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Bleu Saphir
Bon, j’ai enfin lu un livre depuis ma saturation du mois d’avril. C’est bien le seul que j’ai réussi à glisser dans ma fin de session! Je n’avais tellement pas de temps que je dois l’avoir lu en 4 semaines, un vrai cauchemar!
Je dois dire que j’ai bien aimé, l’adaptation est de moins en moins fidèle aux livres, j’ai donc de plus en plus hâte de connaître la suite, mais en même temps je n’ai pas la copie du troisième en mains, ça devra attendre malheureusement. J’ai bien aimé ce deuxième opus, je dois dire qu’une de mes plus grandes critiques est que Gwen manque de caractère et parfois ça me lasse..
L’histoire est oubliable, c’est grâce au sentiment de nostalgie que je m’y accroche, voilà pourquoi je lui ai donné 3 étoiles! Je pense que ça passe bien, c’est une petite lecture simple et fraîche qui pourra intéresser les admirateurs de science-fiction et de voyage dans le temps.
J’ai lu ce tome en anglais et quoi dire! Enfin délivrer de la traduction qui me faisait malencontreusement cringe… Je n’ai pas envie de m’éterniser sur cette critique, je recommande si vous êtes admirateur du premier et des adaptations cinématographiques, mais prenez garde, le côté voyage dans le temps prend le deuxième plan, la romance est centrale, et je trouve que c’est dommage, je n’aime pas beaucoup Gidéon, les passages étaient parfois long….
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GOODREADS
Voici le lien de mon Goodreads : https://www.goodreads.com/user/show/132408029-j-ai-croqu-la-pomme
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Les Fourchettes : une vingtaine complexe et sensuelle, Sarah-Maude Beauchesne
J'étais dans ma lancée de lire toutes les œuvres de Sarah-Maude Beauchesne le plus rapidement possible quand je suis tombée sur son dernier roman, je me suis empressée de le louer en prêt numérique et je me suis lancée dedans à grande vitesse. Un petit recueil d'environ 260 pages nommé Les Fourchettes, comme son blog. Ce sont des petits textes qui racontent de manière floue sa vingtaine. Je l'ai lu assez rapidement, en une soirée environ. J'en ai profité après ma lecture pour jeter un coup d'œil à la série web du même nom.
Bon quoi dire de cette lecture... Je dois dire que j'ai bien aimé, mais j'aime beaucoup plus les romans traditionnels de cette dernière. Ça n'a pas enlevé le charme de cette lecture, et j'ai pu trouver des petits easter eggs à multiples reprises, présents dans la trilogie cœur de slush. Je me suis retrouvée dans ces propos qui m'ont parfois fait sourire ou mis la larme à l'œil.
J'aime beaucoup lire cette auteure et à chaque fois je ne vois pas le temps passer, ses textes sont vrais, crus et sensibles. C'est vraiment une pépite d'or que je chéris beaucoup, et je me vois déjà lire tous ces futurs romans sans hésitation. Son style d’écriture est poétique, drôle et coloré, elle arrive toujours à trouver les mots justes et ne met pas de gants blancs.
À certains moments il y avait des petites longueurs et c'était un peu répétitif, mais bon j'ai fait avec! C'est un livre qui vaut la peine d'être lu si vous connaissez un minimum son univers (série web, romans, etc).
Pour ce qui est de la web-série, c'était vraiment excellent. J'arrivais avec un peu d'appréhension, j'avais déjà regardé le premier épisode et je n’avais pas accroché, mais j'ai décidé d'y redonner une chance après avoir terminé ses romans! J'ai braillé comme un veau aux deux fins de saisons, je me suis reconnu, j'ai reconnu mes amis, mes insécurités, la plus grosse rupture et peine d'amour de ma vie. Ce n’est pas fait pour tout le monde clairement, mais je peux vous assurer que ma mère et moi on a beaucoup aimé. Je me suis couchée à une heure du matin pour la finir (Sarah-Maude, vois-tu tous les sacrifices que je fais pour toi ?). C'est aussi super de la regarder après avoir lu le livre, ça aide à trouver plein de petites références qui font sourire.
Donc oui, encore une fois Sarah-Maude Beauchesne ne me déçoit pas et je conseille vivement son roman à tous les intéressés. Bon, moi je suis dû pour aller regarder l’académie pour une troisième fois…
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Maxime, Sarah-Maude Beauchesne
C'est avec le cœur gros que j'ai tourné la dernière page de Maxime, hier, à 1h25 du matin. Je l'ai commencé dans le bain vers 21 heures. Grosse erreur. Je n'ai pas pu m'en détacher, une chose est sûre, Sarah-Maude Beauchesne me fait l'effet d'un daiquiri à la fraise, j'en veux toujours plus.
Ça m'a rappelé la vie avant la covid ; les restaurants, les terrasses, les bisous et les spectacles! C'était rafraîchissant, enfin un petit peu de bonheur chaleureux! Je suis vraiment dû pour un peu d’interaction sociale!
Je dois avouer, je trouve que le deuxième tome est le meilleur, mais ça n'a pas enlevé le charme de la grande finale. Bon, mon petit hick c’est la différence d’âge entre Billie et Maxime que je trouve un petit peu étrange, je comprends qu’elle est mature, mais 7 ans de différence ce n’est pas rien! Aussi je dois avouer que je suis un petit peu déçu, je m’attendais au prince charmant pas de défaut, mais c’est un peu comme dans la vraie vie... ça n’existe pas ! J’ai fait avec et j’ai fini par m’habituer, mais je tenais à le mentionner. On voit l'évolution de Billie, elle est attachante, elle prend de la maturité, elle se découvre malgré son côté anxieux, c'est beau à voir. J'ai bien aimé les nouveaux personnages, et la drive que Billie avait pour arriver à ses fins. Je l'ai trouvé fière et indépendante, un super bon exemple!
Je suis émue de la voir grande et forte prête à affronter sa vie d'adulte. La fin était comme une caresse, mais je dois avouer que mon petit côté malsain qui aime le drama aurait voulu revoir Pierre ou Erik pour un échange ou deux. Ce livre c'est une caresse pour les cœurs maganés qui ont besoin de sourire, de rire et de faire le party en même temps que notre personnage principal et ses amies.
Comme d'habitude, c'est léger et très divertissant, c'est presque impossible de s'en défaire. Le style d’écriture de Beauchesne ne me déçoit toujours pas, il sonne comme de la musique à mes oreilles et me rappelle les petits papillons dans le ventre que l’on a lorsqu’on tombe en amour.
Je suis absolument en amour avec cette trilogie, clairement une des meilleurs de genre contemporain que j'ai lu! Je le recommande sincèrement et chaudement à tout le monde, d'une manière ou d'une autre on se retrouve dans ses péripéties et ses petites manies. Si jamais vous avez des recommandations de livre dans le même style, n'hésitez pas je suis prenante.
J'en aurais voulu encore plus... Mais bon, je pense qu'il est temps que je regarde Les Fourchettes (la série web inspirée de la vie de l’auteure), je suis rendu officiellement une fangirl de Sarah-Maude Beauchesne, souhaitez-moi bonne chance!
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Lèche-Vitrines, Sarah-Maude Beauchesne
Après mon coup de foudre avec Cœur de Slush, je devais me procurer la suite des aventures de Billie! J'ai lu ce livre dimanche après-midi, j'étais allongé de tout mon long sur mon patio à savourer le soleil et la chaleur que je n'avais pas vus depuis septembre... Le scénario idéal. Je l'ai dévoré, et encore plus aimé que le premier.
On y suit Billie, nouvelle à Montréal, qui a encore le cœur gros, mais qui est prête à trouver l'amour. Entre le cégep, les amies, sa mère avec qui elle essaie de reconnecter, sa sœur en crise d'adolescence et la sexualité qui se faufile de plus en plus dans sa vie, c'est 200 pages de rebondissement qui savent me charmer et me captiver. J'ai aimé que la sexualité soit abordée de façon aussi simple, il n'y a aucun tabou avec Sarah-Maude Beauchesne, et c'est vraiment rafraîchissant! On ne met pas non plus de gants blancs lorsqu'on touche aux problèmes de familles, comme la séparation et le manque de connexion.
La plume de Beauchesne reste toujours aussi poétique et colorée, et encore mieux que dans le premier. Encore une fois, c'est léger, drôle et bon. J'ai aimé voir Billie évoluer et comprendre un peu mieux la vie et l'amour, c'est beau à voir. Je pense que c'est beaucoup mieux exécuté que le premier, et ça vaut la peine d'être lu. Je trouve rafraîchissant qu’elle découvre encore sa sexualité, ça dédramatise complètement cette dernière et ça normalise qu'il n'y a pas de plan à suivre, et que le cheminement de tout le monde est valide et différent.
J'ai adoré que Billie soit à fleur de peau et nous parle de ses problèmes d'estime, à aucun moment ses réflexions sur son premier amour m'ont dérangé! J'ai trouvé ça vrai, et touchant, je pouvais revoir mes premières expériences déchirantes à travers ses yeux. Annette m'a vraiment déçu dans ce tome, je ne comprends pas du tout ce qui arrive avec elle, dans mes souvenirs elle est douce et compréhensive, c'était un petit point négatif je ne vais pas vous mentir.
Une petite lecture qui m'a rappelé les sentiments qu’on ressent lorsqu’on tombe en amour et toute la partie compliquée qui vient avec. Un livre rafraîchissant qui m'a amené l'été beaucoup plus vite que je le pensais, je mets déjà ma crème solaire et mes chapeaux de plage. J’ai lu ce deuxième tome en une seule journée, c’est beau et ça m’a rappelé de beaux moments. Peu importe l'âge qu'on a, on peut se voir dans Billie et sa naïveté de jeune femme en pleine quête d'identité. Un vrai coup de cœur!
J'attends de voir ce que le reste de la trilogie me réserve, mais je suis loin d'être déçu! Je vous le conseille vivement.
#lèche vitrine#sarah-maude beauchesne#critique littéraire#critique de livre#critique de lecture#critique
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The Supervillain and Me, Danielle Banas
Je faisais mon petit magasinage en ligne habituelle, lorsque je suis tombé sur ce livre. J’ai directement été intrigué, une histoire de superhéros ? Encore mieux, un super-vilain ? Et une histoire d’amour avec ce dernier… Wow j’avais hâte d’enfin me plonger dans ce bouquin ! J’adore la littérature jeune adulte, pas trop casse-tête qui passe vite, je mentirais si je disais que je n’ai pas apprécié ma lecture… Mais je suis déçu !
J’en voulais plus ! Les personnages sont assez basiques, ils sont loin d’être uniques. Abby, l’intellectuelle maladroite qui adore les comédies musicales. Connor, son grand frère, un garçon superficiel et sportif un peu imbu de lui-même. Sarah, la meilleure amie, grande admiratrice de superhéros (bon, j’avoue, elle m’a fait sourire plusieurs fois). Et finalement, Iron Phantom, le soi-disant vilain sarcastique, avec qui j’étais censé tomber en amour…
Il faut mettre une chose au clair, Iron Phantom n’est pas un vilain, il est trop gentil avec notre personnage principal, ça en fait presque pitié. Je le mettrais dans la friendzone étant Abby. Je m’attendais à un personnage dans le style de Loki (de la saga Thor), un méchant au cœur tendre prêt à tout pour sauver sa belle, mais je n’ai pas été servi !
Bon, passons au positif maintenant ;
Les quelques scènes d’actions sont bonnes et savaient garder mon intérêt. Le livre est aussi plutôt court, et bien rythmé. Je l’ai fini assez rapidement, l’histoire attirait ma curiosité, et mon envie de découvrir la vraie identité du vilain me faisait aller de l’avant. C’est aussi plutôt drôle, et rempli de référence à la culture populaire. Le style d’écriture est simple, mais il va droit au but et il arrivait à me faire sourire à multiples reprises.
Si vous appréciez les univers de DC et de Marvel, c’est une option à considérer… Bon, je dois avouer que ce n’est pas aussi travailler, mais ça peut vous captiver et le style d’écriture me fait plus ou moins penser à une fanfiction. En plus, si vous êtes fan des histoires d’aventure, de mystère et d’amour, ce livre coche les trois catégories. La fin est satisfaisante et il y a des conséquences aux actions des personnages, ce que je trouve rare dans la littérature YA !
C’est très fluffy, cliché, mais le tout se lit vite, et je ne peux pas dire que je n’ai pas passé du bon temps avec ce roman entre les mains. Je n’ai rien de plus à dire à ce sujet, je crois que c’est un bon début pour Danielle Banas, reste à voir ce qu’elle nous réserve pour la suite !
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Rouge Rubis, Kerstin Gier
J'ai appris l'existence de Rouge Rubis par accident! Je me baladais sur YouTube, à la recherche d'un film (Hard Candy) et mon Français à complètement saccager le nom, assez pour me retrouver sur une vidéo du film complet de Rouge Rubis. Pas très légal, mais je ne m'en plains pas.
Je dois vous avouer, je n'ai malheureusement jamais regardé Hard Candy, mais je me suis tapé la trilogie complète et j'étais très fan au secondaire, je l'ai montré à toutes mes amies qui ont elles aussi été frappées par le coup de foudre, certaines plus que moi! Il n'y a pas longtemps, j'ai re-regarder la trilogie de film un à la suite de l'autre en compagnie de mon copain et de sa sœur.
Oui, c'est cliché! Oui, c'est un peu cul-cul! Mais c'est tellement bon!
Même mon copain n'avait rien à dire là-dessus, il était complètement obnubilé. Comme moi. Je me suis donc dit qu'il était temps que je me lance et que je lise enfin les livres, et par chance j'avais déjà le premier sous la main (je l'avais trouvé à la friperie quelques mois au paravent). On peut dire que c'était le destin ou bien l'univers qui me faisait signe d'enfin me lancer.
Dans Rouge Rubis, on suit Gwendolyne, une jeune adolescente de 16 ans, tout à fait normale... ou presque. Elle possède un gène qui lui permet de voyager dans le temps! On suit son parcours, entre jalousies, amour et secte un peu bizarre, tout est haut en rebondissement. Bon quoi dire... Je ne lis presque plus en français et j'ai trouvé que la traduction était très moyenne, j'ai jeté un coup d'œil par curiosité à celle en anglais qui d'après moi est vraiment mieux! C'est très subjectif, mais si vous hésitez entre les deux, je vous conseille vivement en anglais.
Je dois dire que l'adaptation cinématographique est très fidèle, j'avais un peu l'impression de lire le scripte à quelques détails près, le livre fini aussi beaucoup plus abruptement que je le pensais. Si vous avez aimé le film, vous aimerez le livre et vice-versa. Ça passe super vite (environ 330 pages), c'est bien rythmé et c'est original. J'ai aimé ça, mais c'est clair que je continue ma lecture en anglais!
Si vous aimer la science-fiction un peu clichée, avec une bonne histoire et un peu d'amour lancer vous, c'est du bonbon! Vraiment j'ai adoré !
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The Marrow Thieves, Cherie Dimaline
Dans The Marrow Thieves, on rentre dans un monde dystopique, dans lequel les autochtones sont recherchés, pourchassés et tués pour leur moelle osseuse. Cette dernière permet aux gens de rêver et de garder espoir, après la fin du monde. On fait souvent référence à des événements historiques tels que les pensionnats, qui servait à arracher les enfants autochtones de leur milieu de vie et de leur imposer les croyances canadiennes (sans oublier, les séparer complètement de leur culture, à risque d’être puni), ainsi que d’être imposé à des conditions peu équitables (vivre dans des réserves, ignorer leur demande, etc.)
On y suit le personnage de Frenchie, un garçon qui, au début de l’histoire à 11 ans. Ce dernier a tout perdu, et est prêt à se laisser mourir pour se libérer de cette vie atroce. Bien évidemment, ce n’est pas le cas, il rencontre par la suite un groupe d’autochtones qui lui servira de famille et qui l’encouragera à ne pas baisser les bras. C’est avec une vision originale d’un monde dystopique, dramatique et poignante qu’on parle de traumas, de l’histoire, des problèmes de consommations et des dangers qui surviennent lorsqu’on ne considère pas tous les gens comme des êtres humains à part entière.
Mon personnage préféré, ou qui m’a du moins le plus marqué, est celui de Wab. Son histoire m’a énormément touché et choqué. Je trouve que c’est un modèle de femme forte, capable aussi de se confier et de confronter lorsque c’est nécessaire. Les chapitres qui parlaient de son histoire m’ont souvent fait chavirer l’estomac et j’en ai eu les larmes aux yeux. Ce qui m’a le plus chamboulé, c’est que son histoire a été vécue par de multiples autres femmes autochtones, et ça me sidère.
J’ai trouvé que The Marrow Thieves était un excellent roman, il m’a fait réfléchir, et m’en a appris sur le racisme et les atrocités que les autochtones vivent quotidiennement. Je suis très touché par ce que j’ai lu, c’est d’après moi une très bonne leçon. Il faut écouter leurs voix, car tout ce qu’ils ont à dire est enrichissant. C’est une lecture que je recommande à tout le monde, surtout les Canadiens, c’est une bonne façon d’en apprendre plus sur notre histoire et de comprendre le message que l’on essaie de nous transmettre. C’était excellent.
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Les Nombrils, Delaf & Dubuc
C'était un vrai phénomène, surtout en 2011, toutes les jeunes filles, et les parents de ses dernières se jetaient dans les librairies à la recherche d'un exemplaire. Les Nombrils. Je pense que mon obsession pour cette BD a commencé à ce moment-là. Une chose est sûre, elle était bien présente et intense. Je mangeais Les Nombrils, je dormais Les Nombrils, je parlais des Nombrils, et bien évidemment, je lisais Les Nombrils! J'en avais même fait la collection ; des différents tomes, aux cahiers de notes, aux affiches, ainsi qu'au sac à dos très fashion, sans oublier les figurines des personnages, j'ai dévalisé le Renaud Bray. C'était ma photo de profils sur mes réseaux sociaux à l'époque! J'attendais la sortie des tomes avec impatience, et j'allais les acheter le jour même, afin de calmer ma soif de lecture. J'étais une admiratrice de Delaf et Dubuc.
Les Nombrils, c'est cru, c'est exagéré et c'est drôle. C'est aussi incroyablement addictif. Je me souviens que je laissais mes différents tomes dans le porte-magazines de ma salle de bain, et que tous les membres de ma famille, y compris mon père, y avaient jeté un coup d'œil et n'avaient pas été capables de s'en défaire. Malheureusement, plus le temps a filé, plus ma dépendance pour cette série s'est éteinte et j'en ai perdu le fil. J'ai honte, mais je n'ai même pas encore lu les tomes 7 et 8, mais ça ne saurait tarder, promis juré.
Au début, j'aimais bien parce ce que c'était drôle, mais plus on avance dans l'histoire plus on se rend compte que ce n'est pas juste une BD d'humour et qu'il y a une trame narrative extrêmement pertinente derrière. J'ai aimé que les personnages de Vicky et Jenny ne soient pas que de simples pimbêches superficielles unidimensionnelles, et qu'au fond elles aient leurs propres problèmes qui nous poussent à avoir de l'empathie pour elles, et à comprendre leurs comportements et leur besoin d'attention. En plus, je trouve ça ultra intéressant de voir la maturité et la confiance en elle que Karine développe tout au long de la série. Pour une fois, le personnage n'est pas utilisé comme un tapis sur lequel on peut s'essuyer les pieds, et y déferler notre haine. J'ai aimé voir son histoire, entre autres, ses amours, ses peines et la découverte de ses différentes passions. J'ai aimé qu'elle prenne de l'assurance, et qu'elle se pose enfin des limites!
La bande dessinée traite de plusieurs sujets fortement pertinents ; comme la pauvreté, la dépendance, l'orientation sexuelle, l'intimidation, la famille, l'amour et la pression sociale. C'était un équilibre entre rire et larme, qui me poussait à continuer de lire, et de vouloir en savoir plus. Je recommande les nombrils à absolument tout le monde qui aime les bandes dessiner et la comédie. Peu importe notre âge, on peut y découvrir des petites pépites d'or qui sauront nous faire sourire et réfléchir. J'ai vraiment hâte de continuer ma lecture et de suivre mes personnages adorés.
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Lou, Julien Neel
L'univers enfantin et coloré de Lou a bercé mon enfance. C'est drôle, c'est beau et ça fait du bien!
Je me rappelle des périodes à la bibliothèque lorsque j'étais au primaire. Je devais avoir neuf ou dix ans. C'était vraiment étrange, mais le groupe au complet se battait ou courrait jusqu'à l'étagère des bandes dessiner, pour mettre la main sur un des quatre tomes sortis à l'époque. De vraies hyènes enragées. Je me rappelle aussi le jour où ma mère est revenue du travail et m'a donné en cadeau le quatrième tome de la série. Je l'ai tellement lu, il est rendu abîmé, mais ça n'enlève pas pour autant mon amour pour cet objet. Je me souviens des planches qui savaient attirer mon attention, et de tous les petits détails cachés sur chaque page. Lou, ça m'a donné envie de lire.
Julien Neel est un passionné, et un as dans son art. Lorsqu'on regarde ses différentes planches, on réalise rapidement que tout est là pour une raison. J'ai regardé il n'y a pas longtemps l'adaptation cinématographique réalisée par ce dernier, sortie en 2014. Bien qu'il se soit fait fortement critiquer, c'est difficile pour moi de voir autre chose que du génie derrière tout ce qu'il fait, sa touche méticuleuse se retrouve dans toutes ses œuvres. Regarder ce film m'a plongé dans une profonde nostalgie, et je n'ai pas pu m'empêcher de remettre mon nez entre les pages de mes vieux albums poussiéreux. À mon humble avis, c'est une adaptation et un film tout simplement formidable à ne pas manquer.
J'adore le fait que j'ai en quelque sorte grandi avec Lou, que j'ai moi-même vécu mes premiers amours, mes premières disputes et mes problèmes de famille, en symbiose avec elle. C'est réconfortant, et je me rappelle encore à quel point j'étais rassuré de trouver un personnage qui vivait les mêmes choses que moi, et qui me ressemblait mentalement.
J'ai adoré Lou. Même maintenant, avec mon regard d'adulte, l'histoire arrive à me toucher et m'émerveiller lorsque j'en découvre un peu plus sur les personnages. D'après moi, c'est un incontournable de la BD française, qui saura captiver petit et grand.
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La Déesse des mouches à feu, Geneviève Pettersen
Geneviève Petterson a eu une attention médiatique plutôt grande depuis les derniers mois, d'une part à cause de l'adaptation cinématographique de son premier roman, la déesse des mouches à feu, et d'une autre à cause de ses propos controversés et méchants à l'égard de l'entrepreneuse et influenceuse, Élisabeth Rioux. Je dois dire que j'ai été déçu de voir son nom dans les médias pour une affaire aussi puérile et inutile, j'aurais voulu un peu de positif pendant le mois de novembre. Pour une autrice que j'admire, elle a pris un méchant coup dans mon estime et ça m'attriste beaucoup! En espérant que ce moment peu flatteur donnera une leçon à tous ceux qui ne prennent pas en considération les conséquences de leurs propos.
Ça n'enlève aucunement mon amour pour l'histoire de Catherine, l'héroïne rebelle et perdue dans sa crise d'adolescence qui nous touche tout le long du roman La déesse des mouches à feu. J'ai choisi de lire ce livre dans le cadre d'une écriture de dissertation en secondaire cinq. J'en avais entendu beaucoup parler, autant de mes professeurs, que sur internet. Pour moi, la déesse des mouches à feu, c'est un cri du cœur qui est rempli d'honnêteté. Bien que mon adolescence ne fût pas du tout dans la même lignée que celle de Catherine, j'ai su m'attacher à ce personnage, et y voir certaines personnes de mon entourage d'il y a quelques années.
L'écriture du roman est fluide et captivante, un peu comme si Catherine se confiait à nous. En plus, j'ai trouvé qu'elle était très réaliste et allait de mise avec les divers personnages. J'avais l'impression de faire partie de l'histoire, tellement les dialogues et les aventures étaient convaincants. J'ai trouvé que c'était difficile de voir sa descente aux enfers, sans pour autant pouvoir l'aider et l'épauler pendant les pires moments.
Dans la déesse, on suit Catherine, une adolescente de quatorze-ans, qui idolâtre Christiane F, le personnage du très célèbre livre Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée... C'est l'année des premières fois pour elle, les premiers amours, la première fois qu'elle touche à l'alcool et les drogues, la première fois qu'elle se plonge dans la sexualité. C'est un roman très vrai, qui sait nous faire rire et nous faire pleurer, en même temps. On y parle de problématiques communes chez plusieurs adolescents, comme les relations toxiques, la dépendance et la violence psychologique et physique. C'est vrai que quand il n'y a pas grand-chose à faire dans notre coin perdu, on peut se tourner vers des activités plus ou moins raisonnables.
J'ai été profondément touché par la déesse des mouches à feu, comme le dit la quatrième de couverture, c'est un hommage à tous les petits maudits qui on grandit dans les villes du Québec où il ne se passe pas grand-chose. La déesse, c'est comme un accident de voiture, c'est déchirant et triste, mais on ne peut pas s'empêcher de regarder. Je le recommande à 1000%, c'est un des meilleurs romans québécois que j'ai lus!
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Dorothy Must Die, Danielle paige - Pourquoi je n'ai pas aimé
J'adore les contes classiques avec une twist qui me font redécouvrir un monde riche! J'ai eu une petite phase à la fin de l’année dernière; la série A Court of Thorns and Roses (Sarah J. Maas), les chroniques lunaires (Marissa Meyer), et plein d'autres acquisitions qui attendent d'être lues! Comme à mon habitude, je passais mon temps sur marketplace à la recherche de nouvelles lectures lorsque je suis tombé sur cette série.
Dorothy must die ; la prémisse était excellente, une Dorothée qui revient au pays d'Oz, ensorcelée par sa soif de pouvoir et qui en devient sa dictatrice. Je me suis dit wow! Je dois absolument lire ça. Le potentiel que ce petit résumé tenait, je me suis dit que j'allais voir un Throne of Glass ou un Hunger Games 2.0. Mais non.
Si je devais résumer mon avis en trois mots ; gaspillage de potentiel.
J'ai voulu aimer Dorothy must die, assez pour lire les trois premiers tomes en me répétant qu'au final le tout allait valoir la peine. J'avais tort, assez pour abandonner ma lecture du dernier tome après avoir entamé les 25 premières pages. Je n'en pouvais plus, assez pour les remettre en vente directement après. J'étais beaucoup trop frustré pour continuer. Je ne peux pas dire que tout est inacceptablement mauvais, il y a bien quelques points positifs qui m'ont fait rester pendant 750 pages, mais tout le long de ma lecture j'ai senti qu'il manquait un petit quelque chose, une étincelle, un je ne sais quoi. Ce qui me frustre le plus lorsque je lis, c'est le manque d'intégrité des conséquences, si un personnage meurt je veux pleurer ou célébrer, pas le revoir 10 pages plus tard, et Paige n'a pas respecté cette règle qui est fondamentale pour moi.
Les personnages principaux m'ont rapidement tapé sur les nerfs, je les trouvais très plats, presque caricaturaux :
Amy, la fille perdue avec une vie difficile, mais qui se rebelle lorsqu'elle en a besoin.
Nox, le bad boy emo qui sort de 2007.
Madison la pimbêche unidimensionnelle.
J'ai eu l'impression à certains moments que je lisais un brouillon désordonné, tellement que parfois rien ne faisait de sens! Il n'y a pas que du mauvais, je ne suis pas non plus de mauvaise foi. Une chose que Paige a réussie, ce sont ses méchants. J'y ai cru tout le long, un peu trop même. J'ai ragé, et j'ai détesté certains personnages avec une intensité incroyable, je voulais me plonger dans le livre et les frapper à coups de pelle. Les personnages habituellement gentils et innocents ont été ravagés, et j'ai bien aimé. Si vous aimez rager, lancer vous!
Je ne peux même pas vous faire une analyse tome par tome, l'histoire m'a tellement ennuyé que je ne me souviens plus de rien, mis à part quelques passages du premier. Selon moi, il est le meilleur tome de cette série, j'ai été complètement captivé et j'y ai cru. Je ne m'attendais pas à voir autant de gore et de violence et j'ai été servi, si vous avez l'estomac fragile, tenez-vous prêt. Je voulais savoir la suite, et les amis de Dorothée m'ont fait froid dans le dos!
En conclusion, je ne pense pas que la mauvaise littérature existe, j'imagine que je n'étais tout simplement pas le public cible malheureusement. Grâce à ce livre, je sais maintenant que le genre de l'horreur n'est vraiment pas fait pour moi! Le monde a été plutôt bien pensé, les vilains très bien exécutés (un peu trop), mais selon moi, l'histoire n'est pas pertinente et je n'ai pas l'intention de lire la suite!
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Throne of Glass, Sarah J. Maas
Après ma lecture des quatre premiers tomes de A Court of Thorns and Roses, je suis tombé sur une offre incroyable, la série complète de Throne of Glass pour un total de 42$. Comment vous dire que je suis sautée dessus telle une hyène enragée tellement j'étais excité! Bon, c'est la première série de huit livres que je termine, je n'ai lu que ça du mois de novembre au mois de janvier. Quoi dire de plus... je suis fière de moi.
Je critique souvent Sarah J. Maas sur ses choix d'écriture et son manque de diversité, mais je mentirais si je disais que je n'aime pas pour autant ce qu'elle écrit. C'est aussi addictif que de la fanfiction, mais il y a un côté professionnel ajouté au tout. Pour une fois, j'ai réussi à m'attacher à son personnage principal, Celaena. Elle a su me toucher, et je ne voulais que lire son point de vue tout au long de la série. Je ne pensais même pas que mon attachement pour cette dernière était aussi grand, jusqu'à tant que des larmes coulent sur mes joues à plusieurs reprises pendant ma lecture de cette série massive (oui oui, malgré mon cœur de pierre il m'arrive de pleurer).
Je vais vous faire une petite analyse tome par tome, mais ne lisez pas si vous ne voulez absolument aucune appréhension sur cet univers.
The Assassin's Blade (5/5) : C'est le grand commencement de cette série d'après moi, il nous donne une mise en contexte pertinente et nous explique les origines de notre héroïne. Sam est la plus belle chose qui ressort de ce livre, dommage qu'on ne le voit plus! Beaucoup aime critiquer ce regroupement de nouvelles, mais selon moi, c'est un des livres les plus intéressant et touchant de la série.
Throne of Glass (3/5) : C'était un bon commencement, un peu mou et superficielle à certains instants. J'ai aimé l'inspiration à la Hunger Games. Dorian est un personnage que j'apprécie, à la fois doux et intelligent, il a su me charmer, beaucoup plus que Chaol. J'aime les éléments surnaturels, et pour une fois on a le droit à une héroïne badass qui ne met pas sa féminité de côté pour autant.
Crown of Midnight (3,5/5) : Chaol est vraiment vide, je ne l'aime pas et je ne veux rien savoir de lui. À chaque fois qu'il ouvre la bouche, c'est pour se plaindre. J'ai tout de même apprécié ce livre beaucoup plus que le premier, et les révélations m'ont choquée. J'aime aussi qu'il y ait de vraies conséquences, et qu'on y voie tranquillement le début d'une guerre sans repos. L'action était présente, j'ai apprécié ma lecture.
Heir of Fire (2/5) : Le point fort de ce livre, c'est l'introduction de Manon, la sorcière au cœur de pierre qui arrive tout de même à me toucher. Par contre, tout ce qui concerne Rowan m'a très sincèrement ennuyé, tellement que je ne me souviens plus de rien de ces passages. La relation entre Sorscha et Dorian m'a faite profondément cringe, et j'étais presque contente de la tournure des événements.
Queen of Shadows (5/5) : C'est mon tome préféré de cette série, j'adore l'introduction de Élide et Lysandra, ce sont des personnages qui me touchent beaucoup. J'aime aussi la rébellion que Manon créer, et son amour pour les treize. L'action était à son comble et j'ai senti que pour la première fois on partait dans une direction plus concrète pour la suite des choses.
Empire of Storms (5/5) : La fin a arraché mon cœur et a pillé dessus par la suite! J'ai pleuré comme une madeleine. J'aime aussi que tous les éléments placés dans les tomes précédents commencent enfin à s’entre croiser et à créer une histoire riche et touchante.
Tower of Dawn (1/5) : Mon Dieu que j'ai trouvé que ce livre était impertinent à souhait. Comme je l'ai dit plus tôt, je n'aime pas du tout Chaol, et lire un livre qui suivait majoritairement son point de vue était horrible. C'est le gros point faible de cette série, je ne le trouve pas nécessaire, et je voulais juste me plonger dans la finale que j'attendais depuis trop longtemps déjà. S'il y a un point positif, c'est l'histoire de Sartaq et Nesryn. Finalement, j'ai trouvé que le personnage de Yrene était certes intéressant, mais je n'ai pas aimé que cette dernière ait un pouvoir incroyable, alors qu'elle n'a aucunement travaillé pour, c'était un peu comme un deus ex machina raté. Je ne me suis pas attaché et très sincèrement je me foutais de cette relation.
Kingdom of Ash (4/5) : J'aime comment cette série se terminé, je ne pouvais pas lâcher ce roman, je l'ai terminé en trois jours. Je suis juste déçu du manque de conséquence pendant la guerre, si vous voyez ce que je veux dire. C'était ce d'ont j'avais besoin, et j'ai eu les larmes aux yeux pendant l'épilogue.
En conclusion, je dirais que c'est la meilleure série de SJM. Les personnages sont travaillés et l'histoire a été pensée pendant des années. Je dois dire que je suis réellement impressionné, c'est à considérer pour tout admirateur de livre fantastique rempli d'action et de rebondissement. Je la recommande chaudement,
Attention divulgâcheur 1!1! : Unpopular opinion sur la série
- Dorian et Aelin auraient dû terminer ensemble.
- Manon aurait dû finir seule.
- Lorcane ne mérite pas Élide, et il est borderline toxique.
- Rowan est vide est inintéressant.
- Lysandra et Élide sont d'après moi les meilleurs personnages.
- Aedion est un douchebag.
- Yrene n'aurait pas dû être dans l'histoire, et Chaol aurait dû mourir afin de créer des conséquences.
- Tower of Dawn est le pire livre.
- Cette série est meilleure que ACOTAR.
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Coeur de slush, Sarah-Maude Beauchesne
Chère Sarah-Maude Beauchesne, comment ça se fait que tout ce que tu créer, c'est merveilleux ? Donne-moi ton truc, je suis réellement sous ton charme. C'est grâce à ce premier roman que maintenant, je ne passe plus à côté de tout ce que tu fais. Ta plume est sensible et vraie, je me régale.
J'ai trouvé ce livre dans une librairie usagée du Plateau Mont-Royal, j'en avais pas mal entendu parler et je suis du genre à me lancer dans ce qui est populaire afin de comprendre le phénomène. Je dois avouer, j'avais un peu de préjugés avant de me mettre dans le roman, la couverture enfantine (bien qu'elle soit magnifique) et les couleurs pop me donnaient l'impression que j'étais un imposteur. Une madame trop vielle, sur le bord de lire une histoire cucul! Mon Dieu, j'avais tort. Cœur de slush, c'est aussi rafraîchissant que son titre. On y suit Billie une jeune adolescente de 17 ans, qui pour la première fois de sa vie tombe en amour, et découvre l'art de la séduction et de la sexualité. Entre naïveté, comédie et drame, on la voit maturer et apprendre ce que c'est de devenir tranquillement une jeune adulte.
J'ai lu ce livre pendant l'été, assise sur un banc à 40, à essayer de vendre des souliers! Je vais l'avouer, il n'y avait pas grand monde, et je l'ai fini en à peu près cinq heures, c'était addictif. Je ne pouvais pas le lâcher, je me suis énormément vu dans Billie lors de ma lecture, j'étais au même moment de ma vie, je commençais à me découvrir, et je m'en allais tranquillement vers ma première année de cégep. C'est comme si je plongeais dans ma propre adolescence, mais à travers les yeux de quelqu'un d'autre. J'ai trouvé ça léger et frais. Je trouvais vraiment que tout ce qui sortait de sa bouche était pertinent et me rejoignais d'une manière ou d'une autre dans mes propres expériences. Je suis tombé en amour.
L’écriture de Sarah-Maude Beauchesne est poétique et enrichissante. J'ai l'impression d'avoir trouvé le messie de la jeune fille adolescente tellement les thèmes abordés représentent la réalité de ces dernières. Ce livre est réellement profond et honnête, il est certes réconfortant, mais ne s'empêche pas d'être déchirant lors de certains passages.
Il m'a fait du bien, et le tome deux et trois sont déjà dans ma bibliothèque, ils n'attendent que d'être lus! Je l'ai prêté à ma mère, parce que d'après moi, peu importe l’âge et peu importe où on est rendue dans la vie, c'est une histoire avec laquelle on peut connecter! Si vous êtes un minimum tête en l'air et créatif, il vous plaira c'est certains.
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Kill the boy band, Goldy Moldavsky - Un hommage de la fanfiction
Je suis une grande liseuse de fanfiction, mes premières lectures et mes premiers brouillons, ont été publiés sur la plateforme Wattpad! J'y ai passé des heures à lire, du classique bad boy, au boy band tendance, sans oublier Harry Potter et le Labyrinthe, j'en ai vu de toutes les couleurs. J'aime profondément la fanfiction et ce qu'elle représente, elle permet à tous de s'exprimer, de s'insérer et de réécrire des passages de diverses histoires qui ont marqué l'imaginaire collectif. Encore aujourd'hui, il m'arrive d'en lire.
J'ai aussi eu ma passe de fangirl obsessive lorsque j’avais 12-13 ans, je m'y connais assez bien à ce sujet. Je sais que lorsqu'on est fan de quelque chose, il arrive qu'on y perde notre tête et qu'on crie à en perdre nos cordes vocales devant l'objet de tous nos fantasmes! Je pense que ces deux choses ont eu un rôle important pendant mon adolescence et m'ont permis d'échapper à ma petite vie plate. Kill the boy band, c'est un livre plein de couleurs! Je dois avouer que j'ai mis la main dessus parce que le titre m'envoûtait et sonnait comme un drame à côté duquel je ne pouvais pas passer! C'est du vrai bonbon.
Il y avait tout ce d'on j'avais besoin pour me replonger dans cette période de ma vie ; un boyband célèbre, du mystère et des jeunes filles avec les hormones dans le tapis. Il y a un livre que je conseille à tout lecteur de fanfiction, et c'est celui-là. Je le considère comme un hommage loufoque, rempli d'autodérision, qui pourra plaire à tout lecteur de ces dernières. Son ton comique rend l'histoire digestible et a réussi à marquer mon esprit, trois ans après ma lecture. Je me rappelle encore rire à gorge d'éployer à plusieurs reprises.
Les Ruperts, un One Direction réimaginé (je dois avouer que je voyais les Big Time Rush dans ma tête, aucune idée pour quoi) passe en ville. C'est le moment idéal pour Erin, Isabel, Apple et Sloane, des admiratrices de ces derniers, d'enfin les rencontrer ! Obsédé au point de rentrer dans leurs chambres d'hôtel et de faire les 400 coups pour avoir ce qu'elles veulent (des billets pour leur concert de thanksgiving), c'est avec aventure, comédie et drame que l'histoire nous emporte.
Je ne peux pas exprimer à quel point j'ai aimé ce livre, il me rend nostalgique! Il parle de sujet important et touchant tel que le consentement et la dynamique de pouvoir, sans pour autant nous faire morales! Il a son côté féministe qui me fait toujours plaisir, et est constitué d'un groupe divers chez nos personnages principaux avec une dominicaine (Isabel) et une Chinoise (Apple) qui parle de leurs expériences personnelles. Il m'a surpris et était vraiment original, je n'ai jamais lu quelque chose comme tels, et j'attends vos suggestions ! J'ai aimé me voir dans les personnages et m'imaginer faire les mêmes choses avec mon propre groupe d'amies. Kill the boy band, c'est un de mes plus grands coups de cœur et je le conseille à toutes les fangirl! Un vrai incontournable dans la comédie cynique.
#kill the boy band#goldy moldavsky#critique de livre#critique de lecture#booktube#booktok qc#tumblr français
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La série A Court of Thorns and Roses, Sarah J. Maas- Déçu ?
J'ai téléchargé l'application Tik Tok il y a un peu plus de deux ans, mais ce n'est que très récemment que j'ai été englouti dans ce qu'on appelle booktok, où les recommandations et références livresques sont en afflux. Je n'ai pas pu m'en échapper. Même encore aujourd'hui, je passe plus de temps sur les réseaux que le nez entre deux pages, honteux. Tout ça pour dire, que booktok a eu raison de moi, et j'en suis maintenant une victime officielle.
J'ai acheté les quatre premiers tomes de cette série à un prix modique, pendant que je me baladais sur Facebook marketplace. J'ai sauté sur l'occasion, tout le monde en parle... Et tout le monde aime les vanter. J'avais donc beaucoup d’appréhension. Je ne peux pas dire que je suis déçu, j'ai quand même pris le temps de les lire en un mois! Les personnages sont intéressants, l'univers aussi et ça rend rapidement addict une fois qu'on est plongé dedans. Je n'avais jamais lu de récit fantastique portant sur les fées et j'ai été servi. Si ce type d'histoire est votre tasse de thé, sautez-y à pieds joints, mais gardez votre point de vue critique, car la série est loin d'être parfaite.
Je vais vous faire une petite analyse tome par tome, mais ne lisez pas si vous ne voulez absolument aucune appréhension sur cet univers.
A court of thorns and roses (4/5): le premier. Je dois dire que c'était un peu difficile de me plonger dedans, je suis friande des contes de fées réimaginés, j'avais donc ce point qui me motivait. J'aimais bien les références de la belle et la bête, les personnages ne me tapaient pas vraiment sur les nerfs, et j'étais curieuse de ce qui pouvait arriver. Le point négatif, la fin. J'ai trouvé qu’elle était bâclée, et le vilain de l'histoire est digne d'un cartoon des années 2000. J'ai aimé que les actions du personnage aient des conséquences, j'ai aimé y voir un progrès et je dois dire que c'était léger et simple. Pour ma première fois dans un monde de fée, je dois dire que c'était très bien.
A court of mist and fury (4,5/5) : le deuxième. Maas à la fâcheuse tendance de me faire détester ses personnages un tome plus tard, je trouve que parfois ce n'est pas assez travaillé et ça donne l'impression que le seul et unique but est de faire avancer l'histoire. J'ai aimé les nouveaux personnages qu'elle nous a fait connaître, dans ce cas-ci Mor est mon coup de cœur. J'aime aussi la tournure que prend cette série, elle enrichit le monde fantastique déjà établi. L'action était à son comble, et comme l'opinion populaire, il est d'après moi le meilleur tome de cette série. Et cette fin, quelle fin épique! J’avais le troisième tome sous la main, je me suis directement plongé dedans.
Petit divulgâcheur, attention : Je ne vois pas Rhysand dans ma soupe, loin de là. Il est certes un personnage pertinent, avec une histoire approfondie, mais je me fous un peu de sa relation avec Feyra, c'était amusant au début, mais rapidement lassant, je ne peux plus entendre le mot ''Mate'' j'en ai fait une surdose! Il a aussi des tendances un peu malaisantes de mâle toxique qui m'ont fait rouler les yeux plus d'une fois.
A court of wings and ruins (2/5): le troisième. Il faisait plus de 700 pages et même là, j'ai trouvé qu'il m'en fallait plus. Mon plus gros problème avec Maas, c'est qu'elle ne peut pas laisser ses personnages célibataires, tout le monde doit avoir sa fin heureuse et son partenaire. Ça gâche tout, j'ai eu l'impression qu'il n'y avait aucune conséquence tout au long du roman, et que tout le monde allait en ressortir intact. Décevant, surtout pendant une guerre ! Je m'attendais à plus dans cette conclusion!
Petit divulgâcheur, attention :
Amren est une entité qui ne vient même pas de ce monde, c'était vraiment nécessaire de la mettre en couple ? Ça aurait pu être l'occasion parfaite d'inclure un personnage asexuel. Je le dis comme ça ...
A court of frost and starlight (3/5): le quatrième. C'est un gaspillage d'argent, il regroupe seulement 200 pages dans lesquelles rien de pertinent ne se passe. S'il vous intéresse, j'opterais pour une option moins coûteuse (comme l'acheter usagé ou en version kindle) ou tout simplement une option gratuite en le louant à la bibliothèque de votre coin. Malgré tout, j'ai bien aimé, pour une fois cette série m’a donné le temps de souffler et d'avoir une fin qui me convient. C'est un peu comme une fanfiction officielle.
Pourquoi je ne vais pas poursuivre cette série ?
C'est très simple, je n'aime pas et je n'ai aucune empathie pour les personnages de Nesta et Elaine. Je vous donne ma parole, je les hais. Et j'ai le droit... c'est de la fiction! Je n'ai pas envie qu'on me donne une rédemption forcée qu'elles ne méritent pas, leurs personnalités et histoires ne m'intéressent pas. Pour moi, leurs gestes et leurs attitudes ne m'ont tout simplement pas plus, et ne sont pas pardonnables. Je n'ai donc pas vraiment envie d'en savoir plus, malheureusement.
En conclusion, j'ai bien aimé. Est-ce un nouveau classique ? J'imagine en quelque sorte qu'il marque l'imaginaire collectif, donc oui. Est-ce une œuvre incroyable sans aucun défaut ? Non, loin de là. Les romans sont teintés de clichés et de tendances de la fantaisie. Par contre, les personnages sont intéressants, l'histoire tient en haleine. Je mentirais si je disais que ce n'est pas divertissant. Je crois que ça vaut la peine si vous voulez vous plonger dans l'univers de SJM, mais personnellement ce n'est pas ma série préférée de cette dernière.
#acotar#a court of thorns and roses#sarah j maas#sjm#critique de livre#critique de lecture#booktok#booktube#booktubeqc#tumblr français
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Catwoman, Sarah J. Maas : Diversifié ?
Sarah J. Maas est une des auteurs jeunes adultes les plus proéminentes des dernières années, dès qu'elle pond un roman ce dernier est certain d'avoir sa place sur la liste des best-sellers. J'ai lu la majorité de ses œuvres; sa série Throne of Glass et les 4 premiers tomes de A Court of Thorns and Roses. J'ai aussi entendu toutes les choses qu'on lui reprochait : le manque de diversité dans ses romans, le mâle alpha toxique et, sans oublier les personnages avec une sexualité différente qui sont quasiment inexistante. Malgré tout, j'ai bien aimé ces derniers, c'était facile à lire et ça me permettait de me plonger dans un nouvel univers, je dois avouer que je les ai dévorés! Mais je n'ai pas pu m'empêcher de me questionner tout au long de ma lecture, de relever les nombreux passages qui me rendaient mal à l'aise et de détester sa tendance à forcer des couples qui n'ont pas lieu d'être.
Je marchais à reculons avant de me lancer dans cette histoire, je ne suis pas spécialement connaisseuse de l'univers DC, et de partir du monde fantastique habituelle me faisait un peu peur, mais je voulais absolument me mettre à jour dans ma bibliothèque et dans son registre. Et contre toute attente, Catwoman est devenu mon préféré de toutes ses œuvres confondus. Je suis réellement impressionné. Je l'ai reçu en cadeau à Noël par mon co-animateur de mon podcast Les Mordus et amoureux, Zachary. Sans le savoir, il m'avait pris l'édition de collection avec affiche, bonus et signature de l'auteure (j'ai fangirlé un peu, c'est quand même Sarah J. Maas!) En plus, je dois dire que le livre est sublime, autant la couverture que le dessous (il nous réserve une petite surprise). Tout était fait pour qu'il monte de plus en plus dans mon estime.
Je dois avoir lu ce dernier en trois jours environ, il est court et il va droit au but. En plus, il nous offre la perspective de nos deux personnages principaux ; Catwoman et Batwing! Il n'y a pas de passage lent, tous les chapitres finissent sur un petit suspense (c'est bien dur de ne pas le lâcher)! En plus, tous les personnages sont travaillés, et ont une histoire bien à eux, je dois dire que j'ai eu de l'empathie pour presque la majorité de ces derniers et je voulais plus que tout que mon héroïne en ressorte grandie et gagnante! Et enfin, pour une fois il y a de la diversité, et cette dernière n'est pas forcée. Luke, comme dans les comics, est l’enfant de deux parents venant de la République démocratique du Congo, il mentionne plusieurs fois dans le récit les difficultés d'être noir à Gotham et d'être simultanément traité avec respect. On y parle d'injustice raciale, comme le traitement des autorités et les répercussions qui suivraient si le public découvrait que leur héros bien aimé est un homme noir.
En plus, nous pouvons y voir plusieurs personnages homosexuels et bisexuels, tels que Harley Quinn et Poison Ivy! Bien évidemment, ce ne sont pas les seuls acteurs de la diversité, elle est parsemée un peu partout dans le roman, et n'est jamais traitée comme une blague ou simplement comme une façon de faire avancer l'histoire. J'ai aussi énormément aimé la relation qui se développe tout au long de l'histoire, pour une fois elle n'est pas toxique, et pousse les personnages vers le haut.
S'il y a un livre de Sarah J. Maas que je recommande, c'est bien ce dernier !
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