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L’argent offre le pouvoir, le pouvoir offre l’argent mais aucun d’eux n’offre la vertu.
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Lyse : « j’ai passé la nuit avec mon personnage et moi ».
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Parfois je laisse les clés au dessus de la porte en espérant que tu viennes les prendre en mon absence pour m’attendre et me retrouver à la maison.
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Ça y est je me réveille et j’ai rêvé toi. Je commence à rêver de toi chaque nuit. Tu n’es plus seulement dans ma pensée consciente mais inconsciente. Certains disent que les âmes se retrouvent la nuit par les rêves. Je ne sais pas. Ces rêves me hantent mais ta présence me fait du bien.
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Je m’étais suffisamment perdu pour savoir que je t’avais trouvée. Tu ne t’étais pas suffisamment perdue pour savoir que tu m’avais trouvée.
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Mystère
L’histoire est finie. Elle est partie un dimanche 25 juin 2023. Par message. Le besoin de rester seule. Une formule déguisée pour passer sous silence le fait qu’elle ne souhaitait plus être avec moi. 15 jours que je souffre le martyr. Je pleurs de façon intempérante. Pour un rien, pour un tout. Pour un oui, pour un non. Comprendre l’incompréhension. Accepter l’inacceptable. La voir partir sans jamais revenir. Aimer c’est parfois laisser partir l’autre. Aimer c’est aussi la voir s’épanouir sans toi, loin de toi, loin d’elle, loin de tout. Aimer est le plus grand mystère de l’Homme. Aimer est presque aussi mystérieux que le mystère de Dieu, ce Dieu qui est Amour. Suis-je passé à côté de Dieu, m’en suis-je rapproché. Où es-tu, que fais-tu, qui es-tu, que veux-tu? Pourquoi? Pourquoi moi, pourquoi toi, pourquoi nous? Pourquoi pas?
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Grâce à toi j’ai fait l’expérience de Dieu, de l’Amour, du vrai.
J’ai augmenté mon niveau de conscience de la vie, le niveau de conscience de moi .
Merci
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Je me rappelle cet instant où j’ai pris ta main dans l’avion pour Bora Bora pour te rassurer. Tu avais un sweat bordeaux un pantalon léger long et large comme à ton habitude.
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Ton indépendance en réponse à une dépense affective pathologique a provoqué chez moi ma dépendance affective.
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Nocturne - 11 juillet 1.48
Chère Pilla, t’écrire cette dernière lettre m’est un exercice insupportable, un supplice. Je suis au fond de l’abîme, la lumière n’est qu’un leurre, un mythe, celui d’un oasis au milieu du désert subsaharien.
Je ne sais pas par où commencer, ni que te confier. Je pourrais t’écrire pendant une éternité sur ce que nous avons vécu, sur mon amour, mes déceptions.
J’aurais aimé te connaître, connaitre la vraie Pilla, non la Pilla bloqué, retenue, contenue, cadenassée, envoûtée, possédée, absente.
J’aurais voulu connaître la Pilla insouciante, libérée, enjouée, émerveillée.
Mes mots sont pauvres, insipides, une énergie m’anime mais elle est sombre, sournoise, insipide, tue, dissimulée, inavouée, cruelle.
La cruauté de l’être.
Tu m’as perdu. Tu t’es perdue. Tu l’étais déjà dès le départ.
J’ai espéré, j’ai prié, j’ai aimé, j’ai supporté, je me suis battu comme personne.
Ce combat était un combat perdu d’avance.
Je me suis sans doute surestimé en imaginant que mon être réussirait à dépasser tes peurs, tes phobies.
Je me suis trompé.
Je ne suis ni le surhomme que définit Nietzsche ni un sous-homme.
Je suis moi avec mes forces et mes faiblesses, avec mes peurs et mes démons, avec ma joie, ma foie, ma vie et mes envies.
Alea jacta est.
Je pourrais énumérer telle une liste à la Prévert tout ce qui me manque. Un livre ne suffirait pas.
Je pourrais aussi énoncer toutes mes frustrations, celle de n’être jamais sorti avec toi, celle de n’avoir jamais “picolé” ensemble, celle de ne t’avoir jamais vu me désirer, celle de ne t’avoir jamais vu me sauter au cou, celle de n’avoir jamais voulu m’accorder une place dans ta vie. La place que tu m’avais imposée était à la maison pour me soucier de toi.
Je ne sais pas si c’était un choix heureux en tout cas pour moi il ne l’était pas.
Je ne suis pas en tout cas que cet homme là.
Tu ne me connais malheureusement pas. Tu ne m’as pas connu.
Tu m’as figé dans un rôle une fonction qui n’était pas la mienne.
Je n’ai pas envie de continuer ce post. Ce ne sera pas le mot de la fin.
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