#toise
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that last post is accurate but tbh these are actually the sluttiest thing a man can wear

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Se yks kerta ku en mee hypeen nii tottakai sillis on kunniavieraana 😭
#paprikarambles#vituttaa#oon toises conis työvoimana ja hype on siin aik lähel sitä conia nii peruin sen
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Tulis sellane oikee kunnon kuuma ja kuiva jakso ni joha alkais se kylpyastia näyttää houkuttelevalta

🐦🚿
#joo tiiän et voi mennä kuukausiki ennen ku ne alkaa käyttää sitä :D#viime kesänä ku laitoin ekaa kertaa sen ite tekemäni ni siinähä oli heti lintuja#toi uus o ny iha lähellä sitä kohtaa mis se oli viime kesänä#ja ite tehty o toises kohtaa pihalla ja siinä o ny vihdoinki tänää käyny yks lintu#mulla on siis riistakamera kuvaamassa sitä#tos uuessa in ihan oma kamera
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I heard they wanted to use a falcon in the Blue Line Job but it was too expensive so they got the tortoise instead. Which is already very funny but they really should have written it into the script.
Sophie: Oh we can do the Russian Flip!
Eliot: Where the hell are we gonna get a falcon?
Parker: Hardison has a turtle.
Everyone: ????
Hardison: For the last time, it is a tor-toise.
Everyone: ????
Nate: Okay, Russian …. Tortoise…. Flip it is.
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On s'accuse tellement, dans la vie. Et on se déteste sans raison, on se vilipende, on se toise, on se juge, pour tout, pour rien, un diagnostic tardif, un bourrelet qui dépasse, un bouton disgracieux, des cernes un peu trop caves, deux-trois kilos en trop, c'est toujours notre corps qui accuse le coup le premier : qu'il serait bienvenu de se regarder dans le miroir en se foutant un peu la paix ! (...) On se dit souvent mille fois pire dans la glace. Comme si nous étions des corps sans histoire... N'importe quoi ! Un corps, ça va toujours avec une histoire. Bonne ou mauvaise, mais une histoire quand même. Baptiste Beaulieu- (Où vont les larmes quand elles sèchent)
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elle est assise, me toise d’un regarde hautain, me tire jusqu’à ces genoux. et sa main plaque mon visage sur sa fente qui pénètre ma bouche, précipice de délices qu’absorbe ma langue. Sa main imprime le rythme qu’elle désire. Ses cuisses s’enroulent sur ma tête dans une forte étreinte. Ses pieds trépignent et choquent mon dos. Je sens son corps se tendre et se détendre, s’enrouler et se défaire. Je m’épuise dans ce chaos de désir...
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Unohdin melki näyttää, erot on pieniä mut vihaan niitä. Uus versio on toi eka.

Ne muutti mun kaurajuoma tölkin muotoilua ja ny en melki haluu ees koskee koko tölkkiin.
#tos toises ei oo kirjaimellisesti muutaku pyöreitä reunoja#suomitumppu#suomipaskaa#suomiperkele#suomeksi#vittu#perkele#saatana#puhumme suomea
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IL CONSIGLIO
« the new world is my gift to you. »
Dans la salle de réunion du Consiglio (le Concile), malgré le parfum coloré du printemps qui semble même traverser le verre épais des grandes fenêtres qui donnent sur les Jardins suspendus et les premières esquisses d'un temps de sieste idéal - l'ambiance est tendue. Assis tout autour du bureau ovale, l'Oracle est attendu. Les deux conseillers de son cabinet, sélectionnés avec soin par l'Oracle lui-même, sont déjà présents et penchés l'un vers l'autre - leur conversation gardées à l'abri des oreilles indiscrètes par le pupitre orné de runes de dissimulation. "La situation doit immédiatement cesser ! Le coût matériel et humain est bien trop élevé pour une simple chasse à l'homme. La destruction du 2ème étage a bien trop duré !" Tommaso De Luca, fraîchement élu pour un premier mandat en tant que Représentant du 2ème étage, siffle son outrage sous le regard indifférent de Teos Saber, le Représentant au 3eme étage, . Comme trop souvent à son goût, les dégâts de la Stella D'Oro se sont invités au cœur du 2ème étage de Nuova Roma - le tout au nom de la traque d'un réincarné. "Une simple chasse à l'homme ? Vous plaisantez j'espère. A moins que vous ne souhaitiez tenir ce discours devant les familles en deuil ?" Confortablement installé dans son fauteuil, le Représentant à la Sécurité, ancien capitaine de brigade à la Stella, toise le jeune élu du haut de l'aisance de son troisième mandat consécutif. Il les connait bien, les élus du 2ème étage - ce sont tous les mêmes. Ils arrivent plein d'outrage et de fougue, les vociférations pleines de revendication pour du temps d'Ensoleillement supplémentaire et une refonte totale de leur plateforme, et repartent bredouilles. Abattus par la concentration d'activités illégales en leur sein, le refus de la population à toute coopération avec la Stella et l'absence de renouvellement de mandat - la population déjà tournée vers le prochain vendeur de miracles à élire. Il faut dire que l'absence d'intérêt du Gouvernement pour les affaires et les problématiques du 2eme étage n'aident pas. Pas assez rentable. Pas une priorité. "Je suis certaine que nous pourrons trouver un équilibre entre le besoin de sécurité et la préservation de l'environnement du Deuxième pour contenter les intérêts de chacun. C'est notre objectif après tout, n'est-ce pas ?" D'une hypocrisie à peine assez feinte pour ne pas ouvertement insulter De Luca, la Représentante de l'Administration, Sofia Gruber désigne d'une main apaisante l'hologramme actualisé en temps réel qui indique les résultats des derniers sondages réalisés: Taux de satisfaction global auprès de la population: 75% La Scrittore poursuit, se tourne d'un sourire placide vers Teos Saber. "Il me semble que Monsieur le Représentant du Troisième nous avait annoncé un plan décennal pluridisciplinaire pour l'avenir du Deuxième étage dans son discours d'investiture." Ce n'était que du vent, évidemment, une promesse électorale vide de sens de plus, mais Sofia se faisait un plaisir personnel à évoquer chacune des lacunes de l'élu. Nuova Roma appartenait d'abord à sa population - humaine, mortels et runistes, avant d'être le terrain de jeu du quelconque réincarné que Teos était. Et le jour où elle pourrait prouver son appartenance à Malis Melior serait celui de sa perte, et de son triomphe, à elle. Avant toute réponse, une voix les coupe depuis les lourdes portes du bureau maintenant entrebâillées - "L'Oracle est indisponible. La réunion est ajournée."
L'Oracle est le titre donné au dirigeant politique de Nuova Roma. L'équivalent en Ancienne Rome serait le rôle de Maire.
L'Oracle est élu avec ses conseillers par la population de Nuova Roma. Il choisit deux de ses conseillers pour siéger avec lui au Concile.
Au Concile siègent également: - 4 Représentants des plateformes de Nuova Roma. 1 par étage (RDC - 1er - 2eme - 3eme). Ils sont élus par les résidents de leurs étages respectifs. - 1 Représentant à la Sécurité - élu par ses pairs parmi les forces de police de la ville. - 1 Représentant à la Justice - élu par ses pairs parmi les professionnels de la justice de la ville. - 1 Représentant de l'Administration - élu par ses pairs au sein du Gouvernement (il s'agit toujours d'un Scrittore).
L'écrasante majorité de la population de Nuova Roma est mortelle (humains sans magie + runistes). Cette dernière voit le Gouvernement d'un œil positif en raison de ses politiques sécuritaires, écologiques et culturelles.
Les réincarnés sont l'objet d'une surveillance plus ou moins discrète du Gouvernement.
Des organisations secrètes, voire illégales, agissent dans l'ombre pour récupérer leur part du pouvoir mais des recherches plus approfondies seront nécessaires avant de pouvoir les présenter.
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could we get some more Steven? (pokepasta) just after the incident, after what happened with Mike? he's just a mess (in a more crazy way then sad) but his mood is constantly swinging from "he deserved it" to "im a monster" and (fem)reader helps him relax and gives some kisses and affection to calm him down? <3
(she's a gentle person compared to him being violent<33)
"It was only fair, right? He deserved it...he was jealous. He took my dreams..my happiness...my Miki."
"B...Blast..?"
"Your master was a horrible man, Blastoise. But you're free now."
"Blas..toise..."
"...you should be grateful."
With tense muscles and fear rushing through his veins like a current, Blastoise refused to look at the man scowling at him with glowing eyes. He couldn't even tear his own away from the body of his trainer.
Mike.
His owner, the one who had raised him since he was a little Squirtle....was dead.
All he did was come out of his pokeball as soon as he heard Steven's screams, only to be met by the sight of the ex-champion's older brother lying motionless on the bed. He didn't know what to make of the haunted expression still etched all over his face, nor the way his eyes remained opened and filled with tears...or the large bruises around his neck.
And the blood..
There was a lot of it coming from his mouth.
Over the past year, Blastoise knew Steven and Mike had a falling out ever since the accident with Miki. While he didn't fully understand all the details of that dreadful day, he was sad to learn he'd never get to see the Charizard ever again, with a visit to her grave being enough proof of that.
He knew how genuinely sorry his master was, regretting the trade every single day. Yet it wasn't enough for Steven.
He wanted revenge, and it turned him into something horrible.
Now Mike was dead, and he was standing there in the darkness, parts of his body glitching as he told Blastoise such awful things...as though he was in the wrong for mourning.
But...he didn't actually mean that, right?
Why would he say such things?
Why would he do this to his own brother?
Yet when the large turtle finally managed to look away and glare at Steven, he was surprised by what he saw: the trainer no longer looked menacing, but instead seemed rather...lost and remorseful.
"Blastoise..I....I'm sorry...I..." Looking down at his hands, he was mortified by the blood staining his fingertips. They began to shake the longer he stared, tears filling up his eyes. "What have I done..?"
"Blast?" Blastoise approached cautiously.
Then they both heard the front door open, and Steven panicked.
"Don't tell her..please." He rushed into the bathroom, locking the door behind him so he could wash his hands, desperate to get rid of the bloodstains.
Yet even as they disappeared physically, in his mind....they weren't washing off.
In his mind, his hands were completely tainted in red, and every passing second made him feel sick to his stomach.
He knew you were going to find out, and he silently cursed himself as he heard Blastoise calling out for you. Of course, he wasn't his trainer...so it's obvious he wasn't going to listen to him.
Turning off the sink, he just listened to your footsteps coming up the stairs, before they stopped upon entering his room. He could only imagine what your expression was upon seeing Mike's body, but he resisted the urge to sob and alert you to his presence.
Even so, however, Blastoise pointed you to the bathroom door, and you've been trying to convince him to come out....yet he refused.
No way should he be anywhere near you now.
He wasn't even expecting you to be home this early.
While you were working at a Pokémon Center overnight, you heard whispers from visitors about a long-haired trainer walking around with an eerie smile, apparently possessed by Missingno: a strange Pokémon that nobody was meant to find.
You didn't wanna believe it was your boyfriend, of all people, but he and Mike did learn about it while they were trying to finish their pokedexes.
Despite all the sources not being 100% verified by experts--Professor Oak included--Steven's obsession with this "myth" grew tenfold since Miki's passing. He wanted to find it and control it, and not because of a pokedex or fame or anything else.
He wanted it to change the very course of nature itself.
To bring her back.
There's been a circulating rumor that Missingno could corrupt the very soul of its trainer, driving them to do horrific and unspeakable things under its influence while amplifying their deepest and darkest internal thoughts...
And Steven, whether he found it or vice versa, unfortunately proved that to be true. It must have been feasting on his grief over Miki, leading to him making such irrational decisions he can't undo.
You believed that had to be it.
He was being controlled by this monster.
There's no way he'd do any of this otherwise....right?
It took a while for him to come out and face you, so you ended up waiting downstairs--although not before covering Mike's body with the sheet so it wasn't the first thing he saw. You had Blastoise go into his pokeball, keeping it safely tucked away in your bag.
You kept waiting on the couch for a few minutes, before hearing footsteps and turning your attention to the stairwell.
For a moment, your heart jumped into your throat upon seeing what looked like the shadow of a Charizard cast on the wall....but it was quick to disappear.
"[Y/n]? Wh-Why..are you still here?"
You blinked, only seeing Steven on the stairs now, clutching the railing and looking completely terrified. Dry tears stained his cheeks, and his eyes and nose were all red and raw from crying.
Not to mention his hair looked even worse than it did this morning...but then again, it's been that way for a year.
You helped him take care of it during his depression spells, although under no circumstance did he ever want it cut. He sometimes got angry if you tried to push him to visit the salon, so you left it be.
You'd never force him to go. Not when he's been through enough already.
It seems Missingno took a liking to his hair, as now it looked as though Zapdos struck him with lightning. It made him appear twice as big...which would have been frightening to anybody who didn't know him.
Not to you, though.
You knew him better than anyone.
"Steven.." You gently began, only to frown as he continued hiding in the shadows.
"No...I can't.." He whispered shakily. "I..I-I'm not...well, [y/n]. You should leave before I-"
"I'm not going anywhere, okay? We can talk about this.."
"......."
"Steven?"
"..what's there to talk about? You already know what I did."
Hearing his voice become distorted, you jumped as he suddenly appeared right in front of you, staring down at you with red eyes and a pearly-white grin. The rest of his face was overtaken by total darkness.
"I had no choice. I had to do it...for her. Mike ruined my life. He was a prick who deserved everything he had coming. I call it karma, wouldn't you?" He laughed.
"I know you don't mean that..that's not what the Steven I know would say." You shook your head, gently and cautiously taking his hands into yours. And he gazed at them, confused by your actions.
You weren't afraid to touch him?
Even though they were the same hands that killed someone?
"You and I both know that thing won't bring her back."
"Maybe not..but at least I tried to do something about it." He snarled, a certain bitterness to his tone. "You just kept telling me "things will get better" for a whole damn year. Well...did they, [y/n]?"
When you didn't answer, he kneeled down so you could get a better view of his face, hoping you'd finally see the monster he had become.
"Do I look "better" to you?"
"...no, and I'm sorry if I didn't do enough to help you." You tried your best to stay calm, lightly rubbing your thumb across his knuckles. "Maybe I could've stopped you from chasing down Missingno. I'm shocked it chose to go with you, but....it's not gonna scare me away, alright? You're not gonna scare me away."
"......."
"I'm horrified at what happened, but I still love you, Steven. And I can't see myself abandoning you when you're like this. I wanna keep helping you...if you'll let me, of course."
For a few long moments, he was silent as he observed your small affectionate gesture. You didn't know what he was thinking in this moment, since the bill of his hat was hiding his entire face.
Just as you stopped, however, you heard a small sniffle. His hands began trembling in your grasp.
"...please help me."
"Steven..." Pausing, you saw him look back up at you, his expression returning to normal. With panicked breaths, he crumbled into your lap, clutching your shirt desperately as his hat slipped off and fell to the ground.
You just held him closely, soothingly pet his hair in an effort to calm him down while his body wracked with light sobs...as though he were a Cubone crying out for its mother. He kept repeating "please" and how sorry he was.
This, alone, proves that he didn't mean to kill Mike at all. He wasn't himself.
At first, you weren't sure if the boy you knew and loved was still there...but he was, and he needed you by his side.
You were going to stay, for better or worse.
#clanask#anonymous#pokepasta x reader#strangled red#strangled red x reader#strangled red steven x reader#steven x reader#angst#hurt/comfort#female reader
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"Je suis anarchiste depuis toujours, je n’ai jamais voté, je ne voterai jamais pour rien ni pour personne. Je ne crois pas aux hommes. Pourquoi voulez-vous que je me mette à jouer du bigophone soudain parce que douze douzaines de ratés m’en jouent ? moi qui joue pas trop mal du grand piano ? Pourquoi ? Pour me mettre à leur toise de rétrécis, de constipés, d’envieux, de haineux, de bâtards ? C’est plaisanterie en vérité. Je n’ai rien de commun avec tous ces châtrés – qui vocifèrent leurs suppositions balourdes et ne comprennent rien. Vous voyez-vous penser et travailler sous la férule du supercon Aragon par exemple ? C’est ça l’avenir ? Celui qu’on me presse de chérir, c’est Aragon ! Pouah ! S’ils étaient moins fainéants tous, s’ils étaient si bons de volonté qu’ils disent, ils feraient ce que j’ai fait au lieu d’emmerder tout le monde avec leurs fausses notes. Ils la reculent leur révolution au lieu de la faciliter. Ils ressemblent à ces mâles qui n’ont plus d’instincts, qui blessent les femelles et ne les font jamais jouir. Ne sentez-vous pas, ami, l’Hypocrisie, l’immonde tartuferie de tous ces mots d’ordre ventriloques ! Le complexe d’infériorité de tous ces meneurs est palpable. Leur haine de tout ce qui les dépasse, de tout ce qu’ils ne comprennent pas, visible. Ils sont aussi avides de rabaisser, de détruire, de salir, d’émonder le principe même de la vie que les plus bas curés du Moyen Âge."
Louis-Ferdinand Céline, « Lettre à Elie Faure », avril 1934.
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Brun about Bory de Saint-Vincent
A quick translation for @cadmusfly, from Brun de Villaret's "Cahiers": This takes place in 1812, after the evacuation of Andalusia. The French have driven Wellington out of Madrid again, who hastily retreats back into Portugal.
Marshal Soult encountered the advance guard of the English army in La Mancha. [...] Arriving on the bridge of the Tajuna, a branch of the Tagus, we saw a considerable corps in position on the opposite bank. A bridge 300 toises long, thrown over the river or the adjacent marshes, offered us passage. But it was battered by formidable artillery and could not be taken by force. The Marshal also feared that it had been cut at a point where the trees made it difficult to see, and to ascertain this, he sent out a reconnaissance. His aide-de-camp, Borie [sic!] de Saint-Vincent, came to tell him formally that there had been no gap. The Marshal doubted the accuracy of the report and asked me to find out for myself. The operation was not easy. [...] I got up my courage and made my way across the marsh, moving quickly from one pile to another. At last I spotted a completely broken arch and hurried back to report it to the marshal. He looked at Borie with indignation and immediately gave orders for a corps to go up the river and find a ford [...].
Presumably, there were really interesting trees around that bridge...
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Ça fait des mois que j'ai une idée de fic avec Galessin et Angharad (en mode Brotp je précise) basée sur cet épisode
J'ai pas le temps de l'écrire mais je veux me la sortir de la tête, alors voilà les grandes lignes :
"Faut qu'on se tire" : les premiers mots de la fic prononcés par Angharad à l'adresse de Galessin
Angharad revient d'un énième "rencard" avec Perceval et elle vient de comprendre (enfin) que Perceval ne passera jamais le cap de la demander en mariage
Elle a bien réfléchi : pour s'extirper de sa condition de bonniche et être indépendante, sa meilleure option est de faire un peu comme Lancelot et de se tirer. Elle est debrouillarde, elle s'en sortira
Galessin se demande en quoi ça le concerne
Angharad lui propose de se tirer avec elle. Lui aussi, c'est sa meilleure option pour ne plus être à la botte de personne
Là y'aurait un dialogue avec Galessin qui nie par peur de sortir de sa routine et Angharad qui essaie de le secouer un peu (y'aurait sûrement quelques parallèle avec Loth, sauf que là Angharad essaierait de le faire sortir de la noix de Saint Jacques au lieu de l'enfoncer)
Galessin met quelque part l'argument qu'il tient à son confort et que la vie de bohème à faire du camping c'est pas son truc (il a déjà essayé de jouer à être pauvre, il a pas aimé)
Angharad lui fait remarquer que le camp de Lancelot c'est pas franchement le luxe, et que quitte à dormir par terre dans la boue, autant le faire en étant libre
Galessin flippe un peu de la réaction de Loth s'il se barre. "S'il me retrouve je suis mort"
Angharad lui répond qu'elle sent que les choses vont bouger à Kaamelott, avec le départ de Lancelot et de la reine, et que Loth sera sûrement plus occupé à foutre la merde dans la politique pour s'assurer d'avoir un belle place dans le futur du royaume que de courir après lui.
Pas mal de débat un peu philosophique et psychologique sur les craintes et les désirs des deux.
Galessin finit par accepter
Angharad dit qu'elle voudrait emmener Guenièvre aussi pour la sauver de sa situation. Elle ne peut pas la laisser seule avec ce taré de Lancelot.
Les 2 prévoient un plan de fuite pendant que Lancelot est hors du camp
Guenièvre, enchaînée au lit, rechigne au début par principe mais Angharad la persuade vite.
Le trio fuit dans la nature. Là y'aurait des échanges marrants entre les 3, sur comment s'organiser, qui monte le camp, qui part chasser etc.
Angharad est une badass de la nature, dans la même categorie que Léodagan
Du coup Galessin prend plutot les tours de gardes pour protéger Guenièvre
Y'aurait sûrement une discussion un peu gênante mais interessante entre les 2
Le royaume s'effondre progressivement autour d'eux. Ils entendent dire qu'Arthur a replanté l'épée et ne gouverne plus.
Galessin et Angharad sont bien contents d'avoir quitté tout ça, mais Guenièvre s'inquiète pour Arthur. Elle veut retourner auprès de lui à Kaamelott
Grosse dispute "c'est trop dangereux, pourquoi vouloir retourner là bas avec lui, etc." (Galessin est toujours terrorisé par l'idée que Loth puisse le retrouver)
Galessin et Angharad (Angharad d'abord, Galessin après) réalisent qu'ils sont en train de faire à Guenièvre ce que tout le monde a toujours fait : lui imposer sa conduite. Ne voulant pas reproduire cette erreur, ils se résignent.
Ils font discrètement parvenir un mot à Arthur, lui disant de se rendre à un certain endroit pour revoir Guenièvre.
Guenièvre et Arthur se retrouvent, Galessin et Angharad en retrait.
Arthur toise Galessin et Angharad. Silence pesant.
Anghard brise la glace avec un simple "On a bien pris soin d'elle"
Arthur voit que Guenièvre est en bonne santé, ça lui suffit.
Il les salut d'un dernier signe de tête.
Galessin et Angharad retournent à leur camp, et construisent leur nouvelle vie du mieux possible sans plus jamais se mêler des affaires du royaume.
Le titre de la fic ça serait un truc genre "La reine, la bonniche et la noix de Saint Jacques"
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Premier extrait ;
L’écho linéaire d’éclats de rires s’estompe peu à peu contre les murs de la cour de récréation du Lycée Saint-Louis dans le sixième arrondissement de la capitale française. Il est 10h, les élèves profitent d’une pause bien méritée à l’extérieur des bâtiments de l’institution. Perché sur un toit aux tuiles grises, des corbeaux sont aux aguets, avides de se repaître du reste de nourritures que les lycéens abandonneront tant dans une poubelle, pour les mieux éduqués d’entre eux, que sur le sol pour les autres. L’ambiance s’imprègne d’échanges sociaux, qui de nos jours, ne peuvent se faire sans les téléphones, réels fléaux numériques qui n’épargnent malheureusement plus aucuns adolescents. Les pouces tapotent frénétiquement sur les écrans, déroulant sans contact physique véritable, des vidéos au travers l’application du moment. Des musiques défilent, se joignant à l’écho des rires et du croassement des volatiles. Soudainement, un cri glacial, provenant de voix à l’unisson, raisonne dans la cour. Les corbeaux s’envolent d’un battement d’ailes à travers le ciel parisien qui se couvre de nuages menaçants. Une jeune adolescente laisse tomber son smartphone, dont sa valeur frôle un smic, sur le goudron. Dans ses pupilles dilatées d’effroi se répètent en boucle l’enregistrement en direct d’un live, une scène d’assassinat surréaliste. Autour d’elle et de ses camarades, les surveillants accourent en nombre, dans l’espoir d’agir en premier secouriste 𝙙𝙚𝙨 𝙥𝙧é𝙢𝙞𝙘𝙚𝙨 𝙙'𝙪𝙣 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙢𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙢𝙖𝙧𝙦𝙪𝙚 à 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨.
La semelle souple de ses chaussures de sport claque, au rythme de ses foulées, contre le chemin couvert de graviers du Parc Monceau. Ses jambes le portent dans une course effrénée. Quelques rayons de soleil tentent vainement de percer encore le rideau de nuages qui recouvre bientôt l’entièreté de la capitale. Le regard levé en direction du ciel, Adrien regrette soudainement de ne porter qu’un t-shirt noir près du corps et un short ample décoré du logo de la marque Nike. Il presse la cadence de sa course à pieds en traversant un pont en pierre au-dessus d’un joli étang. Le Boulevard de Courcelles apparaît bientôt devant lui, annonçant le périmètre final du parc. Le souffle court, Adrien ralentit ses pas en arrivant sur le trottoir.
Et puis, tout s’accélère à nouveau. Un bruit de moteur qui vrombit. La silhouette d’une grosse berline noire s’arrêtant devant lui. Quatre mains féroces l’empoignant de force et l’entraînant dans l’habitacle. Sa crainte d’être arrosée par une pluie glaçante et malvenue qui disparaît…
- Lieutenant Romanov, s’exclame l’homme en costume trois pièces bleu marin affalé au fond du siège en cuir à l’arrière de la Rolls Royce.
Adrien se remet peu à peu de ses émotions, happé par cette voix inconnue. D’un regard hâtif, il essaie de mémoriser le lieu qui l’entoure. Il est coincé entre deux gorilles qui le toisent avec hostilité. Le flic tente de se redresser sur la banquette arrière en jouant des coudes avec les molosses.
- Restez tranquille, cela vaut mieux, recommande le patron sans élevé la voix, mais d’un ton qui intimide courtoisement à ne pas jouer avec le feu.
L’homme tient dans sa main droite, un gros cigare qu’il s’amuse à faire rouler entre ses doigts pourvus de bagues. Il maintient dans sa main gauche, une canne en bois ciré ornée d’une tête de lion en or. Au travers de la paire de lunettes de soleil qu’il revête, il toise le jeune policier, visiblement secoué par cette embuscade. « Ne le laissons pas si longtemps dans l’interrogation » pense-t-il avant de sortir une tablette électronique de derrière son siège. Il la tend alors à Adrien, en enclenchant une vidéo. Le lieutenant remarque instantanément qu’il s’agit d’un live sur cette application dont raffolent les jeunes. Les images mettent en scène une chorale de filles qui s’amusent à se filmer dans une église. Les secondes s’écoulent lorsque tout à coup, des cris se joignent au bruit d’un coup de feu. L’une des gamines s’écroulent d’une balle dans la tête. L’homme reprend alors la tablette des mains d’Adrien.
- Vous allez me retrouver le fils de p*te qui a tué ma fille, c’est compris ? On raconte que vous êtes le meilleur dans le domaine. Prouvez-le.
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Sea plume.
Dead Sea.
God undertones in her body, ringing fate.
Maira Bakth Avistha ka Basi hai.
Javedah mukbar sinha. Zindagi saino ka loop hai, mitbara ka.
Maina aankho me solinhi ka chaand tekhar baikth hai.
Mohabbat hai Zindagi.
Das hai, mere, nam, kishake.
Ee sakh.
Zindagi mere marna bali hai.
Uska theep uska barishta ka aavas hai.
Girl sea.
Plume designs and mad Roz.
Aarghan ka intah.
Intah.
Zindgai hai.
Param Anap Lagesha.
Ahaha. Ahaha. Laalla. Laala. Padhmini Aash Bos. Baksh de, zindagi. Maang bar, aakar. Sindh ki lauqat par.
Aandha Baiz.
In revenge of my lovers going away to seek a sight from her, they watch her, become her and burn till a day God.
Mohabbat hai Baazi. Zindagi hai.
Toise Baina aandha. Mohabbat hai jhiski bakshi.
Kahani aadhi hai rukhana meetana.
Meetha. Pan se. Pan ho. Pan ke. Aavis.
Her.
Sunidhi
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turtle tortle toise
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Une question inattendue
Il était une fois une question inattendue. L’assise est dure sous son fessier, le métal brûlant, rongé par le soleil. Restes de mégots et boissons à moitié terminée, la table est poisseuse, le serveur ne l’a pas encore débarrassée. Le monde grouille, violent sous la canicule et l’émoi estival. Un brouhaha incessant, des cris aigus d’enfants, beaucoup trop forts pour ses tympans. À côté d’elle, une petite fille lit un livre. Imperturbable, les gamins tout autour continuent de crier et les pigeons grignotent de vieilles miettes à ses pieds. La dernière page se tourne, elle ferme sa BD et puis voilà qu’elle lui demande, tout naturellement : Et toi alors, pourquoi t’as toujours pas d’enfant ?Le serveur arrive enfin avec les sodas. Un intermède apprécié pour sa tête qui tourne et son esprit en désarroi. Elle laisse couler la boisson au fond de son palais, bien trop tiède pour rafraîchir ses idées. Elle grimace. La petite la regarde. Ses grands yeux noirs attendent une réponse sous ses cils aussi longs que des ailes de papillon. Elle se racle la gorge. Finalement, entre la réalité, ses doutes et ses regrets, elle lui renvoie la balle, un coup de revers et la partie est relancée. Et toi, dis-moi, pourquoi t’as toujours pas d’enfant ? Elle se croit beaucoup trop maligne, la petite fille ne se laisse pas prendre à son jeu. Des épaules qui se haussent, elle lui répond tout simplement : bah, parce que j’en n’ai pas envie et puis je suis encore beaucoup trop petite moi. Elle lui sourit, se retient de rire. Et bien voilà, tu as ta réponse ! Moi, c'est tout pareil comme toi ! La petite fille la toise à nouveau, elle reprend une gorgée de coca, elle n’a pas dit son dernier mot. Puisque toi et moi sommes encore si petites, on peut peut-être alors encore aller faire un dernier tour de manège ?

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