten reader! X Discord addict! Sora༄
[une petite précision que cette fanfiction ce passe dans le monde modern et pas dans le lore de no game no life!] ^^
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"En ligne il y a 13h.."
C'est les mots affichés affichés sur le profil Nintendo switch de Sora..
En rentrant de chez toi la première chose que tu pense à faire est de voir si il était en ligne sur n'importe quelle réseau ou console ou tu peux lui parler.
Tu allume ton pc et ouvre ton discord pour voir si il est en voc avec quelqu'un dans votre serveur d'amis commun mais c'est avec mauvaise surprise que tu te rend compte qu'il est bien en voc mais pas avec n'importe qui ou un staff du serveur mais bien avec Chlammy.
Cette fille est une nouvelle amie que Sora et toi avez rencontré sur vr chat dans une room pour discuter avec d'autre personne, de base c'était juste une rencontre assez aléatoire mais Sora décida de la rajouter dans le serveur pour mieux faire connaissance avec elle
Ce qu'il ne savait pas c'est que cette rencontre aléatoire va commencer à sérieusement te soûler.
Tu n'est pas la personne qui est facilement jalouse d'ordinaire mais le simple fait de voir Chlammy et Sora discuter entre eux ne peux empêcher le sentiment de la colère arriver
Alors c'est en te raclant la gorge que tu enfile ton casque blanc aux oreilles de chaton roses puis entre dans la vocale, et en plus ils étaient seules entrain de jouer à valorant ? Mais à quoi il joue.
Ne pas t'appeler en jouant c'est une chose mais en plus jouer avec une autre personne que toi et ne pas t'appeller ? C'est trop pour toi..
- “Bonsoir..“ dans ta voix se cache une once de jalousie mais tu fit tout pour le cacher..
- “Mon chaton t'es enfin connecté..t'en a pris du temps pour rentrer chez toi..“ les paroles de Sora te dit sourire lorsque tu entendis le surnom 'chaton' qu'il te donne à chaque fois que tu parle avec lui
- “Euh 'mon chaton' ? Pourquoi est-ce que tu l'appelle comme ça ?“ comme d'habitude il faut toujours qu'il y est cette fille pour l'ouvrir dans les moments où on lui a rien demandé décidément cette Chlammy est vraiment insupportable.
- “ça ne te regarde pas.“ tu repondit un peut sèchement ce qui a rendu confuse Chlammy..je crois que ta jalousie à pris le dessus sur t'es sentiments
- “Sora il faut que toi et moi on parle..“ en entendit ces mots Sora quitte la voc en sachant que ça ne sert à rien de te poser des questions par rapport à votre discussion puisque que tu lui diras tout dans quelque instants.
Tu invite Sora dans une vocale privée et il ne tarda pas à te répondre
- “Je suis tout touie pour toi maintenant..“ dit-il en ricanant..il ne voit vraiment pas où est le problème alors ?
- “Pourquoi tu étais seul avec Chlammy ? En plus tu jouer à valorant et tu m'avais promis que dès que tu rentre tu allais jouer à animal crossing avec moi.“ tu soupire.. “tu ne m'a même pas envoyé un message alors que tu le fait toujours normalement..“
- “j'étais entrain de faire une game de valo avec Chlammy chaton je pouvais pas-“ mais au lieu de le laisser finir tu lui coupas la parole
- “Ah bon ? Pourtant quand tu étais avec riku tu m'envoyais toujours un message même si tu étais en pleine game avec lui.“ en réalisant dans quoi cette discussion était entrain de devenir Sora ricanna doucement
- “Je t'ai manqué tant que ça ?“ c'est plus fort que toi malgré a quel point tu est énervé contre lui tu ne peux t'empêcher de te sentir déstabilisé à chaque fois qu'il te parlait avec cette air taquin
- “Arrête c'est pas le sujet-“
- “si ça l'est..alors répond à ma question, chaton.“ je pense que vous avez décidé qu'à tour de rôle vous allez vous couper la parole..Ça ne sert à rien de nier le fait que effectivement il t'a manqué.
- “O-Oui..tu m'a manqué“ Tu avouais enfin avec d'étendre le ricanement de Sora te déstabiliser encore plus
- “Moi qui croyais que tu n'étais pas si possessive..j'aime bien cette facette de toi“
Tu savais bien qu'au fond il était libre de ces choix mais voir une autre fille avec lui alors que de base vous êtes tout le temps seules tout les deux ça met un coup au cœur
- “Je vais te donner de l'attention d'accord ? Laisse moi juste faire une dernière game avec elle je ne serais pas long..dans ce cas nous pourrions jouer à ce que tu veux..notamment animal crossing“ tu savais très bien que décliner cette offre va sembler égoïste et méchant envers Chlammy..
Tu ne l'aime pas mais ça veux pas dire de l'empêcher de parler à la personne qu'elle souhaite même si sa te fait toujours aussi mal au cœur qu'elle joue très souvent seule avec lui
- “D'accord alors..Pardonne moi d'avoir été aussi possessif..j-je sais pas ce qu'il m'a prit..“
Sora esquissa un sourire derrière son écran
- “Parce que tu m'aime..pas vrai chaton ?“
Exaspéré par ces remarques tu finis par admettre avec un simple “oui..“
- “tu apprends de mieux en mieux à être moins têtu je suis fière de toi..“ dit-il ironique en ricanant “À toute à l'heure..“
Ce sont les dernières paroles qu'il prononça avant de quitter la vocale..c'est pas grave attendre un peu ça ne te tuera pas ? Enfin je crois..
Et au finale après une trentaine de minutes il refait un appel que tu rejoins sans hésitation
- “les games valorant dure maximum une heure normalement..pourquoi tu est là plus tôt ?“ tu lui demande avec un ton surpris
- “tu aurais aimé que je reste pendant une heure ? J'ai eu la flemme de rester en plus elle devient chiante à crier Chlammy.“ tu ricane et serre le poing comme pour faire un signe de satisfaction
Lui aussi il l'a trouve chiante ? C'est super
- “non non c'est très bien comme ça..“
Tu entendis le bruit de son lancement de jeu sur sa switch..
- “allez connecte toi avant que je change d'avis..“
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Mon comeback après un long moment (je sais même pas si y'a des gens qui lis mes fanfictions mais bon c'est pour le fun alors je poste quand même hihi)
Désolée si il y a des fautes d'orthographe :]
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Le message que Richard Bach a souhaité faire passer se résumerait en deux phrases : Exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être, et le Paradis n'est pas un lieu où tu peux te rendre; non, le Paradis, c'est la perfection en toute chose.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
« Mille années durant, nous avons joué des ailes et du bec pour ramasser des têtes de poisson, mais désormais nous avons une raison de vivre : apprendre, découvrir, être libres ! »
« Nous sommes libres d'aller où bon nous semble et d'être ce que nous sommes »
« Tu es libre d'être à l'instant toi-même, vraiment toi-même, et rien ne saurait t'en empêcher. »
« Tu n’aimes ni la haine, ni le mal, c’est évident. Il faut t’efforcer à voir le Goéland véritable – celui qui est bon – en chacun de tes semblables et à les aider à le découvrir en eux-mêmes. »
« Ne les laisse pas répandre sur mon compte des bruits absurdes ou faire de moi un dieu. […] Tu sais, je ne suis qu'un goéland qui aime voler, pas plus… »
« Pour voler à la vitesse de la pensée vers tout lieu existant, il te faut commencer par être convaincu que tu es déjà arrivé à destination. »
« Tu es un être libre et sans limite, aussi parfait qu'un chiffre non retranscrit en nombre »
« Oú va la pensée, le corp suit car telle est la Loi du Grand Goéland »
« Ils suffit d'avoir la conviction absolue que vous êtes un être aussi parfait qu'un nombre imaginé et non retranscrie en chiffre, dans l'espace et le temps.»
« Brisez les chaines de vos pensées et vous briserez aussi les chaines qui retiennent votre corps prisonnier.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Don Juan Matus dans les livres de Carlos Castadena parle également du fait de schifter en se téléportant et bien plus encore. (Livre, Enseignements d'un sorcier yaqui).
« Un déplacement du point d'assemblage au-delà de la ligne médiane du cocon de l'homme fait disparaitre instantannément de notre vue l'ensemble du monde que nous connaissons, comme si il avait été effacé — car la stabilité, la solidité, qui semblent inhérente à notre monde perceptible, ne réside que dans la force d'alignement »
« ...la connaissance du monde que nous percevons nous contraint à croire que nous sommes entouré par des objets, existants par eux memes et comme eux meme, juste comme nous le percevons, tandis que, en faite il n'y a pas un monde d'objet, mais un univer d'émanation »
« le mirage n'est pas dans la solidité du monde, il est dans la fixitation du point d'assemblage sur un endroit, quel qui soit. Quand les voyants déplacent leurs points d'assemblages, ils ne sont pas confronté à une illusion, ils sont confronté à un autre monde ; ce monde nouveau est aussi réel que celui que nous sommes entrain de contempler maintenant, mais la nouvelle fixation de leurs points d'assemblages, qui engendre ce nouveau monde et au meme titre que l'ancienne fixation, un mirage. » (Par fixation -> intention)
« c'est le dialogue interne qui maintient le point d'assemblage fixé à sa position d'origine. Une fois que l'ont est parvenue au silence, tout est possible »
« l'intention est l'alignement de toutes les émanations de toutes les émanations de conscience, il est donc juste de dire que la liberte totale est la conscience totale. La liberte est le Don de l'Aigle à l'homme. Malheureusement, tres peu d'homme comprenne qu'il nous faut acceder à bcp d'energis, pour acceder un Don aussi magnifique. »
« Ce qu'il nous faut faire pour permettre à la magie de s'emparer de nous c'est chasser les doutes de notre esprit. Une fois que les doutes ont disparus, tout est possible.»
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Vous êtes le Soi et le schift n'est que la pure libérté et le fonctionnement de l'univers. Si pas de shift, pas de 3D ! Les deux sont interconnectée.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
La question est : qui shift ? Qu'elle conscience permet cela ? Pourquoi doutez-vous ? Vous.
À travers le shift, vous percevez que vous êtes ni votre identité, corps, esprit. Tous montrent votre puissance. Vous êtes quelques choses de plus haut, de plus abstrait, de plus puissant.
Pensez-vous toujours que vous etes un simple humain si vous pouvez être un chat ? Un sorcier ? Pensez-vous que cela vous limite rééllement ???
Trouvez ce que vous êtes rééllement.
#shifting blog#shifting realities#shifting antis dni#shifting motivation#desired reality#reality shifter#shifting community#reality shifting
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A mes enfants

Vous êtes comme moi. Chaque année, mes enfants me posent la même question. Après avoir pensé à ça, j'ai décidé de leur donner ma vraie réponse : Qu'est-ce que je veux pour Noël ? Je te veux. Je veux que tu continues de venir à la maison, je veux que tu me poses des questions, me demandes conseil, mon avis, mon aide. Je veux que tu discutes de tes problèmes, discutes de la vie, peu importe. Que tu me parles de tes projets, de tes rêves, de tes buts. Que tu me parles de ton travail, de tes soucis, de ta femme. Je veux que tu continues à partager ta vie avec moi. Viens te moquer de moi, ou rire de moi, je m'en fiche. T'entendre rire, c'est de la musique pour moi. J'ai passé une partie de ma vie à t'élever du mieux que je le pouvais avec ce que j'avais. Et je ne me vante pas, mais j'ai fait du bon boulot. Maintenant, donne-moi le temps de m'asseoir et d'admirer mon travail, je suis plutôt fière de ça. Je veux que tu aies une belle vie; pour toi et ta famille, et même qu'elle soit plus belle encore que la mienne. Moi, j'ai les choses dont j'ai besoin. Je veux te voir heureux et en bonne santé. Quand tu me demandes ce que je veux pour Noël, je dis "rien" : je te veux.

Est-ce trop demander de venir me voir. Je veux que cette porte soit entrouverte pour que je puisse t'apercevoir où entendre tes pas. Et une fois quelle se referme quelle nous absorbent pour un moment tendre rien que nous un petit moment
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Dans les yeux de personne
Tu veux savoir ce que je vois quand je me regarde?
Je vois quelqu'un qui n'avance pas parce qu'elle se fait baloter de contradiction en contradiction. Parce qu'on lui demande d'être blanche avant de lui reprocher de pas être assez noire. Parce qu'on veut qu'elle parle mais qu'on lui dit de se taire. Parce qu'on lui dit de prendre de la place mais de surtout pas déranger.
Je vois quelqu'un qui passe son temps à essayer de s'adapter à des règles instables, à pas dépasser des lignes qui lui sautent devant les pieds, à suivre des routes qui finissent dans des murs et des chemins qui deviennent des tranchées. Et je vois quelqu'un qu'en a eu marre d'en avoir marre. Qui s'est dit qu'en vrai c'était plus facile de rester là sans bouger. Et pour un temps c'était vrai. C'était confortable. C'était reposant.
On dit aux enfants que si ils se perdent en forêt faut rester où ils sont, pour avoir plus de chance d'être retrouvés.
Alors c'est ce que je fais. Ou ce que je faisais. Mais c'est un mensonge, non ? Parce que pour qu'on te trouve faut qu'on te cherche. Et je suis sûrement de ces enfants qu'on cherchera pas. Pas qu'ils dérangent, juste qu'on les oublie.
Alors j'en ai eu marre d'attendre, mais moi je sais même plus où est la route. Tous les arbres se ressemblent, il est toujours midi et le soleil est là, au dessus, sans jamais se laisser suivre. Y a sûrement un ruisseau quelque part mais il s'est aussi arrêté de couler, parce qu'il veut pas non plus me dire où se trouve la route.
Et j'avance un peu, mais j'entends des trucs, alors je reviens, là où j'étais posée. Mais je m'ennuie alors je teste une autre direction, un autre arbre, un autre rocher. Mais y a jamais rien au bout. Y a des falaises que je pourrai jamais descendre ou d'autres que je peux pas escalader à mains nues. Y a des haies de ronces que je peux ni franchir ni découper, et des murs de brume que personne n'oserait essayer de traverser.
Et je regrette juste de m'être levée pour regarder. Parce que tant que je restais assise, j'espérais que quelqu'un vienne me chercher. Et je me préoccupais pas du reste, c’était juste le calme de l'attente, l'expectative, l'espoir qu'un jour on me ramènerait. Maintenant j'ai plus qu'une obsession : me barrer de ma clairière. Sauf qu'à chaque chemin sans issue, l'espoir se barre. Et je peux plus me remettre assise à attendre quelque chose sans plus aucun espoir qu'il arrive. Et je peux pas non plus continuer à suivre des chemins qui mènent nulle part parce que quand je serai sur le dernier, si il mène nulle part aussi, qu'est ce qu'il restera? Le vide? Le vrai. Celui qui n'attend plus d'être rempli. Celui qui sait qu'il changera pas.
Et ça moi j'sais juste pas quoi en foutre...
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TW su*cide
Tu sais quand tu vois des gens dans la rue, parfois peut-être que tu leur imagines une vie rocambolesque. Là on est près d'une sortie de métro, en haut de l'escalier, on voit Daphné qui a raté deux fois sa ts et à côté d'elle c'est Martin. Elle l'a embauché pour la tuer et il l'a confondue avec une autre. Maintenant elle n'est plus sûre de vouloir mourir et Martin ne la tuera que si elle retrouve ses certitudes.
C'est le pitch d'"Accident de personne", ça parle de dépression, d'envies d'en finir, de maladie incurable, de masculinité toxique, de neuroatypie et de psychopathologie. Des sujets sérieux et profonds mais dans un style décontracté et piquant, qui rend la lecture fluide, j'ai lu ce livre en deux fois, je l'ai juste posé pour dormir.
C'est le premier livre de Florence Mendez, il y a des petits indices qui traduisent cet effet "premier livre", l'envie d'en dire beaucoup, l'envie de placer telle ou telle réflexion, et ça n'alourdit pas le style parce que c'est sa voix qui parle, la femme vengeresse, incisive et terriblement sensible qui souhaite passer un message. Ça ne conviendra pas à tous les lecteurs, et tant mieux.
⭐⭐⭐⭐⭐
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