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Ada & Mads
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Art Blog
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adamads · 5 months ago
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Deux résolutions cette année : lâcher la bride sur mon perfectionnisme pour assouplir et allonger mon trait, et me faire plaisir.
Du coup je ne sais pas très bien où ça va me mener, mais j'ai bien envie de le découvrir
Voilà déjà quelques expérimentations en mode plaisir :)
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adamads · 5 months ago
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Bon ben voilà, on est en 2025, le temps n'en fini plus de filer !
Bonne année à tous et à toutes !
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adamads · 6 months ago
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Eeeeeeeeet un p'tit portrait pour Noyel avec Oki Sanger
Joyeuses fêtes, toussa toussa 😽
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adamads · 6 months ago
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Je ne sais pas si ce sont toutes ces lumières de noël qui m’ont inspirée, mais bam, voilà des couleurs 🧑‍🎨
“Boréa”
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adamads · 6 months ago
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La semaine dernière je faisais dans le froid, cette semaine c'est un autre climat, avec le retour de Paven :)
En ce moment j'essaye toujours de mettre un peu de contexte et quelques éléments de décors avec mes p'tits bonhommes, mais je me rend compte que j'aime aussi faire simple et suggérer plutôt que montrer.
Et donc, comme je suis un être de logique et de digression (et absolument pas sadique) la réflexion qui s'impose suite à ce constat, c'est..."tiens ? et si je choisissais CE dessin pour faire imprimer en puzzle ? "😁😁😁
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adamads · 7 months ago
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Eeeeet me revoilà ! 
Avec mes p’tits tests. 
Après un mois de Nanowrimo. 
Pour ceux qui ne connaîtraient pas le principe du Nanowrimo, le voilà : écrire 50 000 mots (l’équivalent d’un roman) dans le mois de novembre. 
Techniquement il y a une plateforme où les gens écrivent et postent chaque jour le contenu de leur Nano, mais pour le moment je préfère garder pour moi mes histoires, d’autant que je me sers beaucoup du Nano aussi pour expérimenter et développer mes idées. C’est un peu comme de faire un brouillon de premier jet pour moi, alors je ne me vois pas trop le partager, sachant que le résultat une fois reponcé n’aurait peut être plus rien à voir avec le brouillon. 
Du coup pour le moment je garde un peu tout ça pour moi. 
Cette année je m’étais lancé le défi de mettre à l’épreuve ma capacité à digresser. Je voulais partir de l’idée suivante “Une jeune femme possédant des capacités de régénération exceptionnelles porte sur le visage une cicatrice qui, contrairement à toutes les autres, n’a jamais disparut : Pourquoi ?”
Je pensais que ça tiendrait en une courte nouvelle et que je devrais exploiter d’autres petites idées du genre pour finir le mois. 
Au final j’ai mis 52 475 mots à répondre à ce “Pourquoi”, comprenant un marathon de 6 heures d’écriture non stop pour boucler l’intrigue et ajouter un petit épilogue. 😬
Au fur et à mesure que j’écrivais cette histoire, j’avais l’impression de participer à un cadavre exquis avec moi-même. Je partais d’une idée, je développais un peu, je partais sur une autre, je développais aussi un peu…et de fil en aiguille je raccordais tout ça dans un joyeux petit monstre de Frankenstein un peu boiteux, mais tout de même capable d’aller quelque part. 
Et en définitive j’ai l’impression que j’ai surtout besoin de déplacer quelques petits morceaux de ce petit monstre pour les remettre à la bonne place, à lisser un peu tout ça avec un peu plus de descriptifs, et il pourrait presque faire illusion. 
Bilan de cette petite expérience sur la digression ? 
Eh bien il y avait des jours où je n’en pouvais plus et où j’avais hâte que ça s’arrête. J’ai traversé des périodes de doutes et des tentations de trouver des excuses pour abandonner, mais…hé, si c’était facile, ça ne s'appellerait pas “un défi”. Et de temps à autre ça fait du bien de se challenger un peu. Il n’y a rien de mieux pour apprendre à mieux se connaître. 
Mais je vous jure que rendu sur la fin je n’en pouvais plus de ne pas pouvoir trouver une occasion de dessiner un peu -_- 
Total, j’ai passé mon dimanche après-midi à griffonner en enchaînant les films et les séries. Ça m’a fait du bien.
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adamads · 8 months ago
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"Griffonnages TV"
Ça y est, on est en novembre, et qui dit novembre dit “Nanowrimo” ! (en tout cas en ce qui me concerne)
Ça fait déjà quelques années que j’ai lâché l’inktober pour lui préférer le Nanowrimo, plus dans mes cordes, et c’est un défi que je prend toujours plaisir à relever, même si il tombe aussi à un mois de l’année où j’ai toujours beaucoup à faire ^^* 
Or cette année, incapable de choisir un sujet à aborder pour le Nanowrimo - le projet que j’avais en tête initialement réclamant plus de temps de préparation que prévu - j’ai décidé de mettre à profit ma capacité à digresser et de me lancer un défi personnel : voir jusqu’où je suis capable de me rendre à partir d’un vague pitch non dégrossi. 
Je vais vous dire : le début a été raide. Très raide. 
Mais nous en sommes au 6ème jour, et je m’accroche plutôt bien pour le moment. J’ai même l'extraordinaire culot de penser que le texte n’est pas trop mal en définitive et tient plutôt la route jusqu’à présent. 
Je ne suis absolument pas sûre de pouvoir tenir tout le mois sur cette histoire, et à l’origine je pensais plutôt en faire une nouvelle, mais bon…on verra ça où tout ça nous mène. 
Quoi qu’il en soit, le Nanowrimo c’est plus de 2500 mots par jour, et mine de rien ça correspond à trois bonnes petites pages, ce qui me laisse peu de temps pour dessiner. C’est pourquoi je ralentis généralement le rythme en dessin à cette époque là. 
Voici donc une série de petits croquis que j’ai fait lundi soir devant la TV. A défaut d’être très aboutis, ils ont le mérite de me faire pratiquer. 
La semaine prochaine je serai en déplacement, donc pas de post, mais je m’efforcerais quand même de griffonner :)  
Bonne semaine à tous et à toutes !
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adamads · 8 months ago
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Fondamentaux - Valeurs II
J’ai souvent vu des tutoriels sur comment coloriser un dessin en niveau de gris, mais jusqu’à là je n’avais jamais trop réussi à avoir quelque chose de probant, pour deux raisons :
- Je ne comprenais pas comment fonctionnait la couleur
- Je ne comprenais pas comment fonctionnaient les modes de fusion de mes logiciels.
Entre temps j’ai appris à apprivoiser la couleur (c’est pas parfait, mais elle me fait moins peur, c’est déjà ça de pris ! Il n’y a pas si longtemps encore, la couleur était ma bête noire. Vous l’avez ? 🤡 Bête noire / Couleur / Apprivoiser… ahem, bref. ), et je me suis donc aussi amusée à détailler et tester chacun des modes de fusion des logiciels que j’utilisais pour comprendre comment ils fonctionnaient et quel effet ils auraient sur mon dessin.
Eh bien figurez vous que j’ai fait un nouveau test, que voili voilou. Ce n’est pas parfait, mais c’est franchement pas si mal par rapport au bordel grisâtre et sans vie que j’obtenais toujours quand je tentais l’opération à l’aveuglette.
Moralité donc : préparer un dessin de base en noir et blanc et le coloriser ensuite, c’est tout à fait possible, mais ça n’est pas une roue de secours pour apprenti barbouilleur.
“Mais comment faire, Gilbert ?” me direz vous alors (oui, j’ai mangé un clown ce matin et non, je ne m’appelle pas Gilbert)
Eh bien : travailler les fondamentaux.
Travailler en niveau de gris c’est utile pour bien comprendre les valeurs, les contrastes et la lumière. Plus vous travaillerez en noir et blanc, plus vous avez de chance de comprendre comment opèrent les ombres et la lumière.
Mon conseil ? Concentrez-vous sur un élément à la fois. C'est-à-dire, partez d’un gris de base, et attachez-vous à appliquer à ce gris des valeurs plus claires, OU plus sombres. Pas les deux à la fois. Simplifier en dessin et en peinture, c’est apprendre à comprendre. Quand vous serez capable d’y aller franco avec vos ombres ou vos lumières, vous pourrez commencer à jouer sur les deux tableaux. La clé c’est ça : observation et simplification. Prenez de bonnes références, avec des contrastes nets : un éclairage brut, qui découpe bien les formes et rend des lumières et des ombres marquées. Et appliquez vous à en reproduire les ombres, ou les lumières, le plus simplement du monde. Autrement dit, avec le moins de nuances de valeurs possibles. Une seule serait l’idéal, pour commencer. Une base neutre, et une base d’ombre. Rien de plus.
“Et la couleur ?”, me direz vous ensuite.
Eh bien la couleur c’est tout un autre chapitre, et comme je ne tiens pas à vous assommer avec mes pavés (🥸), je vous laisse en niveaux de gris pour aujourd’hui !
Bonne journée, et joyeux Halloween pour celles et ceux qui le célèbre !🐈‍⬛🦇🍂🎃
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adamads · 8 months ago
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Fondamentaux - Valeurs
Le dessin et la peinture ne sont pas des matières que l’on peut apprendre de façon linéaire, c’est probablement ce qui rend la discipline aussi opaque pour beaucoup de monde, moi la première. Il y a plusieurs piliers et fondamentaux qu’il faut pouvoir assimiler et maîtriser avant d’espérer produire une œuvre qui tienne la route autrement que sur un coup de chance. 
Comme pour toute discipline cependant, le dessin / peinture n’est en rien inaccessible pour autant. Tout le monde peut tout apprendre, même si les méthodes et les objectifs peuvent différer d’une personne à une autre. La seule chose dont on a besoin pour apprendre en vérité, c’est l’envie. 
Mais quel que soit le niveau d’avancement qu’on puisse avoir dans un domaine, c’est toujours utile et important de revenir de temps à autre sur les fondamentaux. 
Voici quelques études de valeurs que je me suis amusée à faire cette semaine. Je les ai numérotés dans l’ordre dans lequel je les ai exécutés. Mon objectif n’était pas exactement le même d’un dessin à l’autre, mais au fur et à mesure de chaque exécution il me venait différentes réflexions sur comment mieux faire cohabiter l’ombre et la lumière et comment appliquer tout ça avec des couleurs. 
C’est le principe de ce genre d'études. Il ne s’agit pas de recopier sans réfléchir, ni de répéter une gestuelle sans savoir pourquoi. A mon sens, ce genre d’études, pour être utile à quelque chose, doit être un mélange d’observation, de plaisir et d’analyse. 
Pour ma part je ne cherche jamais à reproduire fidèlement quelque chose quand je dessine. D’une part parce que j’en suis probablement incapable, et d’autre part parce que ça ne m’intéresse pas non plus. (Dans les faits en réalité, l’un ne va pas sans l’autre : si ça ne m’intéresse pas, il y a peu de chance que j’en sois capable, étant donné que je ne me donnerais de toute façon pas les moyens d’y arriver. Mais passons.) 
Je pense que je vais continuer à faire d’autres études de valeurs cette semaine. Travailler en niveaux de gris a quelque chose de reposant, et j’ai bien envie de voir si je peux pousser un peu le truc :D 
Sinon, vu qu’ils sont numérotés pour une fois, lequel préférez vous ? ;) 
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adamads · 8 months ago
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“Violette”
Je n’aime pas “ne rien faire”. Je suis plus de nature à faire plusieurs trucs à la fois que rien du tout.  
A l’école j’avais déjà le problème : je ne pouvais pas avaler un cours sans m’occuper en faisant autre chose. Du dessin, en général. 
Je ne sais pas trop pourquoi. Probablement parce que je me faisais ch*... la plupart du temps, et que dessiner permettait de meubler les blancs dans mon esprit. Un peu comme un “liant mental” pour épaissir la sauce et donner un peu de consistance au bordel. 
C’était mal vu, et on me le reprochait souvent, mais j’en avais besoin pour écouter. Sans ce “liant”, mon esprit partait en balade dans d’autres pensées et je n’enregistrais pas la moitié de ce qu’on me racontait. Certaines personnes fonctionnent comme ça. C’est mon cas. 
En ce qui me concerne, le dessin a toujours été une activité qui me permettait de réfléchir et de réorganiser mes pensées. 
C’est pourquoi, ces temps-ci, plutôt que de céder à l’appel de l’infinite scroll, des commentaires haineux de facebook ou des informations anxiogènes de partout dans le monde, j’essaye de me remettre au griffonnage papier. Ça me calme, ça m’occupe, et ça me donne l’impression de faire quelque chose quand je n’ai rien de mieux à faire. 
Violette est partie de là. Un petit dessin d’un modèle trouvé au hasard d’une des pages internet que j’aime bien consulter pour me distraire et me détendre au travail quand il n’y a rien en cours. Je trouve sur ce site beaucoup de photos de transformations spectaculaires ou de vieux look de jeunesse non assumés, et j’adore ce genre de choses ^^ 
Je ne sais plus exactement ce que portait la jeune fille qui m’a servi de base, mais j’ai brodé à partir du croquis que j’en ai fait, et ça a donné Violette 😀
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adamads · 8 months ago
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J'écoute toujours du lofi quand je travaille, et je m'y met aussi parfois quand je dessine ces derniers temps. Mon lofi du moment est asian lofi radio, ce qui explique peut être pourquoi je me suis lancée dans ce petit dessin...
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adamads · 9 months ago
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“Porcelaine”
Je ne sais pas si c’est l’arrivée de l’automne ou un état d’esprit passager à tendance récurrente, mais l’autre jour, je me suis fait la réflexion suivante en croisant certaines personnes. Je me suis dit : “Ciel, que ces gens sont gris !”
Ce n’est pas la première fois que j’ai cette impression, principalement quand je croise des gens très propres sur eux qui donnent un peu l’impression d’avoir coupé de leur personnalité tous les petits fils de folie qui auraient pu dépasser. Quand je les regarde, leur lumière intérieure me paraît plus fade par rapport à celle des autres, comme étouffée. Ils sont impeccables, mesurés en toute chose, ils offrent cette impression de maîtrise d’eux même. Mais pas de cette maîtrise qui dit “j’ai affronté la bête en moi et j’ai vaincu”. Plutôt de celle qui dirait “je n’ai jamais rencontré cette bête et je n’ai même pas idée de ce dont tu parles. Es tu folle et dois-je m'inquiéter ?”.
Ces gens-là me donnent l’impression d’être doté du calme qui n’a jamais connu de tempête. Ils font attention à tout, et surtout à leur physique. Ils ont de beaux vêtements de bonne qualité, qui leur vont bien. Ils sont toujours bien coiffés et maquillés. Ils sont d’humeur égale et ne dépassent jamais des cadres, quels que soient les domaines dans lesquels ils évoluent.
Ils sont impeccables, lisses, jolis à regarder…Comme des poupées de porcelaine en exposition, sous verre, dans le salon de la vie.
NDA : à l’origine, “Porcelaine” devait être monochrome, pour illustrer la tristitude que lui inspire les petits hommes et les petites femmes en gris. Mais l’artiste étant ce qu’elle est, il a quand même fallu qu’elle y colle un peu de couleur.
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adamads · 9 months ago
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C’est presque rageant, en fait.
Vous vous souvenez de Ianthe ? Mon post de la semaine dernière ?
Eh bien j’avais passé des jours sur Ianthe, sans plus savoir de quel côté la rémouler pour arriver à en obtenir quelque chose. Elle a changé trois fois d’attitude et quatre fois de tenue, et j’ai perdu le compte pour son nez, ça n’allait jamais.
Voici Nicole.
Nicole m’a pris 2 heures. Allez, mettons 3, le temps de rajouter un petit fond. Elle n’est pas parfaite, mais j’en suis assez satisfaite pour considérer le dessin comme terminé.
—------------ Petit aparté sur le perfectionnisme, car le sujet s’y prête —-----------
C’est à travers des dessins comme “Nicole”, que j’ai commencé à me soigner de mon perfectionnisme : en me collant sur le mur de mon bureau et dans la tête des petits mantras du type “Finit, pas parfait.” et “Le mieux est l'ennemi du bien.” Comme ça, et en m'astreignant à ce rythme de poster un dessin par semaine.
J’ai déjà parlé une ou deux fois de ce fameux “perfectionnisme”, que je considère comme étant un des pires problèmes en art et même dans la vie en général. Mais la question est : savez-vous vraiment ce que ce mot veut dire ?
Le perfectionnisme est un terme aujourd’hui bien galvaudé par les gens qui prétendent s’en servir pour dépeindre un faux défaut. Seulement quand on en souffre réellement, on sait qu’il ne s’agit pas d’une simple “quête de perfection”, mais d’une bête noire à abattre à tout prix.
Dans ma lutte contre ce perfectionnisme, qui me bouffe depuis toujours, voici aujourd’hui ce que j’ai appris :
Un perfectionniste ne cherche pas à atteindre la perfection, un perfectionniste cherche à fuir l’échec. Il ne s’agit pas d’une volonté de bien faire, il s’agit de la peur de mal faire. De la peur d'échouer.
Cette nuance, c’est le bâton dans les roues dans la vie du perfectionniste. C’est ce qui va l’empêcher de prendre des risques. De rater, certes, mais aussi de réussir.
Le perfectionnisme ne vient jamais seul. Il s’accompagne généralement d’un chapelet de névroses diverses, et marche souvent main dans la main avec le fameux syndrome de l’imposteur.
“Je ne suis pas assez bien.” “Ce n’est pas assez.” “Je dois faire mieux.” “Je ne suis pas à la hauteur. “
Le perfectionniste n’est pas heureux. La perfection n’existe pas et cette quête insensée est une bride qui l’empêche de progresser.
Car aussi paradoxal que ça puisse paraître, on apprend jamais autant et si bien qu’en faisant des erreurs. Et tout aussi paradoxalement, il faut plus de confiance en soi pour échouer que pour réussir.
Or, la confiance en soi, c’est justement ce qui fait défaut au perfectionniste. Le perfectionniste a l’impression qu’on l’observe et qu’on juge tout ce qu’il fait, que sa valeur personnelle serait entachée si jamais il faisait un faux pas.
Voilà la lutte du perfectionniste. Et pas de celui qu’on retrouve miraculeusement un peu partout quand il est question de trouver “un-petit-défaut-qui-cache-en-fait-une-qualité”.
Ça n’est pas une qualité, c’est un frein, un mot qui cache de grands complexes et des peurs parfois tétanisantes pour la personne qui en souffre.
🤔Alors que faire si vous vous trouvez dans ce cas ? Si vos projets prennent du retard ou ne voient même jamais le jour, à cause de cette peur de décevoir ou de perdre de la valeur, qui vous pousse à vous cacher dans une quête illusoire et chronophage de perfection ?
La réponse est : apprendre à tomber.
Je pourrais digresser encore longtemps sur le sujet, mais s’il y a une chose de garantie dans la vie, c’est qu’il y aura toujours un moment où vous allez échouer. Vous tromper. Tomber.
Que faire quand on tombe ?
✅Le plus dur : balayer la boue et panser vos blessures. Non, tomber ne fait pas de vous un imbécile et n’impacte pas votre valeur en tant qu’être humain. Si vous êtes persuadés que oui, demandez-vous pourquoi vous en êtes si sûr. Vous vous rendrez probablement compte que cette idée ne vient pas de vous, mais des autres. De cette impression d’être jugé, évalué et comparé. Vous allez devoir apprendre à vous défaire de cette croyance et à vous juger vous-même en vous servant de vous-même comme gabarit. N’acceptez pas d’écouter les critiques si elles ne sont pas constructives.
✅Comprendre pourquoi vous êtes tombé, en toute objectivité. Sortez de vous-même et observez les mécanismes de votre échec comme si vous étiez quelqu’un d’autre. Ici, je me suis planté. Là, il y a une erreur. Prenez des notes mentales objectives : sans y mêler d’émotions.
✅Remontez en selle avec ce nouveau savoir.
Et gardez ceci en tête : cette démarche sera toujours plus facile pour quelqu’un qui a déjà expérimenté la bienveillance des autres que pour quelqu’un qui a grandi et vécu dans un environnement psychologiquement difficile.
Être capable de tomber, de se défaire de l’émotion négative qui va avec la chute pour pouvoir étudier objectivement les raisons de la chute et les moyens à mettre en œuvre pour éviter la prochaine. C’est le degré de confiance en soi qu’il faut pour pouvoir échouer positivement.
Vous pouvez le faire. C’est un long processus, mais il n’y a pas d’âge pour se sortir des ornières. C’est votre vie, après tout, vos buts et vos objectifs. Et vos erreurs sont le socle de votre apprentissage, pour peu que vous sachiez en tirer les leçons qu’il vous faut pour progresser.
Fiou ! Fin du pavé.
Je suis prolixe ces temps ci dites donc ! 😅
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adamads · 9 months ago
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Et bim ! Encore une rouquine ! 
Voici Ianthe Blackwell, la petite sœur de Norem. Ianthe, qui m’a donné du fil à retordre et je ne sais même pas pourquoi. Je crois que je manquais de concentration, tout simplement.
—-------------------------------------- Alerte Pavé—-------------------------------
Dernièrement dans une des vidéos que je regardais, une artiste posait plus ou moins la question suivante : si vous n’aimez pas dessiner, pourquoi insister ? 
Le fait est que le dessin et la peinture sont autant un divertissement qu’un challenge, et qu’en poussant notre art à progresser, nous nous engageons dans un processus qui peut nous procurer autant de plaisir que nous faire souffrir. C’est ce qu’on appelle généralement “une passion”. 
(Pour celles et ceux qui l’ignoreraient, le sens même du mot “passion” est littéralement “souffrance”)
Et on ne se défait pas d’une passion comme on pourrait se défaire d’un passe-temps, car elle occupe pour beaucoup d’entre nous chaque fibre de nous-même. 
Prenons le dessin. Vous aimez dessiner, mais en même temps vous en souffrez. A moins que ce ne soit pour vous un pur hobby, le dessin occupe votre esprit comme un animal sauvage que vous chercheriez à apprivoiser sans trop savoir par quel bout le prendre. 
Si vous le laissez faire, vous devez être patient, attentif, et avoir beaucoup d’espoir, car il y a alors de grandes chances que vous soyez alors de ceux qui pensent en termes de “jour où ça va” et “jour où ça ne va pas”. 
J’ai été moi-même dans ce cas. J’ai patiemment attendu l’illumination et les jours où mon esprit et mon corps seraient suffisamment en harmonie pour arriver à tracer trois pauvres traits et deux têtes mal fichues. 
Ces journées “illumination” se comptant facilement sur les doigts d’une main sur une période d’un mois, autant vous dire qu’en termes de ratio, on ne peut pas trop parler de succès. 
Alors quoi ? 
Alors j’ai appris. Et je suis passé de “apprivoiser” à “dompter”. De “laisser venir” à “aller vers”. 
J’ai dû remettre en question toutes mes certitudes pré-établies, pour pouvoir transformer la “souffrance de l’attente du jour idéal” en “souffrance de la remise en question et de l’apprentissage”. 
Je me suis employée à reprendre tout ce que je pensais savoir et à le remplacer par de nouvelles façons de penser et de voir, dans le but surtout de comprendre comment faire pour avoir le contrôle sur ma passion. 
J’ai mangé des cours, des tutos, essayé une méthode et une autre, appris à voir ce qu’on ne peut pas voir quand on ne dessine pas ou qu’on ne peint pas. (Oui, tout ce que taper un prompt sur une IA ne vous apprendra jamais)
Et toujours malgré tout, et même si je progressais, j’en souffrais. Quelque chose n’allait pas. D’un côté, j'avais la sensation de me forcer à dessiner pour progresser. Et psychologiquement je vivais une dissonance. 
Sauf que de ne rien faire était tout aussi douloureux ! Et chaque fois que je laissais passer trop de temps sans dessiner et /ou écrire (Oui, j’ai besoin des deux), j’avais la sensation de me flétrir. 
La passion c’est ça : quelque chose qui nous fait souffrir, peu importe comment on le prend, mais dont on ne peut pas se passer, sous peine de souffrir également. 🎻🍂
Fin de parenthèse, rangez les violons. 
J’en étais donc à interroger le pourquoi du comment de l’issue de ce cycle infernal, quand cette artiste, donc, a posé plus ou moins cette question : “si vous n’aimez pas dessiner, pourquoi insister ?”
Puis elle a posé la vraie question, celle que j’avais besoin d’entendre : “dessinez-vous pour avoir un joli dessin, ou parce que vous prenez plaisir au processus du dessin ?”
Et c’est là que j’ai prit conscience qu’en fait, j’avais toujours pris le problème à l’envers. Je dessinais pour le résultat, pour aimer le résultat. Mais de la même façon que le plaisir dans un voyage est le trajet d’un point à l’autre, le plaisir dans le dessin n’est pas la destination. C’est le processus. Et si vous ne prenez pas plaisir au fait de dessiner, peindre, écrire, cuisiner, jouer, etc. etc. le résultat ne sera jamais à la hauteur de vos attentes.  
Le plaisir se vit dans le fait de faire les choses. Le résultat n’est en quelque sorte qu’une conséquence, un témoignage, une trace de ce que vous avez vécu pendant la création. Pas un but. Une conséquence. 
Merci aux courageux de m’avoir lue jusqu’au bout  ! <3 
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adamads · 9 months ago
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Un petit portrait aujourd’hui, voici Kanon 🙂
Le saviez vous ? Les cheveux blonds sont probablement les plus difficiles à peindre. Quelle plaie.
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adamads · 10 months ago
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Et voilà c'est repartit ! Après quelques vacances où je n'ai clairement pas fait grand chose (en même temps, la famille, les restos, World of Warcraft...)
Bref ! Mon coach en bien être me dit d'arrêter de penser que mon existence dépend de ma productivité, et j'ai bien envie de le croire, mais vu que je me sens toujours comme un SIM déprimé dès que je n'exprime pas ma "créativité" d'une manière ou d'une autre, je me demande quel chemin suivre au bout du compte !
Tout ça pour dire : tadaaaa ! Un p'tit dessin !
Bonne rentrée à toutes et à tous ! \o/
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adamads · 11 months ago
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Un petit dernier avant de prendre une petite pause estivale dans mes posts ! (Je vais profiter du mois d’août pour faire quelques petites études de dessin dans mon coin 😉)
Voici Loïz, un personnage dont j’avais déjà posté un portrait sur un ancien compte Facebook. Loïz m’a donné du fil à retordre, ce fut un de ces dessins à tourner en rond un moment, à changer ses tenues, sa pose, etc. avant de commencer à m’orienter vers quelque chose. 
Naviguer à vue en dessin c’est pas génial génial, c’est un truc à se perdre et à prendre le risque d’aboutir nulle part. Mieux vaut à minima se faire une vignette pour ne pas perdre le cap avant d’appareiller. 🧭⛵
Quoi qu’il en soit on se revoit en septembre avec du neuf ! 
Bonnes vacances aux aoûtiens, bon retour aux juilletistes ;) 
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