Le Knowtex Tumblr propose des mini-reportages et des interviews inédites des reporters de la communauté sur la culture, le numérique et l'innovation.
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Simplon.co inaugure son premier Summer Camp
Fin juillet, Simplon.co a inauguré son Summer Camp. L’objectif : offrir une vision globale de la programmation à de grands débutants et leur permettre de réaliser en trois jours un "clone" de Twitter. Les outils à dispositions : le langage Ruby et un Raspberry Pi pour chaque participant. À la barre, Andrei, assisté de Victor et d’Henri.

Alice est allée à la rencontre des sept premiers apprentis codeurs pour recueillir leur impressions à chaud.
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Buller, se balader, bavarder : Bobler crée un réseau social par bulles sonores
Depuis quelques semaines, le nouveau "réseau social vocal" Bobler est disponible sur le web et sur iPhone. Au croisement du son, de la géolocalisation et des communautés, cet outil a le potentiel pour devenir notre prochain mode d'interaction privilégié. Nous avons rencontré Marc-Antoine Durand et Pierre Brouder, ses créateurs.
Qu'est-ce que Bobler ?
Bobler est un "média social vocal". Il permet d'enregistrer et d'écouter des "bulles" (message audio de deux minutes maximum) et de les géolocaliser sur une carte. Pensé comme un nouvel outil de communication en parfaite adéquation avec les nouveaux enjeux de la mobilité et du multi-tasking, nous capitalisons sur les deux prochains moteurs du web : la voix et la géolocalisation.
Le son représente une réponse moins lourde et plus pertinente que la vidéo aux situations de mobilité auxquelles nous sommes de plus en plus confrontés ; la radio transporte beaucoup d'émotions et suscite un engagement très fort de l'interlocuteur. D'où notre volonté de remettre la voix au coeur de nos interactions sociales et de nos discussions.
La géolocalisation est apparue comme le moyen le plus adapté à notre utilisation grandissante du mobile, dans des expériences de plus en plus liées aux lieux que l'on traverse. Inspiré de Twitter, Bobler va plus loin que le simple flux linéaire d'actualités ("On Air" dans l'application) et propose de géolocaliser les contenus, pour favoriser la sérendipité des découvertes et des rencontres.
"Un projet contemporain c'est une situation : la conjonction du temps, espace, événement et d'une interaction, dans laquelle on partage un peu de soi-même"
La voix est très intime, et la radio pas très participative. Qu'avez-vous prévu pour amener les gens à s'emparer de Bobler?
Aujourd'hui les bulles sont essentiellement des commentaires d'exposition, des savoirs, des talents, etc ... En tout, ce sont plus de 5000 utilisateurs qui prennent la parole : des personnalités, historiens, sociologues, et bientôt des politiques.
Outre les documents utilisateur et les tutoriels sous forme de bulles, nous avons mis en place des partenariats avec des institutions (musées, ...) et des événements (D'Days, ...) pour booster l'appropriation de l'application par les utilisateurs.
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Silicon Sentier lance sa campagne de crowdfunding #cobatissons
Lever plus de 70 000€ avec une campagne de crowdfunding, c'est le pari que fait Silicon Sentier avec la plate-forme KissKissBankBank pour trouver les fonds d'aménagement de son futur "Grand Lieu d'innovation".

Pour comprendre les enjeux, Stéphane Distinguin, de faberNovel n'hésitent pas à évoquer l'histoire de La Cantine et du Camping ainsi que l'écosystème numérique qui pourra investir cet espace d'innovation.
Dans l'esprit de KissKissBankBank, ce projet reste dans l'esprit de tous les projets entrepreneuriaux. Vincent Ricordeau, CEO insiste sur l'importance de la communauté organisée autour ce projet.
Nicolas Buttin de Wiithaa dévoile de son côté, comment certains espaces du lieu pourront être aménagés avec du co-design et du recyclage de matériaux ("upcycling").
>> Le compte-rendu de la soirée de lancement en tweets & en images
>> La carte globale de la communauté réunie autour de #cobatissons
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Lancement du concours de photos "Les poubelles de la recherche"
Jusqu'au 30 juin 2013, l’association Doc en Stock met au défi les jeunes chercheurs. Elle organise Les Poubelles de la recherche, un concours de photographies prenant pour modèles les déchets de laboratoire.
Montre-moi ta poubelle et je te dirai quel chercheur tu es...
Le concours est ouvert aux doctorants et aux "postdocs" de toutes les disciplines. Les clichés seront originaux, ludiques et pédagogiques afin de dévoiler à un public large le monde souvent mal connu de la recherche.
"Des seringues de prélèvement aux capsules de café en passant par des tonnes d’articles… quels sont ces déchets qui peuplent les containers hautement sécurisées ou simples corbeilles à papier ? Que nous racontent les poubelles des labos sur la recherche qui y est menée?"
Upcycling : transformer les déchets de labo en stars de mode
À travers cette action, Doc en Stock apporte une prise de conscience sur l’implication environnementale que la recherche impose et propose de recycler les déchets en tant que top models de la culture scientifique.
Les photos devront être envoyées avant le 30 Juin (voir ce mode d'emploi) ; elles seront ensuite mises en ligne sur le site poubelles-recherche.fr et les internautes seront invités à voter pour leur œuvre préférée.
L’évènement se clôturera par une soirée d’exposition où les prix seront remis : un iPad pour la meilleure photo et un tirage grand format pour les 10 premiers. Rendez-vous sur poubelles-recherche.fr pour plus d'infos.
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#CeSoirJeSors : Quand les oeuvres sortent du musée
Pour la Nuit des Musées 2013, Omer Pesquer (MuzeoNum) et Samuel Bausson (Museum de Toulouse / Museomix) ont proposé un dispositif de médiation avec Twitter : #CeSoirJeSors. Retour d'expérience avec Omer.
En quoi consiste l'initiative "Ce Soir Je Sors" ?
Postée sur le groupe Facebook de MuzeoNum le lundi 13 mai, la proposition initiale vient de Samuel Bausson. Son constat de départ est le suivant : la Nuit des Musées est « propice pour impulser des liens à distance entre les visiteurs de nos musées ». Dans le même message, Samuel proposait plusieurs idées pour établir des « ping-pongs » entre les musées et leurs visiteurs. Au fil des échanges, le projet est devenu : « Quand les œuvres et les objets se décident enfin à sortir du musée pour une virée pendant la Nuit des Musées et se mettent à tweeter pour dire #CeSoirJeSors ... ». Le principe est un dérivé de celui des « chaines de tags » que l'on trouve sur Twitter, dont les plus connues sont les fameuses « remplacer un mot dans un titre de film par ... ».
Comment s'est passée l'opération du coup ?
Près de 100 contributions ont été recueillies sur le tableau créé pour l'occasion avec RebelMouse. Au long de la soirée, j'ai animé les échanges autour du hashtag pour que se produise une forme d’entraînement. L'effet viral est resté limité... mais si on prend pour repère les données fournies par Topsy sur 24h (pointage effectué le dimanche 19 mai à 14h30), nous avons un ratio de 14 % pour des tweets avec photos entre #ndm13 (hashtag officiel de la Nuit des Musées 2013) et #CeSoirJeSors et (653 tweets pour#ndm13 et 91 tweets pour #CeSoirJeSors) !
Qui a participé aux échanges #CeSoirJeSors ?
Ce sont principalement des "museogeeks" qui ont participé, des musées et même le compte officiel de la Nuit des musées. Quand on lit les messages, on voit très vite que les participants se sont pris au jeu. Une des participantes a indiqué à la fin qu'il « faudrait faire ça plus souvent ! ». Ce qui montre bien qu'il y a une attente pour des expériences de ce type.
Quelles seront les suites de cette expérience ?
Dans un premier temps, avec Samuel nous devons évaluer l'expérience en détail. D'autres actions sont certainement à venir. À suivre...
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Journées de Chamonix : 4 jours pour explorer les relations entre jeu et apprentissage
Du 21 au 24 mai ont lieu les JIES à Chamonix. Coordonnées par le Groupe Traces, ces journées de réflexion associant chercheurs et praticiens (médiateurs, enseignants) font suite à des rencontres organisées à l'ESCPI en 2011 sur le thème du jeu et de l'apprentissage.

Cette année, un grand jeu a été imaginé dans la ville de Chamonix. Développé par la Haute Ecole Pédagogique de Fribourg (Suisse), "l'Empire des Hyperplaneurs" permettra d’interagir avec l'ensemble des participants dans un contexte ludique et informel, tout en découvrant la ville. Pour connaitre les règles, il convient de suivre le blog dédié.
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La Paillasse à la Maker Faire UK : retour d'expérience de Thomas Landrain
Thomas Landrain, fondateur de la Paillasse, premier biohackspace français, était présent à la Maker Faire UK de Newcastle qui a eu lieu les 27 et 28 avril dernier.

Cette Maker Faire accueillait pour la première fois des bio-hackers. Parmi eux, Thomas, venu présenter les projets de la Paillasse. Thomas a également eu la chance de rencontrer un des « pères » de l'ADN, James Watson :) Il revient sur les moments forts de l'événement avec Charlène.
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Space Apps Challenge Paris : les temps forts
Le weekend du 20-21 avril 2013, la Cantine a accueilli la version parisienne du "Space Apps Challenge", un hackathon international piloté par la NASA. En 48h, 8 équipes ont imaginé des projets - plus audacieux les uns que les autres - préfigurant de nouvelles manières de vivre l'exploration spatiale au XXIe siècle.

1. Lancement au Camping
Une trentaine de participants se sont rassemblés le vendredi 19 avril au Camping pour développer les idées évoquées lors du Space Meetup (15 jours avant).
2. Voyage à travers le weekend
Le weekend a vu naître des projets très audacieux et a attiré l'attention. Le Vinvinteur est ainsi venu à la Cantine tourner son émission du 5 mai sur l'espace, interviewant Michel Viso du CNES (mentor de l'événement).
3. Restitution à la Cantine
Le dimanche soir, une quarantaine de personnes sont venues découvrir la présentation des huit prototypes (applications, visualisations, etc.).
Illustration : Nicolas Loubet (Twitter).
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Langevinium, le Hacklab ambitieux de l'ESPCI
En 2012, un groupe d'étudiants de l'ESPCI s'est réuni en association pour créer Langevinium, un Hacklab pour favoriser les étudiants à concrétiser leurs idées. Clio a rencontré son président Aurélien Baelde ainsi que Ronan James, de l'ESPGG, avec qui le Hacklab a réalisé son premier projet.

Le Hacklab de l'ESPCI, qu'est-ce que c'est ?
Peux-tu revenir sur les projets mentionnés ?
Le projet EEG (pour Electron-EncéphaloGraphie) a été mis en place avec l'aide de l'ESPGG (Espace Pierre Gilles de Gennes) pour la Nuit des Chercheurs le 28 septembre 2012.
Le projet Que la force soit avec toi, ou "dessinons ce que vous avez dans la tête", avec l'école Boulle est présenté les 11, 12 et 13 avril dans le cadre de l'inauguration de la nouvelle école Boulle.
Pour le projet Harpe Laser, l'idée est de construire à moindre cout une harpe laser sur le modèle de celle de Jean-Michel Jarre. C'est un dispositif qui émet une dizaine de faisceaux laser à la verticale. Le musicien coupe un faisceau et produit alors une note.
Le projet Supra est un projet en collaboration avec le Fond de l'ESPCI Georges Charpak et le laboratoire de physique quantique LPEM de l'école. Il s'agit de créer un train supraconducteur lévitant sur des rails aimantés.
Concrètement, on construit une piste avec des aimants permanents très puissants disposés de manière particulière. Une locomotive (qui est en fait une cuve) contenant une pastille supraconductrice refroidie à l'azote liquide est ensuite mise en lévitation par les rails magnétiques. En plus, la piste peut être retournée pour montrer que le train lévite aussi la tête en bas (il est piégé par les lignes de champ magnétique donc ne tombe pas).
Nous avons aussi le projet de construire notre propre imprimante 3D, type RepRap.
Quelle différence entre le Hacklab et un Fab Lab ?
Le Hacklab n'a pas souscrit à la charte des Fab Labs. Cela nous permet de rester libres dans notre manière de fonctionner. De fait, nous ne sommes pas ouverts à tous, car nous sommes au sein d'une Ecole, même si nous sommes très ouverts. Par ailleurs, nous n'avons pas le même business model : lorsque dans un Fab Lab on doit payer pour financer ses propres projets, le Hacklab fonctionne par mécénat. Il choisit de valoriser certains projets intelligents grâce aux financements qu'il reçoit.
Pourquoi l'ESPGG soutient le Hacklab de l'ESPCI ?
>> Illustration : Guillaume Durey (©)
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L'Odyssée du Space Apps : ça complote à la Cantine
Mercredi 3 avril se tenait le 1er "Space Meetup" à La Cantine (Paris) pour présenter et préparer le Space Apps Challenge lancé par la NASA, qui se tiendra les 19, 20 et 21 avril prochains.
Pour la deuxième édition de ce "hackathon", la NASA a retenu La Cantine parmi plusieurs lieux dans le monde pour proposer aux codeurs, designers et amateurs d'espace de relever - avec le CNES - 50 challenges regroupés en 4 thèmes : hardware, software, data viz et science citoyenne. Les inscriptions sont toujours ouvertes :-)
Une première réflexion autour des thèmes a eu lieu en compagnie de quatre mentors : Benoit Parsy pour le hardware, Aurélien Fache (FaberNovel) pour le software, Francois Prosper (We Do Data) pour la data viz, Rayna Stamboliyska (CRI), pour la science citoyenne.
>> Illustration : International Space Apps Challenge
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Les jeunes qui font avancer la recherche contre le sida
Alors que la campagne Sidaction aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochain, Charlène a été invitée pour Knowtex à échanger avec trois jeunes chercheurs sur le VIH, lors d'une émission en direct. L'occasion d'aborder la recherche, mais également de discuter de la perception du VIH en France, plus de 30 ans après sa découverte.

Cette émission a réuni d'un côté, Isabelle Clerc, postdoctorante à l'Institut de Génétique Moléculaire de Montpellier, Sylvain Thierry, postdoctorant au laboratoire de biologie et de pharmacologie à l'ENS de Cachan, et Caroline Izambert doctorante en histoire au Centre de recherches historiques à l'EHESS. En face et pour poser des questions, trois blogueurs étaient présents dont Charlène ainsi que William Réjault et Fadhila Brahimi.
Bilan des échanges
Il est apparu, au fil de la discussion, que la séropositivité reste encore très stigmatisée. Si aujourd'hui, les traitements permettent de contrôler l'évolution du virus et d'avoir une vie « normale » (un emploi, une famille …), le regard de la société ne reflète pas toujours la réalité de la maladie.
Par ailleurs, le sentiment général est une baisse de communication sur le VIH ces dernières années. Les messages préventifs sur l'utilisation du préservatif se font plus rares, et très peu de médecins proposent à leur patient un dépistage du VIH lors d'une prise de sang. Pourtant, le virus est toujours présent. Caroline Izambert souligne d'ailleurs « un lien entre ce déficit d'informations et les comportements à risque ».
Les échanges ont également permis de faire le point sur les traitements. Malgré les avancées considérables de la recherche, il n'existe à ce jour aucun moyen de guérir du SIDA. D'où l'importance de continuer de véhiculer des messages préventifs et d'inciter au dépistage, d'autant plus qu'un traitement précoce sera plus efficace.
Pour revoir l'émission
Pour aller plus loin :
- Le site de Sidaction
- La campagne 2013
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Retour sur le Hack Data Weekend Ile-de-France 2030
Le weekend du 22 mars, un "Hack Data Weekend Ile-de-France 2030" a été organisé par la Région, la Fonderie et l'Institut d'Aménagement et d'Urbanisme (IAU). L'objectif : remixer en 48h un (gros) jeu de données du SDRIF (Schéma Directeur Régional de l'IDF).
Pour Jean-Bapiste Roger, directeur de la Fonderie, ce hackathon avait d'abord pour objectif d'appuyer l'effort d'ouverture des données de la région Ile-de-France.
Les 10 équipes de codeurs / designers / startupers ont eu 48h pour prototyper des applications originales... Un vrai "marathon de cerveaux" selon Gael Musquet :-)
Fait marquant : huit étudiants en 1ère année à Web School Factory s''étaient portés volontaires pour l'occasion... Deux d'entre eux ont eu le plaisir de gagner un prix.
- Le premier prix a en effet été remis à l'équipe de Jessica Zheng, pour l'app "Brigand Futé".
- Le deuxième prix a été remis à l'équipe comptant Manuel Lemaire, pour son jeu "Sim Sdrif".
Pour aller plus loin
- Plateforme du Hack Data Weekend IDF 2030 (la Fonderie)
- Toutes les archives de l'événement (photos, vidéos, tweets)
- "L'hackathon s'achève, l'open data démarre" (Région IDF)
- Comte-rendu du hackathon par Yann Le Tilly
>> Illustration : Carine Isembert (@cisembert)
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SXSW : 25 ans de festival !
Il y a 7 jours, nous avons lancé une campagne de crowdfunding pour couvrir le Festival SXSW en direct avec un reporter sur place. Pour mieux appréhender ce Festival, voici une Timeline pour comprendre comment il a évolué depuis sa création en 1987.
D'abord imaginé comme un tremplin pour groupes de musique, SXSW a intégré une dimension filmique, puis interactive, avec à la fois les nouvelles technologies, et les jeux vidéos.
En 2012, les apps de "social discovery" étaient fortement attendues. La promesse était alors de nous révéler, dans notre environnement proche, des contacts pros, des bons plans, avec une couche sociale forte. Las, n'est pas Twitter ou Foursquare qui veut, et aucun vainqueur ne semble s'être dégagé de cette édition.
En 2013, c'est clairement le retour aux sources du rêve américain. D'abord car de nouvelles frontières s'ouvrent dans le festival, avec notamment un thème entier dédié à l'exploration spatiale. Ensuite, car à l'intérieur même des frontières américaines, le mouvement des Makers, porté par le dernier ouvrage de Chris Anderson et le succès des imprimantes 3D, parfois combiné au crowdfunding.
Coconstruisez avec nous ce pont géant que nous mettons en place en équipe et avec Martin pour vous faire vivre le festival en direct sur internet, pour respirer les tendances qui vont éclore cette année encore au Texas , et également pour nous rejoindre chaque soir du 8 au 13 à Paris pour vivre les lives !
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"Rock my SXSW" : aidez-nous à envoyer Martin à Austin en mars !
Pour couvrir le festival SXSW, Knowtex lance dans une campagne de crowdfunding. L'objectif : envoyer le reporter Martin Pasquier à Austin !!
Peux tu te présenter rapidement ?
Martin, 29 ans, dont 10 passés à l'étranger et déjà 5 en conseil & stratégie de communication et marketing pour les médias sociaux. Après des études à la croisée des sciences sociales et de l'économie, je suis "rentré" dans les médias sociaux par la veille d'opinion. Depuis, je ne cesse de réfléchir à ce qui fait communauté et comment ce concept rebat les cartes de nos sociétés encore trop verticales et cloisonées !
Après 4 ans à Paris, j'ai décidé de prendre le large en Asie du Sud-Est, pour y monter avec un associé une agence conseil et explorer des territoires plus connectés, plus foisonnant, mais aussi moins bien appréhendés par les marques. J'espère continuer ces explorations aux Etats-Unis, berceau à la fois des technologies qui refaçonnent nos vies et d'une manière d'être, la communauté, qui partout s'impose.
Rappelle nous ce qu'est SXSW ?
SXSW, c'est à la fois un festival, un objet en mutation et une histoire américaine. Ou comment un crochet pour groupes de musiques devient une référence dans les nouvelles technologies, sans perdre de son esprit indie, décalé, poil à gratter. Quand Google rencontre Kim Dotcom, quand l'industrie du cinéma se met à la narrativité de l'hyper lien, ou quand des zikos expérimentent un concert de 30 autoradios synchronisés en pleine rue, c'est à Austin. Le tout amplifié par des personnages visionnaires, souvent "hors-cadre", qui viennent évangéliser une foule d'early adopters et donner le ton des mois, parfois années, à venir.
Tu y étais l'an passé. Quel est ton ressenti ?
Quand on va à Austin, on se demande franchement comment en retirer quelque chose tant l'événement est dense, multiple, on et off et ne dure que quelques jours. L'année dernière, j'avais été à la fois un peu déçu par bon nombre de conférences qui augmente la quantité d'événements sans amener de fond.
Frustré, au bout de 2 jours, j'avais alors opté pour les comptétitions de startups et les "grandes" conférences, celles où l'on reçoit le CEO d'Instagram, ou encore les fondateurs du mouvement Movember. Là, c'est une vraie claque, les idées fusent, les concepts se forgent, l'audience est en feu et l'atmosphère pourtant toujours décontractée. On a pas du tout envie d'en revenir!
Qu'est-ce qu'on peut attendre cette année ?
Cette année, le programme semble avoir "muté", et prend à nouveau en compte des tendances émergentes pour tenter de leur donner corps. Un thème entier est dédié à l'exploration spatiale. De RedBull Stratos à Curiosity en passant par les délires finalement assez sérieux d'Elon Musk qui veut nous faire aller sur Mars, on sent que c'est là une manière pour les américains de sortir de la crise par le haut, par une nouvelle nouvelle frontière, en offrant un rêve que tout le monde attend.
Autre thème notable, celui du "DIY", des makers, qui ont été largement popularisé en 2012 par les succès de Kickstarter, le bouquin de Chris Anderson, et le foisonnement de mouvements "DIY/MIY" un peu partout dans le monde. Côté technique, beaucoup, beaucoup de choses sur le responsive design, mais ça franchement, ça fait moins rêver !
Quel dispositif est prévu avec Knowtex ?
Tout simplement un objet de retransmission non identifié ! Une expérience médiatique et événementielle, en direct et en différée, avec une équipe à Austin et à Paris, et une envie forte : faire vivre dans la capitale un festival majeur qui reste assez peu couvert en France. Austin, c'est trop gros, nous avons donc choisi une ligne directrice, à savoir comment une ville moyenne d'un Etat conservateur comme le Texas peut parvenir en deux décennies à devenir un fer de lance de la création, de l'indépendance et des nouvelles tendances.
Pour nous alimenter : des rencontres, des directs, des synthèses dans plusieurs formats que nous espérons "innovants", le tout porté par une campagne de crowdfunding qui permet à toi qui lit ces lignes de rejoindre l'aventure ! Du petit-déjeuner texan à Paris au carnet de tendances pour parler d'autre chose que de la crise en soirée, c'est une aventure qui nous tient en haleine depuis près d'un mois, et que nous espérions fortement contagieuse!
Pour soutenir notre campagne de crowdfunding, c'est ici !
>> Illustration : Benoit Crouzet
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Le conte des mille et un hackerspaces ... ou presque !
Avec Les hackers dans la cité Arabe, Sabine Blanc et Ophelia Noor se sont lancées dans la réalisation d'une web série documentaire - qui paraitra en juin 2013 - sur les hackerspaces dans le monde arabe.
Deuxième étape de leur périple : l'Egypte où elle viennent d'arriver. Au programme, les hackerspaces du Caire, d’Alexandrie et celui de El-Minya. Tarek Ahmed, le co-fondateur du premier hackerspace égyptien, leur a même promis un “Hacker Tour” au Caire !

Pouvez-vous nous présenter ce qu'est le projet "Les hackers dans la Cité arabe" ? Nous partons à la rencontre des hackers du monde arabe, de Beyrouth à Bagdad, en passant par Tunis, Le Caire, l'Algérie et le Maroc, pour voir dans quelle mesure ils contribuent à leur société : en matière d’éducation, de politique - ce qu’on appelle l’"hacktivisme" -, en matière d'économie, de production artistique, etc.
L’idée est partie d’un article de Wired sur une association créée par un Américain d’origine irakienne, Bilal Ghalib. Son but est d’aider le développement de hackerspaces / makerspaces dans des pays “en développement”.
Par méconnaissance de cette zone, les gens ont tendance à mettre dans un même sac tous les pays arabes, alors qu’eux-même protestent si l’on fait de même avec les Provençaux et les Nordistes, par exemple. Nous voulons examiner les différentes formes de hacking d’un pays à l’autre, par rapport aux contextes politique, historique, social et culturel. Comment vous êtes-vous connectées avec les hackerspaces / makerspaces locaux ? Contrairement à ce qu’on pourrait croire, il est très facile d’entrer en contact : il suffit d’envoyer un petit mail ou de trainer sur leur IRC ("Internet Relay Chat" = dialogue en temps réel) en pointant vers les articles qu’on a écrit, tant qu’on ne dit pas d’énormités sur eux.
Je (Sabine) avais déjà écrit un article sur les hackers tunisiens et un autre sur la première Maker Faire Africa qui s’était tenue au Caire en 2011. On avait donc déjà des contacts.

Comment avez-vous choisi vos différents lieux de passage ? Pour nous, il fallait deux critères principaux : l’existence d’une communauté identifiée ou naissante et un calme relatif. Ainsi, nous n’irons pas en Lybie ou en Syrie... la situation est tellement grave qu’il n'est pas encore temps de penser à reconstruire ou influer sur la société. Déjà l’Irak, c’est limite, on en parlera sans y aller à court terme, ils vivent encore avec la mort au quotidien. Qui rencontrez-vous ? Comment êtes-vous accueillies ? Bien sûr, on va voir des hackers mais aussi des personnes susceptibles de nous aider à remettre en contexte nos visites : des journalistes, des entrepreneurs du Net, etc. On est très bien accueillies ! Ils sont très ouverts, contents même, il me semble, qu’on s’intéresse à leur activité et à leur pays autrement que pour parler de terrorisme et d’extrémistes.
En Algérie, première étape de notre périple, on peut déjà revenir, on sait où dormir :) À Tunis, nous cotoyerons aussi les altermondialistes puisque nous y serons pendant le Forum Social Mondial : un hackerspace temporaire sera organisé.
Quelle est votre première impression sur ce que vous avez déjà vu ?
Les projets sont davantage tournés vers un "hack pragmatique", comme la situation économique des pays que nous visitons est quand même bien plus délicate que la nôtre. Il y a plus souvent l’idée de faire une start-up. Enfin, c’est une impression, à confirmer. Cela dit, partie du metalab, le hackerspace viennois, MakerBot est devenue une entreprise florissante qui a fait une levée de fonds de 10 millions de dollars...
Disons que de notre point de vue, nous retrouvons moins le côté “petit blanc bourgeois” qui hacke pour son plaisir le week-end. Pour autant, les hackers des pays arabes font plutôt partie de la classe moyenne, ne serait-ce que pour avoir un accès à Internet, dans des pays où les taux de connexion sont à des années lumières des nôtres.
Aller plus loin : le blog
Pour les aider, vous pouvez participer à la collecte Kiss Kiss Bank Bank.
>> Illustrations : le blog de "Les hackers dans la cité arabe".
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Société numérique : Inria et La Fing se marient
Ce jeudi 7 février, Inria et La Fing ont officialisé leur collaboration par la signature d'un partenariat sur la prospective, les sciences du numérique et la société.

L'idée : faire émerger un débat sur les sciences du numérique et la société en associant étroitement les chercheurs en sciences humaines et sociale en plus de développer une activité de prospective sur la société numérique.
Daniel Kaplan, délégué général de la Fing nous éclaire sur les objectifs et les pistes de mise en oeuvre.
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1ère réunion du groupe Hack your PhD à La Paillasse
Le groupe Hack your PhD s'est réuni pour première fois samedi 26 janvier à La Paillasse (le bio-hackerspace).

Autour de Celya Gruson Daniel, plus de 30 personnes se sont exprimées pendant 3h sur l'idée de repenser "la" recherche à l'ère du numérique et de l'économie collaborative. Au final, deux idées ressortent des échanges :
Un constat : la solitude du chercheur :(
#quote #hackscience Je croyais que la recherche était massivement collaborative or je n'ai jamais été aussi isolé.
26 janvier 2013
Un désir : catalyser la transformation :)
#hackscience Un participant : "pour moi, la MISSION de "Hack your PhD" c'est d'encourager de(s) nouveaux modèles de recherche"
26 janvier 2013
À venir : la création d'un blog, la rédaction d'un manifeste et une séance de créativité, le 11 février, sur les nouveaux modèles économiques de la recherche.
Pour aller plus loin
> La carte mentale de la conversation (réalisée par Martin)
> Repenser l’expérience de la thèse avec « Hack your PhD »
> Le compte-rendu storify de la rencontre (réalisé par Gaya)
>> Illustration : PhotonQuantique
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