#pas forcée
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malone-davis · 1 year ago
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Je sais que j'ai mal choisi à chaque début d'avant-première. Je dois être le seul acteur qui préfère jouer que de voir le résultat ! Tu parles de l'armoire à glace qui est là tous les jours sur le plateau ? Vos parents vous ont pas nourris pareil ? Je compte pas te le piquer, j'ai trop peur — mais te piquer toi par exemple c'est envisageable ? Une petite répétition ça fait jamais de mal.
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T'as un peu de marge avant qu'on arrive à l'avant-première, ça te laisse le temps de respirer. Mais je pense que t'es pas le seul à pas aimer voir tes films, y'a que les mégalos qui apprécient vraiment se voir. Oui c'est bien lui. Il a raflé tous les gênes d'Hulk et il m'a laissé le reste. Me piquer moi ? Wow, c'est rapide entre nous.
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Des astuces pour un apprentissage plus rapide ?
Je comprends pas comment je faisais avant pour que tout rentre aussi facilement dans ma tête. Visiblement, à force de plus pratiquer... j'ai fini par rouiller.
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plaidetchocolatchaud · 1 year ago
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Parmi les raisons pour lesquelles je ne regarde pas l'Eurovision cette année (la première est évidente), il y en a une qui est particulièrement personnelle : j'aime pas la musique de Silmane, à moins qu'il fasse autre chose pour le concours, je déteste son style, le côté trop culcul, trop sentimental, trop "je veux faire des musiques tristes" qui fait vraiment forcé, je supporte pas.
Et avec mes camarades de la danse, en juin dernier, malgré nos divergences musicales, on avait toutes eu le même avis sur son album avec Vitaa, on trouvais toutes ça pas émouvant mais juste chiant, voilà, nous sommes le club officiel des haters de Silmane, et oui, si jamais il gagne je ferai ma rageuse aigri quand quelqu'un me demandera mon avis même sans avoir regardé, voilà.
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tshifty · 1 year ago
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just-french-me-up · 2 years ago
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Je suis en train de lire "Forget me not" et je n'arrive pas à croire qu'il n'y ait pas encore eu de traduction française ! C'est un plaisir à lire, j'adore toutes les refs françaises, ça change des fics modern AU où tout se passe aux US... J'en suis qu'au début, mais merci infiniment pour cette fic, c'est un régal !
QKLTGJDLKHJKLFJDLKDF
Casually SCREAMIN
Aaaaahhh!!! Merci beaucoup ça me fait trop plaisir!! En vrai avec le recul j'aurai dû mettre les bouchées doubles et frenched it up encore plus! Ca me tenait à coeur d'ancrer une modern AU en France parce que c'est rare de pouvoir écrire une fic qui se passe dans son propre pays, c'était l'occasion!
J'aurais jamais la force de tout traduire malheureusement :') Déjà corriger tous les typos ça serait déjà pas mal! Mais il ne faut jamais dire jamais!
J'espère que le reste te plaira!!!!!!
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kilfeur · 4 months ago
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Le trophée où est placé Adrien tandis que Marinette était piégé dans une boule de ronces. Le fait qu'elle était gardée comme une princesse pour éviter quelqu'un la blesse. Tandis qu'Adrien est vu comme un prix à gagner, un chat schrodinger, ses désirs ou bien ce qu'il souhaite est coincé dans ce trophée. Et que la première chose auquel les deux pensent est l'être aimé. Chat Noir prêt à se battre contre et faire comprendre à son père la solitude qu'il risque d'infliger à sa fille. Alors que les deux grands pères sont forcés à se battre poussé par leurs orgueils et leurs colères. Là où Tikki ne pouvait pas trouver Marinette, Plagg était là pour là pour l'écouter et lui suggérer d'être Chat Noir. Mais ne peut pas sinon il risque d'être découvert !
Marinette qui finit par trouver le moyen de se sauver ! Alors que Ladybug hésite à casser l'anneau des jumeaux mais est soulagé de voir Adrien sain et sauf. Pareil pour Chat Noir avec Marinette.
The trophy where Adrien is placed while Marinette was trapped in a thorn ball. The fact that she was kept like a princess to avoid someone hurt her. While Adrien is seen as a prize to be won, a schrodinger cat, his desires or whatever he wishes for is trapped in this trophy. And the first thing on both their minds is their loved ones. Chat Noir is ready to fight back and make her father understand the loneliness he risks inflicting on his daughter. While both grandfathers are forced to fight by their pride and anger. Where Tikki couldn't find Marinette, Plagg was there to listen and suggest that he should be Chat Noir. But he can't, or he'll be found out!
Marinette finally finds a way to save herself! Ladybug hesitates to break the twins' ring, but is relieved to see Adrien safe and sound. The same goes for Chat Noir with Marinette.
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sloubs · 1 month ago
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translatingpostsinfrench · 4 months ago
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en vrai c'est un bon exercice, comme pour le fait qu'on ne peut pas traduire exactement "flemme" en tant que nom en anglais, on ne peut pas non plus traduire "horny" en tant qu'adjectif unique en français. et du coup on se retrouve forcé a trouver des alternatives comme en chien ou pervert. c'est là ou le jeu de traduction devient intéressant parce qu'il faut faire le choix entre la traduction la plus fidèle au mot a mot, ou celle qui paraît la plus naturelle a quelqu'un qui lit ça comme ça. Une traduction de livre ou de doublage voudra garder le sense d'un texte sans forcément en garder la syntaxe exacte mais ce n'est pas forcément ce que tu essaie de faire ici, et si tu dévie trop de l'original y'aura toujours des connards pour dire "euh mais horny ça veut pas du tout dire pervert" bref. j'ai l'impression d'être lui ->🤓☝️
perso ça me dérange pas du tout les corrections/suggestions (tant que c'est civilisé), au contraire je trouve aussi ça super intéressant!
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johnotaku1977 · 3 months ago
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Fragment #13 - Un Monde parfait
Dans ce monde-là, les puissants ont cédé la place aux fragiles, et c’est une bénédiction.
Fini les costards-cravates enfoncés dans leurs fauteuils de cuir, le verbe lisse et les mains froides.
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Place aux cœurs battants, aux âmes pleines, aux rires sans retenue. Ici, l’or ne brille pas, il se murmure, il se serre dans les bras, il se donne sans compter.
Au sommet de l’État, le Ministère de la Tendresse régit les relations humaines.
Plus d’e-mails impersonnels, plus d’échanges creux.
Chaque décision se prend dans la sincérité du regard, et chaque loi doit prouver qu’elle rend le monde plus doux.
Le ministre, un ancien résident d’un foyer de vie, connaît le poids du silence et la puissance d’un sourire.
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À ses côtés, le Ministère de la Solidarité Humaine, tenu par une personne avec une déficience mentale légère, qui sait mieux que quiconque ce que signifie tendre la main.
Ici, pas de paperasse, pas de procédures absurdes. On agit. Une personne isolée ? On l’accompagne. Un besoin criant ?
On y répond. Sans filtres, sans conditions.
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Le Ministère de l’Handicap Productif, lui, est dirigé par des autistes de haut niveau, ces génies de la logique et de l’ordre, qui réorganisent le travail non plus pour le rendement, mais pour l’épanouissement.
On ne travaille pas pour produire, on produit pour s’épanouir.
Ceux qui n’ont pas de compétences techniques se chargent des tâches essentielles : égayer les rues, raconter des histoires, prendre soin des âmes.
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Le Ministère des Rêves et de l’Imaginaire, confié aux schizophrènes, ceux qui entendent et voient ce que nous n’osons même pas imaginer.
Ce sont eux qui inspirent la cité, qui soufflent aux artistes, qui réenchantent le quotidien.
Chaque décision politique doit passer entre leurs mains : est-ce que ça rend le monde plus poétique ?
Sinon, on jette.
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Le Ministère des Rythmes et des Silences, confié aux autistes non-verbaux et aux musiciens hypersensibles.
Eux seuls savent que le silence est parfois plus fort que les mots, que les battements du cœur sont une mélodie, que la vie est une partition où chaque être joue sa propre note.
Ils organisent les villes, les espaces de vie, en fonction de l’harmonie, bannissant le bruit inutile et favorisant les symphonies naturelles du vent, des rires d’enfants et du clapotis de l’eau.
Le Ministère du Temps Perdu, dirigé par ceux qu’on qualifiait autrefois de “rêveurs”, ceux qui passaient trop de temps à contempler un coucher de soleil, à suivre des nuages, à s’égarer dans des pensées sans utilité immédiate.
Leur mission : réhabiliter la flânerie, la sieste, le droit à ne rien faire, pour que personne ne soit jamais jugé pour avoir perdu du temps à simplement exister.
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Le Ministère de la Parole Vraie, où siègent les trisomiques et ceux qui ne savent pas mentir. Ici, pas de langue de bois, pas de demi-mots.
On parle avec le cœur, on ne cache rien sous des phrases creuses.
On préfère un silence gêné à une parole fausse.
Les décisions politiques passent toutes par eux : si ça ne sonne pas juste, c’est refusé.
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Le Ministère des Gestes et des Émotions, dirigé par ceux qui n’ont jamais su expliquer ce qu’ils ressentaient avec des mots mais qui, par une caresse sur l’épaule, un froncement de sourcils ou un regard mouillé, disent tout.
Ici, on enseigne la communication au-delà des phrases, on apprend aux citoyens à écouter avec leurs tripes, à comprendre ce qui se cache derrière une main tremblante ou un rire trop forcé.
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Le Ministère du Courage Fragile, où siègent ceux qui ont traversé l’enfer et en sont revenus.
Anciens dépressifs, anciens suicidaires, ceux qui ont connu le fond et qui ont appris que la lumière, parfois, vient du plus obscur.
Ils sont chargés de rappeler à tous que la force ne se mesure pas en domination, mais en capacité à se relever.
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Et puis, il y a le Ministère des Vies Minuscules, inspiré par les personnes les plus discrètes : ceux qui n’ont jamais fait de bruit, qui ont vécu sans éclat, sans grand destin, mais qui, par une main posée sur l’épaule au bon moment, par une parole dite avec justesse, ont sauvé des vies sans le savoir.
Ce sont eux qui veillent sur ceux qu’on ne remarque pas, sur les solitaires, sur les effacés.
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Le naufrage des anciens puissants
Dans cette société, l’argent n’existe plus.
La monnaie, c’est la tendresse.
Un café s’achète avec un éclat de rire, un plein d’essence avec une chanson, un repas chaud avec une étreinte sincère.
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Ceux qui ne savent plus donner de la tendresse – ces anciens hommes de pouvoir, ces prédateurs froids et calculateurs – errent dans les rues, pauvres de leur vide intérieur.
Ils traînent leurs silhouettes défraîchies le long des avenues où personne ne les regarde plus.
Le soir, on les retrouve dans les soupes populaires, là où, autrefois, ils auraient détourné le regard.
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Mais ici, il n’y a plus de misère financière, seulement la misère humaine.
Et la leur est abyssale. Ils tendent la main, maladroitement, cherchant à troquer quelques miettes de chaleur contre des souvenirs de leur gloire passée.
Mais personne ne veut de leur ancien monde. Il est révolu.
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Et quand la nuit tombe sur cette République nouvelle, les ministres dansent. Ils dansent, ils rient, ils pleurent aussi parfois, mais surtout, ils vivent. Enfin, ils vivent.
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nicolasdautrec · 6 months ago
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Je suis un solitaire, c’est pas un drame, c’est un état. Les foules, ça braille, ça s’agite pour rien, ça se regarde vivre. Moi, j’aime le silence, celui qui te prend quand il n’y a personne pour te déranger. Une mer calme ou un comptoir vide, c’est tout ce qu’il me faut. Les autres, ils me fatiguent avec leurs grandes tirades et leurs rires forcés. Je préfère un bon jazz, une pensée qui dérive, et la paix. Pas besoin de tout ce tintamarre. La solitude, c’est comme le large, ça te remet en place, ça te fout un peu de vent dans l’âme.
📷 : me
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leschosesetlesfantomes · 5 months ago
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Les habitudes qui rendent ma vie un peu plus douce et heureuse en tant que personne fluctuante et dépressive : · Lire. Pas forcément beaucoup, mais régulièrement. Le lecture me force à me concentrer, à mobiliser mon attention, à me poser. C'est une forme de méditation active. Et puis surtout c'est l'une de mes passions, ça m'apporte beaucoup de joie.
· Chronométrer les moments importants pour moi, ceux que j'ai du mal à m'accorder, comme la lecture, pour m'obliger à m'offrir ce temps. Souvent, je n'ose pas commencer une activité parce que j'ai peur de ne pas être productive, mais visualiser le temps exact me fait relativiser : 30 minutes dans une journée, c'est rien du tout. Lancer le chronomètre me donne aussi une impulsion d'action et me permet de sortir de la paralysie.
· Marcher plus. L'objectif c'est 10 000 pas mais je n'y arrive pas toujours. C'est pas grave. Souvent je rentre du travail à pied, ça me prend seulement 15 minutes de plus que le bus. J'en profite pour écouter un épisode de podcast, ce que j'ai rarement le temps de faire. Marcher me permet d'être dehors, de prendre l'air, d'être seule et de ne pas hurler intérieurement sur tous les gens du bus (ou si je suis à vélo, sur les autres cyclistes ou les automobilistes), donc ça me repose émotionnellement. Je suis extrêmement sensible aux gens et je me prends toujours toutes leurs énergies négatives en pleine tête (parce que malheureusement c'est rare les scènes de bonheur dans le bus donc je reçois peu d'énergies positives).
· Écrire : tout et n'importe quoi. Des pensées. Des histoires. Des poèmes. Des lettres. Des billets sur Tumblr.
· Dormir assez et boire assez : ça je n'y arrive pas vraiment mais pour l'instant je ne me blâme pas. Le reste est déjà bien.
· Détendre mon corps. Je fais du bruxisme et ça crée des tensions dans ma nuque, mes épaules, mon crâne et évidemment mon visage. C'est super douloureux. J'essaie d'être attentive à mes sensations physiques, de me relâcher, de faire des auto-massages. J'essaie aussi de sourire quand j'y pense et c'est assez magique, ça déclenche tout de suite une mini joie intérieure, je suis tout à coup reconnaissante d'être en vie. Ne fonctionne pas avec les sourires forcés.
· Ne pas me disperser. Ne pas me lancer dans un millier d'activités. Me rappeler régulièrement qui je suis et ce que j'aime pour ne pas me perdre, c'est-à-dire : lire et écrire, être au calme, marcher dans la forêt, être avec mes amies proches, bouger librement mon corps. Écrire ces désirs et ces objectifs régulièrement pour ne pas les oublier. J'ai écrit mes résolutions 2025 à peu près 5 fois depuis fin décembre mais la répétition me permet de garder mes projets en tête. Eh oui, certaines personnes sont si déconnectées d'elles-mêmes que se rappeler ses propres désirs est laborieux.
· Accepter mes différences et mes étrangetés qui ne sont des différences et des étrangetés que si je ne les assume pas. Ma différence en elle-même n'est pas douloureuse. Ce sont le rejet, le mépris et les discours d'exclusion des autres qui font mal.
· Accepter d'avoir une personnalité contrastée, comme beaucoup de personnes. Nous ne sommes pas des archétypes, nous ne sommes pas des stéréotypes, nous ne sommes pas des personnages de fiction. Par exemple la société oppose depuis toujours la figure de la sainte et celle de la salope, la deuxième étant très souvent réprimée socialement. Mais l'identité n'est pas binaire. Vouloir être une sainte le lundi et une salope le mardi ne signifie pas qu'on est hystérique, instable ou malade. Je ne suis pas linéaire, j'ai des désirs et je suis vivante. Je serai sage et docile quand je serai morte.
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ekman · 10 months ago
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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selidren · 20 days ago
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Eté 1941 - Camberley, Angleterre
16/17
Mais ne prends pas ces pensées au sérieux, je suis juste du genre à broyer du noir ces derniers temps. Nous partageons les mêmes inquiétudes après tout. Mais je persiste à penser qu'il n'y a pas plus débrouillardes que Noé, Aurore et Cléo. Cette dernière pourrait vendre des lunettes à un aveugle, alors je suis certain qu'elle a joué sa plus belle comédie et que les Allemands lui mangent à présent dans la main. Les deux autres ont la tête sur les épaules, et je sais qu'elles s'en sortiront. C'est simplement que je culpabilise sans cesse d'avoir fait croire à ma mort. C'était un geste impulsif qui m'a semblé très malin sur l'instant, mais je ne cesse de me dire que je n'ai fait qu'une grave erreur à ce moment, sur cette plage à Calais. Je suis mort ce matin là en quelques sortes, et il m'est arrivé de pleurer en imaginant mes enfants recevoir la nouvelle. Mais ne le dit à personne. Ce n'est pas encore le temps des larmes, j'aurais bien l'occasion de pleurer et de leur demander pardon quand je rentrerai.
Je promets de vous envoyer Jean-François au plus vite une fois encore.
Avec tout mon amour,
Antoine
Transcription :
George « Bon, très bien. Mais si jamais cela ternit mon amitié avec ton frère, je t’en tiendrais personnellement pour responsable. »
Marc-Antoine « Ce ne sera pas le cas. Il pensera que je t’ai forcé la main. Pourquoi crois-tu que je t’ai directement impliqué ? Et puis, tu as été inspiré de l’envoyer se chercher un verre. »
George « Il fallait que je l’éloigne avant que tu ne lui dises quelque chose que tu regretterais vraiment. »
Marc-Antoine « Et ainsi, ils nous vois parler depuis tout à l’heure et penseras que j’ai eu le temps de te mettre sous ma coupe. Ne t’inquiète pas, ce ne sera que ma responsabilité, pas la tienne. Tu n’y es pour rien, ce ne serait pas juste. »
George « Antoine… Pardonne moi, mais je te ne reconnais pas. »
Marc-Antoine « Tu exagères. »
George « Non. Je sais que tu es un homme intelligent, mais tu as toujours mis les sentiments des autres au dessus de ton pragmatisme. De là à t’aliéner délibérément ton frère... Que t’est t-il arrivé ? »
Marc-Antoine « Je… Je ne sais pas. Peut-être qu’au fond de moi, j’ai toujours été ainsi. »
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mel-et-ses-histoires · 10 months ago
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Je discutais avec quelqu'un sur le fait de forcer l'installation des médecins pour lutter contre les déserts médicaux et je pense que les gens ne se rendent pas compte du tout de ce que c'est un désert médical et/ou se font une idée fausse de la population des médecins en France.
Parce qu'un désert médical ce n'est pas que la Creuse, le Limousin ou la Saône et Loire. C'est aussi Paris, Lyon, Marseille, Brest, Toulouse etc... Alors OK moi je veux bien être envoyé à Lyon pour lutter contre les déserts médicaux.
Plus sérieusement, la question de l'installation c'est partir à la base de l'idée qu'il existe des endroits en France avec "trops" de médecins et qu'on pourrait les déplacer là où en manque.
Sauf que la carence médicale est globale. Si à Paris il y a 2 ans d'attente pour avoir un pedopsychiatre c'est qu'ailleurs c'est pas beaucoup mieux.
Surtout (et ça quand on est pas dans le milieu on le sais pas forcément) mais il y a déjà une répartition forcée des medecins: ça s'appelle l'internat. Pendant 4 ans le médecin en formation va faire tourner des services 6 mois à gauche, 6 mois à droite. Et il est envoyé là où il n'y a plus personne pour faire tourner la boutique.
Alors je ne vais pas faire comme si j'avais la solution (enfin si : attendre 15 ans que les médecins qui viennent de commencer la formation la termine et comblent les départs en retraite) mais si il y a encore quelque mois à été voté un texte qui autorise les médecins à travailler à l'hôpital jusqu'à 75 ans (si si, et j'en connais qui le font) c'est vraiment que ça manque de partout.
Bref (pas du tout haha) je voulais partager le soupir que j'ai à chaque fois que j'entends parler de cette proposition concernant les médecins qui est tres symbolique, qui fait genre on va résoudre un problème qui existait déjà il y a 20 ans, et pas basé sur ce qui se passe dans la vraie vie.
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aurevoirmonty · 1 month ago
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En 1952, Maurice Bardèche fondait la revue Défense de l’Occident, dans laquelle des écrivains tels que Lucien Rebatet, Michel Déon, Jean Mabire, François d’Orcival et François Duprat interviendront. Maurice Bardèche y prendra aussi régulièrement la plume sur des sujets aussi variés que l’Europe, la littérature, le socialisme, le monde arabe, la violence, la question juive, l’examen de conscience et bien d’autres. Ces textes méritaient, par leur profondeur de vue qui transcende les années, d’être rassemblés et réédités, que ce soit pour le regard historique qu’ils apportent ou pour la réflexion qu’ils suscitent sur des questions intemporelles.
Le fascisme, dans ses différentes déclinaisons, peut sembler aujourd’hui appartenir à l’histoire. Pourtant, à l’heure ou la vie en virtuel des réseaux sociaux, la mondialisation et le nomadisme forcé, l’individualisme de la société de consommation plongent de plus en plus de personnes dans la dépression, des crises identitaires ou le refus d’enfanter, « notre avenir et notre salut, c’est de retrouver une vie conforme à la nature, une vie qui permet aux hommes d’être des hommes, de respirer, de courir, de vivre […], de ne plus être ankylosés par des idéologies, mais de pouvoir nous développer librement […], selon la liberté animale que la nature a mise en nous ». Loin de Vichy, loin des « processions au pas de parade », il faut, nous dit l’auteur, retrouver l’ « esprit du fascisme », qui est « presque en tous points le contraire de ce que les antifascistes appellent le fascisme ». Loin aussi de la droite des affaires, qui ne prospère que dans un régime démocratique qui aboutit, bien qu’il « proclame le contraire, au règne du capitalisme », il faut renouer avec l’essentiel de la mentalité de droite, celle qui consiste à croire, « qu’il y a un train naturel des choses que l’homme ne peut falsifier sans péril […], à la vertu de qualités fondamentales telles que le travail, le courage, l’énergie, la fidélité ». Cette aspiration est présente, en sourdine parfois, chez beaucoup d’entre nous. Elle est celle de « la France profonde, la France muette, celle qui refuse la criminalité, la pornographie, les margoulins et les fraudeurs, celle qui demande la paix sociale, la justice et la sécurité ».
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chifourmi · 7 months ago
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Bon voilà c'est fini. On a parlé et on a compris qu'on avait tous les deux des sentiments, comme je le pensais. Mais le désir n'est plus là de son côté, malgré les sentiments. Son voyage au Portugal lui a fait se rendre compte que nos rapports ne lui manquaient pas. Je lui manquais mais pas au niveau sexuel.
Donc on a décidé d'arrêter de se faire souffrir. Ça nous a soulagé d'un poids. On a énormément pleuré. On va rester en contact mais ne plus se voir pendant un petit temps au début pour se laisser de la distance, réfléchir et se retrouver individuellement.
Au fond je crois que c'est un blocage quelque part dans sa tête. À cause de mon voyage, entre autre. Il a souvent abordé le sujet. Puis il m'a expliqué que le désir était parti petit à petit à force de coucher ensemble, parce que c'était galère pour qu'il finisse. Je crois que ça l'a fait douter, ça lui a fait perdre confiance en ses capacités et finalement ça lui a fait perdre tout désir pour moi. Tout comme moi qui ai fini par perdre du désir pour lui suite à ça. Je finissais par fantasmer sur le fait d'aller voir ailleurs juste pour me prouver que j'étais désirable. Bon, je ne l'aurais jamais fait évidemment. Je me dis que soit ça n'aurait pas marché dans tous les cas, même sans mon voyage, soit il y aurait eu moyen de travailler sur tout ça. Mais je crois que de toute façon, là, ce n'est pas le moment. Ces dernières semaines, on a vraiment eu l'impression de se forcer niveau sexe. Ça ne devenait plus naturel. Même si après les débuts un peu forcés, c'était très bon. Il trouvait aussi que ça l'était, ça m'a un peu rassurée. Mais on a besoin de distance maintenant, on a pas envie de finir par ne plus se supporter et se dégoûter.
Maintenant on doit vraiment se concentrer sur nous. Je vais me concentrer sur mon voyage et il va travailler sur lui. Parce qu'il a compris qu'il avait été un peu égoïste. Il voulait vraiment être en couple mais n'était pas prêt du tout. Son addiction à la beuh, ses problèmes de colère, d'impulsivité et d'impatience. Il en a pris conscience et s'est excusé pour ses comportements toxiques.
On s'est dit qu'on verrait comment les choses se font, on ne se ferme pas à un futur à deux si les conditions font que ça pourrait vraiment marcher.
Dans tous les cas, je ne regrette absolument rien. Je suis tellement contente de l'avoir rencontré. Je me sens super chanceuse que nos routes se soient croisées et qu'il fasse à jamais partie de ma vie maintenant, d'une façon ou d'une autre. Et même si un jour on ne se parle plus du tout, je suis tellement heureuse de savoir qu'il existe quelque part dans le monde. C'est un garçon merveilleux. Et cette fois je le dis en âme et conscience sans l'idéaliser.
To be continued.
(23/11/2024)
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aisakalegacy · 4 months ago
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (24/27)
Des protestations se soulevèrent dans le salon. Nous avions tellement  tous fini par adhérer à cette histoire de meurtre, nous avions été si impliqués dans l’enquête… Autant dire que nous prenions très mal cette trahison, et que cet esti d’enfoiré d’Agathon se régalât de voir notre désarroi. Chose étonnante à relever : pris par un élan soudain de philanthropie (ou peut-être pour se faire pardonner par cette pauvre Sonia…), il s’opposa fermement à son renvoi, arguant que faire cela ne ferait que la repousser dans le crime dont l’arrestation d’Ortega venait de lui permettre de s’échapper. Il fut décidé que Sonia resterait avec nous.
[Transcription] Lucien LeBris : Franchement, Agathon, tout ça pour ça… Irène LeBris : Et le thé trop infusé ? Agathon LeBris : Simple erreur humaine. Gizelle LeBris : Tu n’avais pas dit que Lorita n’était pas contractée et donc qu’elle n’avait pas pu mourir d’une électrocution ? Agathon LeBris : Un hasard. Je me suis trompé. Gizelle LeBris : Je rêve ou je viens d’entendre Agathon admettre qu’il s’est trompé ? Agathon LeBris : Oui. Ça arrive. Irène LeBris : Tu aurais mieux fait de laisser ça à la police, espèce de détective de pacotilles. Dolorès LeBris : Mais… Sonia est vraiment dans un gang ?! Sonia Houveau : Oui. Je l’étais. Mais je n’ai jamais eu aucune loyauté envers ce groupe.  Sonia Houveau : D’ailleurs, je n’ai eu aucun contact avec eux depuis les quelques semaines où j’ai commencé à travailler ici.  Irène LeBris : On ne peut décemment pas vous garder… Agathon LeBris : Au contraire ! Je pense que tout le monde a le droit à une deuxième chance.  Agathon LeBris : Si nous la renvoyons, elle sera forcée de retourner dans la pègre. En la gardant, nous lui donnons une chance de commencer une vie honnête. Layla LeBris : Je ne te savais pas si humaniste… Agathon LeBris : Que voulez-vous ? Je suis comme ça.
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