#mon phare dans la nuit
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How we feeling about the Rook sleepwear card?
Everytime a rook card releases an angels gets it's wings I swear Been regularly opening the pic again on my phone to stare at it tbh, the embroidered "bonne nuit" is killing me/pos. idk why it's so funny to me and it makes his pjs looke like he got them from a fancy hotel/spa
Him, the Rouque, look at him

And ! Because of that "bonne nuit" I thought about an (old and french) kid's tv program called "bonne nuit les petits" and it was puppets of the sandman and a bear and they talk to two sibling kids and tuck them in at the end of every episode (I think ?? I wasn't even born when it stopped airing on tv)

(that's a bear beside sandman rook yea yeah, trust me)
#Rook hunt#I have so many cards of this man I think I'm only missing the bday boy one so far#I need the broomquet one I need all of his cards tbh....#mon phare dans la nuit#idia aussi (littéralement)
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Hi there!
Well, I've been a bit away from the social media lately, and for good reason, I've got a lot of not-so-happy stuff going on in my life right now. Still, I wanted to do a little visual recap of this year, to remind myself that despite these chaotic last few months, it was still a great year artistically speaking. I've had the opportunity to draw lots of things I like, to develop my style even further, to have fun testing out lots of new techniques, and the chance to see more and more of you supporting my work. Because when times are tough, your encouragement and kind words are my beacon in the night, and remind me that I'm lucky enough to have realized my childhood dream of making a living from my art, and that means so much to me. So, as always, a big thank you!💖
Coucou vous !
Bon, j’ai été un peu absente des réseaux ces derniers temps, et pour cause, il se passe pleins de trucs pas très joyeux dans ma vie en ce moment. Je tenais quand même à faire un petit recap visuel de cette année, pour me rappeler que malgré ces derniers mois chaotiques, c’était quand même une chouette année artistiquement parlant. J’ai eu l’occasion de dessiner plein de choses que j’aime, de développer encore plus mon style, de m’amuser en testant plein de nouvelles techniques, et la chance de vous voir de plus en plus nombreux à soutenir mon travail. Parce que quand les temps sont durs, vos encouragement et vos petits mots doux sont mon phare dans la nuit, et me rappellent que j’ai la chance d’avoir réalisé mon rêve d’enfant, celui de vivre de mon art, et ça c’est pas rien. Alors comme toujours, un grand merci.💖
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Le Chant des Méandres
Sois calme, ma douleur, et écoute ce chant, Ces plaintes lentes des méandres obscurs, Où le passé, fantôme insistant, Trace des sillons profonds et durs.
La vie, avec ses morsures délicates, Sème ses gouffres aux sentiers incertains, Et l’homme, las, y glisse et s’échappe, Cherchant dans la douleur un éclat divin.
Ah ! Ces bleus pétrole qui luisent sur ma peau, Essences sombres des âmes tourmentées, Nous les chérissons comme un bien trop beau, Comme un jardin de ronces embrasées.
Dans les détours des songes infinis, Ma raffinerie d’ombres vacille, Et des flots épais, noirs, alanguis, Troublent mon angle vraiment cramé, fragile.
L’hiver s’avance, impérieux, souverain, Et les rires des fêtes, masques moqueurs, Heurtent le vide d’un cœur incertain, Échos cruels des âmes en douleur.
Sois sage, mon âme ; le chemin se tord, Mais dans la nuit froide s’allume un phare, Un feu vacillant, dans les cendres du sort, Qui éclaire l’abîme, fugace et rare.
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Tu es mon étoile dans le ciel sombre,
mon phare dans la tempête,
mon refuge dans la nuit,
mais je suis juste un voyageur solitaire.
Je suis pris dans ta lumière,
mais je suis condamné à rester dans l'ombre,
je suis captivé par ton charme,
mais je sais que je ne pourrai jamais te toucher.
Inconnu.

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Tu sais ce qui était beau ?… C’est que tout avec toi devenait une histoire, une parenthèse. Chaque instant se transformait en précieux souvenir, à accrocher la nuit au plafond de mes rêves. J’ai tant ri de te regarder rire que je te laissais être ce distributeur d’oubli cher à un très célèbre Humaniste, pour n’être qu’ici… pour n’être que dans l’instant que tu savais remplir, comme si tu connaissais les secrets de l’infini. Ce qui était beau, c’était ton regard incrusté de milliers d’étoiles lorsque tu me regardais… J’avais tout à coup la sensation d’être un phare, une île perdue sur laquelle tu avais envie de t’éveiller dans les premiers rayons de ta beauté. Depuis toi, je comprends les peintres, les écrivains et les poètes… ceux qui sculptent la pierre à la force de leur tendresse, pour faire renaître et graver la magie de tout ce qu’il est impossible d’oublier. Je comprends que cette force d’Amour puisse transcender un être, au point de vouloir remercier le ciel… la source de ce qui réinvente les mondes à chaque seconde… cet univers si vaste, souvent bien trop grand sur lequel on danse, comme des équilibristes filants sur l’existence. C’est beau quand tu es là pour habiter le temps, quand tes cheveux ondulent au gré du vent même les jours où il enrage… Tes paupières battent toujours comme les ailes de ces papillons blancs quand tu me regarde… C’est simple, le monde tout autour de nous s’efface et je suis comme un môme de te voir rayonner comme ça. Je m’abandonne, je me donne le droit de vivre et de profiter de toute cette magie qui ne se rattrape jamais… Mon cœur reste suspendu, allumé de toutes ses couleurs. Depuis Nous, j’ai appris à me laisse envahir de complétude… de ces bonheurs simples qui sont de loin les meilleurs. La vie me laisse ces images qui me reviennent en cascade. Je souris tous les jours devant mon café et jusque dans la glace… parce que je ne peux plus me voiler la face, je Sais. Dès la première seconde, je me suis senti appelé… je t’ai reconnu alors que je ne t’avais jamais vue. C’est mon âme qui s’est mise à t’aimer avant moi, alors que je n’avais rien demandé… Tu sais ce qui est beau… C’est que je sais aujourd’hui ce que c’est d’aimer pour rendre libre et ne rien vouloir posséder. Je veux te voir toujours comme aujourd’hui… radieuse comme à la lueur de ces bougies quand on se dit ce que nous sommes seuls à comprendre. Alors même si un jour le destin venait à nous séparer… je serai toujours le plus heureux des hommes… simplement parce que je sais déjà que ce sera Toi jusqu’à ma dernière seconde.
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Un étourdissement à l'arrière de la Renault Espace. J'ai joué toute la soirée avec mon cousin Aden. Mes parents ont mis du temps à dire au revoir dans l'entrée. Et dans la voiture, je pose ma tête sur l'épaule de mon frère et je me laisse étourdir par les lumières de la nuit.
En arrivant, la rétrogradation, l'enchaînement de virages que je connais et le bruit des graviers me réveillent. Quelqu'un ouvre une portière avant que les phares ne soient éteints et ça fait un petit bip qui finit de prouver qu'on est à la maison. Je suis encore dans de la ouate. On chuchote. On me porte à l'étage. Je me sens liquide dans des bras solides. Je vais dormir avec la plupart de mes vêtements et sans me brosser les dents.
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"Plus rien ne bouge dans le désarroi du temps. Même l’océan sommeille à l’ombre du phare. Sur le chemin qui mène aux marais salants La pluie s’agite pour embrumer le regard. J’entends dans le loin grimacer la chrysalide De la lune ronde qui semble fuir l’obscurité. Le ciel voudrait allumer ses bougies timides Mais les tisons sont froids dans sa cheminée. Te dire mon silence intérieur qui bâillonne Le mot écrasé sur le sable vert de l’intime Ne chassera pas tous ces requiem aphones Il pleut des ténèbres jusque dans la rime. Entre les dunes, serpente un vent orphelin Il me parle de toi et je flirte encore souvent Avec ton ombre posée sur la nuit sans tain Je t’ai suivi jusqu’à l’épilogue de ce roman. Seuls mes pas crissent entre les fougères Césures incertaines au bout de cette plage Pensées inaudibles, il vaut mieux se taire Pourtant, de notre livre, se tourne la page. Longtemps immobile, ma coque intérieure Vogue vers la parenthèse de ton grimoire. Dans l’écho de l’âme, ressuscite ton cœur Comme le font les étoiles tous les soirs." ✍ Sedna ✍
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Je me tue en voulant vivre Dans ce monde fou et ivre, Où les hommes par milliers Dans l'amer vont se noyer.
Les vagues du désespoir Déferlent, comme le soir, Sur mon âme tourmentée, Par sa propre ombre hantée.
L'esprit, en quête de large, De mes souvenirs se charge, Caisses qui en elles gardent Mes photos. Qui les regarde?
Ma mémoire, je la jette Dans les mains de blanches crêtes. Là où l'écume me porte, Rayons en douceur m'escortent.
Marées, hélas, se retirent, Abandonnant mon navire. Seules mes larmes encore Coulent à flots à bâbord.
Dehors, il pleut. Il est tard. En moi, ni astres, ni phares. Moi qui ai perdu le nord, Vais-je accoster dans un port?
Ou dois-je, longeant les îles, Poursuivre mon long péril? L'abîme appelle l'abîme. Ma voix, pourquoi tu t'abîmes?
Criez, sombres profondeurs! Hurlez, gouffres de douleur, Jusqu'à ce que se confonde L'aube dans la nuit immonde.
Réduisez-moi au silence; Faites taire mes souffrances. Mon soleil doré n'est plus, Dans le bruit s'étant perdu.
Le cœur privé de lumière, Pourquoi faut-il que j'espère Non pas trouver le sommeil Mais que le matin s'éveille?
N'est-il pas honteux d'avoir À mon âge peur du noir? Sous l'oreiller, des péchés, Combien en ai-je caché?
Autour de moi, ombres nues Me montrent leur front cornu. Leurs yeux brillent, sans visage, Comme à travers un nuage.
Sans bouche, leurs dents déchirent Le rideau de l'avenir. Sans mains, sur leurs doigts pointés, Ils laissent sanglots suinter.
Ce sont les miens! Mais je pleure Devant un tombeau sans fleurs. L'on m'arrête pour un crime Dont je suis la vraie victime.
Que de rage, de révolte Sous mes plaintes désinvoltes! L'on me conduit dans la gueule De la Mort grognant si seule.
-Poésie: extrait de "Vi(t)a Dolorosa", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme -Image: ''Crucified Christ'', Francisco Goya
#poetry#poesie#french literature#marine mariposa#cross#crucifixion#crucified with christ#jesus christ#christianity#jesus#calvary#hopelessness#naufrage#silence#souffrance#night#shadows#spilled tears#bible#christian art#francisco de goya
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Le Sommeil Contrarié
Cette nuit-là, enveloppé dans la douce quiétude de notre amour, je me suis laissé emporter par un sommeil paisible. Un sommeil, non pas par ennui, mais par la quiétude que tu insuffles à mon être, par le réconfort que tu représentes.
Pourtant, ce sommeil, cette évasion vers un repos si désiré, s’est transformé en un écho de tristesse. Ta voix résonnait, chargée de déception et de frustration, parce que je me suis endormi comme un bébé, bercé par la sécurité de ton amour.
Je me suis retrouvé perdu entre le doux cauchemar de ta contrariété et le désir de rester dans cet état de béatitude, cet état où je me sens enfin en paix. Mes yeux clos ont été témoin de ce conflit entre le bien-être que tu m’apportes et la peine que ma sérénité a pu causer.
Je suis là, éveillé dans l’obscurité de cette nuit, me demandant comment quelque chose de si doux peut se muer en source de désaccord. La contradiction entre le bonheur ressenti et la peine infligée se mêle en un tourbillon d’émotions.
Pourtant, au milieu de cette confusion, une certitude demeure : l’amour, parfois, se perd dans le labyrinthe de nos sentiments, mais la quête de compréhension et de réconciliation reste un phare dans la tempête de nos tourments.
#texte français#texte libre#textes en poème#ecriture#ecrire#france#francais#histoire#french#french language
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🫐⛓️🍭
Entre les murmures et les regards,
Je me perds dans un flot de désirs.
Ces hommes, leurs yeux comme des phares,
Éclairent mes nuits, mais causent mon martyr.
Leurs mots doux, leurs promesses en l'air,
Tourbillonnent comme des feuilles en automne.
Et moi, fragile dans ce tourbillon amer,
Je cherche une voie, une place, une personne.
Comment choisir quand tous semblent parfaits,
Quand chaque sourire éveille un espoir ?
Mais mon cœur, lui, reste confus et muet,
Face à cette danse d'amour illusoire.
Les doutes s'insinuent, les peurs s'accumulent,
Suis-je trop exigeante, ou simplement perdue ?
Je rêve d'un amour, simple et unique,
Mais la réalité est bien plus rude.
Je voudrais les aimer tous, ou bien aucun,
Mais mon cœur ne peut être partagé.
Alors je marche, solitaire sur ce chemin,
Espérant qu'un jour, tout s'éclaircira enfin.
🫐 Rencontre mes copines ici 👇🏻🤭
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La lumière de Jérusalem

La nuit était paisible à Jérusalem, enveloppant la ville d'un manteau d'étoiles scintillantes. Au palais dans la chambre aux murs drapés de riches étoffes et aux chandelles vacillantes, le roi Baudouin IV de Jérusalem reposait doucement. Alix de Tripoli, sa tendre épouse et complice depuis leur enfance, dormait paisiblement sur sa poitrine.
Le silence était rempli des souvenirs d'une époque où ils couraient ensemble dans les jardins luxuriants de Jérusalem, riant et jouant, insouciants des troubles qui les entouraient. Leur amour avait été forgé dans les flammes de l'adversité, et malgré les murmures malveillants qui cherchaient à les séparer, rien n’aurait pu effacer le lien qui les unissait.
Les cicatrices laissées par la lèpre se dessinaient sur sa peau comme des histoires de batailles passées, témoignant de sa résilience. Mais ce soir-là, alors Alix était blottie contre lui, celles-ci semblaient s’estomper, laissant place à un sentiment de paix absolue.
Dans un souffle délicat, Baudouin caressa les cheveux d'Alix. Il l'observait, avec la douceur d’un homme qui sait que ces instants sont précieux. Les larmes de l’histoire et le poids des responsabilités ne s’étaient jamais évanouis totalement, mais quand elle était à ses côtés, il pouvait trouver un répit.
« Pourquoi ceux qui ne comprennent pas notre amour persistent-ils à vouloir nous séparer ? » murmura-t-il dans le silence de la nuit, sa voix à peine plus qu'un chuchotement. Alix s’éveilla lentement, ses yeux s'ouvrant sur le regard intense de son roi.
« Ils cherchent à diviser ce qui est pur, mon aimé, » répondit-elle, une tendresse dans la voix. « Mais nous avons surmonté tant d'épreuves ensemble. Aucun murmure ne pourra nous détruire. » Elle se redressa légèrement et posa un baiser léger sur les cicatrices qui marquaient sa peau. Un geste simple mais chargé d’une signification profonde – elle ne voyait pas un monarque blessé, mais l’homme qu’elle avait toujours aimé.
Baudouin souriait, le cœur serré par l’émotion. « Si seulement le monde pouvait voir à travers mes blessures, » avoua-t-il. « Ils verraient l’amour qui me nourrit. »
Alix, avec une assurance qui la caractérisait, répondit : « L’amour ne se mesure pas en apparence, mais en force et en loyauté. Quand je regarde les cicatrices de ton corps, je vois la bravoure d'un roi, un guerrier de lumière. »
Ils restèrent là pendant un moment, enlacés, cherchant refuge dans la chaleur de leur amour. La peine du monde extérieur semblait s’évanouir, les complots, les intrigues politiques, les voix qui les voulaient séparés ; tout cela n’avait aucune emprise sur eux.
« À quoi penses-tu ? » demanda-t-elle doucement.
« À l'avenir, » répondit Baudouin, sa voix empreinte de détermination. « À tout ce que nous pourrions accomplir ensemble. Tu es ma force, Alix. Avec toi à mes côtés, je me sens invincible. »
« Et moi, je suis là pour te rappeler ce qui est important, » répondit-elle, serrant la main de son roi. « Et peu importe la tempête, je resterai toujours ton phare. »
Peu à peu, les paupières de l’un et de l’autre se fermaient, une fatigue douce les engourdissant. Ils sombrèrent ensemble dans un sommeil profond, leurs cœurs battant à l’unisson, confiant que leur amour pouvait surmonter toutes les épreuves.
Les étoiles brillaient au-dessus de Jérusalem, témoins silencieux d'une union que rien ni personne ne pourrait jamais défaire. Dans un royaume où la guerre et la maladie avaient leur mot à dire, il y avait un refuge, un amour éternel, caché dans l’étreinte de deux âmes destinées à être ensemble.
#baldwin iv#king baldwin#baudouin iv#leper king#fanfic#roi baudouin iv#baldwin iv x oc#baldwin of jerusalem
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In the end he didn't get stabbed, a tragedy 😔
#Twisted wonderland#croissant de lune#Rollo flamme#Rook hunt#blorboposting#Threatening Rook will only ever have him more interested whatever the timeline#thggdfhj I love drawing them just hug no words#clingy freak and mr holy guy in denial my beloveds#pristine skin devoid of any eveidence won't save you from the beastmen's sense of smell rollo#rollorook mon phare dans la nuit
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Réplique Glee sur Vie, Homme et Bien
Écoute, y a quelque chose que je voudrais te dire... Mais j'veux que tu me promettes de ne pas dire un mot avant que j'ai terminé.
- D'accord tu as ma promesses.
- J'ai l'impression d'avoir passé ma vie à me demander si j'arriverais un jour à devenir un mec aussi bien que mon père. Et maintenant ce qui m'empêche de dormir la nuit, c'est l'idée de devenir l'homme qu'il était en réalité. J'suis l'exemple même du mec ultra-populaire qui n'arrivera jamais à rien plus tard dans la vie... Y a qu'une chose qui me différencie... Toi... T'es comme un phare dans la nuit, qui guide mes pas dans le noir. Une sorte d'étoile éblouissante, qui pour je ne sais quelle raison ? M'autorise à aimer ! Et... j'ai l'impression qu'il me suffit juste que tu me laisses t'aimer encore, pour que tout finisse bien... Que je puisse vivre heureux. [Il sourit] J'ai dû prendre ma première carte de crédit pour acheter ce truc. Je... je sais que ça vaut pas une piscine pleine de danseur ou un costard. Je sais bien qu'elle n'est pas très grosse... Mais c'est une promesse ! La promesse de t'aimer pour le restant de ma vie. Tout ce'que t'as à faire, c'est dire oui. Rachel Berry veux-tu m'épouser ? Finn et Rachel
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Dans le bus vers la Nouvelle-Orléans je vois ce coup se tordre de droite à gauche à mesure que le bus avance, je me dis wow c'est fou comment un cou peut être flexible. Ça me rappelle les propos d'un homme avec qui j'ai dû travailler. C'était dans un entrepôt où l'on entretenait organisait et préparait les pièces pour monter des salles de concert, un truc dans le genre c'est pas si important tfaçon c'était un entrepôt. À la pause de midi alors qu'il finissait son verre de vin il discutait avec quelqu'un et admirait la résistance du crâne humain. Il relatait une histoire où il me semble qu'il avait fracassé le crâne d'un homme sur un capot de voiture ou alors il avait coincé la tête entre et avait tapé avec le capot sur la tête. La tête avait bien résisté c'était impressionnant.
J'étais un peu fébrile quand j'ai entendu cette histoire je me sentais pas très bien de manière générale et je me sentais pas très bien dans cet environnement où je travaillais pour une partie de l'été et à ce moment-là je me sentais pas très bien dans les autres environnements non plus d'ailleurs bref tout est lié tu sais. Ça prend peut-être un jeune homme plus sûr de lui pour s'adapter à ce genre d'individus fracasseurs de têtes. Finalement ça c'était bien passé il avait pas voulu fracasser mon crâne il était pas à l'entrepôt pour longtemps de toute façon il allait partir ailleurs pour monter des scènes, par contre j'ai cru comprendre qu'il a bien gueulé avec un autre collègue temporaire qui nous demanda un jour tout en furie où est-ce qu'il pouvait reporter ce genre de comportement. "La victime" avait une santé mentale différente, il vivait dans un camping pas loin de l'entrepôt et avait déjà énervé d'inconfort un autre collègue en s'essayant à draguer une caissière au supermarché où on allait pour acheter la nourriture du midi, bon en même temps il fallait qu'il s'intègre il venait d'arriver, wow je pourrais écrire une nouvelle sur lui il était tellement fascinant.
J'avais aussi été un peu mal à l'aise avec Big, qui partageait mon dortoir à l'auberge de jeunesse à la Nouvelle-Orléans. Je l'avais choisie parce qu'elle faisait partie de la franchise où y avait l'auberge où je travaillais à Montréal, puis elle était pas chère mais les commentaires étaient mauvais et les photos un peu suspicieuses elles faisaient un peu fake, ça m'avait fait douter mais comme pour beaucoup d'autres choses finalement je m'étais dit fuck j'ai envie d'être tranquille et de passer à autre chose j'ai la flemme de passer des heures sur ce sujet donc je la prends quand-même.
Au milieu de la première nuit, alors qu'il faisait bien noir dans cette chambre sans fenêtres ni rideaux autour des lits mais possédant quand-même plus d'une demi-douzaine de lits superposés, un vieil homme parlait tout seul. Il était dans un des lits du bas et m'avait fait déjà une curieuse impression à mon arrivée, il dormait alors que les lumières étaient allumées dans la chambre en mode plein phare c'était méga lumineux et d'une pâleur qui ferait rougir les hôpitaux, mais l'homme dormait à poings fermés et avait une ribambelle de chez ribambelle d'affaires et de sacs et de valises éparpillés autour de lui. Et cette nuit là c'était sûr c'était lui qui parlait à voix haute malgré l'heure le noir de la chambre et le silence des autres occupants. Big s'écria finalement Who the Fuck are you talking to ? et ça marcha plutôt bien, on n'entenda plus l'homme de toute la nuit et l'on put tous se remettre à dormir tranquillement et paisiblement tu sais.
Un autre jour aux alentours de midi il me semble Big mon voisin du dessous et moi-même dormions encore dans ce noir complet total, je faisais pas tellement d'efforts pour me réveiller tôt je vivais au rythme de mon corps j'étais là pour être tranquille après tout et découvrir, Big c'était plus incertain pourquoi il était là mais je crois qu'il était à l'ordi longtemps le soir, d'ailleurs il ne se gênait pas tellement pour ne pas couper le son alors qu'il était passé 22h et que d'autres gentils strasbourgeois qui ont fait des études comme moi voulait être tranquille, puis je crois qu'il regardait la télé aussi tard dans le salon de l'auberge, bref il me battait à plat de couture en termes de réveil tard puisque je crois qu'il se réveillait tous les jours dans l'après-midi, mais bon c'était facile aussi s'il se couchait si tard bref c'est une autre histoire c'est pas une compétition chacun son rythme. Mon voisin du dessous dormait aussi beaucoup, à vrai dire c'est la majorité des choses qu'il faisait, à chaque fois que je le voyais il était effectivement allongé dans son lit. J'appris plus tard qu'il sortait d'une cure de désintoxication et qu'il s'était fait virer ensuite d'une autre auberge pour une histoire de billard je crois, bref j'imagine que ça sonne un être vivant ce genre de choses.
Donc ce jour-là nous dormions tous les trois paisiblement. Soudain quelqu'un frappa à la porte de manière plus qu'assourdissante mais genre vraiment assourdissante c'était méga brutal j'étais presque choqué, et la personne continua puis s'écria HOUSEKEEPING, wow ça faisait mal une telle violence. Big hurla WHAT THE FUCK, j'aurais pas osé mais j'aurais pas dit mieux. Et le personnel de rentrer d'allumer les plein phares d'hôpitaux de la chambre et de commencer à passer l'aspi, wow quelle violence je comprends l'embarras de Big même si c'est un peu étrange de s'écrier WHAT THE FUCK au personnel de ménage de l'auberge dans laquelle tu loges, qui malgré peut-être un excès de zèle ce matin-là bah c'est quand-même le personnel puis ils entretiennent l'espace dans lequel tu vis, j'ai été élevé dans la courtoisie moi mes parents ont pu payer des études à ma sœur et moi.
Big n'était évidemment pas son vrai nom enfin j'ose penser. Il n'avait pas répondu quand je lui avais demandé son nom le jour où je l'avais rencontré puis il m'avait dit qu'il venait d'Africa quand je lui avais demandé d'où il venait, bref on avait pas parlé longtemps et c'était quelqu'un d'autre qui m'avait dit qu'il se faisait appeler Big. Big avait en outre une manière de parler anglais différente du Where is Brian Brian is in the kitchen que l'on pouvait entendre dans les exercices de compréhension orale en cours d'anglais au collège, bref je le comprenais pas tout le temps mais je trouvais ça cool.
Un jour dehors en bas de l'auberge alors que j'essayais de réconforter vaguement quelqu'un qui venait de se faire virer de l'auberge alors qu'elle était censée y travailler et y loger prochainement (elle aurait remué ses fesses de manière trop insistante et longue sur un de ses ex futurs collègues colocataires qui était en train de manger et qui n'avait pas apprécié et qui l'avait accusée ensuite d'harcèlement sexuel, c'était la version de l'exclue mais je la crois l'autre gars était pas sympa ou en tout cas un peu bizarre j'ai raison ouais j'ai raison crois-moi), bref elle pleurait presque ou pleurait vraiment j'avoue j'étais pas trop impliqué non plus, et Big se pointa. Il était peut-être venu la réconforter vaguement aussi après tout ils s'aimaient bien je crois en tout cas de manière amicale, mais j'étais surpris Big portait des lunettes de soleil avec toujours l'étiquette dessus et avait à la main un vidéoprojecteur dans un emballage qui paraissait intacte, je me demandais ce qu'il allait faire mais bon après tout il allait peut-être faire une soirée pizza avec quelques copains qui sait. Il était au téléphone avec quelqu'un et je veux pas sortir les choses de leur contexte mais je vais le faire quand-même, j'entendis le mot Voleur. Une voiture noire et grosse et clinquante genre quatre quatre arriva ensuite et se gara devant nous, wow Big a des potes sympas me suis je dit mais c'est étrange pourquoi Big rentre par la porte arrière si ce sont ses copains puis que font-ils on y voit rien les vitres sont teintées. Je me remis à réconforter vaguement l'autre personne j'essayais d'être inspirant c'était ma nouvelle personnalité je change souvent de personnalité en fonction de l'environnement où je suis, que puis-je dire je suis comme ça la constance n'est pas vraiment mon fort, et bref pendant que j'étais inspirant j'oubliais Big et la voiture, sauf que du temps passa puis un moment donné je me dis fuck, ça fait longtemps que Big est rentré dans le quatre quatre noir et clinquant et le quatre quatre noir imposant et clinquant est toujours là, n'est toujours pas parti c'est bizarre n'est-ce pas. Je demandai à la fille Is Big a gangster ? c'est vrai ça dans ma tête y a que les gangsters qui font ça je m'y connais pas vraiment dans ces choses là voire pas du tout j'avoue voilà vous m'avez démasqué mais avouez vous vous y connaissez pas plus si vous êtes capables de lire une prose aussi fantaisiste. La fille sourit et répondit simplement That's just what he do. Elle ne dit pas plus bon je comprends c'est normal elle avait un projet à repenser elle venait de se faire exclure pour harcèlement sexuel et n'avait pas de logement à long terme a priori, je comprends elle avait pas la tête aux romans policiers puis après tout moi pas tellement non plus, je m'en foutais un peu c'était fatiguant ces mystères tiens je ferais bien une sieste.
Plus tard dans la journée dans la chambre Big m'interpella Eh frenchie do you have a bag, j'avais pas tellement envie de lui filer un de mes sacs j'avais pas tellement confiance et fort heureusement il n'aimait pas mes top bags c'était pas trop son genre je crois. Mon voisin du dessous lui trouva quelque chose et Big était tout content, il sorta un bas et un haut de maillot de bain féminin couleurs léopards il me semble, en tout cas une allure séductrice qui éveille un désir je pense chez plus d'un être humain, et l'étiquette était toujours là évidemment. Big tenda devant lui le bas de maillot de bain couleurs terreuses affriolantes et essaya devant nous de comprendre comment ça marchait, j'avoue c'était rigolo et le voisin du dessous rigolait aussi, je m'essayai à une blague en lançant Is it for you et Big et le voisin du dessous rigolèrent, j'ai honte j'étais fière d'avoir fait rigoler ces jeunes hommes là, moi qui ai fait des études gentiment licence et master en écoutant bien ce qu'on me disait et qui avais même pu faire un échange à l'étranger en troisième année de licence.
Big rangea finalement le maillot de bain dans le sac et quelques jours plus tard se fit virer de l'auberge je sais pas trop pourquoi.
En parlant de résistance du corps j'en ai fait moi-même l'expérience récemment j'avais invité une fille à se voir dans un bistrot à Montréal, je la connaissais pas et lui avais à peine parlé mais grâce à mon travail et Internet j'avais pu la contacter et lui proposer de se voir, eh ouais je suis comme ça fallait que je lui demande par tous les moyens même si c'est peu ordinaire comme méthodologie voire très ordinaire finalement de nos jours. Elle était jolie c'est fou c'est la classe je suis dans un mood où j'essaie que de séduire et de relationner physiquement avec des êtres que je trouve très jolis, c'est comme ça ce n'est peut-être qu'une phase mais j'aime bien je dirais presque que c'est challengeant en tout cas ça fait du bien à l'image de soi quand ça marche j'ai peut-être besoin de ça finalement j'ai encore besoin de prouver des choses j'ai peut-être pas si confiance en moi finalement. Bref elle avait accepté de se voir et l'on s'asseya sur la terrasse il faisait beau c'était la fin d'après-midi, j'avais pas commandé de bière je continuais de mettre sur pause l'alcool et au-delà du fait que c'est bon pour la santé ça fait mystérieux genre passé trouble et moi j'avoue je trouve ça cool je me crois dans un film en permanence, j'avais donc pris un jus mais c'était bizarre il m'avait donné une toute petite bouteille à peine plus grande qu'une tétine c'était étonnant peut-être un peu gênant mais rigolo finalement, c'était une toute petite bouteille en verre contenant un jus de pamplemousse il me semble, j'aime bien le pamplemousse et je trouve ça cool évidemment d'aimer le pamplemousse je me crois dans un film je t'ai dit bon faut dire que j'en ai vus tellement. On était au début de la rencontre au début du moment à deux de rencontre donc on était peut-être chacun un peu agité intérieurement on cherchait notre rythme à deux et notre place et personnage dans l'échange puis je pense que l'on se demandait encore quelle image séduisante montrer à l'autre, mais finalement j'avoue j'étais assez chill j'étais dans une position de force après tout elle était arrivée bien en retard puis je la trouvais vraiment jolie ça calme un être lorsqu'il interagit avec quelqu'un de très jolie qui semble s'intéresser à lui. Je m'essayai à rire et à la faire rire fallait bien tenter puis révéler ça de moi après tout c'est beaucoup à quoi je passe mon temps quand je suis avec quelqu'un. Je dis quelque-chose à propos de la religion et j'avoue je trouvais ça bien drôle bien sorti bravo Jules en plus je crois que ça l'a fait rire d'étonnement donc c'était tout bon c'est cool ça peut être fun si on peut rigoler comme ça, sauf que le mouvement intérieur que ça produisit en moi était peut-être un peu trop fort résultat ça me fit balancer la tête en avant rapidement et bim voilà que je me cogne la tête le front pour être précis sur le gland de la petite bouteille en verre riquiqui à peine plus grande qu'une tétine et contenant du jus de pamplemousse, fuck ça fait mal c'est délicat comme moment.
Mais je me crois dans un film j'essaie toujours d'avoir l'air cool d'avoir une belle image de moi que je livre aux autres et j'ai l'impression que je dois faire ça pour qu'on m'accepte sinon c'est pas possible personne va m'accepter puis fuck faut avouer que ça fait du bien intérieurement de plaire aux gens, j'ai pas toujours ressenti ça j'ai même longtemps ressenti l'inverse tout est lié, bref à force d'entraînement je suis devenu un as. Bref I believe que dans ces moments-là qui peuvent te faire perdre la face, bah finalement pour la garder faut être sincère et mesuré. Faut pas faire comme si rien n'était arrivé et comme si t'avais pas mal et passer directement à autre chose ni vu ni connu, non c'est impossible puis même bizarre de vouloir faire croire à une fille que tu désires qui t'intéresse et que tu trouves extrêmement jolie que tu ne viens pas de te percuter le front contre une petite bouteille en verre riquiqui à peine plus grande qu'une tétine et contenant du jus de pamplemousse, et ce alors que tu rigolais un peu trop expressément peut-être à la blague que tu venais de faire à propos de la religion pour apporter un peu de fun à l'instant tout en boostant ton égo pour montrer que t'es drôle. Faut pas non plus trop en faire. Te mets pas à pleurer à te prendre trop la tête dans les mains pire à crier à chaudes larmes voire carrément à te jeter par terre de douleur genre joueur de foot, tout ça pour que la jeune femme te réconforte ou te prenne en pitié, même si je pense que dans le fond ce serait encore moins pire que de faire comme si de rien n'était, ça ça serait trop détonnant ça serait trop jouer à l'acteur mais d'un autre côté ça serait presque drôle wow je respecterais l'être qui ferait ça. Bref je l'ai joué sincère et mesuré et c'est bien passé je crois, en tout cas je me sentais bien et toujours cool, mon dieu j'abuse. La vérité c'est que j'avais pas tellement mal, la douleur physique était masquée par le chaud mouvement intérieur qui me poussait à tout faire pour ne pas perdre la face et rester cool, mais tranquille tsais. Comme la jeune femme l'a dit j'ai eu de la chance j'aurais pu me percuter l'oeil bref tout ça pour dire je m'en rends compte maintenant que certes le corps est flexible et résistant mais y a peut-être d'autres forces en jeu que la chaire qui font que c'est ainsi, voilà je m'arrête là regarde comme c'est beau y a même une fin une petite conclusion une petite morale à la fin c'est beau c'est cool je me sens cool je suis dans un film.
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« Tous les chemins de ma vie »
Tous les chemins de ma vie
M’ont menée jusqu’à toi
Du plus petit virage de Provence
À l’immense forêt d’Amazonie
J’étais perdue en plein naufrage
Et te voilà
Mon phare
Mon exploit
J’ai du mal à les retenir
Ces larmes qui fleuvent de joie
Et maintenant qu’il pleuve ou qu’il vente
Je m’endors dans tes bras
Et maintenant qu’il pleure ou qu’il mente
Tant pis, je marche vers toi
J’allais, de jour comme de nuit,
Le nez en l’air, cheveux gercés
Par cette pluie des villes, bercée
Par la rumeur du fond du puits
J’avais vingt ans sans le savoir
J’avais raison sans le vouloir
Et tout au bout de ce couloir
Te voilà
Mon phare
Mon exploit
J’ai du mal à le ternir
Ce chemin qui, bras en croix,
N’a fait que chercher de bout en bout
À rejoindre ta voix
N’a fait que suivre, le coeur en joue,
Ta bouche et la trace de tes pas
Tous les chemins de ma vie
M’ont menée jusqu’à toi
Du plus petit mirage de l’amour
Au détour qui danse en amnésie
J’étais perdue en plein naufrage
Et te voilà
Mon phare
Mon exploit
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Pleure-moi. Pleure-moi avec toute l’intensité que ton âme blessée peut supporter. Crie mon nom si tu en ressens le besoin, laisse le vide t’envahir, laisse la douleur brûler et consumer chaque recoin de ton être. Mais écoute bien : ne reste pas figé là. Ne fais pas de mon absence une excuse pour t’arrêter de vivre.
Crois-tu que je suis entré dans ta vie pour que, le jour de mon départ, tu choisisses de mourir avec moi ? Non ! N’ose pas éteindre ta lumière à cause de mon ombre. Je ne suis pas la fin de ton histoire. Je suis un chapitre, oui, un chapitre important, marquant, qui restera gravé à jamais. Mais ta vie ne s’arrête pas parce que la mienne a pris fin.
La douleur est un maître impitoyable, je le sais. Elle te déchire, te dépouille, te laisse face à ta propre fragilité. Mais elle t’enseigne aussi, si tu l’acceptes, que tu es encore debout. Regarde-toi : tu respires, tu te bats, tu ressens. Tant que tu es là, tu as un devoir : vivre. Pas pour moi, pas pour les autres, mais pour toi. Pour ce que tu es.
Ne fais pas de mon souvenir une ancre. Fais-en un phare, une lumière qui guide ton chemin dans les moments d’égarement. Souviens-toi de nos rires, de nos étreintes, mais ne reste pas prisonnier de ces souvenirs. Je ne veux pas que tu sois un musée de mémoires, je veux que tu sois une rivière qui s’écoule, qui avance, qui transforme tout ce qu’elle touche.
Alors oui, manque-moi. Permets-toi ce deuil, car c’est l’amour qui te fait souffrir. Mais après chaque larme, après chaque nuit sombre, choisis de vivre. Choisis de rire, d’aimer, de tomber et de te relever encore. Choisis d’avancer, car c’est ce que je ferais si j’étais à ta place.
La vie n’est qu’un souffle, un instant. Ne gaspille pas le tien à te noyer dans mon absence. Car même si je ne suis plus là comme tu le souhaiterais, je suis toujours avec toi. Je suis dans chacun de tes pas, dans chaque sourire que tu parviens à esquisser. Je suis ici, te murmurant avec toute la force que l’amour peut offrir : Vis
Fernando D'Sadi
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