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dad!Ghost part 4 1 | 2 | 3 | 4
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just-wanna-them · 3 months
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dad!Ghost part 3 1 | 2 | 3 | 4
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dad!Ghost part 2 1 | 2 | 3 | 4
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just-wanna-them · 3 months
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dad!Ghost part 1 1 | 2 | 3 | 4
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just-wanna-them · 5 months
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biker!dad!Ghost
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just-wanna-them · 2 years
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18+ Iwaizumi Hajime x reader pt 2
Ce x reader est traduis par mes soins, la version original se trouve au compte ci-dessous  
@queen-pudi​
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I don’t say meow
Tu avais fait le tour de la pièce pendant environ 10 minutes en essayant de planifier ton prochain mouvement. Tu avais une idée de ce pour quoi il venait mais tu avais encore des doutes. Je veux dire pour autant que tu saches, il pourrait venir ici pour tu dire qu’il était dégoûté de ce qu’il a vu et qu’il ne voulait plus jamais te parler !
C’est un peu irrationnel mais ça pourrait quand même arriver ! Honnêtement, aussi fous que tous les scénarios que tu avais imaginé, ils ne pourraient pas te distraire du résultat le plus réaliste et le plus effrayant de tous : il ne ressent pas la même chose et tu perds ton ami. C’était plus que suffisant pour te mettre au bord des larmes.  
Décidant de te couvrir avec un survêtement afin que tu puisses attendre et voir comment cela se passe, tu t’asseyais sur le canapé, attendant anxieusement son arrivée.  En vérité, tu te préparais à tout. Essayant de te ressaisir pour ne pas craquer devant lui.
Enfin, tu entendis frapper à la porte. Tu t’es figée, incapable de rassembler le courage de bouger de ta place. Sachant qu’à la seconde où tu ouvrirais la porte, rien ne serait pareil que ce soit pour le meilleur ou pour le pire. Un autre coup vient de la porte.
Maintenant ou jamais
A contrecœur, tu te diriges vers la porte, la main posée sur la poignée. Tu prends une profonde inspiration pour te ressaisir et ouvres la porte pour révéler Iwaizumi.  En costume, avec les 3 boutons du haut de sa chemise habillée défaits révélant un peu de sa poitrine, te menaçant de juste finir le travail et de révéler le reste. Il a l’air de s’être précipiter pour arriver ici et cela a procurer un léger battement dans ton cœur.  
Putain il avait l’air magnifique  
En remontant tes yeux vers son visage pour ne pas avoir l’air de baver, tu t’es éclairci la    gorge.  
« Hey Iwaizumi qu’est-ce qui t’amène si tard ? » dites-tu, en essayant de ne pas laisser   transparaître ta nervosité. Iwaizumi se moqua de ce que tu étais si manifestement en train de mettre en place. Vous saviez tous les deux pourquoi il était ici, mais c’était mignon de voir à quel point tu essayais d’agir en toute innocence.
« Eh bien, tu sais que je passais juste un dîner avec mes collègues, je m’amusais quand j’ai reçu le meilleur message de ma vie et que j’ai décidé de venir voir ce que faisait ma petite vache », dit-il, la confiance dégoulinant dans sa voix alors qu’il te regardait vers le bas te faisant vaciller sous son regard intense.    
« Eh bien, il n’y a pas de vache ici, alors peut-être que tu devrais aller regarder dans un champ loin d’ici, d’accord ? Ok, bien, contente de t’avoir vu !  Au revoir ! Fait attention à toi ! » Tu es immédiatement allé fermer la porte, mais avant que tu ne puisses le faire, il a poussé la porte et s’est laissé entrer.  
« Non, non, non, je suis à peu près sûr que je suis là où je dois être, n’êtes-tu pas d’accord ? » 
« Eh bien, cela dépend du pourquoi tu es ici ... » murmuras-tu, n’osant pas rencontrer ses yeux car tu avais trop peur de perdre ta détermination. Soudain, tu entends des pas se diriger vers toi avant de s’arrêter à quelques centimètres de toi. La main atteignant ton menton alors qu’il te forçait à le regarder.
« Je pense que nous savons tous les deux pourquoi je suis ici bébé » et avec cela, il t’attira pour un baiser brûlant, le genre qui te rends faible aux genoux et qui menace ton cœur de sortir. Tu as failli fondre dans le baiser jusqu’à ce que tu te retires, stupéfaite de ce qui venait de se passer.
Ce n’était certainement pas ce à quoi tu t’attendais.  
Il te regarda confus, l’inquiétude remplissant ses yeux à la pensée qu’il avait mal comprise.    
Décidant de laisser tes émotions te guider, tu l’avais tiré vers le bas et l’avais amené pour un baiser. Cette fois, ressentant toutes les émotions que tu avais eues au cours des dernières années, en t’assurant qu’il ressentait chacune d’entre elles. Il a rendu la pareille avec autant de passion, si ce n’est plus. Plus besoin de dire des mots pour savoir à quel point vous vous aimiez.
Lentement, ses lèvres ont commencé à descendre jusqu’à ta mâchoire, déposant de tendres baisers jusqu’à ton cou, laissant des morsures d’amour et des marques dans son sillage. « Mienne » murmura-t-il, les lèvres se frayant un chemin jusqu’à ton oreille. « Toute mienne » lâcha-t-il, te mordant légèrement l’oreille dans le processus, te faisant gémir légèrement.    
Tu avais forcé ses lèvres à revenir vers les tiennes alors que tu allais le tirer à nouveau, dans l’espoir de ressentir à nouveau l’euphorie que tu avais obtenu de son baiser original.  
Soudain, il s’éloigna, le coin de ses lèvres se dessinant en un sourire narquois alors qu’il regardait ta tenue.  
« Tu sais que je suis venu ici avec comme promesse une mignonne petite vache et pourtant je suis accueilli par une belle femme en survêtement gris ? »
Merde, tu espérais qu’il oublierait ça
Rougissant abondamment, tu as murmuré un demi-remerciement avant de lui prendre la main et de l’amener sur ton lit. Toujours en rougissant, tu lui avais dit d’attendre là pendant que tu es allé dans la salle de bain. En prenant une profonde inspiration, tu retiras ton survêtement et   te fixas, te donnant une dernière fois du courage avant d’ouvrir légèrement la porte.
« Fermes les yeux s’il te plaît ! » t’es-tu exclamée même sans le survêtement et cette lingerie   étriquée, tu te sentais toujours au chaud partout comme si tu allais exploser.  
« Ce n’est pas comme si je ne l’avais jamais vu avant chérie ! » son rire remplissait l’air pendant que tu roulais des yeux. C’est peut-être vrai, mais cela ne change pas la légère gêne que tu ressens à l’idée qu’il le voie en personne.  
« S’il te plaît, fais-le ! » Tu l’as supplié, tu l’as entendu glousser avant d’entendre un petit ok. Ses mains couvrant son visage pour prouver qu’il ne triche pas.  
Tu t’es frayée un chemin à l’extérieur de la salle de bain, attrapant les oreilles sur la commode et les plaçant pour compléter le look. Tu te tenais entre ses jambes, marmonnant pour qu’il les garde fermés pendant que tu prenais ses mains et les plaçais nerveusement sur tes hanches. Finalement, tu lui avais donné la permission de regarder.
Il ouvrit les yeux et fut accueilli par le spectacle le plus paradisiaque qu’il ait jamais vue. A vrai dire, il ne savait pas où regarder, entre les jarretières autour de tes belles cuisses. Au   haut délicat qui ne couvre presque rien sur tes seins mais qui couvre encore trop à son goût. Jusqu’à ton visage saupoudré de la plus jolie nuance de rose qu’il ait jamais vue. Il y avait tellement de choses à regarder mais heureusement, il avait le temps.    
« Alors, ça te plait ? » dis-tu avec la voix étouffée alors que tu frissonnais légèrement à son contact.  
Il a commencé à placer des baisers de tes cuisses jusqu’à ta poitrine avant de te retourner   sous lui pour qu’il puisse commencer par le haut. Les lèvres fantôme sur les tiennes, à quelques centimètres de l’endroit où tu les voulais vraiment.  
« Et si je te montrais » et avec cela il a encore une fois volé tes lèvres dans un baiser enflammé. Cette période a été remplie de tant de passion qu’elle t’a laissé la tête sous le choc.  Ses mains se déplaçaient le long de ton corps, ne sachant pas où s’installer.  Enfin, il posa ses mains sur tes seins, les pétrissant à travers ton haut avant de les plonger.  La main chaude enveloppant ton sein alors que tu gémissais tranquillement contre ses lèvres.
Il a de nouveau traîné ses lèvres le long de ton corps avant de s’installer sur ton autre sein. Ses yeux fixaient les tiens alors qu’il prenait ton mamelon dans sa bouche. Ton dos se cambrait de plaisir alors que tu étais submergée par les sensations que sa bouche et sa main te procuraient.
Sa main effleura à nouveau ton corps avant de trouver prise entre tes cuisses. Ton souffle s’est interrompu alors que tu sentais ses doigts appuyer contre tes plis vêtus. Il pouvait sentir à   quel point tu étais mouillée à travers ta culotte, ce qui le faisait gémir de satisfaction d’être celui qui causait cela.
Dans un mouvement rapide, il tira ta culotte sur le côté et plongea 2 doigts en toi, tes hanches ont cédé à l’intrusion soudaine. Il faisait de lent vas et vient, te laissant t’habituer à la sensation avant d’accélérer le rythme. Son pouce dessinait des cercles sur ton clitoris pour ajouter plus de plaisir intense.
Ta voix devenait plus forte à chaque poussée, criant pour lui, espérant la douce libération que tu savais qu’il serait capable de te donner. Juste au moment où tu étais sur le point de jouir, il s’est éloigné. Tes gémissements ont été remplacés par des gémissements de plainte, prêts à l’insulter jusqu’à ce que soudainement tu le sentais arracher ta culotte et poser ses lèvres là où se trouvaient ses doigts.
« PUTAIN HAJIME » tu as crié, les hanches se mouvant contre son visage alors qu’il te léchait l’intimité comme si c’était son dernier repas. Des mains agrippaient tes cuisses au point où tu savais que cela laisserait des marques, mais tu t’en fichais.  C’est juste un autre rappel que tu lui appartenais.
Sa langue entrait et sortait de toi, sentant tes murs se serrer autour de lui à chaque poussée.  Ses lèvres se sont installées sur ton clitoris alors que ses doigts s’enfonçaient à nouveau en toi dans un rythme effréné, s’enroulant à l’intérieur de toi à chaque poussée.   « JE VAIS JOUIR » cela l’a amené à aller plus vite qu’il ne le faisait déjà, voulant t’amener sur ses doigts et sa langue.  
D’une dernière poussée, tu avais soulevé tes hanches, les mains tirant sur ses cheveux alors que tu atteignais ton plus haut point. Ta vision se replissait de blanc alors que la tension dans ton estomac s’est finalement relâchée.   Iwaizumi n’a jamais arrêté ses soins, chevauchant ton orgasme tout au long de ton orgasme alors qu’il buvait chaque goutte. Une fois que tu t’es calmée, il a relevé son visage, ton essence dégoulinait le long de son menton alors qu’il avait l’air aussi heureux que toi. Il enleva sa chemise à la hâte et se débarrassa de son pantalon. Tes yeux tombaient sur le renflement de son sous-vêtement, c’était en quelque sorte plus impressionnant que tu ne le pensais, ce qui était déjà très très impressionnant.   Il s’est moqué de toi, la main serrant son renflement alors qu’il se penchait pour te mettre au-dessus.  Avec un sourir narquois, il te regarda avec domination alors que tu levais les yeux vers lui en attendant des instructions.   « Tu sais quoi faire bébé » Tu n’avais pas besoin d’autres instructions, tirant joyeusement son sous-vêtement pour révéler son membre palpitant, l’eau à la bouche par cette vue. Tu l’avais pris d’un seul coup, t’étouffant légèrement alors qu’il frappait le fond de ta gorge. Tu levais les yeux vers lui, sa tête rejetée de plaisir alors que sa main se dirigeait vers tes cheveux.
Putain sait-il même comment ne pas avoir l’air si parfait ? Tu balançais ta tête de haut en bas, creusant tes joues afin de t’adapter à sa taille.  Avec la façon dont tu allais, il n’allait pas durer longtemps. Ne voulant pas encore jouir, il t’a tirer vers le haut, les lèvres s’écrasant sur les tiennes alors qu’il te retournait sur le dos.   Aligné avec ton entrée, il te regarda, à la recherche de toute sorte d’hésitation, mais ne rencontra que la délicieuse vue de tes jambes écartées, les mains grandes ouvertes tâtonnant ta poitrine en le regardant, la luxure remplissant ton visage.  
C’était suffisant pour qu’Iwaizumi plonge en toi, ne te laissant pas le temps de t’habituer à sa taille avant de s’enfoncer en toi à un rythme brutal.  Ta chatte dégoulinait sur sa bite alors que tes murs se ressaieraient si étroitement autour de lui.
Tu te sentais si bien qu’il se demandait comment il avait pu rester si longtemps sans ressentir cela. Tes seins rebondissaient alors qu’il s’écrasait en toi, la bouche grande ouverte car le seul son que tu pouvais gérer était quelques gémissements essoufflés.
Tu le regardais, ses yeux étaient plissés de concentration alors que la sueur coulait sur son visage. Des grognements quittèrent sa gorge alors qu’il se concentrait sur le fait de vous amener tous les deux à votre apogée. Tu l’as tiré vers le bas et avais attrapé ses lèvres. Vos langues dansaient l’une avec l’autre.
Il a soulevé tes jambes jusqu’à ta poitrine, frappant plus profondément qu’il ne l’avait fait avant de vous faire tous les deux hurler de plaisir. Vous étiez tous les deux à votre point final.
« Je vais- MERDE- Je vais jouir » gémissais-tu, à peine capable de prononcer les mots.  Iwaizumi savait déjà que tu étais proche juste par la façon dont tu te resserrais autour de lui.  
« Tu veux jouir ? », demanda-t-il, en poussant ses hanches aussi fort qu’il le pouvait. Tu hochais la tête avec enthousiasme, espérant qu’il te laisserait faire. Ses doigts ont soudainement tourné autour de ton clitoris, provoquant un cri de ta part.
« Alors jouis, salope » Cela t’a fait crier son nom. Tes ongles lui griffaient le dos pendant que tu atteignais ton apogée. Il a continué se mouvoir en toi avant d’arrêter soudainement tous les mouvements, peignant tes murs en blanc.    
Il s’est lentement retiré de toi, les yeux attirés par la façon dont sa semence s’est répandue en dehors, ce n’était pas intentionnel mais putain la vue lui a donné envie de te remplir autant   que possible.  
Il est allé à la salle de bain et est revenu avec une serviette, te nettoyait doucement. Tu frissonnais à la sensation du chiffon qui touchait tes plis. Le silence remplissait l’air alors qu’il nettoyait tout, tes yeux ne quittaient jamais son corps, craignant que si tu clignais des yeux, tu te réveillerais et que tout cela aurait été un rêve.
Il se réinstalla sur le lit, te rapprocha de lui alors que ses bras caressaient de haut en bas les tiens.
  « J’espère ... J’espère que tu sais que je ne veux pas que ce soit une chose unique. Je t’aime   y/n » souffla-t-il, alors qu’il semblait calme, tu pouvais entendre son rythme cardiaque s’accélérer, attendant ta réponse.
Tu avais ris de sa nervosité, te penchant pour placer un doux baiser sur ses lèvres.
"Je t’aime aussi Hajime »
Tous deux détendus, le sommeil vous submergeait, tous les deux orné de ces sourires niais. Les cœurs se contentent de pouvoir enfin exprimer leurs sentiments.
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just-wanna-them · 2 years
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Hajime Iwaizumi x reader pt 1
Ce x reader est traduis par mes soins, la version original se trouve au compte ci-dessous  
@queen-pudi​
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Bitch I’m a cow
Maintenant, tu ne dirais pas que tu détestais ton corps ou ton apparence. Tu avais eu tes moments où tu t’apercevais sous un mauvais angle, tu t’arrêtais, puis tu te regardais pendant des heures en analysant chaque partie de ton corps et en pensant à ce que tu aimais et n’aimais pas, mais qui ne l’aime pas de temps en temps.
Ce qui est important, c’est la façon dont tu gérais ces moments. Que ce soit par le biais de soins personnels, de distractions, aération d’esprit, ou simplement d’être avec la personne qui t’est chère et de se rappeler qu’aucun de ces problèmes n’a d’importance. Pendant que tu parcourais toutes ces méthodes, ta préférée baigne dans l’attention et le confort de ton meilleur ami, Iwaizumi Hajime.
Avant même que tu ais la pensée dans ta tête, il était déjà en route avec tout ce dont il avait besoin pour te faire sentir comme la personne la plus spéciale au monde, et ça a marché. C’était difficile d’être contrarié quand il te faisait sentir comme la personne la plus importante au monde.  
Ce qui rendait si difficile d’arrêter de l’aimer. C’était un si grand ami et tu avais toujours estimé son amitié, mais au cours de ces dernières années, tu avais commencé à le regarder sous un nouveau jour. Au début, c’était innocent, mais ensuite tu avais commencé à penser à quel point il serait bon d’un petit ami, ce qui s’est rapidement transformé en divertissement à l’idée d’un petit ami de qualité avec toi.  
Tu avais essayé de l’ignorer au début, mais chaque fois qu’il était à proximité, tu devenais nerveuse contrairement à avant. Ses compliments ont apporté à ton visage une chaleur que tu n’avais jamais ressentie auparavant. Ses petites attentions te faisaient retenir ton souffle. Sa voix te faisait t’accrocher à chaque mot, peu importe l’importance. Mais ce n’est à ça que les problèmes se sont arrêtés
Non, non, non, ça s’empire ...
Peu de temps après, tu avais commencé à ressentir des choses que tu n’avais jamais ressenties auparavant. Chaque fois qu’il disait ton nom, une petite partie de toi se demandait ce que ce serait de l’entendre le crier. Quand il t’agrippe et se presse contre toi quand la foule se fait trop grande, respire dangereusement près de ton cou, tu imaginais ce que ce serait pour lui de te tenir comme ça contre un mur en te pénétrant avec une force que lui seul pouvait retirer.    
Et ces putains de bras
Les mots ne peuvent pas décrire la vue que tu as de lui dans un t-shirt musclé te fait.  Honnêtement, les mots ne peuvent pas décrire efficacement l’effet global qu’il a sur toi en général. Il était tout ce que tu voulais et plus encore...
. .. Mais étais-tu prête à compromettre une amitié incroyable pour cela ?          
Cela valait-il la peine de risquer l’amour de ta vie en t’excluant complètement parce qu’il ne te voyait pas et ne pourrait jamais te voir de la même manière ?
En fin de compte, tu avais décidé que ce n’était pas le cas. Tu avais donné la priorité à ton amitié plutôt qu’à ton désir et même si tu n’étais pas heureuse à 100%, c’était mieux que de ne jamais l’avoir dans ta vie.   Ce qui rend en ce moment tellement pire. Tu vivais un de ces moments et tu ne voulais rien de plus que d’être tenu et aimé par Iwaizumi.  Malheureusement, cependant, dans un effort pour te calmer, tu avais limité tes contacts avec lui. Pas de beaucoup, mais assez pour t’aider à te sortir de l’amour et assez pour travailler sur la façon d’agir avec de lui sans brûler sur place.  C’était dure, mais tu savais que ce serait bénéfique pour tout le monde à long terme.
Du moins tu pensais En ce moment tu en a par-dessus. Les distractions ne fonctionnent pas, tes amis ne répondent pas et tu es à court de motivation pour prendre soin de toi-même.  Dans l’ensemble, tu es un peu en fouillis.   Frustré, tu avais mis de côté ta fierté et décidé qu’il était temps de sortir les gros canons, littéralement, je veux dire avais-tu vu ses bras tout simplement immaculés. Sortant ton téléphone, tu allais lui envoyer un texto malgré ta fierté qui te crie dessus. Décidant de ne pas lui faire savoir que tu es contrarié dès le départ, tu avais décidé d’être décontracté
Hey, Iwa ~ Je me demandais si tu voulais sortir ce soir ? Nous pouvons regarder ce film Godzilla vs Kong dont tu parlais ! Presque instantanément, tu avais reçu une réponse, mais pas celle
Que tu voulais
Désolé, je ne peux pas, j’ai ce dîner d’affaires obligatoire tu te rappelles ? Oh oui, ça m’a échappé. J’espère que tu t’amuseras ! 💛 À vrai dire, tu ne t’en souvenais pas du tout, mais c’était peut-être aussi à l’époque où tu te demandais combien de temps il lui a fallu pour piquer chaque mèche de cheveux pour obtenir exactement la même chaque jours.   En entendant un bruit fort, tu sortis instantanément de ta pensée
Tu sais si tu veux, je peux venir juste après ? « Toujours si attentionné », dis-tu en souriant doucement
Non, ça va ! Nous pouvons le faire une autre fois ! En décidant que c’était un échec, tu passais à la réflexion sur d’autres façons de te sentir mieux. En t’affalant sur ton lit, tu rebondissais légèrement et tu t’installais confortablement pour peut-être faire une sieste pour tout oublier.  En fermant les yeux, tu entendis un petit fracas provenant de ton placard. En allant vérifier, tu l’ouvris pour voir qu’une boîte est tombée.  En allant la ramasser, tu apercevais le contenu et immédiatement la chaleur commence à se précipiter sur ton visage
Peut-être à un autre moment, il y a des mois, tu faisais défiler tik tok et as vu le triste célèbre costume de vache à la mode ...
... Et peut-être l’avais-tu acheté...
Honnêtement, c’était juste de la lingerie imprimée vache, mais quelque chose à propos était si ridiculement sexy que tu l’avais acheté.  Les oreilles et tout.
Une fois qu’il est arrivé, tu l’avais essayé et c’était aussi ridicule que tu le pensais.    Cependant, tu avais l’air bien dedans, et te voir dedans t’a fait te sentir beaucoup plus confiante. Tu n’as presque pas voulu l’enlever.
En te souvenant de ce que tu avais ressenti à ce moment-là, tu décidas qu’il est temps de le remettre. Mettant les pièces avec soin comme si elles allaient se casser par une mauvaise manipulation.  Enfin, tu mets les oreilles et la queue et tu marches vers ton miroir.
Mince, tu avais l’air bien
Il y avait juste quelque chose à propos de cette tenue stupide qui t’a donné envie de traverser la vie avec une putain d’attitude. C’était tellement bon.
La confiance et le moral se sont soulevés et tu avais décidé que tu devais documenter cela.  En prenant ton téléphone et en t’ajustant, tu avais pris quelques photos pour capturer ta beauté.  Chacun devient de plus en plus sexy que le précédent.  
À ce moment-là, tu te demandais ce que Hajime penserait s’il te voyait là-dedans. Que penserait-il s’il te surprenait dans cette position ?  Sur tes genoux, le bras gauche tendu et te soutenant devant pour aider à faire dépasser ta poitrine. Aimerait-il même cela ?
En décidant d’obtenir un deuxième avis, tu envoyais un texto à tes autres amis pour obtenir leurs opinions. Tu leur fait confiance et ils trouveraient probablement cela aussi drôle que toi.
Ajoutant tes 3 meilleures photos, tu envoyais un sms rapide à ton ami    
Tu pensais qu’Iwaizumi aimerait ça ? Satisfaite de ta sélection, tu appuyais sur Envoyer, puis tu t’allongeais sur le lit en attendant leur réponse. Quelques minutes s’écoulent avant que tu n’entendes le bruit de ton téléphone en sachant que c’était ton ami prêt à se moquer de toi et à te demander où tu avais même trouvé une telle tenue. Mais ce texte n’est jamais arrivé, au lieu de cela, tu avais reçu une notification plus terrifiante.
Haletant, tu avais presque jeté ton téléphone à travers la pièce après avoir vu qui t’avait réellement envoyé le sms. Nouveau message de Iwa🥺💛 «Putain, non, non, non, non, non, non » répétais-tu sans cesse, le cœur menaçant de sortir de ta poitrine pour te laisser faire face à ce gâchis. Essayant de décider comment la jouer.   Tu pourrais faire semblant de plaisanter, mais le croirait-il ? Tu lui avais évidemment demandé ce qu’il en penserait. Pas d’autre façon de le déformer. Décidant qu’il était préférable de voir ce qu’il avait envoyé afin de penser à une issue, tu avais rassemblé ton courage et pris ton téléphone.  En rougissant, tu relisais le texte 100 fois en essayant de savoir si tu le lisais correctement.   Je pense qu’il y aurait le besoin de le voir en personne pour décider de ça Tu étais terrassée
Qu’est-ce que cela signifiait ? Est-ce qu’il t’aime en retour ?  OH MON DIEU EST-CE QUE C’EST DU FLIRT ?? Tu n’avais pas eu le temps de trop réfléchir car ton téléphone a reçu 2 messages de plus
Je pars tôt, je ne peux pas être là dans 15 min
... Garde les oreilles
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just-wanna-them · 2 years
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18+ Akitaru Obi x fem reader
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@altisee​
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A long night
« Capitaine Obi ! » Tu avais crié comme une enfant attirant l’attention de ton capitaine depuis son bureau, regardant Shinra et Arthur, qui se battaient dans ta chambre. Au départ, vous cherchiez tous les trois un film à regarder pour le week-end à venir. Cela a commencé lorsque Shinra a pris un film avec un  regard perplexe sur son visage, et Arthur s’est interposé, demandant si l’histoire parlait d’un héros ou d’un chevalier. Bien sûr, Shinra a insisté sur le fait qu’il s’agissait d’un héros, donc leur stupide combat pour savoir lequel est le mieux suivi.
Obi est entré dans la pièce encombrée vêtu de son maillot noir habituel et de la partie supérieure de sa combinaison orange nouée à la taille. « Qu’est-ce qui ne va pas ? » levant les yeux vers toi, qui était debout sur un tabouret en essayant d’atteindre le haut de ta commode.  « Capitaine ! Ces gosses ont jeté le film au-dessus de mon placard », en regardant les deux qui n’essayaient même pas de t’aider à l’obtenir. Arthur croisa les bras devant. « Mais ce n’est pas un bon film s’il ne parle pas d’un chevalier. »
« Hm ? »
« Un Roi Chevalier ; ce n’est pas bon s’il ne s’agit pas d’un Chevalier Roi. » Arthur s’est immédiatement corrigé.
« D’accord, sortez maintenant. » Obi a placé ses mains sur leur dos et les a poussés à l’extérieur de ta chambre. « J’espère que le capitaine Shinmon te battra à mort plus tard dans ton entraînement ! » tu avais crié avant qu’Obi ne ferme finalement la porte.
« C’est qui l’enfant maintenant ? » Il gloussa, te regardant, essayant toujours d’atteindre le sommet avec ton petit cadre. Il aimait la vue ; avec ton bras tendu comme ça, le contour de tes courbes parfaitement visible. De ta poitrine à ta petite taille jusqu’à tes hanches qui rebondissent à chaque fois que tu marches sur la pointe des pieds.
Il doit admettre que la pensée lui a traversé l’esprit à plusieurs reprises maintenant. Quel serait le goût de tes lèvres, comment ton corps se sentirait contre les siens, ou pleurerais-tu son nom. « Obi, tu ne vas pas m’aider ? » tu as fait une moue mignonne, le regardant avec ces yeux de chiot. Ses pensées s’arrêtèrent quand tu l’avais appelé, et il était reconnaissant de l’interruption ; sinon, il obtiendrait certainement une érection de ce qu’il imaginait.
« Attention », en tenant ta main pour t’aider à descendre du tabouret. Il a fallu quelques secondes à Obi avec sa taille pour atteindre le film que tu essayais désespérément d’attraper. Il haussa un de ses sourcils en le regardant. « Titanic ?  Sérieusement ? et ils pensaient qu’il s’agissait d’un héros et d’un chevalier ? » tu roulais des yeux. « Je ne sais pas comment leur cerveau fonctionne. »  Tes rires remplissaient la pièce, mais ils ont été rapidement remplacés par le bruit du craquement du bois. Le tabouret ne pouvait pas supporter le poids du capitaine, ce qui le faisait glisser et se cogner contre ton tiroir. L’impact a été assez fort pour renverser la boîte ci-dessus, atterrissant sur l’homme qui se frottait la tête après la chute.
Face à un Démon Infernal, l’interrupteur de réponse de combat ou de fuite de ton corps s’active rapidement. Mais dans ce cas, lorsque ta cachette secrète atterrit parfaitement sur les genoux d’Obi, tout ton corps se fige. Oh mon Dieu. Il t’a fallu quelques secondes pour réaliser ce qui se passait avant de finalement faire un geste. S’agenouillant à ses côtés et repoussant les jouets dans le conteneur comme des malédictions qui se sont échappées de la boîte de Pandore.
Obi était stupéfait. Vous êtes amis depuis des années, et il ne savait pas que tu avais ce genre de truc en toi. Pour lui, eh bien, même Hinawa est d’accord que tu avais, autour de toi, cette innocence. Il s’est toujours senti coupable de te convoiter à cause de cela. Il ne pouvait même pas faire un geste vers toi parce que cela donnerait l’impression de s’en prendre à toi. Mais tu n’es pas aussi innocente qu’il le pensait ; Je n’ai plus besoin de me retenir alors.
La pièce est devenue silencieuse, avec seulement le cliquetis de tes appareils sexuels pouvant être entendu. Obi te regardait juste nettoyer à la hâte le désordre, et tu suppliais le dieu Soleil de remonter le temps, même pour quelques instants. Le silence tu tuais, et c’est Obi qui l’a brisé.  En regardant les menottes, le vibromasseur, le fouet et les plugs qui étaient éparpillés sur le sol, il a demandé : « Depuis quand es-tu dans ce genre de chose ? "
Depuis que tu avais commencé avec la 8e. Tu étais occupé à t’entraîner pour améliorer ta pyrokinésie, de sorte à ne pas être à la traine derrière la troisième génération. Les rencontres étaient hors de l’équation, mais cela ne signifie pas que tu ne voulais pas t’envoyer en l’air.  L’achat était plus efficace lorsque tu réalisais que tu devais investir du temps dans une soirée juste pour avoir quelqu’un dans entre tes jambes. Tu connaissais ton corps mieux que n’importe quel étranger de toute façon, et le simple fait de penser à la façon dont tu devais leur montrer comment tu aimais le faire est éprouvant.
Les mots ne sortiront pas de ta bouche, ne sachant pas par où commencer. « Étais-tu si désespéré pour une bite ? » Il se leva et se dirigea vers la porte. Tu ne pouvais pas rencontrer son visage, craignant d’y voir de la déception ou du dégoût. Tu pensais que c’était gentil de sa part et de tu éviter l’embarras d’avoir à expliquer jusqu’à ce que tu entendes le clic de la serrure.
Tu avais regardé par-dessus tes épaules, mais tes yeux se sont écarquillés quand ils ont rencontré le gonflement proéminent qui s’est formé dans le pantalon d’Obi. Il est... dur ? Tu l’avais regardé, et il s’est penché pour te prendre le menton en coupe. « C’est ta faute si je suis dur, tu sais. »  Attrapant l’un de tes bras, il t’a tiré vers le haut. « Assieds-toi. » Dit-il en regardant le lit bien fait, recouvert de draps blancs.
Tu t’es assise sur ton matelas docilement, plaçant la boîte que tu tenais dans le coin de ton lit alors que tes pieds s’agitent sur le sol à cause de la nervosité.  Obi est-il fou ? Il a attrapé une chaise, la plaçant à moins d’un mètre pour s’asseoir devant toi. Voir à quel point le renflement entre ses cuisses te faisait rougir.
« Montres-moi alors », ordonna-t-il. « Montre-moi comment tu utilises ces jouets pour te faire du bien. » Ton corps tremblait à la pensée qu’Obi te regarde alors que tu sentais la chaleur commencer à se former entre tes jambes. Au début, tu pensais qu’il n’était pas sérieux, mais il a commencé à baisser son propre pantalon, libérant finalement la douleur de sa longueur lancinante.
« Vas-tu te déshabiller, ou dois-je te déshabiller ? » Tu as avalé. Il était généralement gentil et doux quand il te parlait, et maintenant des mots sales sortent de sa bouche, mais tu ne détestais pas ce côté de lui. En fait, tu l’aimais. Tu avais commencé à déboutonner ta chemise, révélant tes seins à peine recouverts d’un tissu en dentelle. Tu t’es gracieusement levé, glissant, en un mouvement fluide, vers le bas, ton short avec ta culotte qui avait une couleur plus foncée pour avoir été trempée par tes sécrétions.
Assis, le haut de ton corps est maintenant partiellement recouvert par ta chemise déboutonnée et ton soutien-gorge avec un bas totalement exposé. C’était une combinaison mortelle, une vision érotique qui rendait la bite d’Obi plus dure alors qu’il commençait à la branler lentement.
Tu pouvais sentir son regard pointu sur ta peau, envoyant des frissons à ton corps. Tu avais attrapé un gode en silicone de la boîte, ouvrant sensuellement tes jambes. Déplaçant sa vue de ta poitrine arrondie, suivant ta main gauche alors qu’elle glissait sur l’une de tes cuisses, lentement jusqu’à ce qu’elle atteigne tes plis, les écartant et laissant le bout de tes doigts jouer sur ton noyau luisant.
Ton corps nu lui est exposé. Il pouvait voir ton appétissant petit morceau et l’humidité de ton centre. Augmentant la vitesse de ses coups, Obi grogna à la scène obscène qu’il regardait.
Tu avais positionné la tête arrondie du jouet en silicone près de ton entrée déjà humide, en insérant lentement la pointe dans ton ouverture, puis en la retirant à nouveau. Répétant le mouvement plusieurs fois, assez pour lubrifier le jouet avec ton sexe. Tu avais gémi en   l’insérant entièrement mais lentement dans ta fente. « Oh merde, » dit Obi sous son souffle en regardant le gode disparaître à l’intérieur de toi, branlant sa propre longueur plus rapidement.
Tu avais commencé à le déplacer fermement et plus profondément dans tes plis jusqu’à ce que tes hanches commencent à bouger avec le rythme. Tu voulais fermer les yeux par l’extase qui tu remplissais, mais ils étaient fixés sur la bite dure d’Obi. Voir qu’il s’amuse en te regardant te rapprocher de ton point culminant.
Il t’a vu saisir le drap blanc d’une main alors que tu te martelais à plusieurs reprises l’intérieur, frottant contre tes murs. Maintenant, il était jaloux de la façon dont cette chose peut te faire gémir de plaisir. Il voulait te touchais davantage, goûter à ton bourgeon trempé, en imaginant que c’était lui à l’intérieur de toi à la place du gode. Se caressant plus vite, il gémit à sa propre libération ; une partie de son sperme blanc s’est répandue sur ton ventre pendant que tu te raidis, tombant sur le dos, pleurant de ton propre orgasme.
Obi se leva, respirant fortement alors qu’il marchait vers toi, regardant ton corps affaibli allongé sur le lit. Sans permettre à ton cerveau de se remettre de ton plaisir, tu avais frissonné alors qu’il sortait le jouet de ton entrée sensible, le jetant sur le côté. « Nettoie » Tenant sa bite qui était mouillée de sa propre semence.
Tu t’es levé docilement, sentant le liquide chaud couler sur le côté de ton ventre. En voyant son membre de plus près, et malgré l’éjaculation plus tôt, il était toujours énorme. Tu avais attrapé la base de sa longueur avec ta main droite, et tu avais senti sa bite se contracter lorsque la pointe est entrée dans ta bouche. « Putain. »  Tu l’avais entendu dire sous ses respirations lourdes alors que tu l’entourais avec ta langue. Il attrapa l’arrière de ta tête, la guidant le long de sa longueur.
Obi pourrait simplement pousser sa bite à l’intérieur de toi et en finir avec, mais il ne veut pas que cela se termine rapidement. Il a attendu longtemps, pour qu’il puisse enfin te goûter.  Il s’assurera que ton corps se souviendra à chaque fois que tu le verras et le supplieras de te baiser.
Tu t’es éloigné pour remplir tes poumons d’air, « Obi, Je- » il t’a embrassé. Te donnant suffisamment de temps pour te retirer si tu ne le voulais pas, et quand tu ne le voulais pas, il a placé sa main derrière ta tête pour approfondir le baiser. Il te lécha les lèvres, demandant la permission d’entrer, et tu donnais une petite ouverture qui fut immédiatement explorée par sa langue chaude.
Il a rompu le baiser pour que tu puisses enfin reprendre ton souffle pendant qu’il tournait son attention vers ton cou. Traînant sur les côtés avec sa langue, remontant pour grignoter tes oreilles, provoquant un doux gémissement s’échappant de ta bouche. « Je ne savais pas que tu avais ça en toi », a-t-il dit, « Si je l’avais fait, je l’aurais fait il y a longtemps. » tes joues étaient chaudes. Obi a toujours voulu te baiser, et tu n’es pas indifférente.
Il a effleuré tes mamelons déjà dressés avec son pouce et s’est penché pour les taquiner avec sa langue, te faisant gémir. « Si tu ne veux ça, je peux arrêter. » Tu avais secoué la tête. « J-Je ne déteste pas ça », murmuras-tu doucement à toi-même, formant un sourire sur son visage.
Il a poussé ton dos contre le matelas moelleux, déplaçant une partie de son poids alors qu’il s’asseyait sur tes cuisses, ce qui permettait à sa bite de pousser ton noyau. « Merde, T/P, tu es trempée », Il a commencé à dessiner des cercles sur ton clitoris avec son pouce. « Alors, à qui pensais-tu pendant que tu t’envoyer en l’air sur ces jouets ? » Il t’a souri. « T-toi », gémissant alors qu’il insérait ses doigts dedans. « Je pensais à toi, Obi. »  Il apprécie la façon dont tu tremblas alors qu’il te baise avec ses mains, voyant tes cuisses trembler de plaisir.
« Tu m’appelles toujours par mon nom quand nous sommes seuls », grogne-t-il de désapprobation. Tu avais gémi quand il a enlevé ses doigts rapidement, laissant tout le liquide sortir de ta fente. « Akitaru, s’il te plaît, plus », avais-tu supplié.
Il écarta tes jambes et pressa tes genoux près de ta poitrine. « Ne t’inquiète pas, je ne m’arrêterai pas. Je te baiserai jusqu’à ce que tu pleures mon nom encore et encore. » Il plana son corps au-dessus du tien, garnissant ton entrée de sa hampe, poussant finalement toute sa longueur à l’intérieur. L’étirement était douloureux, mais le plaisir intense te submergeait.
Ton corps tremblait chaque fois qu’il se glissait complètement à l’intérieur de toi. Une main qui fait ventouse sur la poitrine, l’autre qui tient tes cuisses pour qu’il puisse continuer à se mouvoir en toi. Son ampleur était trop difficile à supporter, te faisant gémir plus fort. « Akitaru, tu es tellement- » tu haletas. « ah, putain, tu es si bon. »
Ton esprit devenait vide alors que tu te laissais dominer par lui. Tu n’avais même pas besoin de lui dire comment tu voulais le faire ; il était si bon. À chaque poussée frappant cet endroit sensible, il sentait que tu serrais tes murs autour de sa hampe, gémissant son nom alors que ton orgasme affaiblissait tout ton corps. Il a continué à te baiser jusqu’à ce qu’il ressente son propre spasme, retirant sa bite et relâchant sa charge dans ton estomac.
Le son de ses respirations lourdes se mélangeait en parfaite harmonie avec tes propre halètements. Il s’est allongé à côté de toi, et vous êtes tous les deux restés immobiles pendant quelques minutes avant qu’il n’attrape le mouchoir sur ta table de chevet pour nettoyer sa semence.
« S’il n’y avait pas eu l’agitation plus tôt, cela ne serait pas arrivé », avais-tu dit en soulevant ton corps. « Je suppose que je devrais remercier ces deux- »
Tes mots se sont envolés lorsque tu avais vu Obi prendre un bandeau pour mettre sur les yeux et les menottes sortirent de la boîte.
... Ou pas ?
« Quoi ? On devrait pas passer par le reste aussi, non ? » souriant avec un air espiègle dans les yeux. Tu avais avalé.  Ça va être une longue nuit, hein ?
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just-wanna-them · 2 years
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18+ Bully! Sukuna x reader
Ce x reader est traduis par mes soins, la version original se trouve au compte ci-dessous 
@sodium-noodlez​
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Tu détestais Sukuna.
Tu détestais la façon dont il te traitait de pute devant tous tes camarades de classe, même si tu n’avais même pas encore perdu ta virginité. Tu le détestais lorsqu’il t’a « accidentellement » fait trébucher dans le couloir ou renverser sa boisson sur toi. Lorsqu’il ne t’appelait que « stupide salope » et faisait en sorte que tous ses larbins t’appellent comme ça aussi. Lorsqu’il volait ton sac à quand tu partais aux toilettes et que tu le trouvais, un peu plus tard, flottant dans une fontaine à proximité.
Mais surtout, tu détestais ce qu’il te faisait ressentir.
Tu devais être une masochiste ou quelque chose comme ça, parce que même à travers le tourment sans relâche de Sukuna, Tu ne pouvais pas t’empêcher de glisser un doigt sous l’ourlet de ta culotte à l’idée qu’il te fasse perdre ta virginité. Tu ne pouvais pas empêcher la façon dont ton cœur bat plus vite quand il te heurte délibérément, en pensant à la façon dont tu pourrais sentir son odeur de pin musqué à tel point il était proche.  
Et cela te rends furieuse.
~
Tout vient en crescendo, un jour à la cafétéria où tu faisais la queue pour le déjeuner, avec un plateau en métal à la main, fredonnant à un air aléatoire dans ta tête. Alors que tu t’asseyais pour manger, un frisson te parcours le corps lorsque tu sentis le souffle chaud de quelqu’un danser le long de ton cou.
« Eh bien, ce n’est pas la salope préférée de tout le monde. »
Tu ne prenais même pas la peine de tourner la tête pour savoir à qui appartient cette voix aussi grave, serrant simplement les dents et continuant à regarder ta nourriture. Un sourire fou se répand sur le visage de Sukuna alors qu’il prend place à tes côtés.
« Oh alors on est muette maintenant ?  Qu’est-il arrivé à ‘part’ ou 'laisse-moi tranquille’ » Se moque-t-il dans une imitation aiguë et agaçante de ta voix.  
Ton visage est chaud, si chaud qu’il te donne le vertige. Tu ne réponds pas, choisissant plutôt de te concentrer sur le bavardage bruyant de tes camarades autour de toi en vain.
« Aw allez, j’aime au moins quand tu lutte, chérie. »
Ton souffle se coupe et tu attrapes ta cuillère pour prendre une bouchée de gâteau au chocolat, en espérant, non, en priant que cela te distraira de la proximité de Sukuna.
« Oh tu n’as pas besoin de manger ça, qu’est-ce que tu essaies de faire, de prendre du poids ?   Je veux dire, je suppose que toute ta graisse va dans ton cul de toute façon ... »  Sukuna rit et tu n’as même pas fait attention à la grande main qui a glissé sous ta jupe jusqu’à ce que tu la sentes serrer ta peau.
C’est à ce moment-là que la ligne a été franchie. C’est à ce moment-là que l’embarras s’est transformé en rage pure.
La colère obscurcit ta vision, et te n’étais pas pleinement consciente de ce que tu faisais ou pourquoi tu te lèves, jusqu’à ce que tu attrapes le plateau de nourriture en métal et tu le fracasses de toutes tes forces, sur la tête de Sukuna, le son du métal contre l’os résonne dans la pièce, amenant toutes les voix à un silence complet. La première chose qui te vient à l’esprit est de crier, de crier « Pourquoi ne peux-tu pas me laisser tranquille, pourquoi m’humilier ? Pourquoi m’as-tu donné ces sentiments ?!! » Mais au lieu de cela, tout ce qui sort est un fort « VA TE FAIRE FOUTRE SUKUNA ! »
Il y a un long moment de silence alors que tu regardes la nourriture et un filet de sang couler le long des cheveux roses  de Sukuna, ainsi que sur l’arête de son nez, tes yeux ont rencontré les sien, rouge vermillon sévères. La peur ronge ton corps pendant que tu regardes le visage de Sukuna ; sa peau tatouée et plissée, un ricanement furieux et ses yeux semblent briller d’une envie de « meurtre ». Tu te ressaisis rapidement, marmonnant un désolé silencieux alors que tu t’inclines en t’excusant avant de saisir ton sac et de t’enfuir ; le bruit de tes chaussures d’uniforme scolaire qui claquent contre le sol et résonne dans la pièce.
~
Tu avais passé toute la journée à éviter Sukuna, à arriver en retard en classe pour être la seule à utiliser le couloir et même à te cacher dans les toilettes. Sukuna n’a jamais été physiquement violent avec toi, mais tu n’étais pas sûr que cela resterait vrai plus longtemps, et tu n’étais pas sur le point de le risquer.
Finalement, la cloche a sonné, signalant la fin des cours et tu avais regardé les enseignants et les élèves sortir de la classe, te laissant derrière pour nettoyer la pièce. Tu étais en service de nettoyage aujourd’hui, et même si tu voulais te précipiter à la maison en toute sécurité de jusqu’à ton lit, sécher signifiait une visite au bureau du principal, et c’était quelque chose que tu ne pouvais pas te permettre.
Alors que tu commençais à balayer sans réfléchir, tu avais regardé le coucher de soleil s’épanouir sur les nuages, la pièce est d’une teinte de poisson rouge orange. Soudain, tu entendis un grand bruit de porte claquer derrière toi, interrompant tes pensées et te faisant presque laisser tomber ton balai.
« Je t’ai trouvé salope »
Tu te retournes rapidement pour faire face à Sukuna, tenant ton balai fermement contre toi alors qu’il se rapprochait de toi.
« R-reste loin S-S-Sukuna » Ta voix te trahit à tel point tu étais absolument effrayée, ta propre timidité te faisant rougir.
« Ou quoi ?  Tu vas me frapper avec un balai ? » Sukuna rit.  Ses cheveux sont humides, probablement à cause de l’utilisation des douches du gymnase de l’école, et il se rapprochait, t’emprisonnant et t’empêchant toute chance de t’échapper.
Il est maintenant juste contre toi, tes seins à quelques centimètres de sa poitrine. Ta respiration est devenue irrégulière maintenant, et tu commençais à surchauffer ; consciente de son souffle sur ta peau ou de la façon dont il te domine absolument.
« Tu le faites exprès, n’est-ce pas. » dit Sukuna humblement, et tu devais détourner le regard de côté pour simplement pouvoir respirer.
« Regarde-moi quand je te parle salope. » Une grande main vient saisir ton visage et te forcer brusquement à te tourner vers lui. Il te garde comme ça, mais ce n’est pas comme si tu t’éloignais non plus ; tu te perds dans ses yeux rouges profonds.  
« Je-quoi ? "
« Ne joue pas à la l’imbécile, salope, j’ai vu la façon dont tu te penches devant moi ou comment tu te promènes dans l’école en balançant tes hanches comme une putain de pute, tu me demandes pratiquement de te baiser » bouillonne Sukuna.
L’avais-tu bien entendu ?
Ton incrédulité, ton esprit vierge tourne en rond à ce stade. Ton souffle se coupe lorsque tu réalises qu’une de ses mains était passée sous ta jupe et glissait maintenant de longs doigts dans tes sous-vêtements.
« Regarde-toi, tu ne résiste même pas, je savais que tu voulais ça. Tu dégoulines même. »
Tu détestais à quel point il avait raison, mais Tu ne pouvais pas nier la piscine d’excitation qui grandissait à la base de tes sous-vêtements. Lentement, Sukuna glisse un de ses longs doigts à l’intérieur de ta culotte mouillée, ton intimité se serrant instantanément contre l’intrusion étrangère. Tu gémis quand il enroule son majeur sur sa paume ; frappant des endroits où tu ne pouvais que rêver de te frapper toi-même. Deux mains tremblantes s’agrippent à l’uniforme de Sukuna pour rester stable pendant que tu bougeais tes hanches sur sa main ; essayant désespérément de tirer la meilleure partie du plaisir.
Le sang se précipite vers tes oreilles lorsque tu le sentais commencer à déboutonner ta chemise blanche de ton uniforme, ouvrant le vêtement et plongeant l’une de ses mains dans ton soutien-gorge pour retirer un sein.
« Putain t’es si belle. »  marmonne Sukuna, juste assez bas pour que tu puisses entendre et que tu puissies sentir son souffle chaud sur ta peau avant qu’il n’attache ses lèvres sur ton mamelon dur. Sa langue s’aplatit, roulant sur ta pointe et tourbillonnant autour de ton auréole, rapide et rugueuse jusqu’à ce que tu gémisses.
« Ah ~ Kuna ! »
Ton dos se cambre immédiatement à la stimulation de tes seins et au plaisir du doigt de Sukuna, massant ton point g ; sa paume frottant agréablement contre ton clitoris. Tu pouvais faiblement entendre les bruits que ton sexe faisait du fait du doigté incessant de Sukuna. Il faisait chaud, tout était chaud ; ton visage, ton ventre, les mains de Sukuna et sa bouche mouillée sur toi. Tes jambes tremblaient et tu pouvais tenir debout, mais juste au moment où tu étais sur le point de venir, Sukuna s’est éloigné et a arrêté tous les soins sur ton corps.
De grosses larmes chaudes obscurcissaient ta vue et commençaient à couler sur ton visage rougi par le plaisir qui t’avait été arraché. « Non non non non non s’il te plaît j- je je serai bien s’il te plaît ne t’arrêtes pas. » Tu avais essayé d’attraper la main de Sukuna et de la ramener vers toi, mais il l’a rapidement balayé.
« Tu penses que je vais te faire jouir aussi facilement quand tu as fait cette merde là-bas ? » a craché Sukuna, te faisant renifler et te mordre la lèvre de honte. Tu es trop occupée à essuyer tes larmes et à renifler la morve qui menaçait de couler de ton nez pour remarquer que Sukuna avait commencé à déboucler sa ceinture. Tu es ramenée, par le bruit du métal qui claque au sol et tu te taisais immédiatement en regardant Sukuna abaisser suffisamment son pantalon et son boxer pour que sa bite jaillisse.
Ton imagination ne lui a pas rendu justice.  La bite de Sukunas était grosse, gagnant à la fois en longueur et en circonférence. Une veine épaisse décorait le côté, le haut était orné d’une pointe rouge en colère qui fuyait de liquide pré-éjaculatoire.
C’est alors que la réalisation te frappe comme un obus de bombe, brisant ton brouillard
Oh merde je vais perdre ma virginité. Dans une salle de classe.
« Sukuna j-je ne sais pas si c-c’est une bonne idée je- » ta voix tremblante est coupée d’un halètement quand Sukuna passe sous ta jupe et déchire ta culotte en deux ; le matériau déchiqueté atterrit sur le sol.
« Dommage, il s’avère que je m’en fiche. » sort Sukuna d’une fausse voix empathique, et il aligne déjà sa pointe avec ton intimité dégoulinante. Juste la pression contre ton trou est exaltante et s’il n’y avait pas ces deux mains fortes de chaque côté de tes hanches qui te maintiennent en place, tu aurais tortillé tes hanches.
Soudain, Sukuna s’enfonce avec un grognement, et avant que tu ne puisses laisser échapper un cri, l’une de ses mains vole pour couvrir fermement ta bouche, étouffant ta voix.
« C’est serré, détends-toi un peu, tu veux ? » Il rit et continue de s’enfoncer jusqu’à ce que tu rougisses contre son bassin. Tu sursautes quand tu sens quelque chose appuyer contre ce qui ressemble être un mur à l’intérieur de toi, ce qui doit sûrement être ton col de l’utérus. L’étirement de tes murs collant autour de sa bite te coupe le souffle, et Sukuna gémit par la façon dont ta chatte se resserre pour tenter de repousser cette intrusion étrangère.
Sukuna est sur le point de se retirer pour bouger quand il remarque un filet de sang couler de ta féminité sur ses couilles, la réalisation de ce que cela signifiait le fait sourire.
« Merde tu es en fait une putain de vierge n’est-ce pas. »
Tu es trop perdue dans la douleur et le léger plaisir étranger pour prêter attention à la question, et il prend le silence comme un oui.
« Bien. »
Tu laisses échapper un cri quand il se retire et s’enfonce de nouveau en toi. Pour être juste, une partie de Sukuna lui dit d’y aller lentement, d’être plus gentil avec toi puisque c’était ta première fois. Mais de la façon dont tes murs collants chauds l’ont aspiré, et comment tu l’avais regardé, tu l’avais regardé comme si tu avais besoin de lui, lui a fait perdre le contrôle.
C’était vertigineux, la courbure de sa bite tapant contre ton point G, frottant contre tes parois vaginales chaque fois qu’il reculait ses hanches. La friction est incroyable et elle a rapidement transformé la douleur en plaisir. Il t’utilise comme un objet personnel, façonne tes entrailles et meurtrit ton col de l’utérus jusqu’à ce que tout ton corps se secoue avec sensibilité. Ses couilles claquent contre ton cul à chaque poussée et il rétracte ses hanches jusqu’à ce que la pointe sorte pour admirer l’éclat qui coule jusqu’à sa base avant de se remettre dans tes murs confortables.
« Je-kuna », avais-tu hoqueté, les larmes tombant librement de tes yeux à cause du plaisir que tu ressentais. À ce stade, tes jambes tremblaient et tu ne savais pas combien de temps tu pouvais rester debout, mais tes pensées étaient trop troubles pour former des mots.
Heureusement, Sukuna a compris le message, riant de ton incapacité à parler.
« Saute » a-t-il commandé, attrapant les deux cuisses alors qu’il te claquait sur le mur opposé, tes jambes s’enroulant solidement autour de sa taille. Ses yeux ont alors saisi à quel point tu le prenais bien - il a du mal à sortir avec la gourmandise de ta chatte. Il laisse échapper un délicieux gémissement à tel point que tu es chaude à l’intérieur. La nouvelle position te fait vibrer, sa bite s’enfonce maintenant plus fort en toi, touchant un endroit que tu n’avais jamais ressenti auparavant.
« J’ai trouvé n’est-ce pas » Il respire à travers un sourire et s’enfonce en toi avec vigueur. Et tu es sur le point de ne pas être d’accord avec lui, insistant sur le fait que la sensation est trop nouvelle et étrangère pour te sentir bien quand tout d’un coup ton corps commence à trembler et ta tête commence à se sentir floue.
Et soudain, Tu le sens. Ce dont tu avais entendu parler par des amis ou vu dans le porno.
C’est comme si tous les centres d’énergie de ton corps s’activaient en même temps et que tu restais complètement impuissante à la sensation de picotements d’extase enveloppant ton cerveau et ton estomac.
Tu ne savais pas comment lui dire que quelque chose se passe, pas quand le plaisir est trop immense respirant à fond. Mais il comprend, une fois de plus, les mots que tu avais essayé désespérément de communiquer.
« Fais-le salope. Jouis. Je vais te remplir, et si ça se renverse, je vais te le refouler. »
Tu es ramené à la réalité lorsque tu sentis une paire de lèvres sur les tienne, te ravie dans un baiser chaud et désordonné. Son premier goût de toi est affamé, désordonné et désespéré – sa langue explorant chaque centimètre de ta bouche. Le baiser s’est rompu avec un son pêcheur, un son humide entre vos lèvres, des respirations lourdes et des poitrines qui montent et tombent après. La prise de conscience que Sukuna vient de t’embrasser a été rapidement repoussée par la sensation de ton estomac se tordant en un nœud serré jusqu’à ce que la chaleur soit insupportable. Cela te consume en te conduisant sur la fin si vite que tu ne peux pas l’arrêter.
« Me-Merde, merde, putainnnn ~ » lache-t-il dans ton oreille, s’étouffant sur ses mots alors que ses hanches crachent à l’intérieur de toi, tu te remplissais de sperme chaud prendre à l’intérieur de ta chatte.  C’est si serré qu’un mélange de ta semence et de la sienne s’accumule, en anneau, à la base de sa bite.
« Huuh ...  Ça fait du bien.... Si chaud... » La chaleur de sa semence remplit ton estomac, c’est tellement addictif que tu souhaites que ce sentiment ne disparaisse jamais. Lentement, Sukuna se retire et te met sur le sol.  Tu es un putain de bordel, les yeux vitreux à cause de ton orgasme et deux doigts jouant avec le mélange de semence chaude collante qui coulait, formant une flaque sur le sol.  
« Merde, je t’ai baisé idiote n’est-ce pas. »
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18+ Benimaru Shinmon x fem reader
Ce x reader est traduis par mes soins, la version original se trouve au compte ci-dessous
@honeysatoru
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Beni est éméché.
Tu peux le dire parce qu’il ne peut pas arrêter de te sourire.
Il t’étouffe le cou et te pousse doucement contre le mur pendant que ses mains se dirigent vers ta taille. Il enfonce le bout de ses doigts dans ta peau. Tu peux sentir son souffle contre ton cou, chaud et lisse.
« Je veux te mordre », marmonne-t-il doucement. « Je veux te marquer et te clamer comme mienne. »
Ses mots te procurent des papillons à l’intérieur de ton estomac. Un gémissement bas s’échappe de tes lèvres.
« Beni ... » tu murmures doucement en te penchant vers lui. Son odeur familière t’enivre, le bois de santal et une sorte d’épice que tu ne peux pas identifier. Tu enroules tes doigts autour de son bras, le rapprochant à toi.
Benimaru attire naturellement l’attention de ceux qui l’entourent. Même s’il ne le veut pas, les gens l’ont toujours admiré. Il lui a fallu beaucoup de temps pour entrer pleinement dans son rôle, pour vraiment accepter son pouvoir, mais une fois qu’il l’a fait, il est devenu inarrêtable. Malgré tout cela, pour toi, il sera toujours ton Beni. Le même Beni qui volait des bonbons et te les apportait quand vous étiez enfants. Le même Beni qui a assommé quelqu’un froidement pour s’être moqué de toi à l’école.
Tu le regardes les yeux dans les yeux. Ses mains sont toujours sur ta taille, mais maintenant, vous vous balancez tous les deux lentement sur la musique. « Es-tu sûr de cela, bébé ? » demandes-tu, en inclinant la tête vers la foule derrière vous.
Beni se tourne pour les regarder puis hoche la tête. « Oui », murmure-t-il avant de t’embrasser.
Ses lèvres sont douces, et il t’embrasse profondément, enfonçant sa langue dans ta bouche. Cela te coupe le souffle et tu appuies tes mains contre sa poitrine.
Te le regardes, un doux sourire sur tes lèvres. « Dansons. » Tu entrelaces tes doigts avec les siens et le tires vers la piste de danse. Il sourit et te permet de le conduire dans la masse enchevêtrée de corps. Ils vous font place, et tu dois te mordre l’intérieur de la joue pour ne pas rire. Les expressions sur leurs visages sont absolument inestimables, en voyant leur précieux Jeune Maitre être conduit comme un chiot perdu.
La plupart d’entre eux n’ont jamais vraiment vu ce côté de lui ; et aucun d’entre eux ne l’a jamais vu autour de toi.
Il a toujours gardé ses cartes près de sa poitrine. Il a fait de son mieux pour garder votre relation privée, mais tu peux voir à quel point cela l’affectait. Tu le surpris toujours en train de te regarder pendant les réunions, ses yeux te suivant, presque affamés.
Comment personne ne s'en est aperçu, cela restera toujours un mystère.
Tu espionnais Konro à travers la pièce et il te fait un clin d’œil conscient. Bien sûr, Konro savait. Il l’avait compris avant même que tu ne t’en rendes compte par toi-même.
Alors que toi et Beni bougez au rythme de la musique, tu sentis un poids s’enlever de ta poitrine. Ces derniers mois ont été des tortures. Ne pas pouvoir le toucher quand tu voulais, ne pas pouvoir l’embrasser ou le tenir, tout cela parce qu’il ne voulait pas que les hommes de sa compagnie pensent moins toi, tu avais commencé à faire des ravages.
Beni se penche et t’embrasse à nouveau. « Je suis tellement désolé, mon amour », dit-il doucement.
Tu le regardes, les sourcils froncés. « Pourquoi ? » demandes-tu.
« Pour nous avoir gardés secrets pendant si longtemps », dit-il.
Tu tendis la main et pris en coupe son visage entre tes mains. « Tu as fait ce que tu pensais être juste, bébé. Et nous avons tous les deux accepté », lui rappelles-tu avec un doux sourire.
Son emprise sur ta taille se resserre et il te rapproche de lui. Tu peux sentir sa longueur dure pressée contre toi. « Je n’en pouvais plus, je voulais juste que tout le monde sache que tu es à moi », grogne-t-il.
La façon dont sa voix s’approfondit quand il dit mienne te fait frissonner. Il frappe sur quelque chose que tu ne pourrais jamais t’admettre, ce que tu avais toujours voulu : être sienne, être reconnu comme la sienne, pas seulement par lui, mais par tout le monde autour de vous. Tu avais vu la façon dont les hommes et les femmes le regardaient, et même si tu savais que Beni ne serait jamais infidèle, cela t’a quand même éviscéré de savoir que personne d’autre ne savait que tu lui appartenais et qu’il t’appartenait.
Il se penche et frotte ses lèvres contre ton oreille. Il grignote doucement ton lobe d’oreille, un petit sourire s’enroulant sur ses lèvres. « Dis-moi à qui tu appartiens », te murmure-t-il à l’oreille.
Tu le regardes, te rappelant de respirer. « Toi, Beni », murmures-tu sans hésitation ni doute. Tes joues brûlent et tu peux sentir la rougeur monter jusqu’à tes oreilles. Ton cœur martèle sauvagement à l’intérieur de ta poitrine ; on a presque l’impression qu’il va éclater à travers.
Il t’embrasse à nouveau, plus agressivement cette fois. « Et à qui est-ce que j’appartiens ? » demande-t-il, les yeux plissés sur toi.
Ta respiration se bloque dans ta gorge et tu regardes autour de vous. Les gens sont assez proches pour entendre votre conversation. Tu avales abondamment et le regardes.
Beni émet un son impatient au fond de sa gorge et fronce les sourcils. « À qui est-ce que j’appartiens ? » demande-t-il à nouveau.
« Tu ... tu m’appartiens », dis-tu doucement.
Un doux sourire fleurit sur son visage et il se penche sur toi, pressant son front contre le tien. « Bien », répond-il.
Une nouvelle chanson arrive, quelque chose qui vous oblige à ralentir tous les deux. Tu te retournes et ce qui te permet de mouvoir tes hanches, poussant ton cul contre lui.
Il plante ses mains de chaque côté de tes hanches et vous continuez tous les deux à danser. Il appuie un baiser contre ton cou avant de mordre légèrement sur ta peau. Tu halètes doucement lorsque ses dents entrent en contact avec ta chair, mais l’éclair momentané de douleur se transforme en plaisir alors qu’il aspire ta peau pour faire un suçon.
« Je veux tellement te baiser, bébé », te murmure-t-il à l’oreille.
Tu fermes les yeux et souries. « Ah oui ? Dis-moi ce que tu veux, Beni », dis-tu doucement. Tu pouvais sentir son érection pressée obscènement contre ton cul.
« Je veux fourrer ma bite en toi et te baiser jusqu’à ce que tu aies mal », dit-il.
Tu fredonnes avec appréciation. « Et où veux-tu me la mettre ? » demandes-tu, taquine.
« Tu veux vraiment savoir ? » demande-t-il.
« Dis-moi. »
Beni rit et son souffle provoque une vague frisson sur ta peau. « Je veux baiser cette douce petite chatte », dit-il. Il te retourne pour lui faire face et il se penche pour un baiser.
Tu entrelaces tes doigts avec les siens et le tires mais il ne bouge pas. Il incline la tête et te sourit méchamment.
« Où allons-nous, bébé ? » demande-t-il. Il te tire sur lui, te ramenant dans ses bras.
Tu te tenais sur la pointe des pieds, amenant tes lèvres près de son oreille. « Chez toi pour que tu puisses m’envoyer en l’air », murmures-tu. Tu appuies ta main contre sa poitrine et le regardes, battant des cils innocemment.
Beni enroule ses doigts autour de ton poignet et fredonne avec appréciation. D’un mouvement rapide, il te tire de la piste de danse et se dirige vers la sortie. La foule se sépare facilement, les yeux vous suivant tous les deux au fur et à mesure que vous vous éloigner.
Beni se retourne et te fait un clin d’œil avant de sortir dans l’air frais de la nuit.
Tu ne pouvais pas t’empêcher de sourire, au vu d’un grand sourire collé sur son visage.
~~~
Dans la chambre de Beni, il t’ordonne de te déshabiller. Il s’assoit sur le lit et te regarde, les yeux remplis de désir. Il touche sa queue à travers son pantalon mais il ne te quitte pas pour autant des yeux.
Lentement, de manière séduisante, tu enlèves tes vêtements, pièce par pièce. Permettant à ton corps de suivre un rythme naturel, tout en te balançant sur la musique qui se jouait à la radio.
Dehors, une légère pluie commence à tomber. L’odeur de la terre humide s’insinue dans la pièce, avec le léger clapotis des gouttes de pluie tombant sur la tôle au-dessus de vos têtes.
Beni balance ses jambes du côté du lit et commence à enlever ses propres vêtements. Ils tombent sur le sol, s’accumulant autour de ses pieds. Il se penche sur toi et caresse ta joue avec sa main, l’effleurant doucement avec son pouce. « Tellement belle », murmure-t-il avant de se pencher pour un baiser. « Je veux te goûter », dit-il. Il te guide jusqu’au lit et traîne le bout de ses doigts le long de tes cuisses. Tu te tortilles quand il arrive à ta chaleur. Il écarte doucement tes jambes, pressant de doux baisers contre l’intérieur de tes cuisses. Il presse ses lèvres contre tes plis avant de les écarter avec ses doigts. La première pression de sa langue chaude contre ton clitoris te fait rire et il lève les yeux vers toi, l’amusement dansait dans ses yeux.
« Garde les yeux sur moi, bébé, sinon je m’arrêterai », dit-il. Il garde son regard bloqué sur le tien pendant qu’il suce et lèche des cercles vertigineux autour de ton clitoris. Il glisse un doigt dans ton humidité et le pouce lentement à l’intérieur. « Tellement serré », marmonne-t-il. Il tord son doigt, à la recherche de l’endroit idéal pour te faire jouir.
Tu cambres ton dos et gémis, remuant tes hanches alors qu’il ajoute un autre doigt dans ton intimité.
« Tu es si gourmande pour ça, bébé », dit-il avec un sourire ironique. « Tellement jolie pour moi », dit-il avant de sucer, une fois de plus, ton clitoris dur.
Tes petits gémissements et soupirs remplissent les espaces vides de la pièce, ainsi que les doux son humides de ton intimité alors que Beni agite sa langue contre ton clito. Il enfonce ses doigts dans ta féminité, augmentant progressivement sa vitesse et te resserrant autour de ses doigts.
« S’il te plaît, Beni, s’il te plaît, baise-moi », gémis-tu avec impatience. Tu enroules tes doigts dans ses cheveux, en tirant dessus légèrement.
« Patience, bébé, tu auras ce que tu veux », dit-il. « Tant mieux pour moi », murmure-t-il. Il glisse ses doigts hors de toi et les lève. Ils brillent dans la lumière tamisée de la lampe. Tu regardes Beni utiliser cette même main pour branler sa bite tout en te souriant.
Tu écartes les jambes, faisant de la place pour sa charpente. Il met ses mains sous tes cuisses, en leur donnant une petite pression avant d’aligner sa bite avec ton intimité. Lentement, il se fraye un chemin.
Sa bite t’étire et te remplit. Malgré ton humidité, tu ressens toujours une légère brûlure alors qu’il enfonce sa longueur épaisse en toi.
Un doux gémissement s’échappe de tes lèvres alors qu’il s’introduit de plus en plus à l’intérieur de toi. Tu te sentais bourré, incroyablement pleine. Tu tendais la main vers lui, en t’agrippant à ses épaules. Tes jambes s’enroulent autour de lui alors qu’il commence à s’enfoncer en toi, fort et vite.
Beni glisse son pouce dans ta bouche. Tu commences à le sucer, en gémissant doucement. « Fait-le bien et mouilles-le pour moi », dit-il. Tu obéis immédiatement, et quand il retire son pouce de ta bouche, il le ramène à ton clito. Il frotte des doux cercles autour de ton clitoris pendant qu’il te baise.
Tu pouvais sentir ton orgasme grandir, cette sensation familière et chaleureuse, commençant dans le creux de ton estomac et se déployait lentement. Tu t’accrochais à Beni, les mains tentant de garder prise alors que tu jettes ta tête en arrière.
« Je suis si proche, Beni », gémis-tu.
« Tu te débrouilles bien, bébé. Veux-tu venir pour moi ? » demande-t-il.
Tu hochas la tête, le désespoir prenant le dessus. Tes parois se serrent autour de la queue de Beni, et tu gémissais bruyamment.
Beni continue à frotter ton clitoris et pendant que tu te sens venir, il se penche et t’embrasse. Le baiser est chaud et brûlant, et il mord ta lèvre inférieure. Tu enfonces tes ongles dans sa peau alors que ton orgasme te frappe enfin et gémissant dans sa bouche. Ton corps tremble et tu fermes les yeux.
Beni continue de te prendre pendant ton orgasme, ses hanches roulant dans un rythme régulier. Lorsque tu ouvres enfin les yeux, Beni te regarde, une expression douce sur son visage. Tu tends la main et pris en coupe son visage entre tes mains, en passant tendrement ton pouce sur ses pommettes.
Les hanches de Beni sont irrégulières et il ferme les yeux en venant. Tu sens sa libération te remplir, chaude et humide coulant entre les jambes. Il laisse échapper un doux gémissement et s’effondre contre toi, sa poitrine se soulevant. Tu enroules tes bras autour de lui et le tiens fermement.
Vous restez tous les deux sur le lit pendant quelques instants, les yeux fermés, juste en respirant.
« Beni, tu m’écrases », dis-tu, ta voix étouffée.
Beni soufflant et au lieu de se retourner, il s’enfonce encore plus profondément en toi. « Bien », dit-il.
Tu ris en enfilant tes doigts dans ses cheveux. « Mettons-nous au moins à l’aise sous les couvertures », dis-tu en lui frappant la poitrine.
Beni soupire profondément, mais il se retourne et descend du lit. Tu le regardes passer une main dans ses cheveux alors qu’il va dans la salle de bain pour chercher une serviette. Il revient et passe quelques minutes tranquillement à te nettoyer, puis il jette la serviette dans le panier avant de retourner au lit avec toi.
Une fois sous les couvertures, Beni se place contre toi, fermant les yeux. Tu caresses doucement les cheveux de son visage et les glisses derrière son oreille.
Vous êtes tous les deux allongés en silence, écoutant la pluie.
« Es-tu contrarié ? » demandes-tu.
Il ouvre un œil et te regarde. « Contrarié ? Non. Pourquoi le serais-je ? » demande-t-il.
« Eh bien, tout le monde le sait maintenant. Nous ne sommes plus un secret, bébé », dis-tu.
Beni soupire profondément et ferme les yeux. « Nous n’aurions jamais dû en être un en premier lieu », dit-il.
Tu souris et secoues la tête. « Nous avons tous les deux fait ce que nous avions à faire... pour le bien d’Asakusa. »
« J’aurais dû être assez confiant pour que tout le monde sache pour nous. Cela n’aurait pas dû leur être caché pendant si longtemps », dit-il simplement.
Tu t’arrêtes un instant, recueillant tes pensées. Tu pouvais sentir quelque chose se cacher derrière, quelque chose qui ressemble énormément à de la culpabilité.
« Benimaru. Regardez-moi », dis-tu doucement.
Ses yeux s’ouvrent et il te regarde.
« Je t’aime tellement, ça n’a même pas de sens. Et tu sais quoi, je me suis amusée à se cacher. Mais toi et moi savions tous les deux que ce ne serait pas comme ça pour toujours. Nous savions que nous finirions par le dire à tout le monde. »
Beni fronce les sourcils. « Mais nous n’en avons même pas discuté, je viens de... »
Tu te penches et le coupes avec un doux baiser. « Tu avais pris une décision. Et j’aurais pu dire non, mais je ne l’ai pas fait. Beni, tout va bien, tout le monde t’aime et ils te respectent. Leur montrer que tu es capable d’aimer quelqu’un... cela ne fera que les faire t’aimer davantage. »
Beni réfléchit pendant un moment, puis il te sourit. « Comment ai-je eu autant de chance ? » demande-t-il.
« C’est une question que tu devrais te poser tous les jours », taquines-tu.
Il rit et secoue la tête.
« Tu ne penses pas que quelqu’un nous a entendus sur la piste de danse, n’est-ce pas ? » lui demandes-tu soudainement.
Beni sourit. « Oh, ils l’ont certainement fait », dit-il, ne prenant pas la peine de cacher son sourire.
Tu gémissais et enfouissais ton visage dans tes mains.
« Ce n’était pas si mal, bébé. »
« Oh, c’était le cas », dis-tu.
Beni éloigne tes mains de ton visage et t’embrasse à nouveau. « Laisse-moi embrasser cette peine», taquine-t-il.
Vous riez et le laissez faire.
~~~
La fête a commencé à se calmer et les gens sortent du bar et retournent chez eux.
Konro aide au nettoyage avec certains des hommes de la compagnie.
L’un des hommes lève les yeux vers Konro, une expression consciente sur son visage.
« Dis-le simplement », dit Konro avec un soupir fatigué.
L’homme regarde Konro puis les autres hommes. « Nous savions tous, non ? »
Ils se regardent tous et éclatent de rire.
Konro ne peut pas s’en empêcher, il rit aussi. Il est juste heureux que Beni ne ressente plus le besoin de cacher son amour.
« Oui, nous le savions tous », dit-il.
Konro sourit aux hommes et envoie une prière silencieuse de remerciement.
L’un des hommes a l’air désemparé et il jette un coup d’œil aux autres hommes. « Vous savez quoi ? » demande-t-il.
Les hommes s’arrêtent tous et le regardent. Ils ont éclaté d’un autre éclat de rire.
Konro secoue la tête et sourit.
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