"Hier, j'étais intelligent, je voulais changer le monde. Aujourd'hui, je suis sage, alors je me change." - Rumi [email protected]
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Frédéric II (de hohenstaufen)
« Guerre à outrance avec Rome! Paix et amitié avec l’Islam. » C’est ce qu’a senti, c’est ce qu’a fait ce grand esprit fort, le seul génie parmi les empereurs allemands, Frédéric II (de hohenstaufen).
Friedrich Nietzsche - L’ANTÉCHRIST, ESSAI D’UNE CRITIQUE DU CHRISTIANISME- traduit par Henri Albert
[Histoire] Al jazira as siqiliya - La Sicile médiévale.
[Histoire] Le livre de Roger-Un combat éclatant pour le savoir.
[Biographie] Frédéric II Hohenstaufen- Une autre vision du monde.
[Dossier] De la nécessité de transmettre l’age d’or du Moyen-Age.

Frédéric II et son faucon représentés dans son livre De arte venandi cum avibus (De l'art de chasser au moyen des oiseaux).
Il connut des conflits permanents avec la papauté et se vit excommunié par deux fois. Le pape Grégoire IX l'appelait « l'Antéchrist ». (Source: Wikipedia)
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Le christianisme nous a frustrés de la moisson de la culture antique, et, plus tard, il nous a encore frustrés de celle de la culture islamique. La merveilleuse civilisation maure d’Espagne, au fond plus proche de nous, parlant plus à nos sens et à notre goût que Rome et la Grèce, a été foulée aux pieds (et je préfère ne pas penser par quels pieds!) – Pourquoi? Parce qu’elle devait le jour à des instincts aristocratiques, à des instincts virils, parce qu’elle disait oui à la vie, avec en plus, les exquis raffinements de la vie maure!… Les croisés combattirent plus tard quelque chose devant quoi ils auraient mieux fait de se prosterner dans la poussière — une civilisation qui ferait paraître notre XIXe siècle très pauvre et très « tardif ». — Il est vrai qu'ils voulaient faire du butin : l'Orient était riche . . . Soyons donc impartiaux ! Les croisades – de la haute piraterie, rien de plus! La noblesse allemande, au fond une noblesse de Vikings, y était dans son élément: l’Eglise ne savait que trop bien comment on tient la noblesse allemande… La noblesse allemande, toujours les « suisses » de l'Église, toujours au service des mauvais instincts de l'Église, — mais bien payés . . . C'est avec l'aide de l'épée allemande, du sang et du courage allemands que l'Église a mené sa guerre à mort contre tout ce qui est noble sur la terre ! On pourrait poser ici bien des questions douloureuses. La noblesse allemande est à peu près absente de l’histoire de la culture supérieure: on en devine la cause… Le christianisme, l’alcool – les deux grands moyens de corruption… En soi, on ne devrait même pas avoir à choisir entre l’islam et le christianisme, pas plus qu’entre un Arabe et un Juif. La réponse est donnée d’avance: ici, nul ne peut choisir librement. Soit on est un tchandala, soit on ne l’est pas. « Guerre à outrance avec Rome! Paix et amitié avec l’Islam. » C’est ce qu’a senti, c’est ce qu’a fait ce grand esprit fort, le seul génie parmi les empereurs allemands, Frédéric II. Comment ? faut-il qu'un Allemand soit génie, soit esprit libre pour devenir convenable ? Je ne comprends pas comment un Allemand ait jamais pu se sentir chrétien...
Friedrich Nietzsche - L’ANTÉCHRIST, ESSAI D’UNE CRITIQUE DU CHRISTIANISME- traduit par Henri Albert

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Réalisé par Mohammed Ben Slama, le film, diffusé par la chaîne Arte en Mai 2017, retrace l’âge d’or que furent les deux premières décennies de la diplomatie de l’Algérie. Il se déroule principalement dans la capitale Alger, surnommée « Alger la Rouge », ou encore « Alger, La Mecque des Révolutionnaires » par Amílcar Cabral, fameux révolutionnaire guinéen, à qui l’on attribue la citation suivante : « Les chrétiens vont au Vatican, les musulmans à la Mecque et les révolutionnaires à Alger. »
http://www.cercledesvolontaires.fr/2017/12/12/documentaire-alger-mecque-revolutionnaires-mohamed-ben-slama/
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Cheikh Chamil, "l'Aigle du Caucase", mort il y a 148 ans
Chamil, figure de la résistance contre les Russes, sera influent dans tout le Caucase grâce à son art oratoire, sa grande détermination, son génie militaire et politique. Il est perçu comme une autorité religieuse et politique.
Il y a 148 ans aujourd’hui décédait Cheik Chamil (ou Imam Chamil), connu en Turquie sous le nom d’Aigle du Caucase, pour son combat pour la liberté du Caucase contre la Russie des Tsars.
Chamil est l’une des figure politique et religieuse des populations du Caucase.

Il est né en 1797 et portait alors le prénom de son grand-père Ali.
Mais comme le demande la tradition dans la région, quand un nouveau-né est trop souvent malade, il faut changer son prénom : c’est ainsi qu’il fut renommé Chamil.
Pour s’instruire, Chamil et ses amis se sont rendus en Irak, où ils ont étudié au sein du groupe "Mevlana Halid-i Bagdadi".
A la fin de son enseignement, Cheikh Chamil fut renvoyé dans le Caucase avec pour titre celui de Calife.
Face à la volonté des Russes de faire des Musulmans du Caucase leurs esclaves, Chamil rejoint alors les rangs de ceux qui combattent.
Le mouvement des Musulmans du Nord-Caucase à la fin du 18ème siècle, appelé « Muridisme » par les Russes, mais « Gazavat » par les Musulmans eux-mêmes, n’a pas trouvé de leader pendant de longues années après la mort de leur chef Imam Mansour.
En 1829, l’ami de Chamil, le Mollah Muhammed (aussi appelé Mollah Ghazi), est élu nouveau leader du mouvement Gazavat. Chamil sera l’un de ses plus précieux adjoints.
Mollah Ghazi sera tué le 20 novembre 1832 alors qu’il combattait les Russes. Chamil sera grièvement blessé lors de la même guerre.
Après cela, alors que les Russes pensaient que le mouvement de résistance dans le Daghestan allait prendre fin, la lutte des Musulmans, portée par le nouveau chef, Hamza Bek, se poursuivi.
Hamza Bek décédera le 19 septembre 1834, assassiné. C’est alors que Cheikh Chamil est nommé Imam du Gazavat.
Chamil sera à la tête de la résistance pendant 25 ans, de 1834 à 1859. Il assurera la création d’une armée régulière. Malgré la puissance militaire des Russes, il marquera l’histoire du Caucase par sa bravoure. Son combat aura duré 35 ans, 10 ans avec les précédents chefs et 25 ans sous son mandat.
L’Aigle du Caucase aura, pendant cette période, imposé de lourdes pertes aux forces russes.
Dans le même temps, il assoira sa puissance dans le Daghestan et la région en signant un accord avec deux chefs de Tchétchénie, Hadji Tashov et Kibid (Kebed) Muhammed.
En 1842, Cheikh Chamil était le seul maître de la Tchétchénie et du Daghestan.
Le 30 décembre 1843, le Tsar Nikola 1er ordonne au Général Neidhardt de s’assurer le soutien de certaines personnalités dans le Caucase afin de disperser toutes les armées de Chamil ; pour cela il lui envoya 45 mille roubles.
Mais cette initiative fut un échec et le Général Neidhardt sera démis de ses fonctions. Il sera remplacé par le Prince Vorontsov, commandant des armées du Caucase et Gouverneur général du Caucase.
En s’alliant en avril 1846 avec les Circassiens de l’ouest de Kabartay, Cheikh Chamil fera un grand pas vers l’unité du Caucase, ce qui assurera une certaine sérénité dans la région jusqu’en octobre 1853, date à laquelle la guerre de Crimée éclata.

Portrait d'après nature de Chamil, dessiné le 6 octobre 1859 par Vassili Timm.
L’appel au Sultan Abdulmajid pour combattre ensemble :
En mars 1853, Cheikh Chamil écrit au Sultan ottoman Abdulmajid pour l’informer de la situation. Pourtant, alors que la guerre n’avait pas encore officiellement débuté, il prend des mesures pour empêcher le positionnement des troupes russes dans le Caucase. Chamil voulait au plus vite rejoindre Tbilissi et se préparer avant une probable guerre Empire Ottoman-Russie dans le sud-Caucase.
Le gouvernement ottoman ordonne, en août 1853, au Maréchal Abdulkerim Pasha de mandater une personne auprès de Cheikh Chamil pour que celui-ci soutienne les Ottomans lors de l’éventuelle guerre contre les Russes.
L’éclatement de la guerre de Crimée le 4 octobre 1853 forcera l’Empire Ottoman à s’intéresser de plus près au Caucase.
Le 9 octobre 1853, le Sultan Abdulmajid écrit une lettre au Cheikh Chamil l’appelant au djihad contre les Russes.
Dans sa réponse du 13 décembre 1853, Chamil assure qu’en cas d’attaque des Russes sur Tbilissi, il obligera les Russes à quitter le Caucase. Mais l’administration ottomane n’acceptera pas cette proposition. En mai 1854, l’Empire Ottoman octroi à Cheikh Chamil le statut de Serdar-i Ekrem du Daghestan. Mais Chamil voulait absolument lancée une attaque sur Tbilissi, pour cela il entra dans la région de Kaheti en Géorgie en juillet 1854. Mais l’armée ottomane ne se dirigera pas vers Tbilissi.
L’action de Chamil dans le sud-Caucase empêchera l’arrivée en masse de soldats russes dans la région. Grâce à cela, dans les conflits qui éclatèrent, les Russes devaient se limiter à défendre.
Un gradé anglais mandaté dans l’armée ottomane, l’Amiral Adulphus Slade, avait indiqué dans un de ses rapports que pour obliger les Russes à la paix, il faut s’emparer du Caucase et coopérer avec les Circassiens et Cheikh Chamil. Mais la position de Chamil dans le Caucase, et la position ottomane, n’auront pas rendu cela possible, et ainsi, une occasion historique fut manquée.
Une résistance n’ayant abouti à la victoire :
Avec l’Accord de Paris signé le 30 mars 1856, le Prince russe Baryatinsky est nommé une nouvelle fois commandant des armées et Gouverneur général du Caucase. Ce sera l’acte qui déterminera l’avenir de Cheikh Chamil.
Le Prince Baryatinsky divisera son armée du Caucase en 5 et nommera à la tête de chaque groupe un nouveau commandant. Les Russes lanceront l’offensive en juin 1857, et malgré une certaine résistance, Cheikh Chamil devra se rendre le 6 septembre 1859.
Cheikh Chamil sera d’abord transféré à Temirhanshura, puis St-Petersburg et enfin à Kaluga.
Ses jours à Istanbul :
Conformément à sa volonté, Chamil sera envoyé à Kiev en 1869. Il demandera à pouvoir effectuer son pèlerinage à la Mecque, ce que les Russes lui accordent. Il arrive le 31 mai 1869 à Istanbul. Le même jour il rencontrera le premier ministre, le chef religieux musulman et le ministre de l’intérieur ottomans.
Le 15 août 1869, il sera reçu par le Sultan Abdulaziz au Palais de Dolmabahçe. Il vivra 7 mois dans une villa qui lui sera allouée. L’état ottoman versera à Chamil et sa famille une pension.
Le 15 janvier 1870 il rendra visite d’aurevoir au Sultan Abdulaziz avant de prendre la route pour la Mecque. Il quittera Istanbul le 25 janvier. Le 4 février 1871, après son pèlerinage, il décèdera à Médine, où il sera enterré.

Chamil à la fin de sa vie. Photo d'Alexandre Roinachvili.
Cheikh Chamil : influent dans tout le Caucase
Chiekh de la confrérie soufie Naqshibandiyya, Chamil, qui sera élu Imam (leader), sera influent dans tout le Caucase grâce à son art oratoire, sa grande détermination, son génie militaire et politique. Il est perçu comme une autorité religieuse et politique.
Il demeure une des figures principales de la lutte contre les armées russes et l’invasion russe du Caucase.
Cheikh Chamil s’est marié 5 fois et a eu 11 enfants. L’un de ses fils, Ghazi Mohammed, servira l’Empire Ottoman et combattra les Russes lors de la guerre de 1893. Son autre fils, Mohammed Chafi servira l’armée russe où il obtiendra le grade de général de brigade.
Source:Emin İleri,Tuncay Çakmak le 04.02.2019 pour Agence Anadolu. https://www.aa.com.tr/fr/politique/cheikh-chamil-laigle-du-caucase-mort-il-y-a-148-ans/1383290.
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L'affaire Bakri-Busnach
Un contentieux à l’origine de la colonisation de l’Algérie
Extraits : " Les Bacri et les Busnach, juifs algériens qui avaient le monopole des grandes affaires dans la Régence, avaient fait à la Première République des fournitures de grains qui n'étaient pas encore réglées en 1815. Le gouvernement de la Restauration comprit cette créance dans la liquidation générale qu'il avait entreprise : un accord de 1819 en fixa le montant à 7 millions de francs. En 1827, la somme n'était pas encore recouvrée. Des créanciers de Bacri s'étaient révélés et mettaient opposition aux paiements. Les tribunaux étaient saisis, à charge d'examiner le bien fondé de leurs réclamations. D'où la lenteur extrême. Mais, de son côté, le Dey d'Alger était aussi créancier de Bacri, et il insistait avec la plus grande véhémence pour que son débiteur fût enfin payé. C'était au Consul de France à Alger, Deval, à lui faire prendre patience. L'affaire finit mal."
Source: J.M. Bourget, L'Algérie jusqu'à la pénétration saharienne,IIIème partie : l'Algérie et la France (Publications du Comité national métropolitain du centenaire de l'Algérie, 1930). (Cet ouvrage peut être lu en ligne à l’adresse suivante: http://aj.garcia.free.fr/Livret1/PageGardeLivret1.htm ) "
1797-1827. Affaire Bacri-Busnach :
1797, deux négociants algérois, Bacri et Busnach, vendent pour 14 millions de blé à la République française (impayés).
1818, Hussein, créditeur de Bacri et Busnach, réclame cette somme à Louis XVIII.
1826, Hussein écrit à Charles X pour se plaindre de la longueur du procès, pas de réponse.
1827, à la réception officielle de Baïram, Hussein demande à Deval, Consul de France, s'il a une lettre de Charles X. Réponse négative. Hussein, furieux, frappe Deval d'un coup de chasse-mouches. Rupture des relations diplomatiques, blocus d'Alger, débarquement à Sidi-Ferruch."
Source: Roland Bacri en exergue de son livre Les Rois d'Alger, (Grasset, 1988).
" Celle-ci [l'expédition d'Alger de 1830] eut pour cause un incident d'importance secondaire, assez mal élucidé d'ailleurs, le coup d'éventail porté par le dey Hussein au consul Deval, le 29 avril 1827, au cours d'une discussion relative au règlement de fournitures de grains faites, sous la Première République, par deux israélites algériens, Bakri et Busnach. "
Source: E. Albertini, G. Marchais, G. Yver, L'Afrique du Nord française dans l'Histoire, (éditions Archat, 1937).
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Omar RACIM est un enlumineur, calligraphe et militant nationaliste algérien né le 3 janvier 1884 à Alger et mort le 3 février 1959 à Alger. Il est considéré également comme étant un des précurseurs de la Presse algérienne.
Il est le frère ainé de Mohammed RACIM et a beaucoup travaillé avec lui ainsi qu’avec Nasreddine Dinet .
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Lecture Audio book
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[Art] Utagawa Kuniyoshi ( 1798 – 1861) est l’un des derniers grands maîtres japonais de l’estampe sur bois (‘ukiyo-e’).
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Tout au long de sa carrière il a réalisé des estampes sur plusieurs grands thèmes récurrents comme des paysages, des femmes, héros samouraïs, des chats, et des animaux mythiques dessinés avec un style et des compositions qui sont particulièrement modernes. Il étudie d’abord avec Kuninao, et certaines de ses œuvres attirent l’attention d’un des grands maîtres japonais de l’estampe, Toyokuni, qui l’admet dans son atelier en 1811, et dont il devient l’un des principaux élèves. Il reste en apprentissage jusqu’en 1814, date à laquelle il prend le nom de Kuniyoshi et s’installe comme artiste indépendant. En 1827, il commence la série qui devait lui assurer la reconnaissance: les Suikoden, ou Cent-huit héros chinois. Le succès suit dans plusieurs domaines: au début des années 1830, il produit d’excellents paysages et, dans les années 1840, de nombreuses triptyques de bijin et de héros. Il est également connu pour ses dessins de chats, qui étaient ses animaux préférés. Un dessin de son élève Kyosai montre l’atelier de Kuniyoshi plein de chats. Lui-même en trace des dessins qui montrent une étonnante sympathie avec ses chats, et il les représente volontiers dans les recoins de ses estampes sous le moindre prétexte. musique: Jesse James - Wise
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[Biographie] Mohand-Chérif Sahli: Une vie contre la falsification de l'Histoire.

La rencontre, organisée par des institutions et des associations locales et nationales sous la direction de la société savante Gehimab, a attiré un public nombreux et réuni un panel de conférenciers de qualité. De hautes personnalités et un panel d'animateurs venus de Bejaïa, Oran, Tlemcen, Tizi Ouzou, Alger, Paris, étaient là. L'homme et son œuvre n'ont pas laissé indifférent, en dépit de l'oubli dans lequel « on » a voulu définitivement les enterrer. Personne ne définira cet ignominieux « on » qui a voulu effacer de la mémoire nationale tant d'autres emblématiques figures, mais chacun en connaît la raison. Celle-là même contre laquelle Mohand-Chérif Sahli s'est énergiquement élevé et qu'il a combattue sans relâche : la falsification de l'Histoire, l'organisation de l'amnésie et la dénaturation de l'identité des peuples pour asseoir et servir une domination illégitime. Agrégé de philosophie, il aurait pu se contenter de débattre du sexe des anges et couler une vie paisible d'enseignant « intégré » dans la société parisienne. Il était d'une autre trempe. Il s'engage dans le combat militant de la cause nationale en devenant journaliste, critique et éditeur et se fait historien pour reconstruire une identité nationale dévoyée. En 1947, il publie « le Message de Youghourta », puis « l'Algérie accuse... » et en 1952, « Abdelkader, le chevalier de la foi ». En 1955, il devint membre de la commission presse de la Fédération FLN de France et en 1957, il est nommé représentant permanent du FLN, puis ambassadeur du GPRA en Scandinavie. A l'indépendance, alors qu'il est professeur à l'Université, il publie « Décoloniser l'histoire », se plaçant en précurseur de la critique historique en Algérie, dont les idées forces seront reprises par d'autres auteurs. Il sera ensuite ambassadeur en Chine, en Corée du Nord, au Vietnam et en Tchécoslovaquie.
En 1988, il publie encore « L'Emir Abdelkader, mythes français et réalités algériennes ». Il décède en 1989 et est enterré au carré des martyrs d'El Alia.
Outre les témoignages et conférences sur l'œuvre, le programme comporte, en marge du colloque, une exposition des archives et objets appartenant à l'historien et l'organisation d'un circuit historique à travers les sites et monuments des Ath Waghlis qui composeront le futur Musée national de patrimoine et de société de la Kabylie.
Ouali M. Publié dans Horizons le 16 - 05 - 2014
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[Géopolitique & Histoire] Interview en Français de Daniele Ganser: Les Armées Secrètes de l’OTAN. [Partie 3 & finale]
Voir aussi [Géopolitique & Histoire] Interview en Français de Daniele Ganser: Les Armées Secrètes de l’OTAN. [Partie 1]
[Géopolitique & Histoire] Interview en Français de Daniele Ganser: Les Armées Secrètes de l’OTAN. [Partie 2]
Pr Daniele Ganser: La guerre en Afghanistan & le 11 sep
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Pr Daniele Ganser: Les attentats du 11 septembre 2001 & le WTC 7
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Pr Daniele Ganser: Débats, scène internationale et opinion publique…
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[Histoire & Géopolitique] Le “monde arabe” & l’héritage de l’empire Ottoman.
A Lire aussi :
Comment l’Empire ottoman fut dépecé - Les ravages d’une guerre arbitraire - par Henry Laurens, Le Monde Diplomatique. > Avril 2003, pages 16 et 17
Prélude à la révolution d’Atatürk - La modernisation et l’ébranlement de l’Empire ottoman - par Serif Mardin, Le Monde Diplomatique. > Octobre 1973, page 24
Henry Laurens: L'héritage Ottoman. Introduction générale à l'histoire contemporaine du monde Arabe.
Henry Laurens: L'héritage Ottoman. (1/3)
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