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korrikoko · 3 years
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korrikoko · 3 years
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24.12.20 2
Y a des mots qu’on prend pour des promesses
Alors qu’on les dit seulement dans l’ivresse
Le problème, quand on se souvient de quasi tout
C’est de faire le vide pour pas devenir fou.
Faut choisir quoi oublier et quoi retenir
Les mots et les intentions sont pénibles à définir
Dans l’absolu, faudrait pas dire c’qu’on pense
Pas s’compliquer la vie, rester sur la défense.
Quand on forme des paroles avec sa bouche
Faut bien se dire qu’elles vont être comprises
Car entre ce qu’on dit et ce qui fait mouche
Ça arrive qu’il y ait une totale méprise.
D’où l’importance de bien se faire comprendre
Pour éviter que les autres puissent se méprendre
Les mots peuvent être pires que des coups de surin
Parfois, il en faut peu, pour perdre son chemin.
Ce qui est dit est dit, on ne peut pas revenir en arrière
On sait très bien que ça ne cache pas tout les œillères
Il y a des lettres qui restent gravées dans les esprits
Des invectives qui font écho au point que ça nous étourdit.
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korrikoko · 3 years
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24.12.20
Je fais tout pour ne plus écrire sur toi et c’est pas facile
Je pense qu’à partir du nouvel an, ça devrait aller mieux
Nos discussions résonnent encore dans mon esprit
Alors c’est vrai qu’on peut parler autant et que ça soit stérile ?
Perso, j’sais pas faire ça, il n’y a pas d’entre-deux
Mais parfois les gens dialoguent juste pour être polis.
Des mots me reviennent en mémoire, des idées, comme ça
C’est à cause d’eux que je me perds, ils me trompent
Me font croire des histoires et miroiter de l’espoir
Quand on y pense, on s’accroche vraiment à n’importe quoi
Avec le temps, on change les significations ou elles s’estompent
Et des fois, tout ce dont on a besoin besoin, c’est de rester dans le noir.
C’est chelou quand même, les relations humaines pour moi
J’vous assure qu’après avoir fait l’ermite aussi longtemps
Ce n’est pas simple de décoder les messages et intentions d’autrui
On fait juste tout en fonction de ce qu’on nous dit et ce en quoi on croit
A partir de là, on se construit notre vérité, on s’fait nos plans
Et ça s’passe généralement pas comme on avait envie.
Quand on a pas l’habitude de faire dans la demie mesure
Tout se complique vite, ça prend des proportions qui nous dépassent
On fait d’un rien toute une montagne, un truc plus lourd que ça ne l’est
Notre cervelle aime bien se faire des films et se torturer
Se bercer d’illusions jusqu’à l’excès, jusqu’à l’usure
Le réveil est violent quand une à une on les supprime, on les efface.
On s’inflige tout de même bien des souffrances vaines et inutiles
La plupart du temps, au final, on se prend juste pour des débiles
Et dire qu’au départ, je croyais qu’il venait de moi le problème
Je fais des efforts pour être claire et moins chercher les sens cachés
Maintenant, j’ai plus l’impression que c’qui merde, c’est tout le système
Je préfère cent fois rester dans ma bulle, mon monde et mes pensées.
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korrikoko · 3 years
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23.12.20
Veille de Noël, même pas envie de le fêter
Et fêter quoi ? La prochaine année de merdes à venir
J’vois trop pas pourquoi on veut marquer le coup
On a beau essayer de se donner et positiver
On est les seuls à savoir quel cap tenir
La plupart du temps, quand on est seul, on devient fou.
Mais tout va bien, j’ai mes amis imaginaires
Ils me rassurent, en ce moment, j’ai le cafard
J’avoue que je picole beaucoup, c’est mon remède
C’est la saison qui veut a, j’tire les volets, allume les luminaires
J’le dis encore, ça manque de neige sur les trottoirs
J’ai tellement chaud, qu’j’sors plus les pulls et les plaids.
Mes 40 ans n’auront pas valu plus le détour que mes 20
C’est moche, mais c’est la life, le conaro, la connerie
Je ne suis pas la seule responsable, mais ça me chagrine
Un gros tas de misère va p’t’être arrêter le cycle de pourri
Et puis au fond, c’est comme tout, ça passe le spleen.
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korrikoko · 3 years
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Vendredi 13 novembre 2020
C’est pas évident, quand on a eu dues sentiments et désir pour quelqu’un
De prendre du recul, comprendre que c’était malsain et d’y mettre fin
il faut du temps, se faire violence, se remémorer tous les petits détails
Ça nous prend aux tripes, parfois on vrille, les souvenirs nous cisaillent
Quand on a compris à quel point une relation n’est pas bénéfique
Faut stopper net, couper court et surtout ne pas verser dans le tragique.
Résister à la tentation de reprendre contact, on sait que ça sert à rien
Même si on doute des bienfaits de l’éloignement, on sait qu’c’est pour not’ bien
On ne peut pas construire un lien équilibré sur des bases équivoques
Malgré toute la bonne volonté du monde, faut pas baisser son froc
Il est vrai que de temps à autre, on interprète des actes et des mots
Les gens devraient faire tourner leurs paroles avant dans leur cerveau.
Ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse
Pour certain, ce n’est pas un principe concret et putain ça m’agace
On fait tous des erreurs, je sais très bien que personne n’est parfait
Il y a quand même une conduite à tenir, un savoir-être, un respect
Il y a des fois, je vous jure, il vaudrait mieux être sourd
Que d’écouter des gens déblatérer, nous faire de “beaux discours”.
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korrikoko · 3 years
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Option ( 28.10.20)
Et puis un jour, tu comprends que c’est nocif pour toi
Que les dés étaient pipés dès le commencent
Que tout ce en quoi tu as cru, ce n’était que du vent
Que tous les efforts que tu as fait avec maestria
N’ont servis à rien, à part te bercer d’illusions
Tu prends conscience que l’on t’a bien prit pour un con.
Tu as retourné l’histoire dans ta tête 1001 fois
Analysé le moindre mot, la moindre émoticône
Au début, t’as pensé qu’il y avait plus qu’une friendzone
Au fur et à mesure, t’as compris que ça ne venait que de toi
Là où le bas blesse, c’est que toi, tu veux aider les gens
Alors qu’eux, c’qu’ils veulent, c’est qu’t’apaise leurs tourments.
Quand t’as voulu prendre des distances, l’autre revenait
T’as forcément espérer, t’étais en transe, tu t’es dit cool
Mais l’autre ne voulait rien de plus qu’une amitié
Tu t’es voilé la face, un bon moment, t’as eu les boules
Mais la vie est bien faite, t’as mit du temps, mais t’as compris
Que continuer comme ça, au fond, c’était de la connerie.
T’as mis du temps atterrir, à te dire qu’il fallait passer à aut’ chose
Tu sais qu’ça t’faisait trop souffrir, t’as arrêté en arrivant à l‘overdose
Tu as trop vécu ça, trop de fois eu des sentiments pas réciproques
Tu t’aimes trop pour ça, tu en trop marre de baisser ton froc
Alors tu t’es dis merde, moi je ne veux plus qu’on me prenne pour un con
Je vaux mieux que ça, j’ai pas envie d’être une putain d’option.
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korrikoko · 3 years
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Une Idée, Une Étincelle (texte personnel du 25/05/2013)
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korrikoko · 3 years
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Catherine, je viens de t’avoir au téléphone. C’est cool ce reconfinement finalement !
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korrikoko · 3 years
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Sortir (08/02/2017)
J’en viens à vouloir parler aux gens
Pas forcément ceux que je connais déjà
Je trouve ça bizarre et puis troublant
Mon style, c’est limite mode agora.
Furieuse envie de voir de nouvelles têtes
Besoin irrépressible d’originalités
J’me sens seule, dans mon antre de bête
Plus je vieillis et plus je veux partager.
 Je sais que j’ai du mal à garder contact
Il y en a plein que j’aimerai revoir
Mais j’ose pas appeler, putain de trac
Et je sais que ça doit les décevoir.
C’est comme si j’avais un sac de bonbons
Que je ne pouvais partager avec personne
C’est dommage, pourtant, ils sont bons
Aller, qui c’est qu’en veut, je les donne.
Et puis, cuisiner pour moi toute seule
Je trouve ça triste, ça ne me motive pas
Du coup, la bouffe, j’lui fais la gueule
Je grignote et j’fais pas de p’tits plats.
Ce n’est pas l’envie qui me manque
De faire la gentille femme au foyer
Ça me ferait sortir de ma planque
Là, je suis prête à tout risquer.
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korrikoko · 3 years
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03/10/2016
Je le savais au fond de moi, qu’un jour, t’appellerais
Si tu m’demandes pourquoi, je ne saurai l’expliquer
Je ne pensais pas, à quel point, ça me déstabiliserait
Je me disais qu’après ça, tu m’ferais jamais plus d’effet
Mais je me rappelle à présent, tout ce que tu m’as enlevé
Tes coups de vices, tes caprices, et toute ta perversité
Toi, sortant d’la douche à poil, sans aucun effet
Moi, sur l’ordinateur, surtout ne pas regarder
J’ai résisté, jusqu’au bout, que j’t’ai vu déménagé
Ce jour-là, c’est le plus beau souvenir que j’ai gardé
Le rêve ! De toi, j’étais enfin débarrassée
Assez de tes coups de délires, tes regards mauvais
Ta pudicité feinte et de tes envies de te faire toucher
Bye bye la souris masochiste et la chatte mijaurée
Ton emprise malsaine, tu peux te la garder.
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korrikoko · 3 years
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12/08/2016
Rien que de savoir que tu pourrais te ramener dans le coin
Ça m’fout des angoisses, je regarde l’heure, je vais pas bien
Le pire, c’est que je stresse depuis une semaine
Comprends à quel point ça me fout une putain de haine
Ça fait bizarre ça,ça faisait longtemps que je ne t’avais pas haï
C’était comme une brume passagère, ou un simple oubli
T’étais toujours là, ventre à terre, à moitié ensevelie
Tu guettais à l’affût, tapie ou pas selon ton envie.
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korrikoko · 3 years
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06/08/2016
Elle paraît longue et ennuyeuse, la vie sans muse
Et pour dire vrai, je ne dirai pas que ça m’amuse
Ça ne file pas vite, le temps passe au ralenti
Les nuits sont courtes, froides, et on perd l’appétit
Mais y a de bons côtés aussi, pas de passion
Rien qui brûle le corps et l’esprit, juste la raison.
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korrikoko · 3 years
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02/08/2016
J’aimerai pouvoir te dire, à quel point tu m’as fais souffrir
Mais je ne voudrai surtout pas, un instant te faire plaisir
Mes nuits de plus en plus noires, n’ont été que purs cauchemars
Pourquoi est-ce si bizarre, qu’il me manque, ce désespoir
Je ne devrai pourtant pas me plaindre, j’ai choisis le chemin
Une page devait se tourner, et, c’est moi qu’avais les clefs.
Je t’ai dis de foncer, j’ai acheté les billets de train
Je voulais que ça cesse, décrocher, enfin me soigner
Le temps est passé depuis, et, je ne sais pas si je suis guérie
Quand on aime quelqu’un, on lui laisse un morceau d’âme
On offre une partie de nous, celle qui rayonne et éblouie
On plante quelques graines, qui poussent ou qui fanent
On apprend et on enseigne, on déguste et on se guérit
On se reconstruit, pas vraiment le choix, évitons le drame.
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korrikoko · 3 years
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02/08/2016
On croit prendre des décisions
Mais tout est faux, on se trompe
Le vie au fond, n’est qu’illusions
Une série d’aléas et de rencontres
Bilans amers, vide de combinaisons
Qu’on exagèrent, qui nous encombrent
Le temps passe vite, mille et une saisons
Nous défilons, flous comme des ombres.
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korrikoko · 3 years
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25/03/2015
Ça m’soûle de pas trouver les mots pour écrire
J’ai fais deux phrases et déjà, j’ai plus d’idée
J’ai beau chercher, mais y a rien qui m’inspire
P’t’être que ma muse m’a lâchement abandonnée.
Faut dire que j’ai pas d’matière sur laquelle travailler
Ça m’aiderait sûrement de sortir un peu, m’aérer
Faudrait que j’me trouve une bonne activité
Un truc sympa, qui m’ferait vraiment vibrer.
Je réfléchis, mais là, comme ça, ça m’vient pas
C’est un peu mon problème, réussir à m’occuper d’moi
Mais y a pas d’mystère, pour réussir faut essayer
Être volontaire, s’donner des buts et les moyens d’y arriver.
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korrikoko · 3 years
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23/07/13
J’aspire à être moi-même
Auprès d’une femme, ma moitié
Donner mes idées, pas être jugée
Pouvoir me taire, ne pas parler
En éprouvant aucune gêne.
Je rêve de partager ma vie
Communiquer avec des regards
M’endormir contre elle le soir
Compter sur elle quand j’ai le cafard
Lui murmurer comme elle est jolie.
Me réveiller près d’elle le matin
Prendre soin d’elle, la rassurer
Lui dire “Je t’aime”, la câliner
Je serai plus qu’attentionnée
Je la cajolerai de ses chagrins.
Mais où est-elle ma Dulcinée ?
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korrikoko · 3 years
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Message Non Personnel (14/07/13)
J’sais pas si c’est l’été, ou bien mon âge qui fait ça
Je déborde d’énergie et je ne sais pas pourquoi
La sensation de tout voir comme si c’était la première fois
Et j’me fous royalement de c’que les gens pensent de moi.
J’ai envie d’aimer, de passion, de prendre et de donner
J’ai soif de connaissances et déborde de créativité
Je découvre des parties de moi jusqu’à ce jour cachées
Et prends conscience que je suis pleine d’une vie inanimée.
La sagesse a-t-elle quelque chose à voir là-dedans
J’aime la pluie, comme le soleil, et encore plus le vent
C’est étrange, j’ai toujours l’impression d’être une enfant
Qui commence enfin à apprécier le monde des grands.
Trente-deux, bientôt trente-trois et des névroses
J’crèverai peut-être d’un cancer ou d’une cirrhose
J’ai souvent, sur le corps, nombre d’ecchymoses
C’est pas une fin que je ressens, plutôt une métamorphose.
Bon j’avoue, j’suis fainéante comme une couleuvre
Système D, mon monde à ma façon, je le manœuvre
Mes idées sont aussi nombreuses que les bras d’une pieuvre
J’essaie d’me bonifier, édifiant pierre par pierre mon oeuvre.
J’ai appris que même si le ciel est gris, la vie est belle
Qu’elle peut être rouge à pois noirs comme une coccinelle
Qu’il faut s’accepter soi-même, pour bien vivre, c’est l’essentiel
Qu’on l’aura jusqu’à la fin notre crise existentielle.
Je le vis plutôt bien, prends tout c’qui s’dit d’un air serein
Je me dis Carpe Diem, qui vivra verra, aujourd’hui ou demain
Je me donne enfin raison, écoutant mes envies et mes besoins
Je m’ouvre enfin à la vie, fais confiance à mes intuitions, au destin.
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