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randomness; cause i’m bored…
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Bitch I'm crying😭😭😭 I can't wait till April!
But also,
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Une tentation sulfureuse
Petite fanfiction du duo préféré de la série Shadowhunters : Malec (Magnus x Alec) Attention : cette fiction contient des caractères sexuels qui seront avertis à l’avance. [Vue et ressenti par Alec]
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Samedi, 21h13 Cela faisait, plus d'une heure que Magnus et moi buvions des cocktails. Nous étions seuls, dans l'immense appartement du sorcier. Assis sur le canapé, je regardais la vue, étoilée et illuminée par les immeubles qui peuplaient la ville. J'écoutais Magnus parler de son passé tout en traversant les époques. Je ne pouvais expliquer pourquoi ce sorcier me plaisait autant. Je tournai la tête face à Magnus et le contemplai méticuleusement. Il jouait avec ses doigts, qui eux étaient couronnés bagues, et doté d'un vernis rouge foncé. Il portait une veste noir à motif scintillant et d'une belle chemise bordeaux. Je ne pouvais décrocher le regard sur lui, j'admirai plus que tout cet homme. Le plus grand sorcier de Brooklyn possédait un charme que nul autre ne pouvait espérer avoir.
Par pulsion, ma main se promena en direction de monsieur Bane. Je sentis le tissu recouvrant le canapé, puis le tissu recouvrant la cuisse du sorcier. Ce dernier leva les yeux sur moi, un sourire se dessina délicatement. Mes lèvres, mouillées d'alcool, répondirent à son sourire. La main de Magnus se posa sur la mienne. Elle était chaude et humide. Pendant un instant, je n'écoutais plus le sorcier. Mes pensées m'emmenèrent peu à peu, jusqu'au moment où une voix vint me ramener à la réalité.
- Alexander, Est-ce que tu m'écoutes ?
Ma gorge se noua et des sueurs se firent sentir derrière ma nuque. J'étais dans l'incapacité de lui répondre. - Tu es sûr que ça va ? Disait-il en fronçant les sourcils d'un air dubitatif.
Je pris le courage de lui répondre un simple « oui » complètement incrédule. Le grand sorcier adorait me voir gêné et désemparé. Il était vrai que je n'étais pas vraiment habitué à passer des soirées seul à seul avec Magnus.
- Je te fais autant d'effet ? Ricana t-il.
Je devins soudainement rouge écarlate, mon regard fuyait le sien et ma main trifouillait mes cheveux avec nervosité. La main de Magnus se colla à mon cou, qui me fit tourné à nouveau le visage vers celui-ci. Il s'approcha et m’embrassa.
Ce baiser me semblait si agréable, il était doux et passionnée. Je sentais ses lèvres, fines et douces caressées les miennes. Je ressentais un amour charnel pour le sorcier. Mes émotions m'emportèrent, ce qui me fit entrouvrir la bouche. Magnus en profita pour y glisser sa langue.
Durant plusieurs minutes, nos langues jouèrent entre elles. L'humidité de nos muscles l'un contre l'autre fit monter la température entre nos deux corps.
ATTENTION, CE PASSAGE CONTIENT DES PASSAGES EXPLICITES
Sous mon tempérament ardent, mon corps bascula contre celui de Magnus, ce qui le plaqua sur le canapé. - Oh, Alexander, doucement... Ses mots s'échappaient avec difficultés.
A ce moment précis, je n'avais qu'une seule envie. Qu'il me fasse l'amour. Mes mains se baladèrent de plus en plus vite et de plus en plus fort sur le torse du sorcier. Magnus enleva mon t-shirt avec bestialité. Nos gémissement raisonnaient dans le salon, et la chaleur se fit également ressentir. Les mains tremblantes de désir, je déboutonnais sa chemise avec impatience. Nos bouches laissaient échapper des sons de plaisir.
- Viens Alexander..
Magnus se leva, essoufflé par nos pulsions sexuelles. Je suivis le sorcier dans sa chambre. Celui-ci se tourna vers moi, prit ma ceinture d'une main et me l'enleva avec rapidité. Avec excitation, les seuls mots qui me vinrent étaient :
- J'ai envie de toi.
Magnus sourit et ouvrit la braguette de mon pantalon. On pouvait apercevoir la forme de mon muscle gorgé de sang et de désir ardent. Je sentis alors sa main se glissé dans mon boxer, ce qui me fit gémir de plaisir. Le sorcier me poussa sur le lit et m'enleva complètement le pantalon, tout en gardant mon sous-vêtement. Il s'avança vers moi, me fit un baiser chaud et sucré. Ensuite, ses lèvres voyagèrent sur mon cou et sur mon torse. Je sentais sa langue retracée mes runes avec délicatesse, ce qui me procura une forte envie. Lorsque ma tête se leva afin d'observer Magnus, je le vis entre mes reins. Il mordilla très légèrement à travers mon boxer. L'humidité de sa bouche me fit tressaillir de plaisir. Il enleva avec lenteur le léger bout de tissu qui cachait mon membre. A cet instant, je me livrais complètement à lui. Nu face au plus grand sorcier de Brooklyn, un sourire se fit au coin de ma bouche. La langue de Magnus parcourra de bas en haut mon muscle ardent. Je ne pus m'empêcher d'exercer un bruit de satisfaction. Sa langue me rendait fou, et cela se fit ressentir entre mes jambes.Il mît dans sa bouche, l'ensemble de mon entre jambe tout en agitant sa langue sur celui-ci.
Il accéléra les va-et-vient avec sa bouche humide et chaude, ce qui me fit tordre de désir. Ma bouche s'entrouvrit et laissa échapper un gémissement. Mes mains étaient contre les draps, que je pinçai de plus en plus fort.
- Ne t'arrête surtout pas, Magnus.. Disais-je avec difficulté.
La salive continua de coulé le long de mon penis. Je sentais l'excitation monté, le sang qui brûlait entre mes jambes et mon orgasme arriver. C'est alors que par un cri de soulagement, je me mis à éjaculer. La langue de Magnus vint goûter ma semence avec passion, tout en me suçotant.
- Si tu savais l'effet que tu me faisais Alexander.. Répondit le sorcier, la bouche entrouverte.
Il se redressa et vint m'embrasser une nouvelle fois, les lèvres chaudes et brûlante de désir.
- Prends moi, Magnus. Lui disais-je dans le feu de l’action.
Le sorcier me fit un sourire, et baissa le sous-vêtement qui cachait son sexe, sanguin et rouge d'envie. Il s'avança vers moi, mit son majeur dans ma bouche que je pris plaisir à sucer et caressa mon intimité. Je fis un gémissement. J'écartai mes jambes, et continuai de presser le matelas dans lequel j'étais allongé.
- Tu es prêt Alexander ? Me demanda Magnus afin de me rassurer.
Je hochai la tête, sûr de ce que je voulais. Les yeux fermés, je mordillais ma lèvre inférieure. Il me pénétra un doigt, qui lui-même était par la suite suivit d'un deuxième. D'une main de maître, il trouva le point le plus stimulant, ce qui me fit tordre de plaisir, et me fit crier d’extase. Magnus, voyant que j'étais prêt, frotta son membre gonflé par le sang qui y circulait sur mon entre-jambe. J'y glissai quelque gémissement, ce qui lui fit comprendre mon envie ardent pour lui. Il inséra en premier son gland avec délicatesse, puis continua avec lenteur avec le reste de son penis. Je ressenti durant les premiers va- et-vient une douleur peu agréable. Je pris le temps de me détendre, et c'est à ce moment là que je me mis à apprécier ce que Magnus me procurait.
Il enfonça l'intégralité de son muscle chaud et dur, et y marqua un courte pause, ce qui me fit gémir de plaisir. Mes mains se placèrent sur ses cuisses afin de lui faire comprendre qu'il pouvait poursuivre ses battements de hanche. Le sorcier alla de plus en plus rapide et fort, ce qui accéléra ma respiration. Dans la chambre, seul le bruit du claquement de nos deux corps et de nos gémissements se faisaient entendre. Magnus s'approcha de ma bouche, je pouvais ressentir sa respiration chaude et humide contre mes lèvres. Sentant les muscles du sorcier se raidir, je serrai mes jambes autour de sa taille. Ce dernier poussa un cri de soulagement, et se retira. Il posa sa tête contre mon torse et dis :
- Alors Alexander?
Je repris mon souffle et lui répondit : - C'était merveilleux.
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Triangle amoureux
Fan Fiction sur la série Shadowhunters
Inspiration du couple légendaire Malec (Alec & Magnus) de la série Shadowhunters. Contient des scènes érotiques (principalement au chapitre 3)
Personnages principaux
Jace Herondale, Magnus Bane, Alec Lightwood
Contexte
Magnus et Alec fiaient le parfait amour après avoir sauvés Jace et Clary dans leurs périples contre Lilith (Une démon très dangereuse) et son fils. De long mois se sont écoulés et les tourtereaux songeaient au mariage. Alexander Lightwood, directeur de l'institut de New York ne cessait de travailler d'arrache pied contre les représailles de Lilith. Pendant ce temps là, le grand sorcier de Brooklyn occupait le plus clair de son temps à organiser des soirées en l'honneur des créatures obscures.
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Chapitre 1
22:45, Le monde se ruait à l'entrée de l'appartement du sorcier. Cette soirée, comme toutes les autres, promettait d'être très arrosée. Magnus était vêtu d'une veste recouverte de strass, accompagné d'une chemise et d'un pantalon noirs. Il était à sa terrasse, contemplant les lumières de Brooklyn, un verre à la main. Le gin du martini était exquis, il humidifiait les lèvres de Magnus chaleureusement. Le son de la musique étouffait les ricanements des invités. Les pensées du sorcier virevoltèrent tant dis que le jeune shadowhunter, Jace, entrait à son tour dans l'appartement bondé. La créature obscure tourna très légèrement sa tête par intuition. Il sentit la présence du jeune Herondale. Le sorcier en profita pour l'observer du coin de l’oeil. Le chasseur d'ombre prit place dans la salle, s'asseyant sur un canapé, entre deux sorcières. Il discuta et ria avec elles. Toujours dans la terrasse, Magnus tapota son verre en soupirant. Il haussa les sourcils tout en souriant.
Au loin, Dot fit signe à Magnus, le sourire aux lèvres, impatiente de le revoir. Le grand sorcier répondit à cet appel et rentra à nouveau dans l'appartement. Monsieur Bane s'installa non loin du shadowhunter. Le sorcier ne semblait pas indifférent à celui-ci. Les yeux vairons de l'angélique dévorèrent le corps de Magnus.
Après de longues minutes à se regarder d'un air charnel, le sorcier prit le courage d'aller voir le jeune blond. Il s'installa très confortablement près de Jace en ajoutant un : .- Bonsoir, Jace. Avec aisance.
Le shadowhunter fit un sourire aguicheur au sorcier en répondant : - Bonsoir, le grand sorcier de Brooklyn. D'un air sarcastique.
Magnus gloussa légèrement et approcha son visage de celui du chasseur d'ombre. Il murmura dans l'oreille de celui-ci. - Qu'as-tu à me regarder de cette façon ?
La main de Jace se posa sur la cuisse du sorcier. Il pressa très légèrement celle-ci en mordillant sa propre lèvre avec désir. Son regard a l'égard de Magnus était intense et profond. La créature obscure, se sentant apprécier le moment, déplaça la main du shadowhunter.
- Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Dit-il avec gêne.
Mais le chasseur d'ombre n'en voulait pas en finir là, pas maintenant. Il se leva et prit la main du sorcier. - Vient, il faut qu'on discute.
Magnus suivit le shadowhunter avec appréhension, se demandant qu'avait-Il de si important à lui dire pour l'interrompre entre deux cocktails. Seul a seul, le sorcier demanda : - Que veux-tu me dire ? En haussant les sourcils.
Pris d'entrain, le chasseur d'ombre plaqua Magnus contre le mur, tenant les mains de celui-ci au dessus de la tête. Les lèvres de Jace mangèrent aussitôt celle de Magnus avec passion. Le sorcier, n'étant pas gêné par la situation, se laissa emporter par son désir sanguin. Le souffle chaud de Jace faisait frissonner d'envie Magnus.
Leurs gestes devinrent plus brusque, et leurs baisers étaient de plus en plus charnels. En lâchant peu à peu les poignets du sorcier, ce dernier prit goût à le dévêtir bouton par bouton en entremêlant sa respiration à celle du shadowhunter. Les mains de Magnus caressèrent le corps de Jace. Les doigts délicats du sorcier rendaient fou le chasseur d'ombre. Étant hors de contrôle, Jace prit dans les bras Magnus et l'emmena dans sa chambre. La nuit que les deux fougueux passèrent était courte.. mais intense. Une seule pensée traversait Magnus à son réveil.
- Qu'allait-il dire à Alec ? Devrait-il lui en parler ou garder cette infidélité secrète ? Le destin du couple malec était entre les mains du plus grand sorcier de Brooklyn.
Chapitre 2
8h30, dans l'appartement de Magnus La lueur matinale caressa le visage du sorcier. Il était allongé sur son lit, dévêtu, les cheveux en pagaille. La main de Jace faisait pression sur son torse. Magnus soupira et déplaça la main du shadow hunter pour se lever. Ce matin là, le sorcier était convié à l'institut pour affaire concernant les créatures obscures. Il enfila une chemise quelconque, une veste à motifs brodés, un pantalon noir près du corps et il ajusta ses cheveux avant de s'apprêter à s'en aller. Lorsque sa main toucha la poignée de la porte, la voix de Jace retentit : - Tu vas où comme ça ?
Le visage de Magnus se tourna en direction de la voix roque du nephilim. Il inspira profondément avant de dire avec beaucoup d'incertitudes : - Je suis demandé à l’institut. Avant d’ajouter :
- Jace, il ne s'est rien passé cette nuit. La porte s'ouvra et se referma derrière le sorcier.
9h00, dans l'institut de New York Dans l'institut les shadowhunters marchaient dans tous les sens. Le sorcier chercha dans la salle Alec, son âme-soeur. Un bruit de porte claqué se fit entendre derrière la créature obscure. Magnus se retourna en pensant y trouver Alec... En vain. Jace entra dans l'institut le sourire aux lèvres, et fit un clin d'oeil à Magnus. Le sorcier leva les yeux au ciel tout en haussant les sourcils l'air agacé. Magnus poursuivi sa recherche d'Alec en accélérant le pas tout en dévisageant chaque nephilims qu'il croisait.
Les couloirs de l'institut étaient sombre et surtout très long. Il entendit au loin le rire d'Izzy. Plus le sorcier s'approcha du gloussement de cette dernière, plus le couloir devint lumineux. Il entra dans la pièce et vit Alec accompagné d'Izzy. Un petit sourire se vit sur le coin de la bouche du shadowhunter. Magnus baissa les yeux nerveusement. La soirée du sorcier lui tourmentait l'esprit. Il savait que s'il tenait au courant son bien aimé, Alec ne pourrait jamais le lui pardonner. Pas une faute aussi grave. Alec se sentirait profondément humilier de s'être fait tromper par son parabatai, Jace. Le nephilim s'approcha de Magnus, et fit :
- Hey, Magnus, ça va ?
Le sourire d'Alec était étincelant et absolument divin. Magnus plongea dans les yeux du shadowhunter avant de poursuivre : - Oui bien sûr, pourquoi ça n'irait pas ? Disait-il sarcastiquement.
La créature obscure mit sa main dans ses cheveux en fuyant le jeune brun du regard. Alec fronça les sourcils et s'approcha du sorcier. Il caressa la joue de celui-ci et fit un délicat baiser. L'humidité des lèvres du shadowhunter réchauffaient celle de Magnus. Izzy s'éclipsa pendant que les deux tourtereaux s’enlacèrent. Le torse d'Alec se plaqua contre celui de Magnus. Les mains du sorcier allèrent sous le pull en cotton du shadowhunter.
Le nephilim embrassa le cou de la créature obscure. Le souffle chaud d'une jeune homme fit frissonner la nuque de Magnus.
- J'ai envie de toi, Magnus... Murmura Alexander.
Un courant chaud se propageait entre les jambes des amoureux. Le désir était de tel qu'ils ne pouvaient pas attendre une minute de plus. Alec prit la main de Magnus et l'emmena dans un coin isolé de l'institut. Les baisers s'intensifièrent, leurs souffles devinrent des gémissements et leurs corps ne firent qu’un. Cependant, les flashbacks vinrent torturer à nouveau les pensées du sorcier, s'imaginant à son tour Jace à la place de son brun ténébreux...
Chapitre 3
Après cette escapade amoureuse entre le sorcier et Alec, Magnus s'en alla de l'institut ; laissant son amour travailler. Le directeur de l'institut terminait d'écrire un rapport dans son bureau, tandis que certains shadowhunters s'entraînaient. La porte du bureau s'ouvrît, Jace entra et dit :
- Je t'attends à l'entraînement. Suivit d'un clin d'œil. Alec ricana nerveusement, rangea quelques dossiers et se leva. - J'arrive. - Ça marche. Jace s'en alla.
Le jeune brun sortit de son bureau et marcha dans les longs couloirs de l'institut, saluant quelques shadowhunters de passage. Il ouvrit la porte qui menait à l'entraînement, et vit au loin le beau blond en train de s'entraîner seul. Il prit un grand bâton dans le coin de la pièce et se déplaça lentement vers Jace. Ce dernier l'entendit et se tourna spontanément.
- Ah.. tu es là.
Alec donna un coup de bâton à Jace et une bataille se mit en place. Après quelques minutes, Jace s'arrêta et retira son haut.
- Tu trouves pas qu'il fait une chaleur insoutenable ici?
Alec demeura bouche bée face au corps athlétique de son parabatai. La sueur coulant le long des abdominaux déstabilisait le directeur.
- Bah alors ? Qu'est ce que tu regardes ? Demanda le blond en souriant. - Euh.. Bah rien !
Il ferma les yeux en secouant sa tête afin de se recentrer sur lui-même. Jace lui lança un bâton, et en prit un pour lui. Les deux shadowhunters se baissèrent, gardant ainsi une flexion sur leurs jambes, prêt à se défendre. Le blond fit le premier pas et attaqua Alec d'un coup de bâton. Le brun se baissa rapidement pour l'esquiver, fit un tour sur lui même et lui donna un coup près de la hanche. Jace fit une roulade et se plaça à l'arrière du directeur. Alec se retourna face à lui au même moment où le blond bondit. Alec tomba sur les fesses, avec en cadeau le corps de Jace sur son torse.
« Mais.. Qu'est-ce que ? » pensa le directeur de l'institut. Sous son pantalon slim, son organe se mit à durcir lentement, se sentant dorénavant à l'étroit dans ce dernier. Alec se mordit la lèvre, tout en contenant son érection plus qu'évidente. Pendant ce temps, Jace se redressa peu à peu, baissa les yeux et aperçu l'érection de son coéquipier. Il se pencha alors sur sa bosse et déposa un baiser. Alexander le repoussa brusquement en s'écriant :
- Mais qu'est ce que tu fais ?! - Alec.. On sait tous les deux que je te donne affreusement envie.
Le brun se gratta l'arrière de la tête avec gêne.
- Non, je suis avec Magnus et je l'aime. Le blond ricana. - Arrêtes.. Tu te mens à toi-même. Tu as toujours eu le béguin pour moi.
Le directeur se releva, remit son t-shirt correctement et repris son bâton. Jace fit de même en ajoutant une petite pique à celui-ci : - Tu n'auras donc jamais assez de cran pour m'embrasser. En gloussant.
Alec mit le premier coup pour le ramener à l'ordre. Il devait faire abstraction de l'incident et rester fixer sur son entraînement. Mais le cher Jace en avait décidé autrement... Après une série de coup, Jace mit à terre le jeune shadowhunter et baissa sauvagement le pantalon du directeur. De son autre main, il fit une pression sur son torse, l'ordonnant ainsi de rester coucher. Avec ses dents, il attrapa le boxer du jeune homme et le baissa quelque peu, juste assez pour libérer le sexe d'Alec.
La langue du blond caressa le long de sa verge, remontant jusqu'à son gland, qui lui était extrêmement sensible. Pendant ce temps, Alexander lutta contre lui-même ne voulant pas affronter la vérité : Jace l'a toujours attiré toujours sexuellement. Le shadowhunter lécha le tour de son gland, le mettant peu à peu entièrement dans sa bouche, faisant des va-et-vient plus profondément avec lenteur. Les petits gémissements d'Alec incitait Jace à continuer, mais cette fois-ci, plus rapidement, plus intensément. Le brun serra les poings, ne voulant pas lâcher prise, mais il savait qu'au plus profond de lui ; il en avait envie. Son corps le trahissait ; ses joues rouges, sa respiration, son érection.
Jace se releva. Regarda longuement Alec. Déposa un délicatement un baiser. C'est à ce moment-là qu'Alexander lâcha prise. Il prit le blond par le cou, rendant le baiser plus fougueux. Ne retirant pas ses lèvres contre celles de son parabatai, il enleva ses vêtements. Peau contre peau, la chaleur ardente de leur corps ne faisait qu'une. L’archer découvrit pour la première fois le sexe de son coéquipier. L'envie d'embrasser le bout de celui-ci ne manqua pas. Il plaqua alors le grand blond, le laissant nu, couché, et vulnérable aux yeux d'Alec. Sans plus attendre, il le mit en bouche, prenant goût à chaque courbe de son sexe. Son gland était chaud, humide et dur de plaisir. Mais ce que désirait Alec était de la sentir au fond de lui.
Alec se redressa, se mit à quatre pattes, puis de dos à Jace, et lui fit comprendre son envie. Le blond ne mit pas une seconde de plus à comprendre. Il se mit sur ses genoux, caressant d'abord de sa main le fessier de l'archer. Il enserra ensuite un doigt, puis deux... Laissant le brun se détendre un peu plus à chaque va-et-vient. De son gland, il le frotta délicatement, pénétrant centimètres par centimètre l'entre d'Alec.
Après quelques longues minutes passées, Jace se rhabilla, ainsi qu'Alec. C'est en partant de la salle d'entraînement qu'il surpris Magnus. Debout, les bras croisés. Alec n'eut aucun mot à dire.
- Bon, je vous laisse ! S'écria Jace afin de se dédouaner de toutes responsabilités.
Le brun le regarda partir, outré que son parabatai le laisse seul face à une telle situation. Cependant, Magnus souffla.
- J'ai tout vu. Affirma t-il. - Je.. hm.. en fait.. Bégaya Alec. - N'en dis pas plus.
Le shadowhunter se sentait terriblement mal d'avoir commis une erreur aussi grosse que celle-ci. Selon lui, leur couple devait se terminer ici. Il savait qu'il ne pouvait plus se rattraper face à cette tromperie. Magnus s'avança vers lui, posa sa main contre l'épaule de l'archer et poursuivit avec un léger sourire :
- J'ai... J'ai aussi fait une bêtise. La même à vrai dire. Et je t'avoue que je ne savais pas comment te l'annoncer. Je me répugnais car au fond je savais que c'était toi que j'aimais. Mais maintenant que je t'ai vu coucher avec Jace.. - qui était d'ailleurs très excitant - (Alec haussa les sourcils) Et bien.. Je me dis que nous sommes égaux.
- Euh.. Ok.. je.. Je ne sais pas quoi dire en fait..
- Ne dites rien et embrassez moi, monsieur le directeur de l'institut.
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Fin
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Passionel et démoniaque
Le prince des Enfers, assit sur son trône admira de loin son ange. Un ange qui était d’une beauté inégalable. Les mains posées sur les accoudoirs du siège, il se mordilla la lèvre.
- Viens donc me rejoindre, ma tendre. D’une voix ferme et sans émotion.
Bien qu’il ne faisait transparaître que sa froideur, à l’intérieur de son âme, un feu brûlait en lui. Un feu de passion et d’amour. Cet ange n’était pas comme les autres, elle était plus indulgente, elle acceptait absolument tout chez lui. Il n’y avait qu’elle qui pouvait le rendre faible et désemparé. Son ange était devenu son obsession, sa raison d’exister.
En la regardant avancer, le démon esquissa un sourire. Plus elle s’approchait de lui, plus son coeur battait fort. Il tendit la main pour attraper celle de la charmante jeune femme et déposa un baiser.
- Je vous apprécie beaucoup.. Murmura le prince.
L’ange caressa la joue du démon, tout en le regardant avec des yeux doux et amoureux.
- Et moi je vous aime. Dit-elle
Audacieuse, elle prit l’initiative de s’assoir sur mes genoux tout en continuant à mes caresser de ses mains soigneuses et délicates. Le prince des enfers posa sa main sur la cuisse de cette dernière et eut l’air très pensif. L’ange fronça les sourcils et demanda :
- Que ce passe t-il, mon tendre prince ? Avec douceur.
Il ferma les yeux un instant et soupira légèrement. - Rien. De ses doigts, elle redressa mon visage. - Dites moi, s’il vous plait.
Le démon releva les yeux sur la demoiselle, fit une légère pression sur sa cuisse et ajouta :
- Je.. Je veux agrandir notre amour. - Comment ça? Questionna l’ange. - J’aimerai que vous deveniez la mère de notre amour.
L’ange demeura muette, elle attendait une explication plus claire du démon.
- Faites moi un autre moi. Un second moi que vous aimeriez autant que vous m’aimez. Qu’à table nous soyons trois.
Le démon avait la voix tremblante. Il se doutait bien que sa requête ne serait pas évidente pour l’ange, mais il prit tout de même le courage de lui en faire part.
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Monologue de l’enfant terrible
Pour comprendre la personne que je suis aujourd’hui, il faut comprendre ce que ma famille était avant que je sois venu au monde car oui, je ne suis pas devenu dur avec moi-même pour le plaisir mais parce qu’il m’était destiné d’être ainsi.
Mon père, Saem, de son vrai nom Léonard, est né d’un roi démoniaque Patris, de son vrai nom Henri.
Pour te parler de mon père, je dois te parler de mon grand père, Henri. Il a toujours été un homme silencieux. Des trois rois, on le surnomme « le roi silencieux ». Il n’a jamais connu l’amour parce que son père (mon arrière grand-père) a vécu une histoire d’amour plus qu’horrible. Depuis cet événement, il a juré qu’aucun de ses enfants ne se devaient de revivre ça.
Henri a, par conséquent jamais éprouver d’amour. Il a appris à mon père à son tour à faire de même. Il aimait la souffrance, mais pas plus que Patrum (le 3e roi souverain) qui lui est surnommé « le roi sanglant ». Henri était plus attirer par la destruction mentalement. Parce qu’il faisait toujours les choses en finesse.
Mon père a vécu une enfance pas très glorieuse. Il a été pendant un petit bout de temps le souffre douleur de son père. Quand Henri était en colère pour des raisons quelconques, il s’en prenait à Léonard. C’était principalement de la violence verbale. Il rabaissait son fils pour se sentir plus puissant.
Quand Léonard, mon père donc, a grandis, son père ne l’a jamais félicité. Pourtant mon père a fait des choses très gratifiante, il s’est donné corps et âme pour cercle. Le seul jour où Henri a donné de l’importance à son fils, c’est lorsqu’il le vengea d’un homme qui lui causa du tord.
A 23 ans, voyant que son fils n’avait pas peur de la mort et était impassible à la torture et à la douleur des gens, il le grada Duc. (Tortionnaire) A cause ou grâce à son père, Léonard devint dur, impassible, sans émotions, ni sentiments. Il perdit le goût de faire l’amour. Notamment à cause son père, qui a l’âge de 17 ans le forçait à faire l’amour avec sa cousine. C’était une façon de le punir lorsqu’il allait à l’encontre du règlement.
Mon père a longtemps voulu déjouer le système, en vain. Ne pouvant changer les lois, il devint comme son père. Patrum le 3ème roi, fit rencontrer à mon père, Anne-Marie, ma mère.
Il avait alors 25 ans, quand il décida de faire un enfant sous les demandes de mon père. (Ils se sont connus quand il avait 20-22 ans) Par chance, ils eurent un fils, moi. Grand soulagement pour Henri, puisqu’il savait que sa descendance était assurée. C’est d’ailleurs mon grand-père, Henri, qui choisit mon prénom, ainsi que mon surnom démoniaque « Bastianus ». Quand j’apprenais les gestes de mon père, lors de son travail, Patrae misait un grand avenir sur moi. Maintenant que je suis devenu Duc à mon tour, je suis son bras droit. J’exécute directement sous les ordres de Patrae.
Ma mère quant à elle, Anne-Marie est né d'une famille principalement de sorcier, mais elle refusa d'en devenir une. Elle se concentra plus sur la démonologie et la sorcellerie. Quand elle rencontra mon père, elle était tombée sous son charme. Mon père était très charismatique. Elle donna absolument tout à mon père, le chouchoutait énormément. Ma mère n'a littéralement des yeux que pour lui.
En fait.. Ma mère n'espère qu'une chose, que mon père lui dise au moins une fois "Je t'aime". C'est tout con, mais elle en vraiment besoin. Depuis leurs 20 ans, mon père n'a jamais dit je t'aime à ma mère. Mon père le sait déjà mais, il refuse de lui dire.
Quand j'étais petit, je lui ai entendu discuté de ça, justement. Mon père lui a clairement dit "Je ne dis pas ce que je ne pense pas." Et depuis ce jour, ma mère s'est ternie et renfermée sur elle-même.
Elle continue de traiter mon père comme un roi, acceptant toutes ses demandes et exécutant tous ses ordres pour qu'un jour il se dise "Je l’aime." Je pense que ma mère est très affectée par ça, et ses démons ne l'aident pas non plus. Elle a par la suite désiré faire un second enfant, mais mon père refusait. Elle a donc une fois arrêter la pilule sans que mon père s'en aperçoive. Par chance, ma mère tomba enceinte du premier coup. Mon père fut très en colère suite à la supercherie de ma mère. Durant toute la grossesse, il ignora ma mère. Quand ma soeur est née, mon père choisit son prénom. Abraelle. En lien avec la démone Abrahel, une succube qui séduit pour détruire. Selon mon père, Abraelle était la personnification de la destruction. Suite à la naissance de ma petite soeur, ma mère était beaucoup avec Abraelle, ce qui rendu jaloux mon père. Il décida d'éduquer lui même Abraelle, la rendant la plus inexpressive possible. A chaque fois que ma soeur faisait des actions déplaisants mon père (comme la notion de partage, la générosité, amicalité avec les autres enfants) il la gifla. Au fil du temps, elle comprit que la méchanceté, la froideur, et être sans pitié allait l'aider pour son futur.
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Le bon du mauvais
Le bien, le mal, voilà quelque chose de vaste. Qu’est ce qui défini une personne bonne ou mauvaise ? Je me suis longtemps demandée laquelle de ses personnes j’étais. Je pense que ni moi, ni quelqu’un d’autre ne le saura. Certains pensent que je un ange, d’autre un démon. C’est drôle que des gens puissent jugé en fonction du peu de connaissance sur un individu.
« Tu es blonde, aux yeux clairs et au visage rond, tu es forcément un ange », c’est si naïf, comme si un physique pouvait montrer d’office ton caractère. C’est tout aussi naïf de dire « l’habille fais le moine. », un homme qui soigne son apparence, n’est pas forcément quelqu’un de soigné. L’apparence défini ce que l’on désire montrer aux autres. Mais il y a que dans un moment intime que l’on enlève nos barrières. Je pense que l’on est vraiment nous même lorsque l’on se retrouve nu face à son miroir ou devant quelqu’un d’autre.
A vrai dire, je me suis toujours cherchée, physiquement, mentalement.. Au final, j’ai du mal à me cerner moi-même. J’ai fais des bêtises dans le passé, comme à peu près tout le monde. Je me suis parfois mise en danger. J’ai testé mes limites. Je me sentais garçon, puis fille. J’étais lesbienne, puis hététosexuelle. Tout ce questionnement à fait de moi ce que je suis. Une fille, plutôt féminine, au mental de garçon mais avec une attirance bisexuelle.
Depuis petite, j’ai toujours été très observatrice, ce qui a développé ma facilité d’adaptation avec différent individu. Un talent de gémeaux, tout simplement. Mince, j’ai du en chiffonner quelques un.. Il est vrai que les gémeaux soient souvent mal vu. « ils tournent leur veste comme ça leur arrange », et bien oui, c’est le cas. Nous nous cernons pas toujours, mais nous comprenons facilement ce que vous êtes. C’est une façon pour nous de nous protéger.Alors ? Qui est bon et qui est mauvais ? On aura beau à s’efforcer de changer, de devenir meilleur, mais il y aura toujours quelque chose qui pourrira au fond de nous. C’est à nous d’accepter le côté mauvais côté de chacun.
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𝙹𝚘𝚞𝚛𝚗𝚊𝚕 𝚍’𝚞𝚗 𝚖𝚞𝚎𝚝
Lundi neuf janvier 1905,
La rosé caressait mon visage déjà humidifié par mes larmes, mes jambes ne tenaient plus debout. Cela faisait plus d’une heure que j’échappais à une une ombre oppressante. La forêt était dense, les branches me griffaient les bras et les racines m’encoublaient les pieds.
Je la sentais. Ma conscience savait pertinemment qu’elle était derrière. Chaque chemin menait à un autre aussi semblable que le précédent. Dans mon esprit, je tentais de réciter mes prières apprises durant mes communions. « Dieu, protège moi des serviteurs du mal. Aies pitié de ma détresse. » Mon coeur battait comme jamais il n’avait battu auparavant. Je me sentais plus vivant qu’avant. Je comprenais enfin l’importance de ma vie.
Cette ombre me poursuivait. Elle me traquait comme un loup affamé. Mon âme, pure et innocente slalomait entre les pins, arrivant peu à peu face à une impasse. Était-ce alors la fin de cette course contre la mort ?
Devant le mur de pierre, je me tournais apercevant l’ombre arrivée très rapidement en ma direction. Ses yeux étaient rouges, sa silhouette était d’un noir intense. Mon coeur s’accélérait.
Je hurlais, de toute mes forces je criais. Mais le silence demeurait roi dans cette immense forêt. Ma gorge me brûlait, mon visage devenait rouge. Lorsque l’ombre atteignit mon visage, je...
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“La rosé caressa la forêt, La mort caressa le muet.
Le démon fut le roi du silence, Le condamné prit son mal en patience.
Gare aux complices du mal, Au risque d’en perdre son journal.”
Ainsi chantaient les enfants au décès du muet.
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Montage sur la série The Society
Couple très touchant de Elle & Campbell Un amour toxique et charnel.
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Fausse bande annonce sur le thème de l’horreur.
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