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Depuis le 19 octobre dernier, Ubuntu 17.10 (Artful Aardvark) est disponible en version stable. Un gros buzz autour de ce dernier est apparu depuis quelques mois lors de l’annonce de l’abandon de Unity, cet environnement de bureau (ou plus exactement cette interface graphique pour l’environnement de bureau Gnome3) qu’on aime détester, et de fait l’abandon de … Continuer la lecture de « Ubuntu 17.10 : Nouveautés ou recyclage ? »
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Aujourd’hui, lorsque nous parlons de navigateurs web, 3 noms viennent instantanément en tête : Google Chrome, Firefox et Opera. Si le premier est aujourd’hui de plus en plus répandu et le troisième subit une légère perte de vitesse , Firefox a un peu le cul entre deux chaises : adulé par les libristes, délaissé … Continuer la lecture de « Comment rendre Firefox plus rapide »
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Parfois, nous n’avons pas toujours le matériel nécessaire sous la main pour se connecter à un Raspberry Pi. En effet, lorsqu’on est chez soi connecté sur une box ou un routeur, quelques secondes suffisent pour s’y connecter la première fois par câble en SSH. Mais lorsque nous dans un lieu tiers et que nous n’avons … Continuer la lecture de « Connecter son Raspberry Pi directement sur un laptop »
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Compte Nickel est, selon leur propre mots, « Le compte sans banque ». Du moins ça l’était avant qu’ils ne soient rachetés par BNP Paribas en avril dernier et qu’ils ne changent leur slogan pour « Le compte simple, utile et ouvert à tous ». Parlons justement de leur utilité… Sur papier, ce compte est intéressant pour plusieurs raisons. … Continuer la lecture de « Compte Nickel, le compte sans service client »
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Pour installer un client Spotify, il existe différentes méthodes pour différentes plateformes. Pour les Linuxiens, cette plateforme n’échappe pas à la norme qui consiste à croire que « Linux = Ubuntu et le reste c’est juste pour les barbus ». Pour les Fedorians, il existe une méthode simple pour l’installer grâce au site negativo17.org qui nous permet de l’installer … Continuer la lecture de « Installer Spotify sous Fedora »
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Aujourd’hui, un nouveau site arrive en ligne : vivreenroumanie.com . Étant depuis bientôt 2 semaines en Roumanie et préparant ce projet depuis quelques mois, c’est un peu la raison du silence qui pèse ici depuis quelques temps. Ce site est destiné à l’expatriation en Roumanie pour les francophones et sera basé sur un système collaboratif. Pour … Continuer la lecture de « Lancement de vivreenroumanie.com »
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Contrairement à Raspbian, OS pour Raspberry Pi basé sur Debian, le serveur VNC de FedBerry que j’ai découvert la semaine dernière n’est pas configuré « out-of-the-box ». Nous allons voir comment le configurer sur un Raspberry Pi 3 en quelques minutes.
On va partir du principe que FedBerry est déjà installé sur le RPi, que vous y êtes déjà connecté en SSH sur votre machine distante.
Sur le Raspberry :
Pour commencer, nous allons installer tigervnc-server :
Une fois l’installation terminée, nous lui assignons un mot de passe avec vncpasswd :
Pour pouvoir s’y connecter en remote, nous devons autoriser les accès VNC avec firewall-cmd :
… et le redémarrer :
Nous pouvons maintenant lancer une première exécution avec vncserver -geometry LARGEURxHAUTEUR :numéro_d'écran :
Si nous nous connectons maintenant au FedBerry, nous allons avoir un écran bleu comme celui-ci :
Pour y remédier, nous allons donc devoir modifier un fichier pour que XFCE soit pris en compte et redémarrer le serveur VNC. Ce fichier à modifier est le xstartup qui se trouve dans le dossier /home/votreUtilisateur/.vnc/ qui vient d’être créé au lancement de la commande vncserver :
Commentez ou supprimez la ligne exec que vous voyez ici en ligne 5 et ajoutez la ligne exec /usr/bin/xfce4-session :
On kill le processus lancé tout à l’heure avec vncserver -kill :numéro_d'écran et on lance à nouveau vncserver -geometry largeurXhauteur :numéro_d'écran
C’est terminé pour le Raspberry Pi.
Sur le PC distant :
Maintenant, il ne nous reste plus qu’à nous connecter au Raspberry Pi avec le client tigervnc (Que vous installerez avec sudo dnf install tigervnc si ce n’est pas déjà fait).
Entrez l’adresse IP du RPi + le numéro d’écran que vous avez choisi tout à l’heure (Dans notre exemple, c’était :1).
Enfin, entrez le mot de passe choisi plus haut avec vncpasswd et vous verrez le bureau d’afficher.
Vous pouvez maintenant utiliser FedBerry comme si vous étiez directement sur le Raspberry Pi. C’est fluide, réactif, le côté « remote » ne se ressent pas vraiment. Les dev ont fait du bon boulot.
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Une page fedora est désormais disponible sur ce site, accessible via le menu en haut de page.
Cette page regroupe les principaux liens pour démarrer ou mieux connaître fedora, OS GNU/Linux qui me séduit de plus en plus, au point d’être devenu mon OS de prédilection sans même que je m’en aperçoive (Je rappelle que j’avais quitté Debian pour OpenBSD ). Depuis une dizaine d’années que je suis Linuxien, j’ai régulièrement gardé un oeil sur son évolution (Comme sur beaucoup d’autres distrib d’ailleurs), mais depuis le remplacement de yum par dnf et depuis les nouveaux objectifs fixés avec fedora.next, on sent une grosse évolution depuis ces 3 dernières années. Sinon côté serveur, c’est CentOS qui a pris la place.
Sponsorisé par Red Hat et utilisé entre autres par Linus Torvalds depuis pas mal d’années, fedora a toujours un kernel et des packages très récents, ce qui est appréciable du point de vue du développeur.
Je vous laisse donc fouiller dans cette liste de liens, en espérant que ça vous permette de mieux connaître cette communauté libre qui n’a rien à envier aux autres. Enjoy !
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Après avoir testé la version alpha de Skype for Linux, voici, disponible depuis cette semaine, la version beta.
Parmi les améliorations mises en avant, au-delà des simples corrections de bugs, il y aurait la possibilité de passer des appels téléphoniques grâce aux crédits Skype (Ce qu’on pouvait déjà faire avec la version antique), possibilité d’afficher des écrans partagés de clients Skype installés sur d’autres OS (Windows / Mac), et amélioration de l’ergonomie pour les Ubunteros qui auront le nombre de conversations non lues dans le Unity Launcher. Donc rien de bien transcendant à l’horizon.
La seule nouveauté vraiment visible depuis la version alpha
Pour télécharger cette nouvelle version, plus besoin d’aller sur la page obscure que je vous avais partagée pour la version alpha, mais directement sur la page officielle de téléchargement sur skype.com.
Reste à voir ce qu’apportera réellement la version finale, si quelque chose elle doit apporter.
Source : blogs.skype.com
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Astuce « by the way ». Ça ne m’était jamais arrivé jusqu’à maintenant, mais lors d’une installation de programme, je me suis retrouvé avec ce genre de message :
Pour remédier à ce problème, il suffit de faire une mise à jour en ajoutant l’option –refresh :
sudo dnf update --refresh
Une fois la mise à jour terminée, vous pouvez lancer à nouveau l’installation, tout devrait bien se dérouler.
Source : dnf.readthedocs.io
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Pour s’assurer que les modules dont nous avons besoin pour exécuter nos script PHP sont bien installés, nous allons écrire très rapidement un script qui permet de rechercher un module ou de lister ceux qui sont installés, ainsi que les fonctionnalités qu’ils contiennent. Rien de bien compliqué dans les fonctions utilisées ni dans la structure du script :
get_loaded_extensions qui permet de récupérer la liste des modules installés
get_extension_funcs qui permet de récupérer la liste des fonctions de chaque module
Le tout trié par ordre alphabétique avec natcasesort et affiché par 2 foreach imbriqués
Voici un premier jet qui permet uniquement de lister les modules installés :
Lorsqu’on affiche la page contenant ce script, voici le genre de résultat obtenu :
Maintenant, une légère modification permettra d’ajouter un formulaire et de rechercher un module précis sur une même page :
Un aperçu du formulaire :
Voici un exemple avec le module gd :
Pour avoir la liste de la totalité des modules comme dans la première version du script, il suffit de cliquer sur le bouton de rechercher en laissant le champs vide.
Pour ceux qui peuvent en avoir l’utilité, vous pouvez le télécharger sur Github. C’est une première version codée à l’arrache et qui sera surement amenée à évoluer.
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L’installation de son cloud personnel sous CentOS est très simple et se présente en 4 grandes étapes :
Préparation de l’installation
Installation
Création de la base de données
Configuration de SELinux
Préparation de l’installation
Commençons par prépararer l’installation en important la clé PGP et en ajoutant le repository :
# rpm --import http://ift.tt/2esvmLU # curl -L http://ift.tt/2dW0x5R -o /etc/yum.repos.d/ownCloud.repo
Ensuite on nettoie le cache avec la commande clean pour prendre les changement en compte :
# yum clean expire-cache
Installation
Une fois le « nettoyage » terminé, nous pouvons installer Owncloud :
# yum install owncloud
Création de la base de données
Nous pouvons maintenant lancer Mariadb :
mysql -u root -p
Une fois le prompt « mysql> » affiché, nous pouvons créer une nouvelle database qu’on va tout simplement appeler « owncloud »:
CREATE DATABASE owncloud;
Il ne vous reste plus qu’à définir un mot de passe à cette base de données :
GRANT ALL ON owncloud.* TO 'owncloud'@'localhost' IDENTIFIED BY 'motDePasse';
On recharge et on quitte :
FLUSH PRIVILEGES; QUIT;
L’installation est aussi simple que celle de WordPress. Mais il reste une dernière chose à faire.
Configuration de SELinux
Sur d’autres OS, ce serait terminé. Mais sous CentOS, avant de pouvoir accéder à Owncloud, vous allez devoir autoriser l’accès à quelques fichiers à votre firewall. Voici les quelques commandes à rentrer :
# semanage fcontext -a -t httpd_sys_rw_content_t '/var/www/html/owncloud/data' # restorecon '/var/www/html/owncloud/data' # semanage fcontext -a -t httpd_sys_rw_content_t '/var/www/html/owncloud/config' # restorecon '/var/www/html/owncloud/config' # semanage fcontext -a -t httpd_sys_rw_content_t '/var/www/html/owncloud/apps' # restorecon '/var/www/html/owncloud/apps'
Voilà ! Et maintenant, vous pouvez taper dans votre navigateur l’adresse ip de votre serveur suivi du dossier owncloud :
https://adresseIP/owncloud
Source : doc.owncloud.org
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Il peut parfois arriver qu’on ait besoin de changer le mot de passe de MariaDB pour diverses raisons. La méthode est assez simple et prend quelques secondes.
Commencez dans un terminal par stopper MariaDB :
# systemctl stop mariadb
Lancez MariaDB en mode sans échec sans oublier le « & » afin que celle-ci se lance an arrière-plan :
# mysqld_safe --skip-grant-tables &
Une fois que le prompt est affiché (« MariaDB [(none)]>« ), il suffit de se connecter à la base « mysql », de changer le mot de passe et de recharger le tout avant de quitter :
USE mysql; USER SET PASSWORD=PASSWORD("nouveauMotDePasse") WHERE USER='root'; FLUSH PRIVILEGES; QUIT;
Enfin, pour terminer, redémarrez le serveur :
# systemctl start mariadb
Il ne vous reste plus qu’à vous reconnecter avec mysql -u root -p et à entrer le nouveau mot de passe.
That’s it !
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Sous CentOS, une fois votre serveur Apache installé, que ce soit sur un serveur physique ou en VM, vous ne pourrez pas y accéder à distance. Il faudra d’abord autoriser les accès. Pour ce faire, il suffit d’autoriser les connexion http et https sur le pare-feu et de de relancer. Voici les 3 commandes à taper :
firewall-cmd --permanent --zone=public --add-service=http firewall-cmd --permanent --zone=public --add-service=https firewall-cmd --reload
À chaque commande, une confirmation « success » sera affichée :
Entrez maintenant l’adresse IP du serveur dans votre navigateur, vous devrez y voir la page de test de CentOS :
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Astuce rapide mais utile. Lorsqu’on installe httpd sous Fedora, SELinux empêche l’écriture dans les dossiers du serveur local. Pour contourner cette restriction, tapez les commandes suivantes afin d’obtenir les droits en écriture :
# cd /var/www/html/dossierDeVotreSite # chown -R apache:apache . # setsebool -P httpd_unified=1 # touch /.autorelabel
Ensuite, redémarrez httpd avec la commande # systemctl restart httpd et tout devrait rentrer dans l’ordre.
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Sous Fedora, dont les mises à jour sont assez rapides, il est possible de choisir le nombres de kernels que nous voulons garder sur notre machine. Bien que par défaut cette limite soit fixée à 3, vous pouvez l’ajuster en modifiant le fichier de conf de dnf. Tout d’abord, listez vos kernels avec la commande suivante :
rpm -q kernel
Ensuite, éditez le fichier /etc/dnf/dnf.conf avec votre éditeur de texte préféré, et repérez la ligne installonly_limit :
Indiquez le nombre désiré (Personnellement, j’ai mis « 2 »), enregistrez, quittez l’éditeur, et faites une mise à jour avec dnf update :
Comme vous pouvez le voir, le plus ancien de 3 kernels, le 4.9.6, va être effacé.
That’s it !
Source : docs.fedoraproject.org
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Ceux d’entre vous qui ont déjà essayé la version Linux de Skype ont probablement eu l’impression d’être dans une machine à voyager dans le temps à chaque exécution de la messagerie. Son interface vieillotte et ses fonctionnalités assez limitées ont un arrière-goût de 20e siècle. Il existe plusieurs manières de l’installer selon votre distrib. Soit directement via le site officiel, soit en suivant les instructions sont sur cette page.
Mais il est possible à partir de ce dernier domaine de trouver la version alpha de Skype, pour les distrib des familles Debian et Fedora ou RPM en général, en accedant au dossier « latest ». Il suffit pour ça d’ajouter « /latest » à la fin de l’URL, ce qui nous donne http://ift.tt/2kbWhkq.
Une fois que vous avez récupéré le fichier corresopondant à votre OS, il vous suffit de l’installer avec dpkg ou rpm.
Rendez vous dans le dossier où se trouver le fichier téléchargé (Probablement dans Downloads) et tapez une des commandes suivantes.
Pour Debian et ses forks :
sudo dpkg -i skypeforlinux-64-alpha.deb
Pour Fedora et autres RPM-based :
sudo rpm -i skypeforlinux-64-alpha.rpm
Remarque : Il est possible pour Fedora de l’installer sans avoir à télécharger d’abord le fichier .rpm. Il suffit de taper directement cette commande :
sudo dnf -y install http://ift.tt/2krENPb
Maintenant que Skype est installé, regardons rapidement à quoi ressemble cette version alpha.
Les fenêtres de connexions sont épurées.
Le panneau principal aussi.
Mais malheureusement, c’est la même chose pour les settings. Difficile de faire plus épuré. Nous allons y revenir juste après cette série de screenshots.
Chose appréciable, le dark theme.
Pour ceux qui ont connu les anciennes versions de SkypeForLinux (Aussi bien la période P2P originelle que la période « Microsoft centralise tout sur serveurs »), vous devez vous souvenir du nombre assez important d’options qui nous était proposé aussi bien pour les réglages audio/vidéo que pour la personnalisation des alertes ou le degré de privacy. Ici, ces réglages ont été occultés (Ok, disons « simplifiés à l’extrême », il en reste 2 ou 3 quand-même). Si j’étais mauvaise langue, je dirais que du point de vue de Microsoft, donner trop de pouvoir à l’utilisateur c’est perdre le contrôle de ses actions (Microsoft préfère imposer plutôt que de proposer, ce n’est pas nouveau).
Point positif tout de même, l’intégration d’une plateforme telle que Youtube peut être appréciable du point de vue professionnel dans le cadre d’un tutoring via Skype ou dans le cadre du podcasting.
Mais je pense que la pire connerie dans ces nouveaux settings, c’est la suppression totale de paramétrage de proxy. Ça montre clairement l’état d’esprit de Microsoft qui continue de contraindre, tant bien que mal, les utilisateurs à ne pas cacher leur géolocalisation et leur IP publique, ce qui empire le manque de confidentialité habituel dans un contexte professionnel (Pour dire « kikoo sava » ou envoyer des lolcats on s’en fout). Fort heureusement, il vous suffira de quelques recherches sur Google et de fouiller sur quelques blogs comme celui sur lequel vous êtes en ce moment (Plus particulièrement la partie Contournement) ou comme celui de Korben pour trouver comment paramétrer un VPN ou comment passer pas Tor.
Au final, l’apparence est agréable, mais le reste est rempli de vide. Reste à voir comment évoluera cette version alpha.
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